Solidaires informatiques alerte contre le « spectre du gamergate »
Le 18 avril à 07h05
2 min
Société numérique
Société
Sweet Baby Inc. est une entreprise installée à Montréal et spécialisée dans le développement narratif. Elle fournit toutes sortes de services, dont une activité, mineure, de conseil.
Dans certains cas, des studios y recourent donc pour s’assurer que leur manière de montrer un personnage issu d’une minorité (par exemple, LGBTQ+) ou leur manière de traiter un sujet sensible ne soit pas caricaturale.
Il n’en a pas fallu plus pour qu’un groupe soit créé début 2024 sur Steam, puis un second sur Discord, pour recenser l’ensemble des jeux sur lesquels la société aurait travaillé, dans le but de les éviter.
Selon Solidaires Informatiques, les quelque 300 000 personnes qui y prennent part, « prétendant « détecter » les jeux « woke » sur laquelle la société aurait travaillé », se partagent en réalité des cibles à cyberharceler, développeurs et journalistes défendant les activités de sensitivity reading de Sweet Baby Inc. se retrouvant rapidement noyés d’insultes et de menaces.
Le syndicat alerte sur le fait que des youtubeurs francophones d’extrême-droite sont en train de transférer la « panique morale » en territoire francophone et dénonce « cette vague de harcèlement ainsi que les mécaniques d’oppression qu’elle soutient ».
Il s'inquiète du phénomène, qu'il compare aux « vagues du Gamergate », cette campagne de harcèlement contre des développeuses de jeu vidéo et des vidéastes féministes qui avait secoué l’univers vidéoludique en 2014.
En cas de cyberharcèlement, Solidaires informatiques enjoint à se référer au guide de l’association Féministes contre le cyberharcèlement.
Le 18 avril à 07h05
Commentaires (79)
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Abonnez-vousLe 18/04/2024 à 08h49
Je ne comprends pas pourquoi on s'offusque de faire du « conseil narratif aux minorités » (j'ai pas d'autre expression en 30 secondes). Évidemment, les personnes influentes veulent faire du buzz, c'est normal, et en plus, les réseaux sociaux les rémunèrent pour ça. Mais les suiveurs ? Pourquoi passer du temps, de l'énergie, et raccourcir son espérance de vie à se stresser pour des choses… virtuelles ?
Et de l'autre côté, les stéréotypes véhiculés dans la culture populaire (donc, pas que les jeux vidéos) ont des impacts réels pour toutes les personnes concernées : relations sociales perturbées, discrimination à l'embauche, harcèlement de rue, bref, c'est nul.
Modifié le 18/04/2024 à 09h16
Elle fait du "conseil narratif aux éditeurs de jeux".
Et pas pour que le jeu soit plus ludique, ou captivant. Mais pour qu'il soit plus inclusif - selon la formule consacrée. Une inclusivité qui se traduit bien souvent par exclure les "stéréotypes véhiculés dans la culture populaire", comme tu dis.
Et je pense que le coeur du problème est là: le fait que "inclusif" se transforme en "exclusion".
C'est du jeu vidéo bordel. Laissez-nous incarner/déambuler dans les stéréotypes si on veut. Laissez-nous incarner/déambuler dans l'inclusif si on veut. Bref laissez nous choisir.
Vous n'avez pas le monopole du choix.
Le 18/04/2024 à 09h20
Il y aura toujours des jeux bourrés de stéréotypes sur lesquels tu pourras t'épanouir et personne ne t'en voudra.
Le 18/04/2024 à 10h02
Le fameux "si t'es pas de notre coté, alors tu es de leur coté".
Spoiler: il y a des haineux dans les deux camps.
"Qu'on m'épargne d'avoir à choisir à un camp", comme disait JJGoldman.
Le 18/04/2024 à 10h36
Joue juste à ce que tu veux. SBI change rien à ça.
Le 18/04/2024 à 10h50
On m'incite à me ranger du coté des bonnes intentions de SBI face aux horribles agissements des fachos du Net. Perso, je pense qu'il faut jeter les fachos du Net aux lions, mais je ne me range pas au coté de SBI pour autant.
Du coup, mettez moi dans la case que vous voulez dans cette vision binaire de la social-politic.
#DealWithIt
Le 18/04/2024 à 11h09
Les développeurs font appels à SBI pour s’assurer que leurs créations sont respectueuses. Donc c’est de la volonté de la boîte de développement déjà.
Ensuite ce qui se passe c’est quelque chose comme :
Boîte de développement qui contacte SBI "Bonjour on a un personnage noir dans notre jeu et on veut s’assurer qu’il ne soit pas emprunt de clichés racistes" et ensuite ils travaillent ensemble pour ça.
Après ça peut également être de la relecture de scénarios complets et ce genre de chose. Mais SBI va rien imposer à personne c’est pas leur boulot.
T’as pas à être pour ou contre SBI, tu peux juste te rendre compte que dans ce cas SBI est attaqué injustement. Après tu peux penser ce que tu veux de leur boulot mais pour le coup ça a pas grand chose à faire avec la brève.
