Directrice de la mission French Tech depuis trois ans, Clara Chappaz a été nommée samedi secrétaire d’État à l’Intelligence artificielle et au Numérique. Traditionnellement sous tutelle de Bercy, son portefeuille est désormais rattaché au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Sept mois après la nomination de Marina Ferrari, c’est désormais Clara Chappaz qui portera les enjeux liés au numérique au sein du gouvernement Barnier, avec la responsabilité d’un portefeuille remanié à deux égards. D’abord, son périmètre, qui couvre désormais « l’Intelligence artificielle et le Numérique ». Ensuite, son ministère de tutelle : alors que le numérique était traditionnellement rattaché à l’Économie, Clara Chappaz se voit placée sous la houlette de Patrick Hetzel, nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
« Après 3 années à diriger La French Tech au sein du Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, je suis ravie de poursuivre mon engagement au service de l’action publique sur ces sujets majeurs que sont le numérique et l’intelligence artificielle », s’est réjouie l’intéressée dimanche sur LinkedIn, dans un post dont les commentaires, nombreux, soulignent à quel point Clara Chappaz est bien identifiée dans l’écosystème des startups et de l’entreprenariat.
Un profil « startup nation »
À 35 ans, Clara Chappaz dirigeait en effet depuis trois ans la « mission French Tech », un établissement de 25 agents, rattaché à la Direction Générale des Entreprises et chargé d’animer l’ensemble du réseau French Tech en France et à l’international. Fille de l’entrepreneur à succès Pierre Chappaz (Kelkoo, Teads), elle a précédemment passé trois ans au sein du comité de direction de Vestiaire Collective, une plateforme en ligne dédiée à la mode de seconde main, auréolée du statut de licorne (valorisation supérieure à un milliard d’euros) en 2021.
À la différence de ses prédécesseurs, Clara Chappaz est nouvelle en politique, même si son poste à la French Tech dépendait de Bercy. Elle affiche dans le même temps un profil très « startup nation », qui rappelle plus Mounir Mahjoubi et Cédric O que Marina Ferrari ou Jean-Noël Barrot, alors même que son portefeuille change de ministère de tutelle. C'est d'ailleurs Cédric O qui l'avait choisie en 2021 pour diriger la Mission French Tech.
Quelle sera la portée de ce transfert ? Il faudra attendre les décrets fixant les attributions précises des membres du gouvernement Barnier, mais la démarche interroge, tout comme l’adjonction du terme Intelligence artificielle au maroquin du Numérique. « C'est curieux, comme si l'on pouvait penser un outil d'intelligence artificielle extrinsèque au numérique. Cet intitulé ne rend pas compte de l'importance du continuum cloud, data, IA, que toute politique publique sérieuse en la matière se doit d'embrasser », remarque Henri d’Agrain, délégué général du Cigref.
Commentaires (42)
#1
#1.1
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!? Ou alors tu ne parles que de l'équipe en cours de constitution avec Bruneau Retailleau, Othman Nasrou et Laurence Garnier ? A Part Nasrou ils ne sont pas à des postes où leur homophobie pèsera je pense.
Historique des modifications :
Posté le 23/09/2024 à 10h56
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes.
Posté le 23/09/2024 à 10h57
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes.
Posté le 23/09/2024 à 10h57
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes.
Posté le 23/09/2024 à 10h57
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes.
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!?
Posté le 23/09/2024 à 10h58
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes (et des enfants).
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!?
Posté le 23/09/2024 à 10h59
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes (et des enfants).
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!? Ou alors tu ne parles que de l'équipe en cours de constitution?
Posté le 23/09/2024 à 11h04
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes (et des enfants).
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!? Ou alors tu ne parles que de l'équipe en cours de constitution avec Bruneau Retailleau, Othman Nasrou et Laurence Garnier ?
Posté le 23/09/2024 à 11h05
Tu peux ajouter le plus misogyne : Tout ce qui a été définancé cette dernière décennie est de l'emploi très majoritairement féminin (santé, éducation, collectivités territoriales...) et dont les bénéficiaires sont également majoritairement des femmes (et des enfants).
La dimension homophobe par contre je ne vois pas trop ?!? Ou alors tu ne parles que de l'équipe en cours de constitution avec Bruneau Retailleau, Othman Nasrou et Laurence Garnier ? A Part Retailleau ils ne sont pas à des postes où leur homophobie pèsera je pense.
