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Sans intérêt

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875 commentaires

Le 13/11/2024 à 16h 53

En parlant de prix cassés, Orange propose une offre "Coup de Pouce Internet" à 16 €/mois, limitée aux personnes à très faibles revenus.

Le 04/01/2024 à 13h 55

Elle y est ! J'ai mis à jour avec une version plus grande, car elle était (in)visiblement trop petite, semble-t-il !

En effet ! Il faut avoir l'oeil !

Le 03/01/2024 à 17h 58

Au fait, je ne vois pas de signature apposée sur l'image illustrant l'article. Quelle en est la raison ?

Le 03/01/2024 à 17h 56

J'ai tenté de faire reproduire Popeye à DALL·E 3. Il a refusé. Je lui ai demandé de décrire les caractéristiques principales de Popeye, puis repris ces caractéristiques pour dessiner un personnage s'en inspirant, sans citer Popeye. Là encore, il a refusé. Voilà pour ce qui est de mon expérience personnelle, anecdotique.

Le 28/09/2023 à 12h 32

Personnellement, je me demande s’il ne serait pas possible d’avoir une analyse d’image en local avant chaque envoi. En cas de positif, le message ne peut pas être envoyé.
En cas de faux positif, le “pire” est une expérience dégradée de l’utilisateur. En cas de faux négatif, l’image est envoyée (c’est dommage, mais “tant pis” tant que c’est exceptionnel).



Dans ce cas, pas de cassure du chiffrement (puisqu’on fait le traitement AVANT celui-ci).
Par contre, ça veut dire qu’on ne peut pas faire appel aux services tiers (quel dommage…).
Ça veut aussi dire qu’il faut imposer une obligation de moyen aux fournisseurs de systèmes de communication, et non pas une obligation de résultat.

Il y a des abus possibles, voire probables, dont celui cité par l’article :




« Une fois que cette technologie est déployée sur des milliards d’appareils à travers le monde, il est impossible de revenir en arrière », expliquent Ana-Maria Cretu et Shubham Jain, chercheurs à l’Imperial College. Pour eux, les systèmes de « client side scanning » pourraient être « discrètement altérés pour lancer sur un appareil une reconnaissance faciale à l’insu de son propriétaire », précisent les journalistes.


Le 09/08/2023 à 11h 32

ChatGPT-3.5 est gratuit pour tout le monde. Si, si, ils donnent. Pas forcément aux mêmes personnes, en revanche.

Le 18/07/2023 à 17h 28

Tu veux dire qu’on peut contacter un compte Gravatar chez WordPress en connaissant uniquement le MD5 de l’adresse email ?

Le 18/07/2023 à 11h 40


[…] en retrouvant leurs emails via […] leurs comptes Gravatar liés à Docker Hub.


Je me demande comment ils ont converti un Gravatar (apparaissant comme un MD5) en email. Ils ont tenté une attaque par force brute ? (Cela ne semble pas précisé dans leur article.)

Le 15/03/2023 à 18h 00


C’est faux, cet argument spécieux est très populaire dans la sphère des entrepreneurs de l’IT car il permet l’immobilisme. En réalité, l’infrastructure n’est pas gelée, il y a un renouvellement régulier des équipements du réseau, des lignes elles-même, des noeuds de calculs des datacenter, etc. La fréquence de ce renouvellement est liée entre autres choses à la saturation, qui est liée à l’usage. Donc, oui, l’impact de la réduction du trafic aujourd’hui n’a pas un impact important instantané, mais une sorte de sobriété des flux permet d’allonger les durées de vie des équipements donc d’en réduire l’impact.


Nous sommes en désaccord, soit. Nous ne nous convaincrons pas. Qu’importe.



Je suis néanmoins curieux : par quoi proposes-tu de remplacer l’email qui aurait toutes ses qualités, mais sans ses inconvénients sur les équipements d’infrastructure ?



