La France et l'Allemagne marquent leur attachement au logiciel libre

La France et l’Allemagne marquent leur attachement au logiciel libre

Berlin l'enchanteur

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La France et l'Allemagne marquent leur attachement au logiciel libre

À l’issue de la seconde « conférence numérique franco-allemande », qui s’est tenue hier à Berlin, la France et l’Allemagne ont tenu à afficher leurs ambitions en matière de nouvelles technologies. Le logiciel libre y est même évoqué.

C’est un document d’un peu plus de cinq pages qui a été présenté hier par les deux capitales (PDF). Les gouvernements de François Hollande et Angela Merkel, qui tentent depuis l’année dernière de parler d’une même voix sur les questions « numériques », détaillent notamment leur stratégie en matière de rapprochement des initiatives « Alliance Industrie du Futur » et « Plateforme Industrie 4.0 », de soutien à l’innovation, de cloud de confiance, d'interopérabilité, etc.

Dans la rubrique « Innovations et nouvelles technologies », Paris et Berlin marquent de manière plus surprenante leur attachement au logiciel libre. Leur déclaration commune reconnaît en ce sens qu’il s’agit d’un « moteur puissant en faveur de l’innovation ». « L'Allemagne et la France veilleront à ce que leurs industries tirent le plus grand bénéfice possible du logiciel libre » est-il également précisé (page 4).

Trop d’écart entre les actes et les discours

Si certains y verront un signe encourageant, d’autres ne manqueront pas d’y voir une forme d’hypocrisie de la part de l’exécutif français. On se souvient en effet que les internautes avaient massivement demandé, lors de la consultation sur l’avant-projet de loi Numérique, à ce que les administrations soient tenues d’utiliser prioritairement des solutions libres. Finalement, le gouvernement et la majorité ont opté pour un simple « encouragement », dénué de toute portée normative...

Pire, ces derniers mois, de nombreuses affaires impliquant Microsoft, le géant américain du logiciel propriétaire, sont venues ternir les promesses de bonnes intentions du gouvernement sur ce dossier : contrat « Open Bar » avec les ministères de la Défense ou de la Santé, partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, etc.

Une simple déclaration de bonnes intentions selon l’April

Pour l’Association de promotion du logiciel libre (April), la pilule est ainsi difficile à avaler. « Cette reconnaissance des qualités intrinsèques du logiciel libre pour l'innovation, de même que la volonté de promouvoir l'interopérabilité, est évidemment à saluer. Mais sans l'engagement d'une véritable politique en faveur du logiciel libre cela ne restera, à l'instar de ce qui est inscrit dans la loi Numérique, qu'une déclaration de bonnes intentions », analyse Étienne Gonnu, porte-parole de l’organisation.

Selon lui, la France et l’Allemagne devraient concrétiser leurs intentions par une « priorité au logiciel libre dans les administrations, un droit d'auteur qui interdit les DRM au lieu de les sacraliser, un rejet sans ambiguïté des brevets logiciels, la condamnation des pratiques de vente forcée, etc. » Sans cela, « et étant donné la dissymétrie des moyens avec les multinationales du logiciel privateur, les TPE/PME du libre ne seront pas en mesure de libérer tout leur potentiel », prévient-il.

Commentaires (81)




Trop d’écart entre les actes et les discours





Tout à fait.



On pourrait aussi rappeler ça :&nbsphttp://www.nextinpact.com/news/102375-open-government-plusieurs-associations-von…



Ce qui montre le décalage complet entre la réalité et l’imaginaire de certains dirigeants…


Munich veut revenir vers windows. A priori,  ils ont eu une mauvaise expérience de linux.



Je me demande si le libre vaut réellement le coup.


Mais si on est pour les logiciels libre, la preuve, on a fait un super powerpoint grâce à notre collaboration avec Crosoft, regardez plutôt.


Le problème du libre c’est que c’est moins cadré et donc plus compliqué que windows. Si tu cherches une solution clé en main pour le libre, tu vas forcément t’orienter vers les grandes distrib qui ne seront pas forcément adaptées à tes besoins. Il faut un fork spécial pour que ça marche, de mémoire c’est la gendarmerie nationale qui a fait ça avec linux et qui en est très content.








metaphore54 a écrit :



Munich veut revenir vers windows. A priori,  ils ont eu une mauvaise expérience de linux.



Je me demande si le libre vaut réellement le coup.





Je tinvite a lirehttp://linuxfr.org/users/bortzmeyer/journaux/munich-ferait-marche-arriere, c’est surtout un probleme d’interop sur office …. Comme quoi le format d’enregistrement par defaut est tres important pour les users lambda …



Sinon la gendarmerie est contente de leur migration sous linux/ubuntu



Il faut enlever la virgule à la fin pour que le lien marche<img data-src=" />


Linux n’est pas forcément moins cadré que Windows. Exemple avec Windows 10 et à coté un projet comme EOLE.


Pour fêter ça,&nbsp; signons un partenariat avec MS dans l’éducation nationale. <img data-src=" />








tsubasaleguedin a écrit :



Je tinvite a lirehttp://linuxfr.org/users/bortzmeyer/journaux/munich-ferait-marche-arriere, c’est surtout un probleme d’interop sur office …. Comme quoi le format d’enregistrement par defaut est tres important pour les users lambda …



Sinon la gendarmerie est contente de leur migration sous linux/ubuntu





Je ne suis pas sûr que c’est la seule raison que j’ai lu, ton article est certainement orienté car c’est un site de libristes.