Le 18/04/2024 à 11h29
Faisons le parallèle avec la France et les productions TV ; pour avoir du financement de FranceTV par exemple, il est obligé de "prôner la diversité ethnoculturelle" (entre autre) : Twitter
Je te laisse pousser le raisonnement.
Le 18/04/2024 à 11h37
Parce que là on parle de Spiderman 2, Alan Wake II, God of War, Suicide Squad.
D’ailleurs tu peux vérifier grossièrement leur taf sur chaque jeu leur page wiki
Le 18/04/2024 à 11h56
Sur GoWR, on pourrait citer Angrboda, la fille de 2 figures mythologiques nordiques, qui ne correspond pas vraiment à ce qu'on serait en droit d'attendre : https://jeux.ca/qui-est-angrboda-le-nouveau-personnage-introduit-dans-god-of-war-ragnarok/ Faisons-le différemment; si dans Black Panther on avait artificiellement changé certains personnes en Blancs pour des raisons de diversité, aurait-ce été accepté ?
Le 18/04/2024 à 12h08
Concernant les swap color : oui ça existe aussi dans l’autre sens (depuis bien + longtemps d’ailleurs). On ne compte plus les acteurs blancs jouant des egyptiens (Gods of Egypt) des asiatiques (Doctor Strange) ou d’autres personnages sensément de couleur (Alexandre Dumas).
Sérieusement, ça retire quoi au personnage qu’il soit noir ?
Si les développeurs veulent proposer une jeune fille noire dans ce rôle en quoi c’est si mal ?
Le 18/04/2024 à 12h17
Le 18/04/2024 à 13h08
Le 18/04/2024 à 13h58
Le 18/04/2024 à 23h44
https://www.marianne.net/societe/au-cac-40-la-tyrannie-de-la-diversite-au-detriment-du-social
https://lesalonbeige.fr/matraquage-lgbt-dans-les-entreprises-du-cac40/
j'ai trouvé ça hallucinant de voir des bureaux LGBT dans les services du CAC40, demain ce sera soutien au hamas ou à israel, après demain ce sera soutien aux sciences ou aux antivax.. l'entreprise de demain sera-t-elle 90% politique 10% opérationnelle?
Le 25/04/2024 à 18h16
Pour faire simpleque ça a un sens avec l'univers concerné.
Même si j'adore le personnage de Heimdall dans thor de Marvel, comme on me parle de mythologie je ne pense pas à un africain, mais ça pas parce que justement bien qu'inspiré de la mythologie nordique dans les noms, dans cette univers les Asgaardiens sont des extra-terrestres et non les dieux nordiques eux-mêmes (comme dans Stargate aussi).
Tout est question de ce qui est établi dans l'imaginaire commun.
Un remake de Candy, Haïdi, de Lady Oscar Rémi sans famille, avec un personnage noir me retournerai probablement le cerveau. (si le reste de la famille ne l'était pas.)
De même si une fiction proposerai une Marie Antoinette asiatique, ce serait plus qu'incongru si ce n'est pas présenté comme une parodie ou assimilé.
Le 25/04/2024 à 18h26
Pour faire simpleque ça a un sens avec l'univers concerné.
Même si j'adore le personnage de Heimdall dans thor de Marvel, comme on me parle de mythologie je ne pense pas à un africain, mais ça pas parce que justement bien qu'inspiré de la mythologie nordique dans les noms, dans cette univers les Asgaardiens sont des extra-terrestres et non les dieux nordiques eux-mêmes (comme dans Stargate aussi).
Tout est question de ce qui est établi dans l'imaginaire commun.
Un remake de Candy, Haïdi, de Lady Oscar Rémi sans famille, avec un personnage noir me retournerai probablement le cerveau. (si le reste de la famille ne l'était pas.)
De même si une fiction proposerai une Marie Antoinette asiatique, ce serait plus qu'incongru si ce n'est pas présenté comme une parodie ou assimilé.
Pour revenir au jeu vidéo, bien qu'homme cisgenre petit ado. je n'ai eu aucun problème à m'amusé avec Tomb Raider ou Jazz Jackrabbit (je sais c'est un lapin et alors).
Et si on veut pousser le raisonnement encore plus dans l'absurde.
Pour l'inclusivité dans les univers de fantaisy (ou fantaisies) on admet des elfes ou des nains noirs pourtant je n'ai jamais vu de pétition demandant qu'ils arrêtent des racistes (littéralement dans ce cas) entre eux (elfes versus nains).
Si les développeurs veulent proposer une ethnie plutôt qu'une autre il n'y a aucun mal. Tant mieux même
mais alors foutons leur la paix si il ne le font pas.
Le 18/04/2024 à 10h43
C'est un peu le côté que je déplore aujourd'hui. "Si tu n'es pas avec nous, tu es contre nous". Les positions intermédiaires (du genre, je m'en fiche royalement) sont complètement passées sous silence.
Le 19/04/2024 à 03h37
À sciences-po paris en tout cas.
