Sur TikTok, les idées masculinistes à portée de scroll
Le 15 septembre à 15h55
4 min
Réseaux sociaux
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Notations de femmes en fonction de leur physique, vocabulaire propre à la manosphère (mâles alpha, mâles sigma, incels, pour « célibataires involontaires », c’est-à-dire qui se considèrent seuls par la faute des femmes)…
Sur TikTok, les contenus à tendance misogyne, voire ouvertement masculinistes – c’est-à-dire considérant non seulement que le féminisme a pris trop de place, mais encore que la masculinité doit reprendre de l’ampleur, généralement en s’attaquant aux droits des femmes – sont facilement propulsés dans le fil d’actualité des adolescents.
Pour tenter d’établir la rapidité à laquelle un mineur peut se retrouver exposé à ce type de contenus, la RTBF a construit cinq profils fictifs d’adolescents de 15 ans, tous intéressés par la musculation. Le chercheur en criminologie Melvin Hasescic explique en effet au média belge qu’il existe un lien entre « l’hypermasculinité et l’antiféminisme » et « l’intensité de la pratique sportive ».
But de l’expérimentation : comprendre dans quelle mesure à quelle vitesse TikTok proposait des contenus masculinistes à des internautes qui, a priori, ne cherchaient qu’à trouver des conseils en matière de musculation. Pour la mener à bien, le média a constitué cinq faux profils likant et scrollant automatiquement du contenu en fonction de sujets pré-imposés.
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En moins de 10 minutes d'activité du faux profil nommé « Matteo », la machine opère un premier glissement de vidéo spécifiquement centrée sur la musculation vers des propos de l’ordre de la motivation. Des hommes seuls, dans un univers relativement inquiétant, appellent l’internaute à se dépasser, ce qui interroge déjà sur les effets de ces vidéos sur la santé mentale du public visé.
Au bout de 10 minutes supplémentaires, de premiers contenus masculinistes apparaissent, incitant l’usager à douter de l'existence d'amitiés hommes-femmes, de celle de choisir son orientation sexuelle, ou renforçant divers discours sexistes ou homophobes. En moins d’une heure, l’internaute s’est retrouvé projeté dans cet univers fait de références aux pilules bleues et rouges de Matrix, au cynisme du Joker dans Batman, ou encore à la série Peaky Blinders, dont certains courants masculinistes empruntent les codes vestimentaires.
L’expérience rappelle celles menées par la journaliste Pauline Ferrari, qui étudie dans son ouvrage Formés à la haine des femmes comment les idéologies masculinistes se sont répandues dans les mondes numériques.
Elle permet de constater à nouveau que les propos portés par les discours les plus extrêmes sont foncièrement violents, appelant au contrôle coercitif des « gonzesses » (qu’il faudrait « surveiller », en contrôlant leur tenue ou leurs mouvements), voire promeuvent agressions et crimes sexuels, comme le viol.
La tendance est d’autant plus inquiétante qu’elle peut constituer une forme de terrorisme, comme l’analyse la chercheuse Stéphanie Lamy. En France, au moins trois projets d’attentats masculinistes ont ainsi été déjoués en moins d’un an.
Si TikTok est loin d'être le seul espace où fleurissent ces idées, la plateforme a néanmoins pris un rôle particulier dans les travaux de l'Assemblée nationale. Les résultats de la Commission d'enquête lancés en mars sur ce sujet sont sans appel : il s'agit, selon ses rapporteurs, de l'un « des pires réseaux sociaux à l’assaut de notre jeunesse ».
Le 15 septembre à 15h55
Commentaires (58)
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Abonnez-vousLe 15/09/2025 à 16h03
S'ils avaient choisi la natation, ils auraient peut-être obtenu un résultat différent. Pourtant, il faut aussi de la motivation et se dépasser pour réussir dans ce sport.
Bref, on n'attrape pas des mouches avec du vinaigre.
