Application SAIP : quand l’avocat de Deveryware nous adresse une mise en demeure
SAIP à moi
Le 24 avril 2017 à 16h08
5 min
Droit
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L’avocat de la société ayant développé l’application SAIP (pour Système d’alerte et d’information des populations) a visiblement peu apprécié certains de nos tweets. Il nous menace de saisir la justice, en raison d’un dénigrement parait-il systématique du fameux outil développé par Deveryware.
Le 20 avril, vers 21 heures, un homme a donc tiré sur des policiers sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris. Un policier a été tué, deux autres blessés. Les faits seront revendiqués par l’État islamique.
Mais revenons quelques instants après les coups de feu. À 21h20, un tweet de la Préfecture de police de Paris alertait les internautes qui suivent ce compte : « Intervention de police en cours sur le secteur des #ChampsElysees. Évitez le secteur et respectez les consignes des forces de police ». À 21h26, nous répondions à ce message par un simple constat : sur l’application d’alerte SAIP, configurée sur le 8e arrondissement parisien, c'est le calme plat : « aucun incident en cours ». Notre tweet a été repris par plusieurs médias : Le Journal du Geek, FranceInfo, le Huffingtonpost, BuzzFeed ou encore Europe 1.
@prefpolice Et pendant ce temps, SAIP : "aucun incident en cours" (configuré sur Paris 8e) pic.twitter.com/guZkxjDC6M
— marc rees (@reesmarc) 20 avril 2017
Au fil des évènements, quelques minutes plus tard, nous faisions part de notre incompréhension en l’état des maigres informations disponibles : la Préfecture de police demande aux personnes d’éviter le secteur. Mais cette demande n’est postée que sur Twitter, non en utilisant SAIP, pourtant qualifiée par l’Intérieur d’« application d'alerte et d'information des populations en cas de crise », utilisée plus exactement « en cas d’événements exceptionnels de sécurité publique mobilisant l’intervention de la police et de la gendarmerie, ou de sécurité civile nécessitant l’intervention de secours (Sapeurs-pompiers) » dixit l’Intérieur.
On en arrivait donc à une question simple : quelle est la hiérarchie entre ces deux modes d’information des populations ?
Une mise en demeure adressée par le conseil de Deveryware
Bref des interrogations que nous pensions légitimes, dénuées d’un quelconque désir de nuire à Deveryware, la société qui a développé cette application à la demande du Gouvernement. Mais tel n’a visiblement pas été l’analyse faite par Me Cyril Fergon, avocat associé au cabinet Arco Legal, conseil de cette société.
Dans un courrier électronique adressé le 21 avril, celui-ci se plaint du « lourd préjudice » subi par sa cliente « à raison des allégations erronées que vous publiez ou relayez sur votre compte tweeter, sinon votre site, au sujet de l'application SAIP dont elle est l'éditeur ».
Et ce juriste de nous demander de retirer fissa « les publications mettant en cause SAIP consistant à prétendre que cette application ne fonctionnerait pas », au motif que « ce sont les autorités publiques qui ont choisi de ne pas avoir recours à l’application SAIP pendant les premières heures de l’événement dramatique d'hier soir ».
« La vérité impose que vous ne laissiez pas entendre un problème de fonctionnement technique de l'application, poursuit Me Cyril Fergon. S'agissant de la décision de faire usage ou non de cette application, la décision appartenant aux seuls pouvoirs publics ne regarde pas ma cliente ». Avons-nous dit le contraire ? Aucunement : nous nous sommes limités à une simple prise photographique à un instant T alors qu'au sol, les douilles étaient encore chaudes.
Un préjudice d'image, un préjudice commercial
Mais ce cabinet d’avocats fulmine, nos publications personnelles auraient malgré tout généré un « préjudice d’image et donc commercial dont [sa cliente] serait fondée à demander réparation ». Et le mail de se conclure par cette douce formule : « Vous voudrez bien considérer le présent message comme une mise en demeure avec les effets y attachés par la loi. Je suis à la disposition de celui de mes Confrères que vous désignerez pour assurer la défense de vos intérêts ».
Seul détail : nous avons sollicité de ce spécialiste en contentieux la localisation des messages litigieux, où nous aurions dit voire simplement suggéré que l’application SAIP a été techniquement défaillante. En vain. Finalement, la société, toujours par la voix de son conseil, nous accuse d’une entreprise systématique de dénigrement quant aux performances techniques de son fleuron technologique. Et, plutôt que d’effacer les messages litigieux (toujours non identifiés), il nous demande désormais de ne plus diffuser de message public qui mettrait en cause la fiabilité technique de l’application d’alerte. Sinon ? Il saisira la justice. Un vrai message d’alerte.
Pour notre part, nous considérons que le vrai préjudice, si préjudice il y a, ne réside pas dans nos messages, mais dans le choix du gouvernement de ne pas avoir activé cet outil. Nous débouchons en effet sur une situation paradoxale où la Préfecture déconseille chaudement sur Twitter de se rendre dans une zone où SAIP nous indique qu’aucun incident n’est « en cours ».
Enfin, que le ministère de l'Intérieur ait choisi de ne pas activer SAIP pour des raisons qui lui sont propres n'empêchera jamais que l'on puisse s'interroger sur les raisons de cette décision. Un constat qui ne signifie en rien un quelconque dysfonctionnement de l'application.
