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Le Quai d’Orsay incapable de dévoiler ses dépenses en logiciels, libres et propriétaires

Orsay pas possible

Le Quai d’Orsay incapable de dévoiler ses dépenses en logiciels, libres et propriétaires

Le 12 septembre 2016 à 15h00

Pour la troisième fois consécutive, le ministère des Affaires étrangères vient de répondre à la députée Isabelle Attard qu’il lui était impossible de présenter ses dépenses logicielles en distinguant propriétaire et libre. Le Quai d’Orsay livre toutefois quelques détails sur son parc informatique.

« Dès 2005, le ministère des Affaires étrangères et du développement international a orienté la stratégie de développement de son système d'information à partir de logiciels libres. Il a ainsi mis au point une filière de développement, ACUBE, entièrement basée sur des solutions ouvertes. La dernière génération de cette filière, HORNET, répond aux exigences du référentiel général d'interopérabilité et d'accessibilité pour les administrations », vante Jean-Marc Ayrault au travers d’une réponse à une question écrite transmise il y a un peu plus d’un mois par Isabelle Attard (ex-EELV).

Le chef de la diplomatie française continue en expliquant que la suite bureautique LibreOffice « est installée systématiquement sur les postes de travail informatiques » du ministère, en complément toutefois de la suite Office, du géant Microsoft. Autrement dit, les agents ont en principe le choix entre la solution libre et les traditionnels logiciels propriétaires que sont Word, Excel, etc.

« Une solution de PC portable sécurisé a été élaborée avec un socle système Linux Ubuntu » poursuit l’ancien Premier ministre, reprenant fidèlement les éléments distillés lors de précédentes réponses aux questions écrites d’Isabelle Attard (voir ici pour 2014, là pour 2013). Aucun autre détail supplémentaire n’est cependant livré à ce sujet.

Pas de séparation budgétaire possible entre libre et propriétaire

Sur un plan budgétaire, on apprend simplement que 4 727 euros ont été dépensés en 2013 afin de commander « des unités de support (notamment pour Linux Debian ou Ubuntu) ». Pour le reste, les grilles du Quai d’Orsay demeurent verrouillées à double tour. Le ministère affirme ne pas avoir de comptabilité analytique séparant ses investissements logiciels, propriétaires ou libres : « La plupart des systèmes d'information mixent les composants propriétaires et libres dans leur architecture technique. Le décompte comparé entre les deux familles de logiciels sur la période 2008 - 2015 n'est donc pas possible. » Les récents débats autour de la vente liée PC/OS ont à cet égard permis de rappeler qu'il n'était pas toujours simple d'obtenir le prix de chaque élément d'un ordinateur : machine, système d'exploitation pré-installé, etc.

Restera maintenant à voir dans quelle mesure la future loi Numérique (qui devrait être définitivement adoptée après un ultime vote du Sénat, le 28 septembre prochain) conduira les pouvoirs publics à abandonner certaines solutions propriétaires, au profit d’alternatives libres – et bien souvent gratuites. Le texte porté par Axelle Lemaire oblige en effet les administrations à « encourag[er] l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts lors du développement, de l’achat ou de l’utilisation, de tout ou partie, de [leurs] systèmes d’information ». Des dispositions dont la portée normative risque d’être limitée.

Commentaires (77)

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Nan mais sérieux, la députée espérait vraiment obtenir une réponse ?

Je connais pas une seule boite qui fait une différence de ce genre au niveau comptable. Ca n’a juste aucun sens…

Et puis, la grosse majorité des couts autour du Libre concerne le service, comment distinguer cela sachant que dans la majorité des projets, la facture ressemble à un gros blob financier sans réel détail ?



Après, on peut dire que c’est regrettable mais en attendant l’administration fonctionne déjà d’une manière assez complexe comme ça pour pas en rajouter des caisses de ce genre.

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Si ça se trouve ils ne peuvent pas donner de réponses car eux-mêmes ne savent pas…



<img data-src=" />

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Je pense que c’est un peu ça le problème plutôt que la ventilation des dépenses entre le libre et le proprio comme le pense kp2.



&nbsp;

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Si dire “on fait rien car l’info n’existe pas” est un peu court comme ligne de défense.



Ne pas vouloir se donner les moyens de voir, c’est se rendre aussi coupable que celui qui a fait la connerie.



C’est un peu le “on a toujours fait comme ça, alors pourquoi changer ?”



Pour savoir combien tu jettes par les fenêtres tous les ans en logiciels…

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Le Quai d’Orsay n’est pas une “boite” traditionnelle quand même…

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+1 d’ailleurs je serai curieux de connaitre cette différence entre des boites du privé.

Sachant qu’au niveau des logiciels propriétaires: il y a une grosse partie affectée à de l’investissement et une petite à du fonctionnement, alors que c’est plutôt l’inverse pour l’“open source”…



Remarque, quand tu vois la députée utilise le terme de logiciel “privateur” dans sa question, tu sais déjà que tu vas pouvoir “argumenter” avec elle.

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Nan rien.

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linkin623 a écrit :



Si dire “on fait rien car l’info n’existe pas” est un peu court comme ligne de défense.

Ne pas vouloir se donner les moyens de voir, c’est se rendre aussi coupable que celui qui a fait la connerie.

C’est un peu le “on a toujours fait comme ça, alors pourquoi changer ?”

Pour savoir combien tu jettes par les fenêtres tous les ans en logiciels…







Le problème avec la compta, c’est qu’elle n’a rien a foutre de savoir si le soft est Libre ou pas…

Après, est-ce que la DSI devrait en capacité de donner les chiffres ? Peut-être mais c’est un job de dingue de tout répertorier dans ce sens…



Et puis le problème dans le fond, c’est de savoir si le fait de passer aux LL est une réelle économie ou pas. Je pense pas que c’est un problème qui peut se résoudre dans un tableau Excel. L’économie permise (ou non) par les LL est presque impossible à déterminer car ça supposerait qu’il faudrait être en capacité de faire un remplacement 1 pour 1 sans aucun élément extérieur pour connaitre le montant réel.

Or, dans un projet informatique, on ne fait JAMAIS de remplacement 1 pour 1 car ça n’a aucun interêt. On en profite toujours pour apporter de nouvelles possibilités ou transformer un truc. Et si le logiciel Libre intervient là-dedans, ce n’est que comme partie d’un tout plus vaste… A partir de là, comme isoler sa valeur propre au milieu des autres softs qui l’accompagnent, du service, de la formation, etc dans un projet donné ?



