Le chômage chez les informaticiens approche les 10 % toutes catégories
Et près de 8 % en catégorie A
Le 27 juin 2013 à 06h15
4 min
Économie
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Selon le MUNCI, l'association professionnelle des informaticiens de France, le taux de chômage du secteur informatique est de 9,8 % si l'on cumule les catégories A, B et C. Cela représente précisément 57 000 demandeurs d'emploi d'après l'association.
Le « mythe » de la « pénurie de la main-d'œuvre »
Suivant de près depuis de nombreuses années l'état du marché de l'emploi dans l'informatique, le MUNCI vient d'annoncer que le secteur comptait 9,8 % de chômeurs en catégorie A, B et C, dont 7,8 % uniquement en catégorie A, c'est-à-dire ceux n'ayant strictement aucun travail, même partiel. Pour l'association, ce taux de chômage prouve que la « pénurie d’informaticiens » est un « mythe ODIEUX », en majuscule dans le texte.
Sur près de 582 000 informaticiens (au sens large) que comptent la France, 57 000 sont donc en recherche d'emploi, dont 46 000 n'ayant strictement aucun emploi. De quoi remettre en perspective l'idée que le secteur souffre d'une pénurie de main-d'œuvre comme certains ministres l'affirment. « Un mythe que nous dénonçons déjà depuis plusieurs années et qui porte un réel préjudice moral aux chômeurs de nos professions dont le nombre était en réalité notoirement sous-évalué à ce jour… » résume le MUNCI.
Certes, l'association concède que pour certaines professions bien précises, il y a des difficultés de recrutement. Néanmoins, ces difficultés sont liées à la complexité du secteur qui compte « plus d’une centaine de métiers différents et plus d'un millier de qualifications différentes », ceci sans compter que les missions sont monnaie courante dans ce marché. Dès lors, « il existe nécessairement une relative inadéquation de compétences entre l’offre et la demande qui s’observe plus particulièrement sur certains métiers émergents ».
Les plus de 50 ans au chômage forcé
Le MUNCI dénonce aussi une volonté très forte du secteur à recruter les plus jeunes. Si bien entendu, cette situation profite à ces derniers, cela tire aussi les salaires vers le bas et surtout cela pousse vers le chômage un très grand nombre de personnes âgées de plus de 50 ans, et même de plus de 40 ans. C'est notamment le cas dans les sociétés de services en ingénierie informatique (SSII) et les sociétés d’ingénierie et de conseil en technologie (SICT).
Et d'après l’association pour l'emploi des cadres (Apec), plus de deux recrutements d'informaticiens sur trois demandent moins de 6 ans d'expérience, ce qui exclut donc tous ceux disposant de plus d'expérience. « Conséquence : notre secteur est celui dont le taux de +50ans est le plus faible de toute l'économie (seulement 16%) en raison de la très forte discrimination sur le critère d’âge » s'alarme le MUNCI. Ce dernier cite d'ailleurs un très bon exemple récent : IBM est en train de licencier en France, dont des personnes expérimentées, tout en recrutant des jeunes à Lille.
« Nos employeurs craignent par-dessus tout le plein emploi »
Pour l'association, la situation actuelle en France est que depuis bien longtemps, « nos employeurs craignent par-dessus tout le plein emploi et ses difficultés de recrutement », pour la simple et bonne raison que cela nuirait à la flexibilité, à l'augmentation des salaires et que cela forcerait à faire plus de dépenses en matière de formation. « De surcroît, exagérer les difficultés de recrutement a toujours été un moyen de renchérir le coût des prestations auprès des clients mais aussi de mieux légitimer le recours à l’offshoring (délocalisations de services informatiques, centres d’appel & BPO) et à l’immigration économique depuis les pays à bas coûts… souvent synonymes de dumping social, réduction des coûts oblige ! »
Enfin, le MUNCI ne cache pas sa « colère » d'entendre Mme Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, affirmer « qu’il manque 7000 informaticiens en France ». L'association a de plus très peu apprécié l'annonce de l’école 42 de Xavier Niel, pour qui il s'agit en fait d'une simple « usine à développeurs », causant du tort à la profession, estime l'association professionnelle des informaticiens.
Le chômage chez les informaticiens approche les 10 % toutes catégories
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Le « mythe » de la « pénurie de la main-d'œuvre »
Commentaires (264)
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Abonnez-vousLe 27/06/2013 à 07h08
Le 27/06/2013 à 07h08
Et ce n’est pas limité à la France: ici à Genève une SSII de la place publie régulièrement soit environ 3 fois par an des interviews de leur big boss dans la Tribune de Genève, clamant haut et fort le manque d’informaticiens. Par contre impossible pour l’OCE (chômage) de démentir malgré quelques milliers d’informaticiens en “stock”.
Il m’est arrivé d’avoir une interview avec cette société. Ils m’ont ri au nez devant mon salaire en m’affirmant qu’ils n’avaient jamais payé d’ingénieurs plus que le salaire fourchette basse d’un débutant. C’est malheureusement probable, cette société étant réputée faire venir régulièrement des personnes d’Europe de l’Est (les voisins français étant aussi trop chers), qui une fois arrivées se rendent bien vite compte qu’il est impossible de survivre localement avec ces salaires.
Le 27/06/2013 à 07h09
Le 27/06/2013 à 07h10
Le 27/06/2013 à 07h11
Taux de chômage (tout secteur confondu) en septembre 2012 : 10,8% (source Eurostat)
Or depuis, le chômage à encore augmenter.
Donc, finalement, statistiquement, les informaticiens sont en dessous de la moyenne. Il faut selon moi, relativiser les dire de cette article. Je ne dis pas que tout est faux dans le rapport, mais c’est comme tout, c’est toujours un avis intéressé et subjectif qu’il faut confronter avec d’autre chose.
De plus, je remarque que les chiffres donnés ici ne parlent pas du niveau d’étude. Or il serait intéressant de voir la différence entre un niveau technicien et un niveau ingénieur, lequel est le plus touché.
Le 27/06/2013 à 07h12
Le 27/06/2013 à 07h12
Le 27/06/2013 à 07h15
une réponse toute simple : Wikipedia
Le 27/06/2013 à 07h15
Faut pas vous plaindre les gas. Moi je vais finir ma thèse en biologie et il se trouve que 1) le CNRS n’embauche plus ; 2) les fac non plus et 3) même les boîtes privées sont en train de licencier (au départ le personnel administratif mais depuis peu on liquide aussi les chercheurs :s)
Bref, c’est pas la joie … " />
Le 27/06/2013 à 07h16
Le 27/06/2013 à 07h17
Le 27/06/2013 à 07h17
J’ai 24 mais c’est con de faire sortir les “vieux” de 50 ans du marché. ils ont des compétence souvent trop peu développée chez les jeunes comme en analyse. Si c’est partout pareil ça explique que autant de soft souffrent de défaut qu’une bonne analyse aurait pu éviter.
Pour le reste, que la pénurie s’explique par le fait que les entreprise sont trop réticente à former alors que le nombre de qualification est bien trop importante pour que des école puisse former ce dont elles ont besoin me semblait évident.
Le 27/06/2013 à 07h17
Le 27/06/2013 à 07h18
Je rejoins parfaitement cet état de fait. Je suis sys-admin depuis plus de 10 ans maintenant et j’ai une trouille bleu de perdre mon boulot.
