Avant de passer à l’étude sociologique des pros- et des anti-HCQ, ce serait bien de regarder la réalité.
J’imagine bien que la France, pays de Macron, tombe dans tous les travers du capitalisme et soit totalement vendue aux lobbys de big pharma. Admettons. Mais il doit bien y avoir un pays dans le monde qui ne soit pas vendu, qui utilise donc massivement l’HCQ contre le covid, et qui a un ratio entre nombre de décès et nombre d’infections bien meilleur qu’ailleurs dans le monde. Moi je suis comme Saint Thomas, qu’on me montre un tel cas pratique, et je ne demande qu’à être convaincu par un vrai cas pratique.
Un Saint Thomas qui affirme que l’HCQ n’est active qu’in vitro n’est qu’un faussaire ou un ignare qui fera donc lui-même son travail de recherche parmi tous les pays qui utilisent l’HCQ si le nombre considérable de publications montrant son activité aussi bien in vivo qu’en clinique ne lui est pas suffisant (en supposant qu’il veuille vraiment savoir).
Le
27/04/2021 à
11h
54
loser a dit:
C’est pour traduire en mots simples la notion de rapport bénéfice/risque, qu’énormément de gens ne comprennent pas. Je le constate touts les jours dans mon travail.
Amen. On aurait pu aussi ajouter la confusion du danger avec le risque, mais là on les aurait perdu définitivement.
Le
27/04/2021 à
11h
40
Ce n’est pas ce que montre l’analyse de la littérature. On observe d’ailleurs que la plupart des articles « négatifs » sont reliés à des individus ou des institutions en situation de conflits d’intérêts : en vérité cela n’a rien d’étrange ou de remarquable pour qui connaît un peu le milieu scientifique, mais il est assez amusant de retrouver dans les « anti-HCQ » à peu près tous ceux qu’on se serait attendu pour critiquer l’influence perverse de l’argent, des lobbies, du méchant système capitaliste, etc. Comme quoi l’incohérence intellectuelle et/ou la panique trompent aussi (parfois) l’idéologie…
Le
27/04/2021 à
09h
15
Rien de nouveau, ces cas ne sont même pas considérés comme des effets indésirables puisqu’il n’y a aucun de lien de causalité. Ce sont juste des fluctuations statistiques.
À noter pour ceux qui s’intéressent à la mécanique moléculaire, un excellent exposé sur la dynamique et l’adaptabilité conformationnelle du virus qui illustre le rapport entre les pressions de sélection et les variants. Vers la fin il y a aussi des explications (publiées) sur les effets moléculaires antiviraux de l’HCQ et de l’azithromycine.
Le mot « souveraineté » fleure bon la naphtaline, surtout dans un domaine aussi connecté que le numérique, et l’auteur le prouve en citant comme exemples les pires États antidémocratiques de la planète, mais on n’est pas à une incohérence près : pourquoi supposer que c’est différent chez nous quand la succession de législations et décisions toujours plus liberticides, en particulier sur le volet numérique, fait exactement la même chose (« accentuer leur mainmise sur leur propre population »), certes avec notre lenteur de grenouille pas encore totalement échaudée.
Surtout ne pas s’interroger sur le pourquoi du comment on en est arrivé là : trop d’État depuis trop longtemps, trop de fiscalité confiscatoire, trop de technostructure antidémocratique, trop d’Europe bureaucratique, trop de centralisation et trop d’administration, pas de culture du risque et pas d’esprit d’entreprise (tu sera fonctionnaire mon fils), trop de législation dépassée, trop de réglementation inepte (rayon de courbure des bananes), trop de protection factice, trop de dépense sociale improductive, trop d’imbéciles de prétentieux qui savent mieux que les autres ce qui est bon pour eux, trop de (faux) naïfs qui croient encore que la trajectoire d’une économie se décide à Paris, etc.
Pourquoi regretter qu’il existe des contre-pouvoirs issus de la société civile pour justement maintenir les États à leur place afin de prévenir leur inéluctable dérive autoritaire/totalitaire ? Aurait-on peur que le bon peuple lassé du pain et des jeux se rebelle ? Aurait-on peur de perde son pouvoir de caste et ses privilèges ? Ou est-on jaloux de ceux qui ont des institutions (encore) fonctionnelles qui permettent à leur société de mieux réussir que celle qui s’est encroûtée sur un modèle d’après guerre inadapté ?
Les individus ont soif des libertés qu’on leur retire : on ne peut pas espérer obtenir une économie florissante et par voie de conséquence maintenir une société prospère et unie avec une majorité d’assistés pendant que les rares qui ont encore le courage de trimer et de créer des richesses qu’on leur confisque se font laminer sous les applaudissements d’épouvantails politiques.
Alors oui, « les plus nobles principes du monde ne valent que par l’action », c’est tout l’objet du laissez-faire au sens de laissez-nous faire : vous êtes le problème, pas la solution.
Pourquoi s’intéresser à la technologie en générale, ici numérique ? C’est le propos principal de l’article
Cet article d’opinion aurait pu être intéressant à lire s’il avait été traité de manière plus neutre que noyé dans cette soupe idéologico-politisée qu’il semble difficile pour certains de mettre de côté dès qu’ils sabordent un quelconque sujet.
On pourrait renverser la question : pourquoi faudrait-il s’intéresser à la technologie ? Une réponse est que le numérique n’est qu’un outil, et que comme tout outil il a ses usages et ses usagers. Il n’y a pas de raison a priori de vouloir s’y intéresser.
Mais quand on s’y intéresse, il se créée fatalement des hiérarchies d’individus qui reflètent seulement, au final, leur degré de connaissance et compétence en la matière. C’est pareil dans tous les domaines d’activité humaine.
Et cela rend d’autant plus dommage cette volonté réductrice de tout ramener à une si superficielle opposition manichéenne entre ceux qui savent et ceux qui savent moins ou pas, comme si on considérait que le numérique existait indépendamment du reste de l’environnement culturel, social et économique de tous les autres humains.
Le
17/04/2021 à
08h
23
Il n’y a pas grand chose à comprendre. Une fois retirée la couche de crasse superficielle, c’est une piètre transposition, camouflée par de l’écriture soft et moderne, de l’idéologie marxiste (lutte des classes, prolétariat, exploitation, méchant capitalisme, etc.) avec l’habituelle façade de fausse compassion pour, ici, de soit disant opprimés numériques.
La question intéressante et cruciale de cet amas de mots simpliste et vaguement attrayant – qui n’est que la vieille rengaine rouge sous des habits technophiles et donc supposément dans l’air du temps – n’est que posée :
À l’âge de pierre chaque humain avait-il la capacité de tailler ses silex, de fabriquer armes et outils ou bien un seul sorcier y pourvoyait-il pour toute la tribu ?
pour éviter de la creuser parce que la réponse est évidemment connue, dérangeante et mortelle pour l’encarté marxiste : les gens ne sont pas des tableaux blancs tous identiques, les individus sont différents avec des capacités (mesurables), envies, besoins et compétences différents et variables, et il est donc parfaitement naturel et, en fait, inéluctable qu’il se forme – et qu’il se soit formé tout au long de l’Histoire – des groupes et des hiérarchies d’humains dans les sociétés.
Il est évident que ces groupes et ces hiérarchies, qui coexistent aussi chez beaucoup d’animaux depuis des centaines de millions d’années, peuvent être en concurrence ou compétition pour des raisons simples et évidentes, mais ils ne sont pas nécessairement en conflit, opprimés ou exploités comme le prétend la rhétorique marxiste qui ne repose que sur une vision négative, naïve et dégradante de l’Homme (n’étant uniquement défini que par l’envie, le ressentiment et la jalousie).
Cette concurrence et cette compétition (dont le capitalisme n’est qu’une conséquence) sont le reflet de la dynamique de vie propre à ces groupes/hiérarchies dans leurs divers environnements et donc de leurs trajectoires historiques. Déjà dans le passé cette volonté politico-idéologique à vouloir à tout prix les opposer arbitrairement a justifié de tenter de les réprimer pour les uniformiser (la maladie de l’égalitarisme), ce qui n’est possible que par la force, la violence et la substitution à ces groupes/hiérarchies naturels d’un unique groupe (les élites). On a vu à quoi cela a abouti au XXème siècle.
Bref, une salade de positions passéistes moisies, farcies de déclarations suintant les faux bons sentiments et dégoulinant de politiquement corrects (rouge), parsemées de quelques coulures aux relents putrides d’escrologisme néomalthusien mixé de décroissantisme loufoque mais à la mode, n’en fait pas et de loin un exposé « philosophique », mais un plat déjà vu, goûté et humainement indigeste. Il faut aimer vomir pour avaler de telles couleuvres.
