La taxe sur les liens devient la taxe sur les clics
Bercy rémunéré au clic
Le 17 septembre 2012 à 07h30
5 min
Droit
Droit
Petit à petit, le principe de la taxe sur les liens fait son chemin. L’idée ? Taxer en France les moteurs et agrégateurs pour financer la Culture. Selon les derniers éléments, toutefois, on s’oriente désormais, non vers un nouveau droit voisin, mais une taxe sur le clic.
Cette transformation se constate dans les derniers propos de la ministre de la Culture. « Les menaces sur la presse écrite pénalisent tout le monde. Il faut y remédier, notamment parce que certains sites, des moteurs de recherches issus d'acteurs économiques qui ne sont pas localisés en France et pas fiscalisés en France utilisent, énormément, de matière première issue de la presse numérique » a expliqué la ministre de la Culture dans une interview Aqui.fr-Rue89.
La locataire de la Rue de Valois ajoute que « les mots clés tapés sur les moteurs de recherche sont les mots clés des grands journaux traditionnels donc je crois qu'on a intérêt, car c'est un pilier de la démocratie, à trouver le moyen de permettre à la presse de faire sa mutation numérique. » Sur Aqui.fr elle juge par ailleurs indispensable « qu'il y ait une forme de rétribution par les sites qui aujourd'hui tirent un profit réel de l'utilisation des contenus riches en information, en savoir-faire, en matière grise. Il faut qu'ils participent au financement de l'information ». En somme, la ministre zigzague entre le principe d'une rémunération (droit voisin) et celui d'une fiscalisation (taxe).
Nouveau droit voisin, nouvelle rémunération
L’idée de faire payer les agrégateurs et les moteurs a été poussée en France par le syndicat de la presse nationale (SPQN). Celui-ci milite principalement pour la création d’un nouveau droit voisin sur l'indexation. Un projet de loi a été sollicité de la Rue de Valois avec un deal bien établi : « d'un côté, prévient Nathalie Collin, directrice du Nouvel Obs. les éditeurs s'engagent à renoncer à leur droit d'interdire l'indexation de leurs contenus par les moteurs de recherche (...) En contrepartie, nous demandons la création d'un droit voisin qui permettrait de faire payer par les moteurs de recherche une juste rémunération, chaque fois qu'un de nos contenus est indexé. »
Hasard du calendrier, ces questionnements tombent alors que le CSPLA planche sur le référencement. Dans une mission confiée par la Rue de Valois, le conseil juridique du ministère se demande si « les opérations de référencement doivent (…) donner lieu à rémunération des ayants droit ? », s’il faut « identifier le manque à gagner des ayants droit et/ou le bénéfice tiré de l’opération par le référenceur » et « comment déterminer le quantum d’une rémunération (par œuvre, par répertoire, par type d’usage réalisé par le moteur, selon la notoriété du contenu par le moteur ou inversement à cette notoriété ? »
Une rémunération selon le nombre de clics...
Cependant, des détails plus intéressants encore ont été fournis dans les colonnes de Libération (Ecrans.fr), lui aussi membre du SPQN. La même Nathalie Collin - ex-coprésidente de Libération, ex-présidente de la major EMI France, revient à la charge : « Ce qu’on demande, c’est une rémunération, pas une taxe ». Les éditeurs sont spécialement en quête d’une « juste rémunération ». Nos confrères précisent alors que « le montant de cette rémunération serait fonction du nombre de clics sur le lien, et toutes les entreprises de presse (journaux, agences, pure players) en bénéficieraient, à condition d’être titulaires d’un numéro de commission paritaire. »
...Qui devient une taxe sur le clic
Peu à peu, les lignes de front se dégagent, avec un combat entre deux écoles : celle de la SPQN qui réclame une rémunération associée à un nouveau droit voisin. Celle du gouvernement qui repose la question de la fiscalisation en France des autres gros acteurs du net comme Google. Selon nos informations, des discussions pour le moins délirantes ont lieu désormais dans les ministères afin de définir et déterminer la valeur d’un clic. De fait, le cap du droit voisin serait abandonné au profit d’une mesure fiscale.
