Radiofréquences : peu de danger selon l’Anses, Robin des Toits déçu
Petits enfants et grands professionnels, attention malgré tout
Le 15 octobre 2013 à 16h17
6 min
Société numérique
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L'Anses, l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, vient de publier une mise à jour de son rapport reprenant diverses études portant sur les conséquences des radiofréquences, et en particulier celles des téléphones mobiles. Et son bilan est sans appel : depuis 2009, aucune des dernières études n'apporte de preuves suffisantes quant à de réels dangers pour la population, hormis certains cas extrêmes pour les utilisateurs intensifs et les enfants.
Pas « de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population »
Pour l'Anses, les études publiées ces dernières années portant sur les conséquences des radiofréquences ont toutes ou presque les mêmes problèmes : une « absence de données spécifiques de qualité » et un « niveau de preuve insuffisant pour conclure » quoi que ce soit. Dès lors, l'agence estime que ces nouvelles études ne mettent en aucun cas en évidence « d’effet sanitaire avéré » et ne conduisent pas à « proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population ». En somme, rien de nouveau à l'horizon, le statu quo est de mise.
Toutefois, malgré des niveaux de preuves faibles et limités du point de vue de l'Anses, certaines études indiquent tout de même des effets possibles pour deux types de personnes. Tout d'abord, les utilisateurs intensifs, à savoir ceux cumulant plus de 1640 heures d’exposition, soit l'équivalent de 68 jours sans interruption (que ce soit sur une courte période ou au-delà de 10 ans), présentent des risques supérieurs à la moyenne. L'agence explique ainsi qu'il ne peut être exclu une augmentation du risque de gliome (tumeurs cérébrales), tout comme le risque de neurinome du nerf vestibulo-acoustique. Qui plus est, « avec un niveau de preuve suffisant », il a été prouvé que ces utilisateurs intensifs peuvent présenter « une modification physiologique à court terme de l’activité cérébrale pendant le sommeil ».
Il est ainsi recommandé par l'agence à ces utilisateurs intensifs de téléphone mobile, qui sont la plupart du temps des professionnels, d'utiliser un kit main-libre et un appareil de DAS (Débit d'Absorption Spécifique) le plus faible possible. Elle conseille d'ailleurs à tout le monde, et non uniquement les plus gros consommateurs, l'usage de tels appareils.
« Les effets (...) sur le développement de l’enfant devraient être surveillés »
L'autre type de population visée par l'Anses est la jeunesse, ce qui était déjà le cas dans le passé. Les enfants sont en effet plus susceptibles d'être touchés par les radiofréquences, au point que l'agence recommande de réduire l'exposition via un usage limité, et elle propose les mêmes conseils que pour les utilisateurs intensifs, à savoir l'usage du kit main-libre et d'un terminal mobile de DAS le plus faible.
« Étant donné la forte augmentation de l’utilisation du téléphone mobile dans le monde, et donc le fort impact potentiel en santé publique, les effets de l’utilisation du téléphone mobile sur le développement de l’enfant devraient être surveillés, de préférence dans des études prospectives capables de discerner les effets des radiofréquences des autres effets de l’utilisation du téléphone mobile » résume l'Anses.
Globalement, afin de protéger les personnes les plus vulnérables, l'agence recommande :
- « de poursuivre l’amélioration de la caractérisation de l’exposition du public dans les environnements extérieurs et intérieurs par la mise en œuvre de campagnes de mesure ;
- que le développement des nouvelles infrastructures de réseaux de téléphonie mobile fassent l’objet d’études préalables en matière de caractérisation des expositions et que les conséquences d’une éventuelle multiplication du nombre d’antennes-relais dans le but de réduire les niveaux d’exposition environnementaux fassent l’objet d’un examen approfondi ;
- de documenter les situations des installations existantes conduisant aux expositions les plus fortes du public et d’étudier dans quelle mesure ces expositions peuvent être techniquement réduites.
- que tous les dispositifs courants émetteurs de champs électromagnétiques destinés à être utilisés près du corps (téléphones DECT, tablettes tactiles, veille-bébé, etc.) fassent l’objet de l’affichage du niveau d’exposition maximal engendré (DAS par exemple), comme cela est déjà le cas pour les téléphones portables. »
Robin des Toits s'inquiète pour la 4G
Du côté de Robin des Toits, Etienne Cendrier, le porte-parole de l'association, s'est dit « déçu » par ce nouveau bilan de l'agence nationale de sécurité française. « Là, on a des effets biologiques, on est dans un débat scientifique mais quand on a un débat scientifique, on devrait appliquer le principe de précaution » a-t-il ainsi rapporté au micro de l'AFP.