Le 15/09/2025 à 16h51
Le 15/09/2025 à 16h58
Je ne vois donc pas en quoi ce profil serait si atypique.
Pour finir je ne comprends pas ton propos, à la limite tu devrais voir cela comme un raisonnement par l'absurde: aucun compte, aucun type de profils ne devrait dériver automatiquement vers des contenus toxiques.
Le 15/09/2025 à 17h05
L’info qui serait importante, celle qui est difficile à déterminer (et dont l’article passe à côté, du coup), c’est si tiktok favorise ces contenus là ou pas. Auquel cas ce serait effectivement un détestable choix politique. Si c’est « juste » un ensemble de corrélations qui amènent ces recommandations, l’algo est en soi plus « neutre », ce qui est plus défendable.
Et que tiktok soit rempli de merde, c’est pas une découverte…
Le 15/09/2025 à 19h11
un sportune activité, comme la musculation amènera plus vers des sujets masculinistes que d'autres. Donc choisir cette activité et feindre d'être surpris, je dis que c'est du mauvais journalisme (je parle ici de la RTBF).Je ne nie pas qu'il y ait des dérives vers des profils toxiques et que c'est un problème. Donc, ton raisonnement par l'absurde est hors de propos.
Le 15/09/2025 à 22h45
Le 15/09/2025 à 23h16
Dire que le masculinisme est toxique, c'est un raisonnement binaire dénigrant le mal-être d'êtres humains en stigmatisant une minorité visible de personnes qui n'ont pas compris les origines, ni le concept.
Ce qui est drôle, c'est de voir des mots comme "incel", attribué à la manosphère, est utilisé par les féministes pour dénigrer les hommes. Comme si les gens tendaient spontanément le bâton pour se faire battre.
Par ailleurs, c'est d'autant plus drôle de voir les levées de boucliers contre des personnes qui s'organisent, tout comme les détracteurs du féminisme à son époque.
Bref plus globalement, constat de divisions laissant libre court à l'exploitation des plus crédules au profit de "leaders" aux manettes d'un système au bord de l'implosion compte tenu des entraves sociales et économiques ne permettant plus le renouvellement des générations.
Période de troubles à venir, dans laquelle tous vos beaux discours d'inclusion, de bienveillance s'arrêteront net quand votre survie, que dis je, votre confort sera menacé. En attendant, le dénie aura toujours la cote.
Le 16/09/2025 à 06h46
Le 16/09/2025 à 10h35
Ce qui est gênant, c'est qu'on donne beaucoup trop d'importance à une minorité nuisible, occultant les causes profondes du mal-être.
Toute similitude de traitement du sujet avec la diaspora nord africaine serait fortuite. Il est d'autant plus facile de décrédibiliser un groupe de personnes en stigmatisant la portion statistique de débiles issues de ce groupe.
D'ailleurs, pourquoi ne fait-on pas ça envers les féministes radicales qui veulent prendre le pouvoir à leur profit personnel ? Aussi, je trouve dangereux le discours récurrent sur la violence masculine. Comme quoi, en fonction de la mode, on est dans un deux poids, deux mesures.
Modifié le 16/09/2025 à 10h47
En sachant que comparaison n'est pas raison : il ne s'agit pas de comparer 2 phénomènes, ça n'aurait aucun sens, on n'est pas dans une guerre des sexes ou dans un combat de partisans, on documente des phénomènes sociaux et l'impact d'un service comme TikTok (donc si vous avez des sources, merci de me les transmettre, ça m'intéresse).
