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Ubuntu 20.04 LTS : comment se mettre à jour depuis Ubuntu 18.04 LTS ou 19.10 ?

Basique, simple

Ubuntu 20.04 LTS : comment se mettre à jour depuis Ubuntu 18.04 LTS ou 19.10 ?

Le 24 avril 2020 à 07h42

Si la mécanique de mise à jour d'un OS comme Windows 10 est largement connue, quid de systèmes libres comme Ubuntu ? Sa version 20.04 est là, l'occasion de revenir sur la procédure à suivre.

Comme tous les six mois, une nouvelle version d'Ubuntu est là. Cette fois il s'agit de Focal Fossa, connue sous le numéro 20.04. Elle arrive deux ans après la 18.04. Toutes deux disposent d'un support à long terme (LTS) de cinq ans après sa publication. 

Comme pour Windows 10 dont la May 2020 Update arrive, la question d'une mise à jour dès maintenant se pose. Avec Ubuntu, vous avez le choix : pas d'outil qui décide plus ou moins pour vous en exploitant du machine learning, et autres assistants de récupération manuelle. Vous sautez le pas quand vous le voulez.

La mécanique de base reste néanmoins identique : des fichiers sont téléchargés puis la procédure de mise à jour est lancée. Voici un petit guide sur la procédure à suivre, que vous soyez adepte des interfaces graphiques ou de la ligne de commandes. Nous utilisons ici les versions Budgie Desktop (19.10) et Server (18.04 LTS) d'Ubuntu.

Vérifier la version actuellement installée 

Cela peut paraître bête, mais un utilisateur ne sait pas forcément quelle version de Linux est présente sur sa machine. Les utilisateurs de distributions ont beau être souvent avancés, ce n'est pas systématique : un petit rappel sur la manière d'accéder à cette information peut être nécessaire.

Il faut pour cela utiliser l'application Paramètres qui dispose d'une section À propos dans son onglet Détails. Pour aller plus vite, un raccourci direct est proposé dans la section Préférences du menu principal. Vous pouvez également passer par une simple commande : lsb_release -a ou l'outil neofetch.

Ubuntu Budgie 19.10

Seulement les versions LTS ou non : un choix à faire

Ensuite, il faut décider si vous voulez effectuer ou non cette mise à jour. Certains préfèrent attendre un peu par sécurité, d'autres passent uniquement d'une version LTS à une autre. Pour rappel, elles sont publiées tous les deux ans. Avant la 20.04, c'était la 18.04, puis la 16.04, etc. La prochaine sera donc la 22.04, attendue pour avril 2022.

Ce choix s'exprime dans les paramètres de l'application Gestionnaire de mise à jour d'Ubuntu. Vous pouvez vous y rendre pour le consulter ou le modifier. Trois possibilités s'offrent à vous : ne migrer que vers les nouvelles versions LTS, toutes les nouvelles versions ou aucune.

Ubuntu Budgie 19.10 Mise à jourUbuntu 19.04 Mise à jour

Si vous n'avez pas accès à l'interface graphique, il faut passer par l'édition du fichier de configuration du Gestionnaire de mise à jour et lui indiquer le canal à utiliser à travers la variable Prompt. Trois choix sont possibles :  lts, never ou normal.

sudo nano /etc/update-manager/release-upgrades

La commande ci-dessus permet d'éditer ce fichier via l'application nano avec les droits administrateur (sudo). Pour le cas qui nous occupe, qui vise à passer à Ubuntu 20.04, on peut opter pour lts ou normal. Une fois le fichier modifié et enregistré, nous pouvons passer à la mise à jour elle-même.

Pensez à faire une sauvegarde (au moins des fichiers importants) avant de procéder. Ce sera utile en cas de problème.

Mettre à jour via la ligne de commandes

Ubuntu utilise APT (voir le détail de ses paramètres) pour la mise à jour des applications, de leurs dépendances et du noyau. Un net avantage sur les mécaniques de Windows par exemple. Entretenir le système se résume ainsi à deux lignes de commandes permettant de récupérer la liste des dernières versions puis de les installer :

sudo apt update
sudo apt full-upgrade

Mais pour le système lui-même, il faut passer par un autre outil. Dans le cas de la ligne de commande, c'est Release Upgrader. Son utilisation est simple, il suffit de le lancer pour qu'il opère :

sudo do-release-upgrade

Il va vérifier si une nouvelle mise à jour est disponible. Si c'est le cas, les fichiers nécessaires seront téléchargés puis exécutés. Les informations nécessaires seront récupérées depuis les dépôts officiels afin de savoir ce qui doit être téléchargé, installé puis supprimé. Une estimation du temps d'installation vous sera alors donnée.

Vous pouvez bien entendu accepter ou refuser, mais aussi demander à connaître les détails à chaque étape. Cette procédure est idéale si vous utilisez Ubuntu Server ou que vous préférez passer par la ligne de commandes.

Dans le cas d'une LTS, la mise à jour n'est pas proposée avant sa première « point release », la 20.04.1 dans le cas présent. Cela permet de s'assurer que la migration n'est faite par le plus grand nombre que lorsqu'un premier lot de bugs ont été corrigés. Pour le faire avant, il faut ajouter -d à la fin de la commande ci-dessus.

C'est le paramètre habituellement utilisé pour migrer vers la prochaine version d'Ubuntu lorsqu'elle est en cours de développement. Tous les détails se trouvent sur cette page.

