J’ai pas dis foisonnant de GROS forums. J’imagine vraiment un Internet de petites communautés reliées par des services acentrés ou décentralisés. Internet est pas nature incontrôlable, des services à l’image du réseau (mastodon, peertube, irc, jabber, email, bittorrent, etc) sont beaucoup plus compliqués à censurer. Que ce soit via VPN ou dans les oignons, anonymes ou au grand jour.
Alors c’est complètement utopique et j’en suis conscient. Mais Bayart prédisait il y a plus de 10 ans que les pouvoirs tenteraient de censurer le net. De mémoire, déjà à l’époque il expliquait que “libérer” Internet ça se ferait soit doucement, soit dans le sang. Plus ils appuient, plus ça fait mal. J’ai dans l’idée (complètement biaisée) que quand le réseau est agressé, le réseau répond à la hauteur de l’agression.
Sur les plateformes ça se matérialise par l’adoption. Si demain Twitter est censuré à mort en France, pour moi ça veut juste dire que la contre-culture ne se fera plus là. On peut s’attendre à une désertion du service.
Et si on imagine une escalade jusqu’au pire scenario. Les opérateurs à la botte du pouvoir qui censure tout, interdit le chiffrement, le porno, etc etc. J’ai comme dans l’idée que dans ce scénario, la censure du net n’est que l’un DES NOMBREUX problèmes qu’on aura. Par ce que les habitants des pays qui censurent violemment le net. Ben, la liberté d’expression, c’est pas leur problème n°1.
PS: J’ai pas compris la phrase sur RSF. Je dis ça sans ironie, je vois pas le rapport. J’ai jamais remis en question la pertinence de RSF, ni la qualité de leur travail.
Le
02/07/2019 à
14h
06
Faites tout votre possible pour censurer au max les plateformes. Si ça veut dire revenir à un internet foisonnant de petits forums, de petits blogs, de salons IRC, de serveurs mumbles, etc. IMHO, c’est pour le mieux.
Premièrement, je noie rien du tout. Je dis qu’il existe au moins trois solutions : payer, pirater, ne pas regarder. Deuxièmement, ton choix d’abonnement ne regarde que toi et c’est de l’ordre de l’anecdote, c’est pas un argument. Troisièmement, tu ne sais pas si je suis Français, Belge, Suisse, Canadien, Sénégalais ou juste francophone. Quatrièmement, tu auras beau agiter toutes les raisons financières que tu veux, consommer des produits culturels est un choix, pas une nécessité. Si tu pirates, c’est par choix, pas par nécessité.
Le
05/04/2019 à
13h
26
Non mais c’est un faux dilemme ça. Il y a une solution tierce hein : ne pas regarder la série.
Le
05/04/2019 à
09h
52
skankhunt42 a écrit :
je devrait toujours pirater pour la saison 8 de GOT
Tu dois rien du tout. C’est quoi ce comportement qui consiste à dire que c’est une obligation de consommer des séries ?
Article très intéressant. Je me demande tout de même si ce besoin d’un nouvel azerty ne vient pas de la rigidité de Windows sur le mapping des touches. Je veux dire, sur un GNU/Linux, il me semble que changer le mapping des touches, c’est juste modifier un fichier ou ajouter un fichier dans la listes des mappings disponibles. Si Windows avait été aussi permissif sur ce sujet, est-ce que le besoin serait apparu ?
Autour de moi j’observe beaucoup de jeunes (20-25 ans je dirais) ne pas prendre d’offre fixe lorsqu’ils s’installent. Le smartphone en mode routeur wifi leur suffit. L’échantillon est loin d’être significatif et je ne sais pas si c’est une tendance globale, mais ça se comprend. Dans les zones non couvertes par la fibre, l’ADSL affiche moins de capacité (de débit) qu’une connexion 4G. Entre ça et la montée des prix chez Free, la nécessité d’avoir une connexion fixe se fait de moins en moins sentir j’ai l’impression. Surtout pour les petits revenus.
Bon, je sais que c’est mal les attaques ad hominem, mais bon, je peux pas résister à rappeler que ce cher Berners-Lee a approuvé, il n’y a pas si longtemps que ça, les EME (DRM sur le web) sous prétexte d’une meilleur expérience pour l’utilisateur. Laissant de ce fait Mozilla, seul contre tous.
Ça prouve bien que le W3C ne se préoccupe pas tant que ça des libertés sur le web. Que l’organisation de devienne obsolète par la situation de monopole de Google, n’est finalement qu’un retour de bâton. Le cas des EME a montré que l’industrie peut faire plier le W3C, qui est déjà en situation de faiblesse face au WHATWG.
C’est une question de vocabulaire, de cybervocabulaire.
Le
21/01/2019 à
16h
47
C’était pas une critique formelle. J’ai juste du mal à réaliser que c’est notre présent. J’ai l’impression de lire de la SF.
Le
21/01/2019 à
15h
02
Quelque 4 000 cybercombattants seront en charge de ces deux fronts internationaux d’ici 2025. La loi de programmation militaire a prévu à cette fin le recrutement de 1 000 cybercombattants en plus d’un investissement de 1,6 milliard d’euros pour la lutte dans le cyberespace.
Je pense qu’ils sont quand même en train de serrer les fesses ouai. Surtout que c’est que l’un des volets de la plainte de LQDN. Il reste encore des choses à traiter pour la CNIL. (SI j’ai bien compris le communiqué de LQDN).
