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Assange espionné jusque dans les toilettes pour femmes

La CIA est allée jusqu'à analyser le caca d'un bébé

Assange espionné jusque dans les toilettes pour femmes

Le 25 novembre 2019 à 10h53

En 2012, le Senain, principal service de renseignement équatorien, avait chargé une société espagnole de sécuriser l'ambassade d'Équateur à Londres – où Julian Assange venait de trouver refuge. Sauf que depuis fin 2017, elle travaillait aussi comme « agent double » pour la CIA, de sorte à espionner le lanceur d'alerte,  24 h/24, 7j/7

Le 22 janvier 2018, le nouveau président équatorien, Lenin Moreno, en conflit ouvert avec son prédécesseur Rafel Correa –qui avait accordé l'asile à Assange – déclarait que cet asile au sein de l'ambassade d'Équateur à Londres depuis 2012 était un « problème hérité » qui constituait « plus qu'un tracas ». Et d'ajouter : « Nous espérons parvenir à court terme à un résultat positif sur ce point, qui, oui, nous cause plus qu'un tracas ».

Le 19 mars, il annonçait l'« élimination » du Senain, dans le cadre de nouvelles mesures d'austérité, pour pouvoir « garantir les objectifs de sécurité de notre pays, j'insiste, de notre pays », laissant entendre qu'il aurait beaucoup trop dépensé pour protéger et surveiller Assange.

Le 29, il lui coupait l'accès à Internet, au motif que certaines de ses prises de positions politiques sur Twitter pouvaient nuire à la diplomatie équatorienne. Deux jours plus tôt, Assange avait douté de l'implication des services de renseignement russes dans la tentative d'assassinat de l'ex-agent double Sergei Skripal et de sa fille, et protesté contre l'expulsion afférente de nombreux diplomates russes dans plus de 20 pays.

Le 15 mai, The Guardian révélait que le Senain aurait dépensé 4,5M€, sur un peu plus de 5 ans, pour « protéger » Julian Assange. Le programme, intitulé « Operation Guest » (invité) puis « Operation Hotel » relevait tout à la fois de la sécurité, du renseignement et du contre-espionnage, et cherchait à surveiller ses visiteurs, le personnel de l'ambassade, mais également la police britannique. 

Dans le même temps, et sans que l'on comprenne bien si la brusque élimination du Senain serait à l'origine de la fuite, les documents consultés par le Guardian montrent que le service de renseignement avait aussi recruté une entreprise privée pour filmer et surveiller secrètement l'ensemble de l'activité de l'ambassade, 24/7. Même l'ambassadeur semblait ne pas en avoir été tenu informé, jusqu'à ce que, par erreur, une facture lui soit envoyée...

Un « pognon de dingue » : en 2013, le contrôleur général équatorien écrivit au chef du Senain pour l'alerter que 411 793 dollars avaient ainsi été dépensés, en seulement 5 mois, et sans aucun reçu. Plus de la moitié aurait été donnée, en paiements cash de 10 000 dollars, à trois agents de renseignement et de contre-espionnage envoyés sur place.

Assange était espionné 24 h/24, 7j/7

L'affaire rebondit le 10 avril 2019. Alors que Lenin Moreno avait décidé de livrer Assange aux Britanniques, et à la veille de son arrestation, le rédacteur en chef de WikiLeaks, Kristinn Hrafnsson, révélait en effet avoir été approché par trois individus affirmant détenir une centaine de dossiers contenant des correspondances privées de Julian Assange, ainsi que des images prises par des caméras cachées dans l'ambassade d'Équateur à Londres, où il était réfugié depuis près de 7 ans.

Ils lui réclamaient 3 millions d'euros, faute de quoi ils les enverraient à la presse. Hrafnsson préféra porter plainte et rendre publique la tentative de chantage.

Dans la foulée, El Pais publiait une vidéo montrant Assange faisant du skateboard en caleçon et t-shirt, et révélait que l'ambassade avait été truffée de caméras de vidéosurveillance et/ou espionnes, mises en place par une entreprise espagnole, Undercover Global, chargée de sécuriser l'ambassade. 

 

En juillet, El Pais révélait par ailleurs qu'Assange avait été espionné 24 h/24 depuis décembre 2017, ainsi que tous ceux venus le rencontrer, ses avocats y compris. On y découvrait qu'il avait refusé les plans secrets censés lui permettre d'essayer de trouver refuge en Russie ou à Cuba, au motif que ce serait « une défaite ».

Les employés de la société de sécurité allèrent jusqu'à prélever la selle de la couche d'un bébé passé dans l'ambassade pour vérifier s'il était l'enfant d'Assange... Ce dernier, prudent, avait par ailleurs installé un dispositif de bruit blanc pour couvrir ses conversations audio, et partageait certaines informations en les rédigeant tout en couvrant la feuille de papier pour se protéger d'éventuelles caméras espion. Il avait également pris l'habitude d'aller dans les toilettes pour femmes lors de ses entretiens les plus sensibles.

En septembre, El Pais révélait que David Morales, PDG d'Undercover Global, avait reconnu que, s'il avait bien été recruté par les services de renseignements équatoriens, il travaillait en fait, et en sous-ma(r)in, pour la CIA, qui avait accès aux rapports quotidiens établis par ses employés. « Nous jouons dans une autre ligue. C'est la première division », avait-il ainsi déclaré à ses plus proches collègues après s'être rendu à un salon de la sécurité à Las Vegas en 2015, où il aurait eu ses premiers contacts avec les États-Unis.

Si l'enquête ne permet pas, à ce stade, de savoir depuis quand il travaillait pour la CIA, l'espionnage se serait considérablement accru fin 2017, après que le nouveau président équatorien, Lenin Moreno, a pris ses distances avec son prédécesseur, Rafael Correa, et que l'administration Trump lui a demandé de l'aider à l'extrader aux États-Unis.

Signe de son allégeance : Undercover Global est allé jusqu'à espionner une rencontre entre Assange et le chef des services de renseignement équatoriens, venus discuter d'une tentative d'évasion... Morales avait également demandé à ses employés d'installer un système de streaming de sorte que ses clients américains puissent surveiller Assange en temps réel.

Assange WikiLeaks Undercover
Crédits : El Pais

Le journal révélait également que l'entreprise avait aussi installé des micros cachés dans les toilettes pour femmes, un autre dans un extincteur placé à côté de l'endroit où Assange aimait s'asseoir de sorte de contourner le dispositif de bruit blanc, ainsi que des stickers sur les vitres pour les empêcher de vibrer, de sorte que les micros laser de la CIA puissent continuer à enregistrer les conversations, malgré le bruit blanc.