Je recherche du boulot en parallèle histoire de m’assurer une porte de sortie et sincèrement, les annonces sont dramatiquement minables. Les recruteurs ne savent pour la plupart pas ce qu’ils veulent à part des moutons à cinq pattes. Les salaires sont honteux et les possibilités d’évolution inexistantes.
Et je ne parle de pas de la mauvaise foi ambiante qui touche ce secteur qui me dégoutte à un point tel que j’ai parfois envie de tout plaquer.
Je suis heureux de voir qu’enfin une association mette à jour toute cette merde.
Le 27/06/2013 à 07h20
Même pour moi qui ne suis pas dev, mais simple technicien réseaux/système, trouver du boulot c’est la galère. J’avais mis presque deux ans à trouver mon acienne place d’assembleur et encore deux ans pour trouver ma place actuelle (technicien en photocopieurs), et je sais déjà que je vais sûrement commencer à chercher ailleurs dans peu de temps, je m’attends encore à de longs mois de galère.
Et les offres d’emploi, laisse tomber : c’est soit à Paris, soit Bac+5, 7 ans d’XP et moins de 20 ans (alors que j’en ai 32). Rien ne marche jamais. Il faut juste du bouche à oreille et tomber au bon endroit au bon moment. Je rigole toujours quand je lis que la France manque d’informaticiens.
Le 27/06/2013 à 07h20
Le 27/06/2013 à 07h21
Le 27/06/2013 à 07h21
Faudair tpeut-être détailler un peu par cétégories… “Informaticiens”, ça va du programmeur sans diplôme aux ingénieurs spécialisés… Or il me semble que des programmeurs, on peut en trouver à tous les coins de rues…
Le 27/06/2013 à 07h21
Il y a pénurie dans certains secteurs de l’informatique, c’est vaste l’informatique, cette association semble l’oublier quand ça l’arrange.
Le 27/06/2013 à 07h21
Le 27/06/2013 à 07h22
Le 27/06/2013 à 07h27
Le 27/06/2013 à 07h30
Le 27/06/2013 à 07h30
Le 27/06/2013 à 07h34
La France, c’est mort niveau emploi pour nous. Il faut aller dans les autres pays. C’est ce que j’ai fait que je ne m’en porte pas plus mal.
Le 27/06/2013 à 07h34
Le 27/06/2013 à 07h34
Le 27/06/2013 à 07h36
Ma propre expérience confirme l’article du MUNCI. Ingé système unix/linux (avec aussi une certif windows), fin de CDD en province. Je suis revenu sur Paris.
Je pensais trouver du travail en 3 jours comme à la bonne époque. Résultat 5 mois de recherches avant de trouver un poste qui me correspond. J’ai vu au moins une vingtaine de SSII : à chaque fois mon profil les intéressait mais elles manquaient de contrats niveau client. Ou alors des propositions pour des contrats avec une visibilité de 3 mois max. On trouvait aussi que j’avais un profil trop touche à tout. Bref, beaucoup de temps perdu, c’est finalement en traquant les annonces que j’ai trouvé mon bonheur.
Vu que le marché s’est resserré, les entreprises cherchent des profils très précis, clef en main si j’ose dire. Donc c’est plus dur de rentrer dans les cases. Certaines SSII ont d’ailleurs compris le truc et proposent de retravailler complétement votre CV pour coller exactement aux demandes du client : ajouter des compétences, modifier vos expériences, changer les intitulés de poste (on parle d’optimisation du CV pour éviter le mot mensonge).
Oui il y a du travail en info sur Paris. Mais la crise est arrivée comme partout ailleurs … Par contre, en province ça doit devenir très compliqué …
Le 27/06/2013 à 07h36
Le 27/06/2013 à 07h38
L’association a de plus très peu apprécié l’annonce de l’école 42 de Xavier Niel, pour qui il s’agit en fait d’une simple « usine à développeurs », causant du tort à la profession, estime l’association professionnelle des informaticiens.
Tiens, hier je parlais des codeurs à 2 euros formés par Niels, et des risques qu’une telle “école” engeandrait … et ça choquait certains de ce docte forum …
PC INpact
Le 27/06/2013 à 07h42
Le 27/06/2013 à 07h42
Le 27/06/2013 à 08h38
Le 27/06/2013 à 08h41
Le 27/06/2013 à 08h41
Le 27/06/2013 à 08h41
Le 27/06/2013 à 08h44
Le 27/06/2013 à 08h45
Le 27/06/2013 à 08h45
Le 27/06/2013 à 08h45
Le 27/06/2013 à 08h46
Le 27/06/2013 à 08h48
Le 27/06/2013 à 08h48
Le 27/06/2013 à 08h49
Le 27/06/2013 à 08h50
Le 27/06/2013 à 08h51
Le 27/06/2013 à 08h54
Le 27/06/2013 à 08h56
Le 27/06/2013 à 11h29
Le 27/06/2013 à 11h34
je l’aurai fait en récursif :)
long fact (int number)
{
}
Enfin j’aurai été plus mesquin en demandant de faire un code multi-thread
Le 27/06/2013 à 11h36
Le 27/06/2013 à 11h37
Le 27/06/2013 à 11h37
Le 27/06/2013 à 11h39
Le 27/06/2013 à 11h40
Le 27/06/2013 à 11h41
Le 27/06/2013 à 11h43
Pfff,
mdr…
Quand on parle de pénurie, on évoque plutôt (comme Niel) une pénurie de “vrai” informaticien.
De nos jours tout le monde se croit compétent en informatique.
C’est pour ça que Xavier Niel a fait une école qui “élève” de “vrai” informaticien…
Si t’es informaticien que tu te retrouves au chômage et que tu n’as pas de boulot dans l’année suivante => change de métier…
Le 27/06/2013 à 11h51
Le 27/06/2013 à 11h51
Le 27/06/2013 à 11h55
Le 27/06/2013 à 11h59
Pour la petite histoire, le meilleur entretien ‘technique’ que j’ai passé dans ma jeunesse:
On me met devant un ordi, on me dit d’ouvrir un fichier texte dans lequel il y a un calcul simple sous forme de fraction “1⁄3+(27⁄365+17)*2”. On me dit “tu dois le résoudre”.
5 secondes d’hésitation…
je demande “j’ai droit à quels outils ? google ? calculette ? ou rien du tout ? Vous voulez une valeur approchée ou exacte ?”.
On me répond: “excellente réponse, pas besoin d’aller plus loin, passons au test suivant”.
Je le refais désormais régulièrement en tant que recruteur.
Le 27/06/2013 à 12h05
34.48 selon google…. ils auraient au moins pu mettre une formule avec une reponse 42!
se foulent pas trop les recruteurs pour les geeks.
Le 27/06/2013 à 12h11
moi j’ai des questions plus spécifiques suivant les compétences recherchés
Je donne des tests que j’aurai aimé avoir….
Le 27/06/2013 à 12h13
Le 27/06/2013 à 08h14
Le 27/06/2013 à 08h14
Le 27/06/2013 à 08h16
Le 27/06/2013 à 08h16
Le 27/06/2013 à 08h18
3 points que j’ai pu constater en 10 ans de carrière:
1/ La France reste particulièrement touchée par une concentration des postes en île-de-france. Les salaires y sont à l’image du coût de la vie: Beaucoup plus élevé qu’ailleurs. Par contre, on peut y rebondir beaucoup plus facilement aussi en cas de changement forcé ou non de poste.