Ubuntu Budgie Server LTS Mise à jourUbuntu Budgie Server LTS Mise à jour

Mise à jour via l'interface graphique

Si vous préférez les interfaces graphiques et que vous y avez accès, cela passera à nouveau par le Gestionnaire de mises à jour. Contrairement à la solution précédente, il gère cette procédure pour l'ensemble du système, dont les applications, leurs dépendances, etc. Une fois lancé, si une nouvelle version d'Ubuntu peut être installée, il vous la proposera.

La procédure sera identique à celle via la ligne de commandes, mais plus accessible à des utilisateurs peu habitués, puisque passant par des fenêtres et quelques boutons. Il faut cependant procéder à une mise à jour des applications avant que la nouvelle version du système soit accessible.

Une fois faite, une mention indique que la mise à niveau est disponible, avec un bouton dédié. Notez qu'Update Manager permet lui aussi de migrer vers la prochaine version d'Ubuntu lorsqu'elle est en cours de développement, en passant par une commande spéciale (-c -d) . Tous les détails se trouvent sur cette page.

Ubuntu Budgie 20.04 LTS Mise à jourUbuntu Budgie 20.04 LTS Mise à jour

Commentaires (121)

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Avoir toujours une version de retard, c’est curieux comme stratégie, non ?

Autant utiliser une LTS, voire mieux, une Debian stable, si c’est pour ne pas prendre de risque avec certains paquets plus ou moins en bêta.

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fry a écrit :



et puis un graphiste qui bosse sous linux, ça fait moins “classe” que sous mac <img data-src=" />





Pourtant, quand on a à sa disposition The Gimp, Inkscape et Scribus et qu’on à pris le temps d’apprendre à s’en servir, on dispose d’une chaîne complète de production de Print Quadrichromie qui n’a rien à envier à des outils qui valent un bras et enferment les données dans des formats propriétaires (et lourds).

<img data-src=" />


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<img data-src=" />ed , la version d’octobre poussée par windows c’est mieux X-)

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même si je suis 100% d’accord avec toi (pour avoir pris le temps d’apprendre à me servir de Gimp et scribus, inkscape je connais que de nom), les trucs utilisés en école, le bouche à oreille qui fait de Photoshop “mon premier soft cracké” pour beaucoup et le côté clinquant (comprenez, Adobe c’est une grosse entreprise, ça fait plus pro qu’un machin fait par une communauté de barbus qui dessinent des pingouins¹) fait que, sauf gros abus de la part d’Adobe, le pro continueront sur du proprio



¹ entendu pour de vrai… j’étais un peu outré

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Surtout que c’est un manchot <img data-src=" />

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t’as tout dit :)

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David_L a écrit :



Surtout que c’est un manchot <img data-src=" />





bah voilà, tu vois bien l’origine de l’outrage ! <img data-src=" />


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La première fois que j’ai utilisé Nano, j’ai du choper son pid pour réussir à le killer, je n’arrivais pas à quitter le logiciel&nbsp;<img data-src=" />

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T’as pas vu la mention “Exit” en bas à gauche ? <img data-src=" />&nbsp;

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GruntZ a écrit :



Pourtant, quand on a à sa disposition The Gimp, Inkscape et Scribus et qu’on à pris le temps d’apprendre à s’en servir, on dispose d’une chaîne complète de production de Print Quadrichromie qui n’a rien à envier à des outils qui valent un bras et enferment les données dans des formats propriétaires (et lourds).

<img data-src=" />





Pour Inkscape, je préfère Gravit Designer, il est plus facile à prendre en main je trouve :)


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A noter que les variantes d’ubuntu (budgie, mate…) en LTS ont un support de 3 ans seulement. Seuls certains éléments centraux communs à toutes les version sont supportés 5 ans.



C’est bon à savoir (moi je ne l’ai pas su tout de suite en tout cas ^^‘)

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Mais comment NXI a-t-il su pour ma blessure à la main !

Tous fliqués !!



<img data-src=" />

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eglyn a écrit :



Pour Inkscape, je préfère Gravit Designer, il est plus facile à prendre en main je trouve :)





La “facilité de prise en main” est une mauvaise raison de choix d’un soft certes gratuit, mais propriétaire.

Il faut juger le temps passer à s’approprier quelque chose par rapport au temps passé à s’en servir.

L’absence d’interopérabilité avec certains formats (EPS notamment) est par contre un vrai frein à l’usage régulier.


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GruntZ a écrit :



La “facilité de prise en main” est une mauvaise raison de choix d’un soft certes gratuit, mais propriétaire.

Il faut juger le temps passer à s’approprier quelque chose par rapport au temps passé à s’en servir.

L’absence d’interopérabilité avec certains formats (EPS notamment) est par contre un vrai frein à l’usage régulier.





Je suis d’accord, mais perso c’est vraiment des usages très ponctuels, donc pas le temps d’approfondir le sujet.

Je trouve inkscape un poil pas ergonomique (rien que pour mettre une couleur personnalisée les choix de l’interfaces sont très surprenants…).

Un peu comme Gimp en fait, l’ergonomie est laissée de côté par rapport aux fonctionnalités, du coup, pour les usages non pro ou ponctuels je préfère me tourner vers des logiciels plus rapide à prendre en main (mais hélas propriétaires).