Et puis, Google est pas le seul à faire ça. Les sites qui mettent les cookies actifs par défaut sont nombreux. Eux aussi ils doivent avoir une petite suée là.
Le
21/01/2019 à
16h
50
C’est à rapporter sur le CA en France pour que ce soit parlant. Surtout que le RGPD ne s’applique pas que en France. SI tous les pays de l’UE s’y mettent, ça va vite faire cher.
SI j’ai bien compris, c’est justement là dessus que c’est intéressant. Ce n’est pas un salarié sur le papier, mais la cour d’appel estime que la relation entre Uber et un chauffeur peut s’assimiler à celle d’un patron et de son employer. Ce que ça raconte en filigrane c’est que Uber “ferait” de l’embauche dissimulée et c’est pas très joli joli.
Beh, les hébergeurs sont soumis à la loi comme tout le monde. C’est justement par ce que certains estiment que le dispositif actuel est trop lourd ou trop lent qu’ils souhaitent modifier la loi. Faire un régime d’exception.
J’ai du mal à imaginer comment ça sera mis en pratique et la pertinence du truc. Genre une mention sous un tweet pour indiqué qu’il a été “Propulsé par @lesRepublicains” ?
Je comprend pas la pertinence. En quoi ça lutte contre les fake news ? C’est pas plutôt les militants, les journalistes etc. qui relaient des infos sur twitter et facebook ? Là, dans les faits, un site hébergé en Russie qui publie des “fake news” et qui est relayé par des militants il est pas concerné par la loi.
Comme je l’ai dis, la question du libre c’est une posture militante, en aucun cas un modèle économique. Là dessus pas de soucis. De plus pour le logiciel c’est encore pire puisque le brevet ne s’applique pas en Europe. Le choix est vite fait pour une entreprise.
Encore une fois, je n’ai rien contre l’innovation et la R&D, mais pour moi les enjeux sont pas les même que pour de la recherche.
Le
04/01/2019 à
14h
34
Ah, le secret. Bon pour être honnête j’espérais que tu avais autre chose. Pour le coup, je supporte pas du tout cette pratique. Le dernier petit morceau d’altruisme qu’il y a dans le brevet, c’est de partager les connaissances liées à l’invention. Petit le morceau, par ce que les brevets américains faut se lever tôt pour les lire.
Pour le coup, je suis plutôt partisan du logiciel libre, des publications librement accessibles, de la culture libre. J’admire les chercheurs qui choisissent de se limiter aux conférences qui laisse libre accès aux publications. Typiquement ce mec qui me surprend de jours en jourshttps://desfontain.es/privacy/personal-open-access-policy.html (d’ailleurs il bosse chez Google, c’est coquasse dans le cadre de notre échange).
Mais bon, ça c’est une posture militante, je comprends qu’on puisse ne pas y être sensible.
Sinon, tu confirmes dans ta réponse ce que je dis : « pour tout ce qui est technique ». C’est justement tout mon propos, si c’est le privé qui est à l’avant-garde dans le technique, c’est justement par ce le domaine s’y prête bien.
Le
04/01/2019 à
13h
55
Bon, c’est trop long là.
Je dis pas que le coût de la recherche en entreprise est porté par l’état. Je dis que le modèle économique que tu décris favorise les projets de recherches qui ont manifestement des chances d’aboutir et défavorise tous les projets de recherche qui n’ont à priori (à première vue) pas d’application économique ou dont l’intérêt économique est trop incertain, risqué : la recherche littéraire, la recherche historique, l’archéologie, etc. C’est un modèle qui par définition entraîne les laboratoires dans une course à l’innovation que je ne trouve pas saine du tout.
Quand je dis qu’il faut décorréler recherche et application, c’est précisément pour ça. Même sans parler de littérature et d’histoire. Il y a le domaine du spatial comme exemple. Depuis Space X ça va un peu mieux, mais avant ça, c’était à pas de fourmis que ça avançait. Précisément par ce que les risques et les coûts sont gigantesques et par ce que l’horizon de rentabilité est très lointain.
Du coup, l’effet pervers c’est que les labos privés en contrat avec les agences spatiales ne font pas de la recherche sur le spatial, mais de l’innovation sur des bouts du spatial. On améliore des composants. On change des matériaux. Je ne dis pas que c’est inintéressant, mais je pense que ça ramène la recherche au niveau du sol, à des questions industrielles.
À part les labos universitaires, personne ne veut se fader le débroussaillage. Alors oui, des gros groupes peuvent le faire, mais c’est pas par grandeur d’âme. C’est juste qu’à leur échelle, ils peuvent plus facilement amortir n’importe quel projet de recherche. L’exemple typique c’est Monsanto, qui choppe des prix et distinctions sur l’écologie de temps en temps, justement par ce qu’ils ont tellement de labo que statistiquement, des résultats finissent par sortir. Pour une PME c’est inenvisageable.
Et même ces gros groupes peuvent être sanctionnés s’ils se montrent trop nébuleux. L’exemple typique c’est les Google Glass, tout le monde considère ça comme un échec. Mais c’est un échec industriel, d’un point de vue de la recherche, c’est plutôt une réussite.
Bon par contre, question qui m’intéresse, c’est quoi les autres modèles économiques d’exploitation de résultats de recherche qui n’implique pas un brevet ? Je suis probablement pas assez calé dans le domaine par ce que je vois pas et je dis ça sans aucune malice ou sarcasme.
