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Comment sera déterminé l’indice de réparabilité des TV, smartphones et PC portables

À vos rangs, fix !

Comment sera déterminé l'indice de réparabilité des TV, smartphones et PC portables

Le 24 juillet 2020 à 09h54

La loi « anti-gaspillage », publiée au Journal officiel début 2020, introduit de nombreuses mesures dont un indice de réparabilité des produits, promis pour 2021. Calqué sur le modèle de l’étiquette énergie, il concernera notamment les télévisions, les smartphones et les ordinateurs portables. Next INpact commente ses modalités concrètes.

« L'objectif, c'est d'avoir une note – a priori ça prendra cette forme-là – une note qui va d’un à dix », expliquait Brune Poirson, alors secrétaire d’État à la Transition écologique. L’idée ? Inciter les consommateurs à s’orienter vers les produits les plus réparables. « C'est une brique très importante du projet de loi » insistait-elle encore face aux sénateurs. Sept mois plus tard, le gouvernement a notifié à la Commission européenne les projets de texte, décret et arrêtés, mettant en œuvre l’article L541-9-2 du Code de l’environnement

« La mesure vise à promouvoir une consommation responsable en améliorant l’information du consommateur grâce à la mise en place et à l’affichage obligatoire d’un indice simple de réparabilité de certains de ces produits » insiste encore l'exécutif aux oreilles bruxelloises.  « Informer le consommateur sur la capacité à réparer le produit concerné », en palliant d’une part « l’asymétrie d’information entre les consommateurs et les fabricants ou distributeurs concernant la réparabilité du produit » et d’autre part, en incitant « les fabricants à intégrer dès la conception de leurs produits des critères de réparabilité, tendant ainsi vers des produits plus durables, car plus robustes, car "éco-conçus" ».

Des objectifs chiffrés : « avec cette mesure, l'ambition raisonnable est de passer à 60% d’ici cinq ans de pannes de produits électriques et électroniques donnant lieu à une réparation dans le réseau de réparateurs français, contre environ 40% aujourd’hui ».

Un indice, beaucoup de paramètres

Dans le décret, producteurs ou importateurs devront établir « pour les équipements électriques ou électroniques qu’ils mettent sur le marché, l’indice de réparabilité ainsi que les paramètres ayant permis de l’établir ». L’information irriguera l’ensemble de la chaîne commerciale, en cascade, jusqu’au consommateur.

« Lorsque l’équipement électrique ou électronique est proposé à la vente en magasin, le vendeur fait figurer selon les modalités et la signalétique prévues par arrêté, l’indice de réparabilité fourni par le producteur ou l’importateur, de manière visible, sur l’équipement proposé, ou à proximité immédiate de cet équipement ». Et pour les ventes en ligne, des mesures d’informations similaires sont proposées, à proximité du prix.

L’indice sera communiqué instinctivement aux consommateurs, mais le vendeur devra mettre à sa disposition « les paramètres ayant permis » de l’établir. Cette information sera fournie pendant une période d’au moins deux ans après la mise sur le marché de la dernière unité d’un modèle d’équipement concerné.

L’indice sera calculé par la conjonction de plusieurs paramètres :

  • « Une note sur vingt relative à la durée de disponibilité de la documentation technique et relative aux conseils d’utilisation et d’entretien, auprès des producteurs, réparateurs, et des consommateurs »
  • « Une note sur vingt relative au caractère démontable de l’équipement : nombre d’étapes de démontage pour un accès unitaire aux pièces détachées, caractéristiques des outils nécessaires et des fixations entre pièces détachées »
  • « Une note sur vingt relative aux durées de disponibilité sur le marché des pièces détachées et aux délais de livraison, auprès des producteurs, des distributeurs en pièces détachées, des réparateurs et des consommateurs »
  • « Une note sur vingt relative au rapport entre le prix de vente des pièces par le constructeur ou l’importateur et le prix de vente des équipements par le constructeur ou l’importateur, calculée selon les modalités prévues par arrêté »
  • « Une note sur vingt relative à des critères spécifiques à la catégorie d’équipements concernée »

Les cinq notes seront additionnées et enfin le total divisé par 10, « pour exprimer une note synthétique sur une échelle de 1 à 10 ». Le décret renvoie à une série d’arrêtés le soin de préciser l’ensemble des critères et les modes de calcul de l’indice pour chacune des catégories de produits. Mais avant, un projet d’arrêté, lui aussi notifié à la Commission européenne comme tous les textes encadrant le commerce électronique, détaille les modalités d’affichage, la signalétique et les paramètres généraux.

logo indice réparabilité

De rouge à vert 

Par exemple, selon la note obtenue, les codes couleur évolueront pour l’affichage de l’indice. Entre 0 et 1,9, le vendeur devra utiliser une couleur « rouge, référence Pantone 186 C », alors qu’entre 8 et 10, il devra opter pour le vert foncé (Pantone 437), sachant que l’éventail intermédiaire passera de l’orange au vert clair. Pour éviter les contournements marketing, la taille de police des chiffres de la note sur 10 devra être au moins équivalente à la taille de police des chiffres du prix en rayon.

Un tableau fixe les différentes lignes directrices pour déterminer la fameuse note. Par exemple, la durée de disponibilité de la documentation technique et relative aux conseils d’utilisation et d’entretien sera déterminée « par l’engagement du producteur à rendre disponibles gratuitement, en nombre d’années, des documents techniques auprès des réparateurs agréés et indépendants et auprès des consommateurs ainsi que des documents relatifs aux conseils d’utilisation et d’entretien auprès des consommateurs, à partir de la mise sur le marché de la dernière unité ».

Derrière la ligne « outils nécessaires », on trouve les outils communs, ceux spécifiques ou bien les outils propriétaires utiles au démontage du produit en cause. Sachant que l’arrêté range dans les premières catégories les tournevis, les pinces-étaux, les multimètres, les voltmètres, les fers à souder ou encore le pistolet à colle. « Les outils spécifiques sont des outils qui ne figurent pas dans la liste des outils communs, sans être des outils propriétaires ». Et ces derniers « sont des outils dont la propriété intellectuelle est détenue par le producteur ou un acteur spécifique ».

indice réparabilité critères

Quant aux caractéristiques de fixations, il s’agira de savoir si les pièces sont amovibles et réutilisables, seulement amovibles et, en bas du classement, « ni amovibles ni réutilisables ».

Autre critère pris en compte, la question du prix des pièces. La chaîne commerciale devra déterminer le « rapport entre le prix de vente des pièces par le constructeur ou l’importateur et le prix de vente des équipements par le constructeur ou l’importateur ». Il sera établi en faisant le rapport « entre prix hors taxe de la pièce la plus chère de la liste 2 +(moyenne des prix hors taxe des autres pièces de la liste 2)/2 et Le prix hors taxe du modèle de l’équipement concerné où chaque prix s’entend comme le prix hors taxes du barème tarifaire en vigueur au moment du calcul de l’indice et figurant dans les conditions générales de vente du fabricant ou de l’importateur, ou à défaut dans tout document contractuel pertinent ». Des opérations possiblement délicates pour les produits bardés de pièces détachées. 

L’arrêté est d'ailleurs riche d'autres précisions. Ainsi, « dans le cas où certaines de ces pièces sont indissociables ou bien dans le cas où la pièce visée est intégrée à un module, qui est seul disponible, le prix à prendre en compte est le prix cumulé des pièces ou le prix du module ».

PC portables, smartphones, TV, rasoirs électriques, lave-linges...

Ces textes d’application sont donc accompagnés de plusieurs arrêtés spécifiques concernant les ordinateurs portables, les télévisions et les smarphones, notamment. Ces catégories ont été choisies « en raison de [leur] usage très répandu en France, de l’impact de cet usage sur le budget des ménages et des impacts environnementaux générés par ce[s] produit[s] ». En pratique, chacun des arrêtés intègre une série de tableaux de « poids » à prendre en compte dans la détermination de l’indice.

Ainsi, pour les caractéristiques de fixations des composants des ordinateurs portables :

indice réparabilité ordinateur

Ou s’agissant de l’engagement du producteur sur la durée de disponibilité des pièces des smartphones :

indice réparabilité smarphone

Ou enfin, concernant l’engagement sur la durée de mise à disposition sans frais de la documentation technique et relative aux conseils d’utilisation et d’entretien des téléviseurs :

indice réparabilité téléviseur

Une entrée en vigueur en 2021, l'indice de durabilité à l'horizon 2024

D’autres produits sont concernés, en particulier les tondeuses électriques filaires ou sur batterie et les laves linges.  Tous ces textes entreront en vigueur le 1er janvier 2021. Ils s’inscrivent dans la droite ligne de la directive 2018/851 relative aux déchets qui a incité « les États membres à prendre des mesures appropriées pour éviter la production de déchets ».

Remarquons au passage que le gouvernement entend se diriger ,à compter du 1er janvier 2024, vers un indice non de réparabilité, mais de durabilité. Il complètera voire remplacera le premier indice « en incluant de nouveaux critères, notamment la fiabilité et la robustesse de l’équipement ». Émile Meunier, avocat de l’association Halte à l’obsolescence programmée (HOP), avait justement plaidé pour un tel indice de durabilité, qui tiendrait compte « des taux de retour, du temps moyen entre deux pannes ». Il demandait dans nos colonnes : « Les fabricants ont ces informations…pourquoi pas le consommateur ? »  

Commentaires (199)

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Sinon ifixit le fait déjà.

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Plutôt complet. Je m’attendais à un nutriscope adapté au silicium à vrai dire. <img data-src=" />

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ifixit n’est pas Européen.

Et comme nous aimons pomper… <img data-src=" />

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Les produits réparables c’est bien. Mais le coût de la main d’oeuvre est tel que souvent, il est économiquement plus rentable de racheter à neuf…

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iPhone, tremble…

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Tu as raison, avec un vieil android,&nbsp; c’était pas possible.

Non, faut racker pour un iphone pour ça <img data-src=" />



<img data-src=" />

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Quelqu’un d’autre que moi a-t-il des difficultés (pour moi c’est le crash systématique) pour accéder à la page index de nxi ou l’actu d’hier sur le CSA ?

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C’est quoi cette réponse ? Pourquoi il aurait du acheter un Android alors qu’il avait déjà un iPhone 4s dans un placard ? Parce que pour info le 4s en question justement, il a 9 ans.

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skankhunt42 a écrit :



Sauf que…




La production est directement lié à l'assemblage et vice versa. Un iphone sortant de l'usine coute 200$. Si tu l'assemble au usa alors le prix va monter à 300$.








Nope.     



Comme dit auparavant, la main d’œuvre liée à l’assemblage ne représente que maximum 5% du prix de fabrication d’un smartphone.

Même avec un salaire 4 fois plus élevé aux US par rapport à la Chine (faut pas rêver les ouvriers américains ne sont pas aussi bien payés), au sortir de l’usine américaine ton smartphone passerait de 200 à 230 dollars, soit +15%



&nbsp;





skankhunt42 a écrit :



Si tu produit chaque composant au usa alors le prix montera surement à 500$.



Nope.

Cela est impossible à savoir car nous ne savons pas quelle est la part de main d’œuvre dans chaque composant.



Toutefois, si nous faisons le parallèle avec le téléphone au global et appliquons la même logique, nous passerions de 230 à 258,5 dollars.

Le téléphone couterait 25% plus cher pour un produit et main d’œuvre 100% américain, idem si le produit était fait en France.



 Ce qui est largement acceptable pour le consommateur   



Bref, les préjugés ont la vie dure…<img data-src=" />


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Assez d’accord avec ça.



Ce qui devrait être affiché ce n’est non pas le score de réparabilité mais le taux de retour des produits du même constructeur sur les x dernières années.