Le 18/04/2024 à 09h24
Au bout d'un moment, ca pue le passage à coup de forceps quand dans une série (ou un film), tu as forcément parmi les 4-5 personnage principaux : un(e) black, un(e) beurre, un(e) métis, un LGBTQ+ (j'en oublie le reste de l'alphabet)... parfois en cumulant les rôles, avec des allusions à ces traits là qui n'ont rien à voir avec le scénario. Cette "bien pensance forcée" et non représentative des proportions de notre société, c'est juste agaçant, navrant et finalement repoussant : en tout cas, si l'effet désiré est l'acception de telles minorités, j'ai comme l'impression que l'excès qu'on vit actuellement a pour principal effet de dresser les uns contre les autres, chacun revendiquant son appartenance à une catégorie particulière.
Le 18/04/2024 à 11h00
Ce que tu appelle "non représentative des proportions de notre société", ne serait-ce pas "non représentative des proportions de ta société" ? Comprendre ici un genre de phénomène de bulle, ou l'on navigue chacun que dans un petit cercle de personne.
Des jeux, y en a plein pour tout le monde, cela fait des années qu'on nous sert des héros de jeux où l'on incarne des hommes, des vrais, avec des couilles viriles à la Gear of Wars. Que la diversité soit légèrement sur-compensé (encore faudrait-il le prouver) pour pallier manque de diversité des 20 premières années du JV, je n'y vois aucun problème.
Le 18/04/2024 à 11h32
"C'est pas vrai parce qu'il n'y a pas eu d'étude que je considère comme valide, et puis même si c'était vrai, c'est quand même normal et mérité !"
Le 18/04/2024 à 11h49
Un point départ étant l'article wikipedia
qui permet (malgré le fait que l'article doit être consolidé en termes de source) d'avoir une partie de la vision d'ensemble sur le sujet.
Le 18/04/2024 à 11h42
Je suis d'accord pour dire que certaines production on poussé l'inclusion au delà du ridicule.
Si ajouter de la diversité ne sert aucunement le propos, pourquoi le faire ?
Le 18/04/2024 à 12h00
On doit forcément justifier le fait qu’un personnage soit noir ou queer ou handi ?
Si les créateurs veulent juste mettre des personnages divers dans leur œuvre il faut obligatoirement que ça serve un propos ? Quand c’est des mecs blancs trentenaires mal rasés comme on en voyait partout à une époque ça devait aussi servir un propos ?
Le 18/04/2024 à 14h06
J'ai ce même sentiment sur l'aspect non représentatif, parfois ca me semble grossier, exagéré... mais suis-je bien représentatif ?
Et au final cela ne me gêne pas plus que ça...
Le 18/04/2024 à 09h27
Je me demande si un studio de développement aura l'idée (et la possibilité) de faire un jeu qui permet de régler le curseur de « stéréotypes / clichés ». Après tout, avec l'IA générative qui gère des PNJ, ça serait une bonne expérience…
Le 18/04/2024 à 11h00
Modifié le 18/04/2024 à 11h14
On peut invoquer une sword ?
edit: @dev les smileys réactions "pouce vers le bas" ça serait pas mal, exprimer négation
Le 18/04/2024 à 10h52
Modifié le 18/04/2024 à 11h08
Le 18/04/2024 à 18h28
Et en plus, on peut lire l'historique de tes modifications en cliquant sur : Modifié aujourd'hui à 11h08, donc le commentaire que tu as voulu effacer reste lisible.
Et comme on ne peut pas indiquer pourquoi on signale, bon courage.
Modifié le 19/04/2024 à 09h47
Le 25/04/2024 à 18h32
Le 18/04/2024 à 11h13
La présentation du contexte qu'en fait la brève est, elle, bien plus problématique à mon sens, manquant cruellement de neutralité au delà du questionnement de fond. Je trouve ça dommage...
Le 18/04/2024 à 12h04
Question: le cyberharcélement sur le sujet est-il normal ?
Le 18/04/2024 à 13h12
Pour te répondre simplement : non, mais ce n'est pas la question que je pose, ni même la position que je défend. Y-a-t-il du cyberharcèlement d'une frange gameurs droitards/anti-wokes ? Certainement. Mais réduire cette affaire à ça est simpliste et réducteur : quid du contexte général de tension sur les questions de diversité ? Du forcing que peuvent-faire certains acteurs sur le sujet ? Des premières réponses très tranchantes et malhabilles de membres de BabyInc qui ont participé à mettre le feu aux poudres ? Du positionnement non neutre de l'organisme dont la brève est tirée ?
C'est ça ce que je critique. Et de la part d'un journal que j'aime et qui défend bien vaillamment le manque de connaissance de certains articles sur des sujets scientifique, cela fait mal à voir quand ils tombent dans des écueils similaires sur des sujets sociétaux.
Le 18/04/2024 à 16h13
Il suffit de lire l'historique de tes commentaires pour comprendre que tu excuses en permanence tous les écarts des internautes qu'on pourrait classer de très très à droite.
Quand tu parles du forcing, tu te mets de facto avec tous ceux qui mettent le mot woke à toutes les sauces.
