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Linux représenterait près de 4 % des utilisateurs d’ordinateurs de bureau

Linux représenterait près de 4 % des utilisateurs d’ordinateurs de bureau

Flock

Le 05 janvier à 07h42

Selon Statcounter, la part de Linux dans les ordinateurs de bureau a atteint près de 4 % (3,82 %) en décembre 2023 sur StatCounter.com, relève GamingOnLinux.com.

La proportion du mois dernier représenterait « un record et une tendance claire au fil du temps », la part de Linux ayant franchi le cap de 1 % en 2013 puis celui de 1,5 % à partir de 2015, mais restant en deçà des 2 % de 2015 à début 2021.

Evolution de la part d'utilisateurs d'ordinateurs de bureaux utilisant Linux, selon StatCounter, via gamingonlinux.com
Evolution de la part d'utilisateurs d'ordinateurs de bureaux utilisant Linux, selon StatCounter, via gamingonlinux.com

Un taux qui n'a cela dit de cesse de progresser depuis la fin de 2022 et le franchissement de la barre des 3 % en juin 2023.

Des chiffres à prendre avec précaution : le taux d'OS Windows serait en effet étrangement passé de 69 à près de 73 % en décembre 2023, celui des Mac OS X de 21 à un peu plus de 16 %, et la part des Chrome OS de près de 4 à moins de 3 % dans le même temps.

Pourcentages d'OS Windows, MacOS, Chroms OS et Linux depuis 2009
Pourcentages d'OS Windows, MacOS, Chrome OS et Linux depuis 2009

Le 05 janvier à 07h42

Commentaires (59)

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Si on additionne les chiffres de Linux et ceux de Chrome OS, ça fait donc 7% de part de marché pour les OS fondés sur un noyau Linux :youhou:
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Donc Chrome OS c'est le mal, sauf quand il faut gonfler les chiffres linux ? :D
:pastaper:
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Je l'ai pas testé personnellement, mais de ce que j'ai compris, ce n'est plus aussi verrouillé qu'avant et il y a la possibilité de l'utiliser comme un Linux plutôt classique non ?
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Il n'y a plus d'obligation d'utililiser le cloud de Google et ses services ?
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De ce que j'ai compris, ce n'est pas obligatoire, même si tout est fait pour y pousser. Mais j'avoue que je n'ai jamais testé.
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Oui, c'est mal parce que la durée du support est limitée dans le temps. J'aurais un autre avis si ce n'était pas le cas.
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Le manchot vaincra :youhou:

Bon, ça risque d'être long par contre :transpi:
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« Des chiffres à prendre avec précaution : le taux d'OS Windows serait en effet étrangement passé de 69 à près de 73 % en décembre 2023, celui des Mac OS X de 21 à un peu plus de 16 %, et la part des Chrome OS de près de 4 à moins de 3 % dans le même temps. »

Ouaip chelou en effet une telle variation mensuelle!

Ceci dit, cela donne une idée ou tendance (à quel point juste ?) de la question que je posais dans le cadre de l’article sur Zorin OS : tant d’efforts pour combien d’utilisateurs.
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Ce qui compte au final c'est d'avoir le choix. Il ne faut pas se fier aux apparences, un petit pourcentage représente malgré tout un nombre d'utilisateurs élevé dans l'absolu.
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Des utilisateurs de MacOS qui se tourne vers Linux... mouai, j'y crois moyen.
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Avec l'inflation, ils n'ont peut-être plus les moyens de s'acheter du matériel Apple :troll:
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Un changement soudain de plateforme peut être lié à une fin de support d'un composant pour lequel il n'y a pas de mise à jour satisfaisante possible.

Si Apple dans les années 90 était la marque d'ordinateurs préférée des créatifs (musique, video, presse, image), il faut bien reconnaître qu'Apple a envoyé une partie de ce monde se faire voire pendant les années 2000 et surtout 2010 ... Apple se veux imprévisible et capable de changements radicaux sur son offre sans prévenir et sans vision moyen terme pour ses utilisateurs, soit, mais ça a pour effet de régulièrement faire partir des utilisateurs.

