LinuxFR mis en demeure pour un prétendu plagiat
CC BY-NY-SA
Le 13 novembre 2017 à 16h03
5 min
Droit
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Fait assez rare pour être relevé : LinuxFR.org, fameux site contributif « géré par une équipe bénévole par et pour des libristes » vient d’être mis en demeure pour un journal, promu en dépêche, accusé d’être une copie bien trop servile de deux billets de blogs.
Un certain Florent Gallaire a fait adresser par l’intermédiaire de son avocat marseillais, une mise en demeure à l’attention de LinuxFR.
Il voudrait que soient précisés, à la suite d’une dépêche, plusieurs mentions comme son nom, en tant que prétendu auteur original, tout en intégrant un lien vers la licence « CC BY-NY-SA » (sic) et ses deux articles de son cru, le tout accompagné d’« une courte phrase d'excuse » à son attention.
Sinon ? Il menace d’utiliser toutes les voies de droit, et donc en creux une possible action en contrefaçon. Mais qu’est-ce qui a provoqué ce courroux procédural ? Selon ce post de Benoit Sibaud, l’un des webmestres de LinuxFR, tout est parti de ce journal du 17 avril 2017 signé d’un contributeur dénommé kantien, texte depuis promu en dépêche modérée.
Une contrefaçon, selon son avocat
« Ce journal, assure l’avocat, est une contrefaçon des deux articles annuels écrit par Monsieur Florent Gallaire (traditionnels depuis 2011) sur l'élection du DPL (Debian Project Leader, ndlr) datant du 12 mars 2017 et du 16 avril 2017. » Et le cabinet de surligner les différents passages qui auraient été repris sur LinuxFr, en violation des textes de Florent Gallaire, comme illustré par cette capture, extraite de la mise en demeure :
Des similitudes liées donc au nom des DLP, aux dates, aux résultats et un message de soutien qui iraient bien au-delà de l’inspiration feutrée : « non seulement les passages entiers de l'article de M. Gallaire sont repris, mais la structure même de l'article contrefaisant est identique à ceux de mon client » tambourine l’avocat, pour qui, pas de doute, « le fait que les deux articles de M. Gallaire apparaissant en tête des résultats Google sur la recherche "DPL 2017" est clairement la cause de la contrefaçon. »
Après la menace, un peu d’apaisement : selon lui, son client « n'est pas opposé à un règlement amiable de ce différend. Il attend de votre association qu'elle respecte purement et simplement les valeurs que votre site LinuxFr.org est censé défendre, à savoir le respect des licences libres ».
LinuxFR rappelle suivre l’élection du Debian Project Leader depuis 2001. On remarquera d’ailleurs qu’en 2007, par exemple, il faisait déjà état de la méthode de Condorcet pour cette fameuse élection.
Aucun accord trouvé entre l'avocat et LinuxFR
S’agissant spécifiquement de la brève de Kantien, Benoît Sibaud n’a rien à redire : « Le journal de Kantien est sobre : dates, candidats, programmes, type de scrutin, résultat et félicitations. La dépêche est plus étoffée, avec divers ajouts (méthode Schulze, compléments suite aux commentaires du journal, liens vers d'autres méthodes de vote, plein de détails sur le programme du gagnant) ».
Bref, LinuxFr ne peut répondre favorablement à ces demandes. Aucun accord n’a été trouvé entre les parties, le site a dès lors préféré médiatiser cette démarche. Si l’affaire va au fond, un tribunal de grande instance devra, avant de constater une hypothétique contrefaçon, déterminer d’abord si l’on est bien dans le champ du droit d’auteur.
Déjà, contrairement à ce qu'annonce l'avocat, le fait que les deux articles soient plus ou moins en tête sur Google avec la recherche « DPL 2017 » n'est pas la cause de la contrefaçon, mais le résultat d'un référencement. Nuance subtile...
