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Surfinjak

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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10 commentaires

L'IA pour attribuer des financements de recherche ?

Le 21/02/2023 à 13h 38

Sachant que la moitié des chercheurs passe son temps à “évaluer” l’autre moitié, utilisé une IA pour l’évaluation des projets permettrait de gagner 50% de temps de recherche :fou:


Le CNRS milite pour la licence Creative Commons by

Le 07/12/2022 à 22h 33

J’attends les articles de loi qui vont dans le sens de ce que vous dites tous les 2. Quand on connaît un sujet, ici, on donne de l’information et on la source, sinon le commentaire a peu d’intérêt.



J’ai parlé de salariat dans mon premier commentaire où je posais une question générale, donc OK, ça ne couvrait pas le cas des fonctionnaires, mais il me semble qu’il n’y a pas que des fonctionnaires parmi les chercheurs du CNRS.



Par contre, quand j’ai sorti les articles de loi du code de la propriété intellectuelle, je n’en ai pas parlé et ils ne parlent pas non plus de salariat ou salarié. Ils me semblent pouvoir s’appliquer aux chercheurs du CNRS tout statut confondu pour le logiciel qui est le point auquel je réagissais.



Pour les publications, je suis preneur d’information vérifiable.


ce n’est pas facile de trouver les “bons” textes de loi, mais je suis tombé sur une page du service valorisation de l’Université de Rouen
http://recherche.univ-rouen.fr/la-propriete-intellectuelle-et-la-recherche-universitaire–78018.kjsp



En pratique, le chercheur a bien la propriété intellectuelle et les “droits d’auteur” sur ses productions… mais les droits patrimoniaux (d’exploitation) appartiennent à l’université ou à l’institut de recherche.



“Ainsi, tous les droits relatifs à l’utilisation et à l’exploitation d’un logiciel développés par des personnels de l’université appartiennent à l’université qui est libre d’en disposer tant que cela ne va pas à l’encontre des droits moraux des auteurs.”


Le 05/12/2022 à 10h 47

Non, le code de la recherche précise que les chercheurs (et enseignants-chercheurs) publics gardent les droits d’auteur sur leurs œuvres de l’esprit (publications et logiciels notamment). C’est la liberté académique.



C’est pour ça que le CNRS ne peut qu’encourager, et pas obliger, ses chercheurs à suivre telle ou telle politique en matière de droit d’auteur.


dans le règlement intérieur de mon labo :
“Les inventions et droits patrimoniaux sur les logiciels obtenus au sein de l’unité appartiennent aux tutelles de l’unité en application de l’article L.611-7 et L113-9 du code de la propriété intellectuelle et
conformément aux accords passés entre lesdites tutelles.”



https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000039279818/
“Sauf dispositions statutaires ou stipulations contraires, les droits patrimoniaux sur les logiciels et leur documentation créés par un ou plusieurs employés dans l’exercice de leurs fonctions ou d’après les instructions de leur employeur sont dévolus à l’employeur qui est seul habilité à les exercer. “



https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000031012254/2015-08-08
“Les inventions faites par le salarié dans l’exécution soit d’un contrat de travail comportant une mission inventive qui correspond à ses fonctions effectives, soit d’études et de recherches qui lui sont explicitement confiées, appartiennent à l’employeur.”



je ne suis pas juriste, mais cela me semble assez clair :)


Le 03/12/2022 à 16h 31

Tout ce que produit le personnel du CNRS est propriété intellectuelle du CNRS, en particulier les publications scientifiques.
De nombreux éditeurs de journaux scientifiques imposent cependant que l’ensemble des droits associés à la publication lui soit cédés.
Comme le CNRS est financé pour l’essentiel par les impôts du contribuable, ceci n’est pas acceptable.
Certains domaines sont plus en avance que d’autres sur le sujet, mais l’orientation du CNRS actuellement sur la science ouverte est tout à fait louable.