Le 16/09/2025 à 11h48
Le 16/09/2025 à 22h55
Je vais prendre chaque "indicateur" et expliquer pourquoi, selon moi, ils ne permettent pas de dire qu'il y a une "guerre des sexes" et encore moins qu'il y ai besoin de "réajuster les forces en faveur des hommes" :
* la baisse de la natalité : peut s'expliquer par un contexte socio-économique et environnemental morose (voire carrément déprimant)
* le nombre de mariage : en France, peut s'expliquer par le coût du divorce (que ce soit en temps qu'en argent), et par le fait que la norme n'est plus à se marier mais à "consommer" un partenaire (au sens où, s'il ne nous convient plus, on en change ; ce qui était impensable il y a 3-4 générations)
* le nombre de célibataire : ça dépend ce qu'on appelle un célibataire, mais comme il est maintenant "normal" de ne pas être marié avant 30 ans, forcément, ça augmente le nombre par rapport aux décennies précédentes
* le nombre de divorce : peut s'expliquer par la culture du "couple jetable"
* l'existence de prestation compensatoire : pour le coup, là, je comprends pas cet indicateur
* la transformation du discours pronant l'égalité vers celui qui prône l'équité : c'est un signe que le patriarcat a fait reculer les discours égalitaristes du féminisme (qui prône, je le rappelle, l'égalité femme-homme, et pas une révolution du patriarcat vers le matriarcat) ; c'est donc un indicateur "à décharge" à priori dans votre discours
* le nombre de diplômées : je ne comprends pas cet indicateur (il y en a trop ? pourquoi ?)
* la discrimination positive : c'est une technique un peu désespérée pour essayer de faire en sorte que les femmes aient des chances de réussites à peut près au même niveau que les hommes
Le 17/09/2025 à 15h45
Mon point n'est pas de défendre le masculinisme, pas plus que le féminisme. J'ai une position critique plus globale sur le système actuel qui nous amène à une confrontation permanente sous couvert de compétition et de performance. La conséquence est l'incompréhension des uns envers les autres étant donné qu'il n'y a plus d'affect remplacé par des échanges transactionnels. Les impacts qui s'expriment au travers de mes indicateurs concernent le renouvellement des générations et l'organisation de notre société, du travail notamment et au niveau des relations homme/femme.
Je trouve d'ailleurs très intéressante l'interview d'Estelle Dupont sur l'avenir de nos enfants car elle décrit de manière très pertinente, ce que j'évoque maladroitement.
Le 17/09/2025 à 22h33
Modifié le 16/09/2025 à 10h10
Le 16/09/2025 à 10h42
Je réagis juste au manque de nuances et à l'ignorance inhérentes de ces personnes sur le sujet, l'ayant jugé sur la base d'informations incomplètes voire erronées.
Le 16/09/2025 à 22h59
Et comme les femmes représentent près de la moitié de la population, on a un truc toxique pour près de la moitié de l'humanité... Oui, je penses qu'on peut qualifier cela de toxique pour l'humanité. ^^
Le 17/09/2025 à 15h32
J'aimerais bien savoir comment était qualifié le féminisme au début de l'émancipation des femmes. J'ai en mémoire des qualificatifs peu reluisants comme "hystérique" par exemple.
Ça illustre le rejet de la première phase du changement.
Modifié le 17/09/2025 à 16h41
Le 18/09/2025 à 16h45
la première, c'est leur perte de statut dans la société qui ne valorise les hommes que par leur contribution, position challengée par l'émancipation des femmes qui, aux yeux du capitalisme, ne sont qu'une ressources parmis tant d'autres.
Les femmes ont cette qualité naturelle de pouvoir porter des enfants ce qui les rend précieuses au sein du groupe pour assurer sa pérennité. J'aime bien la référence au message "les femmes et les enfants d'abord" car au final les hommes sont remplaçables aux yeux du groupe.
La deuxième, c'est la perte de valeurs portées par un cadre comme celui de la religion, qui avait pour avantage d'entrevoir plus largement qu'aujourd'hui, la possibilité de construire sa descendance, qui est à mon sens une des principales motivations de la vie d'un homme. Loin d'être religieux, je constate que les gens se complaisent dans la luxure et le plaisir immédiat (entre le porno et les validations des réseaux sociaux générant des shots de dopamine) tournant les relations humaines vers du transactionnel. Les conséquences sont que les unions sont éphémères avec de belles barrières à l'entrée (exigences farfelues, prise de risque unilatérale car ce sont bien les hommes qui subissent le rejet, dans les faits les femmes ont du mal à le supporter), et le mariage vide de sens (voir juridiquement dangereux pour le futur mari).