Mention spéciale pour le "Mac Vador/Pro" qui a du jour au lendemain dit aux professionnels où ils pouvaient s'insérer leurs cartes PCIe ...
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Vu la gueule générale des courbes, c'est plutôt toute la période janvier 2023 à décembre 2023 qui est anormale. Une partie de la chute de Windows est passée dans Others mais a vite été corrigée, et le reste s'est retrouvé dans un plateau coté OSX avant d'être corrigée en décembre 2023.

De manière générale, Others est un mirroir quasi parfait de Windows
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Il doit y avoir un souci dans le relevé des stats car on constate que les pics à la baisse de Windows correspondent avec les pics à la hausse de "Unknown". Ceci dit ça donne une bonne idée de la tendance à long terme, même si je vois plus OSX remonter que Linux.
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J'aime beaucoup l'illustration, elle ferait un très chouette fond d'écran @Flock s'il y avait une version HD😁
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ça doit pouvoir se faire ! Je garde la majorité de mes sources en haute def ! :-)
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Je verrais bien le même type d'image, mais pendant l'action ! Et la signature servir d'onomatopée :D
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Les Unknown en pic correspondant à des Windows en creux, ce serait sans doute à rapprocher d'évolutions de version majeures de ce dernier et de pb de détection qui lui soient en totalité imputables. Sans impact a priori sur les autres OS.

En tout cas même si on lisse les courbes, il y a du progrès pour OS X et Linux et une baisse pour Windows. Possible que les délires de TPM et autres pour win11 n'y soient pas étrangers: Perso mon PC principal est un barebone de 10 ans et il fait encore le job, je comprends tout à fait que les gens cherchent des alternatives pour éviter de changer ce qui marche: En période très inflationniste, la volonté historique de Microsoft de pousser à changer de machines a de quoi gripper. Tant mieux.
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Je pense surtout que c'est révélateur que les marchés autres que l'occident s'équipent en ordi. Windows est décrié dans les pays asiatique, africains ou simplement d'europe centrale car bien trop occidentalisé. Quelque soit les efforts de Ms pour internationaliser, les origines sur soft transpirent.

Sous Linux, l'empreinte est moins marquée.

Exemple: les chiffres Asie: moins de 3% début d'année, plus de 5% fin d'année.

L'évolution des prochaines années de l'informatique, c'est l'émergence de nouveaux marchés, de nouveaux produits, et une fracture culturelle à mon avis. Que l'on verra aussi dans le hard, les nouveaux marchés accueillant à bras ouvert l'ARM, notre marché étant réticent et très pro x64 par conservatisme.
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Je pense aussi que les utilisateurs Linux sont sous-estimés car il doit y avoir une plus grande proportion d'utilisateurs qui bloquent les traqueurs et donc notamment ceux de StatCounter
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Euh. Cela doit strictement rien changer aux stats tellement personne fait ça.
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C'est pas parce que tu le fais pas que personne ne le fait. Tu as quantité d'extensions qui te permettent de bloquer des mouchards. Rien que sur Next tu dois avoir pas mal de gens qui bloquent. Dont une bonne partie sous linux.
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"personne fait ça"
C'était un test de QI et tu l'as loupé.
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Par contre je me demande quel public utilise ChromeOS, j'ai jamais rencontré qui que ce soit utilisant cet OS.
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Il parait que cet OS se trouve plus facilement sur tablette.
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Perso, j'ai pris un Chromebook (donc ChromeOS) pour mes parents...
J'avais parfaitement conscience de ce que ChromeOS implique en terme de tracking/vie privé mais pour des gens sans le moindre bagage informatique, c'est simple et ça marche. Ca offre juste ce dont ils avaient besoin (un navigateur web sur grand écran) et perso, j'ai jamais eu plus de "support" à gérer à distance que d'expliquer comment faire un copié/collé ou imprimer un doc (ne pas rire).
Ils avaient déjà des comptes gmail donc pour eux cela a été transparent.
J'avais testé de leur donner un ancien PC portable avec un linux (configuré au plus léger / simple / avec accès distant pour dépanner) mais ça me demandait quand même plus de support.
Donc pour revenir à ta question "quel public": un public qui a juste besoin d'un navigateur web et qui ne veut pas avoir à gérer quoi que ce soit ! ;-)
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@typhoe , quel support as tu besoin de faire une distribution ?
Sauf erreur de ma part, lorsque tu installes une distribution classique en 20-25 min, tu as un navigateur par défaut qui permet de faire la même chose que sous ChromeOS.