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…genre ce qu’ils disent à la fin de l’article ? <img data-src=" />

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js2082 a écrit :



Nope.

Comme dit auparavant, la main d’œuvre liée à l’assemblage ne représente que maximum 5% du prix de fabrication d’un smartphone.

Même avec un salaire 4 fois plus élevé aux US par rapport à la Chine (faut pas rêver les ouvriers américains ne sont pas aussi bien payés), au sortir de l’usine américaine ton smartphone passerait de 200 à 230 dollars, soit +15%



 

Nope.

Cela est impossible à savoir car nous ne savons pas quelle est la part de main d’œuvre dans chaque composant.



Toutefois, si nous faisons le parallèle avec le téléphone au global et appliquons la même logique, nous passerions de 230 à 258,5 dollars.

Le téléphone couterait 25% plus cher pour un produit et main d’œuvre 100% américain, idem si le produit était fait en France.



 Ce qui est largement acceptable pour le consommateur   



Bref, les préjugés ont la vie dure…<img data-src=" />







En réalité en France par exemple ça couterais 6 fois plus, 1,85 $ de l’heure contre un peux plus de 10 dollars pour le smic.



Mais c’est vrai que ça resterais peanuts sur le prix d’un tel, mais fois 1 millions…



Et le soucis c’est qu’aujourd’hui dans tous les domaine on te demande de faire xx% de marge par ans, et qu’il faut payer le reste de la chaîne. Par exemple dans un paire de jordan, le monsieur touche plus par chaussure que l’ouvrier qui la fabrique + les matériaux de fabrication.


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jpaul a écrit :



C’est quoi cette réponse ? Pourquoi il aurait du acheter un Android alors qu’il avait déjà un iPhone 4s dans un placard ? Parce que pour info le 4s en question justement, il a 9 ans.





Je suis totalement d’accord avec toi. Pour éviter le gaspillage, il faut conserver les appareils que l’on a déjà.

&nbsp;

Mais justement, il réagit en disant “tellement vrai” à un commentaire qui dit que les iPhones ont une bien meilleur durée de vie que les smartphones Android.&nbsp; Tu devrais plutôt réagir à leurs commentaires qui tentent d’argumenter qu’on aurait plutôt du acheter des iPhones, parce que, voyez-vous, même après 9 ans, on parvient encore à lire des musiques dessus <img data-src=" />


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Je pense qu’il veut dire qu’un android de la même époque peut faire la même chose. J’ai gardé un samsung wave de 2010 qui, s’il est bloqué sur lollipop depuis belle lurette, peut encore faire gps, ou lecteur mp3 avec une autonomie très convenable. J’ai aussi un galaxy s3 de 2012 que j’ai récemment abandonné parce qu’il n’avait pas double sim mais qui fonctionne encore très bien sous android 7. Bref les autres marques sous android peuvent faire du durable, encore faut-il prendre soin de son matériel.

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C’est un peu extrême comme exemple, je suis d’accord : on peut utiliser n’importe quel appareil qui fonctionne encore pour écouter de la musique.



Par contre pas de bol j’abonde aussi aux arguments de ceux qu’il plussoyait : j’ai des smartphones depuis plus d’une décennie maintenant, j’ai pas particulièrement de chapelle, en temps cumulé j’ai eu autant d’androids que d’iPhone.



Et de mon expérience, les téléphones que j’ai gardé le plus longtemps sont les iPhone. Contrairement à ce qu’on lit ils deviennent justement pas dépassés d’un coup : Apple assure les mises à jour longtemps, le téléphone garde ses perfs du début à la fin de sa vie.



À l’époque du battery gate de l’iPhone 6S je voyais tout le monde se foutre de la tronche d’Apple mais perso j’avais un Sony Xperia Z3Compact avec exactement les mêmes symptômes : lent comme la mort à cause d’une batterie devenue faiblarde. Et en fait ça a toujours été la raison pour laquelle je changeais de téléphone pendant des années.



J’avais donc un téléphone d’à peine un an et demie lent, qui chauffait à mort et que Sony ne mettait plus à jour. Et comme y’a pas eu de Xperiagate j’ai pas pu remplacer ma batterie pour 29€.



C’est pas pour défendre Apple, je trouve que globalement ce sont des crevards mais je doit reconnaître que mes iPhone ne se sont jamais « usés » au point que j’ai eu a les replacer. Par contre ça a été le cas de tous les androids (htc, Sony, Nexus, Samsung… même combat)

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Aux économistes en herbe: et que se passera–t-il lorsque que le coût des transports explosera et non bon marché comme&nbsp; aujourd’hui ?



On peut parler aussi des OS tout confondus qui deviennent obèses et augmentent les pré-requis matériels minimums, de la réparabilité oui, mais quand l’obsolescence est dans la nature même des produits comment fait-on ?

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cyril8 a écrit :



&nbsp;Bref les autres marques sous android peuvent faire du durable, encore faut-il prendre soin de son matériel.





… et bien le choisir. Parce qu’il y a vraiment tout et n’importe quoi surtout lorsqu’on entame la course au moins cher d’ailleurs.







Xanatos a écrit :



Aux économistes en herbe: et que se passera–t-il lorsque que le coût des transports explosera et non bon marché comme&nbsp; aujourd’hui ?&nbsp;



Je pense sincèrement que c’est plutôt les matières premières qui vont signifier la fin du hi-tech abordable. Bien trop de composants sont irremplaçables à bon prix et moins on aura de choix, plus on mettra de stress sur l’offre restante : le coût explosera.


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tazvld a écrit :



Il faut prendre Miele de toute façon, c’est increvable. Dyson, c’est du jouet Playschool avec plein de couleur et de truc qui bouge.







Electrolux c’est bien aussi en aspirateurs. J’en ai un qui a fêté ses huit ans cette année, en dehors d’un filtre à 15 € plus port à remplacer il y a trois ans, rien à faire dessus.







ToMMyBoaY a écrit :



… et bien le choisir. Parce qu’il y a vraiment tout et n’importe quoi surtout lorsqu’on entame la course au moins cher d’ailleurs.







+1.



J’ai mis 300 € dans un Lenovo il y a de cela trois ans, il est toujours impeccable aujourd’hui. Sauf si je le fracasse, il fera encore au moins deux ans.



Mon précédent Wiko, 100 € de moins, était devenu galère pour les applis à mettre à jour. Il a quand même duré quatre ans, je ne l’ai remplacé par mon Lenovo que parce que l’écran était cassé.



La durabilité, ça a TOUJOURS un prix. Mais, rapporté à la durée de vie effective de l’appareil, des fois, mettre deux fois plus cher au départ permet d’économiser sur la durée totale de vie de l’appareil parce qu’il dure trois fois plus longtemps, si ce n’est plus.



Mon Intel NUC par exemple, que j’ai payé au prix fort, est toujours dans la course et quasiment neuf aujourd’hui par rapport à ce qu’il était quand je l’ai acheté en 2014. Il va durer en tout et pour tout dix ans facile, sauf accident.



Je pense sincèrement que c’est plutôt les matières premières qui vont signifier la fin du hi-tech abordable. Bien trop de composants sont irremplaçables à bon prix et moins on aura de choix, plus on mettra de stress sur l’offre restante : le coût explosera.[/quote]


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Commentaire_supprime a écrit :



Electrolux c’est bien aussi en aspirateurs. J’en ai un qui a fêté ses huit ans cette année, en dehors d’un filtre à 15 € plus port à remplacer il y a trois ans, rien à faire dessus.



Ainsi que Numatic (qui a en plus des aspirateurs rigolos avec leurs grands yeux <img data-src=" /> ).

Leur matériel est relativement fiable de base, et même si tu as un problème dessus, tout est facilement changeable et les pièces détachées fournies longtemps après la fin du modèle par Numatic.


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Et rien sur la disponibilité des sources logicielles ?

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Je te souhaite pas d’avoir à démonter ton aspirateur Electrolux. Perso je l’ai fait et … mon dieu quelle horreur tout cet assemblage de malade mental de ces dizaines de pièces imbriquées les unes dans les autres à des endroits improbables avec des vis tellement cachées que tu dois tirer sur les pièces sans savoir si elles sont encore attachées ou pas. Tout ça pour empêcher l’accès à un pauvre moteur commandé par un potentiomètre.



Ça m’a pris une bonne heure d’accéder au moteur. Quand j’ai vu le prix du moteur et la trentaine de pièces déposées à côté de moi j’ai tout mis dans un sac direction la déchèterie. J’ai acheté un aspirateur Karcher où tout se démonte hyper facilement. Pour moins cher que le moteur de chez Electrolux.



Édit : à la décharge de mon aspirateur Electrolux, il n’y était par contre pour rien dans sa panne, c’est moi seul qui a noyé le moteur comme le couillon que je suis.

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Oui il y a eu des documentaires qui vulgarisaient la theorie de London sur l’obsolescence matérielle afin de relancer l’économie :m.youtube.com YouTubeCe qui se cache derrière est une relance de l’économie par la consommation énergétique et c’est là où le bas blaisse le plus car nous sommes justement dans une double crise énergetique : pic petrole conventionnel, pic du schiste + disparition de cette industrie qui est entrain de couler l’économie + covid qui est entrain de jouer un rôle de cataliseur phénomenal de la réaction sans compter la surconsommation de ressources qui nourrie le derèglement climatique (manquerait plus qu’une crise alimentaire du fait des invasions de sauterelles qui font rage actuellement + l’effet covid sur les récoltes + mauvais climat, ce qui nous renverrai vers des émeutes de la faim qui pourraient remonter jusqu’en europe).



Du coup, nous n’avons plus les moyens d’une telle relance par le renouvellement/gaspillage. Cette pratique touche donc à sa fin et les entreprises reposant sur ce modèle vont connaître de très grandes difficultés.



A nous et à nos dirigeants de prendre conscience du problème et d’agir car il ne manque plus que l’étincelle avant l’explosion.



A tout ceux que ça intéresse, je vous conseil les livres de Gunter Pauli sur l’économie bleue / biomimetisme ainsi qu’Isabelle Delannoy sur l’economie symbiotique qui démonte nos dogmes actuels et montrent que l’on peut et qu’il faut passer d’une société extractive à une société qui s’inscris dans les écosystèmes.



Ces deux auteurs sont passés sur thinkerview plus ou moins récemments (cf youtube et podcast).



Pauli :m.youtube.com YouTubeDelannoy :m.youtube.com YouTube

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J’ai du mal à comprendre ton propos qui me semble contradictoire entre ta réponse à mon commentaire et celle au commentaire de TexMex.



Aujourd’hui il y a encore pas mal de petites boutiques de réparation (après je suis peut-être biaisé du fait d’habiter en centre-ville ..?), mais comme tu l’as dit toi-même, les fablabs, associations et clubs divers offrent des moyens supplémentaires d’ouvrir le monde du DYI à tout un chacun (en plus des divers tutos sur internet). Donc tout espoir n’est pas vain de ce côté là.

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FrDakota a écrit :



Le MacBook Air 2020 est clairement un appareil conçu pour tomber en panne.

&nbsp;

Louis opens new Macbook Air, immediately loses mind.



The horrible truth about Apple’s repeated engineering failures.&nbsp;







Tant de mauvaise fois sur la première vidéo… (j’ai pas regardé la 2ème)



Sincèrement, y a des gens ici qui croient qu’Apple installe des blower dans leur MacBook juste pour faire joli? Sérieusement?



Le CPU du MacBook est undervolté avec une limitation du TDP. Y a pas besoin d’avoir une usine de refroidissement pour refroidir ce MacBook. L’airflow de ce MacBook est fait de tel sorte que l’air aspiré par le blower passe par le radiateur et d’autres pièces afin de les refroidir toutes en même temps.



