Richard Stallman critique la vente de musique sur Internet
Labellisé PUR ?
Le 22 janvier 2013 à 15h35
3 min
Internet
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Richard Stallman, connu pour ses prises de position souvent tranchées vis-à-vis du code propriétaire, vient de signer une tribune au Guardian, dans laquelle il regrette la fermeture des chaînes de produits culturels tels que HMV. Selon lui, ces boutiques garantissaient une « route sure et éthique » afin d’accéder à la musique, tandis que les ventes effectuées depuis Internet, elles, présentent de nombreux biais.
Richard Stallman, en juin 2011.
Plusieurs enseignes de produits culturels connaissent de sérieux problèmes, que ce soit en France -à l’instar de Virgin Megastore, placé en redressement judiciaire la semaine dernière - mais aussi de l’autre côté de la Manche. HMV, l'équivalent britannique de la FNAC, a ainsi déposé le bilan il y a quelques jours. Mais pour Richard Stallman, initiateur du projet GNU et créateur de la Free Software Foundation (FSF), la fin annoncée de ce type de magasins s’avère particulièrement « regrettable ». Pourquoi ? Non pas en raison des emplois perdus, mais plutôt parce que le système remplaçant le précédent représente l'avènement d'un « désastre ».
« Les magasins comme HMV me manquent parce que je pouvais y aller avec de l’argent liquide, acheter des enregistrements (généralement des CD), puis les ramener à la maison » regrette Richard Stallman. L’intéressé explique ensuite que ces boutiques autorisaient l’écoute de titres sur place, avant un éventuel achat. Ce qui lui permettait d'ailleurs de découvrir de nouvelles choses. Surtout, il raconte : « Une fois que j'avais acheté mes CD, j'étais libre de les donner ou de les prêter à des amis. En vertu du droit d'auteur, je pouvais même les copier - autrefois sur des cassettes audio - et les donner à mes amis. Tout ceci sans que l’État n’en sache rien ».
Sauf que Richard Stallman voit d’un mauvais œil cet avenir dans lequel chaque consommateur achèterait de la musique en ligne, tant sous forme physique que numérique. Selon lui, sur Internet « vous êtes obligés de vous identifier auprès du vendeur (et aussi de Big Brother, qui vous surveille par la même occasion). Et s’il ne s’agit pas d’un CD, vous devez accepter un contrat restrictif vous privant des droits dont nous jouissions tous ».
« Pour tous ceux qui aiment à la fois la musique et la liberté, il n’est pas question de considérer cette forme actuelle de ventes en ligne, qui nous laisse de moins en moins d’occasions d'acheter de la musique ». Mis à part quelques exceptions (certains magasins, des ventes directes lors des concerts...) la seule façon d’obtenir valablement des copies d’œuvres musicales se trouve selon lui dans le partage de fichiers numériques.
Commentaires (130)
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Abonnez-vousLe 22/01/2013 à 15h58
Complètement ridicule. On peut écouter aussi la musique sur le net avant de l’acheter, de manière bien plus confortable qu’en magasin, on l’a chez soi, elle n’est plus drmisée depuis des années, mais à part ça tout va bien.
Et dire qu’on trouve des barbus pour lui donner raison, c’est fou.
Le 22/01/2013 à 15h59
Le 22/01/2013 à 16h00
Il a pas tord sur la question de l’anonymat. Le reste c’est du pipeau, c’est pas plus légal ni difficile de copier son mp3 ou son CD pour le partager. Et pour découvrir la musique, internet a été un très large bond en avant. Quand les chaines proposent de la musique en libre écoute, c’est rarement leur catalogue complet, c’est pas pratique, tu n’as aucune recommandation.
Spotify et consorts est pour moi la plateforme qui participe le plus à la découverte. Puisqu’on ne paye pas un album en particulier, on ne prend aucun risque à se faire une playlist d’un inconnu et donc à écouter la musique. Et on a plus tendance à écouter l’album complet que lors de l’achat de mp3 où on va plutôt prendre les morceaux qu’on préfère (ou les plus connus) et délaisser le reste des titres.
