Microsoft a lâché un véritable pavé dans la marre hier soir en annonçant la disponibilité cette année de SQL Server 2016 sur Linux. Un vrai changement dans la stratégie logicielle du géant, bien loin des communications acides du passé.
SQL Server 2016 sera une version majeure du SGBD, qui se focalise en particulier sur les améliorations de la gestion du Big Data et sur la sécurité. Par exemple, l’option Always Encrypted permet au produit de manipuler directement des données toujours chiffrées, les clés résidant dans les applications qui accèdent au serveur. In-Memory OLTP, qui autorise les données les plus souvent utilisées à rester en mémoire vive (des performances augmentées par un facteur 30 à 100), est également compatible avec un plus grand nombre d’applications.
SQL Server 2016 proposera en outre une importante fonctionnalité : Stretch Database. Il pourra ainsi fonctionner en environnement hybride, mariant les bases locales et distantes (dans Azure) pour les considérer comme une seule et même entité. L'option Always Encrypted sera d'ailleurs compatible avec Stretch, afin que les données locales chiffrées puissent le reste en cas de déplacement vers le cloud.
Le premier logiciel professionnel de Microsoft sur Linux
Mais en plus de ces nouveautés, Microsoft en gardait manifestement une autre sous le coude : SQL Server 2016 sera disponible sur Linux. Cette décision est d’envergure car il s’agira aussi du tout premier produit professionnel que la firme lancera sur cette plateforme concurrente. Les signaux envoyés sont donc multiples.
Comment ne pas repenser à l’attitude de l’éditeur face à Linux il y a des années de cela, quand Steve Ballmer était encore à la tête de l’entreprise ? Le visage de Microsoft aujourd’hui est très différent, un lent virage amorcé vers la fin du règne de l’ancien PDG, mais qui s’est largement accéléré depuis l’arrivée de Satya Nadella. Les discours du nouveau patron ont souvent mis en avant l’orientation multiplateforme qui serait désormais celle de Microsoft. Dont acte.
Il existe toutefois une profonde différence entre lancer des applications mobiles sur Android et iOS, et proposer un produit professionnel comme SQL Server 2016. C’est un autre signal envoyé : Linux est une plateforme suffisamment solide et présente pour qu’elle soit reconnue et visée par l’un des principaux produits d’entreprise du catalogue.
Un marché à prendre
Évidemment, Microsoft n’a pas pris cette décision pour seulement montrer que sa stratégie multiplateforme prenait de l’ampleur. Si l’éditeur décide de se tourner vers Linux, c’est que l’idée est jugée commercialement viable. Les serveurs Linux sont très nombreux, les solutions de SGBD solides, et il y a un vrai marché à prendre, ou tout du moins se faire un (nouveau) nom.
On peut d’ailleurs avancer deux hypothèses : soit Microsoft répond à une demande, soit les clients qui se trouvaient sous Windows Server passent sur Linux pour réduire les coûts, à moins qu’il ne s’agisse d’un mélange des deux. Quant à savoir si les décideurs jugeront le produit comme une solution viable, il est encore trop tôt pour le dire. D’autant que se pose inévitablement la question de savoir comment SQL Server se comportera sur une plateforme où il débarque pour la première fois.
Microsoft s’appuie quoi qu’il en soit sur deux poussées distinctes et en apparence paradoxales. D’un côté, une forte pression exercée sur Windows 10, dont l’éditeur aimerait qu’il soit installé sur un milliard d’appareils d’ici juillet 2017. De l’autre, une multiplication des produits disponibles ailleurs que sur Windows. Le cumul des deux permettra en tout cas d’avoir une ou plusieurs solutions de repli en cas d’échec sur l’une des directions. Après tout, même si l’annonce de Microsoft crée la surprise, l’éditeur a encore tout à prouver sur une plateforme qu’il a longtemps méprisée.