Moi, je regrette toujours quand une DSI à une vision “trop” comptable du SI et ce genre de question pousse encore plus dans ce sens…

Après, si il faut donner juste un montant brut en licences, c’est probablement possible mais c’est carrément pas un chiffre qui aurait le moindre intérêt tout seul dans son coin comme une merde sur un trottoir…


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Je ne voulais pas lancer le sujet des logiciels libres, juste dire que la compta c’est pas juste pour embêter les gens ou avoir des chiffres.



C’est aussi un outil d’aide à la décision et de monitoring.



Savoir, c’est pouvoir. La compta permet de donner des infos sur des sujet où l’on en manque. C’est pas la vérité vraie, mais ça aide.



Et ensuite, tu peux mener une réflexion sur :




  • pourquoi on dépense autant ?

  • est-ce que ça marche bien ?

  • pour quels besoins ? justifiés ?

  • faire en interne coute plus cher ?

  • quels changements à mener pour ne pas rester dépend d’un fournisseur ?

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linkin623 a écrit :



Je ne voulais pas lancer le sujet des logiciels libres, juste dire que la compta c’est pas juste pour embêter les gens ou avoir des chiffres.



C’est aussi un outil d’aide à la décision et de monitoring.



Savoir, c’est pouvoir. La compta permet de donner des infos sur des sujet où l’on en manque. C’est pas la vérité vraie, mais ça aide.



Et ensuite, tu peux mener une réflexion sur :




  • pourquoi on dépense autant ?

  • est-ce que ça marche bien ?

  • pour quels besoins ? justifiés ?

  • faire en interne coute plus cher ?

  • quels changements à mener pour ne pas rester dépend d’un fournisseur ?









    Je suis tout à fait d’accord avec toi mais les questions que tu exposes dépassent de très loin la question de “logiciels libres ou logiciels proprios ?”…



    En fait, je suis un fervent défenseur des LL mais je crois fermement qu’aujourd’hui, la question ne se pose plus. Les LL sont largement entrés dans les SI par la grande porte et il n’existe pratiquement de boites qui se revendiquent “full MS” comme c’était le cas à une époque.

    Aujourd’hui, un DSI avec un minimum de cervelle choisit d’investir sur ce qui est le plus adapté à son besoin et pas sur telle ou telle catégorie de softs. Et sur ce genre de question, les LL ont largement leur place sans aucun doute.

    Mais faire la distinction bête et con au niveau purement financier n’a aucun interêt car c’est pas ça le problème. Il est tout à fait possible de foirer complètement un projet “pur LL” en dépensant des sommes folles car on s’y est pris comme un manche… De la même façon qu’il est tout autant possible de bien réussir un projet basé sur des logiciels proprios avec une belle maitrise des couts.

    Les licences, c’est peanuts là-dedans…



    Après, la question posée par la députée concerne très certainement un contrat “OpenBar” avec MS. Effectivement, ce genre de contrat mérite sérieusement qu’on se penche dessus car est-ce réellement par besoin et non par complaisance ou insuffisance qu’on dépense si largement l’argent du contribuable ?

    A quoi ça sert d’avoir un accès illimité à SQL Serveur si on à 3 softs qui l’utilisent ? Ne vaudrait-il pas mieux migrer les 3 softs vers Mysql ou autre chose ?

    A quoi ça sert d’avoir un accès illimité à l’ensemble du catalogue MS alors qu’on veut juste du Windows Server et Office ? etc



    Mais une chose est sûre, il suffit pas de sortir son tableur, prendre les colonnes “Office”, “AD”, “Windows Server”, “SQL server” et les remplacer par leur “équivalent” Libre pour faire des économies…

    C’est pas si simple… Y’a un existant à gérer, y’a des vrais gens du vrai monde qui utilisent ces softs et y’a des échéances à tenir…


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<img data-src=" /> +1. Mais savoir combien tu dépenses pour combien de licence, ca permet d’avoir une idée.



Et ptre de voir ce genre de contrats “qu’on sait pas combien on paye car c’est open bar”.

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linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> +1. Mais savoir combien tu dépenses pour combien de licence, ca permet d’avoir une idée.







Ouais mais si l’idée en question est tellement déformée qu’elle ne veut rien dire, ça sert à quoi ? A part partir sur de mauvaises solutions ?







linkin623 a écrit :



Et ptre de voir ce genre de contrats “qu’on sait pas combien on paye car c’est open bar”.







Aujourd’hui, la problématique de toutes les DSI du monde entier est “comment être sur que l’argent qu’on dépense sera vraiment utile ?”

Et MS l’a très bien compris en créant un flou ahurissant pour que cette question ne puisse pas être tranchée quand on a besoin d’une suite Office et de Windows Server… (Oracle fait à peu près la même chose… faut pas l’oublier celui-là)



Mais comment être sur que notre besoin d’Office est si important dans une DSI de plusieurs milliers d’utilisateurs ou dizaines de milliers d’utilisateurs sans connaitre absolument tout dans les détails et quand les couts de licences Office à l’unité sont calculés d’une telle manière qu’un contrat “Open Bar” devient “rentable” à partir d’un nombre extrêmement réduit d’utilisateurs (qq centaines) ?

En plus, MS fait ce qu’il veut avec ses prix, c’est quasiment impossible de faire un calcul normal avec ses softs…


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KP2 a écrit :



Le problème avec la compta, c’est qu’elle n’a rien a foutre de savoir si le soft est Libre ou pas…







Généralement les comptables s’emmerdent à détailler quand c’est expressément demander par la direction ou obligatoire, sinon il va pas décider de s’emmerder à détailler une facture pour chaque article la composant (imaginer une commande de 200 articles différents, perso : Ht global, tva global et le ttc global).


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Ami-Kuns a écrit :



Généralement les comptables s’emmerdent à détailler quand c’est expressément demander par la direction ou obligatoire, sinon il va pas décider de s’emmerder à détailler une facture pour chaque article la composant (imaginer une commande de 200 articles différents, perso : Ht global, tva global et le ttc global).