En octobre, El Pais révélait que plusieurs des visiteurs d'Assange, dont des journalistes américains réputés (Ellen Nakashima, Evgeny Morozov), avaient vu le contenu de leurs sacs, des numéros de série de leurs téléphones et caméras être photographiés par les vigiles. Les mots de passe de Pamela Anderson, qui venait régulièrement le voir, avaient eux aussi été photographiés. Étrangement, elle les avait notés sur un bout de papier.

En novembre, le quotidien espagnol parvenait à géolocaliser l'une des adresses IP figurant dans des emails envoyés depuis les États-Unis par David Morales, le PDG d'Undercover Global, près d'Alexandria, en Virginie, non loin de la cour fédérale qui enquête depuis des années sur Julian Assange. 

« Je tiens à vous alerter quant au fait que nous devons faire très attention aux informations que nous transmettons... Senain (les services secrets équatoriens) est en train d'enquêter sur nous. C’est la raison pour laquelle j’aimerais tout d’abord que ma position géographique soit traitée avec discrétion autant que possible, en particulier lors de mes voyages aux États-Unis », écrivait-il à plusieurs de ses employés.

« Nous avons été informés de soupçons selon lesquels l'invité [Assange, ndlr] travaille pour les services de renseignement russes, d'où le profil de ses visiteurs et de ses collaborateurs », écrivait-il dans un autre message. 

La journaliste Stefania Maurizzi, qui suit l'affaire pour La Repubblica, a elle aussi eu accès à certains des documents, photos, enregistrements audio et vidéo, saisis lors de l'enquête. Elle a découvert que ses propres téléphones et clefs USB avaient également été espionnés lors de ses visites à l'ambassade, tout comme les avocats d'Assange.

Mediapart révèle à ce titre que Juan Branco, l'un des avocats d'Assange, aurait décidé de porter plainte contre X au motif qu'« au cours de mes rencontres avec mon client au sein de l’ambassade d'Équateur à Londres, mes dispositifs électroniques ont été systématiquement photographiés à des fins de captation de données, tandis que nos entretiens faisaient l'objet de captation, mais aussi de rapports et d'échanges écrits entre l'entreprise chargée de cet espionnage et ses interlocuteurs américains ».

D'après La Repubblica, ses avocats vont contester la demande américaine d'extradition, à mesure que l'espionnage de ses contacts avec ses avocats est une violation du droit de la défense, alors qu'il était par ailleurs protégé par l'asile accordé par l'Équateur.

D'après Mediapart, la justice britannique semble cela dit vouloir passer en force. Fin octobre, elle a en effet rejeté une demande d'audition d'Assange par le juge espagnol en charge de l’enquête et qui souhaitait l’entendre en tant que simple « témoin », bien qu'elle ait pourtant été déposée via un mécanisme de coopération européen. « La position britannique, sans précédent pour ce type de requêtes judiciaires, est vue par les organismes judiciaires espagnols comme une démonstration de résistance contre les conséquences que ce dossier pourrait avoir sur le processus d’extradition du cyberactiviste australien vers les États-Unis », explique El País.

« Une exposition prolongée à la torture psychologique »

Le 19 novembre dernier, la Suède abandonnait, pour la troisième fois, les accusations de  « sexe par surprise » visant Julian Assange. Une décision qualifiée d'« inévitable » par Nils Melzer, le rapporteur spécial sur la torture de l'ONU, qui avait dénoncé une cinquantaine de violations de la procédure, et réclamait une investigation « impartiale ».

C'était précisément en raison de ces accusations qu'Assange était allé se réfugier dans l'ambassade d'Équateur en 2012 : il craignait en effet que la Suède ne l'extrade aux États-Unis. Les seules charges qui restent contre lui sont donc aujourd'hui celles d'outre-Atlantique, qui l'accusent d'espionnage.

Des accusations largement dénoncées par un grand nombre de médias, à commencer par ceux qui avaient à l'époque travaillé avec WikiLeaks sur les documents américains classifiés qu'ils avaient obtenus et leur avaient valu de recevoir de nombreux prix journalistiques.

La semaine passée, l'éditorial du Guardian se prononçait ainsi clairement contre son extradition, parce qu'il en allait de la liberté d'expression et du droit du public d'être tenu informé de ce que font réellement leurs autorités. Des centaines de médias, ONG et responsables politiques ont de même condamné son arrestation, et le risque d'extradition.

Début novembre, Nils Melzer avait alerté l'opinion au motif que la détérioration des conditions de détention d'Assange mettait sa vie en danger, et qu'il présentait «  tous les symptômes typiques d'une exposition prolongée à la torture psychologique ».

Le rapporteur spécial de l'ONU contre la torture appelait à ce titre les autorités britanniques à empêcher son extradition : « Dans cette affaire, il n’a jamais été question de la culpabilité ou de l’innocence de M. Assange, mais bien de le faire payer le prix fort pour avoir dénoncé les fautes graves des autorités, y compris les crimes de guerre et la corruption présumés. À moins que le Royaume-Uni ne change de cap d’urgence et n’atténue sa situation inhumaine, M. Assange continuera d’être exposé à l’arbitraire et à des abus qui risquent de lui coûter la vie ».

Il avait par ailleurs dénoncé l'incongruité de poursuivre Assange pour espionnage au motif qu'il aurait rendu publiques les preuves que les États-Unis avaient commis des crimes de guerre en Irak et en Afghanistan : « Alors que le gouvernement américain poursuit M. Assange pour avoir publié des informations sur de graves violations des droits humains, notamment des actes de torture et des meurtres, les responsables de ces crimes continuent de bénéficier de l'impunité. » 

Interviewé, en septembre dernier, par le Centre européen de la liberté de la presse et des médias, Melzer avait déploré que « les médias grand public nous parlent du chat d’Assange, de son skateboard et de ses excréments. Mais ils n'accordent pas la même importance aux centaines de milliers de civils assassinés en Irak, en Libye et en Syrie, aux guerres intentionnellement orchestrées et aux autres crimes exposés par WikiLeaks. À mon avis, cette complaisance face à l'inconduite de la part du gouvernement constitue le véritable scandale en l'espèce. C’est le proverbial éléphant dans la pièce. Et personne ne voit cet éléphant, parce que la personnalité et le caractère d’Assange sont toujours mis en avant, et ce projecteur est si lumineux que vous ne pouvez pas voir l'éléphant se cacher derrière lui ».

