Des drones testés par la police lors d’un match de Ligue 2
Les dieux du stade
Le 22 septembre 2014 à 06h10
3 min
Droit
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Vendredi soir, à l’occasion d’un match de football se déroulant à Créteil (Val-de-Marne), la préfecture de police de Paris avait prévu de tester des drones équipés de caméras. Une première. Cette opération en environnement maîtrisé devrait toutefois être suivie à plus long terme par d’autres phases d’expérimentation, les forces de l'ordre cherchant à évaluer les bénéfices que pourraient apporter ces appareils volants.
La rencontre entre Créteil et Clermont s’est finalement achevée par un nul, deux buts partout. Mais en plus des spectateurs ayant pris place au sein du stade Duvauchelle de Créteil, ce sont des drones qui devaient profiter de ce match de Ligue 2 pour faire une petite virée, en toute légalité. La préfecture de police de Paris avait en effet annoncé dans sa lettre d’information en date du 10 septembre qu’un « premier test grandeur nature » serait réalisé à l’occasion de cet événement sportif.
Deux types de drones avaient ainsi vocation à être testés. « L’un sera d’un poids d’un à deux kilos et équipé d’une caméra. Il disposera d’une autonomie d’environ 30 minutes » expliquait la préfecture de police de Paris. « L’autre "filaire" pèsera environ vingt kilos, avec une hélice de 2,50 mètres d’envergure et sera doté de deux caméras dont une thermique pour la vision nocturne. Il disposera d’une autonomie d’environ une heure. »
Le point de départ de l'expérimentation prévue par la préfecture de police de Paris
Comme nous l’avait expliqué l’ingénieur en charge de ce projet durant l’été (voir notre article), une phase d’expérimentation de drones a effectivement été lancée par la préfecture de police de Paris, l’objectif étant d’évaluer ces appareils qui pourraient permettre aux autorités de récupérer des informations dans des zones risquées, et ce sans envoyer d’agents sur le terrain. Aucun test n’avait encore été mené, et celui de vendredi devrait très logiquement être le premier d’une plus longue série.
« Notre démarche d'introduction passe par une phase d’expérimentation. Pour cela, on démarre en plusieurs étapes, avec un premier essai dans un environnement maîtrisé, pour voir quelle pourrait être la plus-value opérationnelle des drones » affirmait en ce sens Régis Guyonnet. Une opération dans un cadre plus sensible (prises d’otages, violences urbaines…) est envisagée, mais pas avant l’année prochaine. Précisons que ce ne sont pas les forces de l’ordre qui pilotent - pour l’instant - ces drones, mais un prestataire externe, qui fournit aux autorités une solution « clés en main », avec location du matériel, etc. Un budget de « quelques milliers d'euros » a ainsi été prévu par les autorités.
La préfecture de Police rappelait par ailleurs dans sa lettre d’information que les drones n’ont pas pour objectif d’identifier des individus, et qu’ils « ne pourront donc pas voler au dessus du public ou suivre des groupes de personnes cheminant dans les rues de Paris ».
Des drones testés par la police lors d’un match de Ligue 2
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Le point de départ de l'expérimentation prévue par la préfecture de police de Paris
Commentaires (82)
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Abonnez-vousLe 22/09/2014 à 06h58
Le 22/09/2014 à 06h59
Ah, la vidéo-surveillance… Zéro résultat et du pognon commun qui s’en va pas pelletées dans les poches de quelques-uns. Le progrès ma p’tite dame, le progrès. :/
Le 22/09/2014 à 07h18
Le 22/09/2014 à 07h23
Surveillés, nous l’étions déjà…
Perso je préfère voir tomber un drone plutôt qu’un hélico.
En terme de budget, finalement ça reviendra moins cher en énergie.