Le
04/01/2019 à
11h
23
Je comprends pas trop ton argument. Inclure le coût de la recherche à perte dans les applications industriels, ça marche lorsque l’organisme qui finance c’est un État. Mais tous les investisseurs privés, ils s’en balancent. Eux ce qu’ils veulent c’est le brevet, le ROI (comme tu dis). Pour un investisseur privé, si un projet de recherche n’aboutit pas, je suis sur qu’il voit ça comme une perte sèche. Au final, avec ce raisonnement de compenser les pertes de projets qui aboutissent pas par les revenus des projets qui aboutissent… Et ben on arrive dans une logique de coût/avantage. L’investisseur malin supprime les domaines de recherche risqués et favorisent les domaines de recherche avantageux.
Pour moi, idéalement, il faut complètement décorréler la recherche du domaine applicatif justement par ce que la recherche (du moins une partie) ne doit pas avoir d’objectif économique. Dire que la recherche c’est de la “recherche et applications” c’est faire le même glissement que font les groupes industriels en ce moment de renommer leurs pôles de recherches des pôles “d’innovation”. Si on ne voit la recherche que via ce prisme de ROI, d’application industriels, de course à l’innovation, etc. On passe à côté (à mon humble avis de jeune rêveur) ce que peut nous apporter la recherche.
Le
04/01/2019 à
09h
30
On est d’accord, les chercheurs du 19e prennent pas un pourcentage des ventes (en mode TVA) des achats en ligne. La pertinence économique de certains travaux de recherche ne se ressentent que bien plus tard et possiblement pas par les mêmes gens, ni par les mêmes entreprises.
L’objectif (grosso modo) d’un département de R&D c’est le brevet. C’est pas tellement le cas dans la Recherche où l’objectif c’est plutôt la publication. Ne me faites pas dire ce que j’ai pas dis hein : je dis pas dis que les mecs en R&D publient pas ni que les labos de recherches ne posent pas de brevets. C’est une question d’objectif et de priorité.
Je précise aussi que je défend pas le point de vu de _Quentin_ (sur l’offre et la demande), puisque le financement de la recherche se fait en grande partie en fonction de possibles retours. Typiquement, quand on est un mathématicien spécialisé en économie, le financement, c’est pas trop dur à trouver. Par contre un archéologue spécialisé en poterie du paléolithique des peuplades du bassin Mauriennait va bien plus galérer a financer ses travaux. Justement par ce qu’il y a un déséquilibre d’offre (les chercheurs) et de demande (les financeurs).
Le
04/01/2019 à
09h
13
Il y a une grosse différence entre “Recherche” et “Recherche & Développement”. Je bosse aussi dans le milieu et de ce que j’ai vu, en effet, le retour sur “investissement” dans la Recherche est bien moindre que dans la R&D.
Après bien sur, c’est à nuancer, je dis ce que j’ai vu et j’ai pas exploré un nombre statistiquement significatif de labos.
Ouai rien que ça. Une solution Google (ou autre) intègre mail, contact, calendriers et même discussion instantanée pour certains. C’est quoi l’alternative, un serveur DAV ? Ça convient aux techos bien sur, mais pour le grand public j’ai de gros doutes.
Le
03/01/2019 à
15h
12
L’analyse en fin d’article est très pertinente. Personne ne veut configurer un client mail en 2019. Le couplage client et service qu’offrent Gmail, Outlook et leurs concurrents rend l’utilisation de Thunderbird par le grand publique peu probable. C’est encore plus parlant sur mobile où installer Gmail signifie accéder directement à sa messagerie alors qu’installer un client mail tiers (K9 par exemple) demande de se fader la config smtp et imap.
Il y a peut-être des cartes à jouer en entreprise. Pas chez les grands qui utilisent Exchange et donc Outlook + Skype. Mais dans les PME pourquoi pas…
Je remets pas en cause le fait que c’est un bon deal ou la pertinence d’étudier le prix sur une durée. Je dis pas non plus que c’est pertinent pour un consommateur qui cherche à s’abonner sur le long terme de s’attarder sur les prix ponctuels à l’entrée.
Je me pose juste des questions sur ces prix. Et c’est justement sur la partie “tarif facial” que je ne suis pas d’accord. Par ce que toute la partie server et abonnement est indissociable à l’achat, vu que c’est une vente liée. Si je veux acheter le player, il faut payer : le player, l’activation, la migration, probablement un mois d’abonnement et enfin la résiliation. Au minimum. Je sais pas comment ça marche leur tambouille interne, mais je suppose qu’ils n’ont pas le droit de ventre le Player à perte. C’est d’ailleurs peut-être pour ça qu’ils offrent le disque dur. Peut-être qu’afficher qu’il coûte 10€, c’est considéré comme de la vente à perte.
Le
10/12/2018 à
17h
03
Deuxième procès d’intention, c’est cool. Je confonds pas, je dis juste que mettre des labels sur les prix c’est sympa mais dans les fais ça ne change pas le tarif à la fin. Les frais d’activation donnent le droit au disque dur et aux accessoires. Mais, si on ne prend pas ces accessoires, c’est seulement 20€ en moins sur la facture. Pourquoi, alors, ne pas séparer les 20€ des 99€ ? Et dire clairement que les frais d’activations sont de 70€ ? Par ce qu’au final, ça revient au même. Surtout qu’on ne peux pas acheter le Player sans l’abonnement et donc sans les frais d’activation. Pour avoir “accès” à l’offre Delta, il faut s’acquitter de 580€ (je compte pas les 48€ de bonus, mais c’est discutable) puis de l’abonnement de 50€. Qu’ils associent les 99€ sur la partie abonnement ou sur la partie Player, c’est qu’une question de terminologie et de marketing.