#1.3
#1.6
Historique des modifications :
Posté le 23/09/2024 à 14h20
Homophobie… ben M. Barnier a voté contre le mariage pour tous, non ?
#1.8
La dépénalisation de l'homosexualité en général remonterait grosso modo à la Révolution française. En 1974, je crois comprendre que l'age autorisé pour avoir des relations homosexuelles a été abaissé de 21 à 18 ans.
Un exemple de source :
https://www.liberation.fr/checknews/2018/06/18/l-homosexualite-a-t-elle-ete-depenalisee-en-1791-ou-en-1982_1660079/
#1.2
#1.4
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation, renforcement de l'état, de la police, luttre contre l'ennemi intérieur (séparatiste), dissolution des observatoires publics au profit d'un gouvernement à l'émotion, l'islamo gauchisme comme remplaçant du judéo bolchevisme etc. Que des thèmes et pratiques historiques de l'extrême droite. Au mépris de toute réalité statistique ou sociale.
La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc. parce que ce n'est pas très drôle de s'effondrer à cause de la stupidité dogmatique et du manque de culture historique/politique des gens.
Historique des modifications :
Posté le 23/09/2024 à 11h13
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation etc. La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc.
Posté le 23/09/2024 à 11h17
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres. Un article d'un média correspondant à ton infographie mais dont tu ne pourras pas trop contester la liste d'arguments :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation etc. La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc.
Posté le 23/09/2024 à 11h18
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres. Un article d'un média correspondant à ton infographie mais dont tu ne pourras pas trop contester la liste d'arguments :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation, renforcement de l'état, de la police etc. Que des thèmes historiques de l'extrême droite.
La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc. parce que ce n'est pas très drôle de s'effondrer.
Posté le 23/09/2024 à 11h19
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres. Un article d'un média correspondant à ton infographie mais dont tu ne pourras pas trop contester la liste d'arguments :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation, renforcement de l'état, de la police etc. Que des thèmes historiques de l'extrême droite.
La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc. parce que ce n'est pas très drôle de s'effondrer à cause de la stupidité dogmatique et du manque de culture historique/politique des gens.
Posté le 23/09/2024 à 11h20
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres. Un article d'un média correspondant à ton infographie mais dont tu ne pourras pas trop contester la liste d'arguments :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation, renforcement de l'état, de la police, luttre contre l'ennemi intérieur (séparatiste) etc. Que des thèmes historiques de l'extrême droite.
La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc. parce que ce n'est pas très drôle de s'effondrer à cause de la stupidité dogmatique et du manque de culture historique/politique des gens.
Posté le 23/09/2024 à 11h21
Disons que dans un commentaire c'est dur de détailler mais il y a quand même un fond d'extrême droite assez incontestable, et dans les valeurs et dans les appartenances des uns et des autres. Un article d'un média correspondant à ton infographie mais dont tu ne pourras pas trop contester la liste d'arguments :
https://contre-attaque.net/2024/09/22/coup-detat-un-nouveau-gouvernement-colonialiste-raciste-homophobe/
Dire que la Macronie est une forme d'extrême droite n'a globalement rien de choquant, dès le début le thème était "ni droite ni gauche" "pro business" "gouvernement jupitérien" (anti parlementarisme de bas étage), suppression d'impôts, recentralisation, renforcement de l'état, de la police, luttre contre l'ennemi intérieur (séparatiste), dissolution des observatoires publics au profit d'un gouvernement à l'émotion etc. Que des thèmes et pratiques historiques de l'extrême droite. Au mépris de toute réalité statistique ou sociale.
La question n'est pas de savoir si c'est une analyse fine ou pas, ce qu'il faut c'est regarder l'état de l'Angleterre après la période Thatcherienne et là ça donne moins envie de faire des infographies en mode "c'est celui qui dit qui y est" "la goche est sectaire" etc. parce que ce n'est pas très drôle de s'effondrer à cause de la stupidité dogmatique et du manque de culture historique/politique des gens.
#1.7
Tu reprends le discours de l’extrême gauche et donc le schéma auquel tu répondais.