Le 22/09/2014 à 07h24
Le 22/09/2014 à 07h35
Le 22/09/2014 à 07h36
Je sent que celui qui mettra au point un canon de DCA portable se fera des c " /> s e, or ! " />
Par contre pour l’autonomie … ils en ont prévu plusieurs ? " />
Le 22/09/2014 à 07h47
Précisons que ce ne sont pas les forces de l’ordre qui pilotent - pour l’instant - ces drones, mais un prestataire externe, qui fournit aux autorités une solution « clés en main », avec location du matériel, etc.
Ca me semble une énorme faille de sécurité de faire intervenir un presta externe pour des affaires de sécurité intérieure.
Un budget de « quelques milliers d’euros » a ainsi été prévu par les autorités.
Du coup, si des sales types préparent un sale coup, pas trop dur de surenchérir pour acheter les pilotes du drone.
Le 22/09/2014 à 07h52
Le 22/09/2014 à 08h09
Grâce aux caméras, le drone retransmet le match aux agents de police resté au poste comme ça ils peuvent le regarder une bière à la main… " />
" />
Le 22/09/2014 à 08h17
Le 22/09/2014 à 08h23
ils ne ne pourront donc pas voler au dessus du public
ça veut dire qu’ils vont voler au niveau du public ?
c’est vrai que voir un rotor de 2.5 m passer à quelques centimètres de son visage ça calme les ardeurs des plus excités.
Pour plus d’efficacité ils mettront des katanas au bout des pales " />
Le nouveau jeu maintenant sera d’éblouir la caméra du drone avec des pointeurs laser " />
Le 22/09/2014 à 08h25
Le 22/09/2014 à 08h27
Le 22/09/2014 à 08h30
C’est pas innocent à mon avis d’expérimenter ça lors d’un match de foot lorsque l’on connait l’énergie que mettent les pouvoirs publics à réprimer à tors et à travers.
Ce n’est qu’une expérimentation, mais nulle doute qu’à terme cela servira à identifier toute personne en train de fumer son joint en tribune, ou bien de boire à sa bouteille d’eau qui possède un bouchon rentré en douce…
Mais bon, pour l’opinion public, c’est moins choquant de tester ça sur des “hordes de hooligans” dans les stades, victimes d’une répression aveugle, alors que pendant ce temps à vera cruz….
Le 22/09/2014 à 08h57
qu’ils « ne pourront donc pas voler au dessus du public ou suivre des groupes de personnes cheminant dans les rues de Paris ».
Normal, en l’état les drônes capables de ce type de performance coûtent la peau des fesses… sans compter qu’il y a encore beaucou de réticences (en Espagne, un drône s’est cassé la figure sur des enfants en premier semestre 2014 je crois … et ça a fait mal dans le milieu).
Créteil > c’est pas le fief de Manuel l’ancien sinistre de l’intérieur ????????
Le 22/09/2014 à 09h22
Le 22/09/2014 à 09h27
La préfecture de Police rappelait par ailleurs dans sa lettre
d’information que les drones n’ont pas pour objectif d’identifier des
individus, et qu’ils « ne pourront donc pas voler au dessus du public ou suivre des groupes de personnes cheminant dans les rues de Paris ».
..à quoi pourront-ils servir (dans la Police) ?
….. voyons, voyons ?
franchement, faut arrêter, là …c’est bon, ok !!!
Le 22/09/2014 à 09h30
Les drones vont créer un sacré bordel, à moins d’en interdire la vente, le jours où leur autonomie sera suffisante, vous aurez des drones anonymes sillonnant les cieux pour faire tout et n’importe quoi : voyeurisme, vols, blagues (lacher un sac de merde anonymement sur la pelouse d’un voisin), et bien sûr, meurtres. Ou par exemple, les anti-surveillance primaires qui peuplent Next pourraient capturer les drones policiers, ou les mettre hors d’état de surveiller (peinture sur la caméra par ex).
En bref, si Al Qaida avait investi dans l’ingénierie des drones plutôt dans la recherche d’une bombe nucléaire, ils auraient déjà pu faire sauter la planète (même si contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est contre leur seul intérêt : le profit.).
J’ai envie de dire : Gl & Hf pour maintenir l’ordre dans le futur.
