Tiens un compte avec un seul commentaire qui nous sert le fameux "servez vous de votre cerveau"
Mon cher Danta012, tu as parfaitement résumé le parcours de la meute d'animaux si savamment représentés dans l'illustration de l'article. Par contre à quel moment cela justifie-t'il le cyberharcélement ou l'appel à la violence ?
Quand on insulte, c'est bien d'utiliser des arguments. T'en donnes pas, et tu sais très bien pourquoi: t'en as pas. La "meute" n'est pas le groupe qui appelle au ban d'un utilisateur sur Steam. Si tu es contre le cyberharcèlement, tu es contre SBI, qui se vante de faire du chantage et qui appelle ouvertement à la fermeture de comptes Steam.
De même, la "meute" n'a jamais appelé à la violence. Par contre des gens parlent littéralement de purger la communauté gaming en faisant référence à cette situation. Pas du tout violent comme vocabulaire, hm?
Si tu ne veux pas qu'on te dise d'utiliser ton cerveau... utilise-le. C'est simple, tu verras.
Le
18/04/2024 à
12h
22
Manque cruel de contexte, je vais y remédier:
- L'industrie du jeu vidéo néglige de plus en plus la qualité de leurs produits, ce qui laisse les consommateurs perplexes et de plus en plus en colère. Le denier cas en date étant Suicide Squad, une véritable horreur sur le plan technique et au scénario complètement naze.
- Il s'avère que Rocksteady a fait appel à SBI pour ce jeu. Et non, ce n'est pas "juste" des consultants: ils sont notés comme scénaristes principaux du jeu.
- Des gens ont creusé, et il s'avère que SBI et d'autres services de consultation sur """l'inclusivité""" sont responsables de nombreux autres échecs. Forspoken et Saints Row (le remake), par exemple, ont été tellement désastreux que leurs studios ont fermé leurs portes. Et dans les deux cas, des services de consultation ont été engagés.
- Suite à la sortie de Suicide Squad, des gens se sont informés sur Sweet Baby. En creusant, vous trouverez des vidéos de la PDG, Kim Belair, expliquant leur manière de travailler. Elle dit littéralement qu'ils forcent les gens à les écouter (la PDG elle-même contredit donc l'idée qu'ils ne font que de la consultation). Elle explique aussi fièrement qu'elle a tendance à s'insérer dans les scénarios qu'elle écrit, ce qui, là-encore, ferait rager n'importe qui de normal: un scénariste soi-disant professionel qui est fier du concept de self-insert est tout bonnement ahurissant.
- Suite à ça, un type a créé une liste des jeux associés à SBI sur Steam. Quelque chose de totalement légal et bénin. Mais ça n'a pas plu à un employé de SBI, qui est allé sur Twitter pour littéralement brigader le gars. Il a appelé ses followers à signaler la liste sur Steam ET le compte du mec, dans le but de le faire bannir. C'est quelque chose d'interdit dans le monde d'internet, sur toutes les plateformes sociales.
- La polémique a enflé. D'une part, de plus en plus de consommateurs frustrés soutiennent le push-back contre des services de pseudo-consultations clairement privilégiés en dépit de la qualité ; d'autre part, une industrie ouvertement anti-consommatrice et politiquement malsaine. De nombreux employés de ces services de consultation, par exemple, n'hésitent pas à dire que ne pas engager quelqu'un à cause de sa couleur de peau n'est pas du racisme. C'est aussi le cas de nombreux journalistes du gaming et des membres du GDC.
Ajoutez à ça le problème de fond: ON S'EN FOUT DE LA POLITIQUE. Les jeux vidéos ne sont pas là pour que vous montriez vos penchants sociaux ou politiques. Malheureusement, toutes les industries sont infectées par une fièvre de Justice Sociale aujourd'hui ; allant juste de propos stupides à des tendances carrément malsaines.
Pour éviter que les crédules avalent de la bouse en pensant que c'est du chocolat, un conseil: servez-vous de votre cerveau ;). Et les types qui ont écrit cet article: vous n'avez pas honte de faire le tri dans les infos?
PS: "des studios y recourent donc pour s’assurer que leur manière de montrer un personnage issu d’une minorité (par exemple, LGBTQ+) ou leur manière de traiter un sujet sensible ne soit pas caricaturale." -> C'est la théorie. En pratique, ces services n'hésitent pas à forcer un personnage noir à avoir la coupe de Killmonger. Aujourd'hui, c'est l'équivalent de mettre un sombrero à un perso mexicain...