Du coup si le RN est déjà indirectement au pouvoir, pourquoi ne pas voter directement pour lui la prochaine fois ?
C'est le problème de ce genre de discours sans nuance.
L'autre problème c'est que du coup, si un jour on avait LFI contre RN au second tour, déjà on aurait tout perdu, mais en plus on peut être sur que c'est le RN qui passerait.
Le jour où la gauche (la vraie pas LFI) comprendra que pour gouverner il faut faire des compromis, elle aura des chances de reprendre le pouvoir.
#1.9
#1.10
Le partiellement est important ici.
C'est la fable de l'enfant qui criait au loup: quand le loup arrive, personne n'y fait attention et c'est trop tard.
#1.11
Le partiellement a-t-il "toujours" autant d'importance ?
Le doigt étant déjà, il est raisonnable que certain.e.s y soient "sensibles" non ?
Ou doivent-ils attendre que la main soit enfoncée, toute entière, avant de commencer à geindre ?
L'exemple est grossier a dessein mais sied bien à la politique.
#1.12
Le RN n'est certes pas encore au pouvoir mais on est maintenant occupé à se rapprocher d'une question de perception de nuances. Ce gouvernement est le premier à avoir eu besoin d'être validé par le RN, et ce contre une majorité de français qui ne voulaient pas le RN.
Ce que Macron a fait est extrêmement grave pour la survie de la démocratie.
Historique des modifications :
Posté le 23/09/2024 à 18h12
Techniquement, la question du front républicain ne va plus se poser aux prochaines élections. La droite continuera à ne pas participer, le centre droit ne fera plus semblant d'y participer et au niveau de la gauche, il y aura peut-être encore quelque-chose au niveau des actuels composantes du NFP. Par contre le coup où des électeurs de gauche votent pour quelqu'un à droite pour faire barrage, c'est à peu près aussi improbable que quelqu'un de droite votant pour la gauche dans le même but.
Le RN n'est certes pas encore au pouvoir mais on est maintenant occupé à se rapprocher d'une question de perception de nuances. Ce gouvernement est le premier à avoir eu besoin d'être validé par le RN, et ce contre une majorité de français qui ne voulaient pas le RN.
Ce que Macron a fait est extrêmement grave pour la survie de la démocratie.
#1.14
Donc, il n'y aura plus de vote "républicain" pour faire barrage. Et il n'y aura plus non plus besoin de constituer des coalitions avant les élections (comme le NFP). Cela favorisera/obligera les coalitions après les résultats des élections et probablement des alliances entre partis de gouvernement comme on les appelle ici.
#1.16
#1.26
Sous Mitterand, on est passé à la proportionnelle en 1985 pour les législatives de 1986. Il préférait favoriser le FN que le RPR avec ce mode de scrutin. Au final, le RPR n'a pas été gêné et on a eu une cohabitation.
Le gouvernement Chirac a abrogé la proportionnelle en juillet 1986 en utilisant en plus l'article 49.3 de la Constitution.
#1.15
Une majorité de français a voté contre le RN
Une majorité de français a voté contre le NFP
Une majorité de français a voté contre le macronisme.
Le NFP s'est tiré une balle dans le pied en s'alignant sur la position de LFI qui en bon extrémistes ne veulent négocier sur rien.
Le RN l'a joué beaucoup plus intelligent en ne proposant personne mais en étant prêt à négocier sur certains points.
Résultat c'est la Macronie qui dirige en négociant avec le RN et le NFP qui hurle à l'imposture en ne se rendant même pas compte qu'ils sont aussi responsables que les autres.
Si dans 1 an, on refait les élections à la proportionnelle, j'espère simplement que LFI sera marginalisé et que les autres partis de gauche négocient pour arriver en partie au pouvoir.
#1.17
Dans une démocratie parlementaire, le NFP aurait été mis formellement au pied du mur et aurait dû négocier pour former un gouvernement, c'est tout. En restant intransigeant, il se serait pris formellement le mur de la censure.
En ne laissant pas au NFP la possibilité de former un gouvernement et en donnant directement la formation du gouvernement à LR, Macron a fait un authentique déni de démocratie. Tout le reste n'est que pirouettes de communication.