Arystos a écrit :



Le problème du libre c’est que c’est moins cadré et donc plus compliqué que windows. Si tu cherches une solution clé en main pour le libre, tu vas forcément t’orienter vers les grandes distrib qui ne seront pas forcément adaptées à tes besoins. Il faut un fork spécial pour que ça marche, de mémoire c’est la gendarmerie nationale qui a fait ça avec linux et qui en est très content.







https://fr.wikipedia.org/wiki/GendBuntu



hum tournant à mort dans plein de collèges en France, on peut pas non plus dire qu’EOLE soit la panacée. En fait n’ayant pas peur des mots, c’est une vraie plaie ce truc.&nbsp;








Arystos a écrit :



Le problème du libre c’est que c’est moins cadré et donc plus compliqué que windows. Si tu cherches une solution clé en main pour le libre, tu vas forcément t’orienter vers les grandes distrib qui ne seront pas forcément adaptées à tes besoins. Il faut un fork spécial pour que ça marche, de mémoire c’est la gendarmerie nationale qui a fait ça avec linux et qui en est très content.





Le “problème” du libre c’est que cela fonctionne avec les “bonnes volontés” de la communauté.

Et tant que les “bonnes volontés” peuvent consacrer du temps aux projets, cela avance.

Et

comme ce ne sont que des “bonnes volontés”, on ne peut pas exiger d’avoir du support (ou autre)… comme on serait en droit de le faire avec un

logiciel propriétaire.



Ils sont en train de jouer a “Question pour un couillon Champion” ? <img data-src=" />























Désolé … <img data-src=" />


Non c’est un site de trolls&nbsp;<img data-src=" />



Blague à part la question présente ne porte pas sur Linux VS Windows mais sur le discours bienveillant de nos dirigeants face aux réalités des choix et orientations de leurs pays respectifs.



Un peu comme si on faisait des discours pour la paix tout en faisant la guerre et en vendant des armes. Oh wait…


J’adore le titre du document dans les métadonnées du fichier PDF : “Microsoft Word - 40.docx”…


RedHat et SUSE (entre autres) sont pas connues pour ne marcher qu’à la bonne volonté, ils brassent pas mal de dollars et ont prouvé qu’ils étaient des acteurs solides. C’est en traitant avec des sociétés comme celles-là que l’État peut se débarasser de MS,&nbsp; avec des développement spécifiques (potentiellement open source) pour répondre aux besoins non standards.

Pas en comptant sur “les bonnes volontés de la communauté”, même si c’est toutes ces “petites mains” qui font avancer les choses.


“La France et l’Allemagne marquent leur attachement au logiciel libre”



Oui enfin l’attachement d’un politique, c’est presque un baiser empoisonné en fait.


Foutaises ! le libre peut aussi fonctionner avec du support professionnel, des garanties, …

Evidemment, c’est garanties sont payantes. Mais au moins, l’utilisateur peut choisir comment il fait les choses, et dans certains cas il peut choisir son prestataire indépendamment du choix du logiciel.



PS: pour ce qui est du support des logiciels propriétaires, je t’assure que, dans le secteur ou je sévis, le support que ma société apporte sur des logiciels libres est nettement préféré à l’absence de support que mes concurrents apportent sur les logiciels propriétaires équivalents !








gwen5484 a écrit :



RedHat et SUSE (entre autres) sont pas connues pour ne marcher qu’à la bonne volonté, ils brassent pas mal de dollars et ont prouvé qu’ils étaient des acteurs solides. C’est en traitant avec des sociétés comme celles-là que l’État peut se débarasser de MS,&nbsp; avec des développement spécifiques (potentiellement open source) pour répondre aux besoins non standards.

Pas en comptant sur “les bonnes volontés de la communauté”, même si c’est toutes ces “petites mains” qui font avancer les choses.









tipaul a écrit :



Foutaises ! le libre peut aussi fonctionner avec du support professionnel, des garanties, …

Evidemment, c’est garanties sont payantes. Mais au moins, l’utilisateur peut choisir comment il fait les choses, et dans certains cas il peut choisir son prestataire indépendamment du choix du logiciel.



PS: pour ce qui est du support des logiciels propriétaires, je t’assure que, dans le secteur ou je sévis, le support que ma société apporte sur des logiciels libres est nettement préféré à l’absence de support que mes concurrents apportent sur les logiciels propriétaires équivalents !





Je n’ai jamais dit que ça ne marchait pas ni qu’il n’y avait que des bonnes volontés et pas de professionnels dans le libre.

Mais que les principes fondamentaux du libre (GPL par exemple) n’impose pas aux développeurs d’assurer une continuité ou un support.



Et c’est là où des entreprises/fondations apportent un plus value non négligeable sur leurs propres projets.



J’ajouterai que même sur du proprio, le support est souvent payant de toutes manières.


RhoOoooOOoo le sous-titre !! <img data-src=" />





&nbsp;


Je ne sais pas comment ça se passe en Allemagne mais en France il y a eu plusieurs cas de villes qui ont tenté Linux au moins coté serveur et qui en sont revenu, en cause le manque d’expérience sur Linux des équipes qui travaillent (quasi-)exclusivement sous Windows.



On sait tous que le métier d’admin sys, Linux ou Windows ne s’improvise pas quel que soit l’OS, là ça avait été sous-estimé.


D’après heise.de, une étude d’Accenture rendue le mois dernier suggère d’abandonner Linux pour passer à un « client performant » Windows mais d’après l’article, une bonne partie des 20’000 postes de la mairie serait sur LiMux. Par ailleurs l’adjoint en charge de l’IT à la mairie déclare « Wir werden LiMux wahrscheinlich nicht aufgeben », nous ne renoncerons vraisemblablement pas à LiMux.


Aucune licence n’impose d’assurer une continuité ou du support. Ça n’existe pas.



Tu sais, il y a même des bénévoles qui font du proprio et des entreprises qui font du libre. Yep, le mind blow ! <img data-src=" />


Le dernier épisode de la série Munich date d’un mois environ :

http://www.techrepublic.com/article/open-source-pioneer-munich-debates-report-th…



Les raisons sont un peu plus détaillées, un peu plus pertinentes, mais toujours biaisées.








adrenalinedj a écrit :



Je n’ai jamais dit que ça ne marchait pas ni qu’il n’y avait que des bonnes volontés et pas de professionnels dans le libre.

Mais que les principes fondamentaux du libre (GPL par exemple) n’impose pas aux développeurs d’assurer une continuité ou un support.