Ouais et encore faudrait-il qu’il soit capable de comprendre ce qu’il y a dans une facture informatique… Déjà que certains informaticiens en sont parfois incapables eux-même tellement c’est parfois bordélique…


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Ou le contrat open-bar peut être vu comme “au moins on sait combien on paye”…



&nbsp;Remplacer des softs comme sql server, ou excel (et je parle même pas d’access, aussi pourri soit-il) n’est pas si simple, car ils sont rarement exploités uniquement en tant que “base de donnée” ou “tableur”…



Ce sont aussi des outils de reporting, de migration de donnée, de business intelligence (justement…), et des tableaux de bord qui sont fortement liés à la techno… Et là pour faire la même chose que sous Office… Oui c’est possible, mais avec l’aide d’un dev. Pas seul dans son coin comme avec MSO.



&nbsp;Sans compter la mauvaise foi des utilisateurs qui veulent pas s’y mettre <img data-src=" />

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FunnyD a écrit :



C’est là que l’on voit que l’on est dur un site fréquente plus par des informaticiens que par des comptables <img data-src=" />





Vivement compta-inpact.com&nbsp; <img data-src=" />


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Kernelpanic69 a écrit :



(…)

Au contraire, ça a tout son sens, les coûts n’ont rien à voir. Cf le commentaire de aemond juste au dessus. 

Les DSI quantifient les coûts  induits quand à l’utilisation d’une solution par rapport à une autre. Que celle-ci soit libre ou non impacte forcément les budgets d’une manière différente. Alors oui, c’est dure à quantifier… oui ça demande du boulot…

Une fois de plus, à moins d’être dans une petite société, ces calculs sont indispensables; au risque de jeter l’argent par les fenêtres. Les DSI ne font pas une espèce de mélasse incompréhensible qu’ils présentent gentiment au CFO. La finance a toujours le dernier mot.







Les DSI ne qualifient “que dalle”, sur le terrain personne ne comprend la différence entre le Libre et le Proprio (le tout saupoudré d’un mauvais usage du terme “Open Source”), à part que dès fois y en a un qui est gratuit…



Pour l’instant je n’ai jamais vu un SI qui développe un support sur un produit Libre en interne ou qui personnalise ses produits (au delà de refaire un Package avec les chemins qui correspondent à la norme des socles systèmes…)



La plupart du temps un Support Externe est commandé avec le produit et c’est du coup une bête étude de coûts, sans qu’aucun manager ne mette sa chemise en jeu, sans avoir la moindre idée de la charge que représente la migration, la formation, l’adaptation des outils, la pérennité du produit…



Au bout d’un an ou deux on compare les dépenses “Macro” suite au choix d’une solution et là on estime si le résultat est bon ou mauvais !



J’ai vu des gros SI partir sur des politiques complétement stupides du genre “on balance toutes nos licences Oracle on prend que du PostgreSQL”, sans aucun accompagnement, en livrant bêtement un package “core” aux applis, omettant les disaster recovery, les outils contribs, la réplication, l’authentification, la supervision etc, résultat une charge de travail supplémentaire énorme (le Jour/homme bien plus cher qu’une licence proprio !), le DSI s’est fait lourdé…







DahoodG4 a écrit :



Ton argument est valable a une époque ou on gérait tout ca avec des fiches bristol.

Aujourd’hui, et meme depuis 20ans, avec les bases de données, c’est juste une vague excuse.

(…)







Franchement je n’ai jamais vu une culture informatique suffisante pour comprendre qu’un SI est un outil pour accompagner le métier, les projets informatiques découlent la plupart du temps d’obligations légales ou de l’envie de fliquer les employés (reporting, décisionnel, indicateurs…)



Chaque services de la boite va vouloir son petit portail, ou ses formulaires pour se débarrasser du papier mais en gardant foncièrement le même usage que précédemment “avec des fiches bristol”, pour arriver à faire une “jointure” dans une base de données il faut souvent commander un développement spécifique !



A part les entreprises dont c’est le métier pur, pour les autres maintenir un SI est une charge, on met une case à coté des fournitures de bureau dans le bilan et c’est réglé…


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DahoodG4 a écrit :



Ton argument est valable a une époque ou on gérait tout ca avec des fiches bristol.

Aujourd’hui, et meme depuis 20ans, avec les bases de données, c’est juste une vague excuse.

Vague et opaque, ce qui est bien arrangeant avec les sommes de nos impots qui y passent, se faisant croquer par ci par la.

Si on comptait tout, les sur budgétisations sauteraient aux yeux.

C’est bien connu, la colonne divers pertes et profits est la plus fournie… .







La fameuse base de donnée unique qui contient absolument toutes les données et méta-données possible pour satisfaire toute la population…







kypd a écrit :



Franchement je n’ai jamais vu une culture informatique suffisante pour comprendre qu’un SI est un outil pour accompagner le métier, les projets informatiques découlent la plupart du temps d’obligations légales ou de l’envie de fliquer les employés (reporting, décisionnel, indicateurs…)



Chaque services de la boite va vouloir son petit portail, ou ses formulaires pour se débarrasser du papier mais en gardant foncièrement le même usage que précédemment “avec des fiches bristol”, pour arriver à faire une “jointure” dans une base de données il faut souvent commander un développement spécifique !



A part les entreprises dont c’est le métier pur, pour les autres maintenir un SI est une charge, on met une case à coté des fournitures de bureau dans le bilan et c’est réglé…







Mais carrément. Même les plus gros ERP finalement ne couvrent pas absolument tout. Tout simplement parce qu’on perdrait du temps en saisie, parce que ce n’est pas nécessaire, parce que tous les indicateurs ne sont pas requis pour toutes les sociétés…



Dans une société spécialisé sur l’informatique, tu aurais bien plus de détails sur cet aspect, alors que pour un garage auto, tu auras bien plus d’info sur les pièces détachées…



Les outils aidants, de plus en plus de choses sont recoupées, mais l’information n’est pas forcement disponible pour autant directement : alors lancer un audit (même interne) a un cout financier, temps et humain important. Ca donnerait la réponse, mais à quel prix ?


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La vraie info ici, c’est que l’état continue d’acheter en douce des licences mso onéreuses et inutiles, face à un LibreOffice 5 gratuit et qui a largement mérité ses galons. On gaspille donc toujours autant d’argent public, mais plus discrètement - pour ne pas passer officiellement pour un bouffon incapable d’évoluer…

Mais c’est vrai que contrairement aux bénéficiaires extérieurs d’argent public, l’état n’a jamais aucun compte à rendre à ses citoyens.

