Pourquoi la justice a imposé à Google de filtrer les images de Max Mosley
Il est ivre, Max
Le 07 novembre 2013 à 13h45
7 min
Droit
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Après avoir obtenu une copie du jugement rendu hier par le tribunal de grande instance de Paris au sujet de l'affaire « Max Mosley vs Google », PC INpact revient sur cette décision.
Comme nous l’expliquions ce matin, les déboires de Max Mosley ont débuté en 2008, lorsque le tabloïd britannique « News of the World » révèle une vidéo de lui en train de s’adonner à une séance sado-masochiste, et ce en la charmante compagnie de cinq prostituées. Celui qui est alors le patron de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) va devant les tribunaux, afin d’obtenir le retrait des images issues de ce film, mais aussi - et surtout - l’interdiction de leur diffusion. Le Britannique obtient ainsi gain de cause en France comme au Royaume-Uni, où les juges considèrent que ces images portent atteinte à son droit à la vie privée.
L’affaire aurait pu s’en arrêter là. Sauf que les images extraites de la vidéo ont continué de se répandre sur la toile, se retrouvant notamment sur Google Images, le moteur dédié du géant de l’internet. Max Mosley commence alors à utiliser la procédure habituelle pour exiger le déréférencement de certaines images : il transmet à Google les URL dont il estime qu’elles servent à diffuser des images illicites car attentatoires à sa vie privée. Entre juin 2009 et décembre 2010, il transmet de cette manière 21 requêtes à la firme de Mountain View.
Mais le 28 décembre 2010, le Britannique écrit à Eric Schmidt, président exécutif de Google, ainsi qu’à Google Inc. et Google France. Las d’avoir à signaler sans cesse la réapparition des images litigieuses, il veut que la société américaine prenne les devants. Comment ? En empêchant tout simplement leur réapparition future. La firme de Mountain View ne veut cependant pas entendre parler d’un tel filtrage, et répond début janvier 2011 à Max Mosley qu’elle refuse d’effectuer « une surveillance a priori des contenus qu’elle indexe ».
Réplique de l’intéressé : il assigne Google Inc. et Google France auprès du tribunal de grande instance de Paris. En l’occurrence, Max Mosley souhaite que la justice ordonne à Google de retirer puis d’empêcher l’apparition dans Google Images de neuf images (extraites de la vidéo) qu’il verse au dossier, et dont il considère que la justice a déjà estimé qu’elles étaient illicites. Résultat, Google Inc. a été enjoint hier à « retirer » et « cesser l’affichage » sur son moteur de recherche « Google images » les neuf images.
Primauté du droit au respect de la vie privée
Dès le début, Google France est mis hors de cause par les magistrats en ce qu’il ne s’agit que d’un bureau commercial de l’entreprise, lequel n’a de surcroît aucun lien avec le fonctionnement de Google Images.
Pour accéder aux demandes de Max Mosley, le tribunal de grande instance s’est appuyé sur l’article 9 du Code civil. Cet article prévoit en effet que les juges peuvent « prescrire toutes mesures, (...) propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l’intimité de la vie privée ». Après avoir rappelé que « la publication de ces images porte atteinte au droit de Max Mosley au respect de sa vie privée », les magistrats ont considéré que même en tant que prestataire intermédiaire technique, Google devait prendre des mesures visant à empêcher qu’une nouvelle atteinte n’ait lieu à l’avenir. Ils estiment en effet dans leur décision que « cette qualité ne fait pas obstacle à ce que lui soient imposées des obligations de retrait ou d’interdiction d’accès ».
