Depuis quelques années, Next INpact et le travail de sa rédaction sont reconnus comme celui d'un site d'information politique et général, vous permettant de nous soutenir à travers des dons défiscalisés, que vous soyez un particulier ou une entreprise. Il vous reste jusqu'au 31 décembre pour participer à notre campagne 2019.
La fin de l'année arrive et, avec elle, la fin de l'année fiscale. Une période où la générosité est à l'honneur et où votre soutien peut faire toute la différence. Un acte important pour une entreprise auto-financée comme la nôtre.
Cela participe à notre indépendance économique, mais aussi ce qui nous permet d'assurer la liberté de notre rédaction, qu'il s'agisse d'enquêter sur des entreprises, sur les projets du gouvernement ou même sur les nouveaux produits et services mis sur le marché. Ce, en n'hésitant pas à saisir la CADA lorsque cela nous semble nécessaire pour l'accès à des informations essentielles, de vous expliquer comment faire de même, et parfois même d'aller jusque devant le Conseil d'État.
Nous sommes reconnus comme titre de presse IPG (39 bis A) auprès de la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) depuis quelques années. Cela implique que nous nous « consacrons pour une large part à l’information politique et générale ». De ce fait, les dons effectués à Next INpact peuvent faire l'objet d'une défiscalisation à travers la plateforme J'aime l'info gérée par le SPIIL.
Pour nous soutenir, vous avez comme toujours deux solutions : vous abonner au site et/ou effectuer un don défiscalisable à travers le service J'aime l'info. En pratique, cela concerne 66 % du montant du don pour l’impôt sur le revenu, dans la limite de 20 % du revenu imposable (Art 200 du CGI).
Ainsi, si vous donnez 100 euros, vous déduisez de vos impôts 66 euros. Au final, cela ne vous aura coûté que 34 euros.
Pour les entreprises, la réduction d'impôt est égale à 60 % du montant du don (IR ou IS) dans la limite de 5 ‰ du chiffre d'affaires (Art 238 bis du CGI). Ces dernières peuvent nous contacter via une adresse prévue à cet effet :
[email protected]
Les bordereaux fiscaux sont envoyés chaque année par J'aime l'info, au printemps.
Commentaires (65)
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Avec ou sans ticket de caisse? " />
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Des années que je fais des dons et queje suis abonné a next inpact, j’ai jamais compris (ni me suis intéressé) la façon dont on le declare. Faudrait que je me renseigne…
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Par là " />
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“Les dons ouvrent droit à une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66 % du montant versé dans la limite de 20 % du revenu imposable. Un don de 50 € ouvre par exemple droit à une réduction d’impôt de 33 €, un don de 100 € à une réduction de 66 €, etc. ”
https://www.economie.gouv.fr/particuliers/prelevement-a-la-source-reductions-fis…
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+1
Et en défiscalisant le don, on rentre dans la catégorie des bouffeur de homard qui font de l’optimisation fiscale …
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(on peut pas éditer en mode incognito, zut)
PS : j’ajouterais que c’est une façon de voir les choses. Pour ma part, je préfère voir ce système comme un encouragement de l’état à donner aux associations/entités d’utilité publique.
Vu que le don est défiscalisé, ça encourage à donner un peu plus, et au final ce que les donneurs donnent, ce ne sera pas versé directement par l’état en subventions après (et ça évite que certaines entités soient financées alors que ça n’intéresse personne).
Ça reste pour moi un “vote” sur où on aimerait que nos impôts finissent. Et tant que ça reste sur une fraction de nos impôts, il n’y a pas de risques que du jour au lendemain il n’y a plus de pognon pour le service public (enfin, on va faire comme si il y en avait hein^^).