J'ai une question simple: qu'est ce que cela peut vous faire qu'un perso soit LGBT ou qu'un arc narratif suit un tel personnage ? Cela vous fait peur ? Cela vous fait vomir ? On vous attaque dans votre virilité ?
Il n'y pas suffisamment de jeux avec des arcs ou des persos burnés comme il faut ou avec des avatars féminins stéréotypés pour que cela vous contente ?
C'est fascinant.
Le 18/04/2024 à 23h31
le problème, c'est tout l'espace médiatique qui leur est accordé (et pas de gaïeté de coeur par les médias), et tout l'écho qui en est fait, a tendance à montrer qu'ils sont nombreux alors que pas du tout, en plus de prétexter une direction donnée pour s'accaparer de l'attention.
au lieu de vous plaindre des lanceurs d'alerte anti-woke (les wokistes sont rien d'autres que des milices, cf la vidéo très instructive de sanglier sympa sur evergreen) c'est qu'au lieu de se concentrer sur l'acceptation silencieuse des minorités (exactement comme l'acceptation de l'immigration en europe), ils se concentrent sur une forme de combat inventé, qui n'est qu'un fantome, dans l'unique objectif de parler d'eux et de monopoliser l'attention des médias, et d'exiger une forme de savoir vivre obligatoire (qui ne l'est pas).
l'exemple ahurissant, reste la milice-étudiante de sciences-po (qui agit plus efficacement qu'une milice traditionnelle sur les réseaux sociaux), qui transpire dans un article du figaro, ou par ex montrer une once de soutien à ce qui est détesté (israel/judaisme, énergies fossiles, musk, la richesse, etc) entraîne sans avertissement ni retour en arrière possible, un boycott de la dite personne (des étudiants en ont fait part à une direction volontairement sourde)
pour moi la woke-milice de cette nouvelle décennie est à la gendarmerie-écologique de celle précédente : elle n'est pas là pour apporter un réveil nécessaire (mais pas du tout, elle s'en contrefout), mais se sert de cette idéologie pour accaparer pouvoir et influence à des gens désireux de ne pas améliorer le monde.
et je persiste, et signe. Ca fait peut être opinion ancrée à droite (et j'assume, toutes les opinions sont bienvenues sur next'), mais c'est une réalité.
et si cela choque, tant mieux : une opinion n'est pas faite pour apporter de la zenitude à ceux qui les lisent :)
Le 19/04/2024 à 11h56
Wokisme: check
Science Po: check
Bien pensance: pas check
Dommage tu avais presque coché toutes les bonnes cases.
PS: personne n'exige un savoir vivre obligatoire. C'est juste une composante importante pour une société qui se respecte.
A priori, ta logorrhée vient juste confirmer que pour les gens très à droite le savoir vivre ensemble est un gros mot et qu'il vaut mieux s'attaquer aux minorités que de les accepter.
Le 19/04/2024 à 13h37
Mon approbation passe souvent par les réaction, mais je tenais à te le faire savoir de manière plus directe !
Donc encore une fois : merci pour tes interventions face aux vieux reac' qui viennent cracher leur bave par ici et pour lesquels je n'ai plus d'énergie !
Le 20/04/2024 à 00h53
Après malheureusement les réacs ne sont pas forcément vieux
Le 20/04/2024 à 09h26
Après, on peut tout autant être jeune avec une mentalité vieillissante et être vieux avec une mentalité jeune et progressiste ! Être vieux reac', c'est plus dans la tête qu'au nombre d'années !
Le 18/04/2024 à 20h19
Le 18/04/2024 à 12h12
Personne ne force personne à acheter / jouer ou visionner du contenu qui ne lui plait pas. Dans chaque support vous avez suffisamment de variétés pour "consommer" ce que vous souhaitez consommer.
Le problème ici c'est qu'un certain nombre de personnes se sont mis en meute pour s'attaquer (via leurs délires) à des personnes physiques car leur production ne leur plaisait pas. Point barre.
Il n'y a RIEN qui justifie cela.
Et dans l'histoire ce sont EUX qui veulent imposer aux autres leur vision du monde.
A ce sujet l'illustration de la brève est magnifique
Modifié le 18/04/2024 à 14h25
Les sjw se sont mis meute pour s'attaquer aux jeux, parce que pas assez LGBT friendly.
Les fachos se sont mis meute pour s'attaquer aux jeux, parce que trop LGBT friendly.
Ils sont tous à mettre dans le même panier: ceux qui ont des revendications identitaires mais qui dénient aux autres d'en avoir... sauf si c'est les mêmes revendications.
Le 18/04/2024 à 15h02
On parle de professionnels du métier qui se font harceler dans le cadre de leur boulot par ces fachos.
On ne va quand même pas rappeler ce qu'a été le "gamergate", non ?