Pourquoi ? Car qui dit droit voisin dit nouvelle gestion collective pour aspirer ces flux et les répartir, frais d’intermédiation déduits. Levés les obstacles - nombreux - de son applicabilité, l’idée de la taxe gérée par Bercy permettrait de faire d’une pierre deux coups : faire payer les gros acteurs du net en France tout en rassurant le SPQN sur cette contribution. Seul hic, le SPQN n’aura pas alors la gestion collective souhaitée. Autre chose, la taxe ne serait pas affectée mais tomberait dans le pot commun du budget de l’Etat.
SEO et taxe
Pour finir, on reprendra les propos dans Libé de Johan Hufnagel (Slate.fr, membre Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne ) « Cette loi, c’est une idée un peu délirante. On en arrive à une aberration totale : les sites dépensent des fortunes pour être mieux référencés que le voisin sur Google, et ils voudraient que Google leur reverse de l’argent ? C’est une rhétorique qui n’a aucun sens. Ou alors, c’est une simple opération de lobbying. »
La taxe sur les liens devient la taxe sur les clics
-
Nouveau droit voisin, nouvelle rémunération
Commentaires (83)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 17/09/2012 à 08h18
Le 17/09/2012 à 08h20
Solution préventive que Google pourrait mettre en place rapidement : désindexer les sites de journaux français ayant un numéro paritaire. Ça mettrait de l’animation pour les discussions " />
Le 17/09/2012 à 08h20
Le 17/09/2012 à 08h21
Je comprend mieux quand les père fondateurs de l’Internet disent que l’Internet est mort.
Les gouvernement de tous les pays en font une machine à business servant à rémunérer les ayant droit, de faire valoir politique , de machine à répression et de surveillance.
On est loin de l’idéologie du départ …
Le 17/09/2012 à 08h21
ils ont “Yes we can”
nous on a “Yes we tax”
Le 17/09/2012 à 08h25
Encore une usine à gaz qui sera inutilisable…
Et sinon, à quand la taxe sur les journaux et sites de presse qui ne font que reprendre des dépêches AFP, Reuteurs et autres?
Ces agences mériteraient une “juste rémunération” alors que des sites copient honteusement leur boulot en changeant deux mots pour faire croire que c’est eux qui l’ont écrit.
Le 17/09/2012 à 08h25
A quel politique il faut envoyer un courrier présentant le fonctionnement du fichier “robot.txt” et donc conclure que c’est un faux problème qui ne servira qu’à leur prendre du temps sur des débats plus important en cette période difficile.
Le 17/09/2012 à 08h25
Le 17/09/2012 à 08h25
Le 17/09/2012 à 08h26
Le 17/09/2012 à 08h30
Le 17/09/2012 à 08h32
Le 17/09/2012 à 08h36
Le 17/09/2012 à 08h41
Je n’aime plus la culture
Je ne veux pas être cultivé
Je veux rester un Boeux !
Je suis exempté de taxes ?
" />
Le 17/09/2012 à 08h42
En contrepartie, nous demandons la création d’un droit voisin qui permettrait de faire payer par les moteurs de recherche une juste rémunération, chaque fois qu’un de nos contenus est indexé.
Et a chaque fois qu’un journal reprend une info parue sur le net, il y aura juste rémunération aussi alors ? " />
Le 17/09/2012 à 08h45
ben google & co ont deux solutions:
on a pas fini de rire, j’aimerais beaucoup avoir la position de Google, Microsoft & co sur le sujet.
edit: autre solution:
Google fait payer les internautes pour avoir les résultats de recherche sur les “mots clés des grands journaux traditionnels”. effet immédiat.
Le 17/09/2012 à 20h24
Le 17/09/2012 à 20h34
Le 17/09/2012 à 20h37
Le 18/09/2012 à 09h06
Ils vont taxer les flux RSS aussi ? " />
Le 19/09/2012 à 14h48
Le 17/09/2012 à 07h53
Ras le bol de financer la culture… Y’a des choses quand même plus urgentes que ça. À chaque fois les “ayants droit” trouvent le moyen de se faire détester un peu plus encore.