2 commentaires
Solidaires informatiques alerte contre le « spectre du gamergate »
18/04/2024
Le 18/04/2024 à 14h 03
La "meute" n'est pas le groupe qui appelle au ban d'un utilisateur sur Steam. Si tu es contre le cyberharcèlement, tu es contre SBI, qui se vante de faire du chantage et qui appelle ouvertement à la fermeture de comptes Steam.
De même, la "meute" n'a jamais appelé à la violence. Par contre des gens parlent littéralement de purger la communauté gaming en faisant référence à cette situation. Pas du tout violent comme vocabulaire, hm?
Si tu ne veux pas qu'on te dise d'utiliser ton cerveau... utilise-le. C'est simple, tu verras.
Le 18/04/2024 à 12h 22
Manque cruel de contexte, je vais y remédier:- L'industrie du jeu vidéo néglige de plus en plus la qualité de leurs produits, ce qui laisse les consommateurs perplexes et de plus en plus en colère. Le denier cas en date étant Suicide Squad, une véritable horreur sur le plan technique et au scénario complètement naze.
- Il s'avère que Rocksteady a fait appel à SBI pour ce jeu. Et non, ce n'est pas "juste" des consultants: ils sont notés comme scénaristes principaux du jeu.
- Des gens ont creusé, et il s'avère que SBI et d'autres services de consultation sur """l'inclusivité""" sont responsables de nombreux autres échecs. Forspoken et Saints Row (le remake), par exemple, ont été tellement désastreux que leurs studios ont fermé leurs portes. Et dans les deux cas, des services de consultation ont été engagés.
- Suite à la sortie de Suicide Squad, des gens se sont informés sur Sweet Baby. En creusant, vous trouverez des vidéos de la PDG, Kim Belair, expliquant leur manière de travailler. Elle dit littéralement qu'ils forcent les gens à les écouter (la PDG elle-même contredit donc l'idée qu'ils ne font que de la consultation). Elle explique aussi fièrement qu'elle a tendance à s'insérer dans les scénarios qu'elle écrit, ce qui, là-encore, ferait rager n'importe qui de normal: un scénariste soi-disant professionel qui est fier du concept de self-insert est tout bonnement ahurissant.
- Suite à ça, un type a créé une liste des jeux associés à SBI sur Steam. Quelque chose de totalement légal et bénin. Mais ça n'a pas plu à un employé de SBI, qui est allé sur Twitter pour littéralement brigader le gars. Il a appelé ses followers à signaler la liste sur Steam ET le compte du mec, dans le but de le faire bannir. C'est quelque chose d'interdit dans le monde d'internet, sur toutes les plateformes sociales.
- La polémique a enflé. D'une part, de plus en plus de consommateurs frustrés soutiennent le push-back contre des services de pseudo-consultations clairement privilégiés en dépit de la qualité ; d'autre part, une industrie ouvertement anti-consommatrice et politiquement malsaine. De nombreux employés de ces services de consultation, par exemple, n'hésitent pas à dire que ne pas engager quelqu'un à cause de sa couleur de peau n'est pas du racisme. C'est aussi le cas de nombreux journalistes du gaming et des membres du GDC.
Ajoutez à ça le problème de fond: ON S'EN FOUT DE LA POLITIQUE. Les jeux vidéos ne sont pas là pour que vous montriez vos penchants sociaux ou politiques. Malheureusement, toutes les industries sont infectées par une fièvre de Justice Sociale aujourd'hui ; allant juste de propos stupides à des tendances carrément malsaines.
Pour éviter que les crédules avalent de la bouse en pensant que c'est du chocolat, un conseil: servez-vous de votre cerveau ;). Et les types qui ont écrit cet article: vous n'avez pas honte de faire le tri dans les infos?
PS: "des studios y recourent donc pour s’assurer que leur manière de montrer un personnage issu d’une minorité (par exemple, LGBTQ+) ou leur manière de traiter un sujet sensible ne soit pas caricaturale."
-> C'est la théorie. En pratique, ces services n'hésitent pas à forcer un personnage noir à avoir la coupe de Killmonger. Aujourd'hui, c'est l'équivalent de mettre un sombrero à un perso mexicain...