Et c’est là où des entreprises/fondations apportent un plus value non négligeable sur leurs propres projets.





Mais l’entreprise n’est pas du tout antagoniste avec les principes du libre. RedHat c’est 2 milliards de chiffre d’affaire, et ils sont un des principaux contributeurs du libre. Ils peuvent assurer une continuité ou un support grâce à leurs développeurs, si il y a un problème dans une brique logicielle ou dans le noyau ils peuvent résoudre le problème aussi sûrement que Microsoft peut le faire sur Windows (c’est à dire que bon, c’est pas garanti non plus <img data-src=" /> )









Crillus a écrit :



On sait tous que le métier d’admin sys, Linux ou Windows ne s’improvise pas quel que soit l’OS, là ça avait été sous-estimé.







On sait surtout qu’un sysadmin, comme beaucoup de job liés à l’informatique, ca évolue sans cesse et qu’il faut acquérir les compétences tout le temps afin de rester au niveau… les fonctionnaires par contre, n’en ont surement rien à carrer.



Pas du tout, le problème était beaucoup plus pragmatique. L’adminustration communiquait a coup de fichiers LibreOffice, que les entreprises munichoises n’utilisent pas. Elle répondaient en MS Office…



Je connais ce souci, le vrai cheval de Troie, c’est MS Office. Et accessoirement une certaine inertie aux changements.



A+




La France et l’Allemagne marquent leur attachement au logiciel libre





C’est plutôt un attachement, dans le sens “je t’attache au radiateur pour que tu me regardes me faire peloter par Microsoft sans pouvoir intervenir” là…








CryoGen a écrit :



On sait surtout qu’un sysadmin, comme beaucoup de job liés à l’informatique, ca évolue sans cesse et qu’il faut acquérir les compétences tout le temps afin de rester au niveau… les fonctionnaires par contre, n’en ont surement rien à carrer.





Pour bosser dans une administration, je peux t’assurer que les admins sys sont bien formés. Les budgets formation sont conséquents, et au besoin, ils recrutent des prestas.



Les gens mal formés dans l’administration, ce sont surtout les cadres, qui sont formés au management, mais ne comprennent rien à la technique et se foutent royalement de l’avis des techniciens.



En tout cas pour être dans un institue français on a migré à l’échelle national vers des solutions Microsoft alors qu’on avait des choses en open source qui fonctionnaient. Bon certes nous n’avions pas un un écosystème mail/messagerie instantanée/drive/espace partagé unifié ! Tout ça avec son lot de nouvelles emmerdes. Et les utilisateurs Linuxiens sont défavorisés par ce choix. Les choix portent en priorité vers Microsoft (exemple du NAS avec droits Windows, Skype entreprise, OneDrive…).&nbsp;Bon par contre il faut être réaliste libre office c’est sale, et j’en passe. A un moment on est obligé d’utiliser un soft proprio pour travailler correctement. Le monde de l’open-source n’a pas de solution pour tout malheureusement.








ActionFighter a écrit :



Les gens mal formés dans l’administration, ce sont surtout les cadres, et se foutent royalement de l’avis des techniciens.







et….. ils ont le droit non?

moi perso la voiture dans laquelle je roule, qu’elle soit essence ou diesel je m’en tape..

mes stylos bic qu’ils soient d’une marque ou d’une autre, que le téléphone soit chez orange ou sfr…. c’es tpas toujours de mon ressort :

d’ou un cadre doivent absolument tenir compte des recommandations des techniciens? leurs besoins passent avant tout..





des que ca parle logiciel libre, je regarde plus les commentaires, mais les commentateurs..

patch, ricard, actionfighter… tous les memes pour répandre leur idéologie intégriste communistes pour imposer le logiciel libre aux autres, et non seulement laisser ceux qui le souhaitent s’y aventurer…









CryoGen a écrit :



On sait surtout qu’un sysadmin, comme beaucoup de job liés à l’informatique, ca évolue sans cesse et qu’il faut acquérir les compétences tout le temps afin de rester au niveau… les fonctionnaires par contre, n’en ont surement rien à carrer.







C’est un gros cliché… et c’est complètement faux. Coté info privé ou public ne change pas grand chose. J’ai vu plusieurs villes et communautés d’agglo et en terme d’évolutivité certaines pourraient vraiment montrer l’exemple à beaucoup de boites, et de la même façon certaines boites privées sont complètement à la ramasse. Les villes c’est comme les entreprises, il y en a des modernes et des archaïques. Non le problème c’est surtout qu’on ne s’improvise pas admin Linux après 20 ou 30 ans à faire exclusivement ou presque de l’admin Windows (et réciproquement).









trekker92 a écrit :



Citation tronquée et attaques personnelles stupides





T’es rentré de l’école tard aujourd’hui, t’as été collé ?



Imposer la liberté de choix, hum.



Sinon tu t’en tapes peut-etre pour ton taf, mais ce sont tes impots et taxes qui engraissent Microsoft et toutes les solutions proprio, si au moins elles étaient francaises et pas US… .

Tu aimes ca ?


Ce sujet montre comme tant d’autres les graves incohérence stratégiques des pays qui composent l’Europe.



Nous voudrions avoir une économie prospère, mais nous continuons pourtant de privilégier les produits de la concurrence américaine dans tous les domaines.



Dans le domaine de la défense, de nombreux pays d’Europe achètent des F18 malgré l’existence d’une offre européenne de qualité. Dans le domaine de l’informatique, le constat est le même.



Depuis que la France est entrée dans l’Euro, nous avons perdu une grande partie de notre industrie. De grandes entreprises ont été vendues, aboutissant au démantèlement massif de l’activité sur le sol français.



Mais visiblement tout cela n’empêche pas nos “élites” de dormir…











Ricard a écrit :



Pour fêter ça,  signons un partenariat avec MS dans l’éducation nationale. <img data-src=" />





Et tu vas nous dire qu’ils ne font pas de libre chez MS ? Et les contrats OPEN Bar, c’est du mou de veau peut être. <img data-src=" />









trekker92 a écrit :



et….. ils ont le droit non?

moi perso la voiture dans laquelle je roule, qu’elle soit essence ou diesel je m’en tape..