Application SAIP : quand l’avocat de Deveryware nous adresse une mise en demeure
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Une mise en demeure adressée par le conseil de Deveryware
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Un préjudice d'image, un préjudice commercial
Commentaires (203)
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Abonnez-vousLe 25/04/2017 à 14h08
Haha, pareil " />
Le 25/04/2017 à 14h20
Ah, carbier, le défenseur des opprimés…
Le 25/04/2017 à 14h21
Le 25/04/2017 à 14h28
Au contraire merci pour la remarque car effectivement c’est moche de ma part " />
malheureusement je ne sais pas comment éditer le message pour le corriger " />
Le 25/04/2017 à 14h38
Tu ne peux éditer que qques minutes après envoi.
Parfois frustrant, mais c’est pas plus mal poru eviter les dérives et autres malhonnêtetés…
Le 25/04/2017 à 14h44
Tu fait la même manip que pour citer ou répondre à un commentaire pour faire apparaître les boutons (passer la souris sur ton commentaire), mais tu va plutôt sur l’icône qui ressemble à un crayon. Par contre l’édition de commentaire est désactiver au bout d’une courte durée (quelques heures pas plus).
Le 25/04/2017 à 14h48
Le 25/04/2017 à 15h20
Rien. Et pas besoin d’un compte : Twitter
Le 25/04/2017 à 16h03
5min ou 1heure c’est pas très différent le plus important c’est la motivation que tu y mets.
Signé : un impuissant.
Le 25/04/2017 à 16h25
Le 25/04/2017 à 18h00
Le 25/04/2017 à 18h20
Après, faut aussi voir si cette action est à l’initiative de l’éditeur ou de l’avocat….
Le 25/04/2017 à 19h06
Toujours dangereux d’attaquer un journaliste doublé d’un juriste, un homme averti en vaut deux … MR en vaut 4 ! well done !
Le 25/04/2017 à 19h15
L’avocat qui ferait ca sans consulter son client ? Gratos ?
Le 25/04/2017 à 19h44
Le 25/04/2017 à 20h12
Barbara Streisand
Le 24/04/2017 à 18h01
Le 24/04/2017 à 18h03
Si tu l’as vraiment fait, je te tire mon chapeau pour cette riche idée…
Les gars ont un contrat avec l’État et se plaigne qu’on leur fasse une “mauvaise pub”? Ce serait plutôt à nous de les attaquer pour un contrat non rempli (encore faut-il avoir accès au marché initial !) car leur appli est foireuse… Tout ceci avec l’argent du contribuable. J’ai loupé ma vocation mais en même temps j’ai pas d’amis à l’Élysée.
Remarque, je ne connaissais même pas cette appli.
Ils ont peur de rien les types…
Le 24/04/2017 à 18h03
Le 24/04/2017 à 18h04
Le 24/04/2017 à 18h08
Aller pour le fun j’ai “installé” l’application puis annuler juste pour pouvoir lui mettre une étoile
Le 24/04/2017 à 18h10
Et dire que j’aurais pu bosser pour eux, quoique le directeur technique m’avait fait en entretien fort mauvaise impression. Le gars qui répond à un appel en plein entretien et raccroche sans même s’excuser…
Je suis bien content de n’y être finalement jamais allé !!!
Le 24/04/2017 à 18h11
les mecs sont des tocards depuis le début… et se retranchent derrière la justice…
" />
Le 24/04/2017 à 18h19
bien pointilleux ce cabinet d’avocats. ils auraient pu prendre un peu de ce temps pour relire leur site web.
“émail” de contact : c’est moche
Le 24/04/2017 à 18h39
Le 24/04/2017 à 18h49
Pour notre part, nous considérons que le vrai préjudice, si préjudice il y a, ne réside pas dans nos messages, mais dans le choix du gouvernement de ne pas avoir activé cet outil.
C’était ma première réflexion à la lecture du début de l’article. " />
Le 24/04/2017 à 18h57
Le 24/04/2017 à 18h57
Même pas peur :-)
Le 24/04/2017 à 18h57
Le 24/04/2017 à 19h19
Foncez, Pourrissez les … Vous avez tout le soutien de la communauté (je pense) …
Le 24/04/2017 à 19h25
Le 24/04/2017 à 19h31
" />
Le 26/04/2017 à 05h58
A quoi ça sert de pointer l’avocat du doigt ?
En faisant ça, vous faîtes exactement comme lui : vous vous trompez de cible.
Le 26/04/2017 à 06h30
Bien stupide pour le long terme, l’avocat qui jouerait a ce jeu…
Le 26/04/2017 à 07h23
Vraiment, c’est abusé la dépense d’argent public pour mettre en place une application qu’ils ne souhaitent pas utiliser.
Ca se trouve, il n’y à aucune procédure claire pour le déclenchement de SAIP suivant les services/lieux concernés…
Je la désinstalle de suite.
Le 26/04/2017 à 07h29
Mais LawL quoi … business is business … à gerber " />
Le 26/04/2017 à 07h39
Après une petite recherche, on remarque qu’il y a eu une défaillance technique pour l’attaque de Nice et une volonté de non-utilisation du SAIP par l’état pour l’attaque des champs Elysées…
Donc merci encore une fois à l’état d’avoir jeter par la fenêtre des dizaines de millions d’euros pour un projet utile mais non efficace et non utilisé…
Je ne pointe pas l’éditeur du logiciel car il a surement été choisi via un appel d’offre au moins cher ! " />
Le 26/04/2017 à 07h47
Le 26/04/2017 à 07h48
Le 26/04/2017 à 08h41
Ces gens doivent vraiment être désespérés pour avoir une réaction aussi épidermique…
Le 26/04/2017 à 08h56
Pas vraiment. C’est le cabinet d’avocat qui a contacté NXi. Le cabinet représente la société, et accessoirement la conseil.