&nbsp;Le Roi est mort. Vive le Roi !

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Tu te rends compte quand même que l’informatique en entreprise et a fortiori dans un ministère ce n’est pas que de la solution bureautique et que ce n’est pas là que sont les plus gros coûts ?



Et encore une fois un bon commentaire partisan : MSOffice c’est payant, LO c’est gratuit, sont quand même cons de pas utiliser mon poulain même si j’ai pris aucun coût annexe en considération.

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kypd a écrit :



Les DSI ne qualifient “que dalle”, sur le terrain personne ne comprend la différence entre le Libre et le Proprio (le tout saupoudré d’un mauvais usage du terme “Open Source”), à part que dès fois y en a un qui est gratuit…



Pour l’instant je n’ai jamais vu un SI qui développe un support sur un produit Libre en interne ou qui personnalise ses produits (au delà de refaire un Package avec les chemins qui correspondent à la norme des socles systèmes…)



La plupart du temps un Support Externe est commandé avec le produit et c’est du coup une bête étude de coûts, sans qu’aucun manager ne mette sa chemise en jeu, sans avoir la moindre idée de la charge que représente la migration, la formation, l’adaptation des outils, la pérennité du produit…



Au bout d’un an ou deux on compare les dépenses “Macro” suite au choix d’une solution et là on estime si le résultat est bon ou mauvais !



J’ai vu des gros SI partir sur des politiques complétement stupides du genre “on balance toutes nos licences Oracle on prend que du PostgreSQL”, sans aucun accompagnement, en livrant bêtement un package “core” aux applis, omettant les disaster recovery, les outils contribs, la réplication, l’authentification, la supervision etc, résultat une charge de travail supplémentaire énorme (le Jour/homme bien plus cher qu’une licence proprio !), le DSI s’est fait lourdé…





Tu démontes ce que je dis pour au final aller dans mon sens à la fin? (pas d’études =&gt; catastrophe en terme de coûts) Qu’appelles-tu terrain? Le DSI ou le métier? Un DSI valable ne connaîtrait pas la différence entre libre et proprio?&nbsp;

Tout ça me fait peur. Ou je vis dans un autre monde.&nbsp;







kypd a écrit :



Franchement je n’ai jamais vu une culture informatique suffisante pour comprendre qu’un SI est un outil pour accompagner le métier, les projets informatiques découlent la plupart du temps d’obligations légales ou de l’envie de fliquer les employés (reporting, décisionnel, indicateurs…)



Chaque services de la boite va vouloir son petit portail, ou ses formulaires pour se débarrasser du papier mais en gardant foncièrement le même usage que précédemment “avec des fiches bristol”, pour arriver à faire une “jointure” dans une base de données il faut souvent commander un développement spécifique !



A part les entreprises dont c’est le métier pur, pour les autres maintenir un SI est une charge, on met une case à coté des fournitures de bureau dans le bilan et c’est réglé…





C’était vrai il y a encore quelques années; les mentalités changent. Beaucoup de groupes ne considèrent plus uniquement le SI comme une charge… mais je veux bien croire que cela marche comme ça dans encore beaucoup d’endroits.


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wpayen a écrit :



Et encore une fois un bon commentaire partisan : MSOffice c’est payant, LO c’est gratuit, sont quand même cons de pas utiliser mon poulain même si j’ai pris aucun coût annexe en considération.







Les gens sont vraiment cons d’acheter des petits SUV BMW/Audi alors que pour 3 fois moins chers ils peuvent acheter un Dacia Duster <img data-src=" />


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Kernelpanic69 a écrit :



Tu démontes ce que je dis pour au final aller dans mon sens à la fin? (pas d’études =&gt; catastrophe en terme de coûts) Qu’appelles-tu terrain? Le DSI ou le métier? Un DSI valable ne connaîtrait pas la différence entre libre et proprio?&nbsp;

Tout ça me fait peur. Ou je vis dans un autre monde.&nbsp;





Le fait qu’une entreprise a rarement des contacts directs avec Microsoft et la fondation derrière le soft libre en concurrence.

Mais plus souvent à des entreprises de service qui vendent un package comprenant le projet, l’exploit (si il y en a) et tout ce qui va avec.



Dans ta CMDB, tu vas renseigner si c’est du SQLServer ou du MySQL qui est arrivé ou si c’est un SharePoint au lieu d’un Confluence (et tout les serveurs qui vont avec).

Dans ta compta, tu auras le projet App1 qui sera allé au fournisseur TOTO et ton projet Intranet qui sera allé au fournisseur TATA.&nbsp;



Tant le SI saura sur quoi est basé l’App1 ou l’intranet, tant la compta en a absolument rien à foutre.

Et je le vois très bien quand je fais des offres à des cantons, tu peux t’amuser à faire le détail des licences dans le coût, mais globalement, tu as une ligne “ montant exploitation” qui comprends ces licences.


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Renault, chaque jour un bruit nouveau&nbsp;<img data-src=" />

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wpayen a écrit :



Renault, chaque jour un bruit nouveau&nbsp;<img data-src=" />





Mon message était ironique, c’est la même chose que de dire qu’il faut prendre OpenOffice ou LibreOffice plutôt que MS Office en considérant uniquement le critère prix


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sentryman a écrit :



Les gens sont vraiment cons d’acheter des petits SUV BMW/Audi alors que pour 3 fois moins chers ils peuvent acheter un Dacia Duster <img data-src=" />





Lada master race <img data-src=" />


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J’ai bien compris, t’inquiète pas.

J’en ai profité pour placer le commentaire décrédibilisant de la solution moins chère^^

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wpayen a écrit :



Le fait qu’une entreprise a rarement des contacts directs avec Microsoft et la fondation derrière le soft libre en concurrence.

Mais plus souvent à des entreprises de service qui vendent un package comprenant le projet, l’exploit (si il y en a) et tout ce qui va avec.



Dans ta CMDB, tu vas renseigner si c’est du SQLServer ou du MySQL qui est arrivé ou si c’est un SharePoint au lieu d’un Confluence (et tout les serveurs qui vont avec).

