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Une députée veut que les logiciels commandés par l’État soient libres

Liberté égalité fraternité

Une députée veut que les logiciels commandés par l’État soient libres

Le 03 décembre 2013 à 14h15

Et si les logiciels ou toute autre œuvre ou donnée immatérielle (travaux de recherche, etc.) produite grâce aux deniers publics étaient publiés sous licence libre par l’État ? Telle est la proposition d’une députée à l’attention du gouvernement.

assemblée nationale députés

 

Sylvie Andrieux, députée (non-inscrite) des Bouches-du-Rhône, a transmis aujourd’hui une question écrite à la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, afin de lui demander ce qu’elle comptait faire pour « libérer les droits sur les données et œuvres produites ou subventionnées par les services de l'État ou des collectivités locales ». Selon l’élue, tout logiciel développé au travers de la commande publique devrait en effet « être libre, tout comme des cartes, des travaux de recherche ou un catalogue des métadonnées des œuvres enregistrées... ».

 

Si les administrations, départements, régions, divers établissements publics... ont régulièrement recours à des logiciels pour lesquels ils n’acquièrent qu’un droit d’usage (tels que Windows ou Office par exemple), ces personnes morales de droit public sont parfois amenées à commander ou co-financer des logiciels dont ils deviennent propriétaires.

 

La parlementaire poursuit ainsi son plaidoyer en affirmant que la publication de ces logiciels ou données immatérielles « pourrait être envisagée sous licence libre, dans un format facilement exploitable ». Sylvie Andrieux concède néanmoins qu’une exception pourrait être prévue pour les « données confidentielles ou critiques pour la sécurité publique ». La locataire de la Rue de Valois est ainsi invitée à ce positionner sur cette proposition, qui serait selon la députée de nature à « améliorer la diffusion de la connaissance et de la culture ».

 

L’on notera au passage que Sylvie Andrieux a été condamnée en début d’année pour détournement de fonds publics, avant de faire appel de cette décision.

Vers une ouverture des logiciels, des travaux de recherche, des API... ?

En attendant la réponse d’Aurélie Filippetti, remarquons que l’idée soumise par l’élue fait fortement penser au contenu de l’une des préconisations formulées la semaine dernière par le Conseil national du numérique (p.53). Au travers de son rapport sur l’inclusion numérique, l’institution en appelait effectivement à un pas beaucoup plus prononcé en faveur de l’ouverture des données publiques (Open Data), et ce dans une acceptation relativement large. En l’occurrence, les membres du CNNum faisaient référence à trois mouvements distincts :

  • Permettre un libre accès à la « recherche scientifique publique », ainsi qu’aux « œuvres de l’esprit produites sur fonds publics réutilisables, dans le respect des droits de la création ». Cela concerne donc les logiciels.
  • Publier, sous forme dématérialisée, les rapports d’expertise appuyant toute décision publique ; les rapports d’évaluation des politiques publiques ; les comptes d’organisation bénéficiant de financements publics.
  • Ouvrir les ressources informatiques (interfaces de programmation de type "API") relatives à certains programmes (calculs de droits, informations en temps réel, etc.).

Commentaires (85)

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John Shaft a écrit :



Condamnée en première instance rappelons le. Et tous les appels ne sont pas forcément suspensif de mémoire <img data-src=" />





Tu as raison, supprimons la possibilité d’appel, ils ne servent à rien.



Je parle en général, pas sur ce cas précis dont je ne sais presque rien si ce n’est ce que j’ai lu sur le lien de la news vers Le Monde où je peux lire :



Cet appel a un effet suspensif sur sa condamnation, qui ne deviendra définitive que si elle est confirmée en appel, voire en cas de rejet d’un éventuel pourvoi en cassation.





Donc dans ce cas, l’appel est suspensif.


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fred42 a écrit :



Tu as raison, supprimons la possibilité d’appel, ils ne servent à rien.







Oué, le pal direct (c’est économe en plus) <img data-src=" />



Tonton Karl reconnaîtra les siens <img data-src=" />


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Libre = d’autres états peuvent les utiliser, analyser, modifier, etc. En cas d’accès payant, ces autres états pourraient faire leur propre fork “gratuitement”.



Pourquoi l’état n’aurait pas le droit de faire fructifier des licences logicielles dont il est propriétaire ?

Il pourrait accorder un usage gratuit à ses citoyens, et payant au reste du monde par exemple.



Et je ne parle pas des éventuelles failles qui pourraient etre exploitées contre l’état dans le cadre de logiciels libres.

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Si ça pouvait éviter les catastrophes comme le logiciel Louvois, le logiciel de paye de l’armée.

Déployé en 2011, déclaré mort en 2013, il sera remplacé en 2015 : 480 millions d’euros foutus à la poubelle, bravo les gars. <img data-src=" />



Un exemple de bon sens est le gouvernement brésilien qui a décidé d’interdire l’achat de logiciel non-auditable en intégralité, c.a.d. qu’il met les logiciels libres ou open-source en très bonne position.

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unCaillou a écrit :



Si ça pouvait éviter les catastrophes comme le logiciel Louvois, le logiciel de paye de l’armée.

Déployé en 2011, déclaré mort en 2013, il sera remplacé en 2015 : 480 millions d’euros foutus à la poubelle, bravo les gars. <img data-src=" />



Un exemple de bon sens est le gouvernement brésilien qui a décidé d’interdire l’achat de logiciel non-auditable en intégralité, c.a.d. qu’il met les logiciels libres ou open-source en très bonne position.





C’est pas un dev interne déjà la mocheté louvois ?


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yeagermach1 a écrit :



C’est pas un dev interne déjà la mocheté louvois ?





Oui, dev interne (callamiteux), d’ailleurs pour dév le prochain soft, Le Drian a dit “le temps de la fabrication maison est terminé” <img data-src=" />


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Vser a écrit :



Et si c’est pour rappeler quel personnage se cache derrière la question, il peut être utile de s’étendre plus qu’un simple



qui ne t’apprendra en rien à la connaître.



On n’est quand même pas en campagne électorale…







Mise à part le fait que cette personne vient foutre son grain de sel pour les licences libres pour surement faire des économies alors quand parallèle elle détourne allégrement l’argent du contribuable … ? cette info est même extrêmement pertinente sur cette news

T’es son homme et tu vas porter plainte pour diffamation ? à croire que tu es le seul que ça dérange cette information .. Et pour ton exemple de Free , Samsung et Apple , il y a assez de news mensuelles pour le rappeler leur déboire Free vs UFC , Samsung vs Apple, c’est dans les moeurs maintenant


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unCaillou a écrit :



Si ça pouvait éviter les catastrophes comme le logiciel Louvois, le logiciel de paye de l’armée.

Déployé en 2011, déclaré mort en 2013, il sera remplacé en 2015 : 480 millions d’euros foutus à la poubelle, bravo les gars. <img data-src=" />



Un exemple de bon sens est le gouvernement brésilien qui a décidé d’interdire l’achat de logiciel non-auditable en intégralité, c.a.d. qu’il met les logiciels libres ou open-source en très bonne position.







C’est le logiciel Louvois qui est le fautif des payes retardé des militaires dépassant pour certains 3 mois ? ou c’est car l’Etat a plus de fric ..