Perso je préfère déclarer les dons car c’est une possibilité avantageuse pour ceux à qui je donne (pas pour moi, car je paye autant au final), mais ce n’est clairement que mon avis :)
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Sans même parler d’association réellement d’utilité publique noyauté, avec quelques administrateur bien rémunérés grâce aux ‘dons’…
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Qwant et son déficit en dizaine de millions d’euro/an peut aussi en profiter, vu les dons généreux qu’il fait à la presse? " />
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J’ai fait une modeste contribution ! " />
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" />
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Valable que si tu es imposable.
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Un abonnement + un don, ca fait beaucoup ! Bon courage !
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bonjour,
si je veux faire versement par virement bancaire, où s’adresser? d’après Okpal “Les dons par chèque ou par virement bancaire doivent se faire en dehors
de la plateforme, en contactant directement le responsable de la
collecte.” Merci de votre réponse.
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Intéressant, je pensais que c’était que pour les associations de charité à but non lucratif style resto du coeur ou lutte contre le cancer.
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« J’aime l’info est une association loi 1901 reconnue d’intérêt général.
Elle a pour objet le soutien au pluralisme de l’information et la
défense d’une presse numérique indépendante et de qualité. »
 https://www.jaimelinfo.fr
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Une petite précision : les associations comme JLI ont un rescrit fiscal de l’administration permettant leur fonctionnement (récolter des dons pour des organes de presse), la défiscalisation ne pouvant être activée que pour des titres eux-mêmes reconnus comme consacrant une part de leur publication à l’information politique et générale (IPG), ce qui est notre cas " />
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Dans ta dernière phrase, il manque le «pas» ou il y un «n’» de trop.
Pour le moment l’ambiguïté est pleine.
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Il faut contacter la plateforme J’aime l’info pour ça. C’est elle qui reçoit le don et émet les éléments fiscaux : [email protected]
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Bon, c’est fait. Merci pour votre travail tout au long de l’année, et pour la renaissance de Inpact Hardware ! " />
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la défiscalisation ne pouvant être activée que pour des titres eux-mêmes reconnus comme consacrant une part de leur publication à l’information politique et générale (IPG), ce qui est notre cas
Et c’est pour ça qu’il y a autant d’articles juridiques, enfin politique puisqu’ils sont constamment écrit de manière à dénigrer le Gouvernement ou le Pouvoir?
C’est un parti pris que je regrette et que certains ici trouve dommage au niveau éditorialiste mais si c’est pour toucher des subventions pour survivre cela s’explique et fait sens.
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Le journalisme d’investigation n’est pas fait pour lancer des roses.
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Un journaliste qui brosse dans le sens du poil s’appelle un attaché de presse ou un spin doctor. Next inpact ne dénigre pas le pouvoir en place, Next inpact porte une critique de ce qui est fait.
Par exemple, Axelle Lemaire était plutôt bien vue dans les articles de Next inpact. Mounir Mahjoubi également au début du mandat présidentiel (je n’ai pas vraiment suivi ce qui était dit de l’action de Cédric O, mais j’ai seulement vu qu’il soutient la reconnaissance faciale dans d’autres médias et j’imagine aisément que Next inpact a dû un peu l’égratigner).
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Mais c’est pas une question de faire du bien ou du mal à un gouvernement mais de traiter l’actualité de manière neutre et impartiale. Pourquoi tout voir sur le prisme des absolus? J’ai l’impression que c’est tout pour ou tout contre. Ce doit être Français.
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Le problème n’est pas de critiquer: c’est simplement d’être mesuré et impartial dans celle-ci.
Si c’est pour faire de la critique sur tout est n’importe quoi comme pourraient le faire les partis d’opposition, je ne vois pas bien la plus value.
Les municipales vont arriver: il serait donc intéressant de mettre à plat les propositions de tous les partis en matière de numérique et de faire un point de ce qu’ils proposent (ou pas).
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Que du beau monde ici
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Faire confiance à un journaliste est une erreur. Parce qu’il n’est qu’un témoin partiel d’un fait. Ce n’est pas être libéral face à l’information, c’est être réaliste. Chacun a le droit (le devoir) de se construire son propre avis sur un sujet, personne n’a pas imposer sa petite vision des choses.