Au final, déporter une partie du prix du Player (ou des accessoires) sur les frais d’activation, c’est peut-être ce qu’ils ont fait. Ça serait malin, mais un petit peu vilain.
Le
10/12/2018 à
16h
52
Le procès d’intention c’est pas une bonne pratique non plus. J’ai lus les articles. Vous dites la même chose. Je cite :
“Comme le disque dur, ce pack est offert aux clients lors de leur commande (sous réserve du paiement des frais d’activation). Il sera également proposé à part. Ces produits peuvent fonctionner sans passer par une Freebox.”
Offert sous réserve de payer, ça s’appelle payant.
Le
10/12/2018 à
16h
44
Le boitier n’est pas à 480€, mais 580€ puisque les frais de mise en service servent à l’achat du disque dur et des devices de surveillance. Or, si on ne prend pas ses options, c’est juste 20€ qui sautent et pas 99€.
T’es passé de “C’est pourtant possible de coupler anonymat et unicité” à “je soutiens juste que les vote en ligne doivent être des applications décentralisées pour être crédibles”.
Aucun des exemples que tu donnes ne répond au problème.
Là j’en suis à un point où je considère sérieusement que tu trolls juste pour le plaisir et j’ai juste pas le temps pour ça.
Le
05/10/2017 à
09h
03
C’est incroyable, j’ai de plus en plus l’impression que tu comprends pas vraiment de quoi tu parles. Je vais essayer encore une fois. La blockchain associe de manière forte le vote et le votant. Ce n’est pas DU TOUT ce qu’on veut pour un vote. C’est inhérent à la technologie.
Je parlais de CryptoNote plus tôt, par ce qu’ils promettent que seul les deux parties de la transaction connaissent la nature de l’échange (le vote). Et quand je dis que je vois pas comment l’appliquer au vote c’est par ce que, dans le vote, il y a qu’un seul partie qui peut connaitre la nature du vote, le votant.
Followmyvote est basé sur graphene qui (bien qu’elle dépote il faut le reconnaitre) est une blockchain comme les autres, avec les mêmes soucis.
Le
03/10/2017 à
17h
21
Mais… mais non. Le seul projet qui va dans ce sens c’est CryptoNote et je vois vraiment pas comment l’appliquer au vote. Et ça change pas les deux autres problèmes : 1) ça n’apporte rien et 2) c’est juste incontrôlable pour quelqu’un qui n’est pas cryptologue.
C’est bien beau de brandir la blockchain comme le st graal. Mais c’est pas si simple dans la vrai vie.
Le
03/10/2017 à
17h
04
C’est déjà faisable avec du papier. L’utilisation de cryptographie n’apporte rien et rend le procédé obscure pour quelqu’un qui n’a pas un master en cryptologie.
Le
03/10/2017 à
14h
45
On parle pas de la même chose.
Si c’est juste compter les bulletins papier avec un machine, pourquoi pas, mais ce n’est pas ça le “vote numérique”.
Un vote numérique, est un vote informatisé de bout en bout. Or, ça présente le problème de contrôle de l’élection par l’homme du peuple que tu mentionne et, sur un système numérique il est impossible de vérifier à la fois l’unicité du vote et son anonymat.
Le vote par note n’est absolument pas le sujet ici.
Le
03/10/2017 à
14h
36
Non, le vote doit être anonyme ET unique. La blockchain est une identification forte, qui n’a en plus aucun intérêt ici. Une simple signature numérique présente les mêmes avantages et les mêmes inconvenants. La chaine n’apporte rien.
De manière plus général ça dépend du type de contenu et de la fréquence de visites. Pour des sites à visites ponctuelle (restaurant par exemple) l’application n’a pas de sens. En revanche une version mobile aux petits oignions est pertinente. Pour un site à visite fréquentes (wikipedia, presse, banque ou université par exemple), l’application prend tout son sens. Ça évite de télécharger le soft à chaque utilisation, on ne DL que les données.
129 commentaires
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Le 02/07/2019 à 15h 26
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Alors c’est complètement utopique et j’en suis conscient. Mais Bayart prédisait il y a plus de 10 ans que les pouvoirs tenteraient de censurer le net. De mémoire, déjà à l’époque il expliquait que “libérer” Internet ça se ferait soit doucement, soit dans le sang. Plus ils appuient, plus ça fait mal. J’ai dans l’idée (complètement biaisée) que quand le réseau est agressé, le réseau répond à la hauteur de l’agression.
Sur les plateformes ça se matérialise par l’adoption. Si demain Twitter est censuré à mort en France, pour moi ça veut juste dire que la contre-culture ne se fera plus là. On peut s’attendre à une désertion du service.
Et si on imagine une escalade jusqu’au pire scenario. Les opérateurs à la botte du pouvoir qui censure tout, interdit le chiffrement, le porno, etc etc. J’ai comme dans l’idée que dans ce scénario, la censure du net n’est que l’un DES NOMBREUX problèmes qu’on aura. Par ce que les habitants des pays qui censurent violemment le net. Ben, la liberté d’expression, c’est pas leur problème n°1.
PS: J’ai pas compris la phrase sur RSF. Je dis ça sans ironie, je vois pas le rapport. J’ai jamais remis en question la pertinence de RSF, ni la qualité de leur travail.