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revker a écrit :



La première fois que j’ai utilisé Nano, j’ai du choper son pid pour réussir à le killer, je n’arrivais pas à quitter le logiciel <img data-src=" />





En ce qui me concerne, la dernière fois aussi.

Depuis, sur toute machine sur laquelle je me connecte pour la première fois, je vérifie que EDITOR=vim est dans mon environnement.

Taper visudo et se retrouver dans nano a été un moment assez désagréable…


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@WereWindle @AltreX @wanou c’est un peu c’est que j’avais pu constater sur divers thread, y compris chez ceux d’Adobe, un manque de demande pour une version Linux. C’est bien dommage. Pour ce qui est de la tradition de la création sur Mac, j’espère qu’elle est en train de passer, surtout depuis que les Mac sont équipés d’architectures similaires au PC. Un spécialiste pourra surement nous le dire mais je ne suis pas sûr qu’un MAC soit aujourd’hui plus “fiable” qu’un PC. @fry, mais c’est sans doute aussi moins “classe” (encore que je trouve mon équipement PC beaucoup plus classe qu’un MAC, mais bon, les goûts toussa…). J’ai toujours trouvé étonnant de voir des créatifs sur des claviers étriqués, avec des souris anti ergonomiques et des écrans miroirs ….

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Je me posais justement la question. Merci Nxi !

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Une montée de version ?! Non, il faut refaire une installation depuis 0<img data-src=" />

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Un peu de patience #Teasing <img data-src=" />

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petite question, est-ce qu’il y a une différence entre

&nbsp;

sudo do-release-upgrade



et un



apt-get dist-upgrade



?

j’ai déjà utilisé le dernier pour faire des montées de version sous debian (sur lequel se base ubuntu) mais plus depuis un moment.

l’un est un alias de l’autre? dist-upgrade est déprécié ou limité strictement à debian ? ou encore une autre raison ?

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Est-ce que ça supprime des fichiers comme Windows 10 ? :-X

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fry a écrit :



petite question, est-ce qu’il y a une différence entre

 

sudo do-release-upgrade



et un



apt-get dist-upgrade



?

j’ai déjà utilisé le dernier pour faire des montées de version sous debian (sur lequel se base ubuntu) mais plus depuis un moment.

l’un est un alias de l’autre? dist-upgrade est déprécié ou limité strictement à debian ? ou encore une autre raison ?







Un bout de réponse ici :



https://help.ubuntu.com/lts/serverguide/installing-upgrading.html.en


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J’ai toujours fait ceci pour ma part :

&nbsp;

sudo apt-get update

sudo apt-get upgrade

sudo apt-get dist-upgrade

&nbsp;

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Pfiou c’est compliqué …

Vivement qu’Ubuntu force ses utilisateurs à migrer sur la dernière version à jour automatiquement, ce sera moins compliqué et beaucoup plus secure…

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apt-get dist-upgrade ==&gt; Met juste à jour la distribution (tu reste en 18.04 mais tu met à jour)

do-release-upgrade&nbsp; ==&gt; Passe en 18.10 et met à jour.



sinon tu peux modifier les sources pour pointer&nbsp; sur les paquet 18.10 (vi /ets/apt/source.list)

et tu fait un apt-get dist-upgrade après et cela marche aussi (on faisait comme cela sur debian)



&nbsp;

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fry a écrit :



petite question, est-ce qu’il y a une différence entre

&nbsp;

sudo do-release-upgrade



et un



apt-get dist-upgrade



?

j’ai déjà utilisé le dernier pour faire des montées de version sous debian (sur lequel se base ubuntu) mais plus depuis un moment.

l’un est un alias de l’autre? dist-upgrade est déprécié ou limité strictement à debian ? ou encore une autre raison ?





Oui, c’est tout simplement doublement déprécié :&nbsp;





  • apt-get &gt; apt

  • dist-upgrade &gt; full-upgrade



    C’est le cas sous Ubuntu comme sous Debian :&nbsp;



    https://manpages.debian.org/stretch/apt/apt.8.fr.html



    Pour le reste, comme dit dans l’article, apt ne fait pas de mise à jour du système lui-même. Il faut donc passer par do-release-upgrade pour ça. Sous Debian, de mémoire ça passe par une modification manuelle du fichier sources.list puis une mise à jour via apt (ce que fait en gros l’outil Ubuntu)


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de mon temps on aurait répondu <img data-src=" />



<img data-src=" />



(je galérais à rédiger la différence et tu as rendu ça clair en 2 phrases <img data-src=" />)

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Question :

Peut-on de base sur cette version de Gnome, mettre des fonds d’écran différents selon le bureau virtuel ?



Also : avez vous testé la dernière version d’Elementary OS qui est sortie récemment ?

https://elementary.io/

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David_L a écrit :



Pour le reste, comme dit dans l’article, apt ne fait pas de mise à jour du système lui-même. Il faut donc passer par do-release-upgrade pour ça. Sous Debian, de mémoire ça passe par une modification manuelle du fichier sources.list puis une mise à jour via apt (ce que fait en gros l’outil Ubuntu)







yep c’est comme ça pour debian.



D’ailleurs sous debian, pour connaitre la version y’a des trucs rigolos du genre

$ uname -a ; cat /etc/debian_version ; cat /etc/issue



Ça fait tout bizarre de voir la partie ligne de commande en français. A force j’ai même fini par l’oublier <img data-src=" />


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merci à ceux qui m’ont répondu,

je constate que j’ai encore des vieux réflexes avec mes apt-get <img data-src=" />

sympa le “RTFM” :), ça faisait longtemps qu’on me l’avait pas dit

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Question de néophyte:

Pour passer les instructions en ligne de commande il faut lancer un programme particulier ?