À la fin de sa visite en prison, Melzer demanda à Assange s'il avait quoi que ce soit d'autre à rajouter : « Oui, sauvez-moi la vie, s'il vous plaît ». S'il était extradé, il encourrait jusqu'à 175 années de prison.

Commentaires (77)

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Baaah même pas besoin d’une société comme undercover global pour se faire espionner. On a notre petit smartphone comme appareil multifonction avec autorisation d’utilisation de la caméra, du microphone, de lecture de l’espace de stockage pour au minimum une dizaine d’applications dont le fabriquant et google/apple.

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hansi a écrit :



Ils sont passés où tous ces braves journaleux qui dénonçaient les prises d’otage de leur pairs, et nous parlaient sans cesse de liberté de la presse et de l’information ?

Le cours du journaliste est tombé bien bas.





“Le monde”, c’est une cinquantaine d’articles/citations sur cette année juste

pour Julian Assange (sans parler de l’implication dans le traitement de leaks)

etc. Idem pour Mediapart (dont 3 articles pour novembre). Toutes les

informations de ce ‘post’ sont présentes  dans un article d’il y a 5 jours sur

Médiapart (J.Hourdeaux ). Et ce sont probablement les deux journaux parlant le

plus de liberté de la presse.

Mais bon pour certains autant faire des assertions…


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Je vais avoir beaucoup de mal à considérer Assange comme un martyr.



Beaucoup.



 

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tmtisfree a écrit :



Les États ne sont qu’une force qui s’y opposent par la fiscalité, le protectionnisme, les réglementations/normes absurdes, leur monopole de la violence, etc.



Tiens, cette définition me fait furieusement penser au GAFAM et leur condition d’utilisation ….


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yvan a écrit :



Je ne suis pas marxiste,





Personne n’a dit que tu l’était, apprend à lire.









yvan a écrit :



et je reprend juste ce qu’en dit le consensus universitaire.





Révise l’Histoire récente plutôt que de succomber à un “consensus” (pré)fabriqué.









yvan a écrit :



La marine marchande se développe pour faire vivre le système de plantations de Gorée qui s’étend ensuite au nouveau monde et à une partie de l’asie. Ca fait suite aux grandes découvertes des grands explorateurs etc. Qui fait du gloubiboulga?





Toi. En quoi cela a un rapport avec la mondialisation récente des échanges ? Aucun. Ou alors il faut aussi considérer que le commerce préhistorique d’obsidienne est aussi de la mondialisation. Juste débile.


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Beurt-le-vrai a écrit :



<img data-src=" />



Colonisation, commerce triangulaire, etc…. Noooon ça n’a pas rapporté d’argent à l’occident ! Ça a juste fondé les impérialismes économiques toujours en vigueur, mais bon, tu as sûrement dû être bien « réinformé ».





Celui qui commet la faute grossière de confondre argent et valeur devrait commencer à apprendre les fondements de l’économie.


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Suite à ton post, j’ai beaucoup de mal à te considérer démocrate…

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tmtisfree a écrit :



Toi. En quoi cela a un rapport avec la mondialisation récente des échanges ? Aucun. Ou alors il faut aussi considérer que le commerce préhistorique d’obsidienne est aussi de la mondialisation. Juste débile.





Hors pauses pendant les guerres mondiales il n’y a aucune cassure dans l’extension du phénomène depuis l’ère moderne… où et quand fais tu démarrer la mondialisation récente?



Pour remonter au propos d’origine, à quel moment la mondialisation s’est elle fait sans le soutien actif des états, même si on considère une période récente (à définir) ? Sachant que les droits de douane ont plus d’un siècle (donc pas récemment) et que les états ont tendance à les lever depuis 50ans, que le transport international est soutenu des deux mains par les états via le soutien financier aux constructeurs d’avions, les dérogations fiscales pour les carburants et le droit en général (droit du travail, sécurité…) via le maintien et la défense des paradis fiscaux, de zones franches, via les déploiements militaires pour sécuriser la marchandise etc.



C’est probablement très jouissif (psychiatriquement? <img data-src=" /> sans déconner) de reprendre les gens comme des enfants de maternelle mais les attaques ad hominem ne remplacent pas une argumentation cohérente.


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Celui qui répond systématiquement à côté devrait juste se taire, surtout sur un sujet aussi triste et en parlant d’une époque où valeur et argent sont identiques puisque monnaie or.

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Il te dit qu’il voit pas le rapport.

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En démocratie on est pour le droit à l’information et contre la torture.

(Il te dit que ton post n’était pas du tout argumenté, et que le second ne l’est pas plus; si ce n’est qu’il dévoile ton ignorance )

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En démocratie, le droit à l’information est strictement encadré. En l’occurence, Assange a violé un paquet de lois par idéologie complaitement déraisonné de transparence sans la moindre piste de réflexion. En conséquence, il a servi d’idiot utile à Trump, Poutine et a causé plus de tort à la cause qu’il prétend défendre qu’autrement.



Bref, si Assange ne tournait pas en rond dans une ambassade, il tournerait en rond dans une cellule. En démocratie.

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Assange est suspecté et accusé sur un sol non américain d’avoir enfreint la loi américaine.

Donc l’effectivité de l’extraterritorialité de l’accusation dépend du pays dans lequel il se trouvait lors de la commission de ses actes, ou, du pays dans lequel il est actuellement retenu.



Ensuite, le droit à l’information n’est pas encadré.

Il est limité par une série de mesures qui dans bien des cas n’ont pas à voir avec le droit à l’information mais à avec la liberté de la presse..



En des termes européens, la question est de savoir si Assange bénéficie du statut d’éditeur. En des termes américains la question se pose différemment compte-tenu du fait qu’à ce stade il est principalement accusé de complicité lui-même n’étant pas l’auteur des fuites ultérieurement publiées…

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yvan a écrit :



Hors pauses pendant les guerres mondiales il n’y a aucune cassure dans l’extension du phénomène depuis l’ère moderne… où et quand fais tu démarrer la mondialisation récente?





Le niveau des échanges internationaux a fondu entre la 1ère guerre mondiale et les années 1950 et il n’a été rattrapé qu’au début des année 1970.

Il y a 2 donc dates charnières : les années 70 (financiarisation, automatisation, normalisation (palette, conteneur, etc.)) et les années 90 (quasi suppression des tarifs, robotisation, dématérialisation), que l’on observe d’ailleurs sur le graphique.