Mon agence immobilière l’a remplacé par le courrier postal. En 2010, ces deux spécialistes en énergie estimaient l’email soixante fois moins polluant que le courrier postal. En 2011, l’ADEME suggérait, dans son Tableau 10 page 14 que l’impression d’un document était aussi polluante que l’envoi d’un email, soit 19 g eq. CO2. L’envoi d’un email qui coûte désormais 2,5 g éq. CO2, selon ce site de l’ADEME.



C’est quoi ta solution ? La sobriété ? Communiquer moins, quel que soit le moyen, tous étant polluants ?

Le 15/03/2023 à 10h 09


Selon les sources, les fameux mails consommeraient ainsi autant qu’un trajet Paris-Nantes en train (pour un an passé à envoyer 6 mails par jour en moyenne), autant qu’une heure d’utilisation d’une ampoule de 25 W pour un mail de 1 Mo, autant qu’une demi-heure d’usage d’une ampoule de 60 W pour le même mail de 1 Mo, et ainsi de suite. Une certitude : s’attaquer aux spams permettrait de réduire considérablement l’empreinte des emails.


Je suis surpris de cette métrique ampoule, en particulier de 25 ou 60 W, dont on peut difficilement tirer une comparaison avec quoi que ce soit. Habituellement, dans ce contexte, on utilise la métrique « g éq. CO2 ». Sur son site datant de 2022, l’ADEME estime à 2,5 g éq. CO2 l’email avec une pièce jointe de 1 Mio, avec quasi-exclusivement des coûts fixes liés au terminal et à l’infrastructure, laissant peu penser que la réduction de spam aurait le moindre impact sur la pollution.



La métrique de l’ADEME est elle aussi surprenante : qui envoie plusieurs emails par jour avec une pièce jointe de 1 Mio ? Mes emails ne dépassent pas 50 Kio, et il est rare que j’envoie des pièces jointes de plus de 500 Kio. Le site de l’ADEME précité permet d’ajuster cette variable, mais reste par défaut sur cette sacro-sainte pièce jointe de 1 Mio.



Enfin, par quoi remplacer l’email, qui laisse une trace écrite ? Par le courrier postal et ses camions, polluants ? Il faudrait rappeler que l’email a des qualités que les autres moyens de communication n’ont pas.

Le 05/01/2023 à 15h 31

À part les « burner phones » (et encore ? tous ne sont-ils pas compatibles 3G ?), à quoi sert, concrètement, la 2G ?

Le 25/11/2022 à 12h 15

En limogeant une grosse partie de l’équipe de modération (qui était déjà largement défaillante), et en supprimant la fonction des comptes certifiés, Twitter va devenir un espace de non droit, où la moindre rumeur fera office de loi. C’est vraiment inquiétant pour l’avenir du réseau.

Le 16/11/2022 à 16h 14

Article de fond… disons une liste d’entreprises présentées un peu en vrac.

Le 10/10/2022 à 11h 55

il faut éteindre le Wi-Fi pour économiser 100mw ! :D
Du coup ton système domotique Homekit ne fonctionne plus. :fumer:

Après avoir mesuré la consommation de ma box avec Wi-Fi allumé et éteint, j’ai constaté une baisse de 1 W environ lorsque le Wi-Fi était éteint. Sur 20 W environ au total. Nous sommes néanmoins d’accord : ça reste dérisoire.

Le 01/10/2022 à 12h 14


ilink a dit:


Peut être parce qu’en 1 clic tu tombes sur des catégories extrêmes.. ça n’a rien à voir avec ta VHS.. (voir la citation du rapport infra).


Je ne vois pas dans quelles circonstances tu tombes « en 1 clic sur des catégories extrêmes ». Il faut déjà être sur le site pornographique où ces contenus sont disponibles en premier lieu. Et, depuis la page d’accueil, tous ne permettent pas d’atteindre directement les catégories aux contenus extrêmes. Quant au contenu vidéo à proprement parler, il faut au moins deux clics. Ce n’est sans doute pas assez, mais je maintiens : on ne tombe pas sur ce type de contenu par hasard ou par mégarde.




ilink a dit:


Et les dérives comportementales on en voit.. (banalisation du porno y compris chez les mineurs, pratiques considérées comme la norme par ces mêmes mineurs, reproduction du schéma de domination masculine, complexes sur le corps, recherche de la performance, etc.). Bref, de la lecture sur le sujet ne manque pas et en particulier des articles de presse.