Le 22/01/2013 à 16h00
Le 22/01/2013 à 16h01
Le 22/01/2013 à 16h01
Le 22/01/2013 à 16h03
Mouais.
Ces contrats restrictifs, ils existent déjà dans les achats en dur.
De plus, il est de plus en plus facile d’acheter les albums sur les sites des artistes pour pas grand chose, ce qui aboutit à un système moins centralisé que par iTunes et plus juste pour les artistes qui peuvent gagner plus sur les ventes…
Le 22/01/2013 à 16h03
Le 22/01/2013 à 16h04
Le 22/01/2013 à 16h04
Le 22/01/2013 à 16h05
Le 22/01/2013 à 16h06
Le 22/01/2013 à 16h08
C’te news à retournement de veste " />
Je ne serais pas étonné que ceux qui disaient “bien fait pour HMV et Virgin, z’avaient qu’à s’adapter” disent aujourd’hui “Stallman a tellement raison” " />
Le 22/01/2013 à 16h09
Le 22/01/2013 à 16h09
Ca fait quand même des années que la musique achetée sur le net n’est plus DRMisée. Je vois pas en quoi il est impossible de copier ses MP3 pour ses amis.
Et au pire, la FNAC & co ils ont pas encore disparus s’il est nostalgique du CD.
Le 22/01/2013 à 16h10
Le 22/01/2013 à 15h50
Le 22/01/2013 à 15h50
Y a une sacrée marge entre ce monument et les courges qui nous gouvernent en vendant leurs ames aux Pascal Negre et autres vendeurs de musique burger.
Le 22/01/2013 à 15h51
Le 22/01/2013 à 15h52
Le 22/01/2013 à 15h52
Extrémiste.
Le 22/01/2013 à 15h52
D’accord avec lui sur le principe mais par contre ce qui me terrifie c’est que j’arrive à peine à imaginer la façon dont il consomme(ait) de la musique (j’ai 23 ans). Quand je veux partager de la musique avec mes potes c’est tout de même bien plus facile de le faire “online” qu’avec un CD, le seul problème c’est que ce n’est pas légal (comme le fait de prêter un CD ou un DVD à ses amis d’ailleurs).
Le 22/01/2013 à 15h52
Je trouve ça plutôt bien la disparition des grosses chaines, les petits toujours en activité vont récolter une partie de la clientele, qui va redécouvrir ce qu’étaient les magasins de disques" />
Tout comme les libraires se portent mieux avec la disparitions des grosses chaines…
Le 22/01/2013 à 15h54
Le 22/01/2013 à 15h54
Le 22/01/2013 à 15h55
C’est toute la différence entre donner et prêter. Richard Stallman donne à réfléchir quand l’industrie de la musique en ligne prête à rire.
Le 22/01/2013 à 15h55
Le 22/01/2013 à 15h56
ce qui est bien avec ce genre d’article, c’est que Platoun débarque toujours avec sa petite touche d’humour personnel ^^
Le 22/01/2013 à 15h57
Le 22/01/2013 à 15h57
Quelque part, il tient le même discours que les majors qui n’ont pas voulu s’adapter à la “révolution numérique” et qui auraient voulu continuer sur la seule voie du CD/support physique.
J’attends de voir s’il va subir les foudres des Inpactiens " />
Le 22/01/2013 à 15h57
Le 22/01/2013 à 15h58
Le 22/01/2013 à 17h47
Yep je suis pas vraiment d’accord avec lui pour le coup. Ça donne un peu l’impression ici plutôt qu’il n’a pas su évoluer.
Le 22/01/2013 à 17h57
Le 22/01/2013 à 18h16
Le 22/01/2013 à 18h21
Le 22/01/2013 à 18h40
Le 22/01/2013 à 18h47
Non seulement, il a raison sur le point du flicage, mais c’est également sans oublier que le medium dématérialisé ne vaut pas le medium physique (mp3 vs qualité CD ou SACD…. braiffe).
Le 22/01/2013 à 18h58
Mis à part quelques exceptions (certains magasins, des ventes directes lors des concerts…) la seule façon d’obtenir valablement des copies d’œuvres musicales se trouve selon lui dans le partage de fichiers numériques
Bah voyons. Les artistes n’ont qu’a vivre du partage gratuit.
