coolspot a écrit :



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Franchement moi je serais le gouvernement j’instaurerai une taxe au pro rata des années d’évasion et des aventure.



non parce que les trou duc d’étudiant qui s’exile à l’étrangers une fois leur études subventionné dans des pays ou tu peut choisir tes impôts comme les USA et qui reviennent 10 ans après dès qu’ils ont leur premier gosse pour profiter des subvention en ayant engranger 10 ans d’économies sans payer d’impôts c’est tout simplement scandaleux.



Donc deux choix, soit on leur enlève leur droit de subvention au pro rata des années d’avasion fiscale qu’ils ont eu et ils payent tout (école/creche/soins etc…) soit ben ils conservent leur droit mais paye une surtaxe d’impôts au pro rata des années d’évasion fiscales.



Il y aura deux conséquences soit ces étudiants ne partiront plus et donc le pays aura le retour d’investissement des années de subvention de ces étudiants soit ben ces étudiants partiront sans revenir et bon débarras parce que le pays n’aura pas leur gosse/retraite/santé à charge qui plombent les finances.



Parce que sérieux les étudiants qui se barrent une fois leur études subventionner par l’État pour revenir en France 10 ans plus tard avec leur gosse en ayant donc pratiquer de l’évasion fiscale et qui en plus crache sur la France, je leur fais un gros doigt façon Linus Torvald.







Fraudait peut être te calmer mon gars….

• Tu veux qu’on parle de ces thésards qui ne trouvent pas de boulot en France et sont obligés de s’exiler aux USA ou au Canada ? Rester en France = RSA pour eux… Alors OUI ils préfèrent se barrer, alors va donc gueuler sur le CNRS and co et non pas sur eux qui aimeraient bien bosser décemment en France, pays où réside leur famille.
  
  
  
  
  
  • Tu veux parler de ces étudiants partis finir leur formation sous d’autres cieux car la France est incapable de leur offrir une formation pointue ? Et tu t’étonnes qu’une fois diplômé ils restent à l’étranger où, alors qu’ils ne sont pas encore diplômé, on leur propose déjà un salaire triple de ce qu’on daignerait leur offrir en France après 1 an de recherche d’emploi et 20 entretiens ?
    
  
  


• Tu veux parler des étudiants étrangers qui diplôme en poche rentrent chez eux, comme Erasmus ?
  
  
  
  Si la France n’est pas capable de m’offrir un boulot avec un salaire décent à la fin de mes études pourquoi devrais-je rester ? Donc désolé si au lieu de survivre en faisant des hamburgers chez Mc Do je préfère m’éclater ailleurs…

RaYz a écrit :



Ouai bon alors là va falloir me dire laquelle. Ca doit vraiment être des secteurs de niche. Puis s’ils l’ont commencée je vois pas pourquoi ils pourraient pas la finir " />







L’exemple le plus proche: ma moitié. Après Sciences-Po Paris et un DEA elle s’est barrée aux USA pour parfaire sa formation. Aujourd’hui elle travaille à la préparation du prochain G20.



Basiquement dans les domaines technologiques, comme aérospatial par exemple car les universités américaine sont très largement subventionné par le secteur privé et l’administration US qui passent des contrats de recherche et de conception (le système de guidage d’Apollo a été conçu au MIT). Cela injecte un pogon fou et permet d’avoir des laboratoires très bien équipés. ¹⁄₃ des profils d’aile des avions sortent du Caltech (California Institute of Technology) et en 1930 Purdue offrait déjà une formation aéronautique et possédait même son propre aéroport et ses avions (accessoirement le premier et le dernier homme à avoir marché sur la lune sont diplômés de Purdue). Pour tout ce qui en est des nanotechnologies je ne me prononce pas, ne sachant pas à quel stade se trouve lest universités françaises.



Mais aussi d’autres bien plus triviaux comme les écoles vétérinaires. Je peux te dire qu’après avoir visité la NCSU (classée 3ème meilleure école véto aux USA), une école vétérinaire française comme Maisons-Alfort (la 1ère en France) ressemble plus à un chenil de la SPA qu’à une école véto à la pointe de la technologie.



Accessoirement j’ai aussi une amie étrangère qui s’est faite reconduire à la frontière - avec une interdiction de séjour de 3 ans - en plein trimestre car alors étudiante elle était aussi assistante du prof. L’administration française a considéré cela comme un boulot incompatible avec son visa étudiant et l’a expulsé. Aujourd’hui après avoir fait de la recherche elle est en résidanat aux USA dans une très bonne université. Elle y restera sans doute une fois diplômée. L’art et la manière de se priver d’un chirurgien de talent…