En plus, un CPU Intel, ça crame pas à cause de sa température, y a un throttling automatique interne au CPU. N’importe quel overclocker vous le dira.



Les caloducs dans les pc portables, ça bouge avec le temps et les contraintes matériel et au final détériore le pad thermique. S’en passer, c’est ce qu’il y a de mieux pour augmenter la longévité d’un équipement. Simplicité = fiabilité bien souvent.



Et pour finir sur la prestation de ce soit disant expert, ouvrir et allumer comme un gros débile ce MacBook, c’est priver le CPU de son système de refroidissement par airflow. Et venir juste derrière dire que le blower ne sert à rien… pathétique.



Ce gars là, son business, c’est l’Apple bashing hein. Donc forcément qu’il ne va pas en dire si bien. C’est comme demander à un vendeur d’arme ce qu’il pense de la guerre…



Les anti Apple sont aussi ridicule que les fan boys…


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ForceRouge a écrit :



Et pour finir sur la prestation de ce soit disant expert, ouvrir et allumer comme un gros débile ce MacBook, c’est priver le CPU de son système de refroidissement par airflow. Et venir juste derrière dire que le blower ne sert à rien… pathétique.



Ce gars là, son business, c’est l’Apple bashing hein. Donc forcément qu’il ne va pas en dire si bien. C’est comme demander à un vendeur d’arme ce qu’il pense de la guerre…



Les anti Apple sont aussi ridicule que les fan boys…







1/ La mise sous tension ne signifie pas un CPU en pleine charge. Simplement le lancement de la séquence de POST qui sera loin de demander de la puissance. Un POST ne fera jamais griller des composants comme cela. Ou alors il est complètement foutu avant qu’on ouvre la boite.



&nbsp;Donc il ne lance qu’une séquence de démarrage (et non boot) dont il a besoin pour vérifier que les éléments démarrent et qu’il obtiendra les bonnes tensions sur les points de contrôle qui garantissent que la séquence est bien arrivée à son terme dans des conditions acceptables et que l’ordinateur peut amorcer la suite: booter sur le SSD.

&nbsp;

Donc le CPU n’a besoin pas besoin de refroidissement durant l’opération, à plus forte raison si la carte mère est sortie du châssis. Ça risque pas de chauffer beaucoup.





2/ Ce gars a un business qui fait entre autre du MacBook. Il y a aussi le “data recovery” et du mobile. Bref tu aurais tu chercher une information plus complète sur “ce gars là”.

&nbsp;

Effectivement il est remonté contre Apple pour ses pratiques assez vilaines envers les réparateurs indépendants. Mais bon qui ne le serait pas? Si tu avais plus suivi ses vidéos (et celles d’autres “réparateur”) tu aurais peut être une autre idée sur la question.



&nbsp;Les réparateurs ont vraiment de quoi faire la gueule et ce n’est pas par manque de business. C’est plutôt le manque de moyens (rétention des plans et j’en passe) pour faire ce business. Business que le comptoir Apple ne fait pas tellement le devis décourage le client. Il préfèrent te vendre un nouveau truc. Il te sera facile de trouver une vidéo caméra cachée au comptoir d’Apple qui montre les scandale que c’est.

&nbsp;


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Sur les anciens comme les nouveaux, ça marche sur n’importe quel téléphone.



Tu fous la pin en micro-USB ou Type-C dans le téléphone et le câble vient faire contact avec l’aimant pour charger, du coup tu n’as pas le fait de rentrer / sortir le câble à chaque fois, tu as juste l’aimant qui rapproche le tout pour faire contact.

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Oui en ville c’est constant.

Et c’est bien en périphérie que ce serait le plus utile, afin de ne pas reproduire en permanence le schéma du nouveau marché à conquérir avant de se rendre compte que la campagne s’adapte mal et génère plus de déchets électroniques que la ville.









ForceRouge a écrit :



En plus, un CPU Intel, ça crame pas à cause de sa température, y a un throttling automatique interne au CPU. N’importe quel overclocker vous le dira.



Les caloducs dans les pc portables, ça bouge avec le temps et les contraintes matériel et au final détériore le pad thermique. S’en passer, c’est ce qu’il y a de mieux pour augmenter la longévité d’un équipement. Simplicité = fiabilité bien souvent.







Un overclocker dira également que le throttling est le mal du siècle. Le client un peu consciencieux qu’il paye un processeur haut de gamme qu’il ne peut exploiter pleinement faute de dimensionnement du boîtier et du système de refroidissement selon la valeur du TDP fournie par Intel.



Les caloducs bien conçus ne bougent absolument pas. Ceux d’Apple (et oui il y en a !) sont seulement en deçà des préconisations d’Intel… d’où les réglages logiciels pour compenser les défauts de l’affinement du châssis. Et des performances en deçà d’un autre montage plus convenable…



Donc franchement le problème n’est pas le savoir technique d’Apple mais leur volonté de tout aplatir. Si ils pensent à tout passer sur ARM c’est aussi pour se passer des contraintes connues du monde du PC qui ne sont pas compatibles en pratique électronique courante, avec le monde du PC.



Ce New-yorkais ne fait que constater l’idéologie anti-technique de la marque jusqu’à omettre l’élémentaire et je pense qu’il a raison dans la mesure ou le repoussoir des années 50 ne tient plus vu les progrès de la concurrence (qui eux se font au bon rythme et ne produisent pas des circuits conçus à l’emporte pièce…).


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Pour ajouter encore un peu d’eau au moulin et une raison pour laquelle ce genre d’indicateur de réparabilité est souhaitable mais dérisoire si le seul “choix éclairé du consommateur” est visé (en connaissant au passage le matraquage publicitaire, et l’idéologie néolibérale qui ne voudra pas de normes coercitives et de restriction des échanges commerciaux) est qu’aucune données et analyse sérieuse n’accrédite la thèse d’un possible découplage à système capitaliste constant de la croissance du PIB et de la baisse des émissions carbones et des ressources. C’est à dire que la croissance verte est impossible et que tous ceux qui la prêchent sont des croyants, peut être des ignorants dans le meilleur des cas, voir des menteurs dans le pire des cas.



Je cite cet article de Nafeez Ahmed pour Vice https://www.vice.com/fr/article/qj4z9p/la-croissance-verte-est-un-mythe) citant lui-même les deux études publiées dans Environmental Politics et Environmental Science and Policy indiquant que :



“Les



chercheurs du BIOS constatent qu'il y a certainement des cas évidents où l'utilisation des ressources semble diminuer alors que le PIB  augmente. Mais ces cas sont limités à des secteurs économiques&nbsp; spécifiques ou à des régions géographiques particulières, et sont&nbsp; toujours liés à une intensification de l'utilisation des ressources ailleurs. Le problème est qu'il n'y a « aucune preuve d'un découplage absolu et continu des ressources au niveau mondial »."     





“« Pour que le découplage absolu des ressources ait un sens en tant qu’objectif mondial, il faudrait que, dans environ 30 ans, l’économie produise 2,6 fois plus de PIB pour chaque tonne de matériaux utilisés, et ce à condition que l’utilisation des matériaux diminue d’environ 40 % au niveau mondial. Actuellement, aucune tendance correspondant à ce scénario n’est observable et, à notre connaissance, aucune proposition concrète avec un tel niveau de découplage n’a été présentée », ont-ils écrit.”



“L’étude a passé en revue 179 études scientifiques sur le découplage publiées entre 1990 et 2019 et a constaté, en bref, que : « Les faits ne suggèrent pas qu’un découplage vers la durabilité écologique est en train de se faire à une échelle mondiale (ou même régionale). »

Le découplage n’est donc pas un concept véritablement scientifique, affirment-ils. Il s’agit plutôt d’une simple « possibilité abstraite qu’aucune preuve empirique ne peut réfuter, mais qui, en l’absence de preuves empiriques solides ou de plans détaillés et concrets, repose en partie sur la foi ».”

&nbsp;

“« Les données empiriques montrent qu’il est possible d’atteindre des niveaux élevés de bien-être humain sans atteindre des niveaux élevés de PIB, avec une pression nettement moindre sur la planète. Comment ? En

partageant les revenus de manière plus équitable et en investissant dans les soins de santé universels, l’éducation et d’autres biens publics. Les preuves sont claires : ce qui compte, c’est d’assurer à tous une vie



longue, saine et épanouie – c'est à cela que ressemble le progrès. »     





“« davantage d’attention devrait être accordée aux conceptualisations de l’économie qui ne reposent pas sur la croissance économique comme voie principale vers la durabilité écologique et le bien-être humain ».



&nbsp;

Lien vers la première étude :

https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.108009644016.2020.1783951?journalCode=fe…



Lien vers la seconde étude :

&nbsphttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1462901120304342?dgcid=coauth…

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Andrew McAfee, chercheur principal à la Sloan School of Management du MIT, a récemment développé cette notion de découplage dans son livre More From Less. Selon lui, les données financières montrent que nous pouvons facilement réduire notre empreinte matérielle tout en continuant à faire croître nos économies dans un scénario gagnant-gagnant.





Less is a bore…

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Idiogène a écrit :



Less is a bore…







&nbsp;…

&nbsp;



&nbsp;“Le problème est que ce scénario, selon la nouvelle recherche, fait l’impasse sur un point : une plus grande efficacité dans certaines régions ou certains secteurs ne ralentit pas la machine de consommation globale. Dans le cadre d’un système plus large, ces gains d’efficacité nous permettent de consommer mondialement des quantités de ressources encore plus importantes.

C’est pour cette raison que les données sur les flux de matières de ces dernières décennies confirment qu’il n’existe « aucun scénario réaliste » pour un tel découplage de la croissance économique et de l’utilisation des ressources. En passant en revue 179 des meilleures études sur cette question entre 1990 et 2019, on constate en outre qu’il n’existe « aucune preuve » qu’un découplage significatif ait jamais eu lieu.”



“« Le concept de découplage repose en partie sur la foi », conclut l’équipe de l’Institut de recherche BIOS en Finlande, une organisation scientifique multidisciplinaire indépendante qui étudie les effets des facteurs environnementaux et des ressources sur l’économie, la politique et la culture.”



Le gars de la Sloan School of Management nous sélectionne quelques domaines de données statistiques éparses comme l’azote, le potassium, le métal et le papier, dont certains se révèlent douteux et faux, et nous dis que localement la consommation baisse et généralise pour valider le principe du découplage de la consommation des ressources par rapport au PIB.



Alors même que :



“Des chiffres venus d’ailleurs offrent une image totalement différente. Les données de la Banque mondiale montrent que la consommation totale d’engrais par hectare aux États-Unis a connu une augmentation globale, passant de 112,52 kilogrammes par hectare en 2002 à 138,6 kilogrammes par hectare en 2016. Et une étude du département américain de l’Agriculture de cette année-là n’apporte aucune preuve d’une baisse absolue de la consommation d’énergie ou

d’engrais dans l’agriculture américaine depuis 2002.”



C’est embêtant…

&nbsp;

“J’ai soumis les statistiques de McAfee à Tere Vadén du BIOS, auteur principal des deux nouvelles études. Selon lui, le fait de trouver des cas isolés de découplage absolu sur des choses spécifiques comme « le fumier de cheval, les chlorofluorocarbures (CFC), le papier, etc. » nous en apprend « très peu sur le métabolisme général ». Habituellement, ce type de « découplage » n’est que la preuve de « changements particuliers dans les méthodes de production et les modes de consommation ». Ainsi, si les États-Unis utilisent moins de papier mais exportent plus de bois, y compris des copeaux, pour la combustion au Royaume-Uni, cela ne nous dit pas grand-chose sur l’utilisation globale des ressources économiques du pays. « C’est pourquoi une perspective géographique et économique globale est nécessaire pour toute preuve ayant une incidence sur le recouvrement absolu des ressources mondiales, qui est le seul objectif écologiquement suffisant. » ”



Là cela devient une vraie tartufferie.