==
J'ai rarement commenté sur NI, mais suis assez surpris par les réactions sur une info plutôt "banale", puis j'ai vu qu'on a pas mal de "gardiens du temple sur les mots clés "sexisme", "racisme", etc... alors ce ne sont que des échanges construits (le reste devant être banni, j'imagine). Le pouvoir neutralisant complètement fou de "doit-on vraiment aborder ce sujet sur NXI", les "et la neutralité, NXI ?", ...
Merci donc à NXI de publier cette brève, ces combats sont réguliers dans l'industrie et heureusement que Solidaires est là, on a que le SELL, en face. C'est le syndicat patronal, vous savez, Les Pégases, tout ça...
Modifié le 18/04/2024 à 18h21
Exemple Troy Leavitt, le producteur du jeu Hogwarts Legacy qui s'est pris de la haine en barre sur X/Twitter. Il en a même démissionné du studio de dev.
C'est comme cela que je le ressent. Deux commus se battent sur le meme terrain, avec les memes armes pour un même terme: "identité".
Y a rien qui ne m'intéresse moins que leur prétendue "identité". Surtout sur internet où tout le monde peut prétendre être ce qu'il veut. Et d'autant plus dans les jeux où on incarne quelqu'un qu'on n'est pas. bref...
Le 18/04/2024 à 23h32
à un moment débrancher l'appareil et reprendre un bouquin, ou apprécier l'ordinateur SANS internet :)
Modifié le 18/04/2024 à 12h26
- L'industrie du jeu vidéo néglige de plus en plus la qualité de leurs produits, ce qui laisse les consommateurs perplexes et de plus en plus en colère. Le denier cas en date étant Suicide Squad, une véritable horreur sur le plan technique et au scénario complètement naze.
- Il s'avère que Rocksteady a fait appel à SBI pour ce jeu. Et non, ce n'est pas "juste" des consultants: ils sont notés comme scénaristes principaux du jeu.
- Des gens ont creusé, et il s'avère que SBI et d'autres services de consultation sur """l'inclusivité""" sont responsables de nombreux autres échecs. Forspoken et Saints Row (le remake), par exemple, ont été tellement désastreux que leurs studios ont fermé leurs portes. Et dans les deux cas, des services de consultation ont été engagés.
- Suite à la sortie de Suicide Squad, des gens se sont informés sur Sweet Baby. En creusant, vous trouverez des vidéos de la PDG, Kim Belair, expliquant leur manière de travailler. Elle dit littéralement qu'ils forcent les gens à les écouter (la PDG elle-même contredit donc l'idée qu'ils ne font que de la consultation). Elle explique aussi fièrement qu'elle a tendance à s'insérer dans les scénarios qu'elle écrit, ce qui, là-encore, ferait rager n'importe qui de normal: un scénariste soi-disant professionel qui est fier du concept de self-insert est tout bonnement ahurissant.
- Suite à ça, un type a créé une liste des jeux associés à SBI sur Steam. Quelque chose de totalement légal et bénin. Mais ça n'a pas plu à un employé de SBI, qui est allé sur Twitter pour littéralement brigader le gars. Il a appelé ses followers à signaler la liste sur Steam ET le compte du mec, dans le but de le faire bannir. C'est quelque chose d'interdit dans le monde d'internet, sur toutes les plateformes sociales.
- La polémique a enflé. D'une part, de plus en plus de consommateurs frustrés soutiennent le push-back contre des services de pseudo-consultations clairement privilégiés en dépit de la qualité ; d'autre part, une industrie ouvertement anti-consommatrice et politiquement malsaine. De nombreux employés de ces services de consultation, par exemple, n'hésitent pas à dire que ne pas engager quelqu'un à cause de sa couleur de peau n'est pas du racisme. C'est aussi le cas de nombreux journalistes du gaming et des membres du GDC.
Ajoutez à ça le problème de fond: ON S'EN FOUT DE LA POLITIQUE. Les jeux vidéos ne sont pas là pour que vous montriez vos penchants sociaux ou politiques. Malheureusement, toutes les industries sont infectées par une fièvre de Justice Sociale aujourd'hui ; allant juste de propos stupides à des tendances carrément malsaines.
Pour éviter que les crédules avalent de la bouse en pensant que c'est du chocolat, un conseil: servez-vous de votre cerveau ;). Et les types qui ont écrit cet article: vous n'avez pas honte de faire le tri dans les infos?
PS: "des studios y recourent donc pour s’assurer que leur manière de montrer un personnage issu d’une minorité (par exemple, LGBTQ+) ou leur manière de traiter un sujet sensible ne soit pas caricaturale."
-> C'est la théorie. En pratique, ces services n'hésitent pas à forcer un personnage noir à avoir la coupe de Killmonger. Aujourd'hui, c'est l'équivalent de mettre un sombrero à un perso mexicain...
Le 18/04/2024 à 13h43
Mon cher Danta012, tu as parfaitement résumé le parcours de la meute d'animaux si savamment représentés dans l'illustration de l'article.
Par contre à quel moment cela justifie-t'il le cyberharcélement ou l'appel à la violence ?
Le 18/04/2024 à 14h03
La "meute" n'est pas le groupe qui appelle au ban d'un utilisateur sur Steam. Si tu es contre le cyberharcèlement, tu es contre SBI, qui se vante de faire du chantage et qui appelle ouvertement à la fermeture de comptes Steam.