Google n’a pas besoin de la presse pour vivre, alors que l’inverse un peu plus (vivre sur Internet, au moins). Que Google désindexe ces journaux et on verra ce qu’ils diront quand ils n’auront plus le même trafic (et donc la même rémunération publicitaire). Aujourd’hui Google se sert du contenu de ces journaux et en contrepartie il leur donne de la visibilité et un trafic plus important. L’échange me semble tout à fait correct, mais non, il leur en faut toujours plus.
Le gouvernement ferrai mieux de s’attaquer aux montages financiers des paradis fiscaux qui permettent à Google de ne payer que 5 millions d’euros d’impôts en France au lieu de 150 millions.
« les mots clés tapés sur les moteurs de recherche sont les mots clés des grands journaux traditionnels donc je crois qu’on a intérêt, car c’est un pilier de la démocratie, à trouver le moyen de permettre à la presse de faire sa mutation numérique. »
Ha bon, les “grands journaux traditionnels” ont le monopole de certains mots ? N’importe quoi…
Le 17/09/2012 à 07h53
Le 17/09/2012 à 07h54
Un tel sujet à troll le lundi matin… qu’est-ce que ca va être vendredi. xD
Le 17/09/2012 à 07h56
Pauvres petits éditeurs de presse " />
Par solidarité, sur Google je ne cliquerai plus que sur des news de journaux ne faisant pas partie du SPQN (Le Parisien par exemple) / des organismes comme Reuter / des sites comme Reflets, Owni, etc… !
Le 17/09/2012 à 07h56
les éditeurs s’engagent à renoncer à leur droit d’interdire l’indexation de leurs contenus par les moteurs de recherche (…) En contrepartie, nous demandons la création d’un droit voisin qui permettrait de faire payer par les moteurs de recherche une juste rémunération, chaque fois qu’un de nos contenus est indexé.
Y’a que moi que ça choque ? " />
Le 17/09/2012 à 07h58
Le 17/09/2012 à 07h59
Le 17/09/2012 à 07h59
Le 17/09/2012 à 08h00
@Neeko : C’est ce qui risque d’arriver effectivement.
@Loeff: Ils le gaspillent à chercher comment en trouver encore d’avantage " />" />
Le 17/09/2012 à 08h03
Le 17/09/2012 à 08h06
Le 17/09/2012 à 08h07
Le 17/09/2012 à 08h07
Le 17/09/2012 à 08h10
Vous vous imaginez si on prenais une taxe a chaque fois qu’on appelait quelqu’un après avoir utilisé les pages jaunes ( il y 15 ans je parle)??
“oui allo, cette appel vous serez facturé 1 euro car vous avez utilisé un annuaire téléphonique et il faut financer la culture!”
C’est tellement absurde. C’est grâce a Google que beaucoup de monde arrive à leur site pour commencer!
Et le gouvernment complice pour gagner plus en bossant moins (pas de blague sarkoziste eh! :))
Le 17/09/2012 à 08h13
Le 17/09/2012 à 08h17
De plus en plus lamentable.
Les gens vont sur leur site grâce a google mais non faudrait que google paye le clic des gens.
Il va y avoir deux solution a ce problème
1- rendre google news payant (je ne pense pas)
2- dire qu’il veule pas payer et laisserons que les liens des sites qui le font gratis
Le 17/09/2012 à 12h25
Le 17/09/2012 à 12h38
je parlais plus dans le sens général
Le 17/09/2012 à 12h43
Le 17/09/2012 à 12h48
Tant qu’à faire, pourquoi pas une taxe sur les images libres de droits pour sauver les photographes professionnels ?
http://linuxfr.org/news/lunion-des-photographes-veut-la-mort-du-libre
Le 17/09/2012 à 12h50
Le 17/09/2012 à 13h03
Et une taxe sur les liens foireux aussi
Il faudrait surtout une taxe sur vos posts inutiles puisque j’avais rectifié le lien dans les secondes qui ont suivi son envoi.
