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dave8888

est avec nous depuis le 18 mai 2005 ❤️

3 commentaires

Le 19/04/2014 à 07h 42

Il ne faut pas mélanger cause et conséquence!



Orange avait déjà une vision de délestage du personnel en France depuis deux décennies déjà… l’arrivée de Free n’a rien changé sur le rythme et n’a pas amplifié les suppressions.



Il suffit de se souvenir de la pression mise sur les salariés et les suicides qui se sont multipliées.

Globalement, sur les 2 dernières décennies, Orange a supprimé plus de 60 000 postes en France et Free mobile n’existe que depuis 2007.

Or 60 000 postes / 20 ans = 3 000 postes / an. On est bien dans la moyenne Orange cette année encore.



Comme dit plus haut, ce sont simplement les postes de fonctionnaires qui disparaissent. En théorie, il n’y aura plus aucun fonctionnaire autour de 2020!

Le 18/09/2013 à 21h 56

J’ai pas eu la même lecture du communiqué de presse d’EA que l’auteur de l’article.





Ce contenu téléchargeable sera disponible au prix de 9,99€ et EA reversera un minimum de 80 % du montant des recettes à la Croix-Rouge.



Conformément à l’accord conclu avec la Croix-Rouge, EA versera aux Sociétés nationales participantes un minimum de quatre-vingt pour cent (80 %) du montant des recettes d’EA (moins les taxes applicables) issues des ventes de ce nouveau contenu de la Croix-Rouge dans le jeu durant la promotion.



Source : http://presse.ea.com/link.asp?i=1261&r=7356&r2=5217



Donc ce que je comprends, c’est que quand EA dit 80% des recettes, c’est taxe déduite.



Dans le cas du DLC Croix Rouge à 9,99€ TTC, on supprime déjà 1,64€ de TVA.

Les 80% sont donc à prendre à partir de ce qui reste HT, c’est à dire les 8,35€ qui reste.

Grosso modo, chaque DLC acheté voit donc un reversement à la croix rouge de 6,68€.

Cela laisse donc 1,67€ à EA pour payer le/les developpeur(s), les frais de mises à dispositions du DLC et p’tre un benef si jamais il s’en vend beaucoup.

Le 27/06/2013 à 08h 22

Perso je suis ingénieur en informatique dans une SSII en province et pour le moment “Tout va bien!” mais on sent que quelque chose ne tourne pas rond. Cela fait maintenant 3 ans depuis que j’ai quitté l’école d’ingénieur.



Dans mon groupe, on embauche à tour de bras des jeunes car malgré la crise, les contrats sont là. L’ennui est que lorsque j’ai débuté en 2010, le salaire de départ était plus élevé qu’aujourd’hui. Je sais que les jeunots cette année seront pris 100€ de moins que moi en 2010 lors de leur premier salaire alors qu’entre temps on a pris 5% d’inflation cumulé dans les dents. Pourtant je ne comprends pas cette baisse salariale à mesure où j’ai l’impression que le besoin est toujours plus important (encore une fois je parle vis à vis de mon groupe) et cela malgré le offshore ou la crise.



Après, comme beaucoup en SSII si au bout de 3 ans seulement, j’en viens à parler des “jeunots” c’est qu’on a tous cette fameuse question en tête : “Mais ils sont où les anciens?”.

Parce que moi aussi j’ai la nette impression que la moyenne d’âge ne monte jamais dans la boite.

J’ai eu l’occasion de croiser des “anciens”, souvent juste avant leur départ. Certains partaient de la boite pour aller chez le client. D’autres pour changer complètement de vie car professionnellement parlant (et je pense aussi au niveau salaire), c’était plus le grand amour.



Mais j’ai fini par fait un constat simple : je me suis formé à un métier, et visiblement à 40 ans il faudra en trouver un autre, mais qu’es ce que je vais bien pouvoir faire ?



Pour le moment je n’ai aucune réponse, et cette incertitude de l’avenir fait que je ne préfère pas investir dans l’immobilier par exemple (de toute façon, à moins de m’éloigner de la ville et donc de mon boulot, je peux pas me payer d’appart, c’est trop cher pour moi), et que je met donc de l’argent de coté parce que mon petit doigt me dit que les lendemain pourraient ne pas être radieux.