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lateo a écrit :



Dit comme ça, c’est juste déraisonnable et pas sérieux.





Tu peux développer? Je ne vois pas ce qu’il y a de déraisonnable, au contraire : ce qui est financé par les fonds publics se retrouve accessible à tout le monde.







metaphore54 a écrit :



Il faut un juste milieu, pas sûr que le tout libre soit un avantage.





Pour ma part, je suis persuadé du contraire. Le tout libre implique une connaissance générale et un partage des connaissances et des processus à toute personne intéressée, avec la possibilité de participation de chacun. Donc une meilleure réactivité et une durabilité sans limite.







yl a écrit :



Les données traitées par un logiciel libre ne sont heureusement pas “contaminées” par une licence comme la GPL. Donc il n’y a aucun pb. […] et a côté nos petits softs plein de secrets que l’on ne souhaite aucunement voire contaminé par une licence libre!





Pour les données, faut voir, ça dépend le risque lié à leur publication (mais je n’aime pas le terme contaminé).

Pour les softs, au contraire, je ne supporte justement pas tous ces softs “plein de secrets” comme tu dis, car on ne sait ni comment ils fonctionnent, ni ce qu’ils font réellement avec nos données, et le jour où la boîte décide de lâcher le développement, personne ne peut prendre la succession.







Loupton a écrit :



c’est vrai que c’est chère les licences, ça fait trop d’argent qu’on peut pas détourner…





Ca n’a aucun rapport. Après réalisation, l’état est propriétaire, il n’a donc aucune licence à payer, et le développement reste à sa charge.







lateo a écrit :



Mais comment on vend des trucs tout vérolés aux autres pays?





Gros troll velu qui vaut à peine qu’on le remarque.







Natsume a écrit :



Et je ne parle pas des éventuelles failles qui pourraient etre exploitées contre l’état dans le cadre de logiciels libres.





On peut tout autant exploiter les failles dans un logiciel privateur que dans un logiciel libre. Il est cependant plus simple de les corriger dans un logiciel libre.







yeagermach1 a écrit :



C’est pas un dev interne déjà la mocheté louvois ?





Rien à voir. Un logiciel libre n’est pas forcément développé en interne, et réciproquement.







Elwyns a écrit :



Mise à part le fait que cette personne vient foutre son grain de sel pour les licences libres pour surement faire des économies





Voir ci-dessus : la publication libre des logiciels développés sur commande de l’état n’aura pas de conséquence financière, le développement étant toujours à charge.


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Amariel a écrit :









Entièrement d’accord avec les arguments de réponses.



Je rappelle simplement l’existence de l’ADULLACT dont c’est l’objet et le crédo : “L’argent public ne doit payer qu’une fois.”


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Amariel a écrit :



Tu peux développer? Je ne vois pas ce qu’il y a de déraisonnable, au contraire : ce qui est financé par les fonds publics se retrouve accessible à tout le monde.







La fusion nucléaire pour tous, en somme?



On se demande qui troll le plus <img data-src=" />


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NiCr a écrit :



Attention, j’ai parlé d’open source, pas de libre.



Et le principe de l’open source c’est que tu ne sélectionnes pas qui développe. Mais par contre tu n’es en aucun cas obligé d’utiliser ce qui est disponible sur le tronc. Rien ne t’empêche d’apporter tes modifications pour ton usage.







Faire de l’open source ne signifie pas gérer un dépot de source dans lequel tous le monde peut apporter sa pierre.

ça veut juste dire que tu donnes les sources de ce que tu développes.

Un exemple parfait est androïd dont, sauf erreur de ma peur, Google diffuse régulièrement les sources.

Pour le libre c’est exactement pareil.



Bon nombre de projet sont open-source ou libre, mais pas forcément ouvert à participation extérieure (et encore moins directement). Généralement on sélectionne qui développe, sinon ça serrait ingérable…

Dans le noyau linux, tout le monde peut théoriquement participer, mais la route est longue avant que le code de quelqu’un soit intégré par exemple.







Amariel a écrit :



On peut tout autant exploiter les failles dans un logiciel privateur que dans un logiciel libre. Il est cependant plus simple de les corriger dans un logiciel libre.





C’est tout de même à double tranchant, il est généralement plus simple de les trouver.


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Natsume a écrit :



Libre = d’autres états peuvent les utiliser, analyser, modifier, etc. En cas d’accès payant, ces autres états pourraient faire leur propre fork “gratuitement”.



Pourquoi l’état n’aurait pas le droit de faire fructifier des licences logicielles dont il est propriétaire ?

Il pourrait accorder un usage gratuit à ses citoyens, et payant au reste du monde par exemple.



Et je ne parle pas des éventuelles failles qui pourraient etre exploitées contre l’état dans le cadre de logiciels libres.





Tu n’as pas compris le problème. Actuellement l’état n’a pas les codes sources des logiciels qu’il commande à des entreprises privées.

Par contre, si on oblige les logiciels commandés par l’état à être libres, alors l’état pourra les utiliser, analyser, modifier, faire son propre fork “gratuitement”, accorder un usage gratuit à ses citoyens, etc.



Pour les failles, c’est pire avec un logiciel propriétaire, alors bon…


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Mihashi a écrit :



Tu n’as pas compris le problème. Actuellement l’état n’a pas les codes sources des logiciels qu’il commande à des entreprises privées.







En fait ça dépend. Mais généralement, si tu veux le code, ‘faut allonger plus de blé.

Donc le mec fait la balance entre le surcoût immédiat et le gain ultérieur éventuel… par rapport au besoin effectif immédiat, et sachant qu’il aura probablement changé de poste avant que son projet ne soit vraiment bien sur les rails.



Mais des achats de code (et du droit de le modifier) ça existe dans le public.


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lateo a écrit :



La fusion nucléaire pour tous, en somme?



On se demande qui troll le plus <img data-src=" />







Si tu parles des connaissances théoriques le permettant, oui. J’estime que la connaissance, quelle qu’elle soit, doit être accessible à tout le monde.

Après, ça ne veut pas dire que le matériel doit être fourni gracieusement à quiconque veut faire son réacteur dans son garage. Et si tu relis bien l’article, il est précisé «qu’une exception pourrait être prévue pour les « données confidentielles ou critiques pour la sécurité publique ».»



Par rapport à ta réflexion sur les codes vérolés, je ne me demande pas lequel des deux fait dans le troll… à moins que j’ai mal compris ta remarque…







dam1605 a écrit :



C’est tout de même à double tranchant, il est généralement plus simple de les trouver.





Certes, mais plus simple de les trouver ne veut pas dire que celui qui les trouve voudra les exploiter à son profit. On peut chercher les failles pour les exploiter comme pour les corriger. Par exemple :

-&gt; Si la faille est facile à trouver (dans le cas du libre), elle pourra être vite exploitée, mais également vite corrigée (peut-être avant même d’être exploitée).

-&gt; Si la faille est difficile à trouver (dans l’autre cas donc), il faut espérer que la personne qui tombera dessus par hasard ou après des jours de test sera bien intentionnée, car elle sera sûrement la seule à la connaître pendant un moment… Et dans le cas où elle serait bien intentionnée et qu’elle ferait part de la faille à la boîte de développement, on serait tributaire de la volonté de réaction de cette boîte pour disposer d’un correctif.