Une mesure proportionnée aux yeux des juges
Alors que Google estimait qu’une telle mesure de filtrage a priori serait disproportionnée, le tribunal de grande instance a au contraire tranché dans le sens inverse. La condition de proportionnalité est en effet à ses yeux « parfaitement remplie ». Et ce, de deux façons. D’une part, du fait de l’obligation qu’a la France de faire respecter le droit de Max Mosley au respect de sa vie privée (tel que consacré par l’article 8 de la CEDH). D’autre part, à cause de la situation dans laquelle se trouve le Britannique. Les magistrats ont en effet conclut qu’il lui était impossible « de faire respecter ce droit [au respect de la vie privée, ndlr] en n’usant que des seules procédures mises à sa disposition par [Google] ». En clair, ils ont retenu que ses droits ne pouvaient pas être assurés du fait de la procédure proposée par Google, selon laquelle l’intéressé devait notifier une URL à chaque nouvelle mise en ligne d’une des images. Les magistrats notent à cet égard que Max Mosley a suivi cette procédure « pendant près de deux ans en vain, ces images, compte tenu de leur nature, réapparaissant sur les pages de résultats du moteur de recherche de la société Google Inc, systématiquement après une suppression ».
Aux yeux des juges, une telle mesure de retrait et d’interdiction de référencement des neuf images poursuit « un but légitime », en ce qu’elle « tend à éviter que ce moteur de recherche, en publiant ces images illicites sur les pages de résultats ne participe, en les amplifiant, aux incontestables atteintes qui sont portées [à Max Mosley, ndlr] sur divers sites internet, au respect dû à sa vie privée ».
Le risque de sur-blocage était « tout à fait mineur »
Sur un plan technique, le tribunal de grande instance s’est appuyé sur un rapport du professeur Mayer-Schönberger pour affirmer que le filtrage d’images n’occasionnerait pas de difficulté technique pour Google, ni même de « coûts exorbitants ». Seul demeurait néanmoins le risque de sur-filtrage. Mais, selon les juges, ce risque « apparaît tout à fait mineur compte tenu de la nature des images en cause ».
Le tribunal de grande instance a néanmoins donné raison à Google sur un point : une telle mesure se devait d’être limitée dans le temps. Il choisira d’ailleurs « une durée de cinq ans à compter de l’expiration du délai de deux mois suivant la signification [à Google, ndlr] de la présente décision ».
D’autre part, le tribunal de grande instance a accordé un euro de dommages et intérêts au titre du « préjudice de principe » subi par Max Mosley du fait du refus de Google de supprimer les images litigieuses de son moteur de recherche, et ce alors qu’il « avait connaissance de l’atteinte que ces images portaient à la vie privée » du plaignant. L’entreprise américaine devra également verser 5 000 euros au Britannique au titre de ses frais de justice.
Une affaire qui devrait bientôt se retrouver à nouveau devant les tribunaux
« Nous allons faire appel » nous a confirmé ce matin Google, pour qui « cette décision est préoccupante et a des conséquences sérieuses pour la liberté d’expression ».
Ce jugement a également été perçu comme inquiétant par Félix Tréguer, de l’association La Quadrature du net. À ses yeux, celle-ci instaure en effet « une forme de censure privée et automatisée, où Google va être contraint de mettre en place des logiciels qui vont filtrer les contenus mis en ligne par son moteur de recherche » a-t-il expliqué aux micros de France Info. Le tribunal a d’ailleurs pris appui sur le rapport Maye-Schönberger lorsque celui-ci explique qu’il est possible de filtrer non seulement des copies exactes d’images identifiées mais aussi des copies modifiées, au moyen d’un algorithme plus sophistiqué. Les juges citeront spécialement « le logiciel PhotoDNA » (de Microsoft) utilisé notamment dans le blocage d’images pédopornographiques.
Pourquoi la justice a imposé à Google de filtrer les images de Max Mosley
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Primauté du droit au respect de la vie privée
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Une mesure proportionnée aux yeux des juges
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Le risque de sur-blocage était « tout à fait mineur »
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Une affaire qui devrait bientôt se retrouver à nouveau devant les tribunaux
Commentaires (129)
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Abonnez-vousLe 07/11/2013 à 18h04
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Le 07/11/2013 à 20h04
Le 07/11/2013 à 20h15
P.S : Ha… Et quand même… pour ta réflexion digne du bac à sable sur le poncif des femmes violé blablabla… Prend au moins un exemple qui colle au propos. Par exemple, tu va me dire que la pauvre fille qui sort seule de nuit, complètement ivre et qui monte dans la voiture d’inconnus d’elle-même et qui accepte d’aller chez ces total inconnu sans même hésiter une seconde, n’aurait pas une part de responsabilité dans ce qui pourrait lui arrivé.