Dans ta compta, tu auras le projet App1 qui sera allé au fournisseur TOTO et ton projet Intranet qui sera allé au fournisseur TATA.&nbsp;



Tant le SI saura sur quoi est basé l’App1 ou l’intranet, tant la compta en a absolument rien à foutre.

Et je le vois très bien quand je fais des offres à des cantons, tu peux t’amuser à faire le détail des licences dans le coût, mais globalement, tu as une ligne “ montant exploitation” qui comprends ces licences.





Je suis d’accord avec toi. C’est ce que je dis en #38:

“La finance n’a que faire de la technique.”


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J’ai du mal à piger, la compta ce n’est pas seulement budget alloué = entrées et divers = sorties, à moins que pour les services étatiques la compta c’est de l’ordre du paranormal, un peu comme le bureau d’X-Files… <img data-src=" />

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Je rejoins les analyses de KP2 et caelifer.Sur la question des coûts, les licences ne représentent pas gd chose sur la facture globale: une licence d un logiciel, c est 1 ou 2h de travail d un prestataire. Si telle solution requiert plus de travail que l autre, la balance peut vite pencher du “mauvais” côté.Mais je pense aussi qu il s agit d abord d une question de stratégie, sécurité et indépendance technologique: ces points sont (ou devraient être) bcp plus importants pour l’Etat que le coût!

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C’est le business de la SNCF de faire rouler des trains. Il est donc important d’avoir un maximum d’information dessus surtout que ça doit représenter une part très significative de ses actifs.

Le business du Quai d’Orsay n’est pas de faire tourner des logiciels. Il est donc normal que leur comptabilité ne soit pas orientée dans ce sens. J’espère qu’ils mettent plutôt l’effort sur l’inventaire des ambassades/consulat et sur la gestion des personnels/notes de frais.

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j’avoue, merci bcp de l’info.



Du coup dans la catégorie «&nbsp;Redevances pour concessions, brevets, licences, marques, procédés,

logiciels, droits et valeurs similaires » tu dois avoir les logiciels, pour une valeur totale de 94M€, mais c’est en sacrée augmentation par rapport à l’an passé&nbsp;

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Tout à fait !

Il y a pas mal d’exemples de boites qui sont revenus du libre pour retourner vers du propriétaire pour certains usages… tout simplement car le libre leur revenait beaucoup plus cher (formation, assistance, maintenance…)

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Le ministère affirme ne pas avoir de comptabilité analytique séparant ses investissements logiciels, propriétaires ou libres



Bah oui, ça fait que 3 ans qu’on leur demande. On verra dans deux ans si le service comptable à reçu le formulaire 37b signé en 3 exemplaires pour étudier la demande (si elle est validée par le chef de cabinet).

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mais la baisse de 815 millions sur ce budget, &nbsp;rien a dire ?

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Le budget du ministère des Affaires étrangères c’est pour acheter des pays (élections) africain non? Donc ils ont l’habitude de dépenser sans compter <img data-src=" />

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Ricard a écrit :



… le chef de cabinet.





Vous avez 1 boss par pièce chez vous?

<img data-src=" />


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KP2 a écrit :



Ca change rien…





C’est bien ce que je dis.

&nbsp;





KP2 a écrit :



Alors ça, je serais bien curieux de voir qui tient un budget avec ce genre de catégorisation… Car même d’un point de vue opérationnel, ça ne sert à rien…&nbsp;





Tu confonds technique et finance. La finance n’a que faire de la technique. Mais au niveau que tu appelles “opérationnel” ça prend tout son sens (voir remarques ci-dessous), c’est là que le DSI intervient.&nbsp;&nbsp;



KP2 a écrit :



Mais tout mon discours depuis le début ou presque consiste à dire que plus personne ne s’occupe de savoir si un soft est Libre ou non du moment qu’il fait le job.&nbsp;





Ah bon? C’est plutôt évident. Je te renvois à la définition de logiciel libre.







KP2 a écrit :



Y’a plus de “passage” au Libre puisque tout le monde à du Libre d’une façon ou d’une autre… Ce n’est même plus une question aujourd’hui. Pourquoi catégoriser ça d’une façon particulière au niveau du budget ? Ca n’aurait aucun sens…





Au contraire, ça a tout son sens, les coûts n’ont rien à voir. Cf le commentaire de aemond juste au dessus.&nbsp;

Les DSI quantifient les coûts &nbsp;induits quand à l’utilisation d’une solution par rapport à une autre. Que celle-ci soit libre ou non impacte forcément les budgets d’une manière différente. Alors oui, c’est dure à quantifier… oui ça demande du boulot…

Une fois de plus, à moins d’être dans une petite société, ces calculs sont indispensables; au risque de jeter l’argent par les fenêtres. Les DSI ne font pas une espèce de mélasse incompréhensible qu’ils présentent gentiment au CFO. La finance a toujours le dernier mot.


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C’est là que l’on voit que l’on est dur un site fréquente plus par des informaticiens que par des comptables <img data-src=" />

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grobeauf a écrit :



mais la baisse de 815 millions sur ce budget, &nbsp;rien a dire ?





c’est une question piège ? (je suis nul en compta)

Ils ont diminué les charges, et gagné un peu plus avec les taxes.

Le budget est toujours en déficit, mais moins.



J’espère que ça continuera à baisser, sans non plus couper les investissement quoi

&nbsp;


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grobeauf a écrit :



pour les ramettes de papier d’un ministère, ça se comptabilise au compte de charges 6064 “fournitures administratives”. 

 

Bien sûr, c’est cumulé avec d’autres achats (enveloppes, cartouches d’encre…) et il n’y a aucun intérêt à détailller au niveau du budget de l’état, mais chaque entité doit être en mesure de justifier ses dépenses en cas de contrôle.



Pour info, le montant du budget des “achats et autres charges de fonctionnement direct” a diminué de 815 millions en 2015 par rapport à 2014 : source  p123.





Je viens de regarder ton lien (très vite fait), avec si peu d’informations difficile de se faire une idée précise la baisse qui me parait importante est surtout celle du poste Intérêts moratoires et indemnités, pénalités et condamnations (malgré 949 m€ destinés à la russie)



la baisse des autres charges de gestion ordinaire (- 403 M€) : les autres charges diverses de gestion ordinaire (- 344 M€) concernent notamment le ministère chargé de la défense (- 229 M€).

on ne peut vraiment rien en déduire. <img data-src=" />


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Il ne faut pas oublier un point.