Le 22/09/2014 à 09h34
La préfecture de Police rappelait par ailleurs dans sa lettre
d’information que les drones n’ont pas pour objectif d’identifier des
individus, et qu’ils « ne pourront donc pas voler au dessus du public ou suivre des groupes de personnes cheminant dans les rues de Paris ».
..à quoi pourront-ils servir (dans la Police) ?
….. voyons, voyons ?
Cette mission sera confiée à la prochaine génération high tech de la police dès qu’ elle sera au point.
Le 22/09/2014 à 09h46
Comme la répression routière vide les routes et les carnets de commande des constructeurs auto, le flicage aérien va vider les stades: vive la décroissance " />
Le 22/09/2014 à 09h48
Le 22/09/2014 à 09h54
pour l’instant - ces drones, mais un prestataire externe, qui fournit aux autorités une solution « clés en main », avec location du matériel, etc. Un budget de « quelques milliers d’euros » a ainsi été prévu par les autorités.
Tiens ils font aussi dans le drone chez Bygmalion ? " />
Le 22/09/2014 à 10h05
Le 22/09/2014 à 10h20
Le drone qui s’ est écrasé en Espagne n’ avait pas des pales de 250 cm ou une hélice gigantesque … il était monté avec 8 rotors de taille à peine plus grande qu’ un Parot et d’ un système de coupure des pales mais bon, “quelques kilos” qui tombent du ciel ca fait toujours mal quand même.
Le 22/09/2014 à 10h20
Le 22/09/2014 à 10h26
Le 22/09/2014 à 10h27
Comment peut-on laisser des instruments si puissants aux mains de la police après la rafle du Vél d’Hiv ?
Et vu le niveau du recrutement et de beaufitude, je suis certain que plus de la moitié des képis ignorent ce que c’est :/
Le 22/09/2014 à 10h28
Le 22/09/2014 à 10h37
Le 22/09/2014 à 10h48
“Christophe Crépin porte parole du syndicat Unsa Police, explique : Une station complète c’est-à-dire deux drones, une base, un poste de pilotage ça coûte environ 300.000 euros”
Et comme pour renflouer les banques, aller faire des guerres à l’autre bout du monde, là pour 2 drones et leur pilotage, nos politiciens “de gôche” savent trouver de l’argent…
Par contre pour l’exemple des retraites, les caisses de l’État sont vides et ne permettent que :
Une prime exceptionnelle de 40 euros sera versée en une fois, en janvier-février 2015, a précisé une source gouvernementale
Le 22/09/2014 à 10h54
Comment peut-on laisser des instruments si puissants aux mains de la police après la rafle du Vél d’Hiv ?
Excellent mélange d’ exemple…
Moi je suis contre l’ achat de FN P90 pour la police fédérale de mon pays quand on sait qu’ au 19ieme siècle les armes de la gendarmerie ont servit à tuer des innocents grévistes lors de grèves de mineurs pendant la révolution industrielle dans les bassins miniers de Wallonie…
Au Pakistan, en Somalie,.. des drones pilotés par des professionnels tuent des civils sans aucune autorisation, ni du pays, ni de l’ONU !
On parle quand même ici d’ une utilisation réglementée et surveillée à l’ intérieur d’ un pays souverain (et à priori pour l’ instant) démocratique.
On est pas dans une logique militaire avec vocation de réponse armée à une menace dans l’ exercice de mission hors contrôle ou mandat non seulement du pays attaqué mais plus encore de droit international.
Si je comprend qu’ on puisse extrapoler sur d’ autres utilisations futures, on ne peut quand même pas comparer un drone de combat de Boeing et un drone de surveillance de la police ?
Le 22/09/2014 à 06h17
Je vois pas comment dans un stade tu ne peux pas survoler des personnes. Entre le survol du terrain ou se trouvent les joueurs, les abords du terrain ou se trouvent les stadiers, puis les gradins …..il y a toujours du monde
En dehors du stade, il y a le parking ect ect
Soit on nous ment, soit on nous prend pour des canards sauvages
Le 22/09/2014 à 06h23
Le 22/09/2014 à 06h24
Le 22/09/2014 à 06h28
Le 22/09/2014 à 06h29
On y arrive…
Le 22/09/2014 à 06h37
La news est tournée avec des temps qui laissent penser que l’expérimentation n’a finalement pas eu lieu … Bizarre comme choix..