Le 22/01/2013 à 19h00
Le 22/01/2013 à 19h01
Le 22/01/2013 à 19h03
Le 22/01/2013 à 19h04
Le 22/01/2013 à 19h12
Le 22/01/2013 à 19h25
Le 22/01/2013 à 20h05
Je pense qu’il y a amalgame ici.
D’un coté nous avons la différence entre la vente et le prêt de CD et la vente et le prêt de son homologue en mp3.
D’un coté, un CD peut facilement être prêté / diffuser sans rien dire a personne tout comme un mp3, par contre, un CD peu être renvendu, un mp3, nettement moins facilement….
La différence se fait sur les libertés que nous laisse les majors sur les morceaux de musique qu’il nous propose. Sur un CD, nous pouvions en faire ce que nous voulions (usus, abusus toussa) alors que maintenant, tout ce qui touche au numérique n’est que l’achat DU DROIT D’ECOUTE du morceau / livre / jeux video sans AUCUN DROIT de revente possible dessus. Et c’est ca qui craint le plus je pense.
Dit autrement, ca donnerai: j’achète un CD / livre / logiciel en physique avec la possibilité de le revendre, de l’autre j’achète LE DROIT D’UTILISATION d’un CD / livre / logiciel en numérique. Et la beurk.
Le 22/01/2013 à 20h31
Le 22/01/2013 à 20h52
Le 22/01/2013 à 16h50
Le 22/01/2013 à 16h50
Le 22/01/2013 à 16h51
Le 22/01/2013 à 16h56
Outre les problèmes juridiques inhérent à la propriété, j’ai toujours trouvé cela stupide d’achater au prix fort des morceaux de musique dématérialisés et sous une forme dégradée par rapport à l’original : le MP3 !!!
Car malgré ce que les revendeurs prétendent, il y a toujours de la perte avec le mp3…
Le 22/01/2013 à 16h58
Ah ouais génial les conditions d’utilisation d’Amazon :
2.2 Restrictions. Vous vous engagez à respecter les droits de propriété intellectuelle et autre règlementation applicable dans le cadre de l’utilisation du Contenu Musical. A l’exception des droits accordés à l’Article 2.1 ci-dessus, vous vous engagez à ne pas redistribuer, transmettre, transférer, vendre, diffuser, louer, partager, prêter, modifier, adapter, éditer, sous-licencier ou utiliser le Contenu Musical. Nous ne vous accordons aucun droit de synchronisation, représentation publique, utilisation publicitaire, vente, revente, reproduction ou distribution du Contenu Musical. Conformément aux demandes de nos fournisseurs du Contenu Musical, le Contenu Musical est uniquement disponible aux consommateurs situés en France.
donc on “achète” un droit d’utilisation, et l’on s’engage à ne pas utiliser ce droit d’utilisation…
Le 22/01/2013 à 17h00
Le 22/01/2013 à 17h01
Le 22/01/2013 à 17h08
Le 22/01/2013 à 17h10
Le 22/01/2013 à 17h12
Son intervention n’est pas très claire je trouve.
Le fait est que nous sommes à la croisée des chemins.
Avec Internet les choses peuvent être bien meilleures et nous permettre d’aller plus loin qu’avant avec mille fois plus de libertés et d’échanges…
… ou être bien pire qu’avant avec une capacité mille fois supérieure de contrôle, surveillance, restriction des droits.
Le 22/01/2013 à 17h18
Le 22/01/2013 à 17h24
En vertu du droit d’auteur, je pouvais même les copier - autrefois sur des cassettes audio - et les donner à mes amis
Euh, je crois que Stallman a pas tout compris au principe du droit d’auteur… parce qu’en vertu du droit d’auteur, il a justement pas le droit de faire ça " />
Le 22/01/2013 à 17h26
Le 22/01/2013 à 17h29
Pour le sous-titre, j’aurais proposé “un PUR défenseur de la liberté d’utilisation”" />
Sinon bah comme d’hab il est bien plus lucide sur ce sujet que 90% des gens qui en parlent, même s’il force un peu le trait (notamment sur la possibilité de partage, si t’achètes du flac ou mp3, à ma connaissance tu peux encore le partager sans soucis…)…" />
Le 22/01/2013 à 17h46
Le 22/01/2013 à 17h47
Le 22/01/2013 à 21h12
Le 22/01/2013 à 21h14
Labellisé Pour Un Racket ?