Il n’existe pas à ce jour de meilleure évidence physique et empirique que la théorie radiative réchauffiste est sinon fausse, du moins a un effet si négligeable que non mesurable expérimentalement.
Note que je n’attends pas de réponse autre que tes sempiternelles et grotesques inepties, ce que tu vas te faire une joie de prouver une fois de plus, patientons simplement…
Le
16/04/2021 à
08h
57
(reply:1867928:Idiogène)
1/ Ce n’est pas à moi de prouver ce que je ne soutiens pas. J’ai juste indiqué que des calculs ne sont pas des « mesures » d’émissions. 2/ La rhétorique n’est d’aucun secours ici. 3/ Avec tes démonstrations vaseuses, rien n’est impossible. 4/ Réfléchir avant d’avaler tout cru ce qu’on me présente évite le risque de me faire étouffer… tu devrais y penser.
Rien dans ton article ne contredit ce que j’ai écrit pour la raison qu’il n’y a pas de système global de mesure des émissions : elles sont calculées/modélisées mais pas vérifiées par comparaison in situ. Tu peux aussi consulter les derniers articles de Corinne Le Quéré, la climastrologue spécialiste du sujet (elle travaille à l’université d’East Anglia, celle du Climategate), c’est expliqué dans les sections Méthodologie.
Cela démontre la proportionnalité des modèles. Qu’il y ait des incertitudes est normal.
Raisonnement circulaire : on ne peut pas utiliser les résultats comme tu le fais pour prouver les hypothèses de calculs. . .
Tu vas donc nous expliquer fort justement que l’émission d’EM dans l’atmosphère chauffe les molécules tel un micro onde sans cage de Faraday à des puissances si infimes qu’elles sont proportionellement plus efficace que le CO2 car la vapeur d’eau est le principal contributeur connu avant les modèles numériques que tu contestes ? Pfiou.
Rien d’aussi débile. La figure 5 du SPM d’AR5 indique que sur les 11 forçages climatiques trouvés par l’IPCC (le GIEC en français) 10 sont supposés d’origine humaine. Le seul qui soit naturel (le soleil) est quantifié à ~0 : chez l’IPCC la Nature n’existe pas, ne varie pas.
Qui peut croire cela ? Comment expliquer la variabilité climatique des millions d’années précédentes ? L’IPCC s’en fiche, son mandat n’est que de trouver des preuves de l’activité humaine. Pour ce faire l’IPCC suppose que toute l’augmentation de la T depuis 1750 est due au CO2 rejeté par l’homme et que le CO2 « naturel » n’a pas d’influence, ce qui est là aussi une supposition ad hoc et circulaire.
Comme les modèles ne sont que l’expression formalisée des croyances et du mandat de l’IPCC basés sur les seuls forçages qu’il a soit disant trouvés, ils sont là aussi circulaires car ils ne représentent au final que ce que les modeleurs ont bien voulu y implémenter, c-à-d les seuls forçages anthropiques et rien d’autre. De plus le nombre de paramètres y est tel qu’on peut leur faire dire n’importe quoi.
Toute cette entreprise n’est qu’une vaste fumisterie.
Le
15/04/2021 à
16h
34
(quote:1867821:Idiogène) Non. Lis les mesures du CO2 durant le covid…
La tendance des mesures de la [CO2]atm n’a pas été modifiée. Si tu fais allusion aux émissions de CO2, leurs valeurs variables ne résultent pas de « mesures » mais d’estimations, d’approximations, de calculs et de modélisations, comme souvent en climastrologie, à la fiabilité incertaine.
Les variations calculées pendant l’épisode sanitaire ne disent absolument rien sur la validité de la théorie réchauffiste elle-même, simplement que quand l’activité de l’humanité diminue ses émissions calculées diminuent aussi – la belle affaire dans un monde actionné par les énergies fossiles.
Si tu veux approcher pourquoi cette théorie est bancale, il faut lire les rapports de l’IPCC (ou même seulement le SPM).
Le
15/04/2021 à
14h
27
(reply:1867813:Idiogène)
Du financement direct serait bien trop voyant : jouer sur les motivations des producteurs de résultats que leur autorité tient en laisse (administrative, salariale, hiérarchique, etc.) est ce qui fait toute la simplicité de l’escroquerie. Note que la faute reprochée ici en revient à M. Thatcher pour des raisons de politique intérieure, mais cela ne diminue en rien son erreur de jugement.
Un consensus en matière scientifique est un argument d’autorité (un sophisme) utilisé quand le sous-jacent est branlant, incertain ou inexistant. C’est un pseudo barrage politique pour éviter les questions embarrassantes, d’autant plus facile à avancer que les intéressés aux noms desquels on se réfère ne sont jamais consultés.
Je n’ai pas d’opinion sur ta dernière controverse, en l’état actuel des choses.
Le
15/04/2021 à
13h
48
(reply:1867796:Idiogène) L’existence de biais relatifs à l’origine de son financement a été démontrée depuis longtemps, il y a même des lois contre cette forme de corruption. Mais pas dans tous les domaines, et certainement pas en science : il suffit de voir comment le financement public en climastrologie biaise les résultats selon les desiderata des décideurs qui les financent… pas de problème de conflits d’intérêt ici.
Mais si on se donne la peine et le temps d’approfondir, on peut trouver des réponses satisfaisantes même au milieu de la propagande et désinformation ambiante. En ces temps de mentalité pousse-bouton, c’est trop demander : la plèbe et les zélus veulent une réponse binaire maintenant. Et quand il ne l’ont pas ou quand elle ne leur convient pas, on fait des pseudo débats publics sur des sujets qu’on ne maîtrise pas et dont les résultats sont par définition biaisés.
Cette farce démocratique est considérée comme une Grande Avancée.
Le
15/04/2021 à
13h
04
(reply:1867788:Idiogène)
argumentum ad interventionam si tu préfères, mais ça ne change rien au fait que ta personne m’indiffère comme mon 1er string.
Que veux-tu répondre à un truisme qui soutient qu’une étude qui n’est pas une étude n’est pas une étude à part reconnaître sa totale vacuité cognitive et discursive.
Le
15/04/2021 à
12h
39
(reply:1867780:Idiogène)
Sauf quand il n’y en a pas : intervention ≠ personne.
Le
15/04/2021 à
12h
26
(reply:1867770:Idiogène)
J’ai touché un nerf. Tu devrais moins t’intéresser à ma personne et à ma manière de voir les choses et plutôt commencer à apprendre et à lire sur les divers sujets sur lesquels je commente. Ça éviterait que tout le monde perde son temps à essayer de trouver du sens à tes interventions schizophréniques.
Le
15/04/2021 à
12h
04
(reply:1867757:Idiogène)
Fort heureusement, sur ce sujet, parce que sinon ce ne serait pas des « études ». Tu as le chic pour invoquer des truismes (quand tu as pris tes cachets).
Sur d’autres sujets tout aussi controversés (comme on dit), déverser des tombereaux d’argent des autres pour financer ces fameuses « études » qui concluent à de la settled science est pourtant une habitude. Le coût de ces promenades pseudoscientifiques (se chiffrant en centaines de myards) n’est d’ailleurs l’objet d’aucun problème politique… il est dommage de devoir te le rappeler.
Le
15/04/2021 à
11h
35
« sans mise en perspective scientifique »
Dommage, car à long terme cela pourrait permettre à certains de combler leur lacunes ou réviser leurs croyances. . .
« on ne peut pas démontrer qu’il n’y a pas de risques, on ne pourra jamais […] la science ne peut pas donner une réponse totalement tranchée sur ces questions ».
Absolument, cette vérité qui dérange est générale et bien trop rarement réaffirmée haut et fort par les scientifiques (ne parlons pas des médias et activistes ignares) sur bien d’autres sujets qu’il ne fait malheureusement pas bon aborder car ils ne sont pas halal dans le sujet et que la police de la pensée rôde…
Les sophismes sont plus nettement faciles à repérer en mettant (figurativement) les mots dans la bouche du contradicteur…
Asinus asinum fricat comme dit le proverbe.
Le
15/04/2021 à
11h
54
Tiens un cybersophiste.
Une généralisation n’est pas une universalisation quand elle admet des exceptions (ce que j’ai écrit ci-dessus). Même un attardé devrait être susceptible de le comprendre.
Le
15/04/2021 à
11h
48
(reply:1867742:dvr-x)
On pourrait s’y laisser prendre, de loin. Mais dès que tu te rapproches du centre du pouvoir, même dans un petit village, tu es bien obligé(e) de reconnaître, malgré toute ta bienveillance, qu’ils sont tous pareils et qu’ils ont tous les mêmes réflexes, surtout si tu t’avises à les contredire ou critiquer leur (absence de) décision.