C’est quelque chose comme le cmd.exe sous Windows ?

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fr33m1ch3l a écrit :



Question de néophyte:

Pour passer les instructions en ligne de commande il faut lancer un programme particulier ?

C’est quelque chose comme le cmd.exe sous Windows ?





voila. on appelle ça le terminal


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fr33m1ch3l a écrit :



Question de néophyte:

Pour passer les instructions en ligne de commande il faut lancer un programme particulier ?

C’est quelque chose comme le cmd.exe sous Windows ?









WereWindle a écrit :



voila. on appelle ça le terminal





CTRL + ALT + T sur certaines distributions (mais pas toutes)


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Non, sous Linux on ne force pas les utilisateurs à passer sous la nouvelle version.

Après, dommage que l’outil de GNOME ne le propose pas (à priori) comme il le fait si bien sous Fedora.

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ALT+F2 marche sur toutes les distrib il me semble ^^

&nbsp;

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fr33m1ch3l a écrit :



Question de néophyte:

Pour passer les instructions en ligne de commande il faut lancer un programme particulier ?

C’est quelque chose comme le cmd.exe sous Windows ?





https://doc.ubuntu-fr.org/terminal


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eglyn a écrit :



ALT+F2 marche sur toutes les distrib il me semble ^^

&nbsp;





Non, sous KDE il lance Krunner par défaut, pas le terminal proprement dit


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Ah ok, autant pour moi, j’installe rarement une interface, et la seule que j’utilise c’est lxde ou mate :)

&nbsp;Après cela peut marcher avec un autre F que F2 (F3, F4, etc…)

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Tu ne confonds pas avec le fait de passer d’une console à une autre via CTRL + ALT + Fx ? (mais en plein écran, pas comme une app)

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Est-ce que quelqu’un sait pourquoi certaines marques ne proposent pas de version pour Linux (Adobe et Adobe Creative Cloud plus particulièrement pour ne citer qu’eux). S’agit-il juste d’un manque de demande pour une telle version ou y a t’il des raisons plus profondes qui ne pourront jamais être surpassées ? (logiciels en contradiction avec la philosophie du libre ?).

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Yep c’est ça <img data-src=" />

C’était un vieux truc au fond de ma mémoire, mais c’est effectivement ctrl+alt+Fx ;)

Mais on se retrouve dans une console, c’est le principal :)

ça va plus vite que d’ouvrir le terminal je trouve.



&nbsp;

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Un des droits dont tu jouis avec le libre, c’est de mettre du non libre sur ton système si tu le veux.



Je pencherais pour le peu d’intérêt que ça représenterait pour Adobe : trop peu de postes Linux installés et parmi eux pas forcément de demande pour ça, le dev supplémentaire ne serait pas rentable









eglyn a écrit :



Yep c’est ça <img data-src=" />

C’était un vieux truc au fond de ma mémoire, mais c’est effectivement ctrl+alt+Fx ;)

Mais on se retrouve dans une console, c’est le principal :)

ça va plus vite que d’ouvrir le terminal je trouve.





Terminal (l’appli) émule la console et ctrl+alt+Fx te fais passer d’une console à l’autre (sans avoir à trimbaler la partie graphique. D’ailleurs, à partir de F7 tu es dans des instances Xorg¹)



¹ en tout cas c’était ça dans le temps… Faut vraiment que je me réinstalle un linux desktop <img data-src=" />


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Ayé, enfin débarré de Unity ?

&nbsp;

Je vais ptet y revenir du coup <img data-src=" />

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Curieux, le “do-realease-upgrade” me dit qu’il n’y a pas de nouvelle version dispo. C’est officiellement déployé ?

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Elle peut apparaître comme encore en développement (donc avec le -d ça devrait passer)

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eglyn a écrit :



Mais on se retrouve dans une console, c’est le principal :)

ça va plus vite que d’ouvrir le terminal je trouve





Vu qu’il faut se re-logger contrairement à un terminal virtuel ouvert de l’environnement graphique, pour la rapidité c’est pas évident.



&nbsp;L’intérêt principal, c’est surtout que cela fonctionne encore souvent si l’environnement graphique plante (ce dernier étant associé à F7).



Cela permet de le tuer/relancer, ou juste le process qui le bloque… ou au pire de redémarrer propre si le clicodrome ne veut vraiment plus rien savoir (reboot, shutdown -r now, …).



Et quand tout ca ne fonctionne plus, avant l’appui long sur le bouton on/off, il est possible qu’il reste les magic-keys (via ctrl+alt+sysreq+s, puis u, puis b dans ce qui suit) de fonctionnelles si le kernel n’est pas totalement gaufré (rarissime): A minima synchroniser disques/remontages read-only et reboot immédiat.

fr.wikipedia.org Wikipedia


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patos a écrit :



Si le client est mac, le graphiste bosse sur mac, si le client est pc, le graphiste bosse sur pc ^^





Sachant que depuis le lâchage du PowerPC, le Mac est désormais un PC!


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Anéfé, il fallait le “-d”.



C’est parti !!