Donc le contact et la tentative de dialogue se font à travers le cabinet d’avocat. On peut même imaginer que la société a donné carte blanche à son cabinet pour traquer les incivilités à son égard sans être averti à chaque fois…
Je trouve l’article bien équilibré du coup…
Le 26/04/2017 à 14h16
Curieuse démarche, entre l’effet barbra streisand inévitable et votre légitime droit d’information du public…
C’est sur le plan de la communication une catastrophe et juridiquement très hasardeux.
J’ajoute que j’ai le souvenir d’articles de votre part qui ne mettaient pas en cause le fonctionnement de l’application, mais la pertinence du concept ainsi que la difficulté du choix de l’activer ou non au bon moment. Par conséquent des articles qui ne visaient pas l’éditeur mais l’intérêt de la décision politique qui est à l’origine de cet outil.
Le 26/04/2017 à 18h57
Pas tant que ça. J’en connais qui tiennent comme ça depuis 20 ans avec la même entreprise.
Tu gagnes c’est grave à lui, tu perd c’est la faute des autres (juges, avocat adverse, ….). En contre partie faut avoir qquelques victoire (même minimes).
Le 27/04/2017 à 22h04
C’est pas l’appli qui est foireuse, c’est la préfecture de police qui n’a pas déclenché l’alerte par l’appli. L’appli ne peut pas deviner toute seule, il faut que quelqu’un lui dise. Là, personne ne lui a rien dit.
Le 28/04/2017 à 09h02
Bon, ca confirme bien que le SAIP ne sert à rien si le gouvernement ne l’utilise pas, je viens de le désinstaller.
Et pour l’avocat, enfin plutôt le dirigeant de Deveryware, je ne suis pas certain que votre stratégie soit la plus adaptée pour promouvoir la solution SAIP.
Le 28/04/2017 à 17h16
Pour ceux qui n’ont ni SAIP parce que sur WindowsPhone ni Twiter par choix, sont donc “sacrifiables”, alors que le SMS est universel sur un téléphone portable.
Le 29/04/2017 à 14h45
Ils n’ont pas honte ? Vu les ratés à répétition de leur application développée avec NOS deniers ils feraient mieux de faire profil bas !
Je ne crois pas une seule seconde que NI puisse être condamné. Triste société où le tout judiciaire prend le pas sur le dialogue. Il n’aurait pas été plus simple pour eux de vous accorder une interview au lieu de passer pour des branquignoles ?
Le 24/04/2017 à 17h23
Le 24/04/2017 à 17h26
Le 24/04/2017 à 17h27
Le 24/04/2017 à 17h31
Cherche pas il vont le tour du Web car il doivent essayer de vendre leur application a d’autre pays, donc donc eux il considere que c’est une mauvaise pub pour vendre leur bouzin ( qui n’est d’ailleur pas installer sur aucun de mes telephone)
Le 24/04/2017 à 17h31
Comment faire un bad buzz s01e01
Le 24/04/2017 à 17h35
Le 24/04/2017 à 17h37
C’est pas le candidat à la présidentielle le plus jeune qui s’y connaissait le mieux en numérique hein, loin de là (c’est même consternant). C’est simplement qu’on n’écoute pas les gens compétents.
Le 24/04/2017 à 17h37
En tous cas, j’ai gentiment partagé cet article partout.
Le 24/04/2017 à 17h39
Et Marc Rees quoi… Le journaliste Tech le moins virulent de la tweetosphere quoi… " />
Le 24/04/2017 à 17h39
C’est le principe de Peter :https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Principe_de_Peter
Toute personne évolue dans sa carrière professionnelle jusqu’à être à un poste quelle est incapable de satisfaire :)
Le 24/04/2017 à 17h40
Le 24/04/2017 à 17h42
Le 24/04/2017 à 17h44
Bon c’est le moment de partager ce tweet un peu partout…
Le 24/04/2017 à 17h44
SAIP étant financé sur fonds publics, je ne vois pas le préjudice qu’ils subissent.
Au fait, qu’est ce qui a amené l’Etat à commander une application qui, au final, ne se trouve pas utilisée ? De mauvais conseils, de mauvaises relations … ? " />
Le 24/04/2017 à 17h53
Ils n’ont pas que l État français comme client (presents et futurs). Enfin j’imagine
Leur application n’a pas été utilisée c’est un fait pas un denigrement
Le 24/04/2017 à 18h01
Je pige pas, un avocat est pas sensé être bien informé ?
On dirait que le gars envois une lettre au hasard en espérant que ca passe.
Le 25/04/2017 à 07h19
Le 25/04/2017 à 07h21
Le 25/04/2017 à 07h21
En fait, cet avocat ne fait que son métier :
DeveryWare “Bonjour Maitre, j’ai un probleme avec un vilain monsieur !”
Avocat la classe “Bonjour, asseyez-vous, 500€ svp !”
DW “Le journaliste il a dit des vilains mots sur nous " />”
Av “Vous inquiétez pas, je m’en occupe, un pti courrier pour commencer, ca va les calmer, 1500€ svp !”