Le 22/09/2014 à 06h37
Il y a quand même plusieurs point qui me dérange là dedans:
pourraient permettre aux autorités de récupérer des informations dans des zones risquées, et ce sans envoyer d’agents sur le terrain
Donc n’envoyons plus les forces de l’ordre dans les zones à risque. Observons ce qui se passe et tant pis pour les citoyens en danger.
Précisons que ce ne sont pas les forces de l’ordre qui pilotent - pour l’instant - ces drones, mais un prestataire externe, qui fournit aux autorités une solution « clés en main », avec location du matériel, etc. Un budget de « quelques milliers d’euros » a ainsi été prévu par les autorités.
On ne crée plus de postes, mais avec ce bugdet on pourrait engarer des personnes pour plusieurs mois. Là ce pognon n’a servi que pour UN SEUL match …
La préfecture de Police rappelait par ailleurs dans sa lettre d’information que les drones n’ont pas pour objectif d’identifier des individus, et qu’ils « ne pourront donc pas voler au dessus du public ou suivre des groupes de personnes cheminant dans les rues de Paris ».
Merci de nous prendre pour des crétins en plus de ça " />
Le 22/09/2014 à 06h42
pèsera environ vingt kilos, avec une hélice de 2,50 mètres d’envergure
P*naise, il faut pas te le prendre sur le coin du nez, celui là. O_o
Le 22/09/2014 à 06h44
Le 22/09/2014 à 06h45
Le 22/09/2014 à 06h45
Le 22/09/2014 à 06h50
Le 22/09/2014 à 06h54
Le 22/09/2014 à 06h56
Le 22/09/2014 à 11h15
Le 22/09/2014 à 11h26
Le 22/09/2014 à 11h33
Pour cela, on démarre en plusieurs étapes, avec un premier essai dans un environnement maîtrisé, pour voir quelle pourrait être la plus-value opérationnelle des drones » affirmait en ce sens Régis Guyonnet. Une opération dans un cadre plus sensible (prises d’otages, violences urbaines,
Manifestations d’opposants…)
Par anticipation, mais “Fixed” quand même.
Le 22/09/2014 à 11h35
Le 22/09/2014 à 11h38
Le 22/09/2014 à 11h46
Le 22/09/2014 à 11h50
Le 22/09/2014 à 11h57
Le 22/09/2014 à 12h13
C’est comme si l’on se plaignais de ne pas pouvoir griller les feux de signalisation.
Que tu te prennes un livreur de pizza ou une ambulance qui grille un feu ça ne changera rien. Mais ce n’est pas parce que les ambulances on le droit de griller les feux que tout un chacun devraient aussi avoir ce droit.
C’ est pareil pour le survol de ma ville par un helico.
Seul ceux de la police et l’ hélico de l’ hôpital peuvent en cas d’ urgence survoler ma ville en basse altitude et ce, même de nuit ou en déposant un plan de vol de dernière minute.
Pour le particulier, faut vraiment être patient, s’ y prendre à l’ avance et motiver sa demande parce que par défault, la réponse c’ est non.
Vu la taille de l’ helico medicalisé en cas de crash je suppose qu’ il fera beaucoup plus de dégâts dans une zone urbaine qu’ un petit helico Robinson privé mais on estimera toujours que les risques potentiels seront moins élevé par rapport à la mission de départ et aux services qu’ il rend.
Pareil avec les drones.
Prendre des risques pour faire joujou et quelques belles photos c’ est non.
Prendre des risques pour surveiller une situation pouvant dégénérer ou le faire pour coordiner des actions permettant de gèrer à un moment précis des unités de police au sol afin de mieux les utiliser c’ est oui.
