Naïma Moutchou, nouvelle ministre de l’intelligence artificielle et du numérique
Le 06 octobre à 08h32
2 min
Société numérique
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Mise à jour 9h45 : le Premier Ministre Sébastien Lecornu a remis sa démission à Emmanuel Macron, selon Libération. Le président de la République l'aurait acceptée. Naïma Moutchou devient donc Ministre démissionnaire.
Ce dimanche 5 octobre, Sébastien Lecornu a annoncé une première partie de son gouvernement. Ainsi, parmi 18 ministres dont 13 faisaient déjà partie du gouvernement Bayrou, Naïma Moutchou les rejoint en tant que ministre de la transformation et la fonction publiques, de l'intelligence artificielle et du numérique.
Naïma Moutchou est députée du Val-d'Oise depuis 2017 et Vice-présidente de l’Assemblée nationale depuis 2022. D'abord sous les couleurs de la République en Marche, « elle fait partie des rares Marcheurs à rejoindre Horizons [le parti d'Édouard Philippe] à sa fondation, en octobre 2021 », expliquait le Figaro en 2022 qui commentait en ajoutant que, pour elle, LREM n'était pas assez à droite et trop convenu.

D'abord secrétaire d'État chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique, puis ministre déléguée, Clara Chappaz, dépendait dans les gouvernements Barnier et Bayrou respectivement du Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche puis de celui de l'Économie, c'est maintenant la ministre de la transformation et la fonction publiques qui reprend le sujet du numérique. Il faudra attendre une autre vague d'annonces pour savoir si Clara Chappaz rempile au secrétariat d'État.
Le 06 octobre à 08h32
Commentaires (57)
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Abonnez-vousLe 06/10/2025 à 09h44
Le 06/10/2025 à 10h00
Si oui elle peux bénéficier des quelques avantage en nature , il me semble:
Le 06/10/2025 à 10h02
Le 06/10/2025 à 10h19
Le 06/10/2025 à 10h07
Moins que le dernier nouveau gouvernement.
En vrai, je me demande où on va...
Le 06/10/2025 à 10h12
En attendant, ils se font leurs retraites entre potes
Le 06/10/2025 à 13h10
Le 06/10/2025 à 16h33
"Selon la réglementation en vigueur, tout ministre dont la nomination a été publiée au Journal officiel a droit, à la fin de ses fonctions, à une indemnité transitoire équivalente à trois mois de traitement brut, soit environ 28 000 euros. Cette mesure vise à assurer une période de transition après la cessation de fonctions. Elle s’applique de manière automatique, sans condition de durée de présence au gouvernement. Ainsi, même restés en poste moins d’une journée, les ministres du gouvernement Lecornu pourraient légalement en bénéficier."
Le 07/10/2025 à 07h44
Le seul nouveau ministre non député est Bruno le Maire, qui a refusé l'indemnité de départ.
https://www.leparisien.fr/politique/gouvernement-lecornu-ministres-durant-14-heures-ils-ne-toucheront-pas-30-000-euros-dindemnites-06-10-2025-KQHHEZ7AJ5CGHNG3JKIFZVNU64.php
Un sujet de plus en moins
Le 06/10/2025 à 11h12
« Parfois j’écrivais un article et le lendemain, on avait déjà changé de premier ministre. »
En vrai, ça fait vraiment peur !!
Modifié le 06/10/2025 à 14h13
Le 06/10/2025 à 10h00
Le 06/10/2025 à 10h01
Le 06/10/2025 à 12h45
Le 06/10/2025 à 10h10
Modifié le 06/10/2025 à 10h17
Le 06/10/2025 à 10h21
Comme c'est une première, je ne saurais me prononcer sur le sujet.
Le 06/10/2025 à 10h48
Le décret du 5 octobre 2025 relatif à la composition du Gouvernement existe et a été publié au JO.
Ce sont donc bien les nouveaux qui gèrent les affaires courantes suivant la jurisprudence du Conseil d'État, selon un principe traditionnel de droit public.
Le 06/10/2025 à 11h03
Modifié le 06/10/2025 à 10h33
- 2025 (oct 6, matin) : ministre démissionnaire de l’intelligence artificielle et du numérique
- 2025 (oct 5, soir) : ministre de l’intelligence artificielle et du numérique
Le 06/10/2025 à 10h59
Le 06/10/2025 à 11h00
Le 06/10/2025 à 11h13
Modifié le 06/10/2025 à 11h25
Le 06/10/2025 à 11h34
Le 06/10/2025 à 13h48
Et s'il essaie d'utiliser l'article 16 dans le contexte actuel, il y a fort à parier que le Parlement destitue Macron en usant de l'article 68. 😉
Le 06/10/2025 à 14h24
Le 06/10/2025 à 11h15
Le 06/10/2025 à 17h40
Le 06/10/2025 à 12h47
Après tout, ce sont tous des incapables, seul Jupiter peut nous sauver. Donc il va se nommer Premier Ministre, magouiller pour ne pas finir le 2e mandat, et se représenter (2027 ou 2032). Vu que sa passion est de tordre et d'abuser de la Constitution...
Le 06/10/2025 à 13h51
Modifié le 06/10/2025 à 14h39
Le 06/10/2025 à 11h13
Modifié le 06/10/2025 à 11h36
Le 06/10/2025 à 12h04
Le 06/10/2025 à 12h08
Le 06/10/2025 à 13h58
Constitutionnellement, le Président de la République française assure « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat. » (art.5) mais ça c'était avant.
Le 06/10/2025 à 11h31
Le 06/10/2025 à 12h56
Le 06/10/2025 à 14h04
Le 06/10/2025 à 12h16
Le 06/10/2025 à 12h45
Vu qu'on est toujours sur3 blocs où chacun ne peut pas gouverner seul, au moins il aurait eu la légitimité démocratique. Les censures auraient été moins probables (du moins au début) car le motif d'illégitimité n'aurait pas tenu, et ça la fout mal niveau démocratie quand même.