Les garagistes des France tiennent à saluer ta démarche et l’aide apporté à leur branche en crise. <img data-src=" />









firebird a écrit :



Bon par contre il faut être réaliste libre office c’est sale, et j’en passe. A un moment on est obligé d’utiliser un soft proprio pour travailler correctement. Le monde de l’open-source n’a pas de solution pour tout malheureusement.





La pêche au gros, c’est le vendredi uniquement ! <img data-src=" />



Les garagistes en crise ? Ils ont qu’à être un peu plus discount aussi… Juste retour de bâton.



60€/h pour de la mécanique basique, c’est cher, très cher. Et ne parlons pas du tarif spécial peinture…








ActionFighter a écrit :



T’es rentré de l’école tard aujourd’hui, t’as été collé ?







non, contrairement à votre situation, mon cher, je correspond à un poste de CSP+, auquel je ne peux pas déroger à l’obligation d’etre encore au boulot à 19h :)







DahoodG4 a écrit :



Sinon tu t’en tapes peut-etre pour ton taf, mais ce sont tes impots et taxes qui engraissent Microsoft et toutes les solutions proprio, si au moins elles étaient francaises et pas US… .

Tu aimes ca ?





oui, j’aime ca :

a) si c’est pas pour des logiciels libres/proprio fonctionnels que tes impots sont utilisés, ce sera pour des choses encore plus décentes (écoles) ou indécentes (retraites des députés), et que si c’est pas ton argent ce sera celui d’un autre

b) microsoft a largement raison de rafler les contrats : ils sont une entité commerciale, sont la pour confirmer la france capitaliste, et répandre le logiciel propriétaire dans l’hexagone, qui se complete avec le libre du pays : les deux cohabiteront encore des années….

c) et alors, les US ont des années d’avances sur nous, faut qu’on se ferme et qu’on fasse du protectionnisme? LOL

d) on est surtout pas la pour faire dans le social…









sr17 a écrit :



Mais visiblement tout cela n’empêche pas nos “élites” de dormir…







t’as cru qu’elles auraient besoin de somniferes un jour?












trekker92 a écrit :





des que ca parle logiciel libre, je regarde plus les commentaires, mais les commentateurs..

patch, ricard, actionfighter… tous les memes pour répandre leur idéologie intégriste communistes pour imposer le logiciel libre aux autres, et non seulement laisser ceux qui le souhaitent s’y aventurer…







Avant d’accuser le libre de vouloir imposer quoi que ce soit, il serait bon de réaliser que ceux qui imposent leurs choix aux utilisateurs, c’est d’abord les intérêts financiers du logiciel propriétaire. <img data-src=" />









sr17 a écrit :



Avant d’accuser le libre de vouloir imposer quoi que ce soit, il serait bon de réaliser que ceux qui imposent leurs choix aux utilisateurs, c’est d’abord les intérêts financiers du logiciel propriétaire. <img data-src=" />







oh, je n’accuse pas le libre, c’est un phénomène :)

je montre du doigt quatre ou cinq inpactiens qui lors du débat écrit sur la décision de la CJUE, voulaient proposer à tout va du linux au lieu de laisser a beauté du libre faire venir la demande de l’utilisateur lui-meme (et non du libriste)



c’est toute une différence…





les logiciels propriétaires sont pris par décision de la hiérarchie, ya subordination, donc ca compte pas :)









trekker92 a écrit :



oh, je n’accuse pas le libre, c’est un phénomène :)

je montre du doigt quatre ou cinq inpactiens qui lors du débat écrit sur la décision de la CJUE, voulaient proposer à tout va du linux au lieu de laisser a beauté du libre faire venir la demande de l’utilisateur lui-meme (et non du libriste)





Et du coup, tu nous harcèles comme un gamin à chaque news sur le logiciel libre sur la base d’une seule discussion à laquelle tu n’as rien compris, et en nous reprochant un truc que tu fais à chaque news sur le logiciel libre en défendant le logiciel propriétaire <img data-src=" />









ActionFighter a écrit :



Et du coup, tu nous harcèles comme un gamin à chaque news sur le logiciel libre sur la base d’une seule discussion à laquelle tu n’as rien compris, et en nous reprochant un truc que tu fais à chaque news sur le logiciel libre en défendant le logiciel propriétaire <img data-src=" />







oui, et le gamin est très loin d’avoir finit de jouer avec son ballon : prenez-vous le pour acquis ;)



Le libre est aujourd’hui un combat d’arrière garde. Le libre existe, et c’est très bien ainsi. Le libre n’est pas menacé dans son existence. Il n’y a aucun soucis, après c’est le jeu de l’offre et de la demande.



&nbsp;On rappellera pour les plus jeunes que pendant longtemps le credo des libristes a été que GNU/Linux ce n’est pas un “clickodorme à la Windows”, et les utilisateurs de Windows étaient moqués parce qu’ils ne voulaient pas faire de la ligne de commande mais préféraient utiliser une souris pour cliquer. Pendant ce temps se développaient les smartphones et tablettes avec leur interface hyper user-friandly. Bref, les raisons de l’échec du libre sont à rechercher du côté des libristes qui, dans le fond, ne veulent rien d’autre que développer un entre-soi élitiste.



Non, aujourd’hui le vrai enjeu ce sont les formats ouverts. Peu importe le matériel et le logiciel que j’utilise, je devrais être en mesure de pouvoir échanger des documents avec n’importe qui sans être enfermé dans des produits d’une entreprise particulière.



Puis, concernant les positions des chefs d’Etat, leur enjeu serait surtout de favoriser le développement d’entreprises dans NTIC, que ce soit pour le matériel ou le logiciel, parce que pour l’heure en Europe on est obligé de tout importer dans ce domaine (sauf quelques exceptions).








trekker92 a écrit :



… tous les memes pour répandre leur idéologie intégriste communistes…







Au passage, le côté “communiste” que certains voudraient prêter au logiciel libre me parait assez surfait.