Le 02/07/2019 à 14h 06
Faites tout votre possible pour censurer au max les plateformes. Si ça veut dire revenir à un internet foisonnant de petits forums, de petits blogs, de salons IRC, de serveurs mumbles, etc. IMHO, c’est pour le mieux.
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hein ?
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Premièrement, je noie rien du tout. Je dis qu’il existe au moins trois solutions : payer, pirater, ne pas regarder. Deuxièmement, ton choix d’abonnement ne regarde que toi et c’est de l’ordre de l’anecdote, c’est pas un argument. Troisièmement, tu ne sais pas si je suis Français, Belge, Suisse, Canadien, Sénégalais ou juste francophone. Quatrièmement, tu auras beau agiter toutes les raisons financières que tu veux, consommer des produits culturels est un choix, pas une nécessité. Si tu pirates, c’est par choix, pas par nécessité.
Le 05/04/2019 à 13h 26
Non mais c’est un faux dilemme ça. Il y a une solution tierce hein : ne pas regarder la série.
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05/04/2019
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Article très intéressant. Je me demande tout de même si ce besoin d’un nouvel azerty ne vient pas de la rigidité de Windows sur le mapping des touches. Je veux dire, sur un GNU/Linux, il me semble que changer le mapping des touches, c’est juste modifier un fichier ou ajouter un fichier dans la listes des mappings disponibles. Si Windows avait été aussi permissif sur ce sujet, est-ce que le besoin serait apparu ?
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Autour de moi j’observe beaucoup de jeunes (20-25 ans je dirais) ne pas prendre d’offre fixe lorsqu’ils s’installent. Le smartphone en mode routeur wifi leur suffit. L’échantillon est loin d’être significatif et je ne sais pas si c’est une tendance globale, mais ça se comprend. Dans les zones non couvertes par la fibre, l’ADSL affiche moins de capacité (de débit) qu’une connexion 4G. Entre ça et la montée des prix chez Free, la nécessité d’avoir une connexion fixe se fait de moins en moins sentir j’ai l’impression. Surtout pour les petits revenus.
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13/03/2019
Le 13/03/2019 à 10h 10
Bon, je sais que c’est mal les attaques ad hominem, mais bon, je peux pas résister à rappeler que ce cher Berners-Lee a approuvé, il n’y a pas si longtemps que ça, les EME (DRM sur le web) sous prétexte d’une meilleur expérience pour l’utilisateur. Laissant de ce fait Mozilla, seul contre tous.
Ça prouve bien que le W3C ne se préoccupe pas tant que ça des libertés sur le web. Que l’organisation de devienne obsolète par la situation de monopole de Google, n’est finalement qu’un retour de bâton. Le cas des EME a montré que l’industrie peut faire plier le W3C, qui est déjà en situation de faiblesse face au WHATWG.
Streaming illicite de matchs : un sénateur veut qu’Hadopi rende une décision de blocage en 5 minutes
11/02/2019
Le 11/02/2019 à 13h 55
C’est pas du tout le genre d’outil qui a le potentiel d’être détourné pour faire de la censure “just-in-time”.
Avant le FIC, la France dévoile sa doctrine cyber offensive
21/01/2019
Le 22/01/2019 à 15h 01
C’est une question de vocabulaire, de cybervocabulaire.
Le 21/01/2019 à 16h 47
C’était pas une critique formelle. J’ai juste du mal à réaliser que c’est notre présent. J’ai l’impression de lire de la SF.
Le 21/01/2019 à 15h 02
Quelque 4 000 cybercombattants seront en charge de ces deux fronts internationaux d’ici 2025. La loi de programmation militaire a prévu à cette fin le recrutement de 1 000 cybercombattants en plus d’un investissement de 1,6 milliard d’euros pour la lutte dans le cyberespace.
Bienvenue dans le turfu.
La CNIL inflige une amende de 50 millions d’euros à Google
21/01/2019
Le 21/01/2019 à 17h 18
Je pense qu’ils sont quand même en train de serrer les fesses ouai. Surtout que c’est que l’un des volets de la plainte de LQDN. Il reste encore des choses à traiter pour la CNIL. (SI j’ai bien compris le communiqué de LQDN).
Et puis, Google est pas le seul à faire ça. Les sites qui mettent les cookies actifs par défaut sont nombreux. Eux aussi ils doivent avoir une petite suée là.
Le 21/01/2019 à 16h 50
C’est à rapporter sur le CA en France pour que ce soit parlant. Surtout que le RGPD ne s’applique pas que en France. SI tous les pays de l’UE s’y mettent, ça va vite faire cher.
Une sénatrice veut protéger la vie privée des mineurs sur Internet
21/01/2019
Le 21/01/2019 à 12h 40
Intéressant et surprenamment pertinent.
Contre les usurpations de plaques d’immatriculation, l’État mise sur l’intelligence artificielle
17/01/2019
Le 17/01/2019 à 16h 28
Merci. C’est dur parfois de faire comprendre aux gens que IA ça désigne aussi un champs de recherche concret.
Le 17/01/2019 à 16h 14
Le terme IA recouvre entre autres, toutes les technologies de classification par apprentissage supervisé ou non. C’est donc bien de l’IA.
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15/01/2019
Le 15/01/2019 à 10h 50
Le besoin n’existe plus. C’est trop tard je pense.