Le 17/09/2012 à 13h12
Le 17/09/2012 à 13h16
« d’un côté, prévient Nathalie Collin, directrice du Nouvel Obs. les éditeurs s’engagent à renoncer à leur droit d’interdire l’indexation de leurs contenus par les moteurs de recherche (…) En contrepartie, nous demandons la création d’un droit voisin qui permettrait de faire payer par les moteurs de recherche une juste rémunération, chaque fois qu’un de nos contenus est indexé. »
Je m’engage à renoncer à mon droit d’interdire la captation de mon temps de lecture à la presse, en contrepartie je demande la création d’un droit voisin qui permettrait de faire payer par la presse une juste rémunération, chaque minute de captation de mon temps de lecture.
Le 17/09/2012 à 13h25
Le 17/09/2012 à 13h36
Le 17/09/2012 à 14h04
Bienvenue en Taxo-Land " />" />" />" />" />
Et les clics des Belges, c’est les Français qui paient ? " /> " />
" />" />" />" />
Le 17/09/2012 à 14h34
Le 17/09/2012 à 16h40
Le 17/09/2012 à 17h55
Taxes cycliques, c’est con (Si clic ? Tu as une claque ! Et cloque, tu auras !) " />
" /> Cliquez ! (" />)
CE CLIC M’A TUER
" />
Le 17/09/2012 à 18h52
Si la connerie, particulièrement celle des ayant-droits, était une richesse, la France serait très certainement la première économie mondiale.
Le 17/09/2012 à 20h10
Il suffit donc que le lien ne soit plus cliquable. Google pourra donc toujours indexé, mais facturera le nombre de clics au propriétaire du site à péage.
Le 17/09/2012 à 07h35
Donc plus on va sur le site de PCi, plus on leur fait gagner de l’argent? Woohoo!
Le 17/09/2012 à 07h42
Et ils vont gérer comment le problème des bots qui cliquent tout seuls sur les liens pour faire rentrer les brouzouffs dans les poches des éditeurs?
Et moi je peux demander un pécule si on va sur mon blog depuis Google? Depuis n’importe quel site?
Va-t-on voir des condition d’utilisations encore plus délirantes que celle parfois en vigueur:
“Vous n’avez pas le droit de faire un lien ma page si vous n’avez pas de numéro du registre des Pilleurs du travail des journalistes qui doivent nous payer beaucoup d’argent parce qu’on sait plus attirer nos clients avec un produit de qualité ou répondant à ses attentes”
Il est temps d’investir dans Benoit
Le 17/09/2012 à 07h44
Le 17/09/2012 à 07h46
Le 17/09/2012 à 07h47
Et si on surfe au clavier on est exempté de taxe ?
Le 17/09/2012 à 07h47
Ou sinon, Google va pas se faire chier, et va déréférencer tous les sites de presse. Tant pis pour Google News, c’est pas le service le plus critique (et ça leur coûtera moins cher).
Du coup, les sites de presse n’auront plus aucune visibilité, et perdrons une quantité d’argent faramineuse, tout en ne touchant aucun centime de Google.
Encore une fois, GG les ayant-droit…
Le 17/09/2012 à 07h47
Le 17/09/2012 à 07h49
Avec toutes les taxes qui existent en France pour financer la Culture, elle est toujours pas sur-financée? Ils en font quoi de tout cet argent?
Le 17/09/2012 à 07h50
les mots clés tapés sur les moteurs de recherche sont les mots clés des grands journaux traditionnels
Cool, une propriété intellectuelle sur les mots-clés spécifiques… balèze " />
« Ce qu’on demande, c’est une rémunération, pas une taxe ».
bah oui sinon on peut peut pas le parasiter peinards en détournant les 3⁄5 à coups d’intermédiaires écran comme nos copains de la culture audiovisuelle (procès d’intention indiqué en dernier paragraphe) " />
Un “juste rémunération” ? qu’entend-on par “juste” ? quelle valeur donne-t-on à l’info ? un article qui reprend texto l’AFP ou Reuter à la mise en forme près a-t-il la même valeur qu’un article de fond avec enquête et tout ?