2/ On parle du secteur informatique dont les métiers sont particulièrement vastes: Quel rapport entre un consultant en gouvernance IT, un administrateur système, un développeur ou un chef de projet ? Assez logiquement, le taux de chômage et les salaires n’ont absolument rien en commun non plus. Il serait donc vital d’avoir un meilleur détail sur ce genre de stats.
3/ Les métiers les plus techniques sont un vrai problème en France. Le peu de reconnaissance professionnelle de l’expérience sur ce segment est alarmant. Les postes sont majoritairement pris par des jeunes peu onéreux et formés avec plus ou moins de sérieux (parfois à l’arrache). Je vois énormément de gens coincés au delà de certains niveaux de salaires car ils deviennent non rentable dans un marché largement dominé par les SSII, ou pire, perdant leur emploi.
Une petite remarque: Beaucoup de ces spécificités sont strictement Françaises. Il suffit de passer certaines frontières pour en effacer certaines. Mais évidemment, il faut être prêt aux conséquences de la mobilité pas toujours roses non plus
" />
Le 27/06/2013 à 08h19
question….
on entend quoi par “informaticien” dans cet article?
toute personne cherchant du boulot dans l’informatique ? (non parce que des gens qui veulent faire du help desk niveau 1 parce qu’ils savent installer windows, j’en vois beaucoup et je suis pas sur qu’ils devraient être dans cette statistique dans la mesure ou 0 experience et 0 diplomes)
ou uniquement les personnes vraiment du métier avec diplôme ou quelques années d’expérience)
Le 27/06/2013 à 08h20
J’en vois beaucoup qui parlent d’annonces ou la liste de competences est tres dure a avoir.
Si vous vous arretez la, c’est que vous n’avez rien compris.
Bien generalement, il n’est pas necessaire d’avoir les competences necessaire " />
Vous serez alors juges ([jujai]) a votre adaptabilite par exemple.
Le 27/06/2013 à 08h21
Le 27/06/2013 à 08h21
C’est ‘achement rassurant de lire vos commentaires, moi qui espère une augmentation de salaire bientôt " />
Perso, en province, je fais du dev.NET depuis un an dans la même boîte, embauché à bac + 3 (dont une année en apprentissage pour avoir un peu d’expérience), à smic + 150€.
Je ne trouvais pas ça si mal au début, mais maintenant que je dois enchainer les heures sup’ non rémunérées/non-récupérées pour les beaux yeux des patrons (bah oué, c’est la crise…), bizarrement je suis bien moins content " />
Je voulais capitaliser 2⁄3 ans d’expérience avant de chercher une autre boîte pour être mieux payé, mais quand je vois la gueule du marché, je me dis que c’est pas gagné !
Le 27/06/2013 à 08h22
Perso je suis ingénieur en informatique dans une SSII en province et pour le moment “Tout va bien!” mais on sent que quelque chose ne tourne pas rond. Cela fait maintenant 3 ans depuis que j’ai quitté l’école d’ingénieur.
Dans mon groupe, on embauche à tour de bras des jeunes car malgré la crise, les contrats sont là. L’ennui est que lorsque j’ai débuté en 2010, le salaire de départ était plus élevé qu’aujourd’hui. Je sais que les jeunots cette année seront pris 100€ de moins que moi en 2010 lors de leur premier salaire alors qu’entre temps on a pris 5% d’inflation cumulé dans les dents. Pourtant je ne comprends pas cette baisse salariale à mesure où j’ai l’impression que le besoin est toujours plus important (encore une fois je parle vis à vis de mon groupe) et cela malgré le offshore ou la crise.
Après, comme beaucoup en SSII si au bout de 3 ans seulement, j’en viens à parler des “jeunots” c’est qu’on a tous cette fameuse question en tête : “Mais ils sont où les anciens?”.
Parce que moi aussi j’ai la nette impression que la moyenne d’âge ne monte jamais dans la boite.
J’ai eu l’occasion de croiser des “anciens”, souvent juste avant leur départ. Certains partaient de la boite pour aller chez le client. D’autres pour changer complètement de vie car professionnellement parlant (et je pense aussi au niveau salaire), c’était plus le grand amour.
Mais j’ai fini par fait un constat simple : je me suis formé à un métier, et visiblement à 40 ans il faudra en trouver un autre, mais qu’es ce que je vais bien pouvoir faire ?
Pour le moment je n’ai aucune réponse, et cette incertitude de l’avenir fait que je ne préfère pas investir dans l’immobilier par exemple (de toute façon, à moins de m’éloigner de la ville et donc de mon boulot, je peux pas me payer d’appart, c’est trop cher pour moi), et que je met donc de l’argent de coté parce que mon petit doigt me dit que les lendemain pourraient ne pas être radieux.
Le 27/06/2013 à 08h23
Le 27/06/2013 à 08h28
Le 27/06/2013 à 08h30
Le 27/06/2013 à 08h31
Le 27/06/2013 à 08h31
Mon expérience perso :
Au bout de 10 ans passés comme analyste programmeur en Moselle, salaire net (avant impôts sur le revenu) de 1600€ … seul moyen d’évolution dans ma boite (qui n’était pas une petite SSII, mais un grand groupe international) : chef d’équipe ou chef de projet, des postes qui ne m’intéressaient pas dans cette boite
J’ai un BAC+5. Un de mes collègues programmeurs ayant BAC+2 (et étant moins payé de moi) se faisait toujours la réflexion que les éboueurs sont mieux payés que lui
NB avant de me faire descendre en flammes : je n’ai rien contre les éboueurs, je les respecte, je ne trouve pas leur profession dégradante
“on n’a pas besoin de spécialistes”, “on veut des managers”, “pas d’augmentation de salaire sans changement de poste important”, etc…
Un jour j’en ai eu marre, j’ai eu des entretiens avec des SSII dont certaines m’ont parues bien pourries, la pire impression que j’ai eu étant avec cap gemini (je peux développer si certains souhaitent rigoler)
Au final j’ai trouvé un poste au Luxembourg, pas trop bien payé pour ce pays, mais qui me proposait de toute façon bien plus que ce qu’on voulait me payer en France…. et 6 mois après une autre boite Lux m’a débauché et maintenant je peux dire que j’ai fait salaire x2 (et même plus) par rapport à la France….
En y repensant, je dois être maintenant mieux payé que mon N+1 et mon N+2 de l’époque ou je bossait en France. Et je ne dois pas être loin de mon N+3 …
Me reste plus qu’a finaliser la vente de ma maison sur laquelle je vais perdre facile 30000€ grâce au marché de l’immobilier bien pourri en ce moment…
Le 27/06/2013 à 08h32
[Troll=ON]Je vais vous la faire “vieux con”: Pour trouver du taf, il faut en avoir envie !!![Troll=OFF]
Ma boite embauche, on prend aussi des stagiaires (payés)… (et même des collegiens pour la semaine “découverte”)
Je suis un vieux con de 50 ans, dans l’info depuis l’age de …14 ans et je peux vous dire que les petits jeunes qui débarquent en pensant connaitre l’informatique sont légions…et à coté de la plaque !!!