Je ne vois rien de nouveau que ce qu’il y a eu il y a déjà plusieurs décennies avec l’avènement de la VHS. Quant aux complexes sur le corps, je suis étonné : jusqu’ici, j’ai eu tendance à penser que c’était la presse grand public, en particulier à destination des femmes, qui semblait la plus problématique, au vu des combats des associations concernées.




Citation du rapport : Elle a également rappelé devant la délégation que « 88 % des scènes pornographiques contiennent de la violence explicite. Le porno dit trash il y a quelques dizaines d’années est devenu le porno mainstream d’aujourd’hui. Les contenus les plus violents sont les plus regardés. […]


Ce n’est pas ce que je vois dans les statistiques de visionnage d’un gros site de contenus pornographiques que je viens de consulter à l’instant (le seul de ma connaissance à afficher un lien vers la catégorie BDSM en un clic, mais il est vrai que je ne les connais pas tous…) : les vidéos extrêmes semblent, au contraire, plutôt confidentielles, au regarde de vidéos pornographiques plus traditionnelles.



Ceci étant, je vois un inconvénient à la censure de sites pornographiques. Ceux-ci sont en effet (plus ou moins adroitement) catégorisés. Si les sites « grand public » sont censurés, des sites plus confidentiels, potentiellement plus extrêmes, prendront la relève. Et s’ils sont à leur tour censurés, le P2P reviendra en force. Ce dernier, de mes souvenirs, sont beaucoup plus problématiques, les diffuseurs des vidéos ayant tendance à bourrer les titres de mots-clés sans lien avec le contenu, rendant inintelligible une recherche ciblée, et laissant la place à toutes les dérives dont on ne prend conscience qu’une fois le contenu téléchargé et visionné.

Le 01/10/2022 à 12h 05


(quote:2096019:brice.wernet)
Disons que les plus fragiles sont confortés dans leurs dérives.



Oulà! En fait c’est assez facile. Demande à quelqu’un de rechercher un article de la BBC sur une reine, ça tournait très mal il y a quelques années. De même si tu recherches une grande balançoire, il ne faut surtout pas taper “balançoire adulte” sur Amazon…


SafeSearch désactivé, Google me fournit, que ce soit en recherche web ou en recherche d’images, des résultats non pornographiques, conformes au sens de ta requête : une balançoire adaptée aux adultes.

Le 28/09/2022 à 14h 02


eglyn a dit:


C’est une croisade contre le porno qu’ils sont en train de mener… J’aimerais bien avoir une étude scientifique sur l’INpact du porno sur les jeunes, une vraie… Un peu comme la violence dans les jeux vidéos (ou au JT de 20H ?).


De même, je peine à voir l’impact sur la santé mentale d’un adolescent face à du contenu pornographique. Déjà, à l’époque des VHS, le premier porno se situait vers les 13 ans. Je n’ai pas l’impression qu’il y a eu des dérives comportementales associées à cette relative facilité d’accès ces dernières décennies.



En outre, je peine à voir un enfant tomber par hasard sur un site pornographique. Il faut faire une démarche active dans ce sens. En particulier avec la foison de solutions de contrôle parental qui existent, à commencer par le SafeSearch de Google :




Qui peut modifier vos paramètres SafeSearch ?
Important : SafeSearch est activé automatiquement lorsque nos systèmes indiquent que vous êtes susceptible d’avoir moins de 18 ans.