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Je tiens à rappeler que Mme Sylvie Andrieux à voter pour le projet de loi de programmation militaire de 2014 qui dote la France d’une sorte de Patriot Act.

En gros elle manque de constance dans le domaine quoi …



http://www.assemblee-nationale.fr/14/scrutins/jo0737.asp

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Amariel a écrit :



Pour les données, faut voir, ça dépend le risque lié à leur publication (mais je n’aime pas le terme contaminé).

Pour les softs, au contraire, je ne supporte justement pas tous ces softs “plein de secrets” comme tu dis, car on ne sait ni comment ils fonctionnent, ni ce qu’ils font réellement avec nos données, et le jour où la boîte décide de lâcher le développement, personne ne peut prendre la succession







Le fait que la GPL soit une licence contaminante, c’est le terme…



Pour les données, heureusement que celles traitées par une BDD (ou un simple script perso) ne doivent pas être publiées. Le libre n’aurait jamais perçé en jouant à ca.



Sinon, niveau soft, il est clair qu’il serait idiot de dévoiler celui d’un système d’armes par exemple. Il y a un investissement énorme, tes données ne sont pas en jeu et le source on l’a.


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Natsume a écrit :



Heu, on parle bien des logiciels commandés par l’état, alias les fameux logiciels avec des sigles à dormir debout et développés exprès pour (par ?) la fonction publique, pas les logiciels libres disponibles au grand public sur le marché.





Quelle différence? L’exemple de Windows et de la NSA n’est, comme son nom l’indique, qu’un exemple. Les mêmes problèmes peuvent s’appliquer à d’autres logiciels.







Natsume a écrit :



Par contre, je ne vois pas pourquoi il devrait systématiquement ouvrir le code de tous ses logiciels “maison” au grand public.





Parce que ce qui est payé par des fonds publics doit être à la disposition du public. C’est en tout cas mon avis et je le partage.







yl a écrit :



Le fait que la GPL soit une licence contaminante, c’est le terme…





Certes, j’avais interprété son utilisation pour une dénigrance. Cela dit, je n’aime tout de même pas ce terme.









yl a écrit :



Pour les données, heureusement que celles traitées par une BDD (ou un simple script perso) ne doivent pas être publiées. Le libre n’aurait jamais perçé en jouant à ca.





Certes également. Je pensais davantage aux données telles qu’énoncées dans l’article, à savoir les résultats des travaux de recherche publique. Il est évident que chacun reste propriétaire de ses données, même si celles-ci sont traitées par des logiciels libres.







yl a écrit :



Sinon, niveau soft, il est clair qu’il serait idiot de dévoiler celui d’un système d’armes par exemple.





Je triple mon certes ^^.







madhatter a écrit :



Tiens, t’es là toi ? <img data-src=" />





Salut ma biche <img data-src=" />


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OlivierJ a écrit :



C’est une excellente idée, c’est d’ailleurs un des buts du logiciel libre. Une fois que le développement est payé (par notre argent), autant que le logiciel soit mis sous licence libre.



Deux points :




  • Dans la recherche, informatique au moins, une bonne partie des développements effectués sont dans une licence libre ou proche, comme la licence CeCILL (abréviation de « CEA CNRS INRIA logiciel libre ») :fr.wikipedia.org Wikipedia.

  • J’ai travaillé pour une SSII à la mise au point d’une charte de développement Web pour un ministère, cette charte a été mise en licence Creative Commons (logo sur le document), et ce n’a pas été le seul document de ce genre.







    Tu ne peux pas mettre n’importe quel logiciel produit par une des entités que tu cites. Pour certaines s’applique un niveau de confidentialité plus ou moins élevé.


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herbeapipe a écrit :



Tu ne peux pas mettre n’importe quel logiciel produit par une des entités que tu cites. Pour certaines s’applique un niveau de confidentialité plus ou moins élevé.





On s’en doute :) .


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OlivierJ a écrit :



On s’en doute :) .







Je préfère préciser. <img data-src=" />


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NiCr a écrit :



Donc bien sûr qu’il ne faut pas rendre public les données sensibles. Mais les logiciels utilisés par la Défense ont tout intérêt à être ouverts à tous. <img data-src=" />







Les données traitées par un logiciel libre ne sont heureusement pas “contaminées” par une licence comme la GPL. Donc il n’y a aucun pb.



Pour le reste on ne va pas ouvrir non plus tout ce qui a une importance stratégique, développé à grand frais!



Surtout que ce n’est pas les solutions qui manquent désormais pour développer des systèmes bien partitionnés (hyperviseur, co-noyau…) avec d’un côté une plateforme OS, par exemple linux, gérant les FS, le réseau, toute l’intendance… et a côté nos petits softs plein de secrets que l’on ne souhaite aucunement voire contaminé par une licence libre!


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Je ne suis pas sûr de bien entendre ce que l’élu indique par “devrait en effet être libre”. Ce serait seulement la liberté d’exploitation/copie (si on se place dans le cadre de production logicielle) ou également celle de modification, donc avec un accès aux sources ?



Perso, je souhaiterais bien que ce soit le second cas mais dans le paysage économique de la recherche (informatique) actuel, je ne pense pas que cela soit réellement enviable… M’enfin… plus de précision de la part de l’élu nous permettrait d’éliminer pas mal d’interrogations bloquantes :




  • les travaux doivent-ils être considérés comme libre dès leur publication dans une conférence/revue ?

  • Peut-on bloquer leur diffusion en “mode libre” durant X années ?

  • Que ce passe-t-il s’il y a brevet ?

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Wen84 a écrit :



Non, mais il est bon de rappeller quel personnage ce cache derrière quel projet. Ca evite les déceptions. Donc pour moi, c’est en plein de la news, car il est bien question d’une députée en particulière.







Si c’est pour cela, il aurait-pu être bon de préciser qu’en plus d’être non inscrite, elle était avant au PS et est – je crois – membre de l’actuelle majorité, ce qui me semble plus pertinent comme info…



Et si c’est pour rappeler quel personnage se cache derrière la question, il peut être utile de s’étendre plus qu’un simple



L’on notera au passage que Sylvie Andrieux a été condamnée en début d’année pour détournement de fonds publics, avant de faire appel de cette décision.



qui ne t’apprendra en rien à la connaître.



On n’est quand même pas en campagne électorale…


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Vser a écrit :



Rappelle-t-on dans toutes les news Samsung leurs déboires avec Apple, dans toutes les news sur free qu’ils ont été condamnés pour dénigrement…



Cela n’a rien à voir avec des privilèges, je considère juste que cela n’a rien à voir avec la news…







<img data-src=" /> atteinte a la crédibilité ?



Quelqu’un qui parle d’éviter des surcoût pour l’état qui est elle même poursuivie pour abus de bien sociaux… Tu peux être certain il en sera fait mention lors des débats…



Hôpital, charité toussa


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NiCr a écrit :



Je ne vois pas pourquoi.



Ce qui est sensible au niveau de la Défense et autres, ce sont les données, pas la façon dont elles sont traitées (logiciels).



Donc bien sûr qu’il ne faut pas rendre public les données sensibles. Mais les logiciels utilisés par la Défense ont tout intérêt à être ouverts à tous. <img data-src=" />







Et comment tu sélectionne les personnes qui participe au projet du logiciel si il est libre, car si il y a des données sensibles à traiter, beaucoup d’agence d’autres pays se feront un plaisir à participer au développement du logiciel.


