Linkstorm, la nouvelle brique de la Hadopi pour PURifer les moteurs
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Le 26 octobre 2012 à 10h39
10 min
Droit
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La Hadopi peaufine actuellement un outil destiné à jauger la part des offres PUR présentes dans les moteurs de recherches. Dans le Monde, elle détaille un peu ce projet nommé LinkStorm. Une excellente occasion pour revenir sur le sujet plein d’avenir du référencement de l’offre légale.
D’abord, un petit retour sur les fondamentaux. Selon l’article L331-23 du code de la propriété intellectuelle, la Hadopi doit publier chaque année « des indicateurs » afin de rendre compte du développement de l'offre légale dans son rapport annuel. L’une de ses missions avec celle visant à observer l'utilisation des œuvres sur les réseaux. L’article du Code de la propriété intellectuelle précise à ce titre que la Hadopi délivre un label permettant aux usagers d’identifier « clairement le caractère légal » des offres en ligne. Enfin, elle doit mettre en place et à jour « un portail de référencement de ces mêmes offres. »
On sent ainsi l’idée : des labels de confiance délivrés suite à une procédure. Un portail qui répertorie ces labels. Et des consommateurs priés de le visiter avant de butiner leurs contenus licites.
2009 : Label et portail
Quand est née cette idée ? Ce label sur les offres légales n’avait pas été initiée dans le projet de loi présenté par Christine Albanel. Il a été injecté en première lecture, lors des travaux de Michel Thiolliere (sénateur-rapporteur et futur membre de la Hadopi). Quant au portail, il a été prévu au moment du passage devant l’Assemblée nationale, le 2 avril 2009. L’idée était d’abord de charger le Centre national de la cinématographie de mettre en ligne un portail de référencement nourri par les moteurs et « favorable au développement des offres légales d’œuvres cinématographiques françaises ou européennes ».
Fin avril 2009, le député rapporteur Frank Riester propose de coupler le label offre légale de la Hadopi avec un portail. « La Haute Autorité veille à la mise en place, à la mise en valeur et à l’actualisation d’un portail de référencement de ces mêmes offres » (labellisées). « Pour favoriser l’offre légale, nous devons la valoriser. La labellisation est un moyen de le faire » insistera le député devenu lui aussi, membre de la Hadopi.
Le couplage Hadopi + Label + portail référençant ces offres labellisées a survécu à la censure du Conseil constitutionnel.
2012 : bye bye le portail, bonjour les moteurs
Trois ans plus tard, la Hadopi annonce quelques changements : elle laisse tomber ce que lui impose la loi. Pourquoi ? Dans son dernier rapport annuel, la Hadopi dit avoir « rencontré les principaux agrégateurs et comparateurs français d’offres culturelles en ligne ». Ces acteurs privés lui ont dit tout le mal qu’ils pensaient du texte : « leurs besoins ne consistent pas en un référencement par l’autorité publique. Des réserves ont ainsi été émises quant à l’opportunité du développement d’un portail de référencement de l’offre légale piloté par la Haute Autorité ».
Les plateformes n’ont pas besoin d’un portail. Elles sont déjà référencées et ce nouvel entrant « représenterait pour eux une forme de concurrence dans la mesure où le modèle économique de ces plateformes se base sur la monétisation de l’audience. » En outre, ces acteurs ont expliqué à la Hadopi que les internautes préfèrent les plateformes spécialisées plutôt qu’une métaplateforme qui va tout mélanger, jeux, musique, cinéma.