Pour la cour d’appel de Paris, un chauffeur Uber doit être assimilé à un salarié
11/01/2019
Le 11/01/2019 à 16h 30
SI j’ai bien compris, c’est justement là dessus que c’est intéressant. Ce n’est pas un salarié sur le papier, mais la cour d’appel estime que la relation entre Uber et un chauffeur peut s’assimiler à celle d’un patron et de son employer. Ce que ça raconte en filigrane c’est que Uber “ferait” de l’embauche dissimulée et c’est pas très joli joli.
Un projet de loi contre les contenus haineux en 2019
10/01/2019
Le 10/01/2019 à 09h 36
Beh, les hébergeurs sont soumis à la loi comme tout le monde. C’est justement par ce que certains estiment que le dispositif actuel est trop lourd ou trop lent qu’ils souhaitent modifier la loi. Faire un régime d’exception.
Loi « fake news » : les seuils de transparence imposés aux plateformes
08/01/2019
Le 08/01/2019 à 09h 35
J’ai du mal à imaginer comment ça sera mis en pratique et la pertinence du truc. Genre une mention sous un tweet pour indiqué qu’il a été “Propulsé par @lesRepublicains” ?
Je comprend pas la pertinence. En quoi ça lutte contre les fake news ? C’est pas plutôt les militants, les journalistes etc. qui relaient des infos sur twitter et facebook ? Là, dans les faits, un site hébergé en Russie qui publie des “fake news” et qui est relayé par des militants il est pas concerné par la loi.
Ou j’ai rien compris.
À l’Assemblée, une proposition de loi pour expérimenter un « revenu de base »
04/01/2019
Le 04/01/2019 à 14h 55
Comme je l’ai dis, la question du libre c’est une posture militante, en aucun cas un modèle économique. Là dessus pas de soucis. De plus pour le logiciel c’est encore pire puisque le brevet ne s’applique pas en Europe. Le choix est vite fait pour une entreprise.
Encore une fois, je n’ai rien contre l’innovation et la R&D, mais pour moi les enjeux sont pas les même que pour de la recherche.
Le 04/01/2019 à 14h 34
Ah, le secret. Bon pour être honnête j’espérais que tu avais autre chose. Pour le coup, je supporte pas du tout cette pratique. Le dernier petit morceau d’altruisme qu’il y a dans le brevet, c’est de partager les connaissances liées à l’invention. Petit le morceau, par ce que les brevets américains faut se lever tôt pour les lire.
Pour le coup, je suis plutôt partisan du logiciel libre, des publications librement accessibles, de la culture libre. J’admire les chercheurs qui choisissent de se limiter aux conférences qui laisse libre accès aux publications. Typiquement ce mec qui me surprend de jours en jourshttps://desfontain.es/privacy/personal-open-access-policy.html (d’ailleurs il bosse chez Google, c’est coquasse dans le cadre de notre échange).
Mais bon, ça c’est une posture militante, je comprends qu’on puisse ne pas y être sensible.
Sinon, tu confirmes dans ta réponse ce que je dis : « pour tout ce qui est technique ». C’est justement tout mon propos, si c’est le privé qui est à l’avant-garde dans le technique, c’est justement par ce le domaine s’y prête bien.
Le 04/01/2019 à 13h 55
Bon, c’est trop long là.
Je dis pas que le coût de la recherche en entreprise est porté par l’état. Je dis que le modèle économique que tu décris favorise les projets de recherches qui ont manifestement des chances d’aboutir et défavorise tous les projets de recherche qui n’ont à priori (à première vue) pas d’application économique ou dont l’intérêt économique est trop incertain, risqué : la recherche littéraire, la recherche historique, l’archéologie, etc. C’est un modèle qui par définition entraîne les laboratoires dans une course à l’innovation que je ne trouve pas saine du tout.
Quand je dis qu’il faut décorréler recherche et application, c’est précisément pour ça. Même sans parler de littérature et d’histoire. Il y a le domaine du spatial comme exemple. Depuis Space X ça va un peu mieux, mais avant ça, c’était à pas de fourmis que ça avançait. Précisément par ce que les risques et les coûts sont gigantesques et par ce que l’horizon de rentabilité est très lointain.
Du coup, l’effet pervers c’est que les labos privés en contrat avec les agences spatiales ne font pas de la recherche sur le spatial, mais de l’innovation sur des bouts du spatial. On améliore des composants. On change des matériaux. Je ne dis pas que c’est inintéressant, mais je pense que ça ramène la recherche au niveau du sol, à des questions industrielles.
À part les labos universitaires, personne ne veut se fader le débroussaillage. Alors oui, des gros groupes peuvent le faire, mais c’est pas par grandeur d’âme. C’est juste qu’à leur échelle, ils peuvent plus facilement amortir n’importe quel projet de recherche. L’exemple typique c’est Monsanto, qui choppe des prix et distinctions sur l’écologie de temps en temps, justement par ce qu’ils ont tellement de labo que statistiquement, des résultats finissent par sortir. Pour une PME c’est inenvisageable.
Et même ces gros groupes peuvent être sanctionnés s’ils se montrent trop nébuleux. L’exemple typique c’est les Google Glass, tout le monde considère ça comme un échec. Mais c’est un échec industriel, d’un point de vue de la recherche, c’est plutôt une réussite.
Bon par contre, question qui m’intéresse, c’est quoi les autres modèles économiques d’exploitation de résultats de recherche qui n’implique pas un brevet ? Je suis probablement pas assez calé dans le domaine par ce que je vois pas et je dis ça sans aucune malice ou sarcasme.