Contrairement aux idées reçues, la majorité des contributeurs du libre sont des entreprises tout ce qu’il y a de plus capitalistes.



Dans le libre, l’idée de mise mise en commun du code découle plus d’un pragmatisme tirant partie de l’aspect immatériel et “non rivaux” des logiciels que d’une idéologie marxiste.










Ricard a écrit :



Pour fêter ça,&nbsp; signons un partenariat avec MS dans l’éducation nationale. <img data-src=" />





Et par la même occasion, invitons les autres portefeuilles … ministériels&nbsp;<img data-src=" />









trekker92 a écrit :



oui, et le gamin est très loin d’avoir finit de jouer avec son ballon : prenez-vous le pour acquis ;)





Le gamin va surtout se faire taper sur les doigts s’il continue.



Si tu as deux ans d’âge mental, je vais me charger de te faire grandir. Alors merci d’arrêter les attaques personnelles stupides.









geeklitant a écrit :



Le libre est aujourd’hui un combat d’arrière garde. Le libre existe, et c’est très bien ainsi. Le libre n’est pas menacé dans son existence. Il n’y a aucun soucis, après c’est le jeu de l’offre et de la demande.







Le libre est bel et bien menacé dans son existence par le fait même que les tablettes et smartphones qui constituent la nouvelle générations d’appareils ont été conçus pour booter uniquement l’Os qui est livré avec.





On rappellera pour les plus jeunes que pendant longtemps le credo des libristes a été que GNU/Linux ce n’est pas un “clickodorme à la Windows”, et les utilisateurs de Windows étaient moqués parce qu’ils ne voulaient pas faire de la ligne de commande mais préféraient utiliser une souris pour cliquer. Pendant ce temps se développaient les smartphones et tablettes avec leur interface hyper user-friandly. Bref, les raisons de l’échec du libre sont à rechercher du côté des libristes qui, dans le fond, ne veulent rien d’autre que développer un entre-soi élitiste.





Ce n’est pas du tout cela. C’est même tout le contraire.



L’idée du logiciel libre, c’est d’éviter de rendre l’utilisateur assisté, dépendant et prisonnier de ce qu’il utilise. Donc de faciliter son évolution vers plus de contrôle et de maîtrise plutôt que de l’enfermer dans une illusion de facilité qui n’est qu’un mirage marketing.



Quand aux Os des tablettes et smartphones, ils sont surtout hyper limités dans leurs possibilités. Pas difficile de faire “plus simple” quand les 34 des fonctionnalités des logiciels ont été purement et simplement supprimés par rapport à leurs équivalents “desktop”. Si ce type d’os a l’avantage de faciliter les débuts des “hyper débutants”, ils ont l’inconvénient de brider leur évolution vers des usages avancés et de faire d’eux des éternels débutants qui n’évolueront jamais.





Non, aujourd’hui le vrai enjeu ce sont les formats ouverts. Peu importe le matériel et le logiciel que j’utilise, je devrais être en mesure de pouvoir échanger des documents avec n’importe qui sans être enfermé dans des produits d’une entreprise particulière.





Il faut être lucide, ça ne fonctionnera jamais pour des formats complexes.



D’abord parce que deux logiciels n’auront jamais exactement les mêmes fonctionnalités, cela produira toujours forcément des incompatibilités.



Ensuite parce que les entreprises qui vendent un produit auront toujours intérêt à produire de l’incompatibilité.



Pour ces raisons, la vraie réalité, c’est qu’on ne choisit pas un format, on choisit un logiciel. <img data-src=" />





Puis, concernant les positions des chefs d’Etat, leur enjeu serait surtout de favoriser le développement d’entreprises dans NTIC, que ce soit pour le matériel ou le logiciel, parce que pour l’heure en Europe on est obligé de tout importer dans ce domaine (sauf quelques exceptions).





Il y a tout ce qu’il faut pour peu qu’on se donne la peine de chercher.









sr17 a écrit :



Le libre est bel et bien menacé dans son existence par le fait même que les tablettes et smartphones qui constituent la nouvelle générations d’appareils ont été conçus pour booter uniquement l’Os qui est livré avec.





Le libre, selon toi ne se limite donc qu’a l’OS ?









Crillus a écrit :



Non le problème c’est surtout qu’on ne s’improvise pas admin Linux après 20 ou 30 ans à faire exclusivement ou presque de l’admin Windows (et réciproquement).





20 ou 30 ans ? Vraiment ?



Petit rappel :

Windows 1.0 = novembre 1985 et ce n’était pas tellement utilisé et encore moins administré.

Windows NT = 1996, soit tout juste 20 ans. C’est le premier pour lequel on peut parler d’administration, puisqu’il s’agit d’un OS pour serveur.



Pour taquiner un peu : je veux bien que le temps semble passer plus lentement dans l’administration, mais quand même !



Quand tu vois qu’Apple fait ce qu’il veut sur son store iOS et qu’on ne peut rien installer sans lui, l’OS a quand même une importance pour l’utilisation du libre.



Rappelle toi les soucis de VLC sur cette plateforme.








sr17 a écrit :



L’idée du logiciel libre, c’est d’éviter de rendre l’utilisateur assisté, dépendant et prisonnier de ce qu’il utilise. Donc de faciliter son évolution vers plus de contrôle et de maîtrise plutôt que de l’enfermer dans une illusion de facilité qui n’est qu’un mirage marketing.



A ceci près que l’immense majorité des utilisateurs n’a ni le besoin ni l’envie de plus de contrôle ou de fonctionnalités avancée. Le succès d’Apple est d’avoir compris ça et d’avoir poussé au maximum la logique du user friendly, l’échec de Linux comme OS grand-public est à attribuer à la croyance que tout le monde est un geek en puissance et rêve de taper des lignes de commande, comme s’il n’y avait que ça comme plaisir dans la vie.









fred42 a écrit :



20 ou 30 ans ? Vraiment ?