Le RN n'avait pas à proposer quelqu'un à ce stade, ils étaient troisièmes. Dans une démocratie parlementaire, en cas d'incapacité du NFP à former une majorité, ça aurait d'abord été le tour d'Ensemble d'essayer de former une coalition majoritaire. En cas d'échec d'Ensemble seulement, le RN aurait été appelé à former une coalition.
C'est quoi l'excuse de Macron pour ne pas avoir non-plus nommé quelqu'un d'Ensemble? Ils sont aussi trop intransigeants? Trop extrémistes? Ou cet argument n'est-il pas juste du bullshit. LR est quatrième, QUATRIEME, ce n'est pas de la démocratie que de les choisir.
La France n'étant à priori pas une démocratie parlementaire, puisque c'est le souverain qui a choisi les gagnants et formé lui-même une coalition, brûlant toutes les étapes pour garder le pouvoir en bon autocrate.
Si dans un an vous revotez à la proportionnelle et que le rôle présidentiel n'est pas mieux encadré pour empêcher le président de composer lui-même la coalition gagnante, vous n'aurez pas plus de démocratie.
Mais bon, à priori dans un an, vous aurez le RN, meilleur parti à même de perpétuer le projet macroniste.
Historique des modifications :
Posté le 24/09/2024 à 08h37
Mon logiciel est celui d'une personne vivant dans une démocratie parlementaire, le tiens je ne sais pas...
Dans une démocratie parlementaire, le NFP aurait été mis formellement au pied du mur et aurait dû négocier pour former un gouvernement, c'est tout. En restant intransigeant, il se serait pris formellement le mur de la censure.
En ne laissant pas au NFP la possibilité de former un gouvernement et en donnant directement la formation du gouvernement à LR, Macron a fait un authentique déni de démocratie. Tout le reste n'est que pirouettes de communication.
Le RN n'avait pas à proposer quelqu'un à ce stade, ils étaient troisièmes. Dans une démocratie parlementaire, en cas d'incapacité du NFP à former une majorité, ça aurait été le tour d'Ensemble d'essayer de former une coalition majoritaire. En cas d'échec d'Ensemble seulement, le RN aurait été appelé à former une coalition.
La France n'étant à priori pas une démocratie parlementaire, c'est le souverain qui a choisi les gagnants et formé lui-même une coalition, brûlant toutes les étapes pour garder le pouvoir en bon autocrate.
Si dans un an vous revotez à la proportionnelle et que le rôle présidentiel n'est pas mieux encadré pour empêcher le président de composer lui-même la coalition gagnante, vous n'aurez pas plus de démocratie.
Mais bon, à priori dans un an, vous aurez le RN, meilleur parti à même de perpétuer le projet macroniste.
Posté le 24/09/2024 à 08h40
Mon logiciel est celui d'une personne vivant dans une démocratie parlementaire, le tiens je ne sais pas...
Dans une démocratie parlementaire, le NFP aurait été mis formellement au pied du mur et aurait dû négocier pour former un gouvernement, c'est tout. En restant intransigeant, il se serait pris formellement le mur de la censure.
En ne laissant pas au NFP la possibilité de former un gouvernement et en donnant directement la formation du gouvernement à LR, Macron a fait un authentique déni de démocratie. Tout le reste n'est que pirouettes de communication.
Le RN n'avait pas à proposer quelqu'un à ce stade, ils étaient troisièmes. Dans une démocratie parlementaire, en cas d'incapacité du NFP à former une majorité, ça aurait d'abord été le tour d'Ensemble d'essayer de former une coalition majoritaire. En cas d'échec d'Ensemble seulement, le RN aurait été appelé à former une coalition.
C'est quoi l'excuse de Macron pour ne pas avoir nommé quelqu'un d'Ensemble? Ils sont aussi trop intransigeants? Trop extrémistes? Ou cet argument n'est-il pas juste du bullshit.
La France n'étant à priori pas une démocratie parlementaire, puisque c'est le souverain qui a choisi les gagnants et formé lui-même une coalition, brûlant toutes les étapes pour garder le pouvoir en bon autocrate.
Si dans un an vous revotez à la proportionnelle et que le rôle présidentiel n'est pas mieux encadré pour empêcher le président de composer lui-même la coalition gagnante, vous n'aurez pas plus de démocratie.
Mais bon, à priori dans un an, vous aurez le RN, meilleur parti à même de perpétuer le projet macroniste.