On peut en déduire 2 choses : la finance n’est pas le diable, et les taxes sont mauvaises.









yvan a écrit :



Pour remonter au propos d’origine, à quel moment la mondialisation s’est elle fait sans le soutien actif des états, même si on considère une période récente (à définir) ? Sachant que les droits de douane ont plus d’un siècle (donc pas récemment) et que les états ont tendance à les lever depuis 50ans, que le transport international est soutenu des deux mains par les états via le soutien financier aux constructeurs d’avions, les dérogations fiscales pour les carburants et le droit en général (droit du travail, sécurité…) via le maintien et la défense des paradis fiscaux, de zones franches, via les déploiements militaires pour sécuriser la marchandise etc.





Jamais. Les États ont toujours été des adversaires du commerce quels que soient son étendue et l’époque considérée, et ont profité des échanges sur les marchés pour leur propre intérêt parasite puisque par définition l’État est non seulement incapable de créer de la valeur mais passe son temps à la détruire. Le soutien financier pour les avions n’est que du protectionnisme déguisé, les constructeurs sont parfaitement capables de vivre sans. Les dérogations fiscales ne sont pas des subventions, ce sont juste de moindres extorsions. Le reste est sans rapport direct ou importance.









yvan a écrit :



C’est probablement très jouissif (psychiatriquement? <img data-src=" /> sans déconner) de reprendre les gens comme des enfants de maternelle mais les attaques ad hominem ne remplacent pas une argumentation cohérente.





Je me permets le décorum que j’estime nécessaire pour ridiculiser comme il se doit les inepties, arguments fallacieux et autres stupidités illogiques. Si tu t’identifies personnellement à tes fadaises, c’est ton problème psychologique pas le mien.


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yvan a écrit :



Celui qui répond systématiquement à côté devrait juste se taire, surtout sur un sujet aussi triste et en parlant d’une époque où valeur et argent sont identiques puisque monnaie or.





L’Espagne est moins riche que les USA qui ont commencé avec rien sans piller personne… et non argent et valeur n’ont rien à voir ensemble.


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tmtisfree a écrit :



Le niveau des échanges internationaux a fondu entre la 1ère guerre mondiale et les années 1950 et il n’a été rattrapé qu’au début des année 1970.

Il y a 2 donc dates charnières : les années 70 (financiarisation, automatisation, normalisation (palette, conteneur, etc.)) et les années 90 (quasi suppression des tarifs, robotisation, dématérialisation), que l’on observe d’ailleurs sur le graphique.





Sauf que les nations unies n’ont pas le même type de graph pour les périodes concernées

https://unstats.un.org/unsd/trade/imts/Historical%20data%201900-1960.pdf







tmtisfree a écrit :



On peut en déduire 2 choses : la finance n’est pas le diable, et les taxes sont mauvaises.





1 Tu bricoles sur le fond

2 Tu n’as toujours pas répondu à ce que tu considères comme la période récente de la mondialisation et tu indiques même comme contre arguments la financiarisation de l’économie (Bretton Woods, les états) et quasi suppression des tarifs je suppose douaniers, donc encore les états qui soutiennent le phénomène. Sans parler de la dématérialisation qui est directement issue de l’investissement de l’armée US dans la Sillicon Valley et de l’entente dans les années 90 entre les opérateurs nationaux pour faire un réseau mondial <img data-src=" />

Dans le genre se tirer des arguments dans le pied…







tmtisfree a écrit :



Jamais. Les États ont toujours été des adversaires du commerce quels que soient son étendue et l’époque considérée, et ont profité des échanges sur les marchés pour leur propre intérêt parasite puisque par définition l’État est non seulement incapable de créer de la valeur mais passe son temps à la détruire. Le soutien financier pour les avions n’est que du protectionnisme déguisé, les constructeurs sont parfaitement capables de vivre sans. Les dérogations fiscales ne sont pas des subventions, ce sont juste de moindres extorsions. Le reste est sans rapport direct ou importance.





Tu joues sur les mots, une moindre contrainte à certains acteurs économiques qu’au reste de la société est une subvention. Pour le reste il y a une histoire de la mondialisation, quand les états européens mangent un tiers de leurs budgets militaires pour sécuriser les routes de transport ou comme aujourd’hui dirigent une bonne partie de l’énergie de leurs services secrets au soutien des entreprises à cotations/capitaux nationaux (les intérêts supérieurs de l’état) on peut difficilement considérer qu’ils s’opposent aux échanges. Ils en sont partie prennante et les sécurisent et renforcent surtout.



Pour le reste tant que les services rendus par les états seront comptés dans les PIBs et que les divers indicateurs d’attractivité et de solidité des économies mondiales prendront en compte l’action des états je ne pourrais changer d’avis et je vais donc te laisser dans ton délire technoabstrait que les états ne créent pas de valeur. C’est bien entendu absurde.

Pour la même raison, si des entreprises économiquement prospères et compétitives pouvaient émerger de zones sans régulations étatiques elles l’auraient fait, la nature ayant horreur du vide… Dans un post précédent je citais les pays principaux qui ont prospéré économiquement ces dernières décennies (Chine et Corée principalement), les deux ont des états puissants et interventionnistes.



Mais tu as probablement des graphs indiquant que la Chine serait encore plus riche si elle n’avait pas d’état j’en suis certain <img data-src=" />









tmtisfree a écrit :



Je me permets le décorum que j’estime nécessaire pour ridiculiser comme il se doit les inepties, arguments fallacieux et autres stupidités illogiques. Si tu t’identifies personnellement à tes fadaises, c’est ton problème psychologique pas le mien.





Ca ressemble surtout à de la mégalo de bipolaire de base. L’effet est inverse de ce que tu ressens. Prends soin de ton cerveau <img data-src=" /> (et je m’occupe du mien)


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Même un mauvais film américain n’ose pas aller aussi loin .. Quelle histoire ..

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C’est une horreur…



Y-a-t’il des événements/manifestations de soutiens organisées en UK ou en France ? Quand sera t-on fixé sur son sort ?

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C’est littéralement incroyable…

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Article à offrir à tous les “je n’ai rien à cacher” pour leur montrer que même en démocratie, le système peut déraper.

Oui, j’insiste les USA sont une démocratie.

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marba a écrit :



Quand sera t-on fixé sur son sort ?







Pour l’instant (et corrigez-moi si je me trompe), il purge 50 semaines de prison (quasi un an, quoi), pour avoir enfreint les règles de la libération conditionnelle. Cette sentence expire vers avril ou mai 2020.