S'agissant du droit d'auteur, la Cour de justice de l'Union européenne a déjà souligné que « le droit d’autoriser ou d’interdire la reproduction dont jouit l’auteur s'applique à une « œuvre », à savoir une création intellectuelle propre à son auteur. La protection s'étend aussi aux parties d'une œuvre, dès lors qu’elles participent, comme telles, à l’originalité de l’œuvre entière et qu’elles contiennent certains des éléments qui sont l’expression de la création intellectuelle propre à l’auteur de cette œuvre » (décision Infopaq, résumée par la Commission européenne).
Le critère de l'originalité
Ce n’est qu’une fois ces étapes vérifiées que « l'auteur d'une œuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous » (article L 111 - 1 du Code de la propriété intellectuelle).
Il reste ainsi pour le moins hasardeux que les dates utilisées dans les billets respectifs, les noms des candidats, le type de scrutin, les résultats et les messages de félicitations puissent tomber dans ce champ. Difficile d'ailleurs de parler d’une élection sans évoquer ces données sous une telle structure de présentation.
Florent Gallaire avait déjà eu les honneurs en 2010 d’un billet de Maitre Eolas. A l’époque, il avait diffusé en PDF et sous licence libre le livre La Carte et le Territoire considérant, à la lecture d’un article de Slate, que l'oeuvre de Houellebecq était entachée d’un plagiat de Wikipédia. En décembre 2010, « sans reconnaître aucun délit et en maintenant totalement la pertinence de mon analyse juridique », Gallaire avait accédé à la demande de Flammarion.
LinuxFR mis en demeure pour un prétendu plagiat
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Une contrefaçon, selon son avocat
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Aucun accord trouvé entre l'avocat et LinuxFR
Commentaires (68)
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Abonnez-vousLe 13/11/2017 à 16h47
OK, merci de la précision " />
Dans un sens la structure du texte ressemble un peu, mais appeler ça du plagiat, c’est comme si Coca-Cola reprochait à Pepsi d’utiliser les mêmes ingrédients dans son soda.
Le 13/11/2017 à 16h51
Si les reproches se limitent aux éléments dans la capture d’écran, c’est très light;
Le 13/11/2017 à 16h56
Le 13/11/2017 à 17h02
Le 13/11/2017 à 17h24
« Le fait que les deux articles de M. Gallaire apparaissant en tête
des résultats Google sur la recherche “DPL 2017” est clairement la cause
de la contrefaçon. »
Ça se dit avocat et ça ne relit pas ses phrases avant d’envoyer une lettre. Et ce n’est pas la seule faute de syntaxe ou de grammaire. Une preuve de sérieux.
Florent Gallaire avait déjà eu les honneurs en 2010 d’un billet de Maitre Eolas.
Et maintenant, Maître Eolas devrait donner quelques petits cours de droit de la propriété intellectuelle à son avocat. Parce qu’entre la logique “même référencement=déconnexion” et les passages comparés qui n’ont absolument rien à voir, on nage dans le surréalisme !
Le 13/11/2017 à 17h32
Avec un avocat qui l’encourage dans ce genre de démarche sur la base d’éléments aussi fragiles, il devrait plutôt se retourner contre son avocat. Là il a plus de chances de gagner.
Le 13/11/2017 à 17h53
Si le nombre PI pouvait parler, il aurait déjà collé un procès pour plagiat à tous les écrivains :s
Le 13/11/2017 à 18h12
Dans un premier temps, je ne suis fait la même réflexion. Si la réutilisation n’est pas protégeable et protégée, tout risque de contrefaçon devrait être exclu. Mais ce n’est pas le raisonnement de la CJUE dans l’affaire C‑145/10, cf. points 134 à 136 :
Point 136 : “ Dans cette perspective bipolaire [droit d’information du public C/ droits de l’auteur], le point de
savoir si la citation est faite dans le cadre d’une œuvre protégée par le droit d’auteur ou, au contraire, d’un objet non protégé par un tel droit, est dépourvu de pertinence”.