#1.20
C'est marrant à quel point beaucoup adorent oublier ce qui ne va pas dans leur sens...
#1.21
Au passage, l'intransigeance/l'extrémisme était largement présent chez Ensemble avec de nombreux députés qui braillaient à qui voulait bien les entendre, qu'ils censureraient tout gouvernement avec LFI ou les verts (surtout quand LFI à proposé de ne pas faire partie du gouvernement)... Et ça a payé pour certains comme Bregeon qui maintenant est dans ce gouvernement illégitime.
Historique des modifications :
Posté le 24/09/2024 à 10h00
Effectivement, il n'était pas si intransigeant que ça... (mis à part peut-être la première interview de Castets) la preuve aussi en est que quand LFI a proposé de ne pas prendre part au gouvernement pour rendre la pilule plus acceptable pour les haineux.
Au passage, l'intransigeance/l'extrémisme était largement présent chez Ensemble avec de nombreux députés qui braillaient à qui voulait bien les entendre, qu'ils censureraient tout gouvernement avec LFI ou les verts (surtout quand LFI à proposé de ne pas faire partie du gouvernement)... Et ça a payé pour certains comme Bergeron qui maintenant est dans ce gouvernement illégitime.
Posté le 24/09/2024 à 10h00
Effectivement, il n'était pas si intransigeant que ça... (mis à part peut-être la première interview de Castets) la preuve aussi en est que quand LFI a proposé de ne pas prendre part au gouvernement pour rendre la pilule plus acceptable pour les haineux.
Au passage, l'intransigeance/l'extrémisme était largement présent chez Ensemble avec de nombreux députés qui braillaient à qui voulait bien les entendre, qu'ils censureraient tout gouvernement avec LFI ou les verts (surtout quand LFI à proposé de ne pas faire partie du gouvernement)...
#1.24
C'est pour ça que j'étudie les biais cognitifs depuis des années.
C'est fascinant de voir jusqu'où une information, une situation ou autre peut être tordue, éludée, niée, etc.
A priori, on pourrait penser que la politique est une affaire logique et rationnelle sur la base d'analyses objectives avec un recueil exhaustif ou large des faits et des programmes.
Que nenni ! Les "faits" sont filtrés et traités par le prisme du (re)sentiment, de l'émotion, des préjugés et des apparences. Grossièrement, ça se résume à être pour ou contre, en soutien ou en opposition, sans nuances. Dans un cas comme dans l'autre, les gens font fi de ce qui leur déplaît, et à l’extrême ça vire à l'effet retour de flamme, et/ou à la dissonance cognitive.
Cela dit, je demeure vigilante à mon égard : voir la paille dans l’œil du voisin mais pas la poutre dans le sien...
Historique des modifications :
Posté le 24/09/2024 à 12h34
Cela est dû à un bel effet de halo conjoint à un biais de confirmation d'hypothèse.
C'est pour ça que j'étudie les biais cognitifs depuis des années.
C'est fascinant de voir jusqu'où une information, une situation ou autre peut être tordue, éludée, niée, etc.
A priori, on pourrait penser que la politique est une affaire logique et rationnelle sur la base d'analyses objectives avec un recueil exhaustif ou large des faits et des programmes.
Que nenni ! Les "faits" sont filtrés et traités par le prisme du (re)sentiment, de l'émotion, des préjugés et des apparences. Grossièrement, ça se résume à être pour ou contre, en soutien ou en opposition, sans nuances. Dans un cas comme dans l'autre, les gens font fi de ce qui leur déplaît, et à l’extrême ça vire à l'effet retour de flamme, et/ou à la dissonance cognitive.
Cela dit, je demeure vigilante à mon égard : voir la paille dans l’œil du voisin mais pas la poutre dans le sien...
#1.23
Dans une vraie démocratie parlementaire, le premier groupe parlementaire est le RN, suivi par Ensemble et LFI qui arrive troisième
Le NFP est une coalition pré électorale qui n'est pas un groupe parlementaire.
D'ailleurs la répartition correspond pour une fois a peu près aux européennes qui est une élection à la proportionnelle. LFI est même sur représenté par rapport aux européennes.