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metaphore54 a écrit :



Et comment tu sélectionne les personnes qui participe au projet du logiciel si il est libre, car si il y a des données sensibles à traiter, beaucoup d’agence d’autres pays se feront un plaisir à participer au développement du logiciel.







euh ça rien à voir, tu peux faire ce que tu veux à ce niveau, le développement peut se faire de manière fermée à un nombre limité de devs, c’est ce qu’il se fait un peu partout hein … si le code est libre d’autres pourront récupérer et modifier dans leur coin, mais sans polluer la base initiale… Tu peux accepter ou refuser leurs contributions si à leur tour ils souhaitent partager, après, si tu as envie…


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Vser a écrit :



Si c’est pour cela, il aurait-pu être bon de préciser qu’en plus d’être non inscrite, elle était avant au PS et est – je crois – membre de l’actuelle majorité, ce qui me semble plus pertinent comme info…



Et si c’est pour rappeler quel personnage se cache derrière la question, il peut être utile de s’étendre plus qu’un simple



qui ne t’apprendra en rien à la connaître.



On n’est quand même pas en campagne électorale…







Bah… Excuse moi, question point de vue, moi ça me rappelle que c’est une politicienne comme une autre. Moi ça me suffit <img data-src=" />


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metaphore54 a écrit :



Et comment tu sélectionne les personnes qui participe au projet du logiciel si il est libre, car si il y a des données sensibles à traiter, beaucoup d’agence d’autres pays se feront un plaisir à participer au développement du logiciel.







Attention, j’ai parlé d’open source, pas de libre.



Et le principe de l’open source c’est que tu ne sélectionnes pas qui développe. Mais par contre tu n’es en aucun cas obligé d’utiliser ce qui est disponible sur le tronc. Rien ne t’empêche d’apporter tes modifications pour ton usage.


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Tim-timmy a écrit :



euh ça rien à voir, tu peux faire ce que tu veux à ce niveau, le développement peut se faire de manière fermée à un nombre limité de devs, c’est ce qu’il se fait un peu partout hein … si le code est libre d’autres pourront récupérer et modifier dans leur coin, mais sans polluer la base initiale… Tu peux accepter ou refuser leurs contributions si à leur tour ils souhaitent partager, après, si tu as envie…





Ok, j’ai encore du mal avec toutes ces notions.



Si c’est développé en interne pas de souci, du moment que personne d’autre y touche, mais j’ai bien peur que la député ne voit que les économie et pas les risques.



NiCr a écrit :



Attention, j’ai parlé d’open source, pas de libre.



Et le principe de l’open source c’est que tu ne sélectionnes pas qui développe. Mais par contre tu n’es en aucun cas obligé d’utiliser ce qui est disponible sur le tronc. Rien ne t’empêche d’apporter tes modifications pour ton usage.





du moment que c’est développé en interne pourquoi pas, parce que savoir qui développe quoi est impossible, trop de risque pour ce qui est sensible.


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metaphore54 a écrit :



Ok, j’ai encore du mal avec toutes ces notions.



Si c’est développé en interne pas de souci, du moment que personne d’autre y touche, mais j’ai bien peur que la député ne voit que les économie et pas les risques.

du moment que c’est développé en interne pourquoi pas, parce que savoir qui développe quoi est impossible, trop de risque pour ce qui est sensible.









le sens de sa question est de libérer le produit de ce qui est fait avec des fonds publics, pas la manière dont c’est développé, je pense… trop le bordel en effet, sinon


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Allez savoir , j’ai vu Xavier Berne péter sur sa chaise l’autre jour….

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Vser a écrit :



Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?





+1



EDIT: ceci étant pour défendre Xavier C’est pas inintéressant de la savoir mais en l occurrence ça arrive comme un cheveux sur la soupe …

pour la V6 on pourrait penser à faire une petite fiche sur les gens cité


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Elle est bien cette députée, au mois une qui a de la réflexion.

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NiCr a écrit :



Je ne vois pas pourquoi.



Ce qui est sensible au niveau de la Défense et autres, ce sont les données, pas la façon dont elles sont traitées (logiciels).



Donc bien sûr qu’il ne faut pas rendre public les données sensibles. Mais les logiciels utilisés par la Défense ont tout intérêt à être ouverts à tous. <img data-src=" />







Si ca peut etre délicat. Suppose qu’on ait développé un super satellite espion et que l’armée veuille commander un soft de traitement des données. Cette loi obligerait à publier le soft, et donc à renseigner à tous nos “ennemis” ce qu’on est capables d’observer, et pire, par déduction ce qu’on est pas capables d’observer.



Mais en dehors des questions de sécurité au sens large, je suis effectivement pour. Le soft qui a été commandé et développé par nos impôts doit pouvoir servir à tous, et rendre le monde meilleur.


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ultimafight a écrit :



Allez savoir , j’ai vu Xavier Berne péter sur sa chaise l’autre jour….







<img data-src=" />



Ce serait bien important de le rajouter dans l’article !


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C’est pas demain la veille que ça arrivera, les entreprises qui font des applications métier préfèrent souvent garder la main dessus pour se gaver royalement sur le système de licence, la moindre modification, les version n+1, et le support d’une nouvelle version d’un système, sans parler du côté captif avec des formats de fichiers qui ne soient pas exploitables avec d’autres applications.



Je suis persuadé que même ici, certains bossant dans le milieu, refuseront catégoriquement cette idée de peur de voir leur emploi disparaitre, sans se soucier de savoir si ça serait juste ou non.

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Pour le coup ça s’appliquerait à bien plus que des logiciels : quand l’état, par le biais des deniers du ministère de la culture, finance un artiste, ça laisserait la paternité à l’auteur assorti d’une licence ouverte ?



J’imagine facilement que ce sujet va être taclé par Aurélie Gaumont-Universal Filipetti

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Et si les logiciels ou toute autre œuvre ou donnée immatérielle (travaux de recherche, etc.) produite grâce aux deniers publics étaient publiés sous licence libre par l’État ? Telle est la proposition d’une députée à l’attention du gouvernement.





Dit comme ça, c’est juste déraisonnable et pas sérieux.

Maintenant il y a matière à creuser le sujet, indiscutablement…

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Une députée veut que les logiciels commandés par l’État soient libres



Et si les logiciels ou toute autre œuvre ou donnée immatérielle (travaux de recherche, etc.) produite grâce aux deniers publics étaient publiés sous licence libre par l’État ? Telle est la proposition d’une députée à l’attention du gouvernement







euh … le terme “commandé” est quand même super mal choisi.. <img data-src=" /> J’ai cru que ça parlait de n’utiliser que des LL…





c’est deja le cas pour pas mal de trucs quand c’est utile ou souhaitable (recherche par exemple, même si pas forcément quand on souhaite la valoriser financièrement … mais c’est un autre sujet ), mais forcer cela me semble complètement idiot. Ca revient à filer généreusement le travail de nos impôts à nos voisins, non ?



et oui, heureusement que ça exclut la défense and co …

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C’est une excellente idée, c’est d’ailleurs un des buts du logiciel libre. Une fois que le développement est payé (par notre argent), autant que le logiciel soit mis sous licence libre.