Alors ? La Hadopi confie que « les agrégateurs et comparateurs sollicitent une intervention de l’autorité publique en ce qui concerne l’accès aux différents catalogues et leur visibilité en ligne ». Un problème renforcé avec la « « distorsion de concurrence » avec des sites illégaux ». C'est à partir de ces remarques soufflées à son oreille par des acteurs privés que la Hadopi fait donc un bras d’honneur au législateur. Les choses sont dites de manière fleurie, mais cela revient au même : « l’Hadopi considère que la réflexion devrait porter sur la mise en valeur des agrégateurs privés référençant l’offre légale plutôt que sur la création d’un portail agrégateur public, et en particulier sur les mesures de nature à améliorer leur visibilité sur Internet ainsi que l’exhaustivité et la diversité des catalogues. »
Trouver des leviers pour améliorer la visibilité de l'offre légale
Mais alors que faire ? La suite du rapport est instructive. Nous la découpons pour mieux mettre en avant le cheminement logique :
-« L’offre légale manque de visibilité parmi les résultats proposés par les moteurs de recherche. »
-« Les différentes évolutions des algorithmes de ces moteurs n’ont pas permis d’améliorer le référencement naturel de l’offre légale. »
-« Les pouvoirs publics doivent avoir les moyens de mesurer la visibilité de ces offres en tenant compte de leur diversité (plateformes de diffusion, portail d’agrégation, sites de référencement, etc.) pour pouvoir identifier les leviers qui permettront de l’améliorer. »
C’est là que la Hadopi sort de son chapeau son nouveau joujou : « L’Hadopi étudie actuellement cette problématique dans le cadre d’un projet axé sur l’étude des liens Internet pointant vers des contenus protégés. Ce projet « Linkstorm » livrera notamment l’analyse du référencement de l’offre légale par rapport aux offres alternatives dans les principaux moteurs de recherche. Cela permettra d’évaluer l’impact du label PUR ainsi que les efforts faits par les différents moteurs de recherche pour valoriser l’offre légale. »
Résumons : le portail de référencement est inutile. Les plateformes légales se plaignent de la concurrence de l’illicite dans les moteurs de recherche. Cette concurrence entraîne un manque de visibilité. L’affinage des algorithmes de Google & Co n’est toujours pas suffisant pour améliorer le positionnement du licite sur l’illicite. Il faut donc « un levier » pour pousser en avant le licite, et donc jeter aux oubliettes des moteurs, l’illicite. Et pour justifier ce levier, la Hadopi développe un projet Linkstorm qui va analyser le référencement du légal par rapport à l’illégal. Cela permettra donc d’évaluer l’impact de PUR dans le référencement et les futurs ajustements des algorithmes de recherche.
Linkstorm
Lors de sa récente conférence annuelle, la Hadopi avait déjà annoncé ce projet. Dans le Monde, elle esquisse de nouveaux détails : l’outil fera des recherches sur Bing et Google à partir du stock de sites labellisés « PUR » (un stock appelé à grossir d’ici 2015). Pourquoi les sites PUR ? Car « une autorité ne peut pas décider de ce qui est licite ou non. Nous sommes obligés de nous en tenir à l'écosystème labellisé, qui commence à être assez important » assure le porte-parole de la Haute autorité. Qui se veut rassurant : « le travail sur Linkstorm n'a pas dans le viseur un éventuel travail sur le déréférencement, mais s'inscrit dans la mission d'observation du développement de l'offre légale. Il s'agit de rendre une observation la plus objective possible du positionnement de l'offre licite et illicite. »
On joue ici avec les mots. Le rapport annuel de la Hadopi dit qu’on doit trouver « des leviers » pour « améliorer la visibilité » des offres PUR dans les moteurs. Le représentant de la Hadopi dans le Monde assure que le déréférencement n’est pas dans le viseur de Linkstorm. Mais quid du surréférencement ? Et surtout quid des autres missions de la Hadopi, parallèle à Linkstorm ?
Une spirale vers le nettoyage des moteurs
Si on contextualise, dire que Linkstorm n’a pas le déréférencement en ligne de mire est un peu court car la spirale s’accélère bien autour de la purification des moteurs :
- Lors de la conférence de presse, répondant à une de nos questions, Mireille Imbert Quaretta nous a dévoilé que « dans le rapport streaming, effectivement, je confirme que nous étudions la piste du déréférencement ». Ce rapport réclamé par Frédéric Mitterrand, est destiné à trouver un arsenal anti streaming et anti direct download afin de prévoir un éventuel patch législatif.
- La survalorisation des offres licites labellisées est actuellement étudiée par le CSPLA. Dans sa lettre de mission, le CSPLA a sollicité expressément la collaboration de la Hadopi.
- Lors de son audition devant la Mission Lescure, le syndicat de l’édition phonographique a indiqué qu’ « il serait nécessaire d’élargir les compétences de l’autorité, en dotant la Hadopi de la capacité de procéder au déréférencement des liens illicites qui conduisent les internautes vers des services en lignes illicites »
- L’ALPA a développé un logiciel capable d’identifier la réapparition de sites déclarés illicites et de notifier les moteurs aux fins de déréférencement.