Il existe sans nul doute des exceptions, mais il est difficile de ne pas admettre que le pouvoir corrompt. Pour ma part, jamais je ne prendrai de mandat électoral.
Le
15/04/2021 à
10h
54
(reply:1867725:dvr-x)
Que croyait-elle obtenir ? Sur un tel sujet technique, sa consultation est fatalement biaisée. Sa démarche n’est juste que de la poudre au yeux, une ligne de plus pour son CV électoral.
Dans le milieu politique l’innocence n’a pas sa place, et pour les cerner ils nous forcent à être aussi cynique qu’eux. Il faut donc les exposer.
Merci, toi aussi !
Le
15/04/2021 à
10h
35
(reply:1867721:dvr-x)
L’étiquette est un élément pertinent : tu n’as quand même pas l’angélisme de penser que les décisions prises par les politiques sont indépendantes de leur propre croyance. Surtout avec la carte du parti…
Le
15/04/2021 à
10h
29
(reply:1867713:dvr-x)
Il y a plusieurs raisons : il est inacceptable de présenter dans un article de presse une personnalité politique relativement peu connue sans son étiquette (le cas échéant), c’est la moindre des chose. Ensuite exposer ce rapprochement factuel est de nature à éclairer quels sont les participants ou groupes de participants à cette controverse (ou supposée comme telle). Enfin il est encore permis de donner son avis.
Si cela choque (ou n’étonne pas) que la très grande majorité des anti-5G sont des socialistes/verts/rouges qui se prétendent progressistes, ce n’est pas mon affaire.
Le
15/04/2021 à
09h
51
piwi82 a dit:
Je ne vois pas le rapport entre une étiquette politique et le fait de temporiser afin d’avoir plus d’information sur l’impact sur la santé d’une évolution technique avant de l’adopter.
Il est pourtant enfantin : ~tous les « temporisateurs » sont d’obédience socialiste ou apparentée escrolo/vert/rouge. Il est utile de le rappeler. Les gens sont capables ensuite de faire leur propre jugement sur les soit disant « progressistes », ce que j’ai fait en les qualifiant (fort généreusement) d’obscurantistes. . .
Ou alors ça veut aussi dire que certaines étiquettes politiques adoptent n’importe quoi sans se poser la moindre questions.
Phrase illogique car tu poses comme vrai que cette évolution technique est réellement « n’importe quoi » alors que rien ne le démontre, bien au contraire vu son déploiement universel.
Le
15/04/2021 à
09h
23
(quote:1867681:dvr-x) Marie socialité = écologiste ?
Ton équivalence (bourrée de fautes) ne correspond pas à ce que j’ai écrit.
Si les obscurantistes 5G se retrouvent majoritairement chez les socialistes ou apparentés escrolos/verts/rouges, énoncer ce simple rapprochement factuel ne revient pas à faire un amalgame – ou alors tout est amalgame et on ne peut plus rien dire.
Le
15/04/2021 à
08h
48
Johanna Rolland, maire socialiste de la ville
Rendons à César ce qui lui appartient. Il est bon de rappeler que la très grand majorité des zélus qui ont fait des difficultés pour la 5G, un progrès qui n’est somme toute qu’une banale évolution technique, sont des socialistes ou apparentés escrolos/verts/rouges qui se prétendent « progressistes ».
Orwell aurait pu ajouter à sa tirade bien connue que « l’obscurantisme c’est le progrès ».
(quote:1867716:Idiogène) Ce qui confirme que le prix réel du passé s’ignore volontairement par substitution de sa vêtusté. Hors cette transformation n’est possible que si l’échange subjectif se déroule sur un support involontaire.
Définit « prix réel du passé ». Un prix n’est pas un agent agissant. Le reste n’a pas de sens. . .
Si on créait chacun sa propre monnaie on parlerait d’acteurs économiques rationnels.
Tout à fait. Les épisodes historiques de banques libres (Écosses, USA, etc.) ont d’ailleurs démontré qu’avec ce système la stabilité financière est bien plus élevée qu’avec une monnaie unique. . .
Le tiers est la monnaie… tu n’as toujours pas saisi l’importance de tes prémices.
Un tiers est une personne, pas un objet. Si tu veux te faire comprendre, revois tes définitions.
Le
15/04/2021 à
12h
08
Source demandée plz. :) Et sinon…
tmtisfree a dit:
Tu recommences à faire du charabia sans rapport.
Une subvention n’est pas un investissement, c’est précisément son contraire. Un investissement présuppose une espérance de rentabilité alors que les subventions sont utilisées pour régler une opportunité potentielle de marché erronément confondue en échec.
Tu remarqueras qu’aucune analyse de rentabilité n’est jamais réalisée quand on subventionne : toujours et seulement d’autres considérations sont prises en compte pour en décider. Cela ne veut pas dire que parfois, par un heureux hasard, une subvention n’est pas arbitrairement rentable. Mais c’est l’exception qui confirme la règle…
Ce n’est donc pas une « mythologie » que les milliers de tonnes de béton et de ferraille du socle des éoliennes vont rester sous terre : c’est bien (parfois) d’admettre tes erreurs et ignorances.
Tu es dans l’idélologie primaire là. La subvention, c’est juste un investissement dont l’origine n’est pas directe ou le retour n’est pas forcément identifiable / quantifiable.
Ce n’est donc pas “l’opposé” de l’investissement, juste une notion différente dans les attentes/projections de résultat.
Sur quoi ? Soit plus spécifique.
Le
15/04/2021 à
10h
05
(reply:1867693:Idiogène)
Seulement dans les manuels d’escronomie. Ton affirmation est d’ailleurs une contradiction dans les termes : on découvre seulement des matières premières ou des procédés, la valeur est seulement créée ou échangée car subjective. . .
(reply:1867700:Idiogène)
Merci d’avoir pris tes cachets, tu es presque compréhensible. Mais toujours en retard de 2 siècles. L’ignorance n’est pas une condition, c’est une donnée de l’existence : elle préexiste et la réponse naturelle pour la mitiger est le marché. Le prix n’est, dans un sens, qu’une mesure de la valeur estimée (car intégrée) de cette mitigation.
LOL pour l’oxymore surréaliste de « marché sans tiers » !
Le
15/04/2021 à
09h
35
(reply:1867686:Idiogène)
Tu te fourvoies : il n’y a pas de « nécessité de l’ignorance », il y a seulement trop d’informations parcellaires et disséminées, d’où l’impossibilité de les intégrer autrement que par le marché et avec comme résultat le profit comme mesure et donc comme réponse à la question qui te tourmente.
Les échecs des collectivismes (et plus généralement de toutes les décisions politico-économiques) sont dûs à la non-reconnaissance (volontaire ou non) de cette simple observation.
Le
15/04/2021 à
09h
05
(quote:1867667:Idiogène) C’est une vraie question
… seulement pour les ignares.
Ceux qui ont fait leur travail de recherche ont découvert et savent que le profit est la mesure de la durabilité des mod(èl)es de spécialisation, une métrique qui découle de l’accumulation de l’ensemble des décisions de tous les agents économiques (ce qu’on appelle techniquement le marché).
Quand une entreprise, qui participe à tel ou tel mod(èl)e, fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire. Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive pour le bien des consommateurs, et globalement, pour la société tout entière.
Tel est le cheminement de l’enrichissement global (trickle-up economics). La dure leçon de l’économie est qu’on ne peut pas raisonner localement ou focalement et espérer décider ou conclure globalement.
Le marché est le seul intégrateur qui le permet.
Le
15/04/2021 à
08h
12
Je te laisse faire du surplace contra-discursif et radotant sur ce non-sujet inintéressant. . .
Sigfreid a dit:
“réglementations protectionnistes artificielles” transformé par L’UE en libre échange naturel.
Une rare décision économiquement sensée, mais c’était au temps où les leçons de l’Histoire avaient encore du poids face aux zombis idéologiques.
Le
15/04/2021 à
08h
02
(reply:1867647:Idiogène)
Faire et défaire a toujours été l’apanage des sots myopes incapables de retenir les leçons de l’Histoire. Il n’existe pas « d’accords entre États » en UE puisque la circulation des biens et des personnes est (théoriquement garantie comme étant) libre – et l’unique raison pour laquelle je vends hors France.
Le reste est ton charabia incompréhensible habituel auquel il n’y a rien à répondre.
Le
15/04/2021 à
06h
56
(reply:1867638:Idiogène)
L’UE a supprimé des frontières et réglementations protectionnistes artificielles, c’est tout. Le job est ma responsabilité de production primaire et de vente directe (aucun « d’intermédiaire », tout est vendu aux usines des fabricants alimentaires).