Le 06/09/2022 à 15h 26

Difficile de parler de dépendance sur des bases aussi légères. :fou:

Le 01/09/2022 à 17h 52


« permettre de bloquer l’accès à un contenu susceptible de nuire à l’épanouissement physique, mental ou moral des mineurs, en utilisant le protocole de blocage par nom de domaine »


Existe-t-il des travaux scientifiques sur le sujet ? La pornographie, par exemple, consommée par une bonne partie des adolescents, nuit-elle à leur « épanouissement » de quelle que nature que ce soit ?

Le 29/07/2022 à 18h 03


Berbe a dit:


[…] Par ailleurs, on pourrait aussi opposer à votre logique le fait que ces coûts sont amortis par des provisions pour risques, certaines obligatoires, donc déjà prévues. […]


Et donc déjà répercutées sur le prix des produits et services aux clients, en amont, plutôt qu’en aval.

Le 20/06/2022 à 14h 44


Axonefr a dit:


Donc au final, cela fait bien de dire “Vos données personnelles ne sont pas cédées à des tiers”, mais en fait, c’est juste pour l’intérêt de Google (ou FB, etc), pas de l’utilisateur.



C’est comme cela que je vois les choses.


C’est bien ainsi que nous voyons les choses : Google n’a pas besoin, ni intérêt, à vendre des données à des tiers, et ne le fait donc pas. Que ce soit intégré à son modèle économique est une garantie supplémentaire qu’il ne le fera pas.



Cela me convient mieux que des entreprises plus spécialisées se vendant des données personnelles à qui veut bien les acheter, et tant pis s’il y a des débordements, cela ne les concernant pas.

Le 15/06/2022 à 14h 27

Voici qui est une bonne nouvelle pour les utilisateurs de Firefox, dont les nouveaux venus attirés par la préservation de la vie privée. Cela aide à limiter le pistage sans empêcher des usages que l’on pourrait qualifier de légitimes, comme la mesure d’audience. Ceci étant, le pistage peut se faire par le site visité lui-même, qu’il s’agisse de Facebook ou d’un autre aux contenus très larges en thématiques. Ce pistage serait néanmoins limité à ce même site, sans déborder sur les autres.



Quant à Chrome, on pourrait imaginer que Google s’oriente vers la même voie… sans l’appliquer à lui-même. Entre nous, autant je suis peu excité à l’idée de me faire pister par Google, autant je constate que l’entreprise est parmi les plus respectueuses en termes de données personnelles : elles ne sont pas cédées à des tiers, par exemple, au contraire de la myriade d’autres services publicitaires et de pistage.

Le 20/06/2022 à 14h 40

Je ne vois pas qui pourra faire et maintenir un tel logiciel dès la première utilisation d’un ordinateur, tant ces logiciels sont mis à jour régulièrement. Certes, PEGI est mis en place depuis des décennies pour satisfaire les inquiétudes du législateur, mais l’information de celui-ci n’intègre pas d’implémentation interopérable : à part un logo dans le jeu, rien n’informe le système d’exploitation des caractéristiques PEGI du jeu en cours de lancement. Il faudrait donc une base de données mise à jour régulièrement, à l’instar de la base de données de signatures de virus dans un logiciel anti-virus. Cela représente un coût. Qui le supportera ?



De manière plus réaliste, la boutique en ligne Steam, majoritaire sur PC, gère l’âge des joueurs et dispose d’un partage familiale apte à gérer un contrôle parental. Pour peu que les parents ouvrent plusieurs comptes sur leurs ordinateurs, en mode administrateur, car Steam le réclame pour ses mises-à-jour, et que le partage familial soit actif. Lol. C’est ingérable pour le commun des mortels.



Non, vraiment, une très mauvaise idée. Genre, vraiment. Cela ne peut être autre chose qu’une grosse usine à gaz totalement ignorée de tous.

Le 10/06/2022 à 12h 35

Cela intéressera peut-être les lecteurs, ou la rédaction de Next INpact qui se heurtent à ce genre de situations : l’outil ABBYY FineReader 15 permet de reconnaître l’ensemble d’un document PDF intégrant des images à la place du texte, afin de le transformer en un fichier PDF pleinement lisible (texte sélectionnable) en l’espace de quelques clics. La mise en page est elle aussi plutôt bien conservée. (Je viens de tester avec succès sur l’un des PDF mis en téléchargement par la DGSI.)