Le 25/04/2017 à 07h23
.
L’expéditeur a demande une confirmation de lecture !
Oui - Non - Ignorer
M.R. : Maaaaarde, j’aurai du faire ignorer, l’habitude, pas fait gaffe " />
" />
Le 25/04/2017 à 07h35
Le 25/04/2017 à 07h41
Le 25/04/2017 à 07h47
Oui, mais sur le plan juridique, pas sur que ce mail soit reconnu comme une mise en demeure officielle….
Le 25/04/2017 à 07h58
Le 25/04/2017 à 07h58
Les autres pays ne nous ont pas attendu pour avoir des patents trolls et autres entreprises aux services juridiques très désireux de prouver qu’ils sont utiles.
Le 25/04/2017 à 08h01
Le 25/04/2017 à 08h08
Si la rédaction de cet article. SI Marc n’a avait pas reçu le courriel, il n’aurait pas écrit l’article.
CQFD
Le 25/04/2017 à 08h10
Ce qui s’avère logique.
Le 25/04/2017 à 08h13
Le 25/04/2017 à 08h19
Juste une question, pourquoi il parle de “cliente” (donc au féminin) ? J’ai regardé leur entreprise, et je ne vois pas de femme dans les dirigent. Est-ce que la cliente est par exemple la responsable du service juridique de l’entreprise ?
Le 25/04/2017 à 08h19
Le 25/04/2017 à 08h20
Disons que Marc met en lumière plusieurs choses :
Perso, je n’ai pas hésité à taper sur la société en question sur Twitter. Le MI ne fait pas que des choix pertinents, loin s’en faut, mais la ils ont eu raison de ne pas activer une app redondante quand tout était sous cotnrôle et la principale (et seule) menace neutralisée. Les avocats conseil de Deveryware sont des idiots.
Le 24/04/2017 à 16h30
“Vous voudrez bien considérer le présent message comme une mise en demeure avec les effets y attachés par la loi”-> Non, affaire suivante
Le 24/04/2017 à 16h31
Tiens, on fait des mises en demeure par mail maintenant???
Le 24/04/2017 à 16h31
J’ai oublié de mettre le smileys " /> , désolé.
Me demande la tête que l’équipe de nxi à fait en lisant le mail." />
Le 24/04/2017 à 16h32
Non mais faut bien comprendre que le cabinet est payé à l’heure et l’acte, donc un petit excès dans l’absurde n’est pas anormal. " />
C’est çà, ou bien on va devoir faire comme dans les pubs et ajouter des “*” partout pour éviter une potentielle attaque dès qu’on écrit un truc pour être sûr que personne l’interprète de travers. " />
Le 24/04/2017 à 16h33
leur avocat n’aura se payer un abonnement premium NI pour lire cet article. Bien joué la rédaction :)
Le 24/04/2017 à 16h33
3, 2, 1 …
A vos tweet " />
Le 24/04/2017 à 16h36
Faut les comprendre les mecs, ils ont bricolé une application qu’ils ont vendus à un gouvernement et celui-ci ne l’utilise pas… Ça doit leur foutre les boules. Et y a des gens sur Twitter qui le font remarquer et eux, du coup, ben ça leur fou encore plus les boules. Parmi les twittos il se trouve qu’il y a un organe de presse indépendant dans le lot. De rage et les larmes aux yeux, ils passent leur nerf sur ces manants qui osent leur rappeler le fait qu’il y a déjà des solutions équivalentes qui existent, qui font aussi bien le taf et qui sont déjà largement utilisées dans les chaumières…
Le 24/04/2017 à 16h39
Montrer les gros muscles c’est facile.
Démontrer en justice un préjudice commercial, sur une situation comme celle-là… ah ah ah. Bonne chance.
Le 24/04/2017 à 16h41
Ouch, vu que ça n’a aucune chance de donner quelque chose… C’est uniquement pour mettre un coup de pression, histoire de vous mettre le doute vis-à-vis de vos prochaines publications?
Bref, une méthode pas jolie-jolie.
En même temps ça serait marrant que ça pousse un responsable du ministère à dire publiquement qu’ils ne l’utilisent pas trop cette app, pour diverses raisons " />
(ou qu’ils ont perdu le mot de passe pour lancer une alerte)
(ou que Twitter c’est quand même plus classe qu’une app dédiée)
Le 24/04/2017 à 16h41
Le 24/04/2017 à 16h41
Connaissais pas cette application mais après une rapide (très rapide même) recherche sur google en cherchant : “deveryware SAIP”
Le troisième lien est un article de Libération relatant les évènements de Nice et la “paresse” de cette application. Il serait intéressant de savoir si ils ont reçu eux aussi une mise en demeure " />
http://www.liberation.fr/futurs/2016/07/15/saip-l-appli-d-alerte-aux-attentats-q…
Le 24/04/2017 à 16h42
.http://arco-legal.fr/index.html
Pas mal l’avocate de gauche avec son chemisier transparent qui montre ses dessous affriolants
Je voudrais bien qu’elle vienne plaider ma cause " />
Le 24/04/2017 à 16h42
sans compter sur le fait que pour que leur appli “fonctionne”, il faut qu’elle soit installée sur les téléphone… et perso, je m’en balek de leur machin
il me semble que c’est largement faisable d’envoyer des messages d’alerte nativement sur Android/iOS/WP(?) et au moins ca serait reçu par (presque) tout le monde…
je suis curieux de savoir la suite
sors le popcorn, qui n’en veux ? XD
Le 24/04/2017 à 16h43
Ils touchent de l’argent publique GRACE au terrorisme et menacent de poursuites les citoyens qui questionnent leurs performances… mentalité de mafia proche du pouvoir, on peut avoir une copie de l’appel d’offre? Les liens entre les propriétaires de cette entreprise et l’exécutif? " />
Le 24/04/2017 à 16h45
400 000 roros pour ça…
Le 24/04/2017 à 16h45
Si on tweet un message indiquant de ne pas utiliser cette application car leurs créateurs font des mises en demeures abusives, pensez-vous qu’on risque quelque chose ?