Mais avant cela, vers février 2020, sera discutée son éventuelle extradition vers les États-Unis.



edit : s’il ne meurt pas avant, son état de santé est assez problématique j’avais lu


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Comme disait quelqu’un sur Youtube : “Avec des alliés pareils, pas la peine de s’inventer des ennemis à l’Est”.

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Ils sont passés où tous ces braves journaleux qui dénonçaient les prises d’otage de leur pairs, et nous parlaient sans cesse de liberté de la presse et de l’information ?

Le cours du journaliste est tombé bien bas.

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Pour un état nous sommes de la viande <img data-src=" />

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Ennemi d’État, 1998.

On pensait alors à de l’exagération, certains à du conspirationnisme.

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La viande ne vote pas.

Nous, nous servons d’excuse, c’est la démocratie de notre époque.

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Assange espionné jusque dans les toilettes pour femmes





Tout de suite les grands mots.

On est en 2019, ca s’appelle de la TV réalité <img data-src=" />

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“Oui, j’insiste les USA sont une démocratie.“Ah bon !?Je ne dois pas avoir la même définition du mot démocratie !

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Quasiment un article à mettre en accès libre.

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dematbreizh a écrit :



La viande ne vote pas.





Si, mais pas sur les orientations les plus sensibles (politique étrangère, industrielle, énergétique, santé…), uniquement sur des ajustements de ces dernières.

Et si la viande ne vote pas bien le vote est ignoré, genre la constitution européenne…

Et si la viande se révolte ensuite on la traite comme de la viande. <img data-src=" />


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Tu t’insurges contre tous les morts dans les autres pays? Mis à part quand un petit garçon se noie?



Non, comme 99.99% de la population.



On accepte nos gouvernement, donc si un gouvernement décide ensuite de s’acharner contre un homme pour protéger ses exactions, nous nous en fichons. Tant que nous ne le savons pas.&nbsp; On préfère regarder ailleurs.



Reprocher aux gouvernements, c’est se reprocher à nous même notre mauvaise foi.



On aime notre richesse, la possibilité d’acheter un iphone à pas cher, sans penser que c’est un enfant qui le fabrique. On aime acheter une bague avec un diamant, sans penser que c’est un homme qui travaille dans des conditions inhumaines qui l’a extrait. Pourtant, au fond on le sait.



Alors dire, pour un état nous sommes de la viande…



Il faudrait dire : nous nous considérons tous comme de la viande.

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Tu m’en apprends une alors. Comment les classes tu alors ? Ils sont une republique democratique comme la France qui est classee comme une “democratie” non?

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L’ambassade ne se plaint pas ? C’est ok ?

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Une population et un état ce sont deux choses différentes. Des millions de gens sur terre ne dépendent pas d’un état, de nombreux états n’ont pas une population qui a pu consentir à quoi que ce soit.



Je me plains de la couche d’abstraction morale qui fait que c’est ainsi s’il faut vraiment préciser.

Sans états pas de mondialisation, sans mondialisation pas de camps de travail possibles sur le sol national français donc pas d’iphones pas cher qui en sortent etc. L’humain connard et immoral qui s’en fout de la douleur des autres il est largement fabriqué par ces couches d’abstraction morale, de délégations de pouvoir. C’est ça qui me pose pb et ça pose pb à plus de 1% des gens.



Par contre je suis d’accord que des personnes qui essaient de se mettre en accord avec leur morale c’est pas grand monde. Entre autres parce que si tu le fais l’état te maltraite (cf les zad, squats politiques, tarnac etc.).

Et pour le coup c’est largement moins de 1%. (1% c’est dans la chanson de ferré, un optimiste <img data-src=" /> )

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Un homme très intègre ce Morales. On lui souhaite beaucoup de réussite en première division.

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Morales n’a pas de leçons de morales à recevoir xD

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rinac9 a écrit :



Tu t’insurges contre tous les morts dans les autres pays? Mis à part quand un petit garçon se noie? Non, comme 99.99% de la population. On accepte nos gouvernement, donc si un gouvernement décide ensuite de s’acharner contre un homme pour protéger ses exactions, nous nous en fichons. Tant que nous ne le savons pas.&nbsp; On préfère regarder ailleurs. Reprocher aux gouvernements, c’est se reprocher à nous même notre mauvaise foi.



On aime notre richesse, la possibilité d’acheter un iphone à pas cher, sans penser que c’est un enfant qui le fabrique. On aime acheter une bague avec un diamant, sans penser que c’est un homme qui travaille dans des conditions inhumaines qui l’a extrait. Pourtant, au fond on le sait.



Alors dire, pour un état nous sommes de la viande…



Il faudrait dire : nous nous considérons tous comme de la viande.





Paradoxalement si tu veut t’insurger de manière efficace tu n’a que deux solutions :



. Devenir un “terroriste” : C’est ce que je ferais peut être un jours si il ne me reste plus que quelques semaine à vivre et je regrette que tout ceux qui ce suicident ne veulent jamais passer à l’action. Par terrorisme j’entends frapper très fort du genre te flinguer devant un politicien, un truc bien hardcore qui remettra les choses à leur place sans blesser personne physiquement.



. Devenir un éleveur :&nbsp; Bien sucer le système pour devenir une part du système ou tu apprendra des choses bien hardcore qui te fera encore plus détester le genre humain.



Regarde ce qu’il c’est passé il y à quelque temps avec les GJ, ça c’est littéralement transformé en boucherie alors que le mouvement était tout à fait louable et surtout très prévisible et je ne parlerais même pas de HK.



Heureusement que notre génération essayent un peu de changer les choses mais c’est vraiment très difficile pacifiquement et je trouve ça normal de ne pas vouloir perdre la vie sur ce genre de choses. D’un autre côté le petit enfant chinois peut aussi ce rebeller, chacun sa part.


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skankhunt42 a écrit :



Devenir un “terroriste” : C’est ce que je ferais peut être un jours si il ne me reste plus que quelques semaine à vivre et je regrette que tout ceux qui ce suicident ne veulent jamais passer à l’action. Par terrorisme j’entends frapper très fort du genre te flinguer devant un politicien, un truc bien hardcore qui remettra les choses à leur place sans blesser personne physiquement.