Le 13/11/2017 à 18h26
Le 13/11/2017 à 18h49
Il faudra bientôt un logiciel de phrases copyrightées à éviter, on appelle quand même un chat encore un chat. " /> Vers quel monde va-t-on ? (HS: tout risque de péter. Même les scientifiques deviennent sceptiques)" />
Le 13/11/2017 à 18h52
Je pense que vous devriez arrêtez la masturbation intellectuelle……
Vous êtes hors contexte, c’est un cheminement de consideration pour motiver l’interpretation de texte dans une affaire complexe ou une photo a été vendu(ou pas ) a une agence de presse puis réutilise en la communiquant a l’ordre judiciaire pour diffusion sur avis de recherche sans mentionné l’auteur car l’enfant avait été kidnappe..
En gros l’autorité n’avait pas a inquiétée de la licité de l’oeuvre qu on lui avait communique, bref H.S.
Rien de tel ici ,c’est vous l’avocat de Mr Gallaire ?
Le 13/11/2017 à 19h04
Le 13/11/2017 à 20h12
Je vois que vous avez lu l’arrêt, donc je vous réponds avec bienveillance. Il me semble que je ne suis pas H.S. comme vous dites.
Dans un Etat démocratique, la Justice fait toujours prévaloir la liberté d’expression sur la propriété intellectuelle, sauf abus notoire Cf. l’affaire l’Esso (détournement de logo de cette marque au profit de la Liberté d’expression revendiquée par Greenpeace.) C’est même la primauté de ce droit à l’information qui fonde l’exception de courte citation et de revue de presse. Dans l’affaire Areva, Greenpeace n’est pas condamnée sur le fondement de la contrefaçon, mais sur celui de la responsabilité civile, c’est à dire de l’abus de la liberté d’expression. Par conséquent, vos attaques ad hominem ne se justifient pas. Vous connaissez surement la maxime que l’on prête à Talleyrand : tout ce qui est excessif est insignifiant.
Le 13/11/2017 à 20h14
Je vois que vous avez lu l’arrêt, donc je vous réponds avec bienveillance. Il me semble que je ne suis pas H.S. comme vous dites.
Le 13/11/2017 à 20h47
un patent troll libriste. comme quoi tout arrive. " />
Le 13/11/2017 à 21h14
L’obligation de conseil n’empêche pas le plaignant d’avoir le droit de porter plainte, si ?
Un avocat a-t-il le droit de refuser de défendre quelqu’un sous prétexte que c’est indéfendable ? Je ne pense pas mais je me trompe peut-être.
Le 13/11/2017 à 16h08
“Florent Gallaire avait déjà eu les honneurs en 2010 d’un billet de Maitre Eolas.”
Parfait, tout est dit.
Le 13/11/2017 à 16h11
Je ne souhaite à personne de publier un article à la même date que ce monsieur. Cette date pourrait être considérée comme du plagiat si elle s’affiche sur le site qui la publie…
Le 13/11/2017 à 16h15
C’est galère de faire original quand on rend compte d’une élection ! " />
Qu’ils aillent au tribunal, ça fera les pieds à ce monsieur de payer les dépends. Et qu’ils le poursuivent ensuite pour dénonciation calomnieuse.
Le 13/11/2017 à 16h15
Il leurs reprochent donc d’avoir cités des … nom et des dates ?
J’espère vraiment que cette affaire va aller au tribunal, le ridicule de l’accusation vaut son pesant d’or, ça vaut le coup d’être vu.
Il faut vraiment entretenir une relation amoureuse avec le ridicule pour le rechercher à ce point.
Le 13/11/2017 à 16h16
A part le phrase de félicitation (on peut vraiment faire ce type de choses pour une telle phrase ? " />), tout le reste n’est qu’une énonciation de faits. Les tournures de phrases ne sont même pas les mêmes.
Le 13/11/2017 à 16h20
Le 13/11/2017 à 16h23
Que LinuxFR (si elle en a les moyens) refuse et aille au tribunal.
non seulement le plaignant sera débouté et condamné au dépends voir plus si le juge reconnait un abus de droit.
Je pense aussi que l’Ordre des Avocats devrait mettre son grain de sel car là l’avocat n’a peut-être fait preuve de son obligation de conseil sur le sujet… voir a, peut-être, fait preuve d’incompétence.