Cela me fait penser à un article paru dans la MIT Technology Review de juillet 2020 qui veut nous faire croire (nous vend, nous matraque, ou veut nous faire avaler ?) que l’épidémie de Covid 19 est une formidable opportunité pour… robotiser encore davantage les chaines de production et de distribution.



Et de créer encore plus de chômage, de consommer davantage de ressources et encourager les entreprises à investir en plein début de la crise économique du début de siècle.



S’en est ridicule ou morbide.



Donc non, Less is More !


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C’est un vieux débat bien antérieur aux préoccupations écologistes puisque leur ciment était plutôt à l’époque le naturalisme et les invasions civilisationnelles issues des invasions coloniales.



Maintenant, il est évident qu’avec une part non négligeable de produits recyclés cela n’a guerre de sens. L’écologie devrait se borner à définir des pratiques, non à prescrire des niveaux d’efficacité qui comme rappelé :

Dans le cadre d’un système plus large, ces gains d’efficacité nous permettent de consommer mondialement des quantités de ressources encore plus importantes.





A supposer des systèmes comparés à l’équilibre, en effet, les pertes sont transformées en consommation. Less is NO more marche aussi. <img data-src=" />

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Vous parlez de l’effet rebond ou le paradoxe de Jevons cité dans l’article :



“« Des phénomènes bien connus et largement étudiés comme le paradoxe de Jevons,

le rebond et l’externalisation montrent que le découplage sectoriel et

local peut coexister avec et même dépendre d’un impact environnemental

accru et d’une utilisation accrue des ressources en dehors de l’unité

géographique ou sectorielle analysée »”



Il faut lutter contre cet effet qui peut mettre à néant tous les efforts effectués et les améliorations obtenues.

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Idiogène a écrit :



Un overclocker dira également que le throttling est le mal du siècle. Le client un peu consciencieux qu’il paye un processeur haut de gamme qu’il ne peut exploiter pleinement faute de dimensionnement du boîtier et du système de refroidissement selon la valeur du TDP fournie par Intel.



Les caloducs bien conçus ne bougent absolument pas. Ceux d’Apple (et oui il y en a !) sont seulement en deçà des préconisations d’Intel… d’où les réglages logiciels pour compenser les défauts de l’affinement du châssis. Et des performances en deçà d’un autre montage plus convenable…



Donc franchement le problème n’est pas le savoir technique d’Apple mais leur volonté de tout aplatir. Si ils pensent à tout passer sur ARM c’est aussi pour se passer des contraintes connues du monde du PC qui ne sont pas compatibles en pratique électronique courante, avec le monde du PC.



Ce New-yorkais ne fait que constater l’idéologie anti-technique de la marque jusqu’à omettre l’élémentaire et je pense qu’il a raison dans la mesure ou le repoussoir des années 50 ne tient plus vu les progrès de la concurrence (qui eux se font au bon rythme et ne produisent pas des circuits conçus à l’emporte pièce…).







Le problème, c’est que tu veux tout, pour rien.



Le MacBook Air, c’est quoi?




  • un ordinateur portable ultra léger

  • autonomie record, d’autant plus au regard du poids

  • écran rétina



    La airflow de ce MacBook, c’est prévu pour refroidir le CPU quand il tourne au minimum, c’est à dire pour de la consultation web, Facebook, word/excel, emails, regarder ses photos/videos, faire ses comptes, ssh, git, développement, …

    Et cette configuration permet de tenir un boost de quelques secondes lorsqu’il y a besoin comme lancer une appli, exécuter le gros code javascript de gmail, etc…



    Si tu cherche un PC ultra fin, léger, avec 11h d’autonomie capable de tenir un TDP de 35W h24, bah scoop, ça n’existe pas.

    Sans même rentrer dans les specs techniques, tu te doutes bien que si tu comptes compiler du code 8h par jour, lancer 10 VMs ou faire du rendering h265 à longueur de journée, c’est pas ce type de config qu’il faut…



    Si t’as besoin de puissance sur un ordi portable, ça existe, mais ça ressemble pas à un MacBook, et rien que le chargeur fera le poids du MacBook Air.



    Et pour finir, le TDP des CPU Intel mobile est configurable, si le proc est setup pour tourner sur 12W maximum, c’est en aucun cas un problème de design d’apple, mais une fonctionnalité du CPU pour tenir dans des configuration type MacBook Air.



    ark.intel.com Intel


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TexMex a écrit :



1/ La mise sous tension ne signifie pas un CPU en pleine charge. Simplement le lancement de la séquence de POST qui sera loin de demander de la puissance. Un POST ne fera jamais griller des composants comme cela. Ou alors il est complètement foutu avant qu’on ouvre la boite.



 Donc il ne lance qu’une séquence de démarrage (et non boot) dont il a besoin pour vérifier que les éléments démarrent et qu’il obtiendra les bonnes tensions sur les points de contrôle qui garantissent que la séquence est bien arrivée à son terme dans des conditions acceptables et que l’ordinateur peut amorcer la suite: booter sur le SSD.

 

Donc le CPU n’a besoin pas besoin de refroidissement durant l’opération, à plus forte raison si la carte mère est sortie du châssis. Ça risque pas de chauffer beaucoup.





2/ Ce gars a un business qui fait entre autre du MacBook. Il y a aussi le “data recovery” et du mobile. Bref tu aurais tu chercher une information plus complète sur “ce gars là”.

 

Effectivement il est remonté contre Apple pour ses pratiques assez vilaines envers les réparateurs indépendants. Mais bon qui ne le serait pas? Si tu avais plus suivi ses vidéos (et celles d’autres “réparateur”) tu aurais peut être une autre idée sur la question.



 Les réparateurs ont vraiment de quoi faire la gueule et ce n’est pas par manque de business. C’est plutôt le manque de moyens (rétention des plans et j’en passe) pour faire ce business. Business que le comptoir Apple ne fait pas tellement le devis décourage le client. Il préfèrent te vendre un nouveau truc. Il te sera facile de trouver une vidéo caméra cachée au comptoir d’Apple qui montre les scandale que c’est.









Faux, le MacBook est allumé pendant quasiment toute la vidéo, pas juste quelques secondes de boot. Et ce gars la, c’est un Youtubeur. Ses gros plans mal cadrés, sa fausse improvisation, ses réactions, c’est calculé hein, rien n’est fait au hasard. Le but, c’est de faire du buzz, de l’apple bashing. Le gars, il achète une caméra de malade capable de filmer en basse lumière avec un max de détail, et il est pas capable de cadrer même à l’arrache sa vidéo? Tu le sens le gros conflit d’intérêt la ?

A ce niveau de notoriété, ça ne m’étonnerais même pas que le matériel ai été mis HS juste pour un buzz de plus.



De plus, tu le dis toi même, les réparateurs sont rageux, à juste titre, du fait qu’Apple fasse de la rétention d’info pour que seul les réparateurs agrées puisse réparer des iTrucs. Donc le gars, même dans l’hypothèse qu’il soit sincère avec ses réactions, n’est pas objectif.



Franchement, ouvrir l’ordi et dire que le blower ne sert à rien… rien que ça, c’est faux. Et comme justification “It’s just Apple”. Sérieux? et y a des gens qui croient ça? Apple met des blower pour faire joli dans ses MacBook Air ? Un peu de pensée critique serait le bienvenu pour ne pas gober la bouche grande ouverte ce que dit ce gars la sans réfléchir…


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Sauf que je prends l’exemple des processeurs haut de gamme justement taillés pour faire des tâches PRO.

Les gammes de PC portable gamers suffisent amplement à beaucoup de VRAIS professionnels. Partant du constat qu’il n’y a que peu de différences à l’usage en comparaison d’une tour de 15KG…..



Les macbook normaux ne sont pas concernés par ces problèmes car cela fait bien longtemps qu’Intel sort des puces à TDP réduit… l’ajout du TDP variable c’est la juste conséquence assumée (par écrit donc) de la fréquence déjà variable, rien de nouveau. Hors un bon assembleur sait que c’est la fréquence MAX qui compte. Intel nous fait le même coup qu’Apple sur la gamme PRO en assumant de vendre le même die que sur PC mais bridé à N mHz pour… le même prix.



Enfin dans 5 ou 10 ans, ces mHz perdus c’est un portable à jeter faute de pouvoir profiter des quantités délirantes de codes à chaque version d’OS ou du logiciel privilégié… à raisonner de cette manière, ce n’est pas la peine d’aller chercher la petite bête chez un réparateur, le produit n’est pas fait pour durer, il est optimisé pour être vendu et jeté…

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Je précise que le TDP vaiable = Speed Step chez Intel.

Intel n’a pas réinventé ses die ou mis des ressorts pour faire varier la hauteur de heatspreader pour fanfaronner ensuite sur l’ARK et dire “coucou, chez nous c’est variable”. <img data-src=" />

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ForceRouge a écrit :



Franchement, ouvrir l’ordi et dire que le blower ne sert à rien… rien que ça, c’est faux. Et comme justification “It’s just Apple”. Sérieux? et y a des gens qui croient ça? Apple met des blower pour faire joli dans ses MacBook Air ? Un peu de pensée critique serait le bienvenu pour ne pas gober la bouche grande ouverte ce que dit ce gars la sans réfléchir…







La réponse est simple, il faut faut faire le calcul d’échange thermique utile cuivre-air (la surface du radiateur quoi). En watts/débit d’air ms-1. Puis comparer cette valeur avec le nombre de watts transmis par le CPU (TDP). C’est assez simple… tout le monde sera d’accord ensuite. <img data-src=" />


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Alxnd a écrit :



il y’a grave moyen de gruger, dans la mesure au la note finale est obtenue en faisant la moyenne arithmétique des différents critères. Tu peux avoir un produit très bon sur tous les critères mais exécrable sur un des critères.



Et alors ? La note restera valable et les produits comparables. Un produit excellent aura une note excellente, une note moyenne indiquera qu’un ou plusieurs critères sont foireux.


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fofo9012 a écrit :



Et alors ? La note restera valable et les produits comparables. Un produit excellent aura une note excellente, une note moyenne indiquera qu’un ou plusieurs critères sont foireux.



Je crois que ce qu’il veut dire, c’est qu’un produit pourrait avoir la note maximale dans 4 des 5 critères mais que les pièces soient rendues volontairement très chères ou quasi-indisponibles. Il aurait donc 0 dans le cinquième critère, ce qui ferait une note de 810. Alors qu’en pratique, ce seul mauvais critère rend le produit totalement non réparable, et la note finale devrait être du coup 0/10, pas 810 ni même 510.



Il faudrait peut-être rajouter une note minimale à obtenir dans chacun des critères, sous peine d’avoir une mention “non réparable” à la place de la note, ou simplement 0/10.



Après dans la pratique, un tel produit devrait avoir une note plutôt dans les 4-610, car les critères 1, 2 et sans doute 5 demandent du travail, de l’intelligence, et de communiquer des infos internes, ce qu’un constructeur souhaitant bloquer la réparabilité sera certainement peu enclin à faire. La note finale, même si elle ne représente pas exactement la réalité, devrait donc conserver son aspect comparatif, à condition qu’il y ait dans le même secteur des produits qui obtiennent des bonnes notes (au moins de 7-810).


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bingo.crepuscule a écrit :



Faut aussi dire qu’il n’y a plus beaucoup de vrais électroniciens de métier qui savent cibler le cœur du problème. La majorité des réparateurs font tout d’un bloc, en remplaçant une carte dans un appareil coûtant 100€ plutôt qu’un composant (au pif, un condensateur ?) à 10 centimes qui prend 30 secondes à changer quand on a du bon matos et de l’expérience…

C’est toute la différence entre un technicien et un électronicien… Le premier veut pas se faire chier, autant vendre du neuf et marger davantage sans y passer du temps. Le deuxième, lui, cible et répare.