Tu rêves là. Regardes par exemple l’étudiant qui a tenté de s’immoler, ça n’a rien changé…


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A tel point que des patrouilles spéciales anti-immolation ont vu le jour au Tibet. C’était certainement une volonté de pacifier le pacifisme…

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Mihashi a écrit :



Tu rêves là. Regardes par exemple l’étudiant qui a tenté de s’immoler, ça n’a rien changé…





C’est normal c’était tout naze… Par contre devant macron ça aurais vraiment un impact plus important ou en live sur fb par exemple. Un vrai truc hardcore quoi et pas de la demi molle. T’a qu’une vie autant la gâcher correctement !


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Sans revenir sur le fond de l’affaire, je note avec horreur que lorsqu’un service secret étatique fait appel à une entreprise privée, qui plus est étrangère, celle-ci peut être amenée à le doubler. Il semble alors essentiel, pour les services d’un état souverain, de se doter de moyens de surveillance internes, garants d’une certaine loyauté.

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Ce sont des coui* molle. Quand un état digne de se nom se fait doubler par une boîte privée il envoie illico les barbouzes apprendre à voler sans parachute depuis un helico aux patrons et cadres dynamiques de la dites boîte. Après je t’assure que les entreprises privées y penseront à deux fois. Le mossade par exemple aurait jamais laissé passé un truc comme. Nous aussi d’ailleurs. Il fut un temps où on faisait sauter les bateaux des mecs qui nous les brisaient

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Pamela Anderson ? Les mots de passe de Pamela Anderson ??

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BlueTemplar a écrit :



Pamela Anderson ? Les mots de passe de Pamela Anderson ??







Étrangement, elle les avait notés sur un bout de papier.



<img data-src=" /> Comme quoi forte poitrine ne rime pas forcément avec mémoire forte. <img data-src=" />


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Ça fera peut-être le buzz pendant 3-4 jours, puis tout le monde retournera à ses occupations…

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Mihashi a écrit :



Ça fera peut-être le buzz pendant 3-4 jours, puis tout le monde retournera à ses occupations…





Tu pense vraiment qu’un macron qui reçois des bout de cervelles en pleines figure car un étudiant ce fait sauter le caisson devant lui ne fera le buzz que 3-4 jours ? Tu pense vraiment que macron n’aura cette vision à chaque fois qu’il voudra s’endormir que pendant 3-4 jours ?


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  1. Oui.



    1. Non, mais ça ne changera rien quand même…


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yvan a écrit :



Sans états pas de mondialisation





La mondialisation n’a pas besoin d’États pour survenir, elle émerge naturellement des interactions entre (groupes d’)individus.



Par contre les États (la plupart) font ce qu’ils peuvent pour la contrecarrer parce que selon le principe bien connu de Peter, les plus incompétents sont en charge de l’asile, et qu’ils cultivent leur ignorance économique comme d’autres cultivent du bio.


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La mondialisation émerge directement des politiques coloniales (partenariats privés/publics via les sociétés des indes) et est globalement la scorie du système de plantations de Gorée mis en place par l’état portugais qui en a sécurisé militairement la conquête au 15e siècle avant d’être remplacé par les états néerlandais puis français.



De tous temps la mondialisation a été soutenue par les états qui en ont assuré la sécurité face aux pirates notamment, via des politiques fiscales incitatives (faibles taxes carburants sur le transport par ex.), et via la destruction physique des mouvements sociaux qui s’opposent aux délocalisations.



Il n’y a pas de mondialisation sans les états qui sont la brique angulaire du système d’échanges international. Là encore, il n’y a aucune sorte d’abstraction de donneur de leçon qui tienne, les états sont diversement compétents économiquement et les plus capables prospèrent, il n’y a aucune généralité à tirer.

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yvan a écrit :



La mondialisation émerge directement des politiques coloniales





Gloubiboulga marxiste habituel avec zéro support historique et sans rapport.









yvan a écrit :



De tous temps la mondialisation





La mondialisation est un phénomène récent.









yvan a écrit :



Il n’y a pas de mondialisation sans les états qui sont la brique angulaire du système d’échanges international.





Non tu t’illusionnes. Ce sont les individus et les sociétés d’individus agissant pour leur intérêt qui créent et font vivre la mondialisation. Les États ne sont qu’une force qui s’y opposent par la fiscalité, le protectionnisme, les réglementations/normes absurdes, leur monopole de la violence, etc.





En effet, l’État, ne l’oublions jamais, n’a pas de ressources qui lui soient propres. Il n’a rien, il ne possède rien qu’il ne le prenne aux travailleurs.




  • Frédéric Bastiat, Propriété et loi (1848)


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Incroyable de voir cette histoire…

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vont être contant chez national géographie d’pprendre que leur documentaire d’hier n’était que du Gloubiboulga



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lanoux a écrit :



vont être contant chez national géographie d’pprendre que leur documentaire d’hier n’était que du Gloubiboulga<img data-src=" />







Les mythes entretiennent l’idéologie chez les rouges :



Pour les marxistes, la spécificité de l’aventure coloniale était d’offrir des débouchés à la production nationale. Ni l’observation ni le raisonnement ne le confirment :




 – l’observation nous montre que l’économie française n’a pas été renforcée, au contraire, par la période coloniale, tant budgétairement qu’industriellement.   

– le raisonnement nous dit qu’un débouché doit être solvable : « qui n’a rien ne peut rien payer ». Les colonies françaises étaient très peu peuplées, contrairement aux britanniques. Leur populations étaient pauvres et n’avaient pas de ressources en devises (nécessaires pour que les producteurs français puissent payer leurs employés). Pour les devises, il leur fallait exporter vers la métropole ou des pays tiers. Ce à quoi se sont efforcés, avec un succès limité, certains colons (vins d’Algérie, caoutchouc africain ou indochinois) et certains « indigènes » (cacao) grâce aux infrastructures payées surtout par la métropole et un peu par les ressources locales. Mais il devient alors très difficile de distinguer ce qui est « colonial » de ce qui est « activité économique normale ». Les pays qui, à l’indépendance, ont décidé que « tout » était à eux se sont la plupart du temps trouvés face à des coquilles vides ou des entreprises lourdement déficitaires après le départ des responsables coloniaux, ce qui illustre qu’on ne leur « prenait » rien … Et ils ont souvent ensuite demandé aux pays du Nord de revenir investir… Ce qui rétablit le sens initial du mot « exploitation » ( « mise en valeur »), loin de son usage marxiste de « prélèvement indu ».




  • source



    La relation avec la “mondialisation” est une fable marxiste de plus.


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tmtisfree a écrit :



Les mythes entretiennent l’idéologie chez les rouges :




  • source



    La relation avec la “mondialisation” est une fable marxiste de plus.