Le 17/09/2012 à 07h50
Le 17/09/2012 à 07h50
Taxer en France les moteurs et agrégateurs pour financer la Culture
Décidément, se serrer la ceinture, c’est pas pour tout le monde… Peuvent pas faire comme moi, à savoir des économies en diminuant leurs dépenses ?
Le 17/09/2012 à 07h51
A part faire partir de France les gros acteurs du net, ça vas pas servir à grand chose…
Bercy ferait mieux de dire aux journaux de se faire leur propre agrégateur/indexeur de news et de se répartir les revenus dégagés de la pub sur ce site.
C’est quand même pas si compliqué que ça…
Et puis un peu de concurrence à Gnews ne ferait pas de mal.
Le 17/09/2012 à 07h52
Le 17/09/2012 à 07h53
Pourquoi pas faire comme la redevance copie privée en prenant en compte les écrans tactiles, souris, trackpad… ?
On peut estimer avec le MTBF le nombre de clicks moyen, monter la commission qui va bien et mettre derrière une super nébuleuse de répartition.
Le 17/09/2012 à 08h45
Le 17/09/2012 à 08h46
pilier de la démocratie
" />
Ha ? ça fait des dizaines d’années que tous les journaux sont sous contrôle de lobbies politico-financiers. C’est juste que c’est la disparition d’une fausse apparence de démocratie, et la perte de contrôle des informations qui les dérange.
permettre à la presse de faire sa mutation numérique
Internet existe depuis combien d’années déjà ?
Le 17/09/2012 à 08h48
Ils font des réunions, des conférences, des entretiens, des séminaires pour réfléchir sur l’ensemble du sujet. Et pourtant leur vue et leur réflexion sur le sujet sont toujours aussi limitées.
On se demande s’il y a les bons intervenant ou s’ils y réfléchissent réellement…
Le 17/09/2012 à 08h50
Le 17/09/2012 à 08h51
“les sites dépensent des fortunes pour être mieux référencés que le voisin sur Google, et ils voudraient que Google leur reverse de l’argent ? C’est une rhétorique qui n’a aucun sens.”
Etre référencé dans l’index (= google search) et être affiché dans l’agrégateur (= google news), ce sont deux choses différentes.
Le 17/09/2012 à 09h00
Le 17/09/2012 à 09h05
Le 17/09/2012 à 09h40
Le 17/09/2012 à 10h57
A quand l’AdblockBercy ou le NoScriptBercy ?
Le 17/09/2012 à 11h06
À qui appartient la presse quotidienne traditionnelle ?
Je me demande bien pourquoi des industriels investissent dans ce secteur.
Ils pourraient aussi se faire des procès entre eux, tant l’impression de lire les mêmes sujets, traités de la même façon est grande quand on parcourt leurs journaux. Une presse de connivence.
À quand remonte le dernier procès pour plagiat ?
Le 17/09/2012 à 11h13
Le 17/09/2012 à 11h57
Taxe Taxe Taxe Taxe " />
On devrait rebaptiser la France, la Taxemanie ou un truc du genre…
Le 17/09/2012 à 12h12
Cette transformation se constate dans les derniers propos de la ministre de la Culture. « Les menaces sur la presse écrite pénalisent tout le monde. Il faut y remédier, notamment parce que certains sites, des moteurs de recherches issus d’acteurs économiques qui ne sont pas localisés en France et pas fiscalisés en France utilisent, énormément, de matière première issue de la presse numérique » a expliqué la ministre de la Culture dans une interview Aqui.fr-Rue89.
C’est pas un site d’information de presse traditionnelle ce site et pourtant il marche très bien tout comme PCI. Une suggestion à Google et aux autres moteurs de recherches. Déférencer tous les sites de la presse traditionnelle et ne laisser que la presse numérique. Et puis basta….
Le 17/09/2012 à 12h19
Le 17/09/2012 à 12h21
Le 17/09/2012 à 12h23