Pour finir un gouvernement illégitime tomberait à la 1ère motion de censure. Donc attend et peut être que ton voeu sera exaucé. Si ce n'est pas le cas, cela veut dire que le gouvernement est soutenu (ou non rejeté) par une majorité de députés.
#1.28
Donc en toute logique, le RN aurait dû être appelé à former un gouvernement (puisque la NFP n'existe pas)... avec un peu de chance, il n'aurait pas réussi, mais là, à la place, vous avez un gouvernement de façade inféodé complètement au RN, avec la problématique que s'il se plante, ce n'est pas le RN qui se plante mais juste les pantins mis en place par Emmanuel et Marine... Comme manœuvre pour ménager l’extrême droite, c'est fantastique.
#1.32
De quels documents de l'AN parles-tu ?
Le seul document sur le site de l'AN qui parle du Nouveau Front Populaire est la la proposition de la France Insoumise de destitution de Macron.
Sinon, le terme apparaît aussi parce que la France Insoumise a appelé son groupe "La France insoumise - Nouveau Front Populaire". Elle s'est ainsi appropriée l'appellation NFP à son seul usage dans l'AN.
Il n'y a pas d'intergroupe NFP alors qu'il aurait été possible d'en créer un.
Une fois cela posé, ce n'est pas forcément une justification pour ne pas avoir nommé un Premier Ministre soutenu par le NFP.
La coalition entre le LR, LIOT et les autres partis de l'ancienne majorité est soutenue par plus de députés que ceux du NFP ou que du RN et l'UDR (Ciottistes). Ça fait une meilleure justification pour avoir nommé quelqu'un soutenu par ces partis.
Par contre, je ne trouve pas normal d'avoir attendu aussi longtemps : les JO n'étaient pas pour moi une bonne raison de retarder la nomination du PM. Il était clair que Macron voulait arriver à cette coalition ; il la voulait depuis 2022 et la majorité relative, c'était une des missions de E. Borne qui n'a pas réussi à l'atteindre, les LR n'en voulaient pas. Ce temps était probablement nécessaire pour la mettre en place.
On n'a pas un gouvernement de façade, on a un gouvernement de coalition qui n'a qu'une majorité relative. Il est donc fragile. Cette majorité aurait pu être plus grande si les socialistes n’avaient pas eu besoin du NFP pour avoir un nombre d'élus assez important. La proportionnelle permettra d'éviter une alliance de type NFP la prochaine fois, on a pu le voir aux Européennes : proportionnelle => les partis de gauche ont eu chacun leur liste. Alors oui, le RN peut faire tomber le gouvernement avec une motion de censure mais pas seul, il faut aussi que le PS la vote, sans lui, il n'y a pas assez de députés pour atteindre les 289. Alors, oui, ils ont dit qu'ils vont voter la motion de censure qui va être présentée par LFI, mais celle-là, le RN ne la votera pas. D'ici à ce que le RN en vote une présentée par LFI, le PS ou les écologistes ne voudra peut-être pas s'allier au RN. On verra bien.
En tout cas, on a un gouvernement qui va pouvoir répondre à la Commission et préparer un budget. C'était important.
#1.18
Donc à moins que tu ne t'estimes plus compétent que le Conseil d'Etat (ce qui reste à prouver), tu ne fais que jouer le jeu des fascistes de Renuisance et du RN en traitant LFI d'extrémistes.
#1.25
#1.13
Dircab de Nasrou : ancien membre de l'Uni, un syndicat d'ED
Panosyan-Bouvet : transphobe
Tu ne vas quand même pas dire que c'est un gouvernement de centre ou de gauche, tout de même?
#1.19
#1.22
#1.27
(Sans compter toutes les lois dictées par le rn, le fait de trouver la blonde fachotte trop molle, ou le soutien sans faille à l'Etat fasciste qu'est Israël, bien entendu)
Historique des modifications :
Posté le 24/09/2024 à 17h35
Ah pardon, je savais pas que dans un Etat de droit, on interdisait les manifestations parce que... Juste parce que, on tabaissait les manifestants, et on éborgnait des manifestants pacifiques à coup d'armes de guerre, sans compter le refus de prendre en compte le résultat d'élections parce qu'il ne va pas dans le sens voulu. My bad.