Le 13/11/2017 à 16h25
Reprendre une information sans citer la source, il me semble que ce n’est pas très correct, mais encore faut-il que l’auteur de l’information prouve qu’il s’agit d’une exclusivité ou d’un “scoop” (à mon avis).
Je ne comprends pas bien le litige, cette élection était bien un événement public, non ?
Le 13/11/2017 à 16h27
PS : après revu du texte niveau structure, lexique et tournure de phrase pour trouver une originalité qui aurait été reprise, je ne vois pas.
Après il y a un seul bémol, c’est si les liens hypertextes renvoient exactement aux mêmes destinations (et encore…)
Le 13/11/2017 à 16h34
Les félicitations, c’est relativement codifié en français, du coup, c’est normal que ça se ressemble !
J’espère que le juge constatera que malgré sa brièveté le texte de linuxfr est pour moitié non surligné, que le reste, c’est que l’auteur aurait inventé le nom des personnes, alors que ça n’est pas le cas, il faut bien les citer et citer la méthode…
Après filtrage des choses aberrantes, il ne reste rien. Espérons qu’il prenne un joli revers de la part du juge.
Le 13/11/2017 à 16h35
Le résultat de l’élection du Debian Project Leader n’est pas secret. Il ne peut y avoir de scoop. Ces données sont publiques et chacun peut les reprendre et les publier.
Quant au fait de féliciter le nouvel élu, c’est assez courant.
Le 13/11/2017 à 16h36
Le premier commentaire du “plagiat” sur linuxfr indique que le nom d’un des candidats a été écorché (on ne va pas dire lequel, pour éviter que l’avocat n’attaque nextInpact ).
Depuis quand on fait des fautes de frappe en faisant un copié-collé ?
Le 13/11/2017 à 16h37
A l’AFP ils doivent bien se marrer en voyant que ce billet est du “plagiat” " />
Le 13/11/2017 à 16h41
Le 13/11/2017 à 16h44
Merci d’avoir compris mon jeu de mot. " />
Le 13/11/2017 à 16h46
Ça a bien dû m’arriver une fois ou deux " />
Mais c’est lié au fait que la touche delete n’attend pas qu’on ait besoin d’elle pour être sur le clavier
Edit: Typo dans mon comm. initial (décidemment)
Le 13/11/2017 à 21h53
[HS]
Le site de ce monsieur possède une belle faille de sécu tiens… " />
[/HS]
Le 13/11/2017 à 22h25
Je dirais que non, une fois que l’avocat a dit “ne portez pas plainte, vous allez perdre”, le plaignant fait ce qu’il veut. L’avocat est il obligé d’assisté le plaignant dans sa démarche bonne question..
Je
ne pense pas, on pourrait comparer avec les avocats de terroriste, mais
dans ces cas là, il y a une dimension médiatique. Pas sûr que ce soit
comparable donc..
Sinon, je pense qu’aucune cause n’est indéfendable étant donné qu’il est toujours question d’interprétation de la loi/des faits. Et si l’avocat ne cherche pas la relaxe, il cherche à diminuer la peine.
Bref, je ne répond pas aux questions mais ca m’interesse " />
Le 13/11/2017 à 22h54
Le 13/11/2017 à 23h05
En fait, ça paraît encore plus incompréhensible quand on sait que Florent Gallaire est lui-même… avocat. " /> La thèse du bon gros fake ou de la blague de mauvais goût paraît donc plausible…
Le 13/11/2017 à 23h07
Le 14/11/2017 à 00h51
Le 14/11/2017 à 07h02
Le 14/11/2017 à 07h42
Le 14/11/2017 à 08h18
Le 14/11/2017 à 08h21
Le 14/11/2017 à 08h36
ils osent et c’est à ça qu’on les reconnaît !