Le 25/04/2017 à 06h13
Le tweet accuse juste un disfonctionnement de l’apps elle peut être technique ou politique, le résultat est que l’apps qui est censé dire si la zone n’est pas sûre, elle ne le fait pas.
C’est apres a l’entreprise ou a l’état de le justifié.
Apres l’intérêt de cette app peut être remis en cause ce qu’a fait nxi.
Le 25/04/2017 à 06h32
Soutien à Next Inpact.
Cet avocat ne fait que contester la liberté d’informer d’une société de presse, et comme dit plus haut cette mise en demeure ne semble pas respecter les codes du droit tant la description de l’objet du litige est imprécise.
Qu’il apprenne son métier avant de vous apprendre le votre !
Le 25/04/2017 à 06h34
Une mise en demeure ne devrais pas être donnée en lettre RAR ?
Est-ce qu’une mise en demeure via email à une validité judiciaire réelle ?
Le 25/04/2017 à 06h40
Il accuse le mec qui poste le tweet et non la société c’est qu’apres qu’il regarde le profil du mec et voit que c’est un journaliste qui a pondu plusieurs articles (3 sur 10 qui concerne des articles sur la géolocalisation et la prevention) en rapport avec l’app du coup le mec a décidé de mettre ça en plus pour faire peur.
Le 25/04/2017 à 06h46
Hier on était pas vendredi. Ou alors je n’ai pas vue ma semaine passé. :/
PS: j’espère que cette histoire n’ira pas plus loin
Le 25/04/2017 à 06h46
Envoyer une mise en demeure par mail … ils sont sérieux ??
Sauf erreur de ma part, rien ne prouve qu’un mail est arrivé a destination … " />
Le 25/04/2017 à 06h52
Moi j’ai fait un peu pareil en allant voir ton profil…
Next INpactSans commentaire…
Le 25/04/2017 à 06h58
Perso, je ne pensais pas que leur “fleuron” était buggé ou autre, juste qu’il n’était pas utilisé par les pouvoirs publics. Que c’était au final un objet de communication de la part de ceux (gouvernement, ministère ?) qui ont demandé la mise en place d’un tel outil.
Mais M Deveryware, aurais-je des raisons de penser que vous éditez des solutions ayant “un problème de fonctionnement technique” ? Vous un avez un passif sur ce sujet ? J’ai des doutes désormais.
Le 25/04/2017 à 06h59
Puisque je suis quelqu’un de sérieux, et d’un peu curieux, je suis allé voir, et effectivement, sauf que sur sa page FB, tu tombes immédiatement sur des rillettes qui puent, et du mauvais vin.
Et finalement, je suis meme pas étonné.
Le 25/04/2017 à 07h04
Le 25/04/2017 à 07h05
Je ne dis pas ça, je parle de son attitude qui fait que de toute je n’aurais pas bossé pour lui. Décrocher le téléphone en entretien sans même un mot d’excuse, c’est un manque de savoir vivre tant du côté candidat que recruteur.
Le 25/04/2017 à 07h07
C’est une tentative ridicule de censure. C’est comme si on menaçait un piéton de twitter qu’une voiture est en excès de vitesse, sous prétexte que ça porte atteinte à la marque de la voiture. " />
Le 25/04/2017 à 07h08
Le 25/04/2017 à 07h11
Le 25/04/2017 à 07h11
Donc des promotions menant des mecs a un niveau où ils font preuve de leur incompétence…
La promotion est pas toujours à la verticale " />
Le 25/04/2017 à 07h18
Le 24/04/2017 à 16h47
J’ai déjà sorti mon paquet (de popcorn). " />
Le 24/04/2017 à 16h47
Liberté … d’expression, de la presse … ça lui parle à l’autre ab* ?
Le 24/04/2017 à 16h51
Le 24/04/2017 à 16h51
“votre compte tweeter”
Le 24/04/2017 à 16h52
Le 24/04/2017 à 16h53
Ça donnerait presque envie de s’inscrire sur Twitter pour suivre Marc ! :popcorn:
Le 24/04/2017 à 16h55
Le 24/04/2017 à 16h55
Un pseudo et un mail poubelle et le tour est bon.
Le 24/04/2017 à 17h02
Ce genre de mail j’en ai reçu par wagons à une époque. Brrrrr, j’en tremble encore.
De rire." />
Le 24/04/2017 à 17h04
Le 24/04/2017 à 17h05
Le 24/04/2017 à 17h07
Effet Streisand droit devant !!! " />
(à dire sur le ton d’un capitaine voyant trop tard un iceberg " />)
Le 24/04/2017 à 17h09
@Marc ça serait possible pour vous de contre attaquer en dénonçant les allégations erroné de leur mise en demeure ou attaque en justice pour le choc morale que vous subissez ?