Le 04/01/2019 à 11h 23
Je comprends pas trop ton argument. Inclure le coût de la recherche à perte dans les applications industriels, ça marche lorsque l’organisme qui finance c’est un État. Mais tous les investisseurs privés, ils s’en balancent. Eux ce qu’ils veulent c’est le brevet, le ROI (comme tu dis). Pour un investisseur privé, si un projet de recherche n’aboutit pas, je suis sur qu’il voit ça comme une perte sèche. Au final, avec ce raisonnement de compenser les pertes de projets qui aboutissent pas par les revenus des projets qui aboutissent… Et ben on arrive dans une logique de coût/avantage. L’investisseur malin supprime les domaines de recherche risqués et favorisent les domaines de recherche avantageux.
Pour moi, idéalement, il faut complètement décorréler la recherche du domaine applicatif justement par ce que la recherche (du moins une partie) ne doit pas avoir d’objectif économique. Dire que la recherche c’est de la “recherche et applications” c’est faire le même glissement que font les groupes industriels en ce moment de renommer leurs pôles de recherches des pôles “d’innovation”. Si on ne voit la recherche que via ce prisme de ROI, d’application industriels, de course à l’innovation, etc. On passe à côté (à mon humble avis de jeune rêveur) ce que peut nous apporter la recherche.
Le 04/01/2019 à 09h 30
On est d’accord, les chercheurs du 19e prennent pas un pourcentage des ventes (en mode TVA) des achats en ligne. La pertinence économique de certains travaux de recherche ne se ressentent que bien plus tard et possiblement pas par les mêmes gens, ni par les mêmes entreprises.
L’objectif (grosso modo) d’un département de R&D c’est le brevet. C’est pas tellement le cas dans la Recherche où l’objectif c’est plutôt la publication. Ne me faites pas dire ce que j’ai pas dis hein : je dis pas dis que les mecs en R&D publient pas ni que les labos de recherches ne posent pas de brevets. C’est une question d’objectif et de priorité.
Je précise aussi que je défend pas le point de vu de _Quentin_ (sur l’offre et la demande), puisque le financement de la recherche se fait en grande partie en fonction de possibles retours. Typiquement, quand on est un mathématicien spécialisé en économie, le financement, c’est pas trop dur à trouver. Par contre un archéologue spécialisé en poterie du paléolithique des peuplades du bassin Mauriennait va bien plus galérer a financer ses travaux. Justement par ce qu’il y a un déséquilibre d’offre (les chercheurs) et de demande (les financeurs).
Le 04/01/2019 à 09h 13
Il y a une grosse différence entre “Recherche” et “Recherche & Développement”. Je bosse aussi dans le milieu et de ce que j’ai vu, en effet, le retour sur “investissement” dans la Recherche est bien moindre que dans la R&D.
Après bien sur, c’est à nuancer, je dis ce que j’ai vu et j’ai pas exploré un nombre statistiquement significatif de labos.
Thunderbird veut redéployer ses ailes dès cette année
03/01/2019
Le 03/01/2019 à 15h 50
Ouai rien que ça. Une solution Google (ou autre) intègre mail, contact, calendriers et même discussion instantanée pour certains. C’est quoi l’alternative, un serveur DAV ? Ça convient aux techos bien sur, mais pour le grand public j’ai de gros doutes.
Le 03/01/2019 à 15h 12
L’analyse en fin d’article est très pertinente. Personne ne veut configurer un client mail en 2019. Le couplage client et service qu’offrent Gmail, Outlook et leurs concurrents rend l’utilisation de Thunderbird par le grand publique peu probable. C’est encore plus parlant sur mobile où installer Gmail signifie accéder directement à sa messagerie alors qu’installer un client mail tiers (K9 par exemple) demande de se fader la config smtp et imap.
Il y a peut-être des cartes à jouer en entreprise. Pas chez les grands qui utilisent Exchange et donc Outlook + Skype. Mais dans les PME pourquoi pas…
Free annonce sa Freebox Delta S à 40 euros par mois, sans Player Devialet
19/12/2018
Le 19/12/2018 à 14h 51
Ah c’est pas dégueu du tout.
Orange annonce son enceinte connectée Djingo avec Amazon Alexa, dès 49 euros pour ses clients
12/12/2018
Le 12/12/2018 à 14h 19
Les données restent en Europe. Mais bon, modulo la connexion à Alexa qui n’est pas hyper claire.
Freebox Delta Player Devialet : « les gens veulent avant tout consommer des contenus multimédias »
10/12/2018
Le 10/12/2018 à 17h 18
Je remets pas en cause le fait que c’est un bon deal ou la pertinence d’étudier le prix sur une durée. Je dis pas non plus que c’est pertinent pour un consommateur qui cherche à s’abonner sur le long terme de s’attarder sur les prix ponctuels à l’entrée.
Je me pose juste des questions sur ces prix. Et c’est justement sur la partie “tarif facial” que je ne suis pas d’accord. Par ce que toute la partie server et abonnement est indissociable à l’achat, vu que c’est une vente liée. Si je veux acheter le player, il faut payer : le player, l’activation, la migration, probablement un mois d’abonnement et enfin la résiliation. Au minimum. Je sais pas comment ça marche leur tambouille interne, mais je suppose qu’ils n’ont pas le droit de ventre le Player à perte. C’est d’ailleurs peut-être pour ça qu’ils offrent le disque dur. Peut-être qu’afficher qu’il coûte 10€, c’est considéré comme de la vente à perte.