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@clacos

Non, ce n’est pas étonnant. Parfois il faut attendre un peu de temps entre l’annonce officielle de la nouvelle distribution et la disponibilité de la mise à jour en ligne de commande via do-release-upgrade.

En tout cas côté serveurs, on va bien voir si Canonical continue le quasi sans-faute en LTS, parce qu’au niveau professionnel, c’est de cela dont on a besoin. Sinon il y a toujours Debian, qui quoi qu’on en dise ou qu’on en pense, reste la référence de base.

&nbsp;

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Debian reste la base côté serveur, surtout pour l’éthique, mais j’hésite toujours avec Ubuntu Server : 5a de mise à jour au lieu de 3 et puis les composants lamp toujours un peu plus récents.

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Il faut attendre un peu pour qu’elle soit réellement disponible ? Parce que ça me trouve pas la nouvelle version (je suis bien en 19.10 actuellement)



&nbsp;➜ sudo do-release-upgrade

&nbsp;Checking for a new Ubuntu release

&nbsp;No new release found.

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Fini à 11h40, soit environ 20mn pour faire l’upgrade de 19.10 -&gt; 20.04.



Y a pas à dire, fibre + SSD (pourtant sur un portable qui a 5 ans) ça facilite la vie <img data-src=" />

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yl a écrit :



Sachant que depuis le lâchage du PowerPC, le Mac est désormais un PC!





C’est bien tenté le troll, mais ça ne change en rien à ce que l’OS soit différent et fasse les choses différemment.

Le gros avantage du “MAC qui est en fait un PC”, c’est bootcamp sur des MACs pour les graphistes qui ont un usages PC principalement mais qui ont des clients MACs également (hop on switch quand y’a besoin)


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Je ne vois nul part où ça serait déprécié.





  • apt n’est pas à être utilisé dans les scripts contrairement à apt-get.

  • apt dist-upgrade est strictement équivalent à apt full-upgrade, les deux arguments appellent la même fonction dans le code source.



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Le code de Linux étant en GPLv2, il n’y a pas de code de Linux dans macOS.

Par contre la version de l’OS d’Apple qu’on connaît aujourd’hui dérive de NeXTSTEP qui a été racheté par Apple, lui-même dérivant de UNIX et 4.3BSD. Y a sûrement aussi du code venant des OS BSD plus récents.

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C’est pas une bonne idée de pousser les gens à installer Ubuntu 20.04 prématurément. En effet, la mise à jour d’une LTS à l’autre n’est proposée qu’après la PointRelease 20.04.1 qui sort 23 juillet prochain.

https://wiki.ubuntu.com/FocalFossa/ReleaseSchedule



Vous en aviez parlé dans la mise à jour de 14.04 à 16.04 :nextinpact.com Next INpact

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On ne pousse à rien, on explique comment faire. Ensuite, les gens sont grands et peuvent prendre des décisions ;)

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Exagone313 a écrit :



Je ne vois nul part où ça serait déprécié.



&nbsp;

Moi non plus, surtout que toutes les options possibles de apt-get ne sont pas dans apt.

Mais pour les besoins usuels, ca évite quand même le “-get” qui a toujours été un peu gonflant à écrire!



Oui, je suis un peu flemmard de nature…

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Kamoulox 6.0. Je t’ai battu <img data-src=" />

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Ah zut ! Désolé…pas vu.

Merci

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Pas forcément besoin avec le LTS Enablement Stacks qui upgrade le noyau à chaque nouvelle version d’ubuntu.



Pour faire simple si on l’active à la fin du support de la 18.04 on se retrouve avec le kernel de la 20.04 :



https://wiki.ubuntu.com/Kernel/Support?action=AttachFile&do=get&target=1…



Actuellement on a le 4.18 et le 5.0 ne devrait pas tarder à être dispo <img data-src=" />

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Oui, après il n’y a pas que le noyau (mais bon de mon côté j’ai besoin d’être le plus up to date possible, mais je comprends que ce ne soit pas nécessaire pour tout le monde dans la pratique. Sinon, CentOS n’existerai pas <img data-src=" />)

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Article très didactique et accessible bravo ! Si cela peut pousser des néophytes à venir tester des alternatives à Windows c’est plutôt bien je trouve… Tout ce qui pousse a la curiosité est a mes yeux positif ;-)

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Pour ma part après des années cantonné a Windows j’ai fini par adopter linux (poussé par cet esprit de curiosité que je mettais en avant dans mon message précédent)… Dans un premier temps j’étais très Ubuntu, mais maintenant c’est Mint ! Debian par contre j’ai essayé mais je ne sais pas pourquoi je galère dessus, je n’ai pas persisté…

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Ce tout le monde c’est les entreprises justement, cible de CentOS qui est le pendant communautaire de REHL. <img data-src=" />

C’est un OS orienté entreprise et production, domaines qui ont besoin d’une certaine stabilité tout en maintenant la sécurité.



Dans la famille Red Hat, c’est Fedora qui est la plus avancée vu qu’elle se focalise à intégrer les technos les plus récentes et joue le rôle de pendant upstream pour REHL et CentOS.

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A ce compte autant utiliser l’éditeur intégré à MC qui est encore plus simple d’usage, et comme de mon point de vue MC est un indispensable pour la gestion de fichiers inutile d’installer un soft supplémentaire juste pour éditer 2-3 fichiers de config de temps en temps

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David_L a écrit :



Je trouve que cette présentation péjorative des xx.10 assez désolante. Il ne faut pas oublier que celui qui cherche la stabilité ira surtout sur une bonne vieille Debian. Il ne faut pas non plus oublier qu’un noyau récent from scratch, ce n’est pas qu’une question de “jouer les testeurs”.