Une première préversion, en test privé
SQL Server 2016 n’est en tout cas pas terminé. Sa date de commercialisation pour Windows Server n’est pas encore fixée, Microsoft indiquant seulement qu’il sortira plus tard dans l’année. Quant à la version Linux, il lui faudra plus de temps : mi-2017. Le champ fonctionnel sera le même que pour la mouture Windows. Microsoft s’est assuré d’ailleurs que des sociétés comme Red Hat et Canonical s’associent à l’évènement, avec notamment un commentaire de Mark Shuttleworth dans le communiqué, qui se dit très heureux de travailler avec Microsoft sur un tel projet.
Sachez enfin qu’une préversion technique de SQL Server 2016 pour Linux a été mise à disposition par Microsoft, mais uniquement sous la forme d’un test privé. Il faudra donc attendre un peu plus pour voir arriver une bêta publique, si toutefois l’éditeur en prévoit bien une.
Commentaires (106)
#1
Quand même!
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Manque plus que ssdt et visual studio " />
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Visual studio, déjà fait ">Bon ok, c’est pas le vrai :p
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Exchange, AD … " />
#6
2016 sera l’année de Linux " /> " />
#7
Pas un mot sur Oracle ? " />
#8
Moi c’est surtout du DirectX sur Linux qui ferait changer la donne. Vu que je suis gamer, à l’heure actuel je suis obligé de rester sur windows pour cette activité. Ca, ce serait une grosse claque!
#9
J’ai déjà essayé CS Source sous Linux et Wine … La chute de FPS était dramatique
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Tu peux toujours essayer avec Playonlinux, ça fonctionne plutôt bien.
J’ai hâte de voir les premières offres d’emploi Adminin sys Linux avec maîtrise de SQL Server " />
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#15
On parle de logiciel professionnel là, pas d’OS de gamer " />
#16
Moi aussi! Je suis aussi confiant que l’année dernière. Et celle d’avant. Et celle encore d’avant. Et celle encore encore… " />
#17
D’abord ils vous ignorent, ensuite ils vous raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez.
Gandhi. (pas l’hébergeur hein " />)
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un mot pour Oracle : crève. La pire boite que je connaisse en terme de pratiques commerciales…. “tu m’achètes mon exadata ou je viens compter tes licences et RDV au tribunal…..”
Une bonne nouvelle car SQL serveur (moteur Sybase SQL server historiquement) est probablement l’un des plus performants moteurs de BDD transactionnelle. Son plus gros handicap en entreprise est son adhérence a Windows. Donc Oracle peut commencer a compter ses abatis….
#20
Le problème c’est la couche bas niveau graphique de linux, celle contre laquelle Steam a pesté haut et fort tellement elle était non performante et totalement indébuguable (et qui est la raison pour laquelle ils ont leur propre distro basée sur ubuntu).
Sinon très bonne nouvelle. De plus les outils de management (SSDT / Sql server management studio) sont maintenant en téléchargement libres sans licences.
#21
par contre pour le paramétrer il faut passer par une interface web qui ne fonctionne que sous ie
#22
Franchement, vous êtes naïfs !
Le but est de concurrencer le serveur MySQL (qui est open-source et leader sous Linux dans la plateforme LAMP).
Microsoft avait commencé par attaquer cette plateforme en inventant WAMP, maintenant il invente LASP ! (Le S pour SQL Server) !
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Je ne sais pas trop quoi en pensé… je bosse sous SQL Server depuis longtemps mais je déteste le MS-SQL qui est alambiqué et très capricieux. A coté MySQL est super souple et moins restrictif… en tout cas plus facile à l’utilisation…
#26
Toute concurrence supplémentaire à Oracle est bienvenue, même si c’est Microsoft. Hormis la tendance pathologique à fabriquer des DBAs point & click, SQL Server est un bon SGBD, relativement respectueux des normes SQL et avec de chouettes fonctionnalités qui n’ont pas toujours d’équivalent MySQL ou PostgreSQL. Et des prix de licences chers, mais qui restent en dessous de ceux d’Oracle, quand même.
Si ça peut au moins rendre le soft moins chiant à déployer sur des environnements de dev et de tests, c’est bienvenue de pouvoir l’installer sous des Linux, en tous cas.