Justement, le lecteur n’est jamais à l’abris du fait de lire un article à charge. Et pire, de lire un article à charge rédigé par un journaliste qui pour l’occasion est purement de mauvaise foi (il a peut-être subi des pression de sa rédaction ou des pressions externes? il s’est peut-être trompé ou peut-être qu’il est allé trop vite en besogne parce qu’il fallait sortir son information et son analyse avant la dead-line du dossier de presse auquel il participait?).
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Et si je déteste les opinions exprimées dans Mediapart, ça n’empêche nullement Mediapart de produire des enquêtes très informatives sur des sujets de société et de politique. Et concernant Next inpact, je ne lis certainement pas tous les articles de Xavier Berne (les articles sur des amendements au Sénat, on en lit un, on les a tous lu… je caricature un peu). En revanche, ne pas les lire au seul motif que c’est toujours à charge envers le Gouvernement, c’est simplement vouloir mettre des oeillères pour ne pas avoir mal. Moi, je me fais mal de temps à autres, pour justement ne pas garder les mêmes oeillères toute ma vie (et finir ma journée aussi bête qu’au lever).
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Vous divaguez ou répondez à côté de la plaque. La question est de savoir si la ligne éditoriale est téléguidée pour toucher des subventions.
J’apprécie néanmoins certains commentaires qui rejoignent mon sentiment qu’on voit trop les choses en terme d’absolu. Si j’ai choqué certains je m’en excuse et je dois avoir du mal à expliquer ma pensée vu certaines réactions grossières voire vulgaires de quelques uns qui se reconnaîtront.
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Je parle bien d’un point de vue sur la vérité. Je ne parle pas d’un point de vue, du genre une affirmation sans fondement. D’ailleurs, on retrouve très rapidement les gens “manichéens” en recoupant les infos : ce sont les seuls qui affirment des choses hors de propos qui n’ont rien à voir avec la vérité.
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Admettons que je divague. Dis-moi, toi, d’où tu vois une subvention chez Next inpact ? Tu veux peut-être parler des dons ? Il faut être plus clair, parce qu’entre nous deux, je me demande lequel divague le plus.
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Personnellement, je déteste le traitement des sujets financiers par lesechos.fr (l’affaire Carlos Ghosn en ce moment). Pour autant, je continue à lire lesechos.fr parce que c’est l’un des rares organes de presse qui enquêtent dans le milieu financier et industriel avec des infos vérifiées… malgré le fait de défendre des opinions largement conservatrices. Pourquoi j’irais lire uniquement Alternatives économiques qui ne fait qu’effleurer les sujets financiers pour se concentrer sur des sujets macroéconomiques (les théories économiques, la mondialisation, etc) ?
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Vu le temps qu’il passe sur cet article à commenter, il semble avoir trop de temps, vu qu’il tourne en rond et en fait des tartines à chaque message.
Surtout que si l’on s’en tient au titre remis à jour, on est déjà dans le “trop tard” puisque l’on a changé d’année.
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Si on fait abstraction de la mode du “complotisme” et de la “décérébration” (il paraît que 10% des Français “pensent” que la terre est plate) il faut bien admettre que l’on aura tendance à croire plus facilement des gens qui pensent comme nous et certains iront même jusqu’à ne jamais lire des choses qui vont à l’encontre de leurs idées.
C’est sans doute ce qui explique que même ici certains filtrent comme des malades histoire de rester entre “zamis” façon Facebook comme s’ils étaient obligés de lire tout ce qui leur tombe sous les yeux : “Oh mon dieu, cachez ce message que je ne saurais lire !!”… " />
En résumé, comme disait Pierre Dac : “Si tous ceux qui sont persuadés d’avoir raison n’avaient pas complètement tort, on ne serait pas loin de la vérité”… " />