Petit rappel :

Windows 1.0 = novembre 1985 et ce n’était pas tellement utilisé et encore moins administré.

Windows NT = 1996, soit tout juste 20 ans. C’est le premier pour lequel on peut parler d’administration, puisqu’il s’agit d’un OS pour serveur.



Pour taquiner un peu : je veux bien que le temps semble passer plus lentement dans l’administration, mais quand même !









Aaah tu joues sur les dates, mais je suis sûr que tu as compris l’idée voyons. Ce que je veux dire c’est qu’un admin Windows senior dans un environnement quasi-exclusivement Windows ne passe pas du jour au lendemain à Linux, et même avec une expérience courte ça ne suffit pas à dire “je suis un expert Linux, quand est-ce qu’on remplace AD par LDAP et DFS par du NFS ??” et je réagissais au commentaire accusateur que je trouvais un peu léger de simplement mettre les problèmes de migration sous Linux comme étant la seule résultante d’un “y son trop nul ! c dé fénéan”. Une migration ça doit se faire sur le long terme et en accompagnant les admin, c’est juste que certaines villes n’ont pas fait le geste d’accompagner avec des formations, des experts externes etc.



Par contre ce qui est vrai c’est qu’avoir un peu plus souvent des conseillers externes mériterait d’être plus courant dans le public, ça rendrait les idées d’évolutions avec des gens qui ont un parcours différent plus faciles à obtenir.









fred42 a écrit :



Quand tu vois qu’Apple fait ce qu’il veut sur son store iOS et qu’on ne peut rien installer sans lui, l’OS a quand même une importance pour l’utilisation du libre.



Rappelle toi les soucis de VLC sur cette plateforme.





Apple fournit une plateforme totalement fermée, logiciel ET matériel. Son matos, son OS et son store.

Aucun rapport donc avec Android (Linux) qui est indépendant du matériel (des dizaines de constructeurs) et autant de stores différents. F-Droid ne fournit que du LL par exemple.

Sans même parler de Cyanogen pour ne parler que du plus connu, ou feu FirefoxOS. On peut d’ailleurs installer pleins de LL sur Mac.https://framasoft.org/mot17.html (10 fois plus sur Windows)

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Commençons déjà par les activités informatique dédiées au public , proposée par les collectivités.



Au lieu de faire des ateliers retouche d’image avec le logiciel propriétaire, les collectivités doivent prioriser un logiciel libre, The GIMP pour remplacer photo$$$,



Pour le dessin vectoriel idem.



Les équivalents libres existent, cela doit-être un acte politique des élus, cela fera / éviterait de payer des multinationales, qui ne sont pas française de plus.

Toutes les collectivité recherche des économies à ce jour, et bien, c’est donc possible en choisisant les projets pédagogique qui sont proposés au public.



Les métropoles doivent commencer, et donner l’exemple, (si les élus lisent ces commentaires, agissez sans attendre).



Les économies sont là.

Le public sera lui aussi capable d’avoir le logiciel gratuitement, sans devoir payer un abonnement ou acheter une licence onéreuse.

Posez-vous la question, qui fréquente les activités informatique multimédia proposées par les mairies (pour celles qui ont mises en place des parc informatique dédié au public).



Proposer des formations / initiation au traitement de texte avec Libre Office, ou CALC, permettra de réduire la fracture numérique, qui est bien persistante en France.



C’est pas compliqué et c’est gratuit, le seul problème, ceux sont les intervenants qui ne veulent pas se remettre en cause , car c’est trop fatiguant de changer les habitudes et de bosser pour le service du public, qui je le rappel est celui qui finance aussi les intervenants engagé par les collectivités, avec les impôts.



Tout les logiciels propriétaires auront un équivalent en Logiciels Libres, il y a des develppement en cours , je pense notamment à KDEnLive porté sur Windows, et d’autres aussi, After Effect à son libre , je l’ai lu quelques part (j’ai pas mes notes sous les yeux là ).



Aux particuliers d’allez voir les élus et de leur faire comprendre ça.


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&nbsp; pour le titre


Pour taquiner un peu plus, quand on sort des dates de son chapeau, on essaye de sortir les bonnes… (même si, sur le principe, on se comprend.) <img data-src=" />

Y a eu des NT 3.x à partir de 1993.

La branche NT n’a pas commencé par la version 4 (sortie elle en 96).


Quand vous avez enfin compris, comme Framasoft ou LQDN, qu’il n’y a plus rien à attendre de gens corrompus jusqu’à la moelle, qui travaillent en fait pour les américains, ne sont plus que des valets sans pouvoir, et passent leur temps à trahir les français avec l’appui de tous les grands média sous leur emprise totale, vous comprenez beaucoup mieux le Brexit…



Je marque donc mon attachement au prochain Frexit, avec forcément l’UPR - seul parti politique à le proposer dans sa charte fondatrice, et seul parti politique blacklisté de tous les grands média français, malgré ses 14000 adhérents mi-décembre ! Une honte pour la démocratie qu’il est toujours bon de dénoncer, tout comme la loi Urvoas en passant !



Et même si&nbsp; je ne sais pas ce que donnera 5 ans d’Asselineau côté informatique, au niveau logiciels libres, ça ne pourra jamais être plus nullissime que ce qu’on a vu ces 20 dernières années !



Le problème du libre aujourd’hui, il est purement politique.



Je souhaite à ceux ici qui en sont encore au stade des fanfaronnades entre fonctionnalités logicielles de mûrir un peu : ils arriveront exactement à la même conclusion.








trekker92 a écrit :





mes stylos bic qu’ils soient d’une marque ou d’une autre …





Euh … des stylos BIC, s’ils ne sont pas de la marque BIC, ce sont des contrefaçons.

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GruntZ a écrit :



Euh … des stylos BIC, s’ils ne sont pas de la marque BIC, ce sont des contrefaçons.