Mais pour l'association, là où le bât blesse, est le sujet de la 4G LTE. En effet, l'Anses se contente de souligner la « nécessité que ces développements technologiques s’accompagnent d’une maîtrise de l’exposition des personnes (qu’il s’agisse de l’exposition environnementale ou liée aux terminaux) ». Or pour Robin des Toits, il faut absolument une étude sur l'impact du déploiement de la 4G.
« Depuis 2009, nous avons demandé que soit étudié l'impact de la 4G avant son déploiement, histoire de ne pas prendre la population comme cobaye » explique ainsi Etienne Cendrier. « Là, on est en 2013, la technologie est en train d'être lancée et il n'y a toujours pas d'étude d'impact sanitaire. »
Cette critique de Robin des Toits est en droite ligne de celle déjà formulée en août dernier par l'association PRIARTEM, Pour une Réglementation des Implantations d'Antennes Relais de Téléphonie Mobile. Lors de la publication de deux rapports remis par le comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile 2G et 3G aux ministres de l'écologie et de l'économie numérique, l'association, tout comme Robins des Toits, avait pointé du doigt la méthodologie utilisée lors des études, ainsi que le caractère incomplet du rapport et les mauvaises conclusions que l'on peut en tirer.
Qui plus est, PRIARTEM s'inquiétait déjà à l'époque de la 4G et de son développement. La LTE impliquerait en effet des niveaux d'exposition supérieurs de 50 % en moyenne par rapport aux autres réseaux. Pour l'association, évaluer l'impact sanitaire de la 4G est une priorité absolue, qui doit être réalisée le plus rapidement possible. Elle a d'ailleurs demandé que le principe ALARA, à savoir d'imposer le niveau d'onde le plus bas raisonnablement possible, soit mis en place, ceci en guise du principe de précaution. Une logique similaire à celle de Robin des Toits donc.
Radiofréquences : peu de danger selon l’Anses, Robin des Toits déçu
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Pas « de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population »
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« Les effets (...) sur le développement de l’enfant devraient être surveillés »
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Robin des Toits s'inquiète pour la 4G
Commentaires (114)
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Abonnez-vousLe 15/10/2013 à 16h40
Le 15/10/2013 à 16h41
Ils ont pas tort sur tout quand même. C’est vrai que pour ce type de technologie, des test d’impact sur la santé devrait être obligatoire et publique avant tout déploiement, ce serait mieux que de faire les test pendant, après ou carrément quand la technologie est en fin de vie…
Sinon, je me demande si les grands parents des robins des toits ne gueuler pas déjà contre l’installation d’antennes télé et FM….
Le 15/10/2013 à 16h41
Attention je sens que la science citoyenne va encore frapper. " />
Le 15/10/2013 à 16h41
Le 15/10/2013 à 16h47
Le 15/10/2013 à 16h47
Le 15/10/2013 à 16h49
Ces scientifiques du dimanche ne comprennent déja pas qu’en se battant contre l’installation de nouvelles antennes ils participent eux même à l’augmentation de la puissance d’émission de celles déjà en place qui doivent compenser …
Plus d’antennes avec des puissances réduites: voila ce qui devrait être fait.
Et un téléphone qui trouve une antenne à proximité est un téléphone qui réduit sa puissance d’émission…
Le 15/10/2013 à 16h53
Le 15/10/2013 à 16h56
Le 15/10/2013 à 16h57
Or pour Robin des Toits, il faut absolument une étude sur l’impact du déploiement de la 4G.
Totalement inutile, puisqu’ils sont contre par principe !
Le 15/10/2013 à 16h57
Je suppose qu’aucun membre des Robin des toits ne possède de portable, pas de box avec le wi-fi activé, pas de récepteur TNT. Egalement pas de voiture, pas d’électricité etc… pas bon pour la santé et le bilan carbone tout çà.. Et qu’ils mangent exclusivement les cultures bio de leur potager.
Ah non, on me dit que ce sont juste des réactionnaires qui n’ont rien d’autres à foutre.
Le 15/10/2013 à 16h58
Le 15/10/2013 à 17h02
Le 15/10/2013 à 17h04
Le 15/10/2013 à 17h08
Une étude Suédoise à trouvé qu’il y a des riques non négligeables.
http://www.spandidos-publications.com/10.3892/ijo.2013.2111
Le 15/10/2013 à 17h12
Le 16/10/2013 à 03h22
Le 16/10/2013 à 04h45
Le 16/10/2013 à 06h19
Ce genre de réflexion est, amha, la raison principale qui fait que ce monde n’avance pas = il est plus facile de critiquer des gens qui font quelque chose, que de faire soi même quelque chose.