    <img data-src=" />



    Colonisation, commerce triangulaire, etc…. Noooon ça n’a pas rapporté d’argent à l’occident ! Ça a juste fondé les impérialismes économiques toujours en vigueur, mais bon, tu as sûrement dû être bien « réinformé ».


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tmtisfree a écrit :



Gloubiboulga marxiste habituel avec zéro support historique et sans rapport.





Je ne suis pas marxiste, et je reprend juste ce qu’en dit le consensus universitaire. La marine marchande se développe pour faire vivre le système de plantations de Gorée qui s’étend ensuite au nouveau monde et à une partie de l’asie. Ca fait suite aux grandes découvertes des grands explorateurs etc.

Qui fait du gloubiboulga?







tmtisfree a écrit :



La mondialisation est un phénomène récent.





Non.

fr.wikipedia.org Wikipediatmtisfree a écrit :



Non tu t’illusionnes. Ce sont les individus et les sociétés d’individus agissant pour leur intérêt qui créent et font vivre la mondialisation. Les États ne sont qu’une force qui s’y opposent par la fiscalité, le protectionnisme, les réglementations/normes absurdes, leur monopole de la violence, etc.





Amen.

Je connais mon histoire, les grands explorateurs, le développement de la marine, tout s’est fait sous patronage/contrôle des monarchies européennes. Les barrières douanières n’émergent qu’au début du 20e, soit un temps plutôt court dans le phénomène.

Libre à toi de réinventer les choses pour les faire coller dans le dogme.


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L’Espagne a été vaincue militairement entre temps… idem pour le Portugal ou les pays bas. Et même la France a été battue par l’Angleterre dans une certaine mesure.



Les USA se sont largement payés sur la stupidité des européens durant les guerres mondiales et largement développés via l’esclavagisme aussi, juste ils sont à une autre pointe du triangle. Ils ont récupéré a posteriori l’or que les européens avaient accumulé via la mondialisation esclavagiste puis coloniale et l’ont valorisé en devenant émetteurs de la monnaie de référence.





Tant que l’argent était physique il n’y avait pas de distinction valeur/argent, en tous cas pas du tout aux niveaux actuels qui nécessitent que le phénomène soit étudié tellement les deux peuvent se décorréler.

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yvan a écrit :



Sauf que les nations unies n’ont pas le même type de graph pour les périodes concernées

https://unstats.un.org/unsd/trade/imts/Historical%20data%201900-1960.pdf





Il y a 0 graphique dans ce PDF.









yvan a écrit :



1 Tu bricoles sur le fond

2 Tu n’as toujours pas répondu à ce que tu considères comme la période récente de la mondialisation et tu indiques même comme contre arguments la financiarisation de l’économie (Bretton Woods, les états) et quasi suppression des tarifs je suppose douaniers, donc encore les états qui soutiennent le phénomène. Sans parler de la dématérialisation qui est directement issue de l’investissement de l’armée US dans la Sillicon Valley et de l’entente dans les années 90 entre les opérateurs nationaux pour faire un réseau mondial <img data-src=" />

Dans le genre se tirer des arguments dans le pied…





J’ai répondu puisque tu arguties…

Les États n’ont seulement défait les barrières qu’ils avaient installées : corriger ses erreurs ne fait que retomber dans la normalité, la naturalité, du système de marché libre. Ceux qui agissent tous les jours à faire cette mondialisation une réalité voient juste leur travail facilité et la valeur revenir à eux et à leurs clients (le public). Tes ex. sont comme d’habitude sans rapport.









yvan a écrit :



Tu joues sur les mots, une moindre contrainte à certains acteurs économiques qu’au reste de la société est une subvention.





Même si c’était le cas, tu dévoies le sens des mots et nullifie la valeur des concepts, ce qui est bien plus grave encore. Non, ton affirmation révèle juste une totale ignorance de la matière comptable en plus d’être une escroquerie intellectuelle inqualifiable : au plan comptable une moindre extorsion est comptabilisée en une moindre taxation, rien d’autre.



Je laisse de côté le reste, sans intérêt, HS, révisionniste ou halluciné.


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Ex. qui ne contredisent pas mon point et logorrhée marxiste habituelle sans fondement.



Que la monnaie soit physique ou pas est immatériel. Mises l’a très bien démontré, lis le texte du lien, tu apprendras quelque chose sur ce qu’est le concept de valeur…

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Mises réfute la mesurabilité de la valeur comme généralisable… donc gros il dit qu’entre un traité de lui-même et Kant il n’a pas d’avis. <img data-src=" />

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Idiogène a écrit :



Mises réfute la mesurabilité de la valeur comme généralisable… donc gros il dit qu’entre un traité de lui-même et Kant il n’a pas d’avis. <img data-src=" />





Tu fais une fois de plus honneur à ton pseudo… <img data-src=" />


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Ta démocratie, ressemble furieusement aux dictatures.



En tant que citoyen tu as le devoir de dévoiler les crimes dont tu as connaissance.

Ne pas vouloir le faire, et tenter de s’en disculper en employant le point de vu des tortionnaires n’est pas honorable. <img data-src=" />

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A débat idiot réponse du tonneau.



En attendant tu ne nous as toujours pas expliqué si ce sont des étatistes marxistes (bref, des communistes) qui torturent Assange. Nous sommes impatients de le savoir.

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tmtisfree a écrit :



La mondialisation est un phénomène récent.









En effet, un gros siècle, le premier exemple étant le marché de la banane. Et en effet, rien que du privé dans sa création et son extension, les États intervenant plus tard pour introduire de la régulation, comme la préservation des Antilles françaises qui n’ont pas été englouties par Chiquita.


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Assange ne cherche pas à divulguer des crimes. Il cherche à divulguer. Et il divulgue. Tout. N’importe quoi. Des auditions de personnes innocentes au procés Dutroux, des noms de personnes travaillant dans les services secrets, et même le brouillon du script d’Indiana Jones IV.



On atteint ce niveau de ridicule là ; la transparence peut être une idéologie criminelle. Assange a passé de très très loin le cap de simple lanceur d’alerte pour être juste un idiot utile pour ceux qui souhaitent exploiter son mode de “pensée”.











Idiogène a écrit :



En attendant tu ne nous as toujours pas expliqué si ce sont des

étatistes marxistes (bref, des communistes) qui torturent Assange. Nous

sommes impatients de le savoir.&nbsp;





… Pardon ?