Les logiciels métiers sous Windows réclament un environnement Windows (ie: HA, DR etc etc) parfois très coûteux (Cluster, AlwaysOn).

Néanmoins, il y a aussi ( parfois) de la mutualisation de ressources (ie: un ADFS pour n logiciels métiers hétérogènes y compris Libres).



Du coup, je pense juste que sur le plan comptable c’est difficile de dresser un inventaire précis ?

&nbsp;

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Ouch, ton nouvel avatar fait mal aux yeux, et tu postes avec des gros doigts depuis un phone maintenant?







FunnyD a écrit :



…on est dur un site fréquente …





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Ok, je ne connais pas toutes les sauces, ce que tu soulignes c’est justement le choix selon les compétences de partir pour chaque organe sur une solution ou une autre, sachant que tout est envisageable, la seule question est de définir le besoin pour pouvoir encadrer le cahier des charges.



Et justement c’est là dessus que travaille le coté commercial de MS: c’est flou ton besoin mais c’est le même prix que tu sois juste addict ou super dépendant. Passe du coté conso maitrisée au coté obscur!



Pour situer mon XP, on est avec des terminaux windows pour déporter du logiciel spécialisé qui ne tourne que sous linux, mais ce “logiciel métier” est composé de plusieurs briques lourdes qui se renouvellent tous les mois “by design”, et dessus on tente de maintenir des scripts d’encapsulation perl ou autre pour faire du haut niveau d’intégration.



Bref, à chaque mise à jour d’une brique on doit toucher tous les curseurs pour trouver le coupable, en parler avec l’équipe et savoir qui doit supporter quoi.

A mon niveau je ne sais pas quels choix auraient pu être plus judicieux dans cette construction, mais on perd énormément d’énergie à maintenir l’ensemble fonctionnel et compatible avec toutes les versions.

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Ton argument est valable a une époque ou on gérait tout ca avec des fiches bristol.

Aujourd’hui, et meme depuis 20ans, avec les bases de données, c’est juste une vague excuse.

Vague et opaque, ce qui est bien arrangeant avec les sommes de nos impots qui y passent, se faisant croquer par ci par la.

Si on comptait tout, les sur budgétisations sauteraient aux yeux.

C’est bien connu, la colonne divers pertes et profits est la plus fournie… .

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Perso dans ma mairie c’est sûr qu’ils le savent pas à la compta, par contre si la compta nous envoi un mail :&nbsp;

“Et les ptit gars de l’info, on nous demande en haut le budget libre vs logiciel proprio, vous m’envoyez ça dans la matinée”

Et ben on sort notre tableau de compta service qu’on se gère nous même (car nous on sépare à notre niveau: logiciel proprio / logiciel libre &nbsp;e cout dacquisition /maintenance de chque ( et en plus ça permet de mettre en avant le libre qu’on gère en interne pour les petits besoin =&gt; et donc valorisation de notre travail en montrant les économies réalisées )

(ps : &nbsp;et oui après on essai de pleurer pour avoir des primes avec nos ptits salaires figés de catégorie C :-( )

&nbsp;

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Épouse-moi.



Bref, je suis d’accord avec toi à 100%.

Je pense vraiment qu’un bon DSI ne peut plus en 2016 avoir des positions idéologiques sur la vision de son infrastructure.



Il y a des fois où Microsoft est leader dans son domaine et des fois où les logiciels libres le sont. Des fois, c’est même Oracle, c’est dire…&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;

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Euh, non.

C’est un peu comme si la SNCF ne savait pas combien de rames Alstom ou Bombardier ont été achetées et se contente de répondre on achete des trains stou.



Ne serait-ce que pour le suivi des dépenses par poste, c’est information serait utile.

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Si le but de ce genre de question c’est “est-ce que ça nous fait économiser de l’argent”, c’est déjà un problème.



On va citer RMS encore une fois : “Free as in free speech, not as in free beer”. Le Libre c’est une philosophie, pas un modèle économique. Allez acheter du RedHat pour vos serveurs plutôt que du Windows, vous paierez quand même une licence. Le LL ce sont des coûts cachés, sur le support, le développement spécifique, la formation aux utilisateurs etc.



Si l’Etat souhaite pousser massivement le Libre, ce doit être pour des raisons de sécurité (code source ouvert), contre le vendor lockin (intéropérabilité) etc, pas uniquement pour une questions de sous.

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Mais sachant que le ministère est “libre” d’utiliser des logiciels privateurs en plus de ses logiciels open source, donc la totalité du budget logiciel concerne des logiciels “libres”.

&nbsp;

Tous les logiciels sont libres : on est soit libre de les utiliser, soit libre de payer.

&nbsp;

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Au dela de la question “logiciel fermé” vs “logiciel libre”, je trouve que la réponse du ministère semble dire “on ne sait pas combien on dépense en logiciel/licence informatique”. Et je trouve ca bien plus inquiétant.

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DahoodG4 a écrit :



Euh, non.

C’est un peu comme si la SNCF ne savait pas combien de rames Alstom ou Bombardier ont été achetées et se contente de répondre on achete des trains stou.



Ne serait-ce que pour le suivi des dépenses par poste, c’est information serait utile.







En voilà une comparaison foireuse…



Il y a une différence entre l’inventaire, les achats (parfois réalisés par un service dédié), la compta… sans compter que “l’informatique” c’est super vaste : les logiciels, le matériels, les services, les acquisitions, les dev internes… bref, ce n’est pas forcément aussi si simple que de décompter la flotte d’air france.


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clairement



Si la question était combien de ramettes de papier, ou bien combien d’essence pour les voitures, je me demande s’ils seraient capables de répondre à la question.

Évidemment, c’est notre argent qui part pour ça <img data-src=" />

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CryoGen a écrit :



En voilà une comparaison foireuse…&nbsp;



Il y a une différence entre l’inventaire, les achats (parfois réalisés par un service dédié), la compta… sans compter que “l’informatique” c’est super vaste : les logiciels, le matériels, les services, les acquisitions, les dev internes… bref, ce n’est pas forcément aussi si simple que de décompter la flotte d’air france.





La comparaison est pourtant loin d’être foireuse. Remplace ton “informatique” par “aéronautique”.