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on peut aussi dire qu’un BIC est un terme devenu générique pour tous stylos à billes (à encre)

Comme le Scotch , le Frigo , et j’en ai plus en tête :p&nbsp;









metaphore54 a écrit :



Munich veut revenir vers windows. A priori,&nbsp; ils ont eu une mauvaise expérience de linux.



Je me demande si le libre vaut réellement le coup.





“si le libre vaut le coup” ? Question étrange !! Est ce que la 4G vaut le coup ? Est ce que Noel vaut le coup ?&nbsp;



Le logiciel libre existe et il est disponible, après, à toi de voir si tu veux essayer ou pas.



Personnellement, j’ai commencé à me servir d’un ordinateur (avant les PC) il y a 35 ans, et il n’y avait pas de Windows, de Word, d’Internet … je suis passé par des système exotique comme les MSX, et ensuite le CP/M, le DOS, les différents Windows, Beos, Mac, Linux et aujourd’hui je suis à 100% sur le libre.



Alors je peux te dire que le livre “vaut le coup” d’essayer, et tu peux faire bien plus de chose que tu ne penses, et cela, en toute tranquillité.









Arystos a écrit :



Le problème du libre c’est que c’est moins cadré et donc plus compliqué que windows. Si tu cherches une solution clé en main pour le libre, tu vas forcément t’orienter vers les grandes distrib qui ne seront pas forcément adaptées à tes besoins. Il faut un fork spécial pour que ça marche, de mémoire c’est la gendarmerie nationale qui a fait ça avec linux et qui en est très content.





“donc plus compliqué que Windows” ? Tu plaisantes ?



J’ai installé Linux sur un PC pour une personne de 70 qui n’avait jamais touché un ordinateur, et il s’en sort TRES bien, et pour ma part, je suis complètement passé à Linux depuis 2 ans et je trouve que Windows est bien plus compliqué, pourtant ça fait plus de 30 ans que j’ai les pattes dans l’informatique.



Combien de fois on m’appel parce qu’un pilote Windows ne veut pas marcher, parce qu’une mise à jour à tout fait planter, parce qu’un logiciel ne veut pas s’installer, parce qu’un bug empêche de se connecter …



Depuis plus d’un an, j’ai la même installation de Linux, je fais des mises à jour régulières et je n’ai jamais eu aucun bug !









LeJediGris a écrit :



RhoOoooOOoo le sous-titre !! <img data-src=" />





&nbsp;





tu t’auto-félicite … c’est bien, ça fait au moins 1 personne <img data-src=" />&nbsp;



Le gouvernement, les promesse&nbsp; “Nous on soutient le logiciel libre ! “, la réalité le lien pour télécharger le lien vers le PDF de 50 pages sur cette article ou on vois écris en gros le nom du document “Microsoft Word - 40.docx - 21889.pdf”. <img data-src=" />


Oui mais non. Déjà, j’évite le langage kikoolol alors merci de ne pas me rabaisser de la sorte. Et oui j’ai fais un beau raccourci, mais non il n’est pas faux. Et oui, dans le privée c’est pas forcément mieux.



Mais, même s’il est vrai qu’on ne s’improvise pas sysadmin sur n’importe quel OS du jour au lendemain, une migration ne se fait pas non plus du jour au lendemain. Si en plus les formation existent, il est donc où le soucis ? Si en plus on fait appel à des presta externes quand ca ne va pas, il est donc où le blocage qui a fait faire machine arrière ? Un besoin spécifique qui rend impossible l’utilisation de Linux ? Ce n’est pas l’hypothèse de départ… Avec la virtualisation, il est même aisé d’avoir des environnements mixtes, surtout pour faire des migrations, des formations, de l’entrainement… ou tout simplement répondre à des besoins plus complexe (outils n’existant que sur une plateforme par exemple)



Bref, l’argument “on ne s’improvise pas…” est aussi valable que le miens… donc pas terrible on est bien d’accord.








trekker92 a écrit :



[…] le gamin est très loin d’avoir finit […]&nbsp;



triggered

avoir fini, pas avoir finit : l’accord du participe avec l’auxiliaire avoir se fait si le COD est placé avant . Ici, ce n’est pas le cas, donc avoir finiceci était un message du comité : si vous n’avez pas d’argument contre quelqu’un, corrigez sa grammaire



Je fais des solutions SaaS pour les garagistes et on utilise que du libre côté serveur, l’appli en revanche est proprio :) Comme quoi les deux mondes peuvent être conciliants








nrz a écrit :



Je fais des solutions SaaS pour les garagistes et on utilise que du libre côté serveur, l’appli en revanche est proprio :) Comme quoi les deux mondes peuvent être conciliants





Je ne dis pas le contraire, je dis qu’à ne pas vouloir regarder ce qu’il y a sous le capot on a souvent des surprises ;)









metaphore54 a écrit :



Munich veut revenir vers windows. A priori,&nbsp; ils ont eu une mauvaise expérience de linux.



Je me demande si le libre vaut réellement le coup.





Ça va troller… Et pas sûr que ce soit vraiment le cas.

&nbsp;





Arystos a écrit :



Le problème du libre c’est que c’est moins cadré et donc plus compliqué que windows. Si tu cherches une solution clé en main pour le libre, tu vas forcément t’orienter vers les grandes distrib qui ne seront pas forcément adaptées à tes besoins. Il faut un fork spécial pour que ça marche





“moins cadré et donc plus compliqué que windows” “faut un fork spécial pour que ça marche” ??

&nbsp;



tsubasaleguedin a écrit :



Je tinvite a lirehttp://linuxfr.org/users/bortzmeyer/journaux/munich-ferait-marche-arriere, c’est surtout un probleme d’interop sur office …. Comme quoi le format d’enregistrement par defaut est tres important pour les users lambda …





Oui c’est quasiment toujours la bureautique le problème, et les macros de tableur à porter vers Open/LibreOffice.