Le 13/05/2022 à 17h 30

J’ai acquis la Odroid Go Super. J’ai remplacé les joypads originels par ceux de la PSP, plus agréables au toucher. Mais la solution a des défauts.



D’une part, la version de MAME n’est pas aussi compatible que ce que l’on trouve sur ordinateur, empêchant de faire tourner l’un de mes jeux fétiches. D’autre part, l’ergonomie n’est pas adaptée à un usage prolongé. Ce n’est pas pour rien que les manettes de consoles de jeux ont des formes non plates sur le dessous !



Ça reste un gadget de geek, qui ne remplacera ni l’ordinateur, ni la console.

Le 06/05/2022 à 17h 33

Excellente initiative, merci. :smack:



Puis-je me permettre une amélioration ? Plutôt que « Numero1.pdf », nommer le fichier « nextinpact_magazine_numero_01.pdf ».

Le 27/04/2022 à 18h 27


Les solutions simplistes ….

Hate d’avoir ta version quand tes enfants pourront profiter d’une heroine pas chère et légale au tabac du coin.

La légalisation des drogues « douces » ne semble pas entraîner de surconsommation, et ne semble pas non plus davantage toucher des enfants que leur interdiction actuelle. D’ailleurs, en principe, le « tabac du coin » ne vendra pas de cigarettes aux enfants, pas plus que la superette de quartier ne leur délivrera de l’alcool.



La légalisation des drogues (en plus de celles déjà légales, dont tabac et alcool, donc) ne signifie pas de faire n’importe quoi. Légalisation des drogues dites douces n’entraîne la légalisation des drogues dites dures.



En revanche, cette légalisation permettrait, au contraire, de mieux protéger les consommateurs, d’une part avec une information claire sur les produits consommés, d’autre part, par un meilleur encadrement des usages et un meilleur suivi des excès. Comme pour ce qui se fait pour l’alcool.

Le 27/04/2022 à 18h 20


(reply:2068940:Oby-Moine)


En effet, on lit souvent que tant que le cerveau n’est pas pleinement formé, à savoir jusqu’à l’âge d’un jeune adulte, le cannabis peut engendrer des séquelles à vie.



D’où, à mon humble avis, l’intérêt de légaliser, et donc d’encadrer convenablement l’usage de telles drogues, avec, évidemment, une interdiction stricte de la vente aux mineurs, au même titre que l’alcool, une autre drogue en usage courant. (Oui, je comprends que cela n’empêchera pas tous les usages prohibés, pas plus qu’actuellement, donc.)



La prévention et le suivi des usages seraient améliorés, réduisant les conséquences les plus graves de ces drogues. C’est d’autant plus pertinent que la légalisation ne semble pas entraîner d’augmentation de la consommation, et ne représente pas alors de problème de santé publique. Un problème de santé publique d’autant moindre que les drogues vendues seraient convenablement dosées et étiquetées en conséquence à l’instar, notamment, de la cigarette électronique, par exemple, ou encore de l’alcool.



Pour en revenir à ce que je disais plus tôt, en attendant la légalisation, je vois moins de soucis à voir le marché de la drogue se développer en ligne que dans la rue. Je ne dis pas pour autant que la criminalité en ligne ne posent pas de problème, mais au moins, cela semble débarrasser les dealers qui s’accaparent des quartiers entiers, au détriment de leurs habitants.

Le 25/04/2022 à 15h 29

J’ai tendance à être fataliste : on ne gagnera pas la guerre contre la drogue. Aussi, outre la légalisation des drogues douces, je me demande s’il est pertinent de pourchasser sur le terrain des boutiques en ligne. Tout ce qui est vendu en ligne ne l’est pas dans la rue, et évite ainsi de créer des zones d’insécurité aux mains des mafias, au détriment des autres résidents.