Posté le 24/09/2024 à 17h37
Ah pardon, je savais pas que dans un Etat de droit, on interdisait les manifestations parce que... Juste parce que, on tabaissait les manifestants, et on éborgnait des manifestants pacifiques à coup d'armes de guerre, sans compter le refus de prendre en compte le résultat d'élections parce qu'il ne va pas dans le sens voulu. My bad.
(Sans compter toutes les lois dictées par le rn, le fait de trouver la blonde fachotte trop molle, ou le soutien sans réserve à l'Etat fasciste qu'est Israël, bien entendu)
#1.29
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite). La société civile, terrorisée, disparaissant sous la violence d'état et l'abrutissement nationaliste du couple éducation/médias mis en coupe réglée. Sous la disparition de l'idée même de compromis politique et de négociations (pratiques de faibles qui ne luttent pas contre l'ennemi intérieur).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains, le respect de la société civile etc. pas de "faire comme l'extrême droite" mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Historique des modifications :
Posté le 25/09/2024 à 11h53
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre...
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Posté le 25/09/2024 à 11h56
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre...
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours, pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 11h57
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre...
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours, pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 11h58
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 11h59
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h02
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie et attachés à renforcer l'état.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h03
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h05
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h06
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains, le respect de la société civile etc. pas de faire de l'extrême droite mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h08
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite).
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains, le respect de la société civile etc. pas de "faire comme l'extrême droite" mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h17
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite). La société civile, terrorisée, disparaissant sous la violence d'état.
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains, le respect de la société civile etc. pas de "faire comme l'extrême droite" mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
Posté le 25/09/2024 à 12h19
C'est à dire, qu'est "réellement l'extrême droite " pour toi ?
Au contraire j'utilise au maximum des critères objectifs pour la définir. C'est un cadre de pensée très divers en théorie comme en pratiques et justement il faut de la nuance pour en parler mais il faut aussi appeler un chat un chat.
Troisième voie est d'extrême droite et n'a rien à voir avec l'action française qui n'a rien à voir avec le RN qui n'a rien à voir avec le macronisme. Les quatres sont d'extrême droite et pourtant ne posent pas les mêmes problèmes sociaux, ou les mêmes problèmes politiques, n'ont absolument pas les mêmes objectifs ou les mêmes financiers/donneurs d'ordre... Tous ne sont pas racistes, tous ne sont pas révolutionnaires, tous ne sont pas capitalistes. Par contre tous sont misogynes, anti démocratie avec des chefs forts et attachés à renforcer l'état avec peu de tabous sur la violence pour ce faire.
Le Macronisme, au delà des discours, partage la majorité du bilan et des méthodes de gouvernements d'extrême droite ailleurs en Europe. Ca n'est ni original, ni spécialement surprenant au vu des objectifs poursuivis et au vu de qui possède les médias. Et effectivement il va probablement passer la main au RN parce que le principal problème posé par ces tendances politiques illibérales historiquement a été la sclérose du champ politique et la fin de la possibilité d'alternances (au delà des massacres des années 30-40 qui servent d'épouvantail pour décrire l'extrême droite). La société civile, terrorisée, disparaissant sous la violence d'état et l'abrutissement nationaliste du couple éducation/médias mis en coupe réglée.
Et le principal enjeu politique est justement de défaire leur victoire culturelle en cours sur des concepts de base comme la démocratie, les droits humains, le respect de la société civile etc. pas de "faire comme l'extrême droite" mais sans nommer les choses parce que t'as voté macron, tu t'es fait avoir et c'est trop dissonant.
#1.30
Ce qui est bien c'est que l'inverse est vrai pour les extrémistes de l'autre bord.
En tout cas chapeau bas, tu as réussi à utiliser l'intégralité des éléments de langage de ton bord politique.
Par contre tu t'es trompé: tu défends le compromis politique alors que celui-ci n'a jamais été d'actualité de ton côté: je te suggère de relire les déclarations de chacun des protagonistes.
#1.31
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands, fait chanter la Marseillaise jusqu'à la lie... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), les médias passent lentement sous contrôle de milliardaires plein d'arrières pensées qui instillent un récit sécuritaire alors qu'on n'a jamais été aussi en sécurité dans l'histoire connue et avancent les pions du lynchage comme politique. Tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Historique des modifications :
Posté le 25/09/2024 à 14h00
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Posté le 25/09/2024 à 14h03
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs.