Un PC n’est pas forcément équipe de matos d’il y a 15 ans, et utiliser une version récente permet notamment de prendre en compte du matériel récent. On peut avoir besoin d’une LTS sur certains systèmes, d’être à jour sur d’autres, on peut aussi avoir ses préférences ou même vouloir compiler son propre noyaux. On est pas pour autant obligé de penser que ceux qui font différemment sont dans l’erreur <img data-src=" />





Je confirme, les APU Ryzen de portable nécessitent un kernel très récent (5.0+ conseillé) pour pouvoir être exploités.


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L’article a été adapté et remonté pour la mise à jour vers Ubuntu 20.04 <img data-src=" />

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Bonjour,

Moi je suis en version 19.10 je vais donc passer en 20.04… (mais dans 2 semaines, pour éviter d’éventuels «plâtres» ) mais je souhaite rester ensuite sur les versions LTS.

Y a-t-il une manip particulière à effectuer pour passer (après l’upgrade) des MàJ de version traditionnelle aux MàJ version LTS ?

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Comme dit dans l’article tu peux préciser dans l’outil gérant les mises à jour si tu veux attendre la prochaine LTS ou la prochaine release classique (ou même ne pas faire de mise à jour).

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fry a écrit :



et puis un graphiste qui bosse sous linux, ça fait moins “classe” que sous mac <img data-src=" />



&nbsp;

Exemple tout con: pas mal de graphistes ont des MACs à cause de la gestion des polices qui est différentes du PC car assurée par l’OS lui-même. Du coup, faire du Indesign un coup mac un coup pc, c’est une perte de temps infâme avec la garantie d’un travail bâclé.

Si le client est mac, le graphiste bosse sur mac, si le client est pc, le graphiste bosse sur pc ^^


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bah esthétiquement le design d’un mac reste sobre (on aime ou pas c’est une autre histoire)

avec les autres constructeurs, t’as de tout, du bon vieil IBM (pardon lenovo) dont le design à pas bougé depuis des années, aux alienware et autres asus “ROG” bardés de leds et autre joyeusetés “gamer” …



un client qui entre chez un graphiste et qui voit une grosse pomme, il sait (enfin, croit savoir) qu’il a un “vrai” graphiste en face de lui …



note que j’avais mis le “classe” entre guillemets hein, j’ai beau trouver des qualités au matos apple, je reste persuadé que au moins 50% des utilisateurs n’ont eu comme critère que la pomme … et ça je trouve que c’est dommage

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En effet, j’ai oublié de préciser que j’étais graphiste et amteur de hardware … évidemment ça change tout quand tu peux choisir ton matos pièce par pièce. J’imagine qu’un non expert a tout de suite moins de choix en terme d’esthétique.

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Si on calcul en version de distribution ton raisonnement se tient, si on calcul en version de logiciels/composants, c’est différent ;-)

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Wirby a écrit :



@hansi : ok, c’est l’occasion de tester la stabilité de ces versions intermédiaires pour me faire mon opinion sur la politique de mises à jour à adopter :)

Premier contact : écran violet au boot, obligé de passer en recovery mode pour que ça démarre…





Bon ben finalement, le problème se produit à chaque boot… Clairement, cette première mise à jour que je fais ne me mets pas en confiance :(


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Comment ça ?

En ayant une version de distribution non LTS de retard, tu as les mises à jour des logiciels? Il me semble qu’au mieux tu n’auras que les mises à jour de sécurité.



Vraie question.

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En effet, je n’avais pas vu ça sous cet angle, je pensais naïvement que les logiciels se mettraient à jour “comme par magie”.

Maintenant que tu me dis ça, je penses que l’information indiquant que les versions intermédiaires (ou normal selon Canonical) sont supportées 9 mois indique implique que les logiciels sont mis à jour pendant 9 mois après sa sortie.

Finalement, il faudrait que je me cale sur ces 9 mois. Soit passer en 18.10 fin décembre / début janvier et passer en 19.04 fin juin / début juillet…

ça se tente

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Et Windows+T marche pas mal aussi :-)

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Je vais te faire hurler, je préfère encore un bon vieux gedit.

Tout est graphique, on se prend pas la tête avec de vieilles touches façon MS-DOS.

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Perso, je reste toujours sur les LTS.

Après, quand je passe d’une LTS à une autre, j’ai mon petit fichier “post.list” qui me lance tout d’un coup avec un sudo sh post.list.

C’est super pratique quand on installe pas mal d’ordis.

Ca permet d’emblée d’avoir un ordi à jour et avec tous les logiciels dont on a besoin.

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Mis à jour à l’occasion de la sortie de la 19.04 <img data-src=" />

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Fait pour mon serveur perso, très bien passé. Demain, mise à jour du forum de NXI !

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GruntZ a écrit :



Pourtant, quand on a à sa disposition The Gimp, Inkscape et Scribus et qu’on à pris le temps d’apprendre à s’en servir, on dispose d’une chaîne complète de production de Print Quadrichromie qui n’a rien à envier à des outils qui valent un bras et enferment les données dans des formats propriétaires (et lourds).