Le
15/04/2021 à
06h
15
(reply:1867606:Idiogène)
Nein, au contraire Mein Herr : les transporteurs sont allemands (et les chauffeurs polonais ou autres nationalités travailleuses), applaudissons les rares bienfaits de l’UE
Le
15/04/2021 à
06h
09
C’est d’autant plus facile quand on est derrière son écran, tu es du genre courageux.
Tu peux citer autant de personne brillante que tu veux, ça te rends pas brillant, ça montre juste que tu sais faire un copier coller bravo ! Et plus tu en mets, plus du tartine de mots qui n’ont aucun sens et plus tu montres le vide ta pensée, alors enjoy !
En tout cas tu es gratiné mais je m’amuse beaucoup avec toi, je t’en remercie.
Tu n’as rien fait d’autre que de débiter une ânerie : « l’économie-n’est-pas-une-science » tout en reconnaissant en même temps™ que les fondements de la discipline (la microéconomie) répondent à tes définitions de la science, ce qui est démonstration – par autoréfutation rien de moins, mais tu ne sembles pas t’en rendre compte – de l’absurdité logique de ton assertion.
Ce que tu semblais vouloir écrire en réalité (on n’est jamais sûr à ce niveau), c’est que l’économie n’est pas une science dure (comme les maths ou la physique), une banalité sociologique si affligeante de superficialité que l’énoncer en public est l’équivalent moral de tenir une pancarte avec inscrit dessus « je suis un crétin et j’en suis fier », ou l’équivalent féminin.
On est à bon droit de se moquer de ce ground zero de la pensée. Pour finir sur une note positive, dis-toi que c’est moins grave que celui/celle qui m’a très sérieusement affirmé un jour ici que « les-maths-ne sont-pas-une-science »…
Note enfin que personne n’a la prétention de convaincre quiconque ici ou ailleurs de quoi que ce soit parce que :
les individus adultes sont censés être responsables d’eux-mêmes pour leur instruction,
on n’est pas à la disposition des autres pour compenser leur fainéantise,
tout ce qui concerne la science est provisionnel (en supposant qu’on discute de science).
Le
14/04/2021 à
14h
05
Sigfreid a dit:
Ce qui gâche c’est les insultes mais bon c’était prévisible.
Tu pensais continuer à insulter l’intelligence, dont la mienne en particulier, avec tes insanités de clown novice, et que j’allais continuer à sagement tendre la joue ?
Quand on tombe sur un crétin ignare à l’égo démesuré – ce n’est pas ce qui manque – et qui l’expose à la main invisible du sens commun, il ne faut pas qu’il s’étonne d’être frappé et qualifié pour ce qu’il est (des fois qu’il se réveille…). Et puis si je ne soigne pas le décorum, qui le fera ?
“Il faut chasser la bêtise parce qu’elle rend bête ceux qui la rencontrent.” — Bertolt Brecht
Le
14/04/2021 à
13h
38
les intrants sur lesquels la tolérance légale est sans doute supérieures à celle pour des cultures destinées à l’alimentation
Les limites (théoriques) sont les mêmes, mais comme on est seulement tenu de respecter une limite moyenne, on peut jouer…
Tu as parfaitement raison sur les biocarburants : c’est une vraie ineptie économique et environnementale qui n’existe que du fait de l’obligation d’en incorporer. On peut tout à fait assimiler cette situation à une rente. Ceci dit, j’ai une usine de biodiesel à côté de chez moi, mais comme le marché alimentaire est plus dynamique, je vend tout à l’export… en Hollande… par camions… qui font le plein au Luxembourg…
Le
14/04/2021 à
12h
38
Mon auteur de SF favori a écrit qu’il ne faut jamais essayer d’apprendre à un cochon de chanter, on perd son temps et ça ennuie le cochon.
Comme il a raison.
Le
14/04/2021 à
12h
35
Sigfreid a dit:
Cite moi une lois économiques qui implique le facteur humain ?
Toutes les lois économiques, par définitions auxquelles je te renvoie plus haut. . .
L’expérimentation en économie ne porte que sur la partie microéconomique, quid de la macroéconomie ?
Tu admets donc qu’il est possible de faire des expérimentation en économie. Comme quoi ta mémoire est aussi courte qu’est grande ton incohérence intellectuelle. Tu te rattrapes sur le sujet au fil de l’eau sur Wikipédia ou quoi ? . .
Il n’y a que toi qui ne les sépare pas, demande à physicien. Je te redonne l’argument, la reproductibilité d’une expérimentation. Pour info l’expérimentation en économie a plus à voir avec la psychologie qu’avec la physique ou les maths.
L’opinion d’untel avec ou sans un diplôme ne fait pas plus autorité que la tienne. Si tu veux expérimenter l’économie, rends-toi où des biens sont proposés à la vente, sélectionnes-en un et règles-le au prix indiqué : tu auras, en plus généralement d’un merci et d’un sourire, expérimentalement vérifié que le marché (une notion pas trop compliquée d’économie même pour un simpleton comme toi) fonctionne. Mais, étant donné tes antécédents peut-être es-tu vraiment trop crétin pour voir le rapport. . .
C’est bien de lire, faut il encore lire autre chose que des bouquins qui valident tes certitudes. Quand au voit la qualité de tes lectures (cf. Ultimate Ressource II), je mets en doute tes capacités à être clairvoyant et avoir le moindre sens critique, inintéressant donc.
J’ai répondu à ton interrogation d’ignare qui se méconnaît comme tel sur le « capital cognitif ». Maintenant que j’ai argumenté en l’illustrant avec plusieurs supports, ton égo d’inculte en est réduit à du pitoyable sophisme digne du niveau bac à sable où tu te complaît…
Comme dirait nos amis anglo-saxons, ce n’est pas en mettant du rouge à lèvre sur un cochon que le cochon va disparaître.
Le
14/04/2021 à
11h
25
À grande échelle (industrielle) toutes ces réactions ne se produisent pas magiquement : il faut de l’énergie et des infrastructures de transport/support/maintenance/décommission (produites comment ?), etc. Bref, cela nécessite une ACV parce que ce qui semble neutre superficiellement ne l’est jamais en pratique.
C’est ainsi que, par ex., l’ADEME montre que les EnRI sont non seulement émettrices nettes de CO2 (pour qui se soucie de ce non-problème – je me fais l’avocat du diable ici), mais qu’elles en émettent plus que l’existant nucléaire.
Le problème avec la biomasse en général est que c’est une solution pire que ce qu’il est censée résoudre.
Le
14/04/2021 à
11h
01
Quand on est un peu sérieux on site ces sources. Dictionnaire Larousse, définition science : “Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d’objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales.” Ca c’est pas l’économie.
Deuxième sens, toujours dans le Larousse : “Connaissance approfondie d’un domaine quelconque, acquise par la réflexion ou l’expérience” Ha voilà c’est la bonne
Donc au final dire que l’économie est une science, c’est au même titre que la science de l’affûtage, la science de tout savoir mais aucun cas, comparable à de la physique, des mathématiques. Moi j’appelle ça de l’enfumage.
Apprends d’abord à lire : mes sources sont en lien.
Rien dans tes définitions n’implique que l’économie n’est pas une science à part entière. Il existe des lois économiques vérifiables expérimentalement/empiriquement (par l’économétrie par ex.) et l’économie possède bien les caractères cité de la 2ème définition de science.
Ta conclusion est juste sophistique : séparer sciences dures et sciences humaines (avec 0 justification ou argument) est une distinction arbitraire sans différence ou fondement épistémologique.
Tu as un parti pris infondé et myope de scientisme, une maladie courante qui se soigne par la lecture. Il y a du travail.
Le
14/04/2021 à
08h
01
(reply:1867429:Idiogène)
Tu as violé l’une et pas quantifié les autres : fais d’abord ton travail de recherche avant de prétendre donner des leçons sur un sujet qui t’échappe.
Le
14/04/2021 à
07h
55
oui en effet ; les docteurs en sciences économiques !!!
On attend toujours ta démonstration de ton affirmation sous forme de vérité ou d’opinion ou de conviction – rayer (le cas échéant) la/les mention(s) inutile(s) – que « l’économie n’est pas une science ». Un peu d’aide pour ta réflexion (voir aussi le sens de ce mot) :
une définition de l’économie : science des phénomènes concernant la production, la distribution et la consommation des richesses, des biens matériels, dans un groupe humain.
une autre définition de l’économie : science sociale qui étudie la production, la répartition, la distribution et la consommation des richesses d’une société.
Il existe aussi le synonyme de science économique.
Le
14/04/2021 à
07h
38
(reply:1867414:Idiogène)
On reconnaît là ton incapacité à discuter correctement quand tu es acculé au pied du mur : tu ne fais que passer du coq encore (à peu près) cohérent à l’âne non sensique et verbiageux, de l’économie non maîtrisée, à la physique ignorante et maintenant une interprétation sociologique fantaisiste…
En plus de réinventer le mouvement perpétuel et d’oublier la 1ère loi (celle de la conservation d’énergie).