#27
De mon coté je préfère PostgreSQL. Libre et gratuit.
#28
Petite rectification sur le point “ils ont leur propre distro basée sur ubuntu”. SteamOS est basé sur Linux Debian et non Ubuntu. Heureusement d’ailleurs, j’ai poussé un soupire de soulagement quand ils l’ont annoncés. Les distributions bêta test : trop peu pour moi.
Passage “Valve recommends Ubuntu for regular Linux desktops. Why is SteamOS built on Debian and not Ubuntu? ” :
http://steamcommunity.com/groups/steamuniverse/discussions/1/648814395741989999/
#29
Il est clair que le support de Linux pour MS SQL Server est lié au support de Linux sur Azure.
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Tu parles du T-SQL ?
#31
C’est pas uniquement l’api le probleme. Y’a enormement de gros jeux qui passent par opengl et qui n’ont pas de version linux…
Pire, y’a des gros jeux se servent de moteur tiers compatible linux qui ne propose qu’une version windows… :S
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#33
Ca s’appelle du consulting et ça coute au moins 1200€/jour…" />" />
" />
#34
yep
#35
#36
Pour avoir utilisé les 2 :
point fort SQL server :
_ le langage SQL sans fioriture. Tu n’as pas d’apprentissage coté dev, mais il peut te manque un peu de sucre syntaxique pour te faciliter la vie
_ Installation et DBA simple pour du test et dev. EN prod, je ne fais pas car je suis pas sur de la sécurité de mes configs.
_ performance très honnêtes avec la config par défaut.
point fort Postgres :
_ le module POST GIS, pour les donnés spatiales
_ un controle fin des autorisations
_ un controle fin des performances
==> Cela implique un tuning avant de commencer à travailler, chiant pour le débutant, mais nécéssaire pour avoir les perf maximum pour ton appli.
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#38
Basé sur Debian 8.3 maintenant. Comme quoi.
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Moui enfin, jusqu’à preuve du contraire MySQL appartient à Oracle " />
#40
Ça marche aussi “Linux Apache MariaDB PHP” " />
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oué depuis 10 ans : ca s’appelle un curseur ;)
#44
J’ai également utilisé les deux. SQL server c’est un clickodrôme mais ça tourne bien avec par défaut des performances honorables. PostgreSQL ça intimide un petit peu au début (learning curve) mais c’est très costaud et quand on maîtrise c’est globalement le bonheur mais le tuning nécessite vraiment de très bonnes connaissances (je parle de bases ayant des milliards d’enregistrements sur 10 tables) pour arriver à un résultat stable en exploitation.
L’API (en langage C) dispose d’un niveau d’abstraction adéquat : no trop, ni pas assez. Je ne peux pas en dire autant d’OCI (Oracle), quant à l’API SQL server il y a prescription en ce qui me concerne.
Seul truc gênant avec PG c’est quand il y a un changement majeur de version, là c’est export et import de la base ce qui peut être lourd et problématique en certaines circonstances.
#45
Je suis allé voir le lien, et j’ai beaucoup aimé le:
«NVIDIA, Intel, or AMD graphics card»
</hs>
#46
genre microsoft invente wamp, ahah
genre on a iis, sql server (et express) et l’asp… inventons wamp !
ou pas.
apres, les grosses enterprises, comme dit avant, ca utilise tres peut de mysql/mariadb car les performances ne scalent pas du tout.
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+100000
Le jeux vidéo est le seul élément qui me fait rester sur Windows. Mais je crois bien que là on se met un pieux dans l’œil.
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Il y aura extension PHP SQL server porté alors …
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Une bonne nouvelle, ça montre que Microsoft prend désormais les plates-formes GNU/Linux au sérieux.
Ces derniers temps il s’initie véritablement un mouvement de portage des applications et services vers le multi-plateforme. J’espère vraiment qu’il va se poursuivre, et que de plus en plus d’applis (y compris les jeux) seront dispo à la fois pour Windows, OS X, et GNU/Linux.
#52
J’aimerais bien connaitre le % de base SQL Server dans le monde.