<img data-src=" />







Tu (on) voudrais bien mais le fait est que ce n’est pas le cas.

Inkscape est mieux adapté que AI pour éditer des svgs mais il souffre quand même de nombreux problèmes : temps de rendu, support incomplet des filtres, pas de style editor, pas de filter editor…&nbsp;

Comme en plus le w3c sabote le travail sur svg 2 (mesh gradient…)&nbsp;


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Très bon rappel <img data-src=" />



Maintenant, il faut peser le pour et le contre de passer sur des versions non-LTS.

J’ai quand même l’impression qu’on est bien à jour avec une LTS (système + programmes), donc je vois peu d’intérêt à passer en 19.04.

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En résumé pour être tranquille : il vaut mieux toujours rester sur de la LTS, pour éviter de jouer les cobayes, et passer par des dépôts ppa pour monter la version de certains logiciels entre 2 LTS.

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Peut-être rajouter la commande :

lsb_release -a

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C’est dans l’article depuis le départ.



&nbsp;





Jarodd a écrit :



Très bon rappel <img data-src=" />



Maintenant, il faut peser le pour et le contre de passer sur des versions non-LTS.

J’ai quand même l’impression qu’on est bien à jour avec une LTS (système + programmes), donc je vois peu d’intérêt à passer en 19.04.





Kernel 5.0 ! <img data-src=" />


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J’irais pas jusqu’à pousse au crime, faut pas déconner non plus.



Ce genre d’article ne vise pas non plus M. et Mme Michu, par contre ça permet, même aux experts, de se mettre à jour sur les nouveaux moyens de mettre à jour une Ubuntu, ou de pouvoir comparer avec sa distro préférée.



Ceci étant dit, peut-être qu’un rappel (dans l’article) pourrait être utile. Je ne savais pas qu’Ubuntu attendais le patch “.1” suivant avant d’officialiser la mise à jour, par exemple.

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Pour ma part j’ai du mal avec Gnome et j’ai réinstallé Unity sur ma 18.04 LTS…

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c’est peut-être aussi pour pas se mettre a dos apple, mac ayant une base linux je sais pas si l’adaptation serait si compliquée, a moins qu’il ait fait la version mac sur des dev très spécifiques fait sur mac os ?.

et puis un graphiste qui bosse sous linux, ça fait moins “classe” que sous mac <img data-src=" />



pour le ctrl + alt +Fx c’est encore ça (ubuntu 16.04 au taff), 7 et 8 sont avec l’environnement du bureau, celles d’avant non (et j’ai jamais rien vu au-delà de 8)

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j’y ai pensé mais OSX serait un Linux (plus BSD d’ailleurs, si je dis pas de connerie) TRÈS lourdement modifié donc la compatibilité n’est pas si évidente.



Je ne sais pas la part que représente Apple (et ses utilisateurs) dans le CA de Adobe, pour le coup. Y a une forte tradition Mac chez les éditeurs, imprimeurs et graphistes mais honnêtement j’en sais que pouic



edit : le Saint Manchot te protège de ce qu’il y a au delà du 8…

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Ce serais pas plus une base Unix que linux ?

fr.wikipedia.org Wikipedia

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eglyn a écrit :



Yep c’est ça <img data-src=" />

C’était un vieux truc au fond de ma mémoire, mais c’est effectivement ctrl+alt+Fx ;)

Mais on se retrouve dans une console, c’est le principal :)

ça va plus vite que d’ouvrir le terminal je trouve.





Personnellement, je passe par une console au lieu de lancer une session graphique pour faire les mises à jour du premier de mes deux PC sous Arch que j’allume le matin, pour une bonne raison : éviter de charger tout l’environnement de bureau et les résidents associés pour rien si jamais une MAJ du noyau arrive et oblige à redémarrer juste après. En faisant comme ça, j’ai juste 130 Mio de RAM utilisés contre 380 Mio au démarrage (sur 4 Gio), sachant que je laisse le gestionnaire de connexion graphique (LightDM, pour moi) activé.



Mais sinon, dire que c’est plus rapide que d’ouvrir un Terminal… Si celui-ci est à portée de souris car l’icône de son raccourci est sur un tableau de bord/dock, le « duel » se résume à « un clic de souris ou une combinaison clavier nécessitant une acrobatie à deux mains ? ». Pas sûr que le clavier gagne le match…

&nbsp;





AltreX a écrit :



Ce serais pas plus une base Unix que linux ?

fr.wikipedia.org WikipediaDérivé de FreeBSD, oui. Mais c’est plus compliqué que ça, car c’est combiné avec Darwin et MACH… macOS n’utilise malheureusement pas un seul noyau comme le font les autres systèmes d’exploitation.


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Bonsoir,



Pourquoi tjrs parler d’Ubuntu et jamais des autres distros Tux ?.



Mageia est sympa en plus d’être Française, et y’a toutes les autres.

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On ne peut pas parler de toutes les distributions, mais on le fait selon les sujets (notamment les nouveautés). Ici, il y a une spécificité dans la mise à jour (LTS ou pas notamment) qui nous incite à détailler la procédure.



Sinon on se focalise sur les principales comme Ubuntu et ses dérivés (dont la nouvelle version vient de sortir) ou Fedora (qui arrivera la semaine prochaine) par exemple .