- La Hadopi abandonne l’idée d’un portail de référencement de l’offre légal contrairement à ce que lui impose la loi (rapport annuel p. 32 et 33).
- Le rapport annuel de la Hadopi indique qu’il faut au contraire trouver des leviers pour améliorer la visibilité de l’offre légale dans les moteurs (rapport annuel p. 32 et 33).
- Chaque label PUR c'est du carburant en plus pour Linkstrorm. La Hadopi nous assure que des sites ont gagné jusqu'à 20 % d'audience grâce à cet autocollant, incitant les indécis à sauter le pas. Elle leur propose même un coup de pouce en S.E.O.
Retour aux fondamentaux
Fait amusant, on revient toujours ici la philosophie de l’amendement 50 de l’inévitable Franck Riester. Lors des débats parlementaires, il avait proposé de pousser un peu plus loin la logique. Il voulait que les moteurs tiennent impérativement compte des labels HADOPI dans leur système de référencement. Dans l’exposé des motifs, il expliquait alors qu’ « afin de mieux valoriser l’offre légale, (…) la Haute Autorité veille à la mise en place ainsi qu’à l’actualisation d’un système de référencement de ces mêmes offres par les logiciels permettant de trouver des ressources sur les réseaux de communication électroniques. Cette mission s’inscrit en complément des efforts engagés par le CNC dans le domaine audiovisuel, mais sa portée et son intérêt sont plus larges ».
L’amendement, très critiqué par Google notamment, avait été finalement rejeté.
Depuis, les temps changent : Google accepte désormais de sous classer les contenus trop souvent notifiés. Il était donc darwinien que la brèche soit exploitée par les ayants droit. Mais la route est longue et les sentiers du net sont pentus. Dans l’interview au Monde, la Hadopi se plaint par exemple du rythme d’escargot de son projet « LinkStorm » « L'outil est en développement depuis six mois, et ne s'appuie sur aucun préexistant. Si on pouvait avoir une armée de développeurs, on irait plus vite. C'est un projet parmi d'autres. Dans l'idéal, ça aurait dû être open source mais les relations avec la communauté ne nous le permettent pas. »
En cause, non la peur de la transparence mais celle de se faire « troller sur la qualité du code, les choix & co » jure Gaëtan Poupeney (@erebuss), l'ingénieur TIC de la Hadopi.
Linkstorm, la nouvelle brique de la Hadopi pour PURifer les moteurs
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2009 : Label et portail
Commentaires (73)
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Abonnez-vousLe 26/10/2012 à 14h34
Linkstorm Church ill or Linkstorm search ill " />
Le 26/10/2012 à 14h37
avec 9 offres “Pur” en Cinema-Vod, meme avec un flingue sur la tempe, Google aura du mal a en faire une pleine page
Le 26/10/2012 à 16h15
[MODE HS=“on”]
Le 26/10/2012 à 16h39
Le 26/10/2012 à 16h40
Trois ans plus tard, la Hadopi annonce quelques changements : elle laisse tomber ce que lui impose la loi. Pourquoi ? Dans son dernier rapport annuel, la Hadopi dit avoir « rencontré les principaux agrégateurs et comparateurs français d’offres culturelles en ligne ». Ces acteurs privés lui ont dit tout le mal qu’ils pensaient du texte
Whoo. Trop cool !
Enfin la création d’une police d’état, non soumise au législateur et défendant des intérêts privés.
La meilleure news de la journée.
Le 26/10/2012 à 16h45
Le 26/10/2012 à 17h24
Bon ben je crois que la HADOPI n’a pas assez travaillé pour espérer gagner plus " />
Le 26/10/2012 à 17h44
Le 26/10/2012 à 17h51
Le 26/10/2012 à 17h53
pas faux…
hmmm un 3some avec MFM et MIQ " />
Le 26/10/2012 à 18h29
Y a pas à dire, c’est beau le clientélisme !
Le 26/10/2012 à 18h51
Dans l’idéal, ça aurait dû être open source mais les relations avec la communauté ne nous le permettent pas.
La HADOPI sera toujours totalement opposée aux logiciels libres… leur fantasme c’était des programmes qui restreignent les utilisateurs et leurs usages. Ils s’imaginaient prendre le contrôle des ordinateurs en France via leurs logiciels de “sécuristation” (LOL).