On ne peut rester qu’étonnée (ou pas) devant une incompétence aussi fractale exposée en public.
Le
14/04/2021 à
07h
04
Non, l’économie c’est pas mon truc, j’en parle peu. Je laisse ça aux grands génies qui sont à la fois paysans, vetos, pharmaciens, spécialistes du climat et spécialistes en modèles mathématiques appliqués
Ton sophisme me fait penser à cette réflexion de N. Chomsky :
“Dans mon travail scientifique, j’ai touché à une grande variété de champs différents. J’ai beaucoup travaillé en linguistique mathématique, sans avoir de « références » intellectuelles en mathématiques : je suis complètement autodidacte en la matière. Mais j’ai souvent été invité par des universités à parler de linguistique mathématique dans des séminaires de mathématiques. À Harvard par exemple. Personne ne m’a jamais demandé si j’avais des références intellectuelles appropriées pour parler de ces sujets : les mathématiciens s’en moquent, ce qu’ils veulent savoir c’est ce que j’ai à dire. Personne n’est venu, après la conférence, me demander si j’avais un doctorat de mathématiques ou si j’avais suivi des cours d’anthropologie, Cela ne leur venait même pas à l’esprit. Ils voulaient savoir si j’avais tort ou raison, si le sujet était ou non intéressant, s’il y avait moyen de faire mieux — la discussion portait sur le sujet, non sur des certificats. En revanche, constamment, dans les débats politiques concernant l’état de la société ou de la politique étrangère américaine, le Vietnam ou le Moyen-Orient, on m’objectait : quels certificats avez-vous pour parler de ces choses ? Selon les docteurs en sciences politiques, des gens comme moi, considérés comme des outsiders d’un point de vue professionnel, ne sont pas habilités pour en parler. Comparez les mathématiques et les sciences politiques : c’est frappant. En mathématiques, en physique, on se soucie de ce que vous dites, non de vos certificats. Mais pour parler de la réalité sociale, il vous faut des certificats : on ne se soucie pas de ce que vous dites. Bien entendu, c’est parce que les mathématiques et la physique sont des disciplines ayant un contenu intellectuel significatif, ce qui n’est pas le cas des sciences politiques.” — N. Chomsky
Il aurait pu ajouter bien d’autres cas de figure que les « docteurs en sciences politiques »…
Une analyse des recommandations pour différentes idéologies politiques dans sept pays
Sur ce point, il y a du travail : les biais idéologiques de cette firme (elle n’est pas la seule) sont si patents que la décision de se « responsabiliser » s’apparente à leur reconnaissance et/ou à leur camouflage sous la moquette d’un « groupe de travail ».
Ces problèmes d’éthique au long cours deviennent si universellement endémiques qu’il semble légitime que la société civile s’en saisisse pour en décider les principes généraux (un peu à l’image de la loi bioéthique).
La Justice reconnaît donc a minima l’existence de races pour prononcer ses jugements. Sur quelles bases est-elle fondée ?
Il est si facile de contourner ces blocages qu’on s’interroge sur les motivations ayant conduit à les interdire. Pouvoir lire l’ordonnance aurait été intéressant.
Mais on n’arrête pas de nous répéter sur les médias subventionnés et/ou bien pensants que ces prétendues races humaines, contrairement à toutes les autres espèces du règne animal, n’existent en fait pas. Du tout. Jamais. En tout temps. En tout lieu.
On chercherait donc encore sournoisement à nous tromperrrrrrrrrrrrrr ?!?
Heureusement le Conseil d’État veille au grain, la basse-cour bête immonde ne (re)passera pas, fût-elle cachée dans des notes de poulets…
7067 commentaires
Covid-19, vaccins et thromboses : « de quoi parle-t-on ? »
27/04/2021
Le 27/04/2021 à 12h 15
Un Saint Thomas qui affirme que l’HCQ n’est active qu’in vitro n’est qu’un faussaire ou un ignare qui fera donc lui-même son travail de recherche parmi tous les pays qui utilisent l’HCQ si le nombre considérable de publications montrant son activité aussi bien in vivo qu’en clinique ne lui est pas suffisant (en supposant qu’il veuille vraiment savoir).
Le 27/04/2021 à 11h 54
Amen. On aurait pu aussi ajouter la confusion du danger avec le risque, mais là on les aurait perdu définitivement.
Le 27/04/2021 à 11h 40
Ce n’est pas ce que montre l’analyse de la littérature. On observe d’ailleurs que la plupart des articles « négatifs » sont reliés à des individus ou des institutions en situation de conflits d’intérêts : en vérité cela n’a rien d’étrange ou de remarquable pour qui connaît un peu le milieu scientifique, mais il est assez amusant de retrouver dans les « anti-HCQ » à peu près tous ceux qu’on se serait attendu pour critiquer l’influence perverse de l’argent, des lobbies, du méchant système capitaliste, etc. Comme quoi l’incohérence intellectuelle et/ou la panique trompent aussi (parfois) l’idéologie…
Le 27/04/2021 à 09h 15
Rien de nouveau, ces cas ne sont même pas considérés comme des effets indésirables puisqu’il n’y a aucun de lien de causalité. Ce sont juste des fluctuations statistiques.
À noter pour ceux qui s’intéressent à la mécanique moléculaire, un excellent exposé sur la dynamique et l’adaptabilité conformationnelle du virus qui illustre le rapport entre les pressions de sélection et les variants. Vers la fin il y a aussi des explications (publiées) sur les effets moléculaires antiviraux de l’HCQ et de l’azithromycine.
[Tribune] Souveraineté numérique « Les plus nobles principes du monde ne valent que par l’action »
23/04/2021
Le 23/04/2021 à 16h 32
Le mot « souveraineté » fleure bon la naphtaline, surtout dans un domaine aussi connecté que le numérique, et l’auteur le prouve en citant comme exemples les pires États antidémocratiques de la planète, mais on n’est pas à une incohérence près : pourquoi supposer que c’est différent chez nous quand la succession de législations et décisions toujours plus liberticides, en particulier sur le volet numérique, fait exactement la même chose (« accentuer leur mainmise sur leur propre population »), certes avec notre lenteur de grenouille pas encore totalement échaudée.
Surtout ne pas s’interroger sur le pourquoi du comment on en est arrivé là : trop d’État depuis trop longtemps, trop de fiscalité confiscatoire, trop de technostructure antidémocratique, trop d’Europe bureaucratique, trop de centralisation et trop d’administration, pas de culture du risque et pas d’esprit d’entreprise (tu sera fonctionnaire mon fils), trop de législation dépassée, trop de réglementation inepte (rayon de courbure des bananes), trop de protection factice, trop de dépense sociale improductive, trop
d’imbécilesde prétentieux qui savent mieux que les autres ce qui est bon pour eux, trop de (faux) naïfs qui croient encore que la trajectoire d’une économie se décide à Paris, etc.Pourquoi regretter qu’il existe des contre-pouvoirs issus de la société civile pour justement maintenir les États à leur place afin de prévenir leur inéluctable dérive autoritaire/totalitaire ? Aurait-on peur que le bon peuple lassé du pain et des jeux se rebelle ? Aurait-on peur de perde son pouvoir de caste et ses privilèges ? Ou est-on jaloux de ceux qui ont des institutions (encore) fonctionnelles qui permettent à leur société de mieux réussir que celle qui s’est encroûtée sur un modèle d’après guerre inadapté ?
Les individus ont soif des libertés qu’on leur retire : on ne peut pas espérer obtenir une économie florissante et par voie de conséquence maintenir une société prospère et unie avec une majorité d’assistés pendant que les rares qui ont encore le courage de trimer et de créer des richesses qu’on leur confisque se font laminer sous les applaudissements d’épouvantails politiques.
Alors oui, « les plus nobles principes du monde ne valent que par l’action », c’est tout l’objet du laissez-faire au sens de laissez-nous faire : vous êtes le problème, pas la solution.
Connaître les machines, une question d’autonomie pour les humains
16/04/2021
Le 19/04/2021 à 12h 13
Cet article d’opinion aurait pu être intéressant à lire s’il avait été traité de manière plus neutre que noyé dans cette soupe idéologico-politisée qu’il semble difficile pour certains de mettre de côté dès qu’ils
sabordent un quelconque sujet.On pourrait renverser la question : pourquoi faudrait-il s’intéresser à la technologie ? Une réponse est que le numérique n’est qu’un outil, et que comme tout outil il a ses usages et ses usagers. Il n’y a pas de raison a priori de vouloir s’y intéresser.
Mais quand on s’y intéresse, il se créée fatalement des hiérarchies d’individus qui reflètent seulement, au final, leur degré de connaissance et compétence en la matière. C’est pareil dans tous les domaines d’activité humaine.