Deux points :




  • Dans la recherche, informatique au moins, une bonne partie des développements effectués sont dans une licence libre ou proche, comme la licence CeCILL (abréviation de « CEA CNRS INRIA logiciel libre ») :fr.wikipedia.org Wikipedia.

  • J’ai travaillé pour une SSII à la mise au point d’une charte de développement Web pour un ministère, cette charte a été mise en licence Creative Commons (logo sur le document), et ce n’a pas été le seul document de ce genre.

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L’on notera au passage que Sylvie Andrieux a été condamnée en début d’année pour détournement de fonds publics, avant de faire appel de cette décision.





Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?

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Tim-timmy a écrit :



euh … le terme “commandé” est quand même super mal choisi.. <img data-src=" /> J’ai cru que ça parlait de n’utiliser que des LL…







Pourquoi un logiciel libre ne pourrait-il pas être commandé ?



Pour un développement spécifique, tu peux faire une “commande”, indépendamment de la licence choisie.



Sinon, effectivement, il est difficilement compréhensible qu’un logiciel dont le développement a été financé par l’État (donc par nous) ne soit pas libre.


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®om a écrit :



Pourquoi un logiciel libre ne pourrait-il pas être commandé ?



Pour un développement spécifique, tu peux faire une “commande”, indépendamment de la licence choisie.







oui mais si je veux utiliser un logiciel existant je fais un bon de commande aussi.. ça ne veut pas dire qu’il sera développé pour moi … le terme est super ambigu. “développé pour” ?


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vince120 a écrit :



J’imagine facilement que ce sujet va être taclé par Aurélie Gaumont-Universal Filipetti







On devrait mettre des peines de prisons pour les politiques qui retournent autant leur veste… s……



Ouais je sais ils en resteraient plus beaucoup…


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Tim-timmy a écrit :



c’est deja le cas pour pas mal de trucs quand c’est utile ou souhaitable (recherche par exemple, même si pas forcément quand on souhaite la valoriser financièrement … mais c’est un autre sujet ), mais forcer cela me semble complètement idiot. Ca revient à filer généreusement le travail de nos impôts à nos voisins, non ?





SI nos voisins font de même, c’est du gagnant gagnant.

Et puis, ils paieront des évolutions pour ajouter des fonctionnalités que l’on pourra aussi utiliser.



Ça couterait au final peut-être moins cher.



C’est en fait tout le principe du logiciel libre.



Regarde les progrès de Linux, ils sont là surtout parce que de grosses entreprises y ont apporté beaucoup en en retirant des avantages pour eux, IBM par exemple.


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Vser a écrit :



Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?







Rien a voir avec le libre, oui en revanche ça à quelques liens avec la principale intéressée… donc pertinent !



C’est publique, donc sujet a polémique, il est honnête de rappeler les derniers évènements sur le sujet, ici la députée, que ceux-ci peuvent démontrer un manque de crédibilité.



A moins que tu considère cela tabou ? Certains personnes ont le droit à des privilèges ?


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Tim-timmy a écrit :



et oui, heureusement que ça exclut la défense and co …







Je ne vois pas pourquoi.



Ce qui est sensible au niveau de la Défense et autres, ce sont les données, pas la façon dont elles sont traitées (logiciels).



Donc bien sûr qu’il ne faut pas rendre public les données sensibles. Mais les logiciels utilisés par la Défense ont tout intérêt à être ouverts à tous. <img data-src=" />


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caesar a écrit :



A moins que tu considère cela tabou ? Certains personnes ont le droit à des privilèges ?







Rappelle-t-on dans toutes les news Samsung leurs déboires avec Apple, dans toutes les news sur free qu’ils ont été condamnés pour dénigrement…



Cela n’a rien à voir avec des privilèges, je considère juste que cela n’a rien à voir avec la news…



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Vser a écrit :



Rappelle-t-on dans toutes les news Samsung leurs déboires avec Apple, dans toutes les news sur free qu’ils ont été condamnés pour dénigrement…



Cela n’a rien à voir avec des privilèges, je considère juste que cela n’a rien à voir avec la news…







Non, mais il est bon de rappeller quel personnage ce cache derrière quel projet. Ca evite les déceptions. Donc pour moi, c’est en plein de la news, car il est bien question d’une députée en particulière.


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Vser a écrit :



Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?





J’aurais bien rajouté :

Le cours du CAC 40 en ce moment : 4 204.24 Pts -1.90%


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Il faut un juste milieu, pas sûr que le tout libre soit un avantage.

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fred42 a écrit :



SI nos voisins font de même, c’est du gagnant gagnant.







au pays des bisounours, peut être, oui. Donc c’est forcément une mauvaise idée :p







kade a écrit :



J’aurais bien rajouté :

Le cours du CAC 40 en ce moment : 4 204.24 Pts -1.90%







ça c’est encore la faute de free, vu que les 3 autres prennent du -3% :p


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bingo.crepuscule a écrit :



C’est pas demain la veille que ça arrivera, les entreprises qui font des applications métier préfèrent souvent garder la main dessus pour se gaver royalement sur le système de licence, la moindre modification, les version n+1, et le support d’une nouvelle version d’un système, sans parler du côté captif avec des formats de fichiers qui ne soient pas exploitables avec d’autres applications.



Je suis persuadé que même ici, certains bossant dans le milieu, refuseront catégoriquement cette idée de peur de voir leur emploi disparaitre, sans se soucier de savoir si ça serait juste ou non.







en l’occurence ça parle des applications développées uniquement pour l’état, sur commande (pas celles juste licenciées). Dans ce cas le client a le code à la fin du projet, si je ne m’abuse. La question est de savoir ce qu’il en fait ensuite, et de peut être forcer l’état à le libérer. Mais oui en pratique ça me semble peu crédible…


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c’est vrai que c’est chère les licences, ça fait trop d’argent qu’on peut pas détourner…

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caesar a écrit :



<img data-src=" /> atteinte a la crédibilité ?



Quelqu’un qui parle d’éviter des surcoût pour l’état qui est elle même poursuivie pour abus de bien sociaux… Tu peux être certain il en sera fait mention lors des débats…







Moins de sous dépensés dans le logiciel -&gt; plus de sous dans les poches <img data-src=" />



En revanche, c’est toujours sympa de voir que quelqu’un condamné pour détournement de fonds publics est encore député après la décision de justice ! <img data-src=" />


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Loupton a écrit :



c’est vrai que c’est chère les licences, ça fait trop d’argent qu’on peut pas détourner…







Bien au contraire… C’est exactement comme ça que je m’y prendrai. Tu passes le contrat avec le la filiale hollandaise mais tu payes les licences – au tarif surgonflé – auprès de la filiale irlandaise. Enfin la filiale au Bahamas te verse ta rétrocommission sur un compte à Singapour…



Un peu comme une frégate ou un sous-marin quoi…<img data-src=" />


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John Shaft a écrit :



En revanche, c’est toujours sympa de voir que quelqu’un condamné pour détournement de fonds publics est encore député après la décision de justice ! <img data-src=" />







Elle a fait appel… Elle n’est donc pas condamnée…


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Vser a écrit :



Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?