Le 06/10/2025 à 12h52
La seule solution aurait été une large coalition comme chez nos voisins en mettant de côté les ambitions présidentielles et les luttes internes aux partis.
Mais ça aurait au moins permis de voir qu'ils étaient minoritaires à l'assemblée et qu'il fallait donc faire autre chose genre union nationale en attendant la présidentielle.
Le 06/10/2025 à 17h14
La succession de censure c'est parce que les différents gouvernements sont illégitimes. Un gouvernement légitime ne se fait pas renverser par défaut par les perdants.
D'ailleurs ils disent tous "on ne censure pas a priori" ce qui signifie bien que censurer parce qu'on n'a pas gagné, c'est passer pour des anti-démocratie.
Et il n'y a pas qu'à gauche qu'on pense ça : certains LIOT, certains macronismes "modérés", de Villepin l'ont déjà dit : la coalition arrivée en tête gouverne, et si elle se fait renverser (pas à peine nommée) c'est le jeu des institutions.
Le 06/10/2025 à 16h16
-- Mise à jour du statut du gouvernement actuel
UPDATE gouvernement
SET statut = 'démissionnaire',
raison = 'crise politique cyclique',
date_démission = CURRENT_DATE;
COMMIT;
-- Suppression du gouvernement... mais pas trop
DROP TABLE IF EXISTS gouvernement;
-- Recréation du gouvernement avec les mêmes membres
CREATE TABLE gouvernement (
id INT PRIMARY KEY,
nom VARCHAR(255),
poste VARCHAR(255),
statut VARCHAR(50) DEFAULT 'nommé',
date_nomination DATE DEFAULT CURRENT_DATE
);
-- Réinsertion des mêmes membres, parce qu'on ne change pas une équipe qui... stagne ?
INSERT INTO gouvernement (id, nom, poste)
SELECT id, nom, poste
FROM anciens_membres
WHERE statut_precedent = 'démissionnaire';
-- Affichage du nouveau gouvernement (identique à l'ancien)
SELECT * FROM gouvernement;
Modifié le 06/10/2025 à 16h22
Le 06/10/2025 à 16h27
Le 06/10/2025 à 17h45
herpesNUPES, un des macronistes et des extremes-droites) .Chaque parti veut faire valoir ses intérêts personnels...Le 06/10/2025 à 18h12
Nos politiques sont tellement habitués de pouvoir tout imposer avec leur 20% dans les urnes qu'ils ne sont pas arrivé à s'adapter.
Le 06/10/2025 à 19h04
Les réactions des chefs de file ce jour l'ont encore démontré.
Dire que des formations politiques veulent la proportionnelle aux législatives alors qu'elles oublient que le compromis est essentiel dans ce fonctionnement...
Le 06/10/2025 à 18h39
Et encore, on avait 3 blocs, mais depuis aujourd'hui il semble qu'on en a 4, puisque LR laisse tomber Macron visiblement.
Quel système, à part la dictature, marche quand on a 3-4 blocs, tous minoritaires, et tous trop cons pour faire des compromis pour pouvoir faire une alliance ?
Modifié le 06/10/2025 à 23h18
Le 06/10/2025 à 23h50
Après, on peut faire des coalitions, mais pour ça, il faut des gens qui placent l'intérêt de leur pays avant leur intérêt personnel pour la prochaine présidentielle, mais entre Le Pen, Retailleau, et Mélenchon, il n'y en a pas.
Tout le monde reproche à Macron de chercher à faire alliance en partant du centre, mais puisque personne ne veut s'allier avec le FN (et que le FN n'a pas la mjorité absolue), et que LFI ne veut s'allier avec personne sans imposer strictement son programme à 100% sans compromis (et que LFI et ses alliés n'a pas la majorité absolue), de fait, l'alliance au centre semble effectivement la seule possible.
Bref, on n'a pas le cul sorti des ronces.
On peut encore rebattre les cartes et dissoudre, mais est-ce que le résultat sera différent ?
Modifié le 07/10/2025 à 05h30
Et si les partis politiques (E Macron compris) ne pensent qu'à jouer la montre jusqu'à 2027 au lieu d'anticiper les élections, ce n'est pas une fatalité, c'est un choix et c'est irresponsable. Tant que les médias mainstream s'intéresseront uniquement à la « politique politicienne » et pas aux responsabilités politiques en jeu, les Citoyens attendront 2 ans que l'échéance 2027 arrive, après que ce petit monde médiatico-politique* ait bien enlisé la situation du pays.
*petit monde médiatico-politique: petit par le nombre de personnes et petit par la mesquinerie
Le 08/10/2025 à 08h07
Ce n'est pas le cas, le NFP pourrait alors considérer qu'ils leur faut faire des concessions en s'ouvrant à d'autres partis comme les centristes pour former une majorité au moins relative. Mais là, les centristes ne sont pas d'accord.
Pour la droite, une partie des LR refusent de s'allier avec le RN (d'où la scission) car ce serait alors une fusion/acquisition des LR (avec leur fort ancrage local et les élections municipales approchent) par le RN.
C'est donc insolvable, la seule solution démocratique est de provoquer des élections présidentielles anticipées.
Modifié le 06/10/2025 à 23h17
Pour ça, il faut être responsable et travailler à l'intérêt général (ou l'intérêt de l'Etat et du fonctionnement de ses institutions).
Le 07/10/2025 à 07h40
Ce qui a réduit les chances d'avoir une cohabitation, c'est le changement du calendrier électoral des législatives. Et avec la dernière dissolution, la désynchro sera encore plus marquée.
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