Et cela rend d’autant plus dommage cette volonté réductrice de tout ramener à une si superficielle opposition manichéenne entre ceux qui savent et ceux qui savent moins ou pas, comme si on considérait que le numérique existait indépendamment du reste de l’environnement culturel, social et économique de tous les autres humains.
Le 17/04/2021 à 08h 23
Il n’y a pas grand chose à comprendre. Une fois retirée la couche de crasse superficielle, c’est une piètre transposition, camouflée par de l’écriture soft et moderne, de l’idéologie marxiste (lutte des classes, prolétariat, exploitation, méchant capitalisme, etc.) avec l’habituelle façade de fausse compassion pour, ici, de soit disant opprimés numériques.
La question intéressante et cruciale de cet amas de mots simpliste et vaguement attrayant – qui n’est que la vieille rengaine rouge sous des habits technophiles et donc supposément dans l’air du temps – n’est que posée :
pour éviter de la creuser parce que la réponse est évidemment connue, dérangeante et mortelle pour l’encarté marxiste : les gens ne sont pas des tableaux blancs tous identiques, les individus sont différents avec des capacités (mesurables), envies, besoins et compétences différents et variables, et il est donc parfaitement naturel et, en fait, inéluctable qu’il se forme – et qu’il se soit formé tout au long de l’Histoire – des groupes et des hiérarchies d’humains dans les sociétés.
Il est évident que ces groupes et ces hiérarchies, qui coexistent aussi chez beaucoup d’animaux depuis des centaines de millions d’années, peuvent être en concurrence ou compétition pour des raisons simples et évidentes, mais ils ne sont pas nécessairement en conflit, opprimés ou exploités comme le prétend la rhétorique marxiste qui ne repose que sur une vision négative, naïve et dégradante de l’Homme (n’étant uniquement défini que par l’envie, le ressentiment et la jalousie).
Cette concurrence et cette compétition (dont le capitalisme n’est qu’une conséquence) sont le reflet de la dynamique de vie propre à ces groupes/hiérarchies dans leurs divers environnements et donc de leurs trajectoires historiques. Déjà dans le passé cette volonté politico-idéologique à vouloir à tout prix les opposer arbitrairement a justifié de tenter de les réprimer pour les uniformiser (la maladie de l’égalitarisme), ce qui n’est possible que par la force, la violence et la substitution à ces groupes/hiérarchies naturels d’un unique groupe (les élites). On a vu à quoi cela a abouti au XXème siècle.
Bref, une salade de positions passéistes moisies, farcies de déclarations suintant les faux bons sentiments et dégoulinant de politiquement corrects (rouge), parsemées de quelques coulures aux relents putrides d’escrologisme néomalthusien mixé de décroissantisme loufoque mais à la mode, n’en fait pas et de loin un exposé « philosophique », mais un plat déjà vu, goûté et humainement indigeste. Il faut aimer vomir pour avaler de telles couleuvres.
Près de 13 000 sites 5G en service, moins d’un quart en 3,5 GHz
15/04/2021
Le 16/04/2021 à 09h 24
Oh mais je suis tout à fait d’accord. D’ailleurs on peut calculer avec moins de 2 % d’erreur par rapport aux T mesurées (voir table 2) les Tmoy atmosphériques de la plupart des objets planétaires en possédant une (d’atmosphère), et donc aussi un gradient (ou profil) de température vertical dérivant de leur gravité, en computant seulement les propriétés d’état (pression, volume) des gaz indépendamment de leur concentration en utilisant la simple dérivée molaire de l’équation d’état des gaz parfaits PV=nRT (ou de son homologue généralisée qui donne les mêmes résultats).
Il n’existe pas à ce jour de meilleure évidence physique et empirique que la théorie radiative réchauffiste est sinon fausse, du moins a un effet si négligeable que non mesurable expérimentalement.
Note que je n’attends pas de réponse autre que tes sempiternelles et grotesques inepties, ce que tu vas te faire une joie de prouver une fois de plus, patientons simplement…
Le 16/04/2021 à 08h 57
1/ Ce n’est pas à moi de prouver ce que je ne soutiens pas. J’ai juste indiqué que des calculs ne sont pas des « mesures » d’émissions.
2/ La rhétorique n’est d’aucun secours ici.
3/ Avec tes démonstrations vaseuses, rien n’est impossible.
4/ Réfléchir avant d’avaler tout cru ce qu’on me présente évite le risque de me faire étouffer… tu devrais y penser.
Le 16/04/2021 à 07h 28
Rien dans ton article ne contredit ce que j’ai écrit pour la raison qu’il n’y a pas de système global de mesure des émissions : elles sont calculées/modélisées mais pas vérifiées par comparaison in situ. Tu peux aussi consulter les derniers articles de Corinne Le Quéré, la climastrologue spécialiste du sujet (elle travaille à l’université d’East Anglia, celle du Climategate), c’est expliqué dans les sections Méthodologie.
Un simple modèle physique validé empiriquement par le suivi de la teneur en carbone 14 atmosphérique contredit d’ailleurs ces calculs et les affirmations subséquentes de l’IPCC.
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Raisonnement circulaire : on ne peut pas utiliser les résultats comme tu le fais pour prouver les hypothèses de calculs.
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Rien d’aussi débile. La figure 5 du SPM d’AR5 indique que sur les 11 forçages climatiques trouvés par l’IPCC (le GIEC en français) 10 sont supposés d’origine humaine. Le seul qui soit naturel (le soleil) est quantifié à ~0 : chez l’IPCC la Nature n’existe pas, ne varie pas.
Qui peut croire cela ? Comment expliquer la variabilité climatique des millions d’années précédentes ? L’IPCC s’en fiche, son mandat n’est que de trouver des preuves de l’activité humaine. Pour ce faire l’IPCC suppose que toute l’augmentation de la T depuis 1750 est due au CO2 rejeté par l’homme et que le CO2 « naturel » n’a pas d’influence, ce qui est là aussi une supposition ad hoc et circulaire.
Comme les modèles ne sont que l’expression formalisée des croyances et du mandat de l’IPCC basés sur les seuls forçages qu’il a soit disant trouvés, ils sont là aussi circulaires car ils ne représentent au final que ce que les modeleurs ont bien voulu y implémenter, c-à-d les seuls forçages anthropiques et rien d’autre. De plus le nombre de paramètres y est tel qu’on peut leur faire dire n’importe quoi.
Il ne faut donc pas s’étonner que leurs projections soient si biaisées et erronées.
Toute cette entreprise n’est qu’une vaste fumisterie.
Le 15/04/2021 à 16h 34
La tendance des mesures de la [CO2]atm n’a pas été modifiée. Si tu fais allusion aux émissions de CO2, leurs valeurs variables ne résultent pas de « mesures » mais d’estimations, d’approximations, de calculs et de modélisations, comme souvent en climastrologie, à la fiabilité incertaine.
Les variations calculées pendant l’épisode sanitaire ne disent absolument rien sur la validité de la théorie réchauffiste elle-même, simplement que quand l’activité de l’humanité diminue ses émissions calculées diminuent aussi – la belle affaire dans un monde actionné par les énergies fossiles.
Si tu veux approcher pourquoi cette théorie est bancale, il faut lire les rapports de l’IPCC (ou même seulement le SPM).
Le 15/04/2021 à 14h 27
Du financement direct serait bien trop voyant : jouer sur les motivations des producteurs de résultats que leur autorité tient en laisse (administrative, salariale, hiérarchique, etc.) est ce qui fait toute la simplicité de l’escroquerie. Note que la faute reprochée ici en revient à M. Thatcher pour des raisons de politique intérieure, mais cela ne diminue en rien son erreur de jugement.
Un consensus en matière scientifique est un argument d’autorité (un sophisme) utilisé quand le sous-jacent est branlant, incertain ou inexistant. C’est un pseudo barrage politique pour éviter les questions embarrassantes, d’autant plus facile à avancer que les intéressés aux noms desquels on se réfère ne sont jamais consultés.
Sur l’hypothèse réchauffiste, les prédictions sont ridiculement erronées.
Je n’ai pas d’opinion sur ta dernière controverse, en l’état actuel des choses.
Le 15/04/2021 à 13h 48
Mais si on se donne la peine et le temps d’approfondir, on peut trouver des réponses satisfaisantes même au milieu de la propagande et désinformation ambiante. En ces temps de mentalité pousse-bouton, c’est trop demander : la plèbe et les zélus veulent une réponse binaire maintenant. Et quand il ne l’ont pas ou quand elle ne leur convient pas, on fait des pseudo débats publics sur des sujets qu’on ne maîtrise pas et dont les résultats sont par définition biaisés.