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Il y a trop de distro différentes pour toute les abordées. Mais qu’un site comme celui-ci parle de plus en plus de Linux c’est déjà un grand pas. ;)

&nbsp;Après, une distribution comme Mageia ne sont pas très connues et donc l’intérêt n’est pas aussi grnad que des distributions comme Ubuntu ou Fedora.

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Merci pour vos réponses.

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C’est la première mise à jour majeure depuis que j’ai installé Ubuntu, et le bouton Mise à niveau du gestionnaire de MAJ ne fait rien, donc merci beaucoup pour la procédure en ligne de commande&nbsp;<img data-src=" />

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@Wirby

Sauf que la 18.10 est une version intermédiaire avec support sur quelques mois seulement, là où la 18.04 LTS assure un support longue durée de 5 ans.

Donc la version 18.10 n’est pas une version “majeure”, juste une version pour les gens qui veulent jouer les testeurs entre deux versions LTS “stables” dans le temps.

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sergekaramazov a écrit :



Est-ce que quelqu’un sait pourquoi certaines marques ne proposent pas de version pour Linux (Adobe et Adobe Creative Cloud plus particulièrement pour ne citer qu’eux). S’agit-il juste d’un manque de demande pour une telle version ou y a t’il des raisons plus profondes qui ne pourront jamais être surpassées ? (logiciels en contradiction avec la philosophie du libre ?).







Personnellement, je pencherais pour un manque de demande de la part des clients qui les intéressent: ceux qui utilisent leurs outils payants.



Maintenant, avec tous les efforts de Microsoft pour se mettre ses clients à dos, les conversions à linux/bsd pourraient augmenter.


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Nano 😱



Vim, c’est la vie !



Sympa l’article pour les débutants sinon :)

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@hansi : ok, c’est l’occasion de tester la stabilité de ces versions intermédiaires pour me faire mon opinion sur la politique de mises à jour à adopter :)

Premier contact : écran violet au boot, obligé de passer en recovery mode pour que ça démarre…

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Je trouve que cette présentation péjorative des xx.10 assez désolante. Il ne faut pas oublier que celui qui cherche la stabilité ira surtout sur une bonne vieille Debian. Il ne faut pas non plus oublier qu’un noyau récent from scratch, ce n’est pas qu’une question de “jouer les testeurs”.



Un PC n’est pas forcément équipe de matos d’il y a 15 ans, et utiliser une version récente permet notamment de prendre en compte du matériel récent. On peut avoir besoin d’une LTS sur certains systèmes, d’être à jour sur d’autres, on peut aussi avoir ses préférences ou même vouloir compiler son propre noyaux. On est pas pour autant obligé de penser que ceux qui font différemment sont dans l’erreur <img data-src=" />

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revker a écrit :



Nano 😱



Vim, c’est la vie !





<img data-src=" />



(Au moins dans nano on voit directement ce qu’il faut faire pour fermer et enregistrer le fichier <img data-src=" />)


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Je penses que je vais me lancer dans les mises à jour des versions normales mais avec 6 mois de décalage, c’est à dire que je passerai sur la 18.10 en mars 2019, ainsi j’aurais une version à jour et plutôt stable.

A voir si c’est intelligent…

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Exagone313 a écrit :



Je ne vois nul part où ça serait déprécié.





  • apt dist-upgrade est strictement équivalent à apt full-upgrade, les deux arguments appellent la même fonction dans le code source.





    Dans la page de manuel de apt, la commande dist-upgrade n’existe pas, ça me semble clair que la commande apt dist-upgrade est dépréciée.



    tldr: rtfm!


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Vous republiez un article expliquant la mise à jour d’Ubuntu le jour où la version encore jeune, forcément, sort et ça ne serait pas pousser à l’installer ?



Ceux qui savent ce qu’ils font en installant une version tout juste sortie n’ont pas besoin de cet article : ils savent faire. Et oui, cela sont grands. Ceux qui ont besoin de cet article, eux, ne sont pas assez grand pour décider en toute connaissance de cause.



Donc, si, c’est du pousse au crime de republier aujourd’hui cet article.

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yl a écrit :



Moi non plus, surtout que toutes les options possibles de apt-get ne sont pas dans apt.





Et réciproquement. Au fil du temps apt-get est devenu un outil plus bas-niveau, script-friendly, alors qu’apt est conçu dans une approche user-friendly, en tant qu’interface unifiée pour apt-get et apt-cache. L’utilisateur ne devrait pas avoir besoin d’invoquer directement apt-get ou dpkg, même si c’est parfois nécessaire quand quelque chose a foiré.


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Perso je reste depuis 18 mois sur du LTS sur mon portable car je l’utilise à titre pro donc je préfère la stabilité des applis pour cet usage et que je n’ai pas le temps de migrer tous les 6 mois (mais j’utilise quelques rares programmes via snap comme kdenlive par exemple, pour bénéficier des dernières versions).

Je vais juste attendre quelques semaines avant de migrer sur la 20.04 par précaution.

Je ne suis pas graphiste mais je réalise des maquettes de sites pour mes clients en phase de conception et à mon niveau, je trouve tout le nécessaire sous Linux et mes clients ne s’en plaignent pas (en fait pour eux c’est transparent).

Pendant longtemps en usage perso je passais d’une version à l’autre (juste pour situer, j’ai commencé à utiliser Ubuntu alors quelle ne portait pas encore de nom, quelques mois avant la sortie de la 4.10 ;)

Par contre côté serveurs, c’est du Debian (habitude, toussa :)

&nbsp;

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