" />
Le 22/01/2013 à 21h17
Le 22/01/2013 à 21h27
Le 22/01/2013 à 21h30
Le 22/01/2013 à 21h31
Le 22/01/2013 à 21h36
Le 23/01/2013 à 00h07
Le 23/01/2013 à 00h37
allez comme tout le monde je vais essayer de donner mon avis.
urs enseignes de produits culturels connaissent de sérieux problèmes, que ce soit en France - à l’instar de Virgin Megastore, placé en redressement judiciaire la semaine dernière - mais aussi de l’autre côté de la Manche. HMV, l’équivalent britannique de la FNAC, a ainsi déposé le bilan il y a quelques jours. Mais pour Richard Stallman, initiateur du projet GNU et créateur de la Free Software Foundation (FSF), la fin annoncée de ce type de magasins s’avère particulièrement « regrettable ». Pourquoi ? Non pas en raison des emplois perdus, mais plutôt parce que le système remplaçant le précédent représente l’avènement d’un « désastre ».
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je pense que le désastre a eu lieu bien avant avec le mp3 le p2p puis aujourdhui le streaming gratuit / payant
« Les magasins comme HMV me manquent parce que je pouvais y aller avec de l’argent liquide,
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tout à fait
acheter des enregistrements (généralement des CD),
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tout à fait
puis les ramener à la maison » regrette Richard Stallman.
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tout à fait
L’intéressé explique ensuite que ces boutiques autorisaient l’écoute de titres sur place, avant un éventuel achat.
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tout à fait
Ce qui lui permettait d’ailleurs de découvrir de nouvelles choses.
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tout à fait apres il est toujours aussi possible d’écouter sur le net mais il est vrai et je le rejoins absolument, que acheter de la musique a la fnac ou a virgin cela n’a absolument rien a voir.
c’est une époque qui se ferme.
découvrir un cd dans un magasin avec un ami c’est beaucoup plus ‘tripant’ qu’écouter un skeud enfin un clip sur youtube en cliquant un lien facebook
je pense que c’est l’idée de départ.
a savoir qu’au final on découvrait un artiste au pif au magasin en cherchant un cd par exeple alors que sur internet on est un peu conditionné. je pense que c’est son propos.
Il est vrai qu’on peut faire de belle découverte sur youtube. mais il y a un mais. je pense que ca change quand meme nos modes de consommation en réalité. car au final on na meme plus envie de chercher d’autres cd. on se contente en vérité d’écouter ce qu’on nous propose. (c’est peut etre pas le cas pour les anciennes geneérations mais les nouvelles sont un peu des consommateurs passifs qui écoutent ce qui passent uniquement a la radio a la tv ou chez un pote mais ca s’arrete la.)
certes il y a toujours la possibilité de découvrir d’autres titres mais la encore il y a plus cette magie qui nous pousse a acheter et découvrir un album en fonction de nos choix. on écoutera ce qu’on nous proposera. et au pire on consommera de la musique mais sans vraiment faire l’effort d’acheter l’album.
Surtout, il raconte : « Une fois que j’avais acheté mes CD, j’étais libre de les donner ou de les prêter à des amis.
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tout a fait on ne peut pas preter echanger des mp3 cest illegal
En vertu du droit d’auteur, je pouvais même les copier - autrefois sur des cassettes audio - et les donner à mes amis. Tout ceci sans que l’État n’en sache rien ».
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exact, car en analogique je ne risque pas d’etre fiché.
Sauf que Richard Stallman voit d’un mauvais œil cet avenir dans lequel chaque consommateur achèterait de la musique en ligne, tant sous forme physique que numérique. Selon lui, sur Internet « vous êtes obligés de vous identifier auprès du vendeur (et aussi de Big Brother, qui vous surveille par la même occasion).