Cette farce démocratique est considérée comme une Grande Avancée.
Le 15/04/2021 à 13h 04
argumentum ad interventionam si tu préfères, mais ça ne change rien au fait que ta personne m’indiffère comme mon 1er string.
Que veux-tu répondre à un truisme qui soutient qu’une étude qui n’est pas une étude n’est pas une étude à part reconnaître sa totale vacuité cognitive et discursive.
Le 15/04/2021 à 12h 39
Sauf quand il n’y en a pas : intervention ≠ personne.
Le 15/04/2021 à 12h 26
J’ai touché un nerf. Tu devrais moins t’intéresser à ma personne et à ma manière de voir les choses et plutôt commencer à apprendre et à lire sur les divers sujets sur lesquels je commente. Ça éviterait que tout le monde perde son temps à essayer de trouver du sens à tes interventions schizophréniques.
Le 15/04/2021 à 12h 04
Fort heureusement, sur ce sujet, parce que sinon ce ne serait pas des « études ». Tu as le chic pour invoquer des truismes (quand tu as pris tes cachets).
Sur d’autres sujets tout aussi controversés (comme on dit), déverser des tombereaux d’argent des autres pour financer ces fameuses « études » qui concluent à de la settled science est pourtant une habitude. Le coût de ces promenades pseudoscientifiques (se chiffrant en centaines de myards) n’est d’ailleurs l’objet d’aucun problème politique… il est dommage de devoir te le rappeler.
Le 15/04/2021 à 11h 35
Dommage, car à long terme cela pourrait permettre à certains de combler leur lacunes ou réviser leurs croyances.
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Absolument, cette vérité qui dérange est générale et bien trop rarement réaffirmée haut et fort par les scientifiques (ne parlons pas des médias et activistes ignares) sur bien d’autres sujets qu’il ne fait malheureusement pas bon aborder car ils ne sont pas
halaldans le sujet et que la police de la pensée rôde…Nantes autorise la 5G sous conditions ; Bouygues Telecom, Orange et SFR ouvrent leur réseau
15/04/2021
Le 15/04/2021 à 12h 35
Les sophismes sont plus nettement faciles à repérer en mettant (figurativement) les mots dans la bouche du contradicteur…
Asinus asinum fricat comme dit le proverbe.
Le 15/04/2021 à 11h 54
Tiens un cybersophiste.
Une généralisation n’est pas une universalisation quand elle admet des exceptions (ce que j’ai écrit ci-dessus). Même un attardé devrait être susceptible de le comprendre.
Le 15/04/2021 à 11h 48
On pourrait s’y laisser prendre, de loin. Mais dès que tu te rapproches du centre du pouvoir, même dans un petit village, tu es bien obligé(e) de reconnaître, malgré toute ta bienveillance, qu’ils sont tous pareils et qu’ils ont tous les mêmes réflexes, surtout si tu t’avises à les contredire ou critiquer leur (absence de) décision.
Il existe sans nul doute des exceptions, mais il est difficile de ne pas admettre que le pouvoir corrompt. Pour ma part, jamais je ne prendrai de mandat électoral.
Le 15/04/2021 à 10h 54
Que croyait-elle obtenir ? Sur un tel sujet technique, sa consultation est fatalement biaisée. Sa démarche n’est juste que de la poudre au yeux, une ligne de plus pour son CV électoral.
Dans le milieu politique l’innocence n’a pas sa place, et pour les cerner ils nous forcent à être aussi cynique qu’eux. Il faut donc les exposer.
Merci, toi aussi !
Le 15/04/2021 à 10h 35
L’étiquette est un élément pertinent : tu n’as quand même pas l’angélisme de penser que les décisions prises par les politiques sont indépendantes de leur propre croyance. Surtout avec la carte du parti…
Le 15/04/2021 à 10h 29
Il y a plusieurs raisons : il est inacceptable de présenter dans un article de presse une personnalité politique relativement peu connue sans son étiquette (le cas échéant), c’est la moindre des chose. Ensuite exposer ce rapprochement factuel est de nature à éclairer quels sont les participants ou groupes de participants à cette controverse (ou supposée comme telle). Enfin il est encore permis de donner son avis.
Si cela choque (ou n’étonne pas) que la très grande majorité des anti-5G sont des socialistes/verts/rouges qui se prétendent progressistes, ce n’est pas mon affaire.
Le 15/04/2021 à 09h 51
Il est pourtant enfantin : ~tous les « temporisateurs » sont d’obédience socialiste ou apparentée escrolo/vert/rouge. Il est utile de le rappeler. Les gens sont capables ensuite de faire leur propre jugement sur les soit disant « progressistes », ce que j’ai fait en les qualifiant (fort généreusement) d’obscurantistes.
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Phrase illogique car tu poses comme vrai que cette évolution technique est réellement « n’importe quoi » alors que rien ne le démontre, bien au contraire vu son déploiement universel.
Le 15/04/2021 à 09h 23
Ton équivalence (bourrée de fautes) ne correspond pas à ce que j’ai écrit.
Si les obscurantistes 5G se retrouvent majoritairement chez les socialistes ou apparentés escrolos/verts/rouges, énoncer ce simple rapprochement factuel ne revient pas à faire un amalgame – ou alors tout est amalgame et on ne peut plus rien dire.
Le 15/04/2021 à 08h 48
Rendons à César ce qui lui appartient. Il est bon de rappeler que la très grand majorité des zélus qui ont fait des difficultés pour la 5G, un progrès qui n’est somme toute qu’une banale évolution technique, sont des socialistes ou apparentés escrolos/verts/rouges qui se prétendent « progressistes ».
Orwell aurait pu ajouter à sa tirade bien connue que « l’obscurantisme c’est le progrès ».
Des chercheurs font un pas vers la « production industrielle d’hydrocarbures biosourcés »
13/04/2021
Le 15/04/2021 à 12h 17
Définit « prix réel du passé ». Un prix n’est pas un agent agissant. Le reste n’a pas de sens.
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Tout à fait. Les épisodes historiques de banques libres (Écosses, USA, etc.) ont d’ailleurs démontré qu’avec ce système la stabilité financière est bien plus élevée qu’avec une monnaie unique.
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Un tiers est une personne, pas un objet. Si tu veux te faire comprendre, revois tes définitions.
Le 15/04/2021 à 12h 08
Sur quoi ? Soit plus spécifique.
Le 15/04/2021 à 10h 05
Seulement dans les manuels d’escronomie. Ton affirmation est d’ailleurs une contradiction dans les termes : on découvre seulement des matières premières ou des procédés, la valeur est seulement créée ou échangée car subjective.
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Merci d’avoir pris tes cachets, tu es presque compréhensible. Mais toujours en retard de 2 siècles. L’ignorance n’est pas une condition, c’est une donnée de l’existence : elle préexiste et la réponse naturelle pour la mitiger est le marché. Le prix n’est, dans un sens, qu’une mesure de la valeur estimée (car intégrée) de cette mitigation.
LOL pour l’oxymore surréaliste de « marché sans tiers » !
Le 15/04/2021 à 09h 35
Tu te fourvoies : il n’y a pas de « nécessité de l’ignorance », il y a seulement trop d’informations parcellaires et disséminées, d’où l’impossibilité de les intégrer autrement que par le marché et avec comme résultat le profit comme mesure et donc comme réponse à la question qui te tourmente.
Les échecs des collectivismes (et plus généralement de toutes les décisions politico-économiques) sont dûs à la non-reconnaissance (volontaire ou non) de cette simple observation.
Le 15/04/2021 à 09h 05
… seulement pour les ignares.
Ceux qui ont fait leur travail de recherche ont découvert et savent que le profit est la mesure de la durabilité des mod(èl)es de spécialisation, une métrique qui découle de l’accumulation de l’ensemble des décisions de tous les agents économiques (ce qu’on appelle techniquement le marché).
Quand une entreprise, qui participe à tel ou tel mod(èl)e, fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire. Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive pour le bien des consommateurs, et globalement, pour la société tout entière.
Tel est le cheminement de l’enrichissement global (trickle-up economics). La dure leçon de l’économie est qu’on ne peut pas raisonner localement ou focalement et espérer décider ou conclure globalement.
Le marché est le seul intégrateur qui le permet.
Le 15/04/2021 à 08h 12
Je te laisse faire du surplace contra-discursif et radotant sur ce non-sujet inintéressant.
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Une rare décision économiquement sensée, mais c’était au temps où les leçons de l’Histoire avaient encore du poids face aux zombis idéologiques.
Le 15/04/2021 à 08h 02
Faire et défaire a toujours été l’apanage des sots myopes incapables de retenir les leçons de l’Histoire. Il n’existe pas « d’accords entre États » en UE puisque la circulation des biens et des personnes est (théoriquement garantie comme étant) libre – et l’unique raison pour laquelle je vends hors France.