&nbsp;



&nbsp;


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Cumbalero a écrit :



En effet, un gros siècle, le premier exemple étant le marché de la banane. Et en effet, rien que du privé dans sa création et son extension, les États intervenant plus tard pour introduire de la régulation, comme la préservation des Antilles françaises qui n’ont pas été englouties par Chiquita.





La mondialisation a à peine 50 ans. On ne peut pas qualifier de “mondialisation” l’existence de quelques marchés entre quelques emplacements géographiques.


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Plutôt que de se lancer dans des missions meurtrières, je préfère l’option de solutions internes basées sur une sélection, une formation, une compétence et une loyauté gagnée de manière juste. Ce sont les mafias qui remplacent la loyauté par la peur. Ou les services d’Etats aux méthodes peu enviables (je pense en particulier au récent meurtre de Jamal Khashoggi par les services de l’Arabie Saoudite).

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tmtisfree a écrit :



corriger ses erreurs ne fait que retomber dans la normalité, la naturalité, du système de marché libre.





Quand est ce que ce type de système a existé? Ou?

On est dans un délire abstrait, le capitalisme a émergé dans des pays administrés, dont les états monarchiques réquisitionnaient régulièrement les ressources pour faire la guerre et ont été à l’origine via les manufactures royales des premières industries modernes, dont les barrières douanières internes n’ont disparu qu’avec la révolution française, soit des décennies après l’émergence de capitalistes industriels privés.

De quoi parles tu quand tu parles de nature ou de normalité?

C’est une démonstration de ça mais dans un monde imaginaire de surcroit ?

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Je répondais à tmtisfree.



Après je suis bien d’accord que le but premier de wikileaks est de tout publier sans tenir compte des conséquences.

C’est là où Assange commet une erreur : il aurait accepté de ne pas faire de politique à partir du moment où la question s’est posée (défendre son site), il n’aurait pas été en position de complice des fuites.



Dans bien des cas la justice retient le fait d’avoir eu connaissance comme base la condamnation. Néanmoins, encore faut-il démontrer qu’il a bien connaissance de tous les documents… et cela n’empêche absolument pas (il assume son rôle je pense) de se poser la question inverse : wikileaks est-il une nécessité politique ou un bannal site web de l’internet ?

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Sans intérêt a écrit :



Ce sont les mafias qui remplacent la loyauté par la peur.





Les états aussi.

En fait opposer mafia et état n’a pas grand sens, la définition d’une mafia étant que c’est un groupe criminel imbriqué dans l’état et c’est ce qui la différencie du banditisme classique.



Je ne partage pas l’enthousiasme de lanoux pour les crimes contre l’humanité mais force est de constater qu’il a raison dans ce qu’il décrit.


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yvan a écrit :



Quand est ce que ce type de système a existé? Ou?





Depuis qu’on a daté les 1ers échanges commerciaux, c’est à dire il y a plus de 10000 ans. Rares sont des notions avérées plus anciennes à tel point que le premier prénom connu est celui d’un comptable…



Note que je n’ai pas parlé de “capitalisme”, un HS une fois de plus qui confirme ton manque chronique de compréhension et ta confusion mentale habituelle, mais de “marché libre”.


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les états ont toujours eu se petit quelque chose en plus par rapport aux mafias. Et ne soyons pas naif, si ils ont des services actions c’est pour s’en servir.

Marrant que tu parles de Khashoggi, as tu remarqué comment la prononciation de ce nom de famille a vite été francisé 1 à 2 jours après le meurtre? Comme si ne pas dire (vais l’écrire comme ça se prononce) cassodji, nous permettrait de pas faire le rapport avec son tonton marchand d’arme qui etait maqué avec l’arabie saoudite

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Le sujet de départ c’est la mondialisation. Que tu réduis toi même aux 50 dernières années.



Ces 50 dernières années un marché libre de toute régulation étatique n’a pas existé hors de micro échanges de particuliers à particuliers dans des régions isolées ou en guerre et le système économique des échanges mondiaux est de type capitaliste régulé par les états même s’il n’y a pas que des capitalistes qui pratiquent.



Raisonner depuis un état de nature des débuts de l’humanité semi sédentarisée relève bien de l’appel à la nature et il est absurde de transposer quoi que ce soit de ces époques au monde contemporain.



Les premiers humains connus le sont via les écritures cunéiformes de Sumer à ma connaissance, soit déjà des humains administrés par des états.

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yvan a écrit :



Le sujet de départ c’est la mondialisation. Que tu réduis toi même aux 50 dernières années.





C’est juste une observation : les échanges commerciaux globaux avec l’explosion de firmes à dimension mondiale, certaines plus importantes en capitalisation que le PIB de certains États, datent de moins de 50 ans.









yvan a écrit :



Ces 50 dernières années un marché libre de toute régulation étatique n’a pas existé hors de micro échanges de particuliers à particuliers dans des régions isolées ou en guerre et le système économique des échanges mondiaux est de type capitaliste régulé par les états même s’il n’y a pas que des capitalistes qui pratiquent.





Il existe des millions de marchés de par le monde, partout et à chaque instant, qui ne sont ni régulés ni taxés, il faut sortir de ton trou et de ta bulle idéologique. Par ex. rien que cet après midi, j’ai vendu diverses choses à un individu que je ne connaissais pas (et réciproquement) ; aucun parasite n’est intervenu. Le marché de gré à gré est si commun qu’on ne le voit même pas.



C’est toute manière HS avec le point de départ qui est que la mondialisation est le fait des agents économiques agissants pour la réaliser, et non de parasites opérants pour l’empêcher ou la réduire. Logics 101.



Fin de transmission.


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Pas les premiers humains, les premiers écrits. Qui sont de la protohistoire car ne racontant rien étant donné que ce sont des documents comptables

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Quand est-ce que le Royaume-Uni (et d’autres pays européens comme la France) arrêteront d’être à la botte des Etats-Unis…

C’est fou ce qu’on lui fait vivre…

Je me demande bien l’intérêt d’être un lanceur d’alertes quand on voit ce que des personnes comme lui et Edward Snowden vivent…

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Concernant le nom…



Il m’avait semblé avoir utilisé l’orthographe utilisée par le WaPo, où il publiait ses éditos. L’adaptation d’un nom propre à une autre langue est assez courante, en particulier lorsque celui-ci utilise un alphabet différent.



(Etant moi-même étranger vivant en France, j’ai toujours francisé mon prénom, en particulier, sans y voir le moindre souci, au contraire d’autres, certes.)

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