Le 10/12/2018 à 17h 03
Deuxième procès d’intention, c’est cool. Je confonds pas, je dis juste que mettre des labels sur les prix c’est sympa mais dans les fais ça ne change pas le tarif à la fin. Les frais d’activation donnent le droit au disque dur et aux accessoires. Mais, si on ne prend pas ces accessoires, c’est seulement 20€ en moins sur la facture. Pourquoi, alors, ne pas séparer les 20€ des 99€ ? Et dire clairement que les frais d’activations sont de 70€ ? Par ce qu’au final, ça revient au même. Surtout qu’on ne peux pas acheter le Player sans l’abonnement et donc sans les frais d’activation. Pour avoir “accès” à l’offre Delta, il faut s’acquitter de 580€ (je compte pas les 48€ de bonus, mais c’est discutable) puis de l’abonnement de 50€. Qu’ils associent les 99€ sur la partie abonnement ou sur la partie Player, c’est qu’une question de terminologie et de marketing.
Au final, déporter une partie du prix du Player (ou des accessoires) sur les frais d’activation, c’est peut-être ce qu’ils ont fait. Ça serait malin, mais un petit peu vilain.
Le 10/12/2018 à 16h 52
Le procès d’intention c’est pas une bonne pratique non plus. J’ai lus les articles. Vous dites la même chose. Je cite :
“Comme le disque dur, ce pack est offert aux clients lors de leur commande (sous réserve du paiement des frais d’activation). Il sera également proposé à part. Ces produits peuvent fonctionner sans passer par une Freebox.”
Offert sous réserve de payer, ça s’appelle payant.
Le 10/12/2018 à 16h 44
Le boitier n’est pas à 480€, mais 580€ puisque les frais de mise en service servent à l’achat du disque dur et des devices de surveillance. Or, si on ne prend pas ses options, c’est juste 20€ qui sautent et pas 99€.
Twitter
Lutte contre la haine : un rapport invite le gouvernement à réformer le statut des hébergeurs
06/02/2018
Le 06/02/2018 à 12h 13
Au final, si ça peut pousser les gens à héberger leurs propres contenus et contribuer à faire mourir le marché des plateformes, c’est pas plus mal.
Emmanuel Macron veut un retour du vote par Internet dès 2020
03/10/2017
Le 05/10/2017 à 13h 32
Allez, c’est bon ça suffit, j’arrête.
Là j’en suis à un point où je considère sérieusement que tu trolls juste pour le plaisir et j’ai juste pas le temps pour ça.
Le 05/10/2017 à 09h 03
C’est incroyable, j’ai de plus en plus l’impression que tu comprends pas vraiment de quoi tu parles. Je vais essayer encore une fois. La blockchain associe de manière forte le vote et le votant. Ce n’est pas DU TOUT ce qu’on veut pour un vote. C’est inhérent à la technologie.
Je parlais de CryptoNote plus tôt, par ce qu’ils promettent que seul les deux parties de la transaction connaissent la nature de l’échange (le vote). Et quand je dis que je vois pas comment l’appliquer au vote c’est par ce que, dans le vote, il y a qu’un seul partie qui peut connaitre la nature du vote, le votant.
Followmyvote est basé sur graphene qui (bien qu’elle dépote il faut le reconnaitre) est une blockchain comme les autres, avec les mêmes soucis.
Le 03/10/2017 à 17h 21
Mais… mais non. Le seul projet qui va dans ce sens c’est CryptoNote et je vois vraiment pas comment l’appliquer au vote. Et ça change pas les deux autres problèmes : 1) ça n’apporte rien et 2) c’est juste incontrôlable pour quelqu’un qui n’est pas cryptologue.
C’est bien beau de brandir la blockchain comme le st graal. Mais c’est pas si simple dans la vrai vie.
Le 03/10/2017 à 17h 04
C’est déjà faisable avec du papier. L’utilisation de cryptographie n’apporte rien et rend le procédé obscure pour quelqu’un qui n’a pas un master en cryptologie.
Le 03/10/2017 à 14h 45
On parle pas de la même chose.
Si c’est juste compter les bulletins papier avec un machine, pourquoi pas, mais ce n’est pas ça le “vote numérique”.
Un vote numérique, est un vote informatisé de bout en bout. Or, ça présente le problème de contrôle de l’élection par l’homme du peuple que tu mentionne et, sur un système numérique il est impossible de vérifier à la fois l’unicité du vote et son anonymat.
Le vote par note n’est absolument pas le sujet ici.
Le 03/10/2017 à 14h 36
Non, le vote doit être anonyme ET unique. La blockchain est une identification forte, qui n’a en plus aucun intérêt ici. Une simple signature numérique présente les mêmes avantages et les mêmes inconvenants. La chaine n’apporte rien.
Le 03/10/2017 à 08h 38
C’est techniquement impossible. C’est tout.
Google va migrer vers un index « mobile first »
08/11/2016
Le 08/11/2016 à 10h 35
De manière plus général ça dépend du type de contenu et de la fréquence de visites. Pour des sites à visites ponctuelle (restaurant par exemple) l’application n’a pas de sens. En revanche une version mobile aux petits oignions est pertinente. Pour un site à visite fréquentes (wikipedia, presse, banque ou université par exemple), l’application prend tout son sens. Ça évite de télécharger le soft à chaque utilisation, on ne DL que les données.
Le 08/11/2016 à 09h 19
Et pourtant, il ne parle que de ça.