On peine à trouver des stagiaires (ecole inge) qui sont tout simplement curieux de la technique…
Ce que je vois dans mon taf, c’est que beaucoup refusent de se remettre en question et de developper d’autres competences… Combien d’admin systeme sont capables de developper un driver Linux (“…mais…mais…ce n’est pas le même boulot…” " /> exact, mais c’est une faculté recherchée par les entreprises).
L’assembleur et SQL ne sont pas des freres ennemis…
Allez, lâchez les chiens " />
Le 27/06/2013 à 10h21
Le 27/06/2013 à 10h30
Le 27/06/2013 à 10h31
Le 27/06/2013 à 10h34
En SSII depuis bientôt 7 ans, je n’ai pour ma part pas trop à me plaindre.
Si le salaire n’est pas aussi haut que ce que je voudrais, il reste meilleur que ceux de pote orienté des secteurs en difficultés…
En 7 ans, j’ai eu des postes diversifiés, des contextes différents (parfois sympa, parfois nettement moins), et beaucoup d’opportunité différentes.
A l’inverse d’ex camarades de classes, j’ai eu cette chance de pouvoir choisir ma spécialisation (entre métier,technique et management) et aussi rencontrer/voir le fonctionnement de plusieurs sociétés/secteurs le tout en ayant une vrai sécurité de l’emploi.
En outre, j’ai connu beaucoup plus de projet au forfait que d’intervention ponctuelle chez le client et celles-ci s’expliquaient par un besoin très spécifique sur des durées très courtes….
Alors non, les SSII c’est pas un monde de Bisounours, la concurrence est rude que ce soit entre sociétés ou même à l’intérieur de celles-ci. Les intérêts personnels sont rarement en adéquation parfaite avec la mission, mais au moins on y gagne une diversité que je n’ai pas vu ailleurs….
Et puis bon, si Elles étaient aussi mauvaises, faudrait m’expliquer pourquoi elles sont si nécessaires…
Enfin, bon faut aussi comprendre qu’une carrière de développeur n’a plus/pas de sens, mais avec la palanqué de métier couverts par le secteur, on peut facilement trouver des rebonds possible.
Le 27/06/2013 à 10h38
A l’exterieur de la region Parisienne je ne sais pas trop ce qu’il en est, mais ici on a du mal à recruter.
Pricinpal problème: les 3⁄4 des personnes qui se présentent aux entretiens pour des postes de dev ne savent pas coder malgrés de nombreuses années d’expérience.
Cela explique peut etre le taux de chomage en hausse et la stagnation/baisse des salaires…
Le 27/06/2013 à 10h39
Le 27/06/2013 à 10h40
Le 27/06/2013 à 10h41
Le 27/06/2013 à 10h41
Le 27/06/2013 à 10h41
Le 27/06/2013 à 10h43
Le 27/06/2013 à 10h43
Qu’il y ait une adéquation entre ce qu’attendent les entreprises et la qualification/formation/expérience des informaticiens, cela explique en grande partie le chômage de certains.
Qu’il y ait une sous représentation des gens de plus de 50 ans dans le domaine des professions liées à l’informatique n’est pas une surprise en soi, étant donné qu’il y a 30 ans on ne donnait pas autant d’importance aux cursus informatique, ni à l’informatique elle même, et que ce n’est pas une génération qui a grandi avec l’informatique. N’oublions pas que dans la population globale, une bonne partie des gens ayant 50 ans ou plus ont énormément de mal à se familiariser avec l’informatique, ne serait ce que grand public.
La discrimination à l’age, n’est pas non plus spécifique au domaine informatique, mais s’étend à tout domaine d’activité. Les entreprises préfèrent des jeunes, que l’on peut formatter plus facilement, qui apprennent surement plus vite de nouvelles choses, avec une plus grande curiosité, qui sont plus enclins à être mobiles, à faire des heures supplémentaires, et à des tarifs plus attractifs, sans se plaindre. C’est sûrement injuste, mais c’est comme cela que ça marche actuellement dans tous les secteurs d’activité.
L’expérience n’est pas valorisée, dans un secteur ou tout change très vite (surtout en l’absence de plan de formation efficace au sein de l’entreprise). Sauf dans les postes décisionnels, pour les quelques élus qui se retrouvent dans le haut du panier des “chefs de / directeur de”, ou pour des compétences rares, ou quelques “niches” économiques.
Mais ce qui est sur, c’est qu’à l’heure ou la technologie et l’informatique envahit notre quotidien, il va falloir une “manne” extraordinaire de gens aux compétences multiples dans le domaine informatique (y compris des formateurs), et il y aura une vraie fracture (mot toujours à la mode), entre ceux qui maitrisent l’outil, et ceux qui ne le maitrisent pas. Idem pour les langues étrangères comme l’Anglais, qu’il devient de plus en plus indispensable de maitriser (tout comme l’orthographe française).
Enfin, je trouve pour ma part l’initiative de l’école 42 très intéressante, car elle met enfin un coup de pieds dans la fourmilière de l’éducation nationale, qui nous enseigne souvent des choses archaïques et inutiles sur le marché de l’emploi (au moins pour 50% du cursus). L’enseignement (autre que général) doit être avant tout destiné à trouver un job ! Il serait temps de créer un vrai pont entre ce que veulent les entreprises, et ce qu’enseignent les profs, sans attendre 10 ou 20 ans que les cursus officiels se mettent à la page des nouvelles tendances. Ayant fait ma formation dans un institut public, je trouve que le retard est flagrant. Et malgré mon diplôme en poche, j’ai tout du apprendre sur le tas, au sein de ma première entreprise.
Ceci explique peut être aussi le chômage des jeunes à la recherche d’un premier emploi !
" /> " />
Le 27/06/2013 à 10h46
Recherche mouton à 5 pattes, jeune diplomé Bac+5, moins de 26 ans, une expérience dans 10 ans dans le secteur est un plus, salaire à négocier (pas plus de 25k si possible), pour mission chez l’un client (si jamais on décroche le contrat)… Mobilité, Anglais, certifications, blablabla…
Le 27/06/2013 à 10h55
Le 27/06/2013 à 10h58
Le 27/06/2013 à 11h00
Le 29/06/2013 à 08h54
Le 29/06/2013 à 09h04
Le 29/06/2013 à 09h14
La complexité est la même récursif ou itératif y aura peut être une mini différence d’un cas a l’autre mais bon en général c’est le récursif qui est le plus lent et le plus couteux en mémoire, niveau mémoire avec les PC de maintenant on s’en fout mais bon c’est pas pour ça que c’est bien.
Et pourtant c’est vrai que j’en ai bouffé du récursif en algo a l’école, surtout sur les listes et les arbres. C’est cool tu fais des fonctions compliqué en 3 lignes,et c’est super ‘limpide” sur le papier au niveau des fonctions sur les listes/arbres/tas. Mais perso j’aime pas.
En tout cas a éviter au maximum selon moi, mais on pourrait faire un long débat sur iteratif récursif et t aura surement de tous les avis :p
Le 29/06/2013 à 09h28
Le 27/06/2013 à 06h21
Je ne sais pas trop quoi en penser. Oui il y a des chômeurs mais aussi du travail.
Le 27/06/2013 à 06h22
Et oui, le chomage est utile aux grosses boites… C’est partout pareil.
Le 27/06/2013 à 06h26
Bravo de dénoncer les SS2I qui sont en globalité des machines à commerciaux péteux en cravate qui recherchent des jeunes pour avoir un salaire le plus bas possible ( en plus sur des missions inintéressante).