Dans mes précédentes boites depuis 2006 j’ai vu quasiment toutes les bases de données SQL Server migrer en Oracle, MySQL ou PostgreSQL.
Avec la quantité de produits sur le marché à l’heure actuelle je pense que c’est le seul choix qu’ils vont avoir pour ne pas perdre leurs clients entreprises, parce que bon à part pour faire tourner du LDAP ou Exchange (avis empirique subjectif) …
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parce qu’il n’est pas la pour le concurrencer.
C’est Oracle la cible visée. Et c’est tant mieux !
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oui et c’est souvent de l’enculage a 1200 euros par jour pour des naifs feignassent qui ne veulent pas mettre la tronche dans le cambouis.
#59
on s’en fout car il y a eu un fork : Maria DB, " />
#60
Sérieux ? Je pensais que Microsoft faisait ça uniquement pour proposer aux Linuxiens une nouvelle alternative aux solutions de BDD déjà existante.
Microsoft fait ça uniquement pour l’argent au final ? Surprenant
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Microsoft ne cache pas sa stratégie, et il ne vise pas les petits serveurs “LAMP” ou les bidouilleurs barbus avec cette stratégie, mais le cloud…
Les responsables le disent clairement : le but de Microsoft, désormais, est de vendre un maximum de cloud. Microsoft se moque que ses clients Azure utilisent Windows ou Linux : tant qu’ils utilisent Azure, ça leur fait gagner de l’argent.
Le cloud, c’est l’avenir, Microsoft en est convaincu, et pour rafler un max de clients à la concurrence (Amazon et Google) Microsoft cherche à proposer à ses clients l’offre la plus complète, ce qui inclut Linux. Je n’y connais absolument rien en cloud, mais j’ai l’impression que Microsoft est vraiment très agressif et très innovant sur ce secteur.
Dans le même ordre d’idée, Microsoft a rejoin le consortium qui gère OpenSSH : Microsoft en est membre, le finance et contribue au développement en opensource. SSH a ainsi été intégré à PowerShell.
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Es ce que tu sais si SSH est implémenté en mode serveur et client ou juste client ?
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Elle existe déjà, et depuis longtemps, via PECL.
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Merci pour le lien.
Je vais regarder cela.
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Reste à voir la qualité du portage. Les performances d’une base de données sont très liées au système de fichier. J’imagine que jusque-là MSSQL n’a été conçu et optimisé que pour le NTFS.
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MySQL c’est bien pour les petites bases. Pour de grosses bases c’est complètement largué face à PostgreSQL
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Oui, enfin il ne faut pas oublier que Microsoft continue de racketter les constructeurs de matériel avec des menaces de de procès pour non-respect de brevets logiciels foireux (genre FAT). Quand on achète un téléphone ou une tablette sous Android, on paye aussi une taxe à Microsoft pour de la non-innovation.
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Manque plus que Visual Studio et .NET pour Linux si ce n’est pas déjà dispo. Au fait SQL Server sur Linux sera open-source ?
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.Net arrive sur d’autres plateformes que Windows au travers de .Net Core, et une très grande partie du code source du Framework est disponible. Par contre, je doute que les outils passent en open source.
Et Visual Studio sur Linux, c’est pas près d’arriver je pense (du moins, dans son état actuel). VS est développé en WPF, et Microsoft n’investit plus rien dans cette technologie, donc elle ne sera très certainement jamais portée sur Linux (surtout qu’elle dépend de Direct3D9…).
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Pour que ça se débloque sur Linux, il faut que des gros jeux AAA arrivent. Et vu que directx est presque utilisée systématiquement pour gérer les perfs sur windows, hey ben sur linux ça ferait pas de mal pour améliorer son attractivité!
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les CS en openGL tournent plutot bien depuis que SteamOS est sorti… c’est un peu les jeux de démonstration sur linux pour pousser les autres éditeurs a s’y mettre. Y avait un article qui expliquait cette optimisation pour Linux et que ca outperform Windows/DirectX :http://arstechnica.com/gaming/2012/08/valves-optimizations-make-linux-port-of-l4…
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le compilateur Roslyn est en open source et marche sur Linux. Tu n’as plus besoin de visual studio pour coder en .NET. Tu peux utiliser un simple éditeur texte si tu veux.