Le fondement du logiciel libre, ce sont 4 libertés, mais surtout le contrôle du programme par l’utilisateur, non par des tiers. Alors leur “ça aurait dû être open source” où ils essaient de faire croire qu’ils sont cools et que Linkstorm n’est pas un malware, c’est du beau foutage de gueule.
De plus, leur “Promotion des Usages Responsable” consiste à rendre l’utilisateur totalement irresponsable et l’orienter vers des multinationales qui se moquent bien de toute éthique.
Le 26/10/2012 à 19h09
Le 26/10/2012 à 20h02
C’est eux qui font ce mélange: elle est où la “communauté open-source” ? Une communauté autour du libre, on trouve ça facilement oui. Autour de quelques sources ouverts mais non libres, c’est plus difficile.
Déjà que la HADOPI ne fait pas son boulot (cf affaire DRM Blu-ray et Videolan), déjà qu’elle demande des efforts énormes à la communauté des contribuables, si en plus elle espère qu’on va l’aider pour que son malware ne soit pas trop mal accueilli, euh, pour une fois ils sont réalistes en parlant de relations qui ne permettent pas certaines choses.
Le 26/10/2012 à 20h54
Bon c’est vrai que le mec part avec 4 handicaps :
Il a du potentiel le gars " />
Le 26/10/2012 à 20h58
Le 26/10/2012 à 11h34
Le 26/10/2012 à 11h41
Le 26/10/2012 à 11h42
Il voulait que les moteurs tiennent impérativement compte des labels HADOPI dans leur système de référencement.
C’est moi où on est perpétuellement à 2 doigts d’un système hyper malsain où les liens sont contrôlés par l’état ?
Le 26/10/2012 à 11h43
Le 26/10/2012 à 11h48
Pas bien grave, les gens qui ne savent télécharger que via des liens google prendront une nouvelle habitude :
page 1 : les offres légales cheres, DRMisée lisibles qu’avec IE sur un seul poste
page 2 : " />
Le 26/10/2012 à 11h49
Le 26/10/2012 à 11h49
Le 26/10/2012 à 12h07
Le 26/10/2012 à 12h07
LINKS TO Rees Marc
" />
Le 26/10/2012 à 12h08
Le 26/10/2012 à 12h12
Le 26/10/2012 à 12h12
Le 26/10/2012 à 12h14
Le 26/10/2012 à 12h14
Je comprends pas, quand je tape “music” dans google les seuls liens qui apparaissent sont tout ce qu’il y a de plus légaux, au sens de la hadopi. Il n’y absolument aucun lien illicite, toujours au sens de la hadopi, ils veulent quoi de plus ? Y a déjà pas de liens illicites … " />
Le 26/10/2012 à 12h19
Le 26/10/2012 à 12h19
Le 27/10/2012 à 07h42
C’est cool de chercher via bing et google, ils peuvent bloquer ce qu’ils veulent, il suffit de passer par des DNS non soumis à l’ICANN et un autre monde s’ouvre.
C’est pas comme ça qu’ils vont tuer le “piratage”
Le 27/10/2012 à 11h38
Le 27/10/2012 à 18h19
Le 28/10/2012 à 07h25
Hadopi
ça existe encore ?
Le 28/10/2012 à 10h06
Le 28/10/2012 à 12h16
Le 26/10/2012 à 11h02
5W40
" />
" />
Le 26/10/2012 à 11h03
Le 26/10/2012 à 11h06
l’outil fera des recherches sur Bing et Google à partir du stock de sites labellisés
A ouais,ça fout les j’tons,pour eux internet c’est Bing et Google épicétou,radical comme dispositif. " />
Le 26/10/2012 à 11h06
En cause, non la peur de la transparence mais de se faire « troller sur la qualité du code, les choix & co »
Oh elle est pas comme ça la communauté " />
Bon ok " />
En attendant, je lui donne que 2 semaines à ce logiciel pour être analysé par la “communauté” et tout le monde rigolera quand même, open source ou non!
Le 26/10/2012 à 11h07
Le 26/10/2012 à 11h08
Brace yourselves
A Shitstorm is coming.