Donc tu penserais que de nos actes il n’y aurait pas de conséquence ?
Donc tu penserais aussi que si je prenais le volant ivre et que je mourrais emplâtré dans un arbre ce serait la faute à pas de chance et tu me plaindrais ? Tu me dirais pas… ba en même temps falais réflechir avant de faire un actes ou tu savait pertinemment qu’il y avait un risque ?
Le 07/11/2013 à 20h23
Le 07/11/2013 à 20h29
Le 07/11/2013 à 20h42
Le 07/11/2013 à 20h46
Je précise un truc : quand un petit c*n ma pris en photo avec son smartphone, je me doutais très bien de son but.
Je lui ai dit direct : écoute, tu la vire de ton phone, je connais ton nom et si je voit ma photo sur le net je saurait qui la prise donc ca te retombera sur le coin de la g*
Il aurait donc du fouetter le caméraman autant que les filles " />
Le 07/11/2013 à 21h38
Le 07/11/2013 à 22h31
Donc…
Et touche finale, la juris(im-)prudrence Internet dite “effet Streisand” montre que le principal facteur de diffusion de ces images est la publicite qui en est faite a travers les tentatives de les censurer. XD
Le 07/11/2013 à 23h44
Le 07/11/2013 à 15h27
Le 07/11/2013 à 15h28
Le 07/11/2013 à 15h29
Le 07/11/2013 à 15h29
Se faire filmer à son insu par une prostituée en pleine séance sado-maso. Il voulait des “coups de pute”, on peut dire qu’il en a eu !
Le 07/11/2013 à 15h32
Le 07/11/2013 à 15h32
Le 07/11/2013 à 15h39
Le 07/11/2013 à 15h41
Le 07/11/2013 à 15h43
Le 07/11/2013 à 15h44
Le 07/11/2013 à 15h50
Le 07/11/2013 à 15h51
Le 07/11/2013 à 15h54
Le 07/11/2013 à 15h58
Le 07/11/2013 à 15h58
Le 07/11/2013 à 14h33
C’est bien de finir avec la pédopornographie vue que ce sera sans doute le début de la prochaine news faisant suite à ce genre de décisions pour le bien des bonnes moeurs et du droit des femmes et de la famille…
Il est malheureux que des bots de ce genre de système nous pourrissent 45% des bandes passantes seulement et uniquement pour veiller à ce que nos regards ne se portent que sur des contenus que quelques-uns auront choisis : le pauvre type aura été sur google image pour vérifier que ces photos sont sur le net et c’est l’indexation sur google image qu’il interdit sans plus se donner d’outils pour faire procès vers les sites les mettant en avant.
C’est aussi con que cela peut l’être. cela n’a aucune maturité. C’est le comportement d’un abruti se faisant divertissement d’être fouetté par des prostitués au seul feu d’une bougie… C’est navrant autant que pathétique… Et c’est salué avec brio par ceux qui sont sans aucun doute ses compagnons de clubs au sein de notre magnifique administration judiciaire.
Le 07/11/2013 à 14h34
Le 07/11/2013 à 14h35
Le 07/11/2013 à 14h36
Moi, ce que j’en dis, c’est que ce genre de sous-merde de mosley, qui a bien participé à pourrir la F1 avec son pote bernie entre-autre, fait parti de ces mecs qui te disent qu’il ne faut pas avoir honte, que ce n’est pas sale, que c’est naturel ect… " />
Mais, après, qu’en il s’agit d’assumer y’a plus personne !
Si il sont si fière de leur sexualité et qu’il ne faut pas en avoir honte, pourquoi vouloir faire tout retirer ?