Le 24/04/2017 à 17h10
Ca ressemble aux lettres des cabinets de recouvrement de Free, Orange et toute la tripotée.
D’une, une lettre simple n’est jamais arrivée.
De deux, ils n’ont pas le droit de faire de telles menaces.
De trois, ils se mettent des marge de ouf, même si on doit des pénalités c’est au FAI, pas à eux.
De quatre, c’est souvent des courriers à tort (pas de prise en compte de la demande de résiliation LRAR,…)
Un jour j’en ai eu marre et j’ai répondu à ce cabinet qu’à la prochaine lettre je considèrerai qu’il me harcelait. Je n’ai jamais reçu de nouvelle lettre (dommage je m’en faisais une joie " />)…
Le 24/04/2017 à 17h16
T’inquiète, je leur ai offert l’article .
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Le 24/04/2017 à 17h22
nan mais y’a David qui soutine
Le 24/04/2017 à 16h10
Sans déconner." />" />" />
Le terrorisme serait commercial pour eux." />" />
Le 24/04/2017 à 16h13
Incroyable - tu parles d’un “conseil”, qu’il aille devant le juge qu’on rigole!
Le 24/04/2017 à 16h13
sérieux…
Le 24/04/2017 à 16h13
Dénigrement ? Contre un organe de presse ? Blague ?
Le 24/04/2017 à 16h16
ils ont pas peur de l’effet boule de neige de leur mise en demeure eux ?
ils connaissent pas internet apparemment " />
Le 24/04/2017 à 16h17
Le 24/04/2017 à 16h19
performances techniques de son fleuron technologique : Ariane 5 peut-être qualifié de fleuron technologique, leur applis ne vaut pas cette définition.
Le 24/04/2017 à 16h21
Nous marchons vraiment sur la tête en France… Ce pays va finir par devenir la risée du monde, s’il ne l’est pas déjà #FrenchBashing
Le 24/04/2017 à 16h22
Faudra vraiment leur expliquer l’effet Streinsand aussi. Pour ma part je n’ai jamais pensé que l’appli déconnait jusque là, maintenant je me demande… " />
Le 24/04/2017 à 16h23
Vous voudrez bien considérer le présent message comme une mise en demeure avec les effets y attachés par la loi
Je croyais qu’une mise en demeure devait demander une action très précise, et n’était pas juste une simple menace de poursuites." />
Le 24/04/2017 à 16h28
Wikipedia
Le 24/04/2017 à 16h28
Lol. désolé, rien d’autres à dire pour ce troll.
Le 24/04/2017 à 19h32
Le 24/04/2017 à 19h43
En fait et à la réflexion, Marc, je pense qu’ils avaient tous complètement oublié SAIP comme, j’imagine, tout le monde sauf certain journaliste de Next-Inpact.
Le 24/04/2017 à 19h45
Si ils veulent poursuivre tous ceux qui ont “critiqué”, d’une manière ou d’une autre, SAIP, ben y’a du boulot…
Le 24/04/2017 à 19h49
Mais qui protège cette société contre le préjudice créé par la stupidité de son conseil ?
Le 24/04/2017 à 19h58
Moi qui voulait justement installer… non j’déconne, déjà une appli “de l’état” faut être à moitié barge pour l’installer, pire qu’une appli bancaire, ensuite il existe dans les protocoles des FAI des moyens d’envoyer des SMS à tous les gens qui bornent sur une antenne de mémoire, sans compter ces menaces par mail !! même pas par un courrier officiel, puis c’est de menaces carrément… Bravo au cabinet en question, c’est un Effet Streisand assuré et contre-productif non pas par les propos de @Marc mais par cette réaction exagérée.
GG
Le 24/04/2017 à 19h59
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Le 24/04/2017 à 20h31
Le 24/04/2017 à 20h37
Ce qui est génial avec ces gens à l’égo visiblement incontrôlable, c’est qu’ils se tirent une balle dans le pied.
Sur l’aspect légitime de la mise en demeure, je ne suis pas juriste, ça me parait étonnant mais bon, on ne sait jamais.
Par contre sur le plan image de marque, si ils s’étaient contenté de répondre «tout marche bien c’est juste que le ministre n’a pas utilisé notre appli» et c’était fini.
Au lieu de ça, d’une j’avais oublié l’existence de cette appli, maintenant, ça me révolte d’avoir payé ça avec mes impôts
Et de deux: je ne connaissais pas la société Deveryware, maintenant, pour le peu que je la connaisse, j’en ai une image particulièrement exécrable.
Du coup, le préjudice, c’est eux-même qui se l’inflige " /> " />
Le 24/04/2017 à 20h38
Alors l’article est en accès libre, plus question d’abonnés là, donc stop de dire que vous partagez votre article en mode défiance.
C’est pitoyable sur la forme, et je ne juge pas du fond, n’ayant pas assez d’éléments pour me prononcer. Sérieusement votre coté corporatiste “NXI” c’est vraiment moyen.
Le 24/04/2017 à 20h49
Le 24/04/2017 à 21h06
Le 24/04/2017 à 21h09
Mise en demeure = LRAR déjà…
Avec une forme précise….