Le fonctionnement de la rédaction de Next INpact, les évolutions à venir

Le 05/07/2022 à 21h 00

sur la ligne éditoriale :




  • le juridique (au sens large) : j’ai rarement le temps de tout lire, mais ce qui est développé est parfois tellement hallucinant que c’est indispensable de le publier

  • l’astrophysique et l’espace : j’aime bien, c’est mon métier…

  • le hardware : j’en veux toujours plus, l’écosystème des nouveaux processeurs et architectures est tellement mouvante en ce moment, c’est passionant… sauf qu’évidemment, il faut être pointu (on veut du David :o) )

  • les jeux vidéos : je n’ai plus le temps de jouer, mais j’aime suivre l’actualité, et je serais grandement intéressé par un peu plus de nouvelles sous un angle “inpactien”, tests inclus. Et puis mes enfants commencent à jouer, il faut que je reste au courant.


Next INpact est en réel danger de mort

Le 01/07/2022 à 21h 10

Je ne suis pas sûre que quelques réflexions puissent aider mais au cas où :




  1. j’ai renouveler mon abonnement hier pour 2 ans… et votre site me proposait une ristourne de 10%, j’ai donc du me forcer pour pousser le curseur et payer plus : donc oui, vous devez augmenter vos prix d’abonnement.



  2. non, pour un abonnement plus cher, vous ne devez pas produire plus de contenu : vos abonnés n’ont déjà pas le temps de tout lire !



  3. dans le meme ordre d’idée le rapport qualité/prix que vous proposer est bien trop élevé : vous avez de la marge pour augmenter le prix ou réduire (un peu) la qualité : ce qui pourrait laisser du temps à vos journalistes experts de travailler en freelance sur des projets très rémunérateurs à côté, et donc de compléter leur fin de mois par ailleurs, et donc pour NI de faire quelques économies.



  4. vu les commentaires il est évident que vos abonnés sont des “vieux” comme vous (et moi…), qui vous suivent depuis le début, et donc il y en a de moins en moins, alors qu’il vous faudrait le double d’abonnés : là c’est clair qu’il faut ouvrir sur le format (des articles plus courts (pas moins vrai) pour les d’jeuns habitués aux vidéos de 20’) et diversifier (peut-être possible si les experts se mettent en “retrait”, voir le point 3.)




Bon courage à vous pour trouver une solution !


Chip News : inscrivez-vous à la newsletter éditoriale (gratuite) d'INpact Hardware

Le 20/10/2021 à 17h 27

moi, je suis assez vieux pour bien aimer les mails…
pour ce qui est du contenu, j’aimerais du hardware, quitte à s’éloigner de ce que l’on trouve du monde des PC.
A part ça, joli jeu de mot, il m’a fallu la journée pour m’en rendre compte !


Concours GeForce RTX 3060 Ti : et le gagnant est...

Le 15/09/2021 à 12h 44

moi je veux bien un RTX 3060 Ti, sauf qu’il faudra que j’investisse aussi dans une carte mère, un processeur, un NVMe… au final, ça risque de me couter cher !


Concours Next INpact de rentrée : qui sont les gagnants ?

Le 06/09/2021 à 09h 31

je me demande bien quelle utilisation je pourrais faire du telle clé…


OpenSSH 8.7 : transférez un fichier entre deux serveurs grâce à une clé de sécurité (FIDO/U2F)

Le 03/09/2021 à 19h 14

Techniquement FIDO n’est pas limité à un type d’interface en particulier. Tout dépend de l’implémentation d’OpenSSH là-dessus, elle pourra évoluer dans le temps, même si gérer le wearable = passer par le BT ou le NFC avec tout le foutoir que ça entraîne.



Mais si l’écosystème Linux pouvait déjà gérer de manière globale et correctement les clés de sécurité via les standard U2F/FIDO même seulement en USB, ce serait un bon début.


par curiosité, comme openssh recommande d’utiliser rsync plutôt que scp (ici), est-il possible d’utiliser ces clés FIDO avec rsync ?



sachant en plus, que ici scp utilise en fait le protocole sftp, ce que rsync ne peut semble-t-il pas faire directement…