Idiogène a écrit :



30 secondes pour la soudure à l’air ok, mais combien pour seulement accéder au composant dans le cas des CMS ?

Même avec du matériel dédié (qu’il faut amortir), en ajoutant le risque d’erreur (donc l’électronicien est salarié) et les composants périphériques à enlever (avec des plans parfois payants) le rapport temps/argent est défavorable.



Lorsque tu répares le même modèle tous les jours ce peut-être un argument, mais avec un panel à géométrie variable c’est loin d’être à la portée de toutes les boutiques. Ou alors il faut des circonstances très favorables, ce qui se fait rare.







J’adore pour ça les vidéos de Louis Rossmann aux States qui partage ces vidéos de réparation sur YT, prises dans son atelier de réparation. <img data-src=" />

Il incite et permet aux curieux et aux électroniciens en herbe d’apprendre tout ce qui est nécessaire à la réparation électronique d’équipements (surtout Apple étant donné la mauvaise qualité des produits, les vices de fabrication qu’ils dénoncent en long en large et en travers #apple-gates, et le verrouillage par Apple de tout le circuit de réparation pour obliger à passer par son Store avec des prix exorbitants).


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Zebra peuvent s’en vanter.

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bilbonsacquet a écrit :



fonction des marques, ça casse la garantie.







Sauf si tu habites en Europe et que le produit y est vendu (exit l’import par exemple), la garantie marchera quelques soit la marque, ce qui est l’un des bons trucs que nous avons.


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Cela me rappelle un moyen intelligent (pour une fois) avec la note de performance Windows sous Windows 7.



La note final était calculé par le composant le plus lent, car généralement la performance n’est pas dû à la moyenne, mais l’ensemble d’un ordi est tiré vers le bas par le composant le plus lent.

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Le pire c’est que c’est même pas forcément le cas <img data-src=" />



Certains réparateur prennent l’écran d’un iphone identique (avec une carte mère morte par exemple) pour réparer le second. Le problème c’est que Apple bloque ça avec son OS (pas sûr pour l’écran, mais pour la batterie oui).



Il y’a en gros 3 types :




  • L’écran acheté directement depuis le circuit Apple, donc OK mais iOS pourrait faire chier

  • L’écran reconditionné depuis un iPhone, devrait être OK mais iOS pourrait faire chier

  • L’écran de contrefaçon, non OK (même si il peut marcher correctement).

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Premier smartphone avec interface tactile multipoint*



Les précurseurs de smartphone ça commence en 1990 <img data-src=" />



Après même l’USB c’est le bordel entre les différents connecteurs, mais même en excluant Apple, pratiquement l’ensemble des constructeurs étant passé sous du micro-USB, ça a déjà réduit les chargeurs qui ne fonctionnait que sur un téléphone de manière significative.



Perso, j’ai pas le problème vu que j’ai pris les devants, j’ai un câble magnétique universelle pour les trois types de port (lightning / micro-USB / Type-C), seul l’espèce de pin dans le téléphone est différent.

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Samsung avec le Galaxy S3, on est à 8 ans et fonctionne toujours niquel (batterie changer par contre, mais c’est simple <img data-src=" /> ).



Après, sous Android ça implique généralement un changement de ROM pour les mises à jour ou pour avoir de bonne performance. C’est pas impossible sous Android, c’est juste que tu dois le faire tout seul et croiser les doigts, donc forcément plus compliqué de faire tenir que chez Apple où le constructeur s’en occupe plus longtemps.

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Kazer2.0 a écrit :



Perso, j’ai pas le problème vu que j’ai pris les devants, j’ai un câble magnétique universelle pour les trois types de port (lightning / micro-USB / Type-C), seul l’espèce de pin dans le téléphone est différent.







Il y a une norme pour les blocs d’alimentation aussi. Un peu sur le même modèle que la puce dans le cordon chez Apple.


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Rien n’empêche un fabriquant de verrouiller ses pièces.

Le plus étrange étant qu’il existe des logiciel de CAO et impression 3D pour MacOS. L’incohérence et Apple. <img data-src=" />

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fofo9012 a écrit :



Et alors ? La note restera valable et les produits comparables. Un produit excellent aura une note excellente, une note moyenne indiquera qu’un ou plusieurs critères sont foireux.







Non c’est faux ! Parce que un produit excellent ne tombe pas en panne, et donc n’a pas besoin d’être réparé ;). Et c’est là le principale problème de cet indice qui ne prend pas en compte la fiabilité.


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Ouhla S3 ça date ^^

J’ai eu un Galaxy S à l’époque. C’était probablement une vraie révolution ce téléphone.



Mais je suis d’accord qu’il y a moyen de faire durer de l’Android. Mais d’une part même moi qui m’amusait avec des roms custom ça m’a passé.



Au bout d’un moment le téléphone c’est juste un objet. Je veux acheter un truc qui marche longtemps sans que j’aie à m’en occuper. À l’époque j’étais étudiant en informatique, évidement que j’avais que ça à faire. Maintenant j’ai d’autres préoccupations dans la vie (mais c’est pas péjoratif : je comprend très bien ce qui motive les bricoleurs de tout âge).



Par contre pour avoir essayé récemment plusieurs téléphones Android de grandes marques, l’ouverture ne va franchement pas dans le bon sens : même si on est encore loin du verrouillage total d’un iPhone, je constate très qu’à chaque génération de téléphones de grandes marques, le bootloader est un peu plus difficile à ouvrir que la version précédente. Mention spéciale aux constructeurs (Samsung et Sony entre autres) qui placent des « compteurs de flash » qui désactivent définitivement des fonctionnalités du téléphone.

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skankhunt42 a écrit :



Complément d’information : Encore faut t’il le savoir que c’est le moteur. Car si tu le remplace et que ton aspi est encore en panne tu perd de l’argent. Et pour des engins qui sont branchés sur du 220v tu rajoute une couche de danger supplémentaire.







Quad tu appuies sur le bouton de mise en marche et que t’entends rien, c’est soi le contacteur qui est mort, soit le moteur. Le contacteur, ça se teste avec un voltmètre, ou une ampoule électrique si t’as pas. tu peux aussi brancher le moteur direct sur le secteur, s’il tourne, c’est le contacteur.


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Kazer2.0 a écrit :



Samsung avec le Galaxy S3, on est à 8 ans et fonctionne toujours niquel (batterie changer par contre, mais c’est simple <img data-src=" /> ).



Après, sous Android ça implique généralement un changement de ROM pour les mises à jour ou pour avoir de bonne performance. C’est pas impossible sous Android, c’est juste que tu dois le faire tout seul et croiser les doigts, donc forcément plus compliqué de faire tenir que chez Apple où le constructeur s’en occupe plus longtemps.





La contrainte après c’est la taille des applications qui ne cesse de grossir et limite ce que l’on peut installer. :/


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Paradoxalement, c’est un problème sur les modèles récents, mais pas les anciens vu que tu installes les app sur un carte µSD sur les anciens modèles <img data-src=" />

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Trit’ a écrit :



J’ai un pote (non inscrit ici) qui m’a chargé de te dire ceci : «&nbsp;par définition, un produit conçu pour être réparable est par définition facile à réparer, donc pas très coûteux en main d’œuvre/faisable avec un minimum de curiosité/bon sens/matos sans se ruiner ni avoir un bac+15 en électronique ».





Sauf que…



La production est directement lié à l’assemblage et vice versa. Un iphone sortant de l’usine coute 200\(. Si tu l'assemble au usa alors le prix va monter à 300\). Si tu produit chaque composant au usa alors le prix montera surement à 500\(. Vu qu'ensuite le prix final est de 800\) et donc la marge de 600\( cela veut dire qu'ils devront vendre le modèle de base à 1100\) pour rentrer dans leur frais.



Alors après avec le temps il est possible de faire baisser le cout de production sur place mais si tu veut garder un certains standard humain le prix sera forcément bien plus élevé qu’en chine. Et je doute que apple va renier sur ses marges.





J’ai d’ailleurs récemment eu un débat passionné avec un certain SebGf à propos de dagoma qui ne fait que de la merde avec ses imprimante 3D. Pour la faire courte c’est 400€ la machine sans écran ( 50€ ) ni option à la con la ou la concurrence te propose la même chose pour 250€ chez les chinois et 350 / 400 € pour le reste du monde.



Dagoma doit avoir une marge extrêmement restreinte même en vendant leur machine à ce prix la, assemblée en france et toute les pièces en ABS sont fabriqués sur place sur des machines maison.



Sans écran tu ne peut pas faire de véritable maintenance… Obligé de te connecter et d’utiliser un logiciel non documenté et ou la moindre erreur peut être fatale pour la machine.



Pendant ce temps la les marque en mode “chinois” évoluent à une vitesse de malade et dagoma est resté sur le carreau alors que c’était les premier à avoir proposer des machines abordable.



Mais leur marche de manœuvre ont été tellement restreinte que la moindre erreur de leur part à été fatale.





Le pire c’est que les mecs ils sont à fond “dans leur connerie”, à te soutenir que un écran “ça sert à rien” et puis dès que t’a une couille tu te rend compte que c’est juste indispensble. Car ils savent très bien que tu va rajouter 50€ si tu veut absolument une de leur machine.



Sauf que la plupart des acheteurs comparent activement avant d’acheter et dès que tu sort du marché national tu l’a juste dans le cul car il y à aussi le délire des frais de port. Au passage, pas possible de simuler les frais de port sans créer un compte. Absolument rédhibitoire pour certains.


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bilbonsacquet a écrit :



Et dans les portables des autres marques, la RAM, le proc et le SSD sont aussi souvent non remplaçable, un exemple :

https://www.asus.com/fr/Laptops/ASUS-E203NA/ j’appelle ça un produit “jetable”…

Idem pour du HP ultrabook à plus de 1000€



Procs remplacables, j’ai rarement vu en 25 ans quelleque soit la gamme (et pour les rares cas possibles, le coût prohibitif du nouveau rendait l’affaire totalement inintéressante).

Et sur le Vivobook que tu montres, le changement de disque dur est très facile : il suffit de retirer la trappe à l’arrière, tenue par une seule vis cruciforme…


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skankhunt42 a écrit :



Non tu n’a pas choisis… Les certifications apple coutent un bras et ce n’est pas qu’une question d’argent.



Au moins une boutique n’a pas besoin d’une certification pour ça.







Ce n’est pas pour autant qu’ils auront des pièces détachées officielles après 2ans.



J’avais regardé pour changer une CM d’un PC portable asus qui avait 3-4ans, impossible à en mettre la main dessus. Mais à coté, j’avais celle pour tout les MacBook des 10 dernières années.







skankhunt42 a écrit :



Tout le monde ne peut pas s’acheter un dyson…





Il faut prendre Miele de toute façon, c’est increvable. Dyson, c’est du jouet Playschool avec plein de couleur et de truc qui bouge.


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tazvld a écrit :



j’avais celle pour tout les MacBook des 10 dernières années.





Sauf que si t’a un composant à 1€ qui claque ils te remplace la carte en entier…


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Cf Sony dans l’électronique dans les années 90- début 2000. Toutes les vis étaient standard, indiquées sur l’appareil par des flèches et la réparation bien documentée (discman, radio-cd, playstation 1…). Par la suite ça s’est un peu gâté même si Sony reste toujours un bon élève dans ce domaine.