Le 24/04/2017 à 21h17
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Le 24/04/2017 à 21h27
Le 24/04/2017 à 21h42
Elles sont mauvaises les news aujourd’hui, il y en a encore d’autres comme ça ? Il les lâches avant la fin de son mandat ?
Le 24/04/2017 à 21h49
Cela n’a rien de pitoyable, NXI fait acte de transparence sur cet évènement. Ce n’est pas la première fois que ce type de communication “officieuse” est rendue publique car elle vise à étouffer la presse.
Après il est sûr que la communauté va réagir et qu’il y aura des crétins qui vont faire du bashing. Que ça soit envers le cabinet d’avocat ou encore la société à l’origine de la plainte.
Le 25/04/2017 à 10h22
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Le 25/04/2017 à 10h26
En voyant votre tweet, j’ai compris que vous pointiez du doigt l’incapacité (la plupart du temps avérée
…) des services publics à réagir en utilisant des moyens de communication modernes, mais aucunement un dysfonctionnement technique de l’application.
Du point de vue du droit, je ne crois pas que l’email émanant de cette société puisse être considéré comme une mise en demeure, ceci restant le rôle d’une lettre recommandée avec AR. Ce qui me laisse penser que cet email n’est qu’une tentative d’intidimation scandaleuse !
Le 25/04/2017 à 10h30
Va sur tweeter, regarde bien la description du compte et reviens nous en parler.
Trop de certitudes nuit à la qualité du raisonnement.
Le 25/04/2017 à 11h22
Ok, t’as raison, merci !
On passe a autre chose, ca saoule de débattre sur ta grincherie…
Le 25/04/2017 à 11h41
En voyant les nombreux status “abonné” et justement le fait que dans les commentaires ca parlait d’avoir limité aux abonnements + offrir l’article au cabinet conseil, tu aurais au moins pu émettre l’hypothèse que l’article était verrouillé plutôt que directement partir en délire sectaire.
Parce que dans les faits, tu nous as quand même sauté dessus sans raison au final ;)
Bon après ce n’est pas un tribunal ici " />
Le 25/04/2017 à 11h59
Le 25/04/2017 à 12h02
Le 25/04/2017 à 12h07
Ils ont bien prévenu que ça peut sauter a tout moment selon les volontés de la rédaction " />
Le 25/04/2017 à 12h08
Elle fait dans la rillette " />
Le 25/04/2017 à 12h13
Justement, la question est bien : quelle est la volonté de la rédaction qui a poussé ce changement très rapide ?
Édit : sur un sujet NXI-centrique, c’est intéressant d’avoir la réponse.
Le 25/04/2017 à 12h16
Qu’une “attaque” contre NxI a plus de raison d’être accessible a tout son lectorat plutôt qu’aux abonnés uniquement.
Pi c’est pas un article de fond non plus, donc…
Le 25/04/2017 à 12h25
”…Sinon ? Il saisira la justice. Un vrai message d’alerte.”
Le vrai sens de l’ironie, j’adore.
Le 25/04/2017 à 12h42
Ce qui est intéressant, c’est le changement : réservé aux abonnés -> accessible à tous, pas le fait que l’article est maintenant accessible.
Donc pourquoi un changement aussi rapide ?
Le 25/04/2017 à 12h54
Ptete parce qu’il aurait pas du l’être.
Tu te prends bien la tête je trouve " />
Le 25/04/2017 à 12h59
Le fait que l’article soit en libre, c’est fait exprès pour que le cabinet d’avocat tombe dessus et puisse lire les trolls " />
Le 25/04/2017 à 14h04
Quelle tristesse !!
Si sur deux attentats cette application n’a donné aucune alerte en temps, au lieu d’aller essayer de museler les personnes qui s’interrogent sur ce FAIT , ils devraient plutôt chercher à en identifier les raisons.
Mais c’est très Français çà. Plutôt que de chercher à s’ameliorer on cherche a intimider celui qui identifie un problème.
Honte à cette société .
Qu’en à la forme , sérieux …
On dirait une lettre d’une société de recouvrement … uniquement basé sur la peur, ou sont les faits ?, quelle image de la justice veulent-ils donner au juste ?
En plus de montrer leur incompétence à traiter un faux sujet (car en aucun cas il y a eu dénigrement), ils se rendent ridicules…
Le 25/04/2017 à 08h24
N’hésitez pas à installer cette application, à la tester et ensuite à l’évaluer sur le playstore ;)
Le 25/04/2017 à 08h24
Merci, tout est dit " />
Le 25/04/2017 à 08h27
C’est consternant.
Le message incriminé est un constat adressé à la préfecture de police, et non à l’éditeur de l’application, où il lui est reproché ne pas avoir utilisé l’application SAIP qui est plus appropriée pour ce type de signalement de situation de crise que Twitter (même si Twitter peut être un complément intéressant).
C’est comme ça que j’ai compris (et non interprété) le tweet à la première lecture.
Le fait que la préfecture de police n’ait pas posté un message sur cette plateforme ne remet pas en cause le bon fonctionnement de cette dernière. Et le fait que la presse en informe ses lecteurs n’est pas condamnable, on reste dans le cadre de l’information.
Donc au final, le seul préjudice porté à Deveryware est la non-utilisation de son application SAIP par la préfecture de police.
Si acharnement il doit y avoir, l’effet Streisand y mettra fin rapidement avec un préjudice probablement plus conséquent que celui prétendu initialement.