Pas de rapport avec le libre, certes, mais par contre, étant donné qu’il était question d’usage de l’argent public pour le développement de logiciels ou d’autres données immatérielles, ça me semblait être un élément de contextualisation qui avait toute sa place dans cet article. Peut-être n’était-ce en revanche pas le moyen le plus élégant de le faire…


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John Shaft a écrit :



Moins de sous dépensés dans le logiciel -&gt; plus de sous dans les poches <img data-src=" />







Au contraire, rétrocommissions, tout ça…


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John Shaft a écrit :



Moins de sous dépensés dans le logiciel -&gt; plus de sous dans les poches <img data-src=" />







c’est sur que dit comme ça … <img data-src=" />







John Shaft a écrit :



En revanche, c’est toujours sympa de voir que quelqu’un condamné pour détournement de fonds publics est encore député après la décision de justice ! <img data-src=" />







y aurait quelques trous dans les rangs de l’assemblée, ça serait pas pour nous déplaire ! (même si seules les condamnations pour atteinte à la fonction devraient être retenu pour moi, dont biensur l’abus de bien sociaux, et au dessus d’un seuil raisonnable (genre 5000€, parce que vois le contrôle fiscal pour 50€…) )


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Vser a écrit :



Elle a fait appel… Elle n’est donc pas condamnée…







Il n’empêche qu’une “suspension” de l’Assemblée le temps que l’appel soit jugé me semblerait normal


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NiCr a écrit :



Je ne vois pas pourquoi.



Ce qui est sensible au niveau de la Défense et autres, ce sont les données, pas la façon dont elles sont traitées (logiciels).



Donc bien sûr qu’il ne faut pas rendre public les données sensibles. Mais les logiciels utilisés par la Défense ont tout intérêt à être ouverts à tous. <img data-src=" />







Mais comment on vend des trucs tout vérolés aux autres pays?





Genre :

Voici comment je m’y prendrais si je voulais écouter massivement, à moindre coût, et surtout discrètement.



J’appuierais, au plus haut niveau de l’Etat, une société privée (un fusible comme on dit dans le jargon), spécialisée dans l’interception de masse, pour que cette dernière exporte ses jouets sur le territoire national des gens que je souhaite écouter. Je leur vendrai le bébé comme une arme de guerre électronique, à part que cette dernière n’est pas répertoriée légalement en tant que telle, et donc, non soumise à un contrôle strict des exportations.



J’en profiterais pour surdimensionner un peu le système en prévision d’une utilisation non documentée (un backdoor).



J’enverrais ensuite, au nom d’une « fraternelle coopération » des officiers du renseignement militaire pour former les équipes du « client » (comprenez le dindon de la farce). Cette opération de « formation » permettrait en outre de paramétrer le jouet vendu afin que ce dernier soit accessible à distance par les services du renseignement extérieur, avec un accès complet aux interceptions réalisées par le « client »… évidemment à son insu.



Ce qu’il y a de bien avec TCIP/IP et BGP, c’est que l’on peut router du trafic à peu près où on le désire. En clair, nul besoin de disposer d’outils sur le territoire français pour écouter les communications des ressortissants français.

UPDATE : Lire cette étude de Renesys (EN) et cet article de Stéphane Bortzmeyer… notre théorie semblait la bonne.



Si je multiplie cette « opération commerciale » avec des « partenaires » géographiquement bien choisis, je m’offre une sorte de cloud de l’interception, financé par des puissances étrangères. Peu importe si elles ne sont pas franchement reconnues comme les plus grandes démocraties. Peu importe si leurs dirigeants sont connus comme des terroristes ou des fous furieux. L’éthique ce n’est pas franchement le fond du problème.



En cas de pépin, pas de souci; l’Etat pourrait ainsi se défausser de toute responsabilité. Notre entreprise privée est le fusible, c’est à elle de sauter. Mais évidemment, comme elle demeure « stratégique », je lui offre une porte de sortie en bidonnant une cession d’activité à une société tierce, créée par elle même. Elle pourrait ainsi, par exemple sous drapeau Qatari, continuer à vendre ses petits jouets et la collaboration entre les services extérieurs et cette « nouvelle société » qui ne renaît que des cendres de la première, pourrait ainsi continuer de plus belle et s’attaquer tranquillement à d’autres « marchés ».



Si une bande de cyber-beatniks venait à poser des questions au Gouvernement sur la présence avérée d’officiers du renseignement, il suffirait de brandir la menace terroriste et d’expliquer que ces « armes » n’en sont pas, qu’elles sont en fait du matériel grand public.



http://reflets.info/la-dgse-le-gchq-et-qosmos/


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Xavier.B a écrit :



Pas de rapport avec le libre, certes, mais par contre, étant donné qu’il était question d’usage de l’argent public pour le développement de logiciels ou d’autres données immatérielles, ça me semblait être un élément de contextualisation qui avait toute sa place dans cet article. Peut-être n’était-ce en revanche pas le moyen le plus élégant de le faire…











John Shaft a écrit :



Moins de sous dépensés dans le logiciel -&gt; plus de sous dans les poches <img data-src=" />







Comme rappelé dans cet article du monde ce qui lui est reproché est d’avoir utilisé l’argent du conseil régional à des fins clientéliste, pas de s’en être mis – du moins pas directement – dans les poches. Ça reste condamnable, et ça l’a été en première instance, mais, quitte à contextualiser, on aurait pu pousser un peu plus pour ne pas avoir les mêmes trolls que d’habitude ;)



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John Shaft a écrit :



Il n’empêche qu’une “suspension” de l’Assemblée le temps que l’appel soit jugé me semblerait normal







Suspendre quelqu’un de présumé innocent, cela me semble compliqué…



Par contre, qu’elle se retire au profit de son suppléant le temps de l’appel (ce qui en France peut signifier longtemps, très longtemps…) pour se consacrer à du dev en licence gnu v3+, ça aurait eu de la gueule;)


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Vser a écrit :



on aurait pu pousser un peu plus pour ne pas avoir les mêmes trolls que d’habitude ;)







Ah ça va, je reste soft. En temps normal, je recommande le pal pour ce genre d’individus <img data-src=" />


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John Shaft a écrit :



Il n’empêche qu’une “suspension” de l’Assemblée le temps que l’appel soit jugé me semblerait normal





Présomption de culpabilité ?

Ce n’est heureusement pas comme cela que la justice fonctionne.


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fred42 a écrit :



Présomption de culpabilité ?

Ce n’est heureusement pas comme cela que la justice fonctionne.







Condamnée en première instance rappelons le. Et tous les appels ne sont pas forcément suspensif de mémoire <img data-src=" />


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John Shaft a écrit :



Condamnée en première instance rappelons le. Et tous les appels ne sont pas forcément suspensif de mémoire <img data-src=" />





Comme précisé dans l’article du monde que j’ai mis en lien «?Cet appel a un effet suspensif sur sa condamnation?»<img data-src=" />


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Glyphe a écrit :



Je tiens à rappeler que Mme Sylvie Andrieux à voter pour le projet de loi de programmation militaire de 2014 qui dote la France d’une sorte de Patriot Act.

En gros elle manque de constance dans le domaine quoi …



http://www.assemblee-nationale.fr/14/scrutins/jo0737.asp







Y’a quand même pas beaucoup de rapport. D’un côte on parle d’interception massive de communication électronique, de l’autre de logiciels (ou autres) commandés par l’état.