Perso j’ai de la chance j’ai été directement embauché dans une entreprise. De temps en temps je fais des entretiens pour m’amuser…" />
Le 27/06/2013 à 06h29
C’est pas vraiment une surprise.
Par contre j’ai une réelle appréhension quant à l’évolution du métier de développeur et de voir ce que deviendront dans 15 ans les développeurs d’aujourd’hui.
" />
Le 27/06/2013 à 07h52
Le 27/06/2013 à 07h53
Je sais que je vais me faire dechirer :
En detail :
WikipediaVersion courte :
«La grande industrie nécessite en permanence une armée de réserve de chômeurs pour les périodes de surproduction. Le but principal de la bourgeoisie par rapport à l’ouvrier est, bien sûr, d’obtenir le travail en tant que matière première au plus bas coût possible, ce qui n’est possible que lorsque la fourniture de ce produit est la plus grande possible en comparaison de la demande, c’est-à-dire quand la surpopulation est la plus grande. La surpopulation est donc dans l’intérêt de la bourgeoisie, et elle donne de bons conseils aux travailleurs dont elle sait qu’ils sont impossible à réaliser. Comme le capital n’augmente que s’il emploie des travailleurs, l’augmentation de capital entraîne une augmentation du prolétariat, et, comme nous l’avons vu, conformément à la nature de la relation entre capital et travail, l’augmentation du prolétariat doit en comparaison s’effectuer de façon encore plus rapide. La (…) théorie (…) qui est aussi exprimée comme une loi de la nature, selon laquelle la population croît plus vite que les moyens de subsistance, est très apprécié de la bourgeoisie, puisqu’elle lui permet de faire taire sa conscience, de faire de la dureté de cœur un devoir moral, de faire passer des conséquences sociales pour des conséquences naturelles, et lui donne enfin la possibilité d’assister à la destruction du prolétariat par la famine aussi calmement que s’il s’agissait d’autres événements naturels, sans s’émouvoir, et, d’autre part, de considérer que la misère du prolétariat est sa propre faute et de le punir. Pour sa sécurité, le prolétaire peut retenir son instinct naturel par la raison, et ainsi, grâce à un encadrement moral, stopper la loi de la nature dans ses développements préjudiciables. “- Karl Marx, Salaire, décembre 1847
Le 27/06/2013 à 07h53
Eu non c’est pas un mythe odieux ….
Il y a vraiment une penurie informaticiens mais beaucoup de veulent pas bouger pour trouver du boulot. J’en veux pour exemple que sur niort, il cherche encore environs 1000 informaticiens depuis 3-4 ans dans les diverses assurances.
C’est qu’un exemple parmi pleins d’autre.
Le 27/06/2013 à 07h57
Le 27/06/2013 à 07h58
Le 27/06/2013 à 07h58
Le 27/06/2013 à 08h00
Le 27/06/2013 à 08h02
Le 27/06/2013 à 08h02
Je travaille dans des SSII depuis 1984, je pense avoir une bonne expérience dans ce domaine, et je dois dire que je suis complètement d’accord avec l’analyse de MUNCI, le fait est que le comportement de ces sociétés (vision toujours a court terme) est vraiment nuisible au marché du travail et plus généralement a l’économie.
Gérer a la fois une relation client/missions et collaborateurs/carrières est absurde, ce n’est pas le même métier, qui plus est dans un contexte de crise économique.
Dés 40 ans, il convient de “disparaitre” pour laisser la place aux plus jeune ‘payés avec un bol de riz”, mais quid du paiement de leur retraite si on n’est pas “employable” !!?
Le 27/06/2013 à 08h04
Le 27/06/2013 à 08h05
26ans, bac +5. J’ai eu du mal à retrouver un poste en province (Angers), j’ai du accepter une sacré baisse de salaire… On vient de prendre un autre dev dans l’équipe, il est bac +3 (sans expérience) et payé juste juste au dessus du smic…
Je suis tout à fait d’accord avec le MUNCI, que ce soit sur les difficultés du secteur ou sur l’école de Niel.
Le 27/06/2013 à 08h05
Le 27/06/2013 à 08h12
Le 27/06/2013 à 08h13
Le 27/06/2013 à 08h14
Le 27/06/2013 à 08h14
Le 27/06/2013 à 09h32
N’étant pas dans l’IT, je ne me prononcerais pas sur le recrutement et sur les SSII.
Cependant, je pense qu’il y’à réellement un problème de visibilité et de compréhension de l’informatique dans notre société !
Étant un poil geek je “développe” un peu sur Excel (et vb) pour me faciliter la vie dans mes tâches quotidiennes récurrentes.
(j’entends déjà les Bouuuuh ! mais c’est suffisant pour ce que j’ai à faire et je ne connait pas d’autre langage).
Je suis dans une boite d’ingénierie en immobilier commercial, les gens ne sont pas des truffes mais pourtant, je passe pour un ahuri " /> et ils ne considèrent absolument pas que l’informatique (un outil bureautique bien adapté) peut leur faire gagner un temps fou.
" /> Dans une boite de service, le temps c’est pourtant de l’argent. Certes il y’a un investissement initial a faire mais le gain se récupère sur des années.
Mais ça, personne n’en est convaincu." />
Il y’a a creuser de ce côté : je pense qu’un peu de communication pour que les gens comprennent ce que ça peut leur apporter ne ferait pas de mal ! Pourquoi pas une campagne nationale de promotion de l’ensemble des SSII (un peu comme font les industrielles de l’agroalimentaire avec des campagnes de type le veau c’est bien ou manger des pommes sans que ce soit une marque précise) ! ça créerait des emplois !
Bon désolé pour ce léger hors-sujet mais j’avais envie de le placer ! Pour moi le soucis viens d’abord de ça : informatique = floue/obscure/sert a rien qu’a nous poser des problèmes !
PS : Les SSII développent sur des suite bureautique de types office ou pas ?
Le 27/06/2013 à 09h35
Le 27/06/2013 à 09h37
Le 27/06/2013 à 09h37
Le 27/06/2013 à 09h39
je vais apporter mon témoignage et mon expérience.
J’ai une formation stat/info licence pro bac+3.
province
Apres 3⁄4 mois de chomdu j’ai accepté un boulot payé 1500-1550 brut. ben oue sans xp et pas beaucoup de ressource t’acceptes sans trop reflechire… de plus en 2010 c était la misère niveau offre.
malgré la paie misérable, on te donne des responsabilités énormes (plusieurs millions en jeux) ! lol ? mais personne ne va le reconnaitre sinon on devra te payer plus. Tu demandes a être augmenté. C’est pas possible mais on veut que tu restes sinon tu comprends que ca va etre le dawa pour eux !
a ce moment la tu te dis “ptin je vais conduire un bus je gagnerai 500 euros de plus” et tu feras 35h payé 39 pas 45 payé 30 et je serais pas emmerdé.
Au bout de 18 mois j’ai démissionné pour une SSII coté au cac40 . De part les conventions mon salaire a grimpé automatiquement et de beaucoup… choc pour moi, nouvelle perspective de consommation…j’ai acheté un Ipad… pour l’instant j’y reste, ca se passe bien, je suis content de mon salaire mais je me pose également beaucoup de questions sur mon avenir… changer pour tout autre chose ou me spécialiser? ps, je travaille aussi avec les indiens mais ça a des limites et les clients n’aiment pas forcement ça.