Le 14/11/2017 à 08h36
" />
Mais en fait, la réaction du bonhomme est pathétique. Qu’il aille faire “les marseillais” si il veut son 1/4h de gloire
Le 14/11/2017 à 08h44
Sérieusement, c’est ridicule… c’est un débat qui aurait du sens si nous avions des brevets sur les structures de texte, mais dans un pur contexte de droit d’auteur, ça ne tient pas la route juridiquement et c’est moralement indéfendable.
Sérieusement il faudrait plutôt poursuivre Florent Gallaire pour épanchement d’urine sur la voie publique car c’est à peu près le niveau de son action.
Le 14/11/2017 à 08h50
Vous contredire est très enrichissant " />……
Donc je persiste,vos considerations sont faites car vous pensez être en presence d’une oeuvre intellectuelle.
Nous sommes pas devant un tableau de Magritte et ceci n’est pas une pipe …Comment l’énoncé de fait peut être une oeuvre originale …le caractere amical de la conclusion ?
Pour comprendre le cheminement intellectuelles de Mr Gallaire il est important de comprendre qu’est ce la licence libre dans l’univers Linux qui pour mémoire existe grace à l’ingénieur Richard Stallman par opposition a l’OS UNIX qui avait un coût exorbitant a l’époque
Le 14/11/2017 à 09h03
C’est vraiment honteux. Ils sont rien d’autre à foutre?
Le 14/11/2017 à 09h13
Merci!
Le 14/11/2017 à 09h15
Le 14/11/2017 à 09h17
A lire les coms, on va tous se prendre un procès pour dénigrement ou un truc du genre " />
Le 14/11/2017 à 09h40
Donc si le monsieur écrit que le soleil est jaune sur son blog, on doit tous dire qu’il est d’une autre couleur sous peine de se prendre un procès ? " />
Le 14/11/2017 à 09h57
Le journal de linuxFR site la source (debian).
Le fait est que si les deux journaux partent de la même source, alors forcément sur un truc si factuel que ça on aura forcément très proche…
Le 14/11/2017 à 10h07
Simple bataille d’ego, loin de l’intérêt commun qu’est le Libre. Les GAFAM en rient encore.
Le 14/11/2017 à 10h54
Le 14/11/2017 à 11h05
Le 14/11/2017 à 12h51
J’espère fortement que LinuxFR déposera plainte pour diffamation.
Cette mise en demeure est une honte.
Le 14/11/2017 à 12h59
Diffamation, ça me parait difficile. Procédure abusive serait un motif serait plus adapté.
Le 14/11/2017 à 13h04
Le 14/11/2017 à 13h11
Nan mais vu le gus ça serait son genre c’est tout 😂
Le 14/11/2017 à 13h22
Le 14/11/2017 à 13h46
L’abréviation de Monsieur s’écrit «M.» «Mr» c’est de l’anglais pour «mister».
Le 14/11/2017 à 14h57
Et ?? Nodocéphale !
Le 14/11/2017 à 15h03
Bin en fait le soleil n’a pas de couleur. C’est la lumière qu’il émet qui en a une. Du coup s’il le disait il dirait des bêtises. Dommage qu’on ne puisse pas lui faire un procès pour cela.
Mais au fait les commentateurs ne seraient pas en train de perdre leur temps à propos d’un gros nigaud ?
(don’t feed the…)
Le 14/11/2017 à 15h13
Si tu es Coprolithe, ont fait la paire pour du pipi caca, t’es content !
Le 14/11/2017 à 17h00
Avec le lien vers la licence CC BY-NY-LA-SA qui va bien… " />
Le 14/11/2017 à 18h15
Le 15/11/2017 à 06h01
Sa sent le coup de publicité
travail dans le libre
avocat
informaticien
Il cherche a se faire de la publicité moi perso je le bannirais de la communauté libre pour faute grave et retiré sont droit de pratique pour incompétence
de plus , c’est une pratique courante de lire un ou plusieurs article et d’en écrire un nouveau basé sur les information cumulé , et le droit a d’auteur et co n’est pas violé si (excluant les noms , les lieux , les dates et les références) le texte n’est pas copié collé
Le 16/11/2017 à 08h32