Amariel a écrit :



Certes, mais plus simple de les trouver ne veut pas dire que celui qui les trouve voudra les exploiter à son profit. On peut chercher les failles pour les exploiter comme pour les corriger. Par exemple :

-&gt; Si la faille est facile à trouver (dans le cas du libre), elle pourra être vite exploitée, mais également vite corrigée (peut-être avant même d’être exploitée).

-&gt; Si la faille est difficile à trouver (dans l’autre cas donc), il faut espérer que la personne qui tombera dessus par hasard ou après des jours de test sera bien intentionnée, car elle sera sûrement la seule à la connaître pendant un moment… Et dans le cas où elle serait bien intentionnée et qu’elle ferait part de la faille à la boîte de développement, on serait tributaire de la volonté de réaction de cette boîte pour disposer d’un correctif.







Je suis d’accord. Sauf sur le fait que ce soit plus rapide en libre.

Dans tout les cas tu dépends généralement de la réaction d’intermédiaire, à moins que ce soit toi qui fait le patch, le compile et le déploie sur tes machines.


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Vser a écrit :



Dis moi Xavier, que cela vient-il donc faire dans cet article ? :)



Je ne pense pas au passage que cette condamnation ait quoi que ce soit à voir avec sa passion pour le libre, non ?





Surtout que si tout condamné ne devait plus proposer, il y aurait moins de lois! ^^


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Mihashi a écrit :



Tu n’as pas compris le problème. Actuellement l’état n’a pas les codes sources des logiciels qu’il commande à des entreprises privées.

Par contre, si on oblige les logiciels commandés par l’état à être libres, alors l’état pourra les utiliser, analyser, modifier, faire son propre fork “gratuitement”, accorder un usage gratuit à ses citoyens, etc.



Pour les failles, c’est pire avec un logiciel propriétaire, alors bon…





Dans l’absolu, rien n’interdit à l’état d’exiger la livraison des codes sources des logiciels non libres qu’il commande. Il suffit de le préciser dans le contrat.

Pas besoin d’avoir un logiciel libre pour cela.


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Amariel a écrit :



On peut tout autant exploiter les failles dans un logiciel privateur que dans un logiciel libre. Il est cependant plus simple de les corriger dans un logiciel libre.





Les failles sont aussi plus faciles à repérer dans un logiciel dont le code source est lisible par le monde entier.

Alors que si l’état garde secret son code source, surtout si le logiciel n’est utilisé qu’en interne (== pas ou peu d’accès grand public), ça sera plus dur d’en trouver.



Et de meme, logiciel libre ou pas, qui corrigera les failles découvertes ? Une communauté de développeurs bénévoles ou uniquement les services de l’état ?

L’état n’a pas la réputation d’être ultra doué en développement logiciel…


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Je n’ai pas lu tous les commentaires mais surfr.wikipedia.org Wikipedia, cette personne est déclarée comme faisant partie du Parti Socialist (et pas non affiliée).

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Glyphe a écrit :



Je tiens à rappeler que Mme Sylvie Andrieux à voter pour le projet de loi de programmation militaire de 2014 qui dote la France d’une sorte de Patriot Act.











Gilbert_Gosseyn a écrit :



Je n’ai pas lu tous les commentaires mais surfr.wikipedia.org Wikipedia, cette personne est déclarée comme faisant partie du Parti Socialiste (et pas non affiliée).







Mais comme indiqué sur la page en question « L’année suivante, après sa condamnation pour détournements de fonds publics, elle est exclue du groupe socialiste, et siège depuis chez les députés non inscrits de l’Assemblée nationale.?». Ça ne l’empêche pas de soutenir la majorité actuelle et donc de voter avec eux…?


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Elwyns a écrit :



Mise à part le fait que cette personne vient foutre son grain de sel pour les licences libres pour sûrement faire des économies alors quand qu’en parallèle elle détourne allègrement l’argent du contribuable … ? cette info est même extrêmement pertinente sur cette news





Comme indiqué précédemment, elle a fait appel et cet appel est suspensif. Éviter cette info (ce qui ne veut pas dire la cacher, si tu es intéressé par Mme Andrieux, google is your friend) ou alors la développer au lieu de se limiter à la phrase en question, t’aurais ainsi évité ce qui pour le coup ressemble fort à de la diffamation voire de la dénonciation calomnieuse…



Et puis peut-être ne pose-t-elle pas cette question pour faire des économies. Ce n’est pas pour faire des économies que j’utilise des logiciels libres…



Les principes, tout ça…





Elwyns a écrit :



T’es son homme et tu vas porter plainte pour diffamation ?







Non, ma seule inquiétude, c’est que des commentaires un peu trop diffamatoire viennent à entraîner la condamnation de pci en tant que directeur de la publication si jamais il venait à l’esprit de Mme Andrieux ou de ses conseils de jeter un coup d’œil par ici.





Ce que vraisemblablement elle ou ses assistants feront car pas grand monde d’autre doit avoir remonté l’info de cette question et que le rôle d’un assistant c’est entre autre de voir les retombés médiatiques de son employeur…







Elwyns a écrit :



à croire que tu es le seul que ça dérange cette information ..





Tu aurais pris la peine de lire les commentaires, tu aurais vu que non…







Elwyns a écrit :



Et pour ton exemple de Free , Samsung et Apple , il y a assez de news mensuelles pour le rappeler leurs déboires Free vs UFC , Samsung vs Apple,





De même, il y a eu assez d’articles à propos de la condamnation de Mme Andrieux dans les journaux pour ne pas avoir besoin de le rappeler…







Elwyns a écrit :



c’est dans les moeurs maintenant





La diffamation ? Pas dans les miennes, merci…


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Vser a écrit :



De même, il y a eu assez d’articles à propos de la condamnation de Mme Andrieux dans les journaux pour ne pas avoir besoin de le rappeler…





La diffamation ? Pas dans les miennes, merci…







1 : sauf qu’on est sur PCI ici pas dans le figaro, de surcroit les gens lisant PCi connaissent les déboires des grands constructeurs et de Free et des autres opérateurs ..



et de 2 non pas la diffamation , je parle des déboires de Samsung apple microsoft Free etc ..



Merci , Au revoir .



PS : j’ajouterais que t’es soit un bisounours des politiciens soit un pro-ps soutenant cette dame. Je pense qu’à la rédac de PCi , ils savent traiter les problèmes juridique , t’en fais pas pour eux .. Calomnie ? Diffamation ? “Attaque moi si tu peux” <img data-src=" />


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Natsume a écrit :



Dans l’absolu, rien n’interdit à l’état d’exiger la livraison des codes sources des logiciels non libres qu’il commande. Il suffit de le préciser dans le contrat.

Pas besoin d’avoir un logiciel libre pour cela.





Pour pouvoir le modifier et le distribuer, si.


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Tim-timmy a écrit :



en l’occurence ça parle des applications développées uniquement pour l’état, sur commande (pas celles juste licenciées). Dans ce cas le client a le code à la fin du projet, si je ne m’abuse. La question est de savoir ce qu’il en fait ensuite, et de peut être forcer l’état à le libérer. Mais oui en pratique ça me semble peu crédible…







Ce n’est pas parce qu’une application est développée spécifiquement pour répondre à un besoin qu’elle est forcément développée à partir de rien.