Ha on me dit que c’est la raison de son licenciement et une perte énorme de revenu…
Le 07/11/2013 à 14h36
Le 07/11/2013 à 14h36
Le 07/11/2013 à 14h38
Le 07/11/2013 à 14h38
Le 07/11/2013 à 14h38
Le 07/11/2013 à 14h40
Le 07/11/2013 à 14h41
Le 07/11/2013 à 14h42
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Le 07/11/2013 à 14h43
Le 07/11/2013 à 14h45
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Le 07/11/2013 à 14h49
Le 07/11/2013 à 14h51
Le 07/11/2013 à 14h51
Le 07/11/2013 à 14h51
Le 07/11/2013 à 14h53
Le 07/11/2013 à 14h58
D’autre part, le tribunal de grande instance a accordé un euro de dommages et intérêts au titre du « préjudice de principe » subi par Max Mosley du fait du refus de Google de supprimer les images litigieuses de son moteur de recherche
C’est ce que dit littéralement la décision, mais ce n’est pas ce qu’elle sous-entend : elle confond suppression et filtrage (p.16, paragraphes 1 & 2). Apparemment, Google refusait de filtrer ces images, pas de les déréférencer lorsqu’un lien lui était notifié. Ce n’est donc pas le déréférencement qui est refusé, mais le filtrage.
Le 07/11/2013 à 14h58
Le 07/11/2013 à 14h59
Le 07/11/2013 à 15h01
Le 07/11/2013 à 15h01
Le 07/11/2013 à 15h02
Le 07/11/2013 à 15h03
Le 07/11/2013 à 15h04
Le 07/11/2013 à 15h04
Visiblement, Inquisiteur est un métier d’avenir…. " />
Le 08/11/2013 à 06h40
Ils prennent vraiment google pour les gendarmes du net quand même.
J’aurais penser qu’en France, Google n’aurait pas été condamné car il n’est pas l’éditeur du contenu.
Faut voir le bon côté des choses, maintenant n’importe qui devrait pouvoir obtenir le même jugement pour ses images persos vu que ça va faire jurisprudence, non ?
Le 08/11/2013 à 08h18
Le 08/11/2013 à 09h31
Le 08/11/2013 à 12h42
Le 08/11/2013 à 13h49
Le 08/11/2013 à 17h33
Le 07/11/2013 à 13h53
il sait que bing images existe ?
je viens de vérifier à l’instant, les photos en question y sont. " />
Le 07/11/2013 à 13h57
Le 07/11/2013 à 13h58
Que ce crade fasse profil bas.
C’est dingue quand même.
Même pris avec le fouet ET le gode dans l’anus : monsieur ronchonne !
Le 07/11/2013 à 14h00
Le 07/11/2013 à 14h01
Je repose ma question à laquelle je n’ai pas eu de réponse : pourquoi un britannique lance une procédure en France ? De surcroît contre un acteur américain…
Le 07/11/2013 à 14h01
C’est un festival à sous-titre de classe internationale cette affaire " />
Le 07/11/2013 à 14h02
Le 07/11/2013 à 14h03
Le 07/11/2013 à 14h04
Effet Streisand… Maintenant j’ai vu les photos.
Le 07/11/2013 à 14h05
On ne peut même plus porter l’uniforme nazi et se faire fesser par 5 prostituées sans subir de basses attaques moralistes.
La justice a raison, laissons ce pauvre homme tranquille.
Le 07/11/2013 à 14h05
Le 07/11/2013 à 14h05
« Nous allons faire appel » nous a confirmé ce matin Google, pour qui « cette décision est préoccupante et a des conséquences sérieuses pour la liberté d’expression ».
Les pauvres petits choux qui s’octroient le droit de virer des sites du programme adsense pour un petit bout de nichon
http://www.numerama.com/magazine/27291-google-censure-numerama-et-coupe-ses-vivr…
mais qui joue les défenseurs de la liberté d’expression face à une censure “privé” quand un type demande le respect sa vie privé et cela en passant via un juge qui reconnait l’atteinte…
Le 07/11/2013 à 14h12
Donc on peut trouver librement la vidéo mais pas les 9 images tirées de la vidéo? Et puis google a le droit de lister en résultat un site où il y a les images mais pas les images elles-mêmes en preview dans google images…
mouais, il n’est pas près de retomber dans l’anonymat le gaillard.