Le 11/04/2022 à 06h 50

Marvell proposait sa solution HyperDuo pour utiliser un SSD en complément d’un HDD pour une installation hybride vue comme un unique volume par l’OS. Mais cela ne semble pas avoir pris.

Le 07/04/2022 à 17h 26

Les caches fash des HDD étaient clairement trop petits et n’ont jamais grossi. Si la taille d’un SSD suffit, tant mieux, on peut en trouver à des prix abordables d’1 To. Mais quand on a besoin de 4, 6 ou 8 To, cela réclame d’en installer deux, un SSD et un HDD, alors qu’un seul, meilleur marché, aurait suffi.



Enfin, maintenant, avec le NVMe, la question ne se pose plus vraiment : la vitesse de transfert est décuplée, les HDD ne servent qu’au stockage de sauvegarde. Dommage, cependant, que les SSD NVMe de grande capacité soient encore assez onéreux.

Le 07/04/2022 à 08h 29

Je regrette que les solutions à base de disques hybrides (cache RAM, cache Flash, stockage sur plateaux) n’aient pas évolué. Mais, je devine, cela ne correspond pas aux attentes des entreprises de stockage massif (aka cloud).

Le 24/03/2022 à 13h 26


L’entreprise disposait alors d’un mois pour se conformer au RGPD, au besoin en abandonnant la solution Google.


Y a-t-il une alternative permettant de conserver Google Analytics en l’état actuel de la réglementation ?

Le 15/03/2022 à 14h 11

Au vu de la manne de la RCP, j’aimerais bien que Marc nous fasse un tuto pour créer sa propre société de gestion de droits. Il n’y a pas de raison que seuls « les autres » en profitent ! :mad2:

Le 25/02/2022 à 11h 45


(reply:1932796:dvr-x)


Pour ne pas avoir à suivre manuellement les soldes, dans le domaine « tech », il y a le site BonsPlans.tech de Next INpact ; ou bien, pour Amazon, des relevés de prix via Keepa.

Le 11/02/2022 à 08h 50

N’est-ce pas logique, que de condamner plus durement celui qui est dans le déni et n’assume pas son acte ?



Certes, ici, l’acte prêterait à sourire si l’affaire n’avait pas brisé des vies pour ce qui pourrait être, au plus, un jeu d’adolescents.

Le 11/02/2022 à 08h 39

Tout ceci a été largement dévoilé par Snowden dès 2013, doublé de lois extraterritoriales américaines, qui ont ébranlé la confiance des régulateurs européens. Le RGPD prévoit, depuis 2016, des amendes suffisamment sévères pour ne pas être pris à la légère.



Ce qui est surprenant, c’est que Meta n’ait pas été pro-actif, en isolant les territoires. En outre, je ne vois pas bien l’intérêt d’avoir un traitement centralisé au niveau mondial juste pour pister les utilisateurs en vue de publicités ciblées, puisque c’est ce qui semble poser problème ici.



Qui plus est, l’Union européenne n’est pas la seule à user de prétextes pour assoir une forme de protectionnisme. À l’ère du « cloud », où les serveurs physiques sont de plus en plus virtualisés, les traitements peuvent en principe se faire partout.



Il est étonnant que Meta ait si mal anticipé les soucis dans les accords internationaux, au point de déclarer un risque majeur (quitter le territoire de l’UE) à la SEC.

Le 10/02/2022 à 14h 34


Nous avons demandé à Meta en quoi ces règles actuelles ne seraient-elles pas claires et pourquoi l’entreprise n’envisage pas d’opter pour la seconde piste. Nous attendons ses réponses.


Cela fait cinq ans que le RGPD est entré en vigueur, et Meta ne sait pas comment le mettre en application ? Ils se moquent vraiment du monde. On peut s’étonner que la bourse américaine n’ait pas réagi à leurs menaces de quitter l’UE encore plus sérieusement que la perte de revenus sur accessoires iOS. Le problème du traitement des données personnelles pour la mise en place de publicité contextuelle reste fondamentalement le même, à ceci près qu’Apple l’impose techniquement, alors que l’UE l’impose légalement.