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tout a fait
Et s’il ne s’agit pas d’un CD, vous devez accepter un contrat restrictif vous privant des droits dont nous jouissions tous ».
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tout a fait. on ne possede pas les fichiers ou les titres audio. donc ni pret ni vente ni échange etc et donc on se fait entuber puisqu’on achete des mp3 mais qu’on ne peut pas revendre apres.
« Pour tous ceux qui aiment à la fois la musique et la liberté, il n’est pas question de considérer cette forme actuelle de ventes en ligne, qui nous laisse de moins en moins d’occasions d’acheter de la musique ».
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pas faux c’est pas un vrai achat.
Mis à part quelques exceptions (certains magasins, des ventes directes lors des concerts…) la seule façon d’obtenir valablement des copies d’œuvres musicales se trouve selon lui dans le partage de fichiers numériques.
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il veut dire le partage libre et gratuit.
il a raison.
bref il faut avant de critiquer essayer de bien comprendre le raisonnement de l’auteur.
Le 23/01/2013 à 01h05
Le 23/01/2013 à 04h16
Le 23/01/2013 à 08h11
Il y a tellement de variétés d’achat, que le choix se fait plus sur un produit ayant subit une une bonne diminution, qu’un produit nouveau (qui lui même subira cette diminution un peu plus tard). Sauf si la personne est pressée d’avoir cette nouveauté.
Si le même système existait pour les voitures, les concessionnaires en vendraient plus, mais ils ne feraient aucun bénéfice (peut-être juste pour vivre, c’est commercialement pas efficace)
Le 23/01/2013 à 08h45
Pour ce qui est des DRM, il y a encore des sites qui vendent de la musique protégée par DRM.
beezik vends sa musique par le biais de lien publicitaires, au format wma protégé, il faut obligatoirement synchroniser le baladeur avec le pc. Et pour les mp3, il y a aussi une certaine protection, notamment par l insertion de tags, ou bien dans le nom du fichier, ou est inscrit “beezik remercie…..”
La plus grosse difficulté si vous detenez de la musique numérique, c’est qu au bout de quelques années: 10 ou 15ans par exemple: comment prouver qu elle vous appartient ?
comment prouvez que vos vieux mp3 ont un jour été fait depuis votre album cd audio , et qu jour vous avez jeté cet album faute de place, parce que le but de la conversion c’est bien le gain de place….
Pareil pour les films, si vous enregistrez la tv en mpeg2 puis vous convertissez les fichier en divx ou xvid ou h264 x264…. comment prouvez a l’avenir que vous ne les avez pas téléchargés illégalement ???
Et de même quelq un de votre cercle familial vous les as prêté, vous ne pouvez pas savoir si ils viennent d’un enregistrement tv fait par votre famille, ou provient d un partage réseau…
Ca me parait tout simplement impossible de prouver la légalité de détention de l’oeuvre….
Le 23/01/2013 à 09h01
ce type a très souvent raison mais n’oublions pas qu’il mange des choses de son pied
Le 23/01/2013 à 09h36
D’un autre côté, si on écoutait les majors à la lettre, on écouterai tous le top40 sans réfléchir car c’est bien connu, le top40 c’est juste la seule musique qui s’écoute. Le reste, c’est de la crotte.
Partant de là, quelque soit les avis de ces gens, bah je suis pas d’accord. Par principe.
Voyons voir le top40 français… PSY. " />
Le top40 USA… Bruno Mars… " />
Le top40 Europe… Rihanna… " />
Le 23/01/2013 à 09h48
C’est quand même hallucinant que des personnes ici se posent la question de savoir si prêter un CD/DVD est légal ou non !