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Je garde mon VS sous Windows, c’est quand même plus pratique " />
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Oui disons que c’est possible. Avec PHP beaucoup sont habitués à coder dans un éditeur texte.
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VS à toujours été optionnel, tous les outils sont dispos en CLI et c’était le cas bien avant roslyn.
C’est juste plus chiant de devoir tous faire à la main (comme dans n’importe quel langage (pre)compilé).
Bref, je trouve que cette annonce concorde aussi avec l’arrivée d’Asp. Net sous Linux et de la prochaine version d’Entity Framework (7), qui fonctionnera probablement bien mieux avec Sql-serveur qu’un autre SGBD.
Pour la plupart des dev .Net, Sql-Serveur est souvent le choix par défaut pour le SGBD.Avec l’arrivée de .Net sous Linux, je trouve sa logique de faire débarquer le SGBD qui va avec.
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Ca devenait obligatoire, surtout dans la mesure où MS mets à dispo des conteneurs Linux pour Azure.
Par contre, il vont avoir de gros chalenges sur Linux (RHEL, SLES et US ?) face à des acteurs bien implantés que ce soit des pro (Oracle, DB2) ou des assoc (PGSQL).
J’attends de voir ce que va donner SQLS sur Linux, mais, en se donnant les moyens, ils peuvent faire pas mal de bien aux systèmes SGBD dans leur ensemble.
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Oui haha effectivement plus succinct tu meurs " />.
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Oui, il y a aussi le fait que pas mal d’entreprises ont un parc hétérogènes de serveurs sous Windows et Linux. Elles étaient obligé d’utiliser deux SGBD différents ou pas de sql server du tout.
Globalement je trouve que la vision de nadella prend tout son sens. Quand elle sera totalement achevée Microsoft devrait viser un public d’utilisateurs et de développeurs plus large pour ses produits. Je pense que ça va faire surtout beaucoup de bien à l’essor de .NET.
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Ce qui est pervers avec le côté clickodrome de SQL Server, c’est que ça donne l’illusion de la simplicité. Or si elle est vraie sur le court terme, quand il commence à y avoir de la charge sur le serveur, elle a pour effet pervers de donner l’impression que tout va bien alors qu’en vrai, non. Ça et puis le fait que ce qui est fait par l’interface n’est pas par définition auditable et traçable. C’est donc un authentique nid à mauvaise habitudes et à manque de maitrise.
La bonne nouvelle c’est que tout est désormais accessible en script SQL pur sur SQL Server.
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De toute façon, tout fou’l’camp depuis l’arrivée des interfaces graphiques.
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#94
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#95
Sous quelle licence ?
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C’est quoi le rapport avec les lock et LIMIT ?
#97
Donc si tu as une table avec 500000 lignes et que dans ton appli tu veux faire une pagination disons en plein milieu, tu moulines 200 000 lignes avec ton curseur pour rien alors qu’avec un LIMIT tu récupères juste les 20 résultats qui t’interessent pour la page courante, c’est pas mieux ?
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C’est clair !
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C’est une suite logique en effet et il est possible que M\( ne s'arrête pas là, la suite dépendra surement du nombre d'environnement Linux déployé par les clients dans Azure. Plus il y en aura, plus M\) voudra le faire converger avec ses solutions “Maison”. Aujourd’hui Linux est incontournable et M$ sait désormais qu’il devra faire avec, ils n’ont pas réussi a le dégommer, c’est plutôt eux qui perdent du terrain, il y a qu’a voir l’offre actuelle, c’est juste hallucinant !
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#101
Sur sql server 2012 il y a l’équivalent du limit : offset et fetch je te laisse chercher….
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#103
En fait ce procédé pour récupérer une partie des résultats ne faisaient pas parti de la norme SQL. Beaucoup de SGBD utilisent leur propre syntaxe. SQL Server n’est pas le seul à ne pas utiliser LIMIT.
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#105