De même, la "meute" n'a jamais appelé à la violence. Par contre des gens parlent littéralement de purger la communauté gaming en faisant référence à cette situation. Pas du tout violent comme vocabulaire, hm?
Si tu ne veux pas qu'on te dise d'utiliser ton cerveau... utilise-le. C'est simple, tu verras.
Le 18/04/2024 à 16h03
Tu peux m'expliquer comment tu purges une communauté gaming ?
Steam, comme toutes les plateformes, a des règles: tu ne les respectes pas, tu es banni c'est simple non ?
C'est si compliqué de respecter le gout et l'avis des autres ? Le jeu ne te plais pas, tu n'y joues pas. C'est compliqué aussi comme principe ?
Si l'orientation d'un éditeur de jeu est mauvaise et que le jeu est délaissé, l'éditeur changera d'orientation. Si ce n'est pas le cas, c'est que la grande majorité n'y trouve rien à y redire et que donc les haters sont en minorité.
PS: au fait je suis contre le cyberharcèlement tout court. Et vu la façon dont tu as répondu à mon commentaire, je sens que j'ai touché un point sensible.
Modifié le 18/04/2024 à 22h19
Cependant faisons ce qu'il dit et « usons de notre cerveau »... et de Google.
Si j'ai bien cherché (et je peux m'être fait avoir), il semblerait que ce n'est pas Sweet Baby Inc. mais un EMPLOYÉ de Sweet Baby Inc. qui a fait une tentative de doxxing du concepteur du groupe Steam jugé problématique, et apparement suivi par un autre peu après.
On notera sur ce 2ème lien qu'il n'y avait que 10.000 joueurs d'inscrits alors que le groupe avait un mois d'existence avant que les employés en question ne s'en plaignent.
Le résultat est un retour de flamme façon effet Streisand, et aujourd'hui c'est 375 K.
Surtout qu'au final quel était le problème ? Que des joueurs n'aiment pas leur implication dans certains jeux et fondent une liste des jeux à éviter ? La belle affaire, sans compter que s'ils étaient fiers de leur travail alors ils ne devraient pas être génés par 10.000 clampins.
Le résultat est qu'ils sont scrutés à la loupe, avec en bonus les projections que beaucoup ne manqueront pas de réaliser. Genre cette petite vidéo qui incite les développeurs souhaitant de leurs services à faire pression à leur boss pour l'obtenir : certains n'ont pas hésité à extrapoler et dire qu'il s'agit de menaces claires.
Bref... A ce stade je serai le CEO de Sweet Baby Inc., je procéderai au licenciement immédiat des deux employés qui ont causé ce désastre. Ceci d'autant que je ne suis pas certain de trouver des clients après cela, car les développeurs d'un jeu ne voudront pas prendre le risque de faire partie d'un Gamergate 2.0 même si la raison est peu claire.
Quand à se plaindre du cyberharcélement en 2024... Je veux dire qu'il faut être contre, mais à notre époque le cyberharcélement est limite concomitant avec les réseaux sociaux, et s'en plaindre quand en plus on tire en premier est assez étonnant à lire.
Quand au « jeu qui ne plaît, n'y joues pas », c'est plus compliqué que cela quand la passion s'en mêle. Un seul jeu raté peut tuer une licence entière même avec de grandes cuvées en son sein. Dès lors si une raison quelconque apparaît pour expliquer un échec (ici Sweet Baby Inc.) alors il y aura des joueurs qui n'hésiteront pas à la viser, peu importe le niveau réel de responsabilité.
Enfin bon... Je ne suis pas sûr qu'il y ait vraiment une volonté de formatage idéologique de la part de Sweet Baby Inc. (l'accusation principale), par contre il y a clairement un cas d'étude concret sur les stupidités à ne pas faire si on tient à son emploi.
Le 18/04/2024 à 22h30
Si les filles se font harceler dans la rue, c'est de leur faute parcequ'elles s'habillent trop sexy.
Si les internautes se font cyber-harceler, c'est de leur faute car ils ont osé donner leur avis.
Modifié le 18/04/2024 à 23h00
Mais allons-y franchement : vu qu'il apparaît clair que la polémique n'aurait pas existé sans cette action de ces deux employés, euh comment dire... oui, clairement. Car des listes de ce genre doivent sûrement exister pour d'autres raisons, et on n'en entend pas spécialement parler. C'est juste dommage pour tous les autres employés de l'entreprise si jamais elle doit fermer suite à cette histoire.
Sans compter qu'il s'agissait de lister les jeux considérés « génants » selon une grille idéologique spécifique à la base, bref rien de bien méchant en soi quand le groupe ne représentait pas grand monde. Certes j'imagine qu'ils devaient recevoir parfois des e-mails ou tweets discutables comme plus ou moins toutes les entreprises de nos jours, mais on est sûrement loin du cyber-harcelement qu'ils doivent subir MAINTENANT vu que la taille du groupe a été multiplié par 37X par leur propre fait.