Ou autrement dit, une partie du programme peut déjà exister et avoir été développée sur fond propre. Le programme final n’étant qu’une adaptation à des besoins particuliers.



Bref inapplicable ou il faudrait une loi “annuaire” pour couvrir toutes les possibilités.


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Elwyns a écrit :



PS : j’ajouterais que t’es soit un bisounours des politiciens





Bien au contraire. J’estime justement que de tels ajouts ne sont pas nécessaires car je sais à quoi m’en tenir…







Elwyns a écrit :



soit un pro-ps soutenant cette dame.







Soit que je suis attaché à un état de droit et que l’appel étant suspensif, cette dame est présumée innocente. Je trouve cette précision par conséquent non nécessaire et inélégante.





Elwyns a écrit :



Je pense qu’à la rédac de PCi , ils savent traiter les problèmes juridique , t’en fais pas pour eux ..





Un procès n’est jamais bon à prendre. Et si, je m’inquiète, c’est pour ça que moi je suis abonné…





Elwyns a écrit :



Calomnie ? Diffamation ? “Attaque moi si tu peux” <img data-src=" />





RÀF


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dam1605 a écrit :



Je suis d’accord. Sauf sur le fait que ce soit plus rapide en libre.

Dans tout les cas tu dépends généralement de la réaction d’intermédiaire, à moins que ce soit toi qui fait le patch, le compile et le déploie sur tes machines.





Pas faux, mais le simple fait que la possibilité de patcher soi-même existe est un avantage. Dans la pratique, on est d’accord, il faudra bien que quelqu’un se colle à la correction de la faille.







Natsume a écrit :



Les failles sont aussi plus faciles à repérer dans un logiciel dont le code source est lisible par le monde entier.



Et de meme, logiciel libre ou pas, qui corrigera les failles découvertes ?





Comme je l’ai dit plus haut, plus facile à repérer s’applique de la même façon à ceux qui veulent exploiter les failles qu’à ceux qui veulent les repérer pour alerter. Tous les hackers ne sont pas des pirates avides.



Pour la correction, je ne vois pas la différence. Libre ne veut pas dire que la boîte l’ayant développé n’assurera pas la maintenance. Si le contrat prévoit une maintenance et une correction des failles, aucun problème (licence libre ou pas), alors que si le contrat ne le prévoit pas, seul un logiciel libre pourra être corrigé (par des bénévoles ou en interne, certes, mais dans l’autre cas, la faille ne pourra simplement pas disparaître, le choix me paraît évident).



Après, si ton choix est qu’il est préférable de cacher le code, justement parce que personne n’assurera le maintien et l’évolution du logiciel et qu’une fois publié, il ne pourra plus jamais être modifié, alors on n’a définitivement pas la même vision des choses, et je ne donne pas cher de la durée de vie de ton logiciel.


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Amariel a écrit :



[…]





Tiens, t’es là toi ? <img data-src=" />


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Amariel a écrit :



Pas faux, mais le simple fait que la possibilité de patcher soi-même existe est un avantage. Dans la pratique, on est d’accord, il faudra bien que quelqu’un se colle à la correction de la faille.



Comme je l’ai dit plus haut, plus facile à repérer s’applique de la même façon à ceux qui veulent exploiter les failles qu’à ceux qui veulent les repérer pour alerter. Tous les hackers ne sont pas des pirates avides.



Pour la correction, je ne vois pas la différence. Libre ne veut pas dire que la boîte l’ayant développé n’assurera pas la maintenance. Si le contrat prévoit une maintenance et une correction des failles, aucun problème (licence libre ou pas), alors que si le contrat ne le prévoit pas, seul un logiciel libre pourra être corrigé (par des bénévoles ou en interne, certes, mais dans l’autre cas, la faille ne pourra simplement pas disparaître, le choix me paraît évident).



Après, si ton choix est qu’il est préférable de cacher le code, justement parce que personne n’assurera le maintien et l’évolution du logiciel et qu’une fois publié, il ne pourra plus jamais être modifié, alors on n’a définitivement pas la même vision des choses, et je ne donne pas cher de la durée de vie de ton logiciel.





Dans l’absolu, les deux modèles ont leurs avantages et leurs inconvénients.



Je ne suis ni un évangéliste du libre, ni un ayatollah du propriétaire.

Je me dis juste qu’on doit avoir la liberté de choisir en fonction de ses besoins et de ses objectifs, et qu’une loi imposant à l’Etat de toujours passer par une des deux solutions n’est peut etre pas une si bonne idée justement.


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Natsume a écrit :



Les failles sont aussi plus faciles à repérer dans un logiciel dont le code source est lisible par le monde entier.

Alors que si l’état garde secret son code source, surtout si le logiciel n’est utilisé qu’en interne (== pas ou peu d’accès grand public), ça sera plus dur d’en trouver.





Boaf. La sécurité par l’obfuscation, ça n’a jamais été terrible. Quelqu’un d’acharné (et il y en a) te trouvera des failles, qu’il ait accès au code source ou qu’il s’attaque au binaire.



Par contre, il est beaucoup plus compliqué (pour un gouvernement par exemple) d’auditer le code d’un logiciel propriétaire (Windows par exemple) afin de voir si un tiers (la NSA par exemple) n’y aurait pas faire inclure des backdoors (exploitables par d’autres personnes que la NSA, au passage).







Natsume a écrit :



Et de meme, logiciel libre ou pas, qui corrigera les failles découvertes ? Une communauté de développeurs bénévoles ou uniquement les services de l’état ?

L’état n’a pas la réputation d’être ultra doué en développement logiciel…





Faut arrêter avec cette idée reçue. Il y a un moment que les projets libres ne sont plus développés seulement par des mecs dans leur garage le week-end. Il y a des entreprises et des professionnels rémunérés derrière.



De plus, l’État a tout à fait les moyens d’employer des gens compétents pour faire le boulot.


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madhatter a écrit :



Boaf. La sécurité par l’obfuscation, ça n’a jamais été terrible. Quelqu’un d’acharné (et il y en a) te trouvera des failles, qu’il ait accès au code source ou qu’il s’attaque au binaire.



Par contre, il est beaucoup plus compliqué (pour un gouvernement par exemple) d’auditer le code d’un logiciel propriétaire (Windows par exemple) afin de voir si un tiers (la NSA par exemple) n’y aurait pas faire inclure des backdoors (exploitables par d’autres personnes que la NSA, au passage).





Faut arrêter avec cette idée reçue. Il y a un moment que les projets libres ne sont plus développés seulement par des mecs dans leur garage le week-end. Il y a des entreprises et des professionnels rémunérés derrière.



De plus, l’État a tout à fait les moyens d’employer des gens compétents pour faire le boulot.





Heu, on parle bien des logiciels commandés par l’état, alias les fameux logiciels avec des sigles à dormir debout et développés exprès pour (par ?) la fonction publique, pas les logiciels libres disponibles au grand public sur le marché.



L’Etat peut parfaitement exiger dans le contrat de se voir livrer les sources du logiciel, à des fins d’audit par exemple, sans pour autant avoir à le rendre libre.



Par contre, je ne vois pas pourquoi il devrait systématiquement ouvrir le code de tous ses logiciels “maison” au grand public.


Une députée veut que les logiciels commandés par l’État soient libres

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