Le 17/09/2025 à 22h30
Les gens méchants qui veulent dominer les autres, ça existe. Je vais pas donner d'exemple évident pour m'éviter un point Godwin, mais des mouvements mis en place dans le but d'écraser les autres, il y en a plein ! J'ai tendance à penser que le masculinisme en fait partie.
Je ne comprends pas cette phrase ni ce qu'elle apporte à la discussion, tu peux développer s'il te plait ?
Le 18/09/2025 à 16h24
Le 19/09/2025 à 10h00
Soyons sérieux : si le féminisme de l'époque avait été décrié, ça aurait été à cause du contexte patriarcale dominant... qui est toujours là ! Le masculinisme, lui, n'a pas de légitimité "égalitariste" puisqu'il vise à renforcer des inégalités déjà existantes.
Le masculinisme est décrié parce que ce mouvement est par nature "mauvais".
Le 20/09/2025 à 15h35
Le 22/09/2025 à 09h14
Pour le coup, je suis assez confiant quand je penses qu'il y a eu (et qu'il y a encore) beaucoup plus de victimes de discriminations que de victimes de "discriminations positives".
D'ailleurs, à ce propos, je tiens à préciser que le concept de "discrimination positive" consiste à soit rechercher un type de profil en se concentrant uniquement sur les personnes habituellement discriminées, ou à faire pencher la balance dans un sens lorsqu'il y a "égalité" pour un poste : c'est quoi alors une "victime de discrimination positive" dans ce contexte ?
Le 15/09/2025 à 17h18
Maintenant, beaucoup de femmes font le constat que l'amitié homme femme est rarement désintéressée et dire que l'orientation sexuelle est un choix, disons que si l'atypisme plus ou moins grand existe ce n'est pas ici encore le cas général.
La suite, si elle devient problématique/stigmatisante surtout dans un si court délai, ne devrait en effet pas être accessible à des ados même si quand on visite les égouts, faut quand même s'attendre à trouver de la merde. Puis comment vérifier/valider un profil d'ado? Suffit de mentir...
Le 16/09/2025 à 08h35
--> un autre glissement à partir d'un intérêt lié à l'image de soi, mais avec des conséquences différentes pour l'internaute.
Le 16/09/2025 à 11h01
Maintenant, sur l'anorexie, pb similaire aux effets antérieurs liés à la pub/mannequinat. Reste qu'une personne équilibrée en restait à un "quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console", le pb devenant alors "pourquoi fait-on une génération d'hyper anxieux?"...
Et là, je pense que le problème dépasse très largement Toc-Toc et c'est sans doute précisément pourquoi les politiques s'inquiètent à son propos: Ils sont fort bien placés pour y voir les ressorts qu'ils sont les premiers à utiliser dans un mode de gouvernance qui s'inscrit de plus en plus dans l'utilisation de la peur...
Modifié le 16/09/2025 à 10h47
Modifié le 16/09/2025 à 11h54
Je ne veux plus rien entendre sur gnagnagna, vous dites des trucs de gauche maintenant.
L'IA a tranché.
Le 16/09/2025 à 23h03
Faites un effort ! 😜
Le 17/09/2025 à 07h33
Le 16/09/2025 à 13h22
En temps qu'homme je peux essayer de devenir féministe (militer pour l'égalité) sans avoir de problème de masculinité, contrairement à ce que pensent les masculinistes.
Le 17/09/2025 à 08h01
Le 19/09/2025 à 11h20
Le 22/09/2025 à 13h45
Elle me manque Sandrine sur X... elle me manque.