Le 25/04/2017 à 08h44
il s’agit de l’entreprise cliente.
c’est la personne morale ici représentée par le cabinet d’avocats.
Le 25/04/2017 à 08h45
Le 25/04/2017 à 08h50
Un préjudice d’image ? Certes
Un préjudice commercial ? Assurément.
Une responsabilité de NXI ? Que nenni. NXI a énoncé un fait (tweet de la PP et pas de notif de l’appli)
Et, plutôt que d’effacer les messages litigieux (toujours non identifiés), il nous demande désormais de ne plus diffuser de message public qui mettrait en cause la fiabilité technique de l’application d’alerte. Sinon ? Il saisira la justice. Un vrai message d’alerte.
“Attention, si ca continue comme ca… Attention… Hein ! Vous êtes prévenus…” " />
Le 25/04/2017 à 08h50
ben étant donné que cette appli est un pur scandale, jsuis plutôt content pour ma part que Marc aille systématiquement les chatouiller à chaque fois qu’ils ne l’utilisent pas, ou mal. ^^
Le 25/04/2017 à 08h50
“chef, on se fais défoncer par le client, il faut faire quelque chose.”
“appelle les avocats!”
Le 25/04/2017 à 09h17
Je dirais bien qu’il s’agissait d’augmenter le nombre de commentaires (de soutien) sous l’article et que pour cela, il fallait l’aide des non abonnés., mais je serais peut-être mauvaise langue. " />
Le 25/04/2017 à 09h18
Le 25/04/2017 à 09h27
Le 25/04/2017 à 09h32
Le 25/04/2017 à 09h37
Le 25/04/2017 à 09h41
Le 25/04/2017 à 09h44
Le 25/04/2017 à 10h02
tu vois bien qu’elle est pas de gauche. " />
Le 24/04/2017 à 21h56
Du Marc Rees pur jus… destiné à ces afficionados et dont le ton de l’article ne laisse aucun doute sur les vraies raisons du tweet initial…
Pour s’en rendre compte, il suffit d’une petite recherche Google pour avoir l’honneur de lire les (nombreux) articles du même auteur sur cette appli.
Mais bon c’est toujours ça de pris: un article en libre accès au titre provocateur destiné à attirer le chaland, le tout en se faisant passer pour le persécuté: bien joué " />
Le 24/04/2017 à 21h59
Recul ? NOS impôts ont financé une application inutile, ségréguant d’office une partie de la population quand le broadcast SMS aurait couvert tout le monde quasiment partout sans connexion data, et qui par-dessus le marché repose sur une infra en carton et réussit l’exploit de ne fonctionner que lorsqu’il ne faut pas. Et ça, ce n’est pas NXI qui le dit.
Personnellement, difficile de prendre du recul quand je paye pour un truc pareil !
Le 24/04/2017 à 22h00
Ah mais c’est justement tout l’intérêt de la news mon carbier. Là NXI se fait attaquer pour des tweet, et non pas les articles présents sur le site (dont celui-ci je présume :p ).
Le 24/04/2017 à 22h00
Le 24/04/2017 à 22h01
Le 24/04/2017 à 22h04
Le 24/04/2017 à 22h09
Lu de travers, il est tard… Mais je ne voyais pas trop où tu voulais en venir.
Le 24/04/2017 à 22h20
Je ne crois que ce soit Marc qui ait coupé le Start/Stop de l’application par twitter " />
Le 24/04/2017 à 22h22
Ce que tu racontes m’est arrivé pour notre logiciel de paie. Je suis assistant RH et j’ai eu le malheur de dire mon mécontentement sur Twitter par rapport à ce nouveau logiciel. Ca a fait tout le tour par le grand patron et c’est redescendu chez bibi. Argument: ils veulent s’implanter dans notre secteur d’activité et ca leur fait de la mauvaise pub… Les pauvres chéris…
Le 24/04/2017 à 22h27
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Le 24/04/2017 à 22h45
Deux commentaires :
Le 25/04/2017 à 03h24
qui dit mise en examen implique que l’on ne peut plus commenter l’affaire en cours.
c’est très courant au Québec, on appelle ça une “poursuite bâillon”
si un journal dit des choses qui ne les arrange pas, des politiciens ou des entreprises vont les poursuivre en justice. Comme il est illégal de divulguer des informations publiquement sur une affaire en cours, cela provoque l’arrêt des communications du journal à ce sujet.
La plupart du temps c’est du bluff…
au pire c’est des années de procédures contre des gens qui ont des moyens financiers importants, donc beaucoup d’avocats. Ils peuvent facilement amener un individu à la dépression ou une TPE à la faillite.
https://fr.wiktionary.org/wiki/poursuite-b%C3%A2illon
Le 25/04/2017 à 05h14
C’est ce genre de news qui me donne envie de payer pour un média indépendant !
Il faut dénoncer systématiquement ce genre de pratique !
Le 25/04/2017 à 05h29
Le lendemain j’avais entendu à la radio l’un des représentants ministère de l’intérieur (il me semble) dire qu’ils n’avaient pas jugé nécessaire de déclencher l’alerte. Le périmètre avait été bouclé à temps et les messages qui ont été diffusés par les rézosociaux étaient suffisants selon eux.
Le 25/04/2017 à 05h48
Le 25/04/2017 à 05h49
Le ridicule ne tue plus depuis longtemps, alors autant y aller à fond, sur un malentendu judiciaire… " />