En 2024, ignorer le risque de l'effet Streisand c'est tendre le bâton pour se faire battre.
Modifié le 18/04/2024 à 23h17
« Le harcèlement est la répétition de propos et de comportements ayant pour but ou effet une dégradation des conditions de vie de la victime. Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée.
La loi punit toutes les formes de harcèlement, en tenant compte de la fréquence et la teneur des actes.
Il s'agit par exemple des actes suivants :
Actes ou propos vexatoires
Menaces
Propos injurieux ou obscènes
Appels téléphoniques, SMS ou courriers électroniques malveillants
Visites au domicile ou passages sur le lieu de travail »
service-public.fr
Modifié le 19/04/2024 à 04h25
Tu peux sortir l'argument d'autorité en citant les lois, mais outre le fait que les nôtres ne sont pas extra-territoriales, les conspirationnistes et divers n'en auront cure de les lire.
Le mieux est de contacter les autorités locales. Idéalement il faudrait même laisser tomber les réseaux sociaux, la vie est bien meilleure sans, je vous le promets ! Mais bon, cette position n'est pas.. majoritaire
Qui plus est, le contexte ne se prêtait pas à l'exercice que ces deux employés ont tenté d'effectuer. L'échec de Suicide Squad avait déjà placé le collimateur sur Sweet Baby Inc., probablement pour de mauvaises raisons vu que d'autres jeux de la liste ne sont pas mal, mais du coup il aurait été préférable de ne rien faire.
Car en l'ouvrant et surtout de cette façon, les employés ont « validé » les conspirationnistes. Le biais de confirmation a joué son rôle, et l'appel de troupes fraîches a pû retentir et être suffisament crédible grâce à cela. Cela alors que les screens des liens présents dans les liens que j'ai mis montre une tentative de neutraliser le discours pour le rendre plus crédible, montrant qu'à la base c'était « anti-woke » à l'excès.
Il aurait été plus malin de leur part de contacter le support Steam au début. Valve aurait probablement ban le groupe qui aurait été reformé avec les restes en plus neutre et personne n'en aurait entendu parler. Là maintenant ils sont trop gros pour tomber, Valve ne va pas se brûler les ailes dans une telle opération.
Et puis maintenant on peut même oublier cette liste et ses 375 K membres. Il est devenu facile de trouver nombre de sujets sur Reddit et divers où Sweet Baby Inc. se font démolir, avec des ricochets étranges genre l'histoire visant une certaine Dani Lalonders.
Bref, je doute que ça se limite à 375 K personnes là.
Modifié le 18/04/2024 à 23h13
* Le problème du harcèlement en ligne, bien réel. Bien sûr rien ne justifie le harcèlement, les menaces etc.
* Le débat de société sur le rôle des "sensitivity readers", la nature des programmes DEI etc. Même parmi les mouvements dits progressistes aux US il y a eu des évolutions ces dernières années, le débat n'en est plus au niveau de 2019. Il faut savoir aussi garder la tête froide, faire la part des choses et ne pas se laisser emporter par les émotions. Malgré les outrances, le harcèlement, la polarisation politique etc. certaines critiques concernant le travail de Sweet Baby sont pertinentes. Le problème n'est pas d'insérer de la diversité mais la manière ouvertement outrageante dont c'est parfois fait, un peu comme les programmes DEI qui obligent tout le monde à déclarer qu'il est raciste, ce type de manière de faire est en perte de vitesse car évidemment ça empire la situation au maximum possible, ça divise les gens, et ça polarise tout le monde de manière entièrement contre-productive.
Un employé de Sweet Baby Inc. a réagi de manière discutable à une liste de boycott, ça a créé un effet Streisand, mais ça ne justifie évidemment pas le harcèlement dont lui et Sweet Baby ont été victimes par la suite.
Le 19/04/2024 à 00h02
Modifié le 19/04/2024 à 23h30
* Pour la panique morale, elle concerne autant l'extrême droite que l'extrême gauche, de manière assez prévisible, car ils se retrouvent rapidement confrontés à des contradictions internes que les plus modérés voyaient venir à 10000km.
edit: une grosse contradiction à droite qu'il faut souligner, c'est qu'ils se proclament "free speech absolutists" et hurlent à la censure en permanence, mais en pratique c'est eux qui font voter des lois pour faire limiter la liberté d'expression par un État policer.
Le 20/04/2024 à 01h13
La technique typique des cry-bullies.
Pour être clair, je pense que faire de Sweet Baby un genre de croque-mitaine du jeu vidéo est puéril, passablement délu, probablement l'action d'un post-ado avec beaucoup trop de temps à perdre, et que le boycott est totalement risible. N'empêche que c'est leur problème, s'ils ont envie de boycotter les jeux auxquels Sweet Baby ont participé, d'expliquer pourquoi ils le font, et de faire la liste des jeux à boycotter, ils ont le droit de le faire sans que la boîte ou ses employés tente de prendre des mesures de rétorsion du type "faire sauter son compte Steam via un mass-report non justifié". Je trouve que la mesure de rétorsion envers un particulier relève beaucoup plus du harcèlement ciblé que le groupe Steam qui a entraîné cette réaction rageuse.