Le 26/01/2022 à 14h 25


Précisant que les titulaires du nom de domaine ont eu recours à Cloudflare, Namesilo ou autres solutions d’anonymisation, le juge a considéré que beinmatch.tv et les autres adresses portent bien « des atteintes graves et répétées aux droits exclusifs de la société beIN Sports France » au moyen de sites de streaming dont « l’un des objectifs principaux est la diffusion sans autorisation de compétitions sportives ».


Je suis étonné que l’on parle d’« anonymisation » concernant Cloudflare. En effet, il s’agit d’un hébergeur de fait, tout comme pourrait l’être OVHcloud, Scaleway, AWS, etc. Aussi, il convient aux ayants droits de contacter d’abord l’éditeur du suite, et, ensuite, l’hébergeur. En principe, la justice ne devrait être saisie qu’en dernier recours.

Le 20/01/2022 à 14h 13

Les SVOD bloquent l’accès suivant le territoire de l’abonné. Cependant, l’un des arguments des VPN grand public est justement de contourner cette limitation.

Le 18/01/2022 à 10h 16

La prochaine étape logique serait d’empêcher le streaming légal, mais cloisonné à un territoire donné.

Le 18/01/2022 à 10h 18


fry a dit:


il me semblait que le 8266 était plutôt à 160 (ou 80 de base) que 200, ça serait pas l’esp32 à 200 ?


Tu as raison, l’ESP8266 est bien cadencé à 160 MHz maximum. Au temps pour moi. Merci pour ta vigilance !

Le 18/01/2022 à 09h 25

Certes, ce n’est pas la même communauté, mais je préfère les ESP8266, dont le module (avec antenne Wi-Fi intégré), est vendu au même tarif, en plus d’être plus performant (deux cœurs à 200 MHz). On verra cependant les produits auxquels ce microcontrôleur RP2040 sera intégré.

Le 17/01/2022 à 21h 07

:heben:

Le 17/01/2022 à 10h 03

Je crois me souvenir qu’Octave Klava d’OVHCloud disait que le refroidissement par immersion des composants posait un problème rebutant de maintenance : quand un pièce tombait en panne, il fallait sortir l’ensemble de la machine du liquide de refroidissement, et la sécher, avant de pouvoir intervenir, rendant l’opération fort peu pratique.

Le 17/01/2022 à 09h 56


Des analystes ont néanmoins déclaré que les arrestations, bien qu’importantes, semblent surtout envoyer le signal qu’une telle coopération cesserait si les États-Unis et les alliés occidentaux imposaient des sanctions en cas d’invasion russe de l’Ukraine.


Une hirondelle ne fait pas le printemps ; ce n’est pas ce démantèlement qui, soudain, rend la Russie prête ou même apte à continuer dans cette voie. Tout ça pour pouvoir envahir un voisin sans conséquence…

Le 28/12/2021 à 10h 34


Contactée, la Hadopi nous indiquait que le taux de non-identification (IP fixes et mobiles) moyenné par FAI était désormais de… 30 % !


À l’époque du (piratage par) streaming, le contrôle des flux P2P paraît anachronique.

Le 27/12/2021 à 16h 42


« Réseaux sociaux » ? Même assurance : « les termes “réseaux sociaux” désignent les plateformes en ligne permettant aux personnes qu’elles mettent en relation de communiquer entre elles, de mettre à la disposition des autres utilisateurs des contenus tels que des textes, des images et des vidéos et d’accéder à ceux-ci ».


À peu près tous les sites ouverts aux commentaires rentrent dans cette définition.

Le 24/12/2021 à 15h 53

Ce que l’on peut regretter, c’est que ni les professionnels du numérique, ni les scientifiques de l’écologie, ne semblent avoir été consultés quant à la pertinence de la démarche.