On voit quand même à quel point les ayants droits et compagnie ont réussi à instiller, dans les esprits, le doute à ce sujet, voire même un sentiment de culpabilité par rapport à la consommation de biens culturels de façon gratuite. " />
Le 22/01/2013 à 16h10
Le 22/01/2013 à 16h10
Le 22/01/2013 à 16h12
Le 22/01/2013 à 16h14
Pour remettre les choses en place :
L’exception de copie privée autorise une personne à reproduire une œuvre de l’esprit pour son usage privé. L’usage privé implique l’utilisation de la ou des copies dans le cercle privé, notion incluant la famille, mais aussi les amis, comme l’ont redéfini les tribunaux récemment.
Wikipédia
Le 22/01/2013 à 16h16
Il a raison, il parle de cassettes et le fait est qu’avant la numérisation de l’audio, il n’y avait pas toute cette puanteur auteur du droit d’auteur : on pouvait copier et prêter tout ce que l’on avait.
Il a aussi raison sur les supports dématérialisés par rapports, maintenant, au cd : un cd avec ticket de caisse, on peut le revendre et celui qui l’obtient en devient totalement propriétaire. Ce n’est absolument pas le cas avec les fichiers.
Le fait est que dématérialiser la vente d’un objet est la chose la plus conne qui soit et il est regrettable que nos “jeunots” qui n’ont pas connu la liberté et les cassettes en soit rendu à brader la liberté pour de la facilité : la fainéantise ne donne pas de droits.
Le 22/01/2013 à 16h18
Le 22/01/2013 à 16h18
si je me souviens correctement de mes cours sur le droit d’auteur, le prof nous avait dit qu’on avait le droit de copier les cds empruntés à la bibliothèque puisqu’on devient le proprio le temps de l’emprunt.
par extension je pense que ça marche avec un emprunt à un ami. on a peut-être pas le droit de donner une copie à un pote mais on a le droit de lui prêter et qu’il fasse lui même la copie.
faudrait que je retrouve mes cours…
Le 22/01/2013 à 16h19
Stallman, La critique de la raison PUR
(déjà faite ? )
Le 22/01/2013 à 16h20
Le 22/01/2013 à 16h21
Le 22/01/2013 à 16h25
Le 22/01/2013 à 16h25
Le 22/01/2013 à 16h26
Le 22/01/2013 à 16h26
Le 22/01/2013 à 16h27
Le 22/01/2013 à 16h27
Le 22/01/2013 à 15h38
Pas con!" />
Le 22/01/2013 à 15h42
Tellement vrai, hormis le fait de l’impossibilité de prêter une œuvre, le jour ou iTunes ou Amazon décide de fermer votre compte, vous faites quoi ? Et quid de l’héritage ?
Le 22/01/2013 à 15h42
Il a tout a fait raison et je pense que beaucoup de gens pensent comme lui.
Le 22/01/2013 à 15h43
Le 22/01/2013 à 15h48
cela éveille une question chez moi:
quand “on” achète de la musique sur Itunes (et consor) “on” n’a pas le fichier ?
Le 22/01/2013 à 15h49
Oui, il était déjà retourné en Enfer, ça lui suffisait " />
Le 22/01/2013 à 16h27
Le 22/01/2013 à 16h27
Ah M… j’ai presque fait une B.A. alors aujourd’hui ….
Achat d’un CD d’occaz " /> …. sur mazone " /> …. ah mince raté !
Bon d’toute façon, il a fini ripper sur mon serveur " />
Le 22/01/2013 à 16h28
Le 22/01/2013 à 16h28
Le 22/01/2013 à 16h28
Le 22/01/2013 à 16h31
Le 22/01/2013 à 16h32
Le 22/01/2013 à 16h34
Le 22/01/2013 à 16h35
Le 22/01/2013 à 16h37
Le 22/01/2013 à 16h38
Le 22/01/2013 à 16h39
Le 22/01/2013 à 16h42
Je me permet de rappeler à tout le monde que les musiques sans DRM acheté sur les stores sont soumis à modification sans préavis. iTunes par exemple se réserve le droit de modifier la sécurité des fichiers ainsi acquis si nécessaire. On peut utiliser les produits iTunes (musique compris) sur 5 ordinateurs uniquement. Les fichiers sont bien sur tagger, on peut donc les copier pour les sauvegarder mais ni les prêter ni les donner. Il y a donc une sacré différence avec un CD.