Posté le 25/09/2024 à 14h04
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs.
Posté le 25/09/2024 à 14h05
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h06
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h07
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h08
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h09
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h13
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h13
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h15
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h19
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), les médias passent lentement sous contrôle de milliardaires plein d'arrières pensées qui instillent un récit sécuritaire alors qu'on n'a jamais été aussi en sécurité dans l'histoire connue. Tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h20
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), les médias passent lentement sous contrôle de milliardaires plein d'arrières pensées qui instillent un récit sécuritaire alors qu'on n'a jamais été aussi en sécurité dans l'histoire connue. Tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h23
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est un aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), les médias passent lentement sous contrôle de milliardaires plein d'arrières pensées qui instillent un récit sécuritaire alors qu'on n'a jamais été aussi en sécurité dans l'histoire connue et avancent les pions du lynchage comme politique. Tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
Posté le 25/09/2024 à 14h32
Je pense que ton narcissisme de gars persuadé d'être dans le camp du bien te fait préjuger bien des choses sur mes idées.
Les fascistes historiquement étaient des partisans du juste milieu, des gens opposés aux déchirements et oppositions fortes dans la société. D'où leur haine des parlements.
C'était le principe du pétainisme en France qui a posé les bases de la sécu, limité syndicats patronaux comme de gauche, commencé à émanciper économiquement les mères de famille, crée le salaire minimum vital, les allocations aux personnes âgées, utilisé les coopératives issues de l'extrême gauche pour nourrir tout le monde en situation de pillage agricole par les allemands... tout pour l'apaisement avec une culture du juste milieu, largement transpartisane et de défense de l'intérêt général. L'unité, l'unité, l'unité.
C'est cette culture du compromis et de refus des extrêmes qui amènera Mussolini à s'entendre avec le Pape même s'il était Athée, avec le roi même s'il n'était pas royaliste, avec les syndicalistes même s'il était du côté de leurs employeurs, avec les faisceaux les plus violents dont il tentera de contenir les exactions.
Le fascisme est aussi un centrisme révolutionnaire, et c'est pour ça qu'il a été élu d'ailleurs en Allemagne ou Italie dans des pays aux institutions décrédibilisées. L'espoir de régénérer l'esprit national, de dynamiser l'état a rendu aveugles les petits propriétaires aux moyens, aux zones d'ombres des idéologies.
Le problème n'est donc pas l'extrémisme idéologique ou le placement des gens sur les camemberts des médias qui répartissent les politiciens mais l'obéissance aveugle aux hiérarchies (cf H Arendt) et l'attachement fanatique aux institutions là où on devrait être attachés fanatiquement à des principes moraux.
Ca fait depuis 2002 que la démocratie représentative ne fonctionne plus en France, on ne vote plus pour (comme prévu par les institutions) mais contre (comme... pas prévu), les médias passent lentement sous contrôle de milliardaires plein d'arrières pensées qui instillent un récit sécuritaire alors qu'on n'a jamais été aussi en sécurité dans l'histoire connue et avancent les pions du lynchage comme politique. Tous les modérés et les gens attachés à la stabilité devraient être les premiers à vouloir changer de système... mais ce sont des menteurs. Et certainement pas des modérés :)
#1.5
Comme quoi, le problème ce n'est pas la classe politique, mais simplement l'extrémisme.
#2
Tant que la bulle de l'IA n'aura pas percé ce sera probablement le cas.
#2.1
La start-up nation dans touts sa splendeur, rebondissant d'un business plan foireux à l'autre...
#2.2
#3
Ministre de la sécurité du quotidien... (l'intérieur V.2)
Ministre des caleçons courts...
Ministre des caleçons longs...
Je m'auto proclame ministre des fleurs ET capitaine des nuages.
#3.1
#4
Ça, c'est plutôt intelligent, par contre, quelle idée de nommer une ESSEC plutôt que quelqu'un qui a un parcours scientifique et technique.
En regardant son profil, j'ai vu que le lycée Saint-Louis à Paris avait maintenant une prépa pour écoles de commerce. C'est un signe des temps !
#4.1
#5
Vebant de la French Tech, qui bave devant le succès des multinationales californiennes, j'ai quand même assez peu d'espoir d'avoir des positions qui leur seraient défavorables.
#6