Le 26/10/2012 à 11h08
ah ok
(quiche en mécanique et entretien de la voiture, j’assume " />)
Le 26/10/2012 à 11h09
HADOPI donne une idée hallucinante du concept très fumeux de moteur perpétuel. " />
Le 26/10/2012 à 11h14
Le 26/10/2012 à 11h15
Le 26/10/2012 à 11h18
on devrait se connecter à l’intranet chinois ça irait plus vite " />
Le 26/10/2012 à 11h23
vous etes sur que ca s’appelle pas Shitstorm leur truc ?
Le 26/10/2012 à 11h24
Le 26/10/2012 à 11h28
Hadopi en action:Lien" />
Le 26/10/2012 à 11h28
Le 26/10/2012 à 11h30
Je voudrai pas embaucher les dev qui font se truc boiteux qui ne marchera pas comme tous se que l’Hadopi entreprend.
La honteux pour eux.
Le 26/10/2012 à 10h45
La Hadopi ne se rend pas compte qu’elle ne sert à rien ?
Il est vrai que les emplois dans cette noble institution sont à préserver, il y a des politicards/haut-fonctionnaires à caser, et les salaires sont alléchants ! " />
Le 26/10/2012 à 10h47
“L’outil est en développement depuis six mois, et ne s’appuie sur aucun préexistant. Si on pouvait avoir une armée de développeurs, on irait plus vite. C’est un projet parmi d’autres. Dans l’idéal, ça aurait dû être open source mais les relations avec la communauté ne nous le permettent pas”
Combien tu paies ? Ca tombe bien, j’avais rien à faire la semaine prochaine et je veux la même moi aussi. Il a l’air sympa ce mec non ?
Le 26/10/2012 à 10h53
“les mecs, on a besoin d’un outil pour protéger la culture française.
En cause, non la peur de la transparence mais de se faire « troller sur la qualité du code, les choix & co »
rhooo elle est pas comme ça la communauté, voyons " />
Le 26/10/2012 à 12h20
Le 26/10/2012 à 12h50
Le 26/10/2012 à 13h03
Le 26/10/2012 à 13h09
Ce qu’il faudrait, c’est obliger google à référencer certains sites et d’autres pas, selon le pifomètre gouvernemental PUR, et le faire payer pour les liens hypertexte vers les sites référencés, en échange du renoncement du droits des éditeurs des dits sites à ne pas se faire référencer.
Un échange de bons procédés, en somme.
Le 26/10/2012 à 13h12
Storm sur le navigateur moteur ou le FAI ?
Ils vont demander d’être payé " />, hein ?
Le 26/10/2012 à 13h14
j’ai regardé les offres Pur en cinema-vod sur le site officiel
9 offres.
ca va etre dur d’occuper une page Google…
" />
En plus, les offres valent le coup d’oeil, si, si :
Surtout qu’on sait pas si c’est vraiment Pur, vu la mise à jour de leur site:
exemple vodeo
“Le label PUR de l’Hadopi est attribué à l’ensemble des contenus offerts sur la plateforme, pour une période d’un an à compter du 9 juin 2011.”
Avant de nous pondre des shitstorms, pourrait relire leur site de temps en temps, non ?
Les mises à jour , pas besoin de la communauté Open Source pour ca, ou bien ? " />
Le 26/10/2012 à 13h52
Dans l’idéal, ça aurait dû être open source mais les relations avec la communauté ne nous le permettent pas.
Non ?! Sans déc’ ?!!
En cause, non la peur de la transparence mais celle de se faire « troller sur la qualité du code, les choix & co » jure Gaëtan Poupeney (@erebuss), l’ingénieur TIC de la Hadopi.
Non ?! Sans déc’ ?!!
Le 26/10/2012 à 13h54
Le 26/10/2012 à 13h58
“Si on pouvait avoir une armée de développeurs, on irait plus vite.”
L’expérience montre que le travail de dev n’est pas souvent parallélisable.
Comme on le dit à nos clients “9 femmes ne peuvent pas faire en sort d’accoucher un enfant en 1 mois”.
Le 26/10/2012 à 14h06
Le 26/10/2012 à 14h09
Le 26/10/2012 à 14h12
Le 26/10/2012 à 14h14
Le 26/10/2012 à 14h19
Le 26/10/2012 à 14h33
Une option apparemment pas envisagée et pourtant évidente : travailler !
C’est donc de la faute des moteurs si le référencement de l’offre légale est invisible ?
" />
Le 26/10/2012 à 14h34