Le 22/01/2013 à 16h42
Le 22/01/2013 à 16h45
Le 22/01/2013 à 16h46
La société actuelle n’apprend que par la douleur.
Les gens ne savent pas réfléchir dans le futur.
L’affaire de Bruce Willis avec iTunes est un exemple éloquent.
Le 23/01/2013 à 10h15
Le 23/01/2013 à 10h52
Le 23/01/2013 à 10h56
Le 23/01/2013 à 12h55
Le 23/01/2013 à 14h33
L’intéressé explique ensuite que ces boutiques autorisaient l’écoute de titres sur place, avant un éventuel achat.
Je sais pas ce qu’il écoute le petit père Stallman, mais perso, déjà je suis content s’il y a un rayon Metal, mais en plus je galère pour trouver ce qui pourrait m’intéresser et je peux rarement écouter les albums avant achat… " />
Le 23/01/2013 à 16h15
bon cela dit l’anonymat le pret ou lachat c’est pas le plus important si on mene une lutte au nom de la liberté
certes d’un coté on possede un cd, et on peut le preter le vendre. mais de lautre avec le streaming et le mp3, la musique circule quasiment gratos (pour l’instant) et meme si c’est illégal que un mp3 ca ne se vend pas ou on peut pas le preter, on peut quand meme le faire circuler sans que ca se sache vraiment. On a meme plus besoin de faire un pret ni meme une copie. un simple copier coller suffit.
évidemment je crois que le plus inquietant dans cette histoire, c’est pas le fait d’etre anonyme ou pas lors de l’achat de musique mais il y a d’autres problemes qui me paraissent plus importants
un : la mondialisation de la culture. la standardisation la starification extreme et plutot la marchandisation de tout ce qui tourne autour de la musique les vidéos et les médias. le nuymérique a remplacé la culture vivante et tuer le folkore
deux : la surconsommation : le mode de consommation a sens unique. On consomme on jette.
trois: la démocratisation de l’informatique. on est dans une société ou tout est géré par
les ordinateurs
quatre : l’individualisme forcené. qui est un conditionnement idéologique. facon du pains et du jeux.
alors certes bigbrother est l’ennemi (si onse place dans le camp du bien et ceux qui luttent contre l’état fascisoide) mais je crois qu’orwell avait tort et huxley raison.
le controle il se fait autrement plus pernicieusement en changeant notre facon de vivre en étant déconnecté
évidemment dans un tel monde acheter un cd est devenu presque un acte révolutionnaire et plus subversif que télécharger un mp3 sur p2p.
Le 23/01/2013 à 16h31
Le 23/01/2013 à 16h35
Le 23/01/2013 à 22h43
Le 24/01/2013 à 09h47
Le 24/01/2013 à 12h20
non la démarche n’est plus la meme . avant on avait des passionnés de musique pret a depensé des fortunes sur des albums. et forcément on recherchait la perle rare
on se renseignait sur les mag on en parlait a des amis on échangeait on pretait, le cd tournait parfois tous les jours sur la platine
on trouvait des albums au pif. qu’on écoutait avant d’acheter voire meme apres. mais ca nous donnait une certaine liberté de choix car au final ca éveillait notre curiosité.
alors peut etre qu’on se serait pas permis d’écouter d’autres styles musicaux au final.
mais on etait beaucoup plus spécialisés et passionnés que n’est la nouvelle génération
aujourdhui on a un flot continue d’information qui font que le type est complètement gavé de musique jusqu’a l’indigestion. au final ilécoute ce qu’on lui donne rien de plus et ne prend meme plus le temps de chercher les morceaux. il tombe déja dessu et on l’a fai connaitre tel titre alors il ne découvre plus il réécoute. Il n’a plus une vraie culture musicale et en verité il ne prend meme plus la peine de s’y intéresser vraiment. comme quoi on confond choix libertés et accumulation profusion consommation ce qui n’est pas la meme chose du tout
Le 24/01/2013 à 12h22
c’est exactement la meme chose avec les jeux video nintendo sega et les nouvelles montures jeuxvideo sur iphone etc…