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KP2 a écrit :



Quand on en est à préciser le n° Pantone de la couleur de l’indice,





Totalement hors sujet : Wow, ça faisait longtemps que j’avais plus entendu de ces feutres, toute ma jeunesse ;-)


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Oui. Sauf que certains revendeurs n’hésitent pas à facturer 50 à 100€ de “frais de dossier” ou “frais de prise en charge”, en sus du tarif horaire. On voit bien qu’ils veulent qu’on rachète…

Et “facilement réparable”, ça dépend si on se place du côté du professionnel qui, avec ses connaissances et son équipement, peut le faire en 15 minutes, ou de Mme Michu qui n’a aucune notion d’électricité ou d’électronique, et qui a 2 mains gauches.

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J’ai lu 2 fois et j’ai toujours pas vu <img data-src=" />

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skankhunt42 a écrit :



Sauf que si t’a un composant à 1€ qui claque ils te remplace la carte en entier…







Non il y a des réparateurs de mac au composant


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Tellement vrai.

On a même encore un 4s à la maison qui sert à la petite pour écouter de la musique (no youtube, no games of course)

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Hors sujet. Ici on ne parle pas de durabilité mais de réparabilité. Et Iphone aura toujours les plus basses notes sur ses produits actuellement en vente.



&nbsp;Le rapport entre l’actu et la version de l’OS???

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Battu&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;un 3Gs utilisé par madame dans ses cours d’anglais !

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Encore plus simple: avec la garantie constructeur, il vaut mieux ne pas tenter de réparer, et très souvent ils font un échange à neuf… donc les gens ne vont pas être très motivés.

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Le problème est le même sur tout les ordinateurs portables, quelque soit la marque. Réparabilité et portabilité ne font rarement bon ménage.



J’ai connu les ordinateurs portable depuis très longtemps. Les premiers que j’ai vu ressemblait à un gros oscilloscope, avec un écran ridiculement petit (il faut dire, c’était un tube cathodique noir et blanc) : c’était un truc dans le genre. Ca effectivement c’était réparable. Cependant, je Crois que la RAM devait être remplaçable mais avec un fer à soudé (c’était le standard de l’époque aussi). Niveau portabilité, ça ne se glissait pas très bien dans son sac à dos.



Puis les ordinateur portable des années 90, bon ça ressemblait déjà plus à ce que l’on connaissait, mais pareil, c’était des composants de seconde zone (ça arrivait à ramer sous windows 3.1), des écran écran plat noir et blanc de 7 ou 9” avec une rémanences de folie (au début, ensuite, couleur fade, sans luminosité ni contraste, mais toujours avec la rémanence) et un prix exorbitant. Mais en terme de taille et poids, c’était du gros pavé de la taille d’un 13” en 43 et 7cm de haut (tu pouvais avoir 2 lecteur disquette superposé sur la tranche). Il y avait un lecteur disquette et même des ports PCMCIA, sorte de port PCI/USB pour portable (bon, ça fonctionnait que quand ça voulait, avantageusement replacé par le port USB). Bon, déjà là, si un composant grillé, il fallait changer la pièce. Tu ne remplaçais plus trop les condo avec ton poste à souder. J’ai été témoin ainsi la mort d’un tel PC portable entre mes mains l’écran noir et blanc s’est éteint d’un seul coup (bon, j’ai plissé très fort les yeux pour confirmer, entre éteint et allumé la différence n’étant pas net) et puis plus rien. Mon père, qui pourtant touche sa bille, a regardé, et a déclarer que c’était mort.




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Ils n’étaient pas obligés de suivre la mode ^^

;)

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js2082 a écrit :



Non.

Les gens ne cherchent plus à réparer car les marques conçoivent les produits de telle manière à ce que les gens ne puissent pas les réparer eux-même.



Le mouvement ayant justement été lancé par Apple avec son 1er iphone.





Après, moi, je ne sais pas, je ne joue pas au foot avec mes affaires. Généralement, quand je change, ce n’est pas parce qu’il est tombé en panne, c’est qu’il ne correspond plus à mes besoins et même là, j’ai tendance à attendre un bon alignement d’étoile (je crois que ça fait bien 2ans que je me dit qu’il faut que je change mon téléphone…).



Si un appareil est solide, il n’a pas besoin d’être réparé. S’il n’a pas besoin d’être réparé, le critère de réparabilité n’a pas lieu d’être.


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Pas sur les anciens alors, le problème récurent constaté c’est le jeu dans la prise.

Après j’arrive à tout faire sans fil, tant pis OTG c’était pratique.

&nbsp;







tazvld a écrit :



….&nbsp;





Oui, je comprends très bien, entre serveurs, laptops, smartphones&nbsp; et maintenance des proches c’est faisable quand tu es étudiant et sans famille à gérer.

Pourtant je ne peux m’empecher quand je vois avec effroi l’utilisation des smartphones <img data-src=" />


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Equilibrium a écrit :



A grande échelle, peut être faudrait-il créer une certification obligatoire et contrôlée portant sur la réparabilité et la durabilité des produits.



La norme est definie sur 12 ans avec tous les 3 ans des critères de plus en plus élevés empêchant l’entrée et la commercialisation des produits ne respectant pas la norme au sein de l’UE/EEE. C’est du protectionnisme d’intérêt général et qui pourrait créer des effets vers le haut également pour les autres zones économiques car les fabriquants feront les investissements une fois pour tous les marchés.



Nous avons trop été habitué à ces petites incitations, au petit droit du consommateur et l’action des associationd mais il est nécessaire maintenant et au vu des enjeux d’aller plus loin sur de vraies politiques, engageantes sur le long terme et qui seules peuvent changer le visage du marché.







Ça irait tellement à l’encontre des sacro-saints principes fondamentaux de notre système de consommation actuel que j’en suis malheureusement sceptique….



Depuis les mesures mises en place à la suite du Krach boursier de 29… j’ai du mal à voir comment faire sortir pour de vrai les entreprises de ces logiques là. :/



[/pessimisme]


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skankhunt42 a écrit :



Ha si c’était si simple…&nbsp;&nbsp;



&nbsp;C’est très souvent si simple.



Quand je dis aux gens de ne pas jeter tout de suite: entre les cas où c’est le vieux fusible dissimulé qui a sauté (ou la resistance-fusible, grrrrr), le bouton marche/arrêt qui ne fait plus contact, la cosse à resserrer (qu’on voit par ce que tout est noir autour du fait des étincelles), sans oublier les filtres jamais nettoyés des aspirateurs ou des lave-linges,&nbsp; lave-vaisselles…

&nbsp;

Première note prévue: l’explication de l’utilisation et de l’entretien: les gens ne lisent plus les modes d’emploi et les oublient, mais l’entretien permet de conserver longtemps les machines. On devrait mettre des éco-amendes à ceux qui jettent sans avoir relu le manuel.

&nbsp;

Je ne compte plus le nombre de fois ou en passant une heure maxi sur un appareil j’ai pu le rendre fonctionnel de nouveau sans aucune pièce détachée (et la plupart tournent encore). Ca me désole même, j’aime bien faire le kéké avec mon fer à souder et tout démonter de fond en comble.



J’interviens parfois à un “repair café”, on répare 1 appareil sur deux ou trois, ça paraît pas beaucoup mais on est sur un coin de table, en quelques minutes, sans équipement autre que les tournevis, pinces et fer à souder, et surtout sans stock de pièces.


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<img data-src=" />

Le côté négatif de tout ça c’est qu’on se retrouve avec beaucoup de matériels assez agés

la MAL 20 ans , celle à vaisselle aussi le sèche linge 30 ans l’aspirateur 45 ans ,le microonde 25 ans

la chaine HIFI 30 ans , un écran plat 15 ans etc etc…



J’ai commencé les dons de PC , de HIFI enceintes etc pour réduire ma facture énergétique

Je file tout à EMMAÜS ( sauf quand ils n’en veulent pas comme les télé)

Mais tout marche et comme tu le dis ça coute 1h ou un après midi pour faire retomber en marche



Il reste une tour avec un core2 660 ou un HTPC ACER Atom d525 avec des petits SSD en ce moment

Faut que je nettoie les SSD avant de les donner



et j’ai un aspirateur à regarder ( dans la cave en ce moment …il fait trop chaud ) qui vient de la famille

En plus ça occupe <img data-src=" />

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Moi aussi j’aime bien faire le kéké avec mon fer à souder et mon pistolet à colle. Mais je t’assure que pour le commun des mortel ça reste être un ovni. Pour certain t’est à la limite du jacky tunning.

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Franchement ? Tu arrives à faire des soudures en remplacement de celles réalisées par des robots sur des cartes multicouches ?

Moi j’ai jamais réussi.



OK pour un circuit puissance, un filtre LC d’enceinte, mais de là à considérer que le fer à souder est l’alpha et l’oméga de la maintenance électronique…

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skankhunt42 a écrit :



Moi aussi j’aime bien faire le kéké avec mon fer à souder et mon pistolet à colle. Mais je t’assure que pour le commun des mortel ça reste être un ovni. Pour certain t’est à la limite du jacky tunning.







et ça empêche de justement tenter de sensibiliser le-dit public ? De lui donner un peu plus d’outils pour savoir que ça existe et s’y retrouver ?



..ce serait dommage d’essayer.


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DanLo a écrit :



et ça empêche de justement tenter de sensibiliser le-dit public ? De lui donner un peu plus d’outils pour savoir que ça existe et s’y retrouver ? ..ce serait dommage d’essayer.





Le public est sensibilisé à l’école mais la manière d’apprendre est à chier ce qui finis par dégouter tout le monde. Je me souviens de mon premier cours de techno… Ont devais faire un appareil qui détectait l’humidité de la terre d’une plante.



C’était une forme de légo “ casse couille ” car ont comprenais absolument que dalle. Y’avais d’ailleurs même pas de quoi s’entrainer à la soudure… J’ai des dizaines d’heures de soudage derrière moi maintenant et jamais au grand jamais je vais m’amuser à souder sans tester mon fer avant et m’entrainer un chouilla sur une carte d’essais.



Si j’avais un tuyaux à propos de la soudure c’est d’arrêter de vouloir chauffer la piste puis y rajouter de la soudure, ça prend trop de temps et il y à un risque de claquer des composant à côté. Ce qu’il faut faire c’est chauffer la piste et caler direct de la soudure pour faire une petite boule. au bout de 2 / 3 secondes cette boule va naturellement s’agglutiner à la piste et 3 secondes plus tard la température voulue est atteinte. La soudure permet d’accélérer la chauffe de la piste.



&nbsp;


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Tandhruil a écrit :



Franchement ? Tu arrives à faire des soudures en remplacement de celles réalisées par des robots sur des cartes multicouches ?&nbsp;



On est bien d’accord: j’ai pas dit que je réparais les ordis/téléphone au fer à souder. Au mieux, j’ai ressoudé une prise USB sur une mini caméra, un bouton poussoir ou une prise d’alim sur un ordi. Et j’ai galéré et je n’étais pas fier du résultat. Mon beau-père a changé les condos de sa carte mère sur un AMD de mi-2000 (il a même pas pris les mêmes valeurs - mais ça a marché). On peut réparer la partie alim et la connectique simple sur certaines TV, démodulateurs Sat, lecteurs DVD/blu-ray, BOX internet…&nbsp;

Mais le gros des dépenses des ménages, c’est pas les téléphones et les ordis. C’est les cafetières, les aspirateurs, les lave-linge, lave-vaisselle, friteuses, plancha, radios, … Indépendemment, ces appareils coûtent moins cher que les ordis, mais on en a beaucoup plus par foyer, et ils sont souvent considérés comme plus importants que le matériel info.

Et je répète, le gros des “réparations” que je fais à l’occas, c’est du dépoussiérage, du grattage de contact et de la soudure sèche.


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OK, désolé j’ai du mélanger plusieurs messages de plusieurs personne différentes.