Dans les commentaires, je vois pas mal de personnes qui suggèrent qu’un DSI serait incapable de détailler ses dépenses…

Mis à part au quai d’Orsay (apparemment), n’importe quel DSI d’une boite privée digne de ce nom est capable de détailler à sa direction sa part de libre/propriétaire ainsi que de dire combien ça lui coûte. Les sociétés ne décident pas de passer au libre sans un minimum d’étude des coûts. Ou alors on parle de sociétés de moins de 10 personnes? Dans les grosses boites on parle d’impact à plusieurs millions d’euros… alors bien sure que si c’est étudié/comptabilisé/détaillé.&nbsp;

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linkin623 a écrit :



Si dire “on fait rien car l’info n’existe pas” est un peu court comme ligne de défense.



Ne pas vouloir se donner les moyens de voir, c’est se rendre aussi coupable que celui qui a fait la connerie.



C’est un peu le “on a toujours fait comme ça, alors pourquoi changer ?”



Pour savoir combien tu jettes par les fenêtres tous les ans en logiciels…



Tu demandes un dev custom à une boite, le développement d’une appli (quel que soit le système support). Tu n’ouvres pas le code source.

Tu catégorises ça comment? Libre? Proprio?

Quel est l’intérêt?



Comment tu qualifies un dev payé sur une base libre?&nbsp;

Et si tu fais faire un dev de logiciel, que tu ouvres les sources (ça coûte plus cher car il faut très bien documenter sinon ça ne sert à rien) et que ça ne sert à personne, quel est l’intérêt? Tu le passes en quoi? libre? proprio?


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Cela s’appelle de la démagogie pré electorale ….

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J’avoue

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De toute manière, l’Etat ne paye pas ses fournisseurs. <img data-src=" />

Pour avoir travaillé quelques années avec/à la DSI d’un service public il n’était pas rare de se voir refuser l’assistance sur un produit car “ça fait des années que vous ne payez plus”. &nbsp;

C’est p’t’être pour ça qu’ils ne savent pas.&nbsp;<img data-src=" />

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DahoodG4 a écrit :



Euh, non.

C’est un peu comme si la SNCF ne savait pas combien de rames Alstom ou Bombardier ont été achetées et se contente de répondre on achete des trains stou.

Ne serait-ce que pour le suivi des dépenses par poste, c’est information serait utile.







Ta comparaison est fausse… Le problème dans un projet informatique, c’est que tu montes une solution à un problème qui associe plusieurs softs, du service, de la maintenance, des abonnements, etc

On parle pas des achats informatiques d’un particulier qui va juste acheter 3 softs dans sa vie…



Avec ta comparaison, c’est comme si t’avais les sieges faits par Alstom, les roues avant par Bombardier, les roues arrieres par un autre constructeur, le toit par un autre encore, etc etc etc

Tu vas détailler le montant de chaque pièce dans ta compta ?


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Ce que je comprends pas c’est pourquoi poser la question au Quai d’Orsay c’est une structure sensible ils doivent avoir des procédures bien particulières dont ne pas révéler trop d’informations sur leur fonctionnement, il y a bien d’autre ministères a qui posé cette question.

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pour les ramettes de papier d’un ministère, ça se comptabilise au compte de charges 6064 “fournitures administratives”.&nbsp;

&nbsp;

Bien sûr, c’est cumulé avec d’autres achats (enveloppes, cartouches d’encre…) et il n’y a aucun intérêt à détailller au niveau du budget de l’état, mais chaque entité doit être en mesure de justifier ses dépenses en cas de contrôle.



Pour info, le montant du budget des “achats et autres charges de fonctionnement direct” a diminué de 815 millions en 2015 par rapport à 2014 : source&nbsp; p123.

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Kernelpanic69 a écrit :



La comparaison est pourtant loin d’être foireuse. Remplace ton “informatique” par “aéronautique”.







Ca change rien…







Kernelpanic69 a écrit :



Dans les commentaires, je vois pas mal de personnes qui suggèrent qu’un DSI serait incapable de détailler ses dépenses…

Mis à part au quai d’Orsay (apparemment), n’importe quel DSI d’une boite privée digne de ce nom est capable de détailler à sa direction sa part de libre/propriétaire ainsi que de dire combien ça lui coûte.







Alors ça, je serais bien curieux de voir qui tient un budget avec ce genre de catégorisation… Car même d’un point de vue opérationnel, ça ne sert à rien…







Kernelpanic69 a écrit :



Les sociétés ne décident pas de passer au libre sans un minimum d’étude des coûts. Ou alors on parle de sociétés de moins de 10 personnes? Dans les grosses boites on parle d’impact à plusieurs millions d’euros… alors bien sure que si c’est étudié/comptabilisé/détaillé.







Mais tout mon discours depuis le début ou presque consiste à dire que plus personne ne s’occupe de savoir si un soft est Libre ou non du moment qu’il fait le job. C’est fini l’époque ou faisait tout un foin dans une boite parce qu’on développait un soft avec MySQL !

Y’a plus de “passage” au Libre puisque tout le monde à du Libre d’une façon ou d’une autre… Ce n’est même plus une question aujourd’hui. Pourquoi catégoriser ça d’une façon particulière au niveau du budget ? Ca n’aurait aucun sens…


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PArce que c’est Satan en personne qui se cache derrière les logiciels privateurs le monde doit voir et accepter la lumière du libre.

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barlav a écrit :



Ouch, ton nouvel avatar fait mal aux yeux, et tu postes avec des gros doigts depuis un phone maintenant?



<img data-src=" /> Je me trouve sexy pourtant.





Ricard a écrit :



Vivement compta-inpact.com  <img data-src=" />





&lt;3 Je vais proposer ça à Teuf. <img data-src=" />


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FunnyD a écrit :



<img data-src=" /> Je me trouve sexy pourtant.



Moi aussi. Vivement samedi soir au Fuckin’ Blue Boy.<img data-src=" />

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Ricard a écrit :



Moi aussi. Vivement samedi soir au Fuckin’ Blue Boy.<img data-src=" />

<img data-src=" />





Je ne pourrais pas y être, je vais me faire faire une implantation capillaire sur le torse vendredi.