Le 22/09/2014 à 12h20
Le 22/09/2014 à 13h07
Le 22/09/2014 à 13h27
Et au final, c’est les drones qui ont gagné le match ou pas ?
Le 22/09/2014 à 13h51
Le 22/09/2014 à 13h53
Le 22/09/2014 à 15h21
Le 22/09/2014 à 16h17
« L’autre “filaire” pèsera environ vingt kilos, avec une hélice de 2,50 mètres d’envergure et sera doté de deux caméras dont une thermique pour la vision nocturne. Il disposera d’une autonomie d’environ une heure. »
Un drone filaire?
Qu’est-ce qui limite l’autonomie à 1h du coup?
Le 22/09/2014 à 16h30
Le 22/09/2014 à 16h35
Les drones sont autorisés à survoler du public a conditions qu’ils soient a une hauteur suffisante pour déclencher un parachute en cas de défaillance
je l’ai vu il n’y a pas plus longtemps qu’il y a 8 jours
Festival Accroche-coeurs, Angers, 15/09/2014
ou de plus haut
Le 22/09/2014 à 19h02
Le 22/09/2014 à 20h16
Le 22/09/2014 à 20h29
Le 22/09/2014 à 20h39
Le 22/09/2014 à 20h45
Le 22/09/2014 à 20h58
Le 22/09/2014 à 21h30
Intéressant ; en particulier le bestiau avec un rotor de 2,5 m, un poids de 20 kg au décollage et une caméra IR (en plus d’une normale) !
Quelques réflexions au regard de la réglementation (arrêté 1, arrêté 2) :
Ayant un gros doute sur la faisabilité, la fiabilité et la sécurité d’une mise en autoration (ça n’empêcherait pas M. ou Mme Victimi-Nossante d’éventuellement se faire raccourcir par les pales), resterait la solution parachute (avec et après blocage des pales). Cela exigerait toutefois un parachute de 8,6 m de diamètre (si hémisphérique), d’un poids mini de 3-4 kg avec un système d’extraction rapide ! Faisable en principe mais, hum… je me demande…
Jusque là, ça pourrait possiblement rester dans les clous. En revanche, là où ça me semble ne plus trop coller, c’est :
1.4.3. Les aérostats télépilotés de catégorie C de masse totale (structurale et charge emportée) inférieure à 25 kilogrammes peuvent être utilisés dans le cadre du scénario opérationnel S-3.
Les autres aéronefs télépilotés de catégorie C de masse maximum au décollage inférieure à 4 kg peuvent être utilisés dans le cadre du scénario opérationnel S-3.
[NB : même limite de masse pour la catégorie E]. " />
Hein, quoi, c’est juste que j’ai pas percuté que votre aérostat est négligemment plus lourd que l’air et n’a qu’un modeste rotor de 2,5 m ? Ah bah si c’est vous qui le dites… " />
3.2. Vols de nuit
Seules les opérations avec un aérostat captif sont autorisées de nuit.
" />
Hein ? Ah voui, pardon, où avais-je la tête, bien sûr que ce n’était qu’un modeste aérostat dynamique moins trop plus lourd que l’air. " />
Quant au principe de faire des essais-évaluations coûts/bénéfices, c’est la procédure la plus sensée.
Le 23/09/2014 à 07h34
“Les dieux fous du stade”
Le 23/09/2014 à 07h38
“Des drones testés par la police lors d’un match de Ligue 2”
et dans les quartiers chauds aussi ??
et si tu reçois ça sur la tronche ?
Le 23/09/2014 à 08h03
Le 23/09/2014 à 08h45
Le 23/09/2014 à 09h02
Le 23/09/2014 à 09h27
Le 23/09/2014 à 09h38
Le 23/09/2014 à 09h47
Le 23/09/2014 à 09h56
Le 23/09/2014 à 11h13
Des drones testés par la police lors d’un match de Ligue 2
Ils feraient mieux de surveiller les magouilles de nos “chers” élus…
Le 24/09/2014 à 14h33