Pour paris :
Aller sur paris ne m’intéresse pas du tout et ma compagne aussi. on te vend un salaire plus important mais payer un loyer 2x plus important , tes courses *1.3 et passer 1h30/2h dans le rer matin et soir avec un peloton de roumains prêt a te faire les poches non merci. Au final tu perds bien plus. vive la centralisation de merde. De plus j’ai l impression que pour les débutants, les salaires se tassent entre province et paris. je n ‘arrive pas a comprendre ceux qui rêvent d’aller à Paris.
oui je suis de la génération Y
Le 27/06/2013 à 09h39
Une perle rare, je ne pense pas, Smic + 150€ par mois c’est en gros ce que tu peux espérer en province pour un poste de développeur débutant diplômé d’un bac +2⁄3.
Certains s’en tirent avec plus ouais, un développeur débutant en province qui gagne plus de 1500€, il n’y en a pas beaucoup à mon avis.
Dans certaines villes… Dans ma boite, une stagiaire a été embauché à 1400net par mois sorti d’un bac+3 et on trouve que ce n’est pas beaucoup par rapport à ce qu’on a eu il y a 2⁄3 ans avec la même formation après notre stage. Il faut surtout savoir se vendre et montrer que tu en veux un minimum… (Sans faire 50h payée 37.5h)
Le 27/06/2013 à 09h40
Le 27/06/2013 à 09h40
Le 27/06/2013 à 09h41
Le 27/06/2013 à 09h42
Le 27/06/2013 à 09h43
Le 27/06/2013 à 09h45
Le 27/06/2013 à 09h45
Le 27/06/2013 à 09h45
Le 27/06/2013 à 09h47
Le 27/06/2013 à 09h49
Le 27/06/2013 à 11h01
Le 27/06/2013 à 11h06
Le 27/06/2013 à 11h06
Je suis dev. Si lors d’une série d’entretien je n’ai pas de quizz/exercice technique fait par un dev de la boite, je laisse tomber direct. Ca prouve à quel point la boite en question valorise un developeur…
Le 27/06/2013 à 11h07
pour faire un peu de recrutement, (bha oui mes stagiaires, j’ai le droit de les choisir), j’en ai rien à foutre que ce soit les meilleurs, mais alors du tout.
Je veux juste qu’ils comprennent rapidement ce que j’attends, soit capable de communiquer et d’alerter rapidement et qu’ils veuillent apprendre.
J’ai eu le malheur une fois de vouloir prendre un geek qui était une perle techniquement… entre problème d’égo et refus de suivre les règles (qui étaient certes pas les meilleurs, mais avaient le méritent d’exister), ce fut un vrai calvaire. Et puis bon y a pas besoin d’être geek pour être dev. Faut juste être carré et vouloir apprendre son taf.
Le 27/06/2013 à 11h09
Le 27/06/2013 à 11h09
Le 27/06/2013 à 11h10
Le 27/06/2013 à 11h13
Le 27/06/2013 à 11h18
Le 27/06/2013 à 11h18
Le 27/06/2013 à 11h18
Le 27/06/2013 à 11h18
Le 27/06/2013 à 11h19
Le 27/06/2013 à 11h22
Le 27/06/2013 à 11h22
Le 27/06/2013 à 11h26
Le 27/06/2013 à 20h46
Le 27/06/2013 à 22h43
J’ai une expérience de 13 ans en informatique. Je ne gagne pas mal ma vie, je suis autodidacte. Jamais de chômage, au moins 2 offres d’embauches concrètes par an (avec augmentation de +15%, enchère sur les avantages)
Mes conseils :
-Ne vous arrêtez pas la où le vent vous porte. Si il n’est pas trop compliqué de se former sur un sujet, faites le, mais ne vous y arrêtez pas, car vous n’êtes pas le seul l’avoir fait. Si c’est très difficile, faites le avec plus d’intérêt car même si ça n’est pas demandé, vous pouvez prouver votre compétence en autoformation (qui est indispensable dans un domaine qui bouge autant)
-Si un employeur vous demande 10 compétences, il suffit d’en avoir 3
-Si on vous propose 100, demandez 150. Si vous êtes intéressants pour le poste serez encore rentable
-Si c’est une SSII, dites non !
Pour plus de détails ou de conseils au top de la RH, vous pouvez m’envoyer des petits messages.
Le 28/06/2013 à 06h38
La qualite ou homologation est indispensable pour tout systeme traitant des donnees “sensible” avant la mise en production.
Comment peux-tu accepter un code avec des bugs potentiels en production quand il s’agit de donnees RH, de transaction bancaires et j’en passe.
Si ton programme est rejete car il ne repond pas a la demande (bug, reponse non conforme a un formulaire), il est a refaire… et il est preferable de s’en rendre compte avant de realiser toute action sensible.
Bref, dans ce type de systeme, developpement / fonctionnel, qualite / homologation / validation et production sont indissociables.
Le 28/06/2013 à 06h49
Je ne comprends pas trop les boîtes qui demandent des compétences sur des technologies précises et de l’expérience outre mesure. Un dèv, il est bon ou il est mauvais, c’est fixé après 2-3 ans d’expérience, il n’y a rien entre les deux extrêmes et rien à faire pour devenir bon. Le bon apprendra n’importe quelle technologie en 3 mois…
Ce n’est pas pour rien que Google/Apple/Microsoft/etc… ne demandent pas de connaissance d’une techno, parce que ça ne compte pas dans la productivité future.
Un peu de lecture dur le sujet :
The Years of Experience Myth
Skill Disparities in Programming
Le 28/06/2013 à 06h53
Le 28/06/2013 à 07h08
Le 28/06/2013 à 07h54
Le 28/06/2013 à 08h27
Le 28/06/2013 à 08h33
Le 28/06/2013 à 08h46
Le 28/06/2013 à 09h17
Le 28/06/2013 à 09h49
Le 28/06/2013 à 11h36
Le 28/06/2013 à 14h22
Je suis assez d’accord… J’ai aussi l’impression d’avoir de la chance avec mes 36k en province pour “seulement” 2 ans d’expérience… Pour info, j’ai bac+5 dans une école pas spécialement réputée, genre tout en bas des grilles de salaires
Par contre, j’ai pas hésité à claquer des portes et remettre des patrons en place car bosser dans des petites boîtes à cet avantage : pour négocier, tu n’as pas un N+1 qui doit voir avec un N+2 qui doit en parler à un N+… et au final celui qui “prend la décision” ne te connaît que par ton trigramme . Quand le mec en face de toi est LE décisionnaire et qu’il connaît personnellement les projets sur lesquels tu as bossé, les résultats obtenus et ton degré d’implication, il a tendance à un peu mieux t’écouter quand tu dis “non, 3% ça ne me va pas, tu me dis depuis 1h d’entretien carrière que je suis au top, alors montre-le mieux que ça”, t’arrives à obtenir 5%.
Je confirme qu’il suffit de ne pas se laisser faire. En même temps il faut savoir se faire rare, et donc développer des compétences recherchées et apprendre à se vendre (ouais c’est comme tout, cela s’apprend).