Avec le fer à souder, bien souvent tu as besoin d’un multimètre, voir d’un oscillo et là ce n’est plus à la portée de tout le monde (le composant HS qui noirci ou fond, ça arrive quand même assez rarement).

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On me répondra que ça dépend du type d’appareil, mais pour une grande majorité des pannes, il n’y a pas besoin de matos de précision et le problème ne vient pas de composants CMS.



Tous les matos audio que j’ai eu à réparer ça venait soit d’un gros condo., d’un câble à changer, un Switch dé-soudé… bref des “gros” trucs.

Je suis convaincu qu’avec du matos de base type [par ordre d’importance plus ou moins] un bon kit de tourne-vis, un fer à souder, un chiffon, de quoi fixer (colle, pisto-colle, scotch…), WD-40, il est largement possible de réparer 80% des pannes.

Et je parle même pas d’ajouter du savoir faire dans l’usage d’une imprimante 3D ou des compétences en logiciel voire électronique approfondie pour aller sur des soucis plus en profondeur/plus importants.



Mais dans tous les cas je suis d’accord, faut être un peu plongé dans ce genre de choses pour se lancer dans des réparations et c’est pas donné à tout le monde. Mais avec de la sensibilisation et en faisant jouer les contacts (on a tous qqn d’un peu plus débrouillard dans l’entourage !)… :)

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Le matériel audio c’est le plus simple… maintenant les enceintes sont bluetooth, le casques wifi et les télé en fibre optique.



Je conçois que la réparation reste simple, mais avec 80% de fait main les 20% restants sont du remplacement. A cause des CMS pas toujours certes, mais aussi et surtout de la difficulté à trouver des schémas de fonctionnement précis. Ou alors il faut réellement du savoir et des outils pour rétro-ingé la panne et échanger les boîtiers parfois caviardés par des neufs.



On est plus en 85. Le cyber-punk c’est fini. <img data-src=" />

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Les 5 dernières années, j’ai réparé un four, un micro-onde, une télé, je-sais-plus-combien d’ordinateurs portables, une tablette graphique (bon, pour le coup j’ai surtout diagnostiqué que c’est pas réparable parce que le connecteur de charge à cassé et impossible de ressouder, il n’y a plus du tout de contact possible soudable….), un casque, une imprimante…

Après je suis totalement d’accord, dès qu’on arrive sur des pannes d’électronique il faut fouiller 2 fois plus, avoir + de connaissances pour reconnaitre les composants, les schémas électriques typiques etc. Mais c’est clairement le type de pannes les plus rares qu’il m’est donné de voir..! (pour ainsi dire, j’en constate que dans mon club de robotique, quand un pote ramène des antiquités jetées sur le trottoir ahahah)



Très clairement, le passage au numérique du moindre appareil du quotidien n’aide pas côté réparabilité… ça je ne peux qu’être d’accord.

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Dans un club… sors dans la rue, compte les réparateurs fermées.

Même cet indice va accentuer le phénomène, les S.A.V des marques vont simplement ajuster leurs tarifs et il faudra faire jouer les garanties sur 5 ou 8 ans pour avoir une pièce dispo mais déjà payée 3x le prix par l’extension de garantie.

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Ce n’est pas donné à tout le monde aussi par le fait que ces appareils sont devenus compliqués par forcément du fait d’une réelle complexité mais pour entraver les réparations au nom de la sacrosainte sécurité.



Donc les gens les plus démunis ou peu intéressés vont passer leur chemins. On peut pas vraiment leur en vouloir quand on voit les forfaitures de certains réparateurs électro ménager.

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En plus des clubs il a des associations dédiées. Et pas que sur l’électroménager… Faut pas non plus croire que tout est vicié, le bloubiboulga n’aide pas mais quand même. <img data-src=" />

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Des doigts d’enfant oui. Va faire un tour dans une crèche, mets tes mains sous l’eau chaude, sur les surfaces vitrées ou cherche les radiateurs en fonte apparents… bon courage pour te brûler.



Il y une norme pour tout maintenant, ton ironie est donc déplacée.

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ForceRouge a écrit :



Le problème, c’est que tu veux tout, pour rien.



Le MacBook Air, c’est quoi?




  • un ordinateur portable ultra léger

  • autonomie record, d’autant plus au regard du poids

  • écran rétina



    La airflow de ce MacBook, c’est prévu pour refroidir le CPU quand il tourne au minimum, c’est à dire pour de la consultation web, Facebook, word/excel, emails, regarder ses photos/videos, faire ses comptes, ssh, git, développement, …

    Et cette configuration permet de tenir un boost de quelques secondes lorsqu’il y a besoin comme lancer une appli, exécuter le gros code javascript de gmail, etc…



    Si tu cherche un PC ultra fin, léger, avec 11h d’autonomie capable de tenir un TDP de 35W h24, bah scoop, ça n’existe pas.

    Sans même rentrer dans les specs techniques, tu te doutes bien que si tu comptes compiler du code 8h par jour, lancer 10 VMs ou faire du rendering h265 à longueur de journée, c’est pas ce type de config qu’il faut…



    Si t’as besoin de puissance sur un ordi portable, ça existe, mais ça ressemble pas à un MacBook, et rien que le chargeur fera le poids du MacBook Air.



    Et pour finir, le TDP des CPU Intel mobile est configurable, si le proc est setup pour tourner sur 12W maximum, c’est en aucun cas un problème de design d’apple, mais une fonctionnalité du CPU pour tenir dans des configuration type MacBook Air.



    ark.intel.com Intel







    Globalement d’accord avec toi.



    Je ne suis pas client d’Apple pour une raison simple : trop cher pour moi. Au-dessus de 600 € un portable, je peux pas suivre sans prendre un crédit, donc niet.



    Après, j’assume ma radinerie. Mon portable actuel fait 14 pouces d’écran, avec des bordures de 15 mm de large, et une épaisseur qui est proche de 2cm, le tout pour une machine bureautique. Ça me va parfaitement parce que j’en ai rien à secouer de l’esthétique Apple à outrance.



    Je n’en demande pas non plus des perfs à grimper aux rideaux avec les dents. Si ma Mint 20 tourne dessus, ce qui est le cas, ça me convient. Je n’ai pas d’usages nécessitant un proco d’enfer.



    En contrepartie de ce qui est perçu par certains comme des limitations pour la taille et la puissance, il m’a coûté 450 €, pas plus. C’est ça que j’ai vu et qui m’a fait accepter tout le reste sans discuter.


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D’un autre côté vu le peu de réglages manuels sur l’appareil photo et l’épuration des fonctions de CUPS (le logiciel d’impression) en partie utilisateur… les ICC c’est bien avec du matériel dédié. Peut-être que l’iPad Pro gère plus d’options qu’IOS. Auquel cas c’est un bon point pour eux.

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Commentaire_supprime a écrit :



En contrepartie de ce qui est perçu par certains comme des limitations pour la taille et la puissance, il m’a coûté 450 €, pas plus. C’est ça que j’ai vu et qui m’a fait accepter tout le reste sans discuter.







Ce n’est pas une contrepartie. C’est juste le même raisonnement. Le rapport puissance/prix est meilleur sur l’entrée de gamme, c’est valable pour tous les ordinateurs… aucun assembleur grand public ne sait construire de machines grand public durables sur ce point, sauf à aller taper dans les gammes serveur ou workstation chez HP, Dell et autre boite ayant un minimum d’expérience du problème.


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&nbsp;Bin… Eizoil disent pas pareil, par exemple.

https://www.eizo.fr/fr/content/61-color-navigator&nbsp;

à&nbsp; “Planifier un recalibrage automatique”

&nbsp;

Ce n’est évidement pas le moniteur de monsieur tout le monde (jusqu’au prix d’une bagnole) mais voila.

&nbsp;

Viens s’ajouter ce que l’on sait de la vision humaine:

&nbspyoutube.com YouTubefr.wikipedia.org Wikipedia&nbsp;



&nbsp;C’est donc une question bien complexe :





  • de qualité de moniteur qui ne se valent pas tous (aux antipodes de là)

  • de temps passé. La chauffe du moniteur, l’usure, le nuage qui dévoile le soleil etc.

  • de vision humaine qui repose pas mal sur l’interprétation (case de couleur adjacentes etc) et aussi sur les réactions physiques (l’ouverture de l’iris et l’effet HDR par ex). Voire les défauts et pathologies de chacun.

  • de perception suivant la taille de l’écran aussi.



    Un professionnel de l’image (infographiste, imprimeur, photographe…) a besoin de ces choses pour éviter les distorsions entre source et résultat sur d’autres médias / moniteurs. Ils ont besoin de précision et de grandes surfaces “pour y voir clair”.



    &nbsp;Donc bon… Pour un téléphone avec un écran pas bien grand qui se trimbale dans ta poche, le métro, et l’éclairage néon (des flashs) de la supérette du coin avec en plus un ajustement de la puissance pour compenser la lumière environnante… bref. Tu pisses dans un violon sel les 15 litres de bière que t’as bu à l’Oktoberfest, c’est pareil.

    &nbsp;

    &nbsp;Mais bon de nos jours l’utilisateur de téléphone mobile étant tellement exigeant… Il le voit le pixel pas de la bonne couleur sur son écran de 159.5x73.4mm (S8+) en WQHD (2560x1440) au travers de ses verres de lunettes corrigeant une myopie sévère… Il le voit!! … Y’a de ces priorités dans la vie…

    &nbsp;



    &nbsp;

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TexMex a écrit :



Bin… Eizoil disent pas pareil, par exemple.

https://www.eizo.fr/fr/content/61-color-navigator

à  “Planifier un recalibrage automatique”

 

Ce n’est évidement pas le moniteur de monsieur tout le monde (jusqu’au prix d’une bagnole) mais voila.

 

Viens s’ajouter ce que l’on sait de la vision humaine:

&#160youtube.com YouTubefr.wikipedia.org Wikipedia





Désolé, je ne fais que de la BD et si c’est vrai qu’un moniteur est irrégulier sur l’ensemble de la dalle, j’ai quand même l’impression que certaines fonctionnalités sont un peu de la bran*te.



Le plus important c’est que la couleurs que tu vois à l’écran corresponde à celle imprimée et ce n’est franchement pas évident, surtout pour les nuances de bleus ou le contraste sachant que les écrans plats sont beaucoup trop lumineux même avec la luminosité au minimum..

Quand aux aléa de la vision humaine, c’est justement tout le charme de la colorisation que de jouer avec. Mais une couleur chaude sur un écran se doit d’être toute aussi chaude sur le papier.


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TexMex a écrit :



Tu pisses dans un violon sel les 15 litres de bière que t’as bu à l’Oktoberfest, c’est pareil.







Mais non, c ‘est force rouge voyons. <img data-src=" />


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C’est des moniteurs pour produire.

Les fonctions gamut et luminance sont loin d’être accessoires.<img data-src=" />

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pour produire… Du cinéma (et sans doute des masters bluray) et essentiellement de l’image pour supports numériques.



Sinon le calibrage (gamut) c’est ce qu’on évoque depuis le début…

le recalibrages, c’est plutôt lié aux CRT historiquement.



Perso j’ai un iiyama basique avec son profil icc, j’ai eu l’occasion de tester mes créations avec un imprimeur jusqu’à arriver au profil idéal, je ne pense pas qu’une cintiq soit au niveau de performance du moniteur en question et elle est utilisée par tous les graphistes numériques.



edit: enfin il ne faut pas oublier que l’humain à un cerveau (pour le meilleur et pour le pire) et qu’on fini par identifier les zones un peu faussées du moniteur et on scroll si on a besoin de précision.

Je dis pour le pire parce que le cerveau peut aussi te mentir sur l’image que tu vois, surtout si elle est le résultat d’une construction de ton imagination.