… dit le mec qui défend une association qui justement fait tout ce qu’elle peut pour empêcher les choses d’avancer
" />" />" />
on se vautre dans le ridicule
Le 16/10/2013 à 06h23
Certains pays ont limité la puissance des antennes, et leur réseau fonctionne pour autant.
Wikipedia
C’est une limite techniquement raisonnable que de suive le 6V/m de l’italie, la chine, la russie et la pologne, parce qu’au final, ça ne bousille pas le réseau, et l’on est loin de nos 41V/m. De toute manière, à part en rase campagne (dans un endroit où l’on espère qu’il n’y a pas d’habitation proche) les opérateurs n’ont pas besoin d’une telle puissance, puisqu’en ville, pour avoir assez de bande passante pour tout le monde, il faut faire des antennes de plus faible portée pour que chacune couvre un faible nombre de personnes (sinon, adieu les débits 3G et 4G, hein).
J’ai l’impression que nos agences gouvernementales en ont oublié jusqu’à l’utilisation raisonnable du principe de précaution, qui pourrait mener à limiter comme certains pays la puissance des antennes, et l’on pourrait même le faire juste pour les antennes à proximité des habitations et garder nos puissantes antennes posées au milieu de nulle part.
Le 16/10/2013 à 06h52
Le 16/10/2013 à 07h08
Le 16/10/2013 à 07h12
Le 16/10/2013 à 07h14
Le 16/10/2013 à 07h16
Le 16/10/2013 à 07h32
Le 16/10/2013 à 08h00
Le 16/10/2013 à 08h04
Je ne veux pas spécialement soutenir les “Robins des toits” mais je rappellerais juste que la consommation de tabac a été considérée comme inoffensive pendant des décennies, idem pour l’amiante (et ça c’est bien plus récent) et plein d’autres trucs…
Donc le principe de précaution n’est peut-être pas forcément une mauvaise chose et surtout négliger la puissance et la nuisance que peuvent avoir certains lobbys dans plein de domaines est très dangereux et relève d’une grande naïveté.
Après, sortir l’exemple des mecs qui pensaient que personne ne pourrait supporter une vitesse de plus de 40 Km/h dans les trains c’est un peu gros, pourquoi pas sortir aussi l’exemple de la terre plate tant qu’à faire. " />
Personne n’a le recul nécessaire pour estimer la dangerosité ou pas des ondes radio à haute dose donc adopter une position extrémiste pour une ou l’autre des théories n’est pas très malin…
Les hyper accrocs au smartphones qui crient au scandale ne sont sûrement pas plus crédibles que les farouches opposants à ces mêmes smartphones puisqu’à ce jour personne ne peut rien affirmer avec certitude pour cause de manque de recul…
Maintenant je comprends que l’on puisse être plus favorable à la théorie qui ne viendra pas bouleverser les habitudes et le confort de chacun.
C’est tout le problème de l’écologie en général d’ailleurs…
Le 16/10/2013 à 08h08
Le 16/10/2013 à 08h10
Le 16/10/2013 à 08h14
Le 16/10/2013 à 08h15
Le 16/10/2013 à 09h59
Le 16/10/2013 à 10h19
Le 16/10/2013 à 11h06
Le 16/10/2013 à 11h18
Le 16/10/2013 à 11h19
Le 16/10/2013 à 11h20
Le 16/10/2013 à 11h22
Le 16/10/2013 à 11h57
Je vais faire une étude pour prouver que dans 100% des cas quelqu’un en vie peut mourir pour ensuite interdire la mort.
Et encore j’aurais tords puisque l’on sait de source sur qu’au moins une personne est revenu après la mort, soit un taux de réussit de 0.00000000000001%
Le 16/10/2013 à 11h59
Le 16/10/2013 à 12h19
comme les cigarettes quoi…… non non ça fait….. vive les lobbyistes
Le 16/10/2013 à 19h05
Le 17/10/2013 à 06h17
Le 17/10/2013 à 07h15
N’ayant pas repris la lecture de toutes les pages, je voudrais juste vous citer une source :
http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/medecine-ondes-elect…
Cette source indique des effets biologiques non négligeables sur le sommeil, la fertilité, le taux de gliomes…
Désolé pour les commentaires de certains, mais sincèrement je préfère mourir en bonne santé et surtout pas d’un gliome. " />
Le 17/10/2013 à 17h58
Le 15/10/2013 à 17h14
Le 15/10/2013 à 17h16
Le 15/10/2013 à 17h34
Du côté de Robin des Toits, Etienne Cendrier, le porte-parole de l’association, s’est dit « déçu » que la réalité ne corresponde pas à ses idées. Il exige ainsi l’application du principe de précaution et demande au gouvernement de légiférer pour changer la réalité. « Là, on a pas d’effet biologique, le débat scientifique est fini, mais quand on a une réalité comme ça, on devrait la changer » a-t-il ainsi rapporté au micro de l’AFP. « Il est inconcevable que la réalité prime sur nos idées. De quoi se mêle t-elle ? »
Le 15/10/2013 à 17h42
Mouai …
Au lieu de se préoccuper des ondes des mobiles ils feraient bien de s’occuper de choses nocives - connues depuis des plombes - mais qui continuent d’être utilisés quotidiennement.