Les quelques pourcentages qui sont au chomage ils sont soit très mauvais sur leur CV au point qu’on leur refuse pratiquement tous les jobs, soit n’ont aucune motivation de vraiment travailler car ils gagnent pratiquement autant sans bouger de chez eux (ce qui dans mon entourage est quand même bien présent) ou bien ils sont trop agés et du coup combiné avec la crise les entreprises ne veulent plus payer le delta de connaissance et d’expérience.
Cela fait que si vous êtes motivés et que vous vous vendez un minimum, il n’y a aucune raison de ne pas réussir un minimum, quittes à commencer un peu léger au début, que ce soit niveau poste et/ou salaire. Il suffit de ne pas tomber dans le découragement général qui semble se lever sur la France…
Si vous avez une bonne idée d’entreprise, créez là! Rien ne tombe des nues. En France les gens qui réussissent, surtout les chefs d’entreprise, sont très mal vus. C’est un fait que la réussite n’est pas moralement acceptable dans la culture Francaise. On a un peu la culture du looser en fait. Ce petit truc qui fait que beaucoup se disent, ouais bah ouais c’est comme ca que veux tu. Comme si tout tombait du ciel. On va faire greve pour ceci cela mais faire quelque chose à l’échelle humaine et personnelle pour que les choses s’améliorent, non. C’est les politiques qui sont les futurs sauveurs ou ex-capoteurs du bien-être des Francais. Cette culture si riche et pourtant engendrant la médiocrité.
En théorie avec tellement de gens qui vont à l’université, tellement de gens intelligents, ont devrait avoir une économie de fer. Mais non… " />
Je parle trois langues courrament, j’ai 22 ans, bac +5 de l’université (même pas une école prestigieuse oh mon dieu), je viens de commencer il y a 6 mois mon premier travail, je suis embauché en tant qu’ingénieur systeme et réseau dans une PME de 10 employés. Mon patron a 27 ans. En gros j’ai suivi l’école normale comme tout le monde, avec des parents au smic comme la plupart d’entre nous. J’ai négocié +70% de salaire par rapport à ce qui m’était proposé pour finir avec à peine 70k € et je travaille 42heures par semaine avec 4 semaines de congés. Tout en sachant m’engager n’importe quand lorsque la situation le demande. Si tu veux réussir faut savoir se sacrifier un peu. Sinon retourner toucher le RSA et jouer au lotto. PS: les chances de mourrir frappé par la foudre sont plus grandes que de gagner. Les chances de réussir votre entreprise sont plus grandes que de gagner au lotto.
Le 28/06/2013 à 15h07
Le 29/06/2013 à 08h50
Le 27/06/2013 à 06h31
Le 27/06/2013 à 06h38
Le 27/06/2013 à 06h39
Je suis tout à fait en phase avec le Munci…
Technicien puis admin sys de 12 ans d’xp… Puis chômdu…
Et obliger de conduire un autobus pour gagner de quoi manger… (remarque, ce faisant, je gagne mieux ma vie que d’autres collègues qui ont “la chance” d’être toujours dans le métier…)
Bah oui… Trop vieux (37 ans), trop qualifié et en province… => Poubelle…
Alors quand on vient parler de l’emploi des seniors, laissez moi rire… On n’arrive déjà plus à fournir du boulot dés le salarié a dépassé 40 ans…
" />
Edit : à propos de chômeurs informaticiens, je suis très étonné de leur silence assourdissant sur le net…
Le 27/06/2013 à 06h40
Enfin j’ai un job depuis 4 ans !! Quel galère avec leur offre à la C limite ultra spécialisée dans un domaine unique ! j’ai bien cru que je finirais à la chaine " />
Bref courage pour ceux qui cherche hein !!
Le 27/06/2013 à 06h44
Ce que révèle le MUNCI ne m’étonne pas du tout. Ca fait des années que ca saute aux yeux pour qui est employé ou en recherche d’emplois dans le domaine informatique.
Le 27/06/2013 à 06h46
Je pense que cette étude est à relativiser. Je pense que lorsqu on parle d informatique on parle d un secteur tellement large qu on parlerait d industrie se serait la même chose.
Selon le secteur d activité il y a des pénurie.
Étant dba je confirme qu il y a pénurie non pas tant de candidat mais plutôt de compétence.
Je pense que sur l ensemble du secteur le soucis est plutôt à ce niveau: adéquation entre offre et demande.
Le 27/06/2013 à 06h47
Le 27/06/2013 à 06h47
Je galère à tel point que je me demande si je vais pas changer de métier…. bac +3 informaticien de + de 40 ans en recherche d’emploi… ca fait tache sur mon cv" />
Le 27/06/2013 à 06h53
Cela pousse vers le chômage un très grand nombre de personnes âgées de plus de 50 ans, et même de plus de 40 ans.
Et ben, si maintenant on ne trouve plus de travail après 40 ans…
Le 27/06/2013 à 06h58
J’ai 35 ans, dans le métier depuis la fin de mon simple BTS, aujourd’hui admin sys et réseau, si ma boite (dans la presse) venait à couler j’avoue que çà me fou pas mal la frousse. Je remarque cependant que les certifications (microsoft , vmware etc ..) sont vraiment un atout majeur pour valoriser un CV. " />
Le 27/06/2013 à 07h00
Quelques histoire vécu en SS2I
Le 27/06/2013 à 07h00
10% de ceux qui n’ont pas voulu faire prof de math " />
Le 27/06/2013 à 07h06
Étant étudiant en 1ère année dans une école d’informatique, je peine à trouver un stage… Les entreprises cherchent des stagiaires à payer au lance pierre (minimum légal : 436€) capable de faire le même boulot qu’un de leur développeur.
Le 27/06/2013 à 07h07
Le 27/06/2013 à 07h07
Le 27/06/2013 à 07h08
Le 27/06/2013 à 09h50
Normal, ils préfèrent troller sur PCInpact et télécharger du pr0n.
Le 27/06/2013 à 09h52
Le 27/06/2013 à 09h52
Le 27/06/2013 à 09h52
A moins d’un revirement improbable je viendra gonfler les stas au mois octobre " />
Le poste d’animateur de salle de communication (Collége) que j’occupe et tous simplement supprimer " />
Le 27/06/2013 à 09h56
Le 27/06/2013 à 09h57
Le 27/06/2013 à 09h59
Le 27/06/2013 à 10h03
Le 27/06/2013 à 10h05
Le 27/06/2013 à 10h06
Le 27/06/2013 à 10h06
Le 27/06/2013 à 10h06
Le 27/06/2013 à 10h09
Le 27/06/2013 à 10h11
Mouais comme dh’ab j’ai toujours l’impression que beaucoup de jeune attendent tout de l’entreprise sans donner en retour…
Pour ma part en tant que dba senior je n’ai aucun problème pour changer et/ou trouver un taff par contre, j’ai commencé ma carrière en bossant bossant et en m’auto formant pendant 6ans non stop.
J’ai pas pris de vacance pendant 6 ans et j’ai changé régulièrement de boîte, pour augmenter mon salaire et pour augmenter mon expérience.
Au niveau dév je pense que le problème est plus complexe, il y a tellement d développeur de nos jours (tout comme les admin reseau et system windows), au point qu’on peut les considérer comme les ouvriers à la chaîne du siècle dernier.
Les écoles d’ingé “crachent” 400000 diplômés ils me semblent chaque année alors le besoin n’y est pas. La plupart de grandes sociétés font de plus en plus appel à des indiens par exemple pour “pisser” du code.