Et franchement, défendre le droit d'une boîte à utiliser des techniques de mafieux contre un mouvement de consommateurs et contre un particulier sous prétexte que ladite boîte se la joue Grands Chevaliers du Progressisme™, c'est vraiment pas la hot take de gauche que tu crois que c'est.
Le 20/04/2024 à 17h03
En même temps tu avais déjà annoncé la couleur
Cry-bullies ?
Le 18/04/2024 à 22h53
En réalité rien, absolument rien ne justifie la violence ou le harcèlement. Le harceleur ou la harceleuse est seul(e) totalement responsable de ses propres actes malsains.
Modifié le 19/04/2024 à 05h38
Navré de ne pas vivre dans le même monde.
Encore qu'ici ce n'est probablement pas légitime, mais comme je l'indique c'est surtout la gestion de la crise qui a été mal faite. L'effet Streisand a conduit à gonfler la polémique et donc à attirer les problèmes, car il y a maintenant bien plus de nuisibles dans les 375 K que dans les 10 K initiaux.
Et vu que ça s'est diffusé partout, même 375 K est une estimation basse.
Modifié le 18/04/2024 à 17h47
Edit : oups ça a été corrigé, j'ai lu la première version publiée dans mon flux RSS.
Le 18/04/2024 à 19h29
Le 18/04/2024 à 23h49
Et pourtant paraît il que c’était pire avant, mais on a peut être de moins en moins de patience avec ce genre de conneries.
Un jour je vais finir par vous le laisser votre stade de foot.
Le 19/04/2024 à 21h00
Personnellement je considère que les stéréotypes de genre ça se gère dès l’enfance ou chez des gens capables d’assimiler le concept , c’est à dire chez des gens un minimum sensible à la question et éduqué.
Chose dont ce qui est appelé désormais la gauche (qui est en réalité majoritairement la gauche des allocs à tendance anti-frontière) n’est pas exempt de manque dans sa réflexion, et de cohérence dans sa démarche.
Concrètement et selon moi pour rattraper les problèmes de sexisme de manière respectueuse il faudrait laisser le choix aux enfants de la génération concernée s’affranchir s’ils le souhaitent des stéréotypes en ne genrant pas les jouets et les loisirs, de manière progressive ça influencerait les mentalités, évidement c’est long et restrictif.
La version "pense comme ça sinon t’es qu’un sexiste" lorsque l’individu est déjà construit et biaisé ce n’est pas respectueux des personnes et ça génère du ressentie (plus ou moins constatable ici et ailleurs).
De plus les femmes ne sont pas moins sexistes que les hommes dans l’éducation "traditionnelle" mais ne sont culturellement pas prises pour cible chez les traditionalistes locaux et pas prise pour cible idéologiquement chez les pseudos anti-sexistes.
Tout ça restant dans le domaine de la théorie et le monde des idées car jusque la d’un point de vu pratique et légale on est tous individuellement l’objet de notre constitution biologique et d’un système qui ne fait qu’osciller entre deux patriarcat : familial ou étatique.
Un sexisme que je n’ai jamais vu dénoncé par les néo-feministes ou les mouvement anti-sexistes médiatiques, ce qui laisse place a une théorie : celle d’une lute idéologique pour des raisons purement économiques.
Les braguettes se faisant tantôt cracher à la figure tantôt exploitées, via leur plus grande faiblesse : leur inaliénable sentiment de redevabilité face à une femme.
Éliminant au passage dans le silence des suicides tout contestataire ou victime masculine, l'autre réalité de "Soit fort et tais toi.".
Le 20/04/2024 à 01h01
A un moment il va falloir que vous arrêtiez de parler de stéréotypes, que vous arrêtiez de catégoriser les gens en face de vous et simplement les prendre tels qu'ils sont à la simple condition qu'ils ne fassent de mal à personne.
Modifié le 20/04/2024 à 13h07
Politiques et associations savent-ils faire autrement? Se rappellent-ils de l'affiche "We Can Do It!"?
Donc ta lute contre les stéréotypes semble quand même a géométrie variable.
Et ne me plains pas, il semblerait que je sois plus libre que toi.
Le 20/04/2024 à 17h08
Le 20/04/2024 à 23h25
Mais j’ai quand même ma préférence pour les choses qui paraissent m’échapper.
Le 19/04/2024 à 01h48
Le 19/04/2024 à 14h54
Le 19/04/2024 à 16h06
Le 19/04/2024 à 16h31
Le 19/04/2024 à 19h57
Le 20/04/2024 à 01h09
Surtout pour vérifier si la personne fait du second degré ou si c'est vraiment ce qu'il/elle pense.
Après mon avis en vaut un autre et je ne vois pas pourquoi il faudrait se focaliser sur ma façon de faire.
Quant à Timanu69, c'est justement parceque j'ai lu son historique que je ne lui réponds quasiment jamais.