C’est fou ce que les gens aiment brasser de l’air pour faire croire qu’ils font quelque chose d’utile.
Le 15/10/2013 à 17h44
Le 15/10/2013 à 17h44
Le 15/10/2013 à 17h45
Dans le genre casse burne les Robins des Toits ont en leur sein de superbes spécimen. J’ai un voisin qui fait (selon ses dires) partie de leur asso, et qui m’a demandé de couper le signal Wifi de mon domicile car ça le dérange… comme je suis en appart il a fait la même chose avec les voisins. J’avoue avoir bien ri.
Aux dernières nouvelles il était sur le point de s’équiper d’un appareil pour brouiller le réseau, j’ai hâte qu’il soit équipé pour lui envoyer les flics à domicile.
Le 15/10/2013 à 17h54
Le 15/10/2013 à 17h54
Le 15/10/2013 à 17h56
Le 15/10/2013 à 17h59
Le 15/10/2013 à 18h02
Par principe de précaution, j’exige que l’on vénère tous le Monstre en Spaghetti volant
Le 15/10/2013 à 18h03
Le 15/10/2013 à 18h07
Le 15/10/2013 à 18h08
Le 15/10/2013 à 18h09
Le 15/10/2013 à 16h26
Les rejets de la respiration de ces Robin des toits pourraient avoir un impact négatif sur l’environnement. Par principe de précaution ils arrêtent de respirer ? ….
Je suppose que ce sont les premiers à venir râler quand leur téléphone capte pas correctement…
Le 15/10/2013 à 16h31
Le 15/10/2013 à 16h34
Encore plus cynique que ça, ils sont trop vieux pour savoir s’en servir.
C’est très salaud, je sais, mais depuis le temps que les études ne montrent rien, faudrait arrêter de vouloir garder 10 ans de retard sur le reste de la planète en matière de développement mobile.
Le 15/10/2013 à 16h35
D’après ce qu’un chercheur en télécom me disait durant son cours, la solution pour arrêter de bombarder des ondes (pour mobiles) dans tous les sens on la connait : utiliser le GPS du smartphone pour cibler très précisément sa position, et diriger l’onde dans sa direction avec beaucoup moins de puissance.
Ça fait des années qu’on la techno pour. Donc en tant que consommateur on a plusieurs choix :
Accepter de donner notre position à son antenne relais
Accepter d’être bombardé d’ondes dans tous les sens
Accepter de beaucoup moins bien capter
Tant que les avis ne seront pas unanimes, on avancera pas.
Le 15/10/2013 à 20h11
Le 15/10/2013 à 20h18
Y a que moi qui frémit ? 1640h? Sur 10 ans. C’est pas tant que ça…
Le 15/10/2013 à 20h36
Du côté de Robin des Toits, Etienne Cendrier…
tiens, j’avais jamais prêté attention à l’ironie de la chose… " />
Le 15/10/2013 à 20h44
Tiens, j’ai une idée, pourquoi on interdirait pas les radars automatiques ? ça émet des ondes électromagnétiques, non ?
On pourrait appliquer le principe de précaution ? Juste en ville ? " />
Le 15/10/2013 à 21h12
Le 15/10/2013 à 21h30
De toute façon, le rôle logique des associations serait non pas d’empêcher l’installation d’antennes (voire en supprimer qui sont présentes), mais au contraire de forcer leur limite de puissance.
Cela forcera les opérateurs à en rajouter, qui du coup seront moins puissantes.
Pour rappel, dans ses débuts la radio faisait peur à tout le monde.
Et de nos jours les ondes FM ne sont pas appelées à disparaître (même si le numérique arrive).