Clairement ce n’est pas une voie d’avenir.
A mon sens admin system win, admin reseau et dev doivent absolument basculer vers d’autres compétences le plus rapidement possible car se ne sont plus des voies royales pour une carrière.
Pour finir partir à l’étranger est vraiment une vrai alternative, les salaires mais tout simplement le niveau de vie dans les pays anglo saxon n’ont rien à voir avec la misérable France. Les possibilités d’évolution n’ont strictement rien à voir avec ce qui se pratique en France, les jeunes sont considérés comme une ressource potentielle extrêment intéressante…
Le 27/06/2013 à 10h14
Le 27/06/2013 à 10h16
Le 27/06/2013 à 12h35
Le 27/06/2013 à 12h39
Le 27/06/2013 à 12h42
Le 27/06/2013 à 12h44
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Le 27/06/2013 à 12h52
Le 27/06/2013 à 13h02
Le 27/06/2013 à 13h04
Le 27/06/2013 à 13h11
Le 27/06/2013 à 13h26
Le 27/06/2013 à 13h30
à lire les commentaires de la news ça fait plutôt peur pour mon avenir (toujours étudiant), étant quasiment sûr que le niveau baisse au fil du temps.
Dans mon BTS (SIO, nouveau nom de l’IG), on doit être un tiers à tout péter à savoir ce qu’on fait, le reste galèrent ou sont là en mode vacances.
Et comparé à l’IG le bts est maintenant beaucoup plus “paperassier”, ils nous forment à bosser dans des ss2i, ce qu’on apprend c’est de la substance de substance, et la plupart des maîtres de stage qu’on avait étaient affolés de voir ce qu’on apprenait " />
Le 27/06/2013 à 13h32
Le 27/06/2013 à 13h49
Le 27/06/2013 à 14h03
Le 27/06/2013 à 14h22
Le 27/06/2013 à 07h42
Le 27/06/2013 à 07h42
Le 27/06/2013 à 07h42
Le 27/06/2013 à 07h44
Le 27/06/2013 à 07h44
Le 27/06/2013 à 07h46
Le 27/06/2013 à 07h46
Le 27/06/2013 à 07h47
Le 27/06/2013 à 07h48
Ceux qui doivent avoir les pétoches sont ceux qui se sont spécialisés en Flash. " />
Le 27/06/2013 à 07h48
Le 27/06/2013 à 07h48
Le 27/06/2013 à 07h50
Le 27/06/2013 à 07h51
C’est comique de voir cet article car je suis à nouveau à la recherche d’un emploi.
Et effectivement il y du travail pour deux profils.
La première ligne sans aucune expérience, payée moins cher que le chômage est si tu n’es pas content, va voir ailleurs.
Et les profils deuxième ligne ayant une connaissance complète de Cisco,Exchange,Server 2008⁄2012,Vmware,HyperV et la liste peut être encore longue.
Je parles ici dans le cadre de support informatique.
Le 27/06/2013 à 07h52
Le 27/06/2013 à 07h52
Personnellement, je ne suis pas du tout dans l’informatique, et d’ailleurs je ne m’y connais que très très peu par rapport à la majorité d’entre vous.
Je suis toujours réservé sur ces rapports : j’imagine que c’est comme partout en France une inadéquation des formations avec les vrais besoins des entreprises.
Par ailleurs, lire que certains font des stages pas payés, voir à 400 € me sidère un peu.
Mes stages étaient rémunérés quasi 300 euros nets au dessus du SMIC… j’ai l’impression d’être un privilégié a posteriori…
Le 27/06/2013 à 07h52
Le 27/06/2013 à 08h56
Tout ça m’inspire pour une chanson.
Dans les Poles Emploi de Paris, y a des développeurs qui chantent, des rêves qui les hantent, au large de Paris.
Le 27/06/2013 à 08h59
Le 27/06/2013 à 09h01
Le 27/06/2013 à 09h01
Le 27/06/2013 à 09h01
Le 27/06/2013 à 09h05
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Le 27/06/2013 à 09h07
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Le 27/06/2013 à 09h08
Le 27/06/2013 à 09h11
Le 27/06/2013 à 09h12
Le 27/06/2013 à 09h16
Qu’il y ai du chômage ne veut pas dire qu’il n’y ai pas de pénurie non plus … le problème c’est que déjà il faut voir le profil de ces 57000 personnes … car entre totu ceux que je vois qui sortent d’école et qui sont vraiment incompétent, limite à ce demander ce qu’ils foutaient à l’école et d’autre qui habitent des régions désertes en terme de travail et qui ont pas beaucoup de possibilité pour bouger …
Non vraiment, j’aimerais bien voir le profil de ces gars car je sais que si je veux changer de taff j’en trouverais relativement facilement. Il y a clairement des secteurs qui sont en demande de salarié, notamment les trucs très techniques (que je n’aime pas personnellement)
Le 27/06/2013 à 09h19
Le 27/06/2013 à 09h25
Le 27/06/2013 à 09h27
Le 27/06/2013 à 14h29
Le 27/06/2013 à 14h30
Le 27/06/2013 à 14h33
Le 27/06/2013 à 14h36
Le 27/06/2013 à 14h38
Le 27/06/2013 à 14h42
Le 27/06/2013 à 14h44
Le 27/06/2013 à 15h05
Le 27/06/2013 à 15h14
Le 27/06/2013 à 15h15
Avantage : les SSII recrutent limite à la sortie des prisons, en vendant des vessies pour des lanternes à leurs clients " />, donc facile d’y rentrer.
Inconvénient : être traité comme de la viande, sans formations, sans évolutions, fin de mission = tu dégages (intérim déguisé).
Avec ce constat, j’en fait le minimum autant pour le client (complice) que pour les SSII (proxénète), je mets le max d’argent de côté et vers 40ans je monterais mon business le plus éloigné possible du monde informatique et de la France (complice aussi) " />
Le 27/06/2013 à 15h39
Le 27/06/2013 à 17h01
Pour revenir au sujet de fond,l’article sur le site de la munci a 2 liens dont je recommande la lecture (surtout le 2eme)
http://munci.org/IMG/doc/CP-MUNCI-26062013.doc (le communiqué)
http://munci.org/IMG/pdf/MUNCI-emploi-informatique.pdf (dossier sur les difficultés de recrutement)
faut avouer que c’est plutôt bien argumenté " />
Le 27/06/2013 à 18h16
Moi je suis Dev sur une technologie sensée être morte depuis 20 ans… Je n’ai pas une semaine sans avoir une demande de “disponibilité” pour des postes dans toute la France.
Quand les écoles comprendront que le Web c’est le mal et que formé 10000 “développeurs standardisés”, qui n’ont vu de leur vie que Java et php ne mène à rien, on aura fait une sacrée avancée. Il n’y a qu’a voir les grosses SS2I c’est juste une blague…
Le 27/06/2013 à 18h52
Le 27/06/2013 à 19h43
“Je n’ai pas une semaine sans avoir une demande de “disponibilité” pour des postes dans toute la France”
A vérifier : on est nombreux à recevoir des appels de SSII mais cela ne veut absolument pas dire qu’il y a une mission certaine à la clé (sourcing, réponses multiples aux appels d’offres…)
Le 27/06/2013 à 20h36