Sinon aucune raison que Linux soit moins bien que Windows (à mon avis c’est beaucoup plus simple à administrer si on sait s’y prendre, et quel repos pour les problèmes de sécurité/virus/etc. enfin je n’apprends rien à personne).









Crillus a écrit :



Je ne sais pas comment ça se passe en Allemagne mais en France il y a eu plusieurs cas de villes qui ont tenté Linux au moins coté serveur et qui en sont revenu, en cause le manque d’expérience sur Linux des équipes qui travaillent (quasi-)exclusivement sous Windows.

On sait tous que le métier d’admin sys, Linux ou Windows ne s’improvise pas quel que soit l’OS, là ça avait été sous-estimé.





Quand la migration est bien conçue, comme ça a été le cas dans un hôpital vers Caen il y a une dizaine d’années (vers OpenOffice), on alloue beaucoup de moyens à la formation et au support utilisateur, c’est une des clés du succès.





lysbleu a écrit :



Mais l’entreprise n’est pas du tout antagoniste avec les principes du libre. RedHat c’est 2 milliards de chiffre d’affaire, et ils sont un des principaux contributeurs du libre. Ils peuvent assurer une continuité ou un support grâce à leurs développeurs, si il y a un problème dans une brique logicielle ou dans le noyau ils peuvent résoudre le problème aussi sûrement que Microsoft peut le faire sur Windows (c’est à dire que bon, c’est pas garanti non plus <img data-src=" /> )





J’ai envie de dire “plus sûrement”, parce que je n’ai pas encore vu MS résoudre des plantages au bureau (que ce soit Windows ou Office), alors que RedHat pour des serveurs, oui.







dandrz a écrit :



Je connais ce souci, le vrai cheval de Troie, c’est MS Office. Et accessoirement une certaine inertie aux changements.





Cheval de Troie, c’est tout à fait ça. C’est une vraie plaie.









firebird a écrit :



En tout cas pour être dans un institue français on a migré à l’échelle national vers des solutions Microsoft alors qu’on avait des choses en open source qui fonctionnaient.&nbsp; […].&nbsp;Bon par contre il faut être réaliste libre office c’est sale, et j’en passe. A un moment on est obligé d’utiliser un soft proprio pour travailler correctement.&nbsp;





La contradiction est plaisante. Et LibreOffice n’est pas plus sale que MS-Office, d’où sors-tu ça ?

Pour info dans le centre d’expertise où je bossais en 2007 on utilisais OpenOffice à plusieurs pour rédiger des documents professionnels de plus de 50 pages.







ActionFighter a écrit :



T’es rentré de l’école tard aujourd’hui, t’as été collé ?





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TaigaIV a écrit :



Les garagistes des France tiennent à saluer ta démarche et l’aide apporté à leur branche en crise. <img data-src=" />





&nbsp;Je me suis dit la même chose <img data-src=" /> .









Alphatak a écrit :



A ceci près que l’immense majorité des utilisateurs n’a ni le besoin ni l’envie de plus de contrôle ou de fonctionnalités avancée. Le succès d’Apple est d’avoir compris ça et d’avoir poussé au maximum la logique du user friendly, l’échec de Linux comme OS grand-public est à attribuer à la croyance que tout le monde est un geek en puissance et rêve de taper des lignes de commande, comme s’il n’y avait que ça comme plaisir dans la vie.





La partie à partir de “l’échec de Linux”, c’est juste n’importe quoi.

Ça fait depuis bien longtemps qu’un Linux de distribution grand public ne demande pas à taper de commande, et offre une interface graphique correcte (pour info, j’avais vu l’analyse par un ergonome de rien que l’explorateur de fichiers de Windows, ben c’était pas ça, problème de cohérence entre autres).

&nbsp;

J’ai mis il y a longtemps des “nuls” en informatique sur un bureau Linux, après 20 minutes d’explications sur comment retrouver ses petits par rapport à Windows au boulot, ça s’est bien passé.



C’est pour cette excellente raison que la ville de Münich va entièrement repasser ses milliers de postes sous l’égide de Microsoft incessamment sous peu, c’est pour promouvoir le logiciel libre…



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Alphatak a écrit :



A ceci près que l’immense majorité des utilisateurs n’a ni le besoin ni l’envie de plus de contrôle ou de fonctionnalités avancée. Le succès d’Apple est d’avoir compris ça et d’avoir poussé au maximum la logique du user friendly,







Ah cette vision ou des gens “super intelligents” décident du haut de leur tour ce dont “la majorité des utilisateurs ont besoin”… et surtout ce qu’ils ont le droit de faire sur leur propre appareil.



On verra ce que les gens penseront des appareils “super simplifiés” comme les tablettes dans quelques années quand ils auront réalisé qu’ils ne permettent pas réellement à leurs enfants d’acquérir de vraies connaissances en informatique. <img data-src=" />





l’échec de Linux comme OS grand-public est à attribuer à la croyance que tout le monde est un geek en puissance et rêve de taper des lignes de commande, comme s’il n’y avait que ça comme plaisir dans la vie.





D’abord Linux n’a jamais été vraiment proposé au grand public.



Ensuite, ça serait vraiment une bonne idée d’essayer Linux avant d’en parler. Parce que ça fait très longtemps que l’histoire de la ligne de commande est une énorme légende urbaine.



D’ailleurs, en matière de simplicité, ce n’est pas parce que Linux est un Os très puissant qui permet à ceux qui veulent aller plus loin de s’exprimer qu’il serait pour autant compliqué pour les débutants. De nombreux progrès en matière de simplicité viennent d’ailleurs du monde du libre, comme par exemple, le concept de store centralisé qui permet d’installer un logiciel d’un seul clic à partir d’un catalogue. Linux a eu cela très longtemps avant Apple.



Et tout ceux qui ont installé Linux à des grands débutants vous diront qu’ils en sont très contents.



Mais on peut consacrer du budget à ça !


LibreOffice il faut savoir s’en servir, la production de texte est de bien meilleure qualité que celle de la version privatrice qui en est resté à l’étape de la super machine à écrire bling bling.


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