Le 16/09/2025 à 22h06
Modifié le 15/09/2025 à 17h05
Pourtant, j'ai "refusé tous les cookies" (oui, je sais que c'est bidonné et que je suis pisté quand bien même je n'ai pas de compte Google).
Fatigue.
Le 15/09/2025 à 17h36
Le 15/09/2025 à 18h40
Mais bon, avec cette histoire d'identifiant unique calculé selon ton hardware/OS/Navigateur, ça complique les choses de toute façon...
Modifié le 16/09/2025 à 00h30
Tout le monde sur Peertube.
Le 16/09/2025 à 08h40
Le 18/09/2025 à 23h13
Le 15/09/2025 à 19h49
Je viens de changer de téléphone et en réinstallant Instagram, je suis reparti sur un compte vierge (nouvelle adresse mail). Bordel, je n'avais rien liké que les propositions en scrollant commençaient à faire flipper.
Que ce soit les mascu, l'ED ou l'EG ça n'a pas pris longtemps.. J'ai finalement remis mon compte.. au moins c'est surtout du DIY.
Le 16/09/2025 à 08h44
Le 16/09/2025 à 10h01
Le 16/09/2025 à 10h25
Le 16/09/2025 à 11h57
Le 16/09/2025 à 10h27
Le 16/09/2025 à 12h00
Si on a en occident un comportement pro-masculinisme mais pas en Chine, je ne pourrais que voir une manipulation de l'algorithme orchestrée par le Parti communiste de façon à encore plus déstabiliser nos démocraties.
Modifié le 16/09/2025 à 10h27
Le 16/09/2025 à 10h47
Le 16/09/2025 à 10h48
Le 16/09/2025 à 11h01
D'ailleurs, je n'ai pas compris non plus pourquoi vous avez introduit le fitness qui n'était pas non plus le sujet de l'article. Enfin, je soupçonne que l'introduire avait pour but de ridiculiser le propos attribuez.
Pour finir, la seule chose que fait ressortir l'article, c'est que les algorithmes de TikTok poussent su contenu masculiniste sur des profils qui s'intéresse à la musculation. ce sont ces algorithmes qui font un rapprochement sur l'intérêt que portent les utilisateurs sur ces sujets. Il est bien hasardeux de conclure sur ce que pensent les masculinistes de la musculation tellement ces algorithmes sont des boîtes noires.
Le 16/09/2025 à 11h41
Qui plus est, quand on regarde les actualités, la gosse s'est foutue en l'air puisque l'algo ne lui proposait QUE des conseils pour le faire bien et proprement :)
Comme quoi : ce que tu regardes, bin on te le propose.
Mwa je regarde des vidéos de chatons, ils sont cro cro meugnons
Modifié le 16/09/2025 à 13h12
Modifié le 16/09/2025 à 12h57
Le fitness et la musculation ont des accointances, ça va un peu dans votre sens lorsque vous dites que ce n'est pas un sport mais une activité. Je pense que ça fait partie des activités parallèles à beaucoup de sports qui permet de prendre soin de son corps. Et je ne pense pas que ce soit spécifiquement de droite de prendre soin de son corps (beaucoup de gens qui se réclament de la droite sont plutôt des bons-vivants).
Les algorithmes ne sont pas neutres et quand bien même ce seraient des boites noires, il serait étrange de ne pas tenter d'entre-ouvrir ces boites noires. Mais vous avez le droit de vous en désintéresser.
Le 21/09/2025 à 14h26
Soit je comprends mal, soit il y a un malaise. On ne choisit PAS son orientation sexuelle, c'est innée, immuable, et normal. Un discours contraire est homophobe puisqu'il ouvre la voie à d'éventuelles « thérapies » pour corriger un choix considéré incorrect.
J'ai raté un épisode quelque part ces dernières années ou j'ai vraiment mal compris ? Car sinon on est vraiment revenu dans les années 1970...
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