Le 15/10/2013 à 21h45
Comme d’habitude, on a trouvé tout les scientifiques qu’il fallait pour nier la dangerosité de l’amiante, les liens entre tabac et cancer du poumon sans parler du nuage radioactif qui s’arrête…
Le GSM, wifi et co sont des gigantesques scandales sanitaire à venir…
Et pour ceux qui vont encore me dire que ça fait un pouième de watt, je leur rappellerai l’effet d’usure sur la durée… le simple fait de rester coucher assez longtemps dans la même position et vous avez la peau qui se nécrose… pourtant cette même peau est assez résistante pour qu’on se suspende avec…
La science, c’est comme tout le reste (en pire), ça se médiatise ou non…
Vous entendez ces charogniards du GIEC raconter bobard sur bobard sur la blague du réchauffement climatique sur tout les médias du monde alors que la moitié (et même plus ces dernier temps) des publications scientifiques infirment les dires du GIEC… mais bon le réchauffement c’est bon ça permet de rajouter des taxes avec l’assentiment des moutons…
Et attention, c’est le rapport de l’Anses (ânesse LOL), le genre de commission bien vérolé dont les 4⁄5 sont d’anciens des entreprises qu’ils sont censé surveiller… mélangé avec la crème de l’incompétence typique du pire du fonctionnariat que l’on retrouve dans les hautes sphères de la planquitude…
Bref, allons demander à Monsanto si les OGM c’est bon et demandons à SFR si les ondes sont dangereuses… " />
Le 15/10/2013 à 21h48
Le 15/10/2013 à 21h58
Le 15/10/2013 à 22h28
Le 15/10/2013 à 22h31
Le 15/10/2013 à 22h45
Le 15/10/2013 à 22h55
Le 15/10/2013 à 23h06
Le 15/10/2013 à 23h09
Le 16/10/2013 à 01h57
Les scientifiques sont formels… " />
Le 16/10/2013 à 08h20
Le 16/10/2013 à 08h23
Le 16/10/2013 à 08h25
Le 16/10/2013 à 08h33
Le 16/10/2013 à 08h52
Le 16/10/2013 à 09h03
Le 16/10/2013 à 09h03
Le 16/10/2013 à 09h05
Le 16/10/2013 à 09h06
Je ne sais pas si quelqu’un a déjà posté ce lien mais Canard PC Hardware avait fait en 2012 une enquête très intéressante sur la nocivité des ondes.
http://www.canardpc.com/pdf/CPCHW13.pdf (c’est à la page 69 du PDF)
Le 16/10/2013 à 09h18
Le 16/10/2013 à 09h22
Le 16/10/2013 à 09h34
Le 16/10/2013 à 09h35
Le 16/10/2013 à 09h36
Le 16/10/2013 à 09h38
Le 16/10/2013 à 09h47
Le 15/10/2013 à 18h11
Le plus drôle c’est quand ils donnent un 06 pour les contacts presse à la fin de leurs communiqués " />
ici ou là par exemple
Le 15/10/2013 à 18h15
Le 15/10/2013 à 18h16
Le 15/10/2013 à 18h22
Assez anxiogène leur site
http://www.robindestoits.org/
Le 15/10/2013 à 18h32
Votre étude suédoise elle a l’air de dire que le DECT c’est pire que le mobile si j’ai bien compris les termes techniques (je ne sais pas ce qui est le mieux un OR haut ou bas mais c’est haut vaut mieux un mobile)
Le 15/10/2013 à 18h40
Le 15/10/2013 à 18h44
Le 15/10/2013 à 19h00
Ça confirme toutes les études, qui n’ont jamais montré de nocivité mesurable, et sur l’électro-sensibilité, il y a de quoi douter (et sourire avec le second lien) :
Le 15/10/2013 à 19h35
je rejoins ces gens, moi même j’ai un genre de sensibilité aux ondes. Il suffit que je descende une demi bouteille de jack avec mon portable dans la poche pour avoir les yeux qui piquent. Si c’est pas une preuve de l’électrosensibilité ça.
Le 15/10/2013 à 19h47
Le 15/10/2013 à 20h03
M’en fous, je me sers jamais de mon portable, je ne crains rien." />
" />
Le 15/10/2013 à 20h03
Le 15/10/2013 à 20h04
Le 15/10/2013 à 20h05
Le 15/10/2013 à 20h07
Ils en ont parlé aux infos de ça à midi, mais ça m’a bien fait rire car dans le même JT, ils parlaient des parents qui achètent des portables à leurs gosses qui ne sont même pas au collège.
Et puis entre le Wifi, les particules diesels, les ogms dans la bouffe, les produits toxiques que l’on retrouve dans l’eau…
Je pense qu’il y’a bien plus dangereux que les téléphones portables en ville.
Surtout que c’est souvent quand la réception est mauvaise que le téléphone “envoie la sauce” pour essayer de choper du réseau.
Le 15/10/2013 à 20h09