En tout cas ça montre que président de la FIA ça paie bien car louer 5 filles, ça doit coûter un bras.
Le 07/11/2013 à 14h13
Le 07/11/2013 à 14h14
Le 07/11/2013 à 14h14
Le 07/11/2013 à 14h15
Le 07/11/2013 à 14h16
Le 07/11/2013 à 14h16
Entre juin 2009 et décembre 2010, il transmet de cette manière 21 requêtes à la firme de Mountain View.
Ça rejoint ce que je disais sur l’autre actu, le remède va être pire que le mal.
Le 07/11/2013 à 14h17
Le 07/11/2013 à 14h19
Le 07/11/2013 à 14h20
Le 07/11/2013 à 14h20
“Pourquoi la justice a imposé à Google de filtrer les images de Max Mosley”
–> Parcequ’il est blindé de fric et que la justice est faite pour obeir au monde du fric.
(affaire Milka, etc etc)
Ce mec est un gros porc degueulasse, surement un proche de DSK …
Le 07/11/2013 à 14h22
Le 07/11/2013 à 14h24
Le 07/11/2013 à 14h30
Le 07/11/2013 à 14h31
Le 07/11/2013 à 14h32
Le 07/11/2013 à 16h06
Le 07/11/2013 à 16h07
Le 07/11/2013 à 16h08
Le 07/11/2013 à 16h09
C’est vraiment très mal filmé: cadrage trop large, aucun effort sur l’éclairage, plan caméra raté, le responsable de la photo devait être saoul, aucune mise en perspective des acteurs, déco cheap etc … ^^
Le 07/11/2013 à 16h10
heu, la prostitution n’est pas interdite en France certes, mais on complique quand même beaucoup la pratique du “plus vieux métier du monde”.
Proxénétisme (pas de relations sentimentales/sexuelles hors des clients), 1500€ d’amende pour le client (ça fait cher quand en plus tu payes une prestation), interdiction du racolage passif, actif et des maisons closes (donc interdiction de travailler où que ce soit), mise en place d’un impôt spécial pour les prostituées, interdiction de pratiquer dans des camionnettes par les municipalités (cf Lyon Paris etc.)
Bref c’est pas interdit mais on ne peut le faire nul part, les clients se prennent des amendes, et tu n’as pas le droit de montrer que tu fais ton métier.
Maintenant pour Mosley, ce type est antipathique à souhait dans ses fantasmes et l’a été dans son activité professionnelle.
En outre, le droit français prévoit de la prison ferme (au pénal) et de fortes sommes d’argent (au civil) pour des images volées. Donc, logique qu’il porte plainte chez nous pour obtenir réparation.
De là à demander la censure…. en règle générale les people demandent du fric ou une sanction au pénal et tout rentre dans l’ordre. Mais Mauresmo avait déjà obtenu ce genre de censure pour ses photos dénudées balancées par son ex il me semble…
Le 07/11/2013 à 16h11
Le 07/11/2013 à 16h12
Le 07/11/2013 à 16h30
Le 07/11/2013 à 16h35
Le 07/11/2013 à 16h40
Le 07/11/2013 à 16h49
Je comprends la demarche de Mr Mosley.
En revanche, pourquoi as-t-il accepter de se faire filmer, et pourquoi as-t-il accepter de ne pas etre l’unique detenteur de la video?
Le 07/11/2013 à 16h56
Le 07/11/2013 à 17h31
Le 07/11/2013 à 17h56
Le 07/11/2013 à 18h01
Le 07/11/2013 à 18h02
Le 07/11/2013 à 15h06
Le 07/11/2013 à 15h07
Le 07/11/2013 à 15h10
Le 07/11/2013 à 15h11
Le 07/11/2013 à 15h12
Le 07/11/2013 à 15h13
Le mec n’assume même pas ses actes.
Je croyais qu’une personne importante (vu son poste) devait assumer ses choix et prendre les bonnes décisions : apparement il est pas fait pour ça !
Le 07/11/2013 à 15h14
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Le 07/11/2013 à 15h25
Le 07/11/2013 à 15h26