Le reste est ton charabia incompréhensible habituel auquel il n’y a rien à répondre.
Le 15/04/2021 à 06h 56
L’UE a supprimé des frontières et réglementations protectionnistes artificielles, c’est tout. Le job est ma responsabilité de production primaire et de vente directe (aucun « d’intermédiaire », tout est vendu aux usines des fabricants alimentaires).
Le 15/04/2021 à 06h 15
Nein, au contraire Mein Herr : les transporteurs sont allemands (et les chauffeurs polonais ou autres nationalités travailleuses), applaudissons les rares bienfaits de l’UE
Le 15/04/2021 à 06h 09
Tu n’as rien fait d’autre que de débiter une ânerie : « l’économie-n’est-pas-une-science » tout en reconnaissant en même temps™ que les fondements de la discipline (la microéconomie) répondent à tes définitions de la science, ce qui est démonstration – par autoréfutation rien de moins, mais tu ne sembles pas t’en rendre compte – de l’absurdité logique de ton assertion.
Ce que tu semblais vouloir écrire en réalité (on n’est jamais sûr à ce niveau), c’est que l’économie n’est pas une science dure (comme les maths ou la physique), une banalité sociologique si affligeante de superficialité que l’énoncer en public est l’équivalent moral de tenir une pancarte avec inscrit dessus « je suis un crétin et j’en suis fier », ou l’équivalent féminin.
On est à bon droit de se moquer de ce ground zero de la pensée. Pour finir sur une note positive, dis-toi que c’est moins grave que celui/celle qui m’a très sérieusement affirmé un jour ici que « les-maths-ne sont-pas-une-science »…
Note enfin que personne n’a la prétention de convaincre quiconque ici ou ailleurs de quoi que ce soit parce que :
Le 14/04/2021 à 14h 05
Tu pensais continuer à insulter l’intelligence, dont la mienne en particulier, avec tes insanités de clown novice, et que j’allais continuer à sagement tendre la joue ?
Quand on tombe sur un crétin ignare à l’égo démesuré – ce n’est pas ce qui manque – et qui l’expose à la main invisible du sens commun, il ne faut pas qu’il s’étonne d’être frappé et qualifié pour ce qu’il est (des fois qu’il se réveille…). Et puis si je ne soigne pas le décorum, qui le fera ?
Le 14/04/2021 à 13h 38
Les limites (théoriques) sont les mêmes, mais comme on est seulement tenu de respecter une limite moyenne, on peut jouer…
Tu as parfaitement raison sur les biocarburants : c’est une vraie ineptie économique et environnementale qui n’existe que du fait de l’obligation d’en incorporer. On peut tout à fait assimiler cette situation à une rente. Ceci dit, j’ai une usine de biodiesel à côté de chez moi, mais comme le marché alimentaire est plus dynamique, je vend tout à l’export… en Hollande… par camions… qui font le plein au Luxembourg…
Le 14/04/2021 à 12h 38
Mon auteur de SF favori a écrit qu’il ne faut jamais essayer d’apprendre à un cochon de chanter, on perd son temps et ça ennuie le cochon.
Comme il a raison.
Le 14/04/2021 à 12h 35
Toutes les lois économiques, par définitions auxquelles je te renvoie plus haut.
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Tu admets donc qu’il est possible de faire des expérimentation en économie. Comme quoi ta mémoire est aussi courte qu’est grande ton incohérence intellectuelle. Tu te rattrapes sur le sujet au fil de l’eau sur Wikipédia ou quoi ?
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L’opinion d’untel avec ou sans un diplôme ne fait pas plus autorité que la tienne. Si tu veux expérimenter l’économie, rends-toi où des biens sont proposés à la vente, sélectionnes-en un et règles-le au prix indiqué : tu auras, en plus généralement d’un merci et d’un sourire, expérimentalement vérifié que le marché (une notion pas trop compliquée d’économie même pour un simpleton comme toi) fonctionne. Mais, étant donné tes antécédents peut-être es-tu vraiment trop crétin pour voir le rapport.
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J’ai répondu à ton interrogation d’ignare qui se méconnaît comme tel sur le « capital cognitif ». Maintenant que j’ai argumenté en l’illustrant avec plusieurs supports, ton égo d’inculte en est réduit à du pitoyable sophisme digne du niveau bac à sable où tu te complaît…
Comme dirait nos amis anglo-saxons, ce n’est pas en mettant du rouge à lèvre sur un cochon que le cochon va disparaître.
Le 14/04/2021 à 11h 25
À grande échelle (industrielle) toutes ces réactions ne se produisent pas magiquement : il faut de l’énergie et des infrastructures de transport/support/maintenance/décommission (produites comment ?), etc. Bref, cela nécessite une ACV parce que ce qui semble neutre superficiellement ne l’est jamais en pratique.
C’est ainsi que, par ex., l’ADEME montre que les EnRI sont non seulement émettrices nettes de CO2 (pour qui se soucie de ce non-problème – je me fais l’avocat du diable ici), mais qu’elles en émettent plus que l’existant nucléaire.
Le problème avec la biomasse en général est que c’est une solution pire que ce qu’il est censée résoudre.
Le 14/04/2021 à 11h 01
Apprends d’abord à lire : mes sources sont en lien.
Rien dans tes définitions n’implique que l’économie n’est pas une science à part entière. Il existe des lois économiques vérifiables expérimentalement/empiriquement (par l’économétrie par ex.) et l’économie possède bien les caractères cité de la 2ème définition de science.
Ta conclusion est juste sophistique : séparer sciences dures et sciences humaines (avec 0 justification ou argument) est une distinction arbitraire sans différence ou fondement épistémologique.
Tu as un parti pris infondé et myope de scientisme, une maladie courante qui se soigne par la lecture. Il y a du travail.
Le 14/04/2021 à 08h 01
Tu as violé l’une et pas quantifié les autres : fais d’abord ton travail de recherche avant de prétendre donner des leçons sur un sujet qui t’échappe.
Le 14/04/2021 à 07h 55
On attend toujours ta démonstration de ton affirmation sous forme de vérité ou d’opinion ou de conviction – rayer (le cas échéant) la/les mention(s) inutile(s) – que « l’économie n’est pas une science ». Un peu d’aide pour ta réflexion (voir aussi le sens de ce mot) :
Il existe aussi le synonyme de science économique.
Le 14/04/2021 à 07h 38
On reconnaît là ton incapacité à discuter correctement quand tu es acculé au pied du mur : tu ne fais que passer du coq encore (à peu près) cohérent à l’âne non sensique et verbiageux, de l’économie non maîtrisée, à la physique ignorante et maintenant une interprétation sociologique fantaisiste…
En plus de réinventer le mouvement perpétuel et d’oublier la 1ère loi (celle de la conservation d’énergie).
On ne peut rester qu’étonnée (ou pas) devant une incompétence aussi fractale exposée en public.
Le 14/04/2021 à 07h 04
Ton sophisme me fait penser à cette réflexion de N. Chomsky :
Il aurait pu ajouter bien d’autres cas de figure que les « docteurs en sciences politiques »…
Twitter détaille sa vision du machine learning « responsable »
15/04/2021
Le 15/04/2021 à 08h 35
Sur ce point, il y a du travail : les biais idéologiques de cette firme (elle n’est pas la seule) sont si patents que la décision de se « responsabiliser » s’apparente à leur reconnaissance et/ou à leur camouflage sous la moquette d’un « groupe de travail ».
Ces problèmes d’éthique au long cours deviennent si universellement endémiques qu’il semble légitime que la société civile s’en saisisse pour en décider les principes généraux (un peu à l’image de la loi bioéthique).
Les FAI doivent bloquer le site raciste democratieparticipative.link
15/04/2021
Le 15/04/2021 à 08h 18
La Justice reconnaît donc a minima l’existence de races pour prononcer ses jugements. Sur quelles bases est-elle fondée ?
Il est si facile de contourner ces blocages qu’on s’interroge sur les motivations ayant conduit à les interdire. Pouvoir lire l’ordonnance aurait été intéressant.
Le Conseil d’État annule partiellement le décret GendNotes
14/04/2021
Le 14/04/2021 à 08h 12
« prétendue origine raciale » ???
Mais on n’arrête pas de nous répéter sur les médias subventionnés et/ou bien pensants que ces prétendues races humaines, contrairement à toutes les autres espèces du règne animal, n’existent en fait pas. Du tout. Jamais. En tout temps. En tout lieu.
On chercherait donc encore sournoisement à nous tromperrrrrrrrrrrrrr ?!?
Heureusement le Conseil d’État veille au grain, la
basse-courbête immonde ne (re)passera pas, fût-elle cachée dans des notes de poulets…