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Il doivent pas non plus faire 50000 achats logiciels par mois, c’est étonnant que la compta ne puisse trouver à quel produit correspond une facture. Il n’ont peut-être pas noté à part les dépenses sur les produits propriétaires, mais une recherche en arrière et de la bonne volonté devraient pouvoir apporter une réponse…normalement…

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Imagine qu’il y a plusieurs services avec donc des comptables différents, que ces comptables ne savent pas si tel ou tel logiciel est libre ou proprio (et qu’ils en ont probablement rien à foutre) qu’en plus, il faut sortir 1 - les acquistions / renouvellement de licences 2 - les contrats d’assistance/maintenance/développement/etc et faire le distinguo par contrat pour savoir si il concerne du libre ou du proprio et que lesdits contrats ne sont pas au service comptable, tu en concluras surement que ce travail est loin d’être anodin et qu’il risque de prendre pas mal de temps.

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KP2 a écrit :



Nan mais sérieux, la députée espérait vraiment obtenir une réponse ?

Je connais pas une seule boite qui fait une différence de ce genre au niveau comptable. Ca n’a juste aucun sens…

Et puis, la grosse majorité des couts autour du Libre concerne le service, comment distinguer cela sachant que dans la majorité des projets, la facture ressemble à un gros blob financier sans réel détail ?



Après, on peut dire que c’est regrettable mais en attendant l’administration fonctionne déjà d’une manière assez complexe comme ça pour pas en rajouter des caisses de ce genre.





Je pense que,&nbsp; justement, elle espérait bien une réponse claire et précise.

&nbsp;Quand une administration passe un marché public de prestation intellectuelle ou de service avec une entreprise, chaque “poste” doit être notifié à la ligne près et donc au premier euro dépensé près.

&nbsp;C’est ce qu’on appelle un appel d’offre ouvert à l’achat public.

Si tu oublies une seule ligne ou que tu commandes autre chose, le marché peut être dénoncé devant le tribunal administratif par un concurrent écarté.

Le fait que certains ministères ne souhaitent /&nbsp; veulent pas communiquer là-dessus en dire long sur la transparence de certains marchés publics.

&nbsp;(CF : L’éduq’ Nat’ et son marché avec MicroMou …)



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En règles générales, le comptable s’occupe de la&nbsp;&nbsp; …&nbsp;&nbsp; comptabilité.

&nbsp;C’est au chef du projet de lui dire (écrire ?) ce qui fait partie de telle ou telle ligne budgétaire (achat, fonctionnement, proprio, libre, ETC …)



Ceci écrit, effectivement, avec de la bonne volonté, il est tout à fait possible de séparer les lignes budgétaires et d’arriver à justifier, au premier euro dépensé, les budgets des ministères devant la représentation nationale.

Ce serait un minimum syndical&nbsp; …

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Ok ! Pas mal de temps, et donc pas impossible ! C’est quand même fou qu’on ne puisse pas faire la part des choses et surtout qu’ils ne s’exécutent pas sur demande d’une ministre, c’est pas une école primaire non plus..

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Bizarrement quand on demande aux “libres/libristes” de justifier une baisse, significative ou non, de cout, il y a une levé d’excuse comme quoi la compta ne sait pas faire de différence (OK sur de la ligne compta pure et dur je suis d’accord) autant le but d’être passé sur du libre est avant tout un aspect cout non ? Mais pour la DSI c’est une faute de ne pas pouvoir sortir une stat sur le coup réel des logiciels libres VS proprio d’autant plus dans le publique ou la réelle motivation est soit disant ce fameux cout.



Afin de clore tout débat, je ne suis pas anti libre. La preuve je possède perso un serveur Debian pour mes usages perso.

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Ce n’est pas flou. C’est juste une décision de choisir un logiciel métier sous Windows qui implique des requis OS.

Donc, cela revient à avoir n licences autour du logiciel proprio qui sont des requis plus ou moins directe dès lors qu’un requis est mutualisé avec une autre application tiers.

Et il n’y a pas toujours de choix libre vs proprio.

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&nbsp;

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Non je suis désolé mais tu fais erreur…



L’argument du “cout” pour le libre n’a de sens que dans le cadre d’un usage personnel !



Une des première revendication du libre ce n’est pas d’être gratuit mais d’être ouvert, modifiable etc…



Certains logiciels libres ont une double licence dont une payante pour un usage professionnel, donc déjà on ne peut pas parler de gratuité.



De plus ce sont souvent loin d’être des solutions “clé en main” donc le cout se retrouve en parti dans l’emploi, prendre du logiciel libre sans prévoir une partie ressource humaine c’est faire fausse route !



Le principe c’est d’avoir le contrôle de son système d’information, maitriser le format des données, ne pas s’enfermer avec un fournisseur en particuliers, continuer à utiliser ses logiciels ou les faire évoluer au plus proches des besoins sans subir l’obsolescence des logiciels propriétaires…

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tu devrais expliquer quels comptes de quelles classes permettent le distingo libre/proprio dans le Plan Comptable Général !



&nbsp;Ça n’a AUCUN intérêt en soi et c’est infaisable. Exemple : j’appelle l’assistance pour un problème de fichier LO sous Windows. Quelle répartition en coût de personnel ? Libre ou privé ?

&nbsp;

L’intérêt général est l’effiscience des services publics, et ça ne se mesure pas uniquement avec des normes comptables AMHA.



&nbsp;&nbsp;PS : si tu trouves les marchés publics trop souples,, pleins-toi au législateur.

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grobeauf a écrit :



tu devrais expliquer quels comptes de quelles classes permettent le distingo libre/proprio dans le Plan Comptable Général !



&nbsp;Ça n’a AUCUN intérêt en soi et c’est infaisable. Exemple : j’appelle l’assistance pour un problème de fichier LO sous Windows. Quelle répartition en coût de personnel ? Libre ou privé ?

&nbsp;

L’intérêt général est l’effiscience des services publics, et ça ne se mesure pas uniquement avec des normes comptables AMHA.







Tous les ans je vois le même manège dans les services compta, les clôtures annuelles (il me semble)… qui donne lieu à sur une sorte de chasse aux justificatifs pour bien remplir les cases (comptables) histoire de pas trop contrarier l’expert <img data-src=" />


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je vois pas trop le rapport mais tu fais selon ta conscience : ça fait combien d’années que tu constates des manquements sans rien signaler ?

Le Quai d’Orsay incapable de dévoiler ses dépenses en logiciels, libres et propriétaires

  • Pas de séparation budgétaire possible entre libre et propriétaire

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