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Bref…



Bref l’actualité parle de réparabilité, pas des MaJ, donc:

Faut peut-être arrêter de raconter des âneries, non ?

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Idiogène a écrit :



C’est pourtant facile, tu prends la puissance en watts sur le chargeur… il n’y a pas que le CPU comme je l’ai dit !



Et oui j’ai déjà utilisé un macbook au quotidien. Donc je sais très bien ce que représente un châssis en alu à 45° sur mes genoux… au delà de 10 minutes tu te brûles.



Et je n’invente rien sur le problème :

support.apple.com AppleIdiogène a écrit :



Des doigts d’enfant oui. Va faire un tour dans une crèche, mets tes mains sous l’eau chaude, sur les surfaces vitrées ou cherche les radiateurs en fonte apparents… bon courage pour te brûler.



Il y une norme pour tout maintenant, ton ironie est donc déplacée.







La première phrase du lien que tu m’as envoyé (que visiblement, tu n’as même pas pris le temps de lire):



“Mac notebooks comply with all temperature limits that are set in national and international safety standards.”







Ensuite, les recommandations données sont valables pour n’importe quel ordinateur portable. Et encore plus pour la grande majorité des ordinateurs portable non-mac étant donné que les MacBook Air et Pro n’ont pas besoin d’aération sous le châssis. Contrairement à la totalité des autres ordinateurs portables que j’ai eu qui ont toujours eu des ouvertures pour la RAM ou autres entrée d’air.



Pour la puissance du chargeur, bah c’est aussi pour recharger la batterie… On parle actuellement de chargeur 100W pour mobile permettant de recharger 50% d’une batterie en 2mn. Tu penses qu’un Snapdragon a besoin de 100W pour fonctionner? Tes connaissances techniques font peur et tu te permets de remettre en cause le travail des ingés Apple.



Et pour finir, j’utilise un MacBook Air tous les jours, actuellement posé sur un lit où j’écris ces lignes. Il est allumé depuis 30mn, l’alu du châssis (y compris en dessous) est froid et le ventilateur ne tourne pas (ou est inaudible, j’en sais rien et en vrai, je m’en fou vu que le résultat est le même).


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Pour du cinéma ou de la photo numérique la calibration fait partie du jeu. Je suis d’accord que c’est parfois con mais que veux-tu, on a pas tous le bon profil de réception donc la calibration incombe forcément à l’éditeur (auto-prod incluse) comme pour l’imprimeur qui peut si nécessaire retoucher tes couleurs car il connaît sa bécane et la colorimétrie admissible par le plus grand nombre.



Pour les tablettes il suffit de rester sur des modèles en N/B…



Ton cerveau s’en fout que la couleur soit exprimée en html… ce qui explique le succès de ces tablettes.

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ForceRouge a écrit :



La première phrase du lien que tu m’as envoyé (que visiblement, tu n’as même pas pris le temps de lire):



“Mac notebooks comply with all temperature limits that are set in national and international safety standards.”







Ensuite, les recommandations données sont valables pour n’importe quel ordinateur portable.







Des normes qui sont faites sur la base de taux forfaitaires applicables à trop de produits et de scénarios d’usage pour n’en sélectionner que celui de portable. Ou alors j’exige la norme pour l’Europe… t’as une source  pour corroborer ton champion?







ForceRouge a écrit :



Et encore plus pour la grande majorité des ordinateurs portable non-mac étant donné que les MacBook Air et Pro n’ont pas besoin d’aération sous le châssis. Contrairement à la totalité des autres ordinateurs portables que j’ai eu qui ont toujours eu des ouvertures pour la RAM ou autres entrée d’air.







Ce qui démontre que le choix de conception est celui du passif. Comme pour les Iphone ou les Ipad. Mais on a toujours pas démontré qu’on ne dépassait pas une valeur de préhension déterminée par une norme. 43° je te dis que c’est trop pour des gosses. Même avec une norme qui dirait, au doigt mouillé, dans les 50°.



Sachant qu’il n’existe pas de valeur dans le code du travail… moi je dis qu’Apple, ou les autres, se foutent bien de la gueule du monde avec cette petite phrase.







ForceRouge a écrit :



Pour la puissance du chargeur, bah c’est aussi pour recharger la batterie… On parle actuellement de chargeur 100W pour mobile permettant de recharger 50% d’une batterie en 2mn. Tu penses qu’un Snapdragon a besoin de 100W pour fonctionner? Tes connaissances techniques font peur et tu te permets de remettre en cause le travail des ingés Apple.







Je pense que tu fais un beau raccourci en énonçant implicitement qu’aucun ordinateur portable ne peut être alimenté et fonctionner à 100 % de sa puissance sans sa batterie. Tu crois réellement que les ingénieurs d’Apple dorment bien la nuit en se disant qu’un client ne pourra pas utiliser son macbook sur secteur quand la batterie est à plat ?



Faisons donc l’inventaire :




  • écran = n W

  • HDD/SSD = n W

  • batterie = n W

  • (…)

  • (…)

  • ah oui, j’oubliais le processeur…



    Sur un chargeur de 45W tu me diras combien il t’en reste pour charger ta batterie lorsque tu utilises le portable… autrement dit, les watts qui ne sont pas émis par la lumière de l’écran c’est soit de la tension sur la batterie, soit de la perte thermique par effet joule. Vue la durée de vie des éléments au lithium mieux vaut les charger à 0,5C. Donc dans le meilleur des cas tu as les 45 de ces 45W qui partent en fumée pour ton usage.



    Il existe des mini-radiateurs de 50W sur allume cigare… soit dit en passant.

    Mais c’est vrai que techniquement je fais peur…









    ForceRouge a écrit :



    Et pour finir, j’utilise un MacBook Air tous les jours, actuellement posé sur un lit où j’écris ces lignes. Il est allumé depuis 30mn, l’alu du châssis (y compris en dessous) est froid et le ventilateur ne tourne pas (ou est inaudible, j’en sais rien et en vrai, je m’en fou vu que le résultat est le même).







    Il fait 28° par chez moi. Autant dire que sans lancer une vidéo 4K voire deux, ton avis est sans intérêt.








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H.S.:

&nbsp;







TexMex a écrit :



&nbsp;…un violon sel…





Raaah, par ta faute j’ai imaginé une sculpture de violon faite en sel. <img data-src=" />


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[/quote]







Idiogène a écrit :



Des normes qui sont faites sur la base de taux forfaitaires applicables à trop de produits et de scénarios d’usage pour n’en sélectionner que celui de portable. Ou alors j’exige la norme pour l’Europe… t’as une source  pour corroborer ton champion?







Tu fabules, et ensuite tu exige que je fasse un travail de recherche? lol







Idiogène a écrit :



Ce qui démontre que le choix de conception est celui du passif. Comme pour les Iphone ou les Ipad. Mais on a toujours pas démontré qu’on ne dépassait pas une valeur de préhension déterminée par une norme. 43° je te dis que c’est trop pour des gosses. Même avec une norme qui dirait, au doigt mouillé, dans les 50°.







Bah ouais, le passif c’est ce que je recherche, et si j’avais pas pris mon MacBook Air actuel, j’aurais pris le MacBook 12” passif -&gt; 0dB et j’en ai rien a faire qu’il throttle quand je lance un cinebench au bout de 10mn, car je n’utilise pas cinebench…



Ouais, au doigt mouillé, comme tout ce que tu racontes depuis le début.







Idiogène a écrit :



Sachant qu’il n’existe pas de valeur dans le code du travail… moi je dis qu’Apple, ou les autres, se foutent bien de la gueule du monde avec cette petite phrase.







Ah ouais, le code du travail maintenant, tu vas aller jusqu’où après? Comme je suis sympa, je vais t’aider. Ni dans la Bible, ni dans le Coran, il n’y a d’indication de température maximum d’un châssis alu d’un ordinateur portable équipé d’un processeur en charge posé sur les genoux à 28°C de température ambiante.







Idiogène a écrit :



Je pense que tu fais un beau raccourci en énonçant implicitement qu’aucun ordinateur portable ne peut être alimenté et fonctionner à 100 % de sa puissance sans sa batterie. Tu crois réellement que les ingénieurs d’Apple dorment bien la nuit en se disant qu’un client ne pourra pas utiliser son macbook sur secteur quand la batterie est à plat ?



Faisons donc l’inventaire :




  • écran = n W

  • HDD/SSD = n W

  • batterie = n W

  • (…)

  • (…)

  • ah oui, j’oubliais le processeur…



    Sur un chargeur de 45W tu me diras combien il t’en reste pour charger ta batterie lorsque tu utilises le portable… autrement dit, les watts qui ne sont pas émis par la lumière de l’écran c’est soit de la tension sur la batterie, soit de la perte thermique par effet joule. Vue la durée de vie des éléments au lithium mieux vaut les charger à 0,5C. Donc dans le meilleur des cas tu as les 45 de ces 45W qui partent en fumée pour ton usage.



    Il existe des mini-radiateurs de 50W sur allume cigare… soit dit en passant.

    Mais c’est vrai que techniquement je fais peur…







    blablabla qui ne vaut rien étant donné le nombre d’approximation que tu vomis depuis le début, et en vrai, on s’en fou totalement, je sais même pas quel est la capacité du chargeur de mon MacBook Air, mais ce dont je suis sure, c’est qu’il charge l’ordi pendant que je m’en sers.



    Par contre, je remarque que tu ne prouves rien du tout de ce que t’annonce.







    Idiogène a écrit :



    Il fait 28° par chez moi. Autant dire que sans lancer une vidéo 4K voire deux, ton avis est sans intérêt.







    Tu m’explique l’interêt de lancer 2 vidéos 4k sur un écran qui n’est lui même pas 4k?



    Ah oui, comme l’interêt de lancer un cinébench sur un ordinateur qui n’est complètement pas adapté à ça et dire “voyez messieurs-dame, ça throttle”.



    Tu veux faire un bench d’un MacBook Air, faut le faire sur des critères lié à l’utilisation d’un ultraportable, comme comparer la qualité de l’écran, le temps de sortie de mise en veille, la batterie au repos, la batterie en veille, le temps de recharge 50% -&gt; 100%, le poids, la chaleur dissipé, la solidité du châssis, le nombre de ports USB, … mais en aucun cas la puissance du CPU dans un bench de rendu 3D, c’est complètement ridicule.



    C’est comme faire un bench d’autonomie d’un PC fixe, ou comparer le poids de tel ou tel tour. Aucun interêt.


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Je ne critique absolument pas ton choix personnel de choisir un macbook pour l’usage que tu en as.



Je ne fabule pas. Si tu as 900 Francs Suisses tu peux lire ça :https://webstore.iec.ch/publication/4024



Moi, sans avoir besoin de 900CHF je lis

including electrical business equipment and associated equipment, with a RATED VOLTAGE not exceeding 600 V.





Donc mes approximations ne sont pas plus déconnantes que de ranger par une norme un PC portable dans une norme qui admet des équipements qui peuvent aller jusqu’à 600 Volts.



Ensuite la norme CE est applicable aux équipements domestiques comme professionnels.

Donc je ne citais pas le code du travail pour rien. Je n’ai pas non plus besoin d’un texte sain pour te dire que tu es clairement de mauvaise foi.



Maintenant tu peux rester là dessus et défendre Apple et ton aluminium chauffant ou celui que j’ai rangé il y a bien longtemps pour bien mieux.



Ma méthodologie correspond à celle des bench qui sont la seule manière de comparer des éléments subjectifs en les confrontant à des expériences reproductibles.



Tu peux donc lancer une vidéo de la résolution native de l’écran si tu le souhaites, mais tu ne pourras pas comparer ton test perso ultra subjectif du digital mouillé à un portable vendu à un prix similaire car sa résolution sera certainement supérieure à celle du macbook air.



Je continue ?