@IfYouPlease, le chromeOS cible le très grand public et surtout il bénificie énormément de visibilité.
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Pas de besoin de faire une distribution non, mais le support des mises a jour qui ne sont pas systématiquement sans soucis malheureusement...
C'es ce que tu écris en dessous, chromeOS est hyper grand public... un coté "dumb" ou tu ne pas toucher (et donc casser) grand chose :-)
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Ce que je voulais dire est que chromeOS est réputé certe très grand public mais je reste convaincu que certaines distributions l'ait tout autant. Pour ma part, et chez mes parents, j'ai installé un Ubuntu 16.04, puis 18.04 et enfin en 20.04. Je n'ai jamais eu de problème de mise à jour.

Et Ubuntu reste une distribution très grand public. Depuis quelques temps, certains conseillerait Mint.
De mon point de vue, malheureusement on cole encore bien souvent Linux de système compliqué alors qu'il existe des distributions très grands publics pour un usage classique commun, et tout cela sans utiliser de ligne de commande.
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Combien d'utilisateurs de OS X ont des soucis pour utiliser des programmes (jeux?) qui ne sont pas mis à jour pour suivre les évolutions matérielles (CPU) ?
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:incline: :youhou:

Et l'image de l'actu ... :transpi:
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Rendons le mérite de ce succès à qui de droit: "systemd" et "wayland".

:troll:
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Bah sans blaguer, autant systemd ca semble compliqué à la prise en main par rapport au vieux init, autant quand tu l'as compris c'est vraiment hyper puissant, et bien plus secure.
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Oui, je reconnais qu'il y a certaines fonctionnalités intéressantes comme les filtres.
Après j'installe encore syslog pour la compatibilité de certains outil de monitoring.
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La fin d'init, c'était surtout la chance de pouvoir enfin dire aux connards illettrés d'IBM, CA et autres naufrages intellectuels de se conformer à un système de démarrage des services unique et fortement normé au lieu de faire du hors piste dégueulasse comme ils pouvaient le faire.

J'ai vu trop d'horreurs dans les scripts init dans des solutions commerciales et des solutions développées en interne pour accepter l'argument que la flexibilité d'init est un avantage...

flexible, ça veut trop souvent dire: on implémente le start, le stop, pas le status, le restart ou le reload, on laisse les codes de retour pour plus tard ou on renvoie les mauvais codes, on n'utilise évidemment pas de pidfile pour détecter un service mort, et on ne fait pas une gestion correcte de l'environnement et tant pis si le script marche pas via sudo ... et encore ça c'est quand c'est un script... j'ai aussi eu le coup du binaire dans /etc/init.d/, dans /etc/rc.d/rc3.d ... et puis il reste le classique du script "init" top feignasse qui n'est qu'un one-liner invoquant le binaire dans /usr/bin
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Heureusement qu'il existe encore des implémentations d'init qui répondent encore à la philosophie UNIX et qui permettent d'éviter l'hydre systemd.

J'utilise pour ma part Devuan, dérivé Debian dont la raison d'être est simplement l'éviction de l'infection systemd.
Si vous désirez Debian sans systemd, c'est Devuan qu'il vous faut !
Et si vous êtes curieux de rentrer en contact avec les barbus derrière la proposition, il y a tout un tas de canaux, d'IRC au courriel, avec bien sûr la possibilité de contribuer via Git.

Dommage que certaines grandes distributions, notamment Debian, ait oublié leur raison d'être en y basculant.
Par conception, ce machin fourrant ses dépendances partout, le remplacer devient progressivement impossible, à mesure que le temps passe.

Il reste quelques Mohicans barbus permettant de faire tourner des fork plus confidentiel, mais sans retour à la raison d'une distribution majeure, l'avenir est bien sombre pour un PID 1 respectable.
L'exercice permet au moins d'illustrer la réalité de l'hydre, le fort couplage de tout un tas de mécanismes tiers à un machin qui veut à la fois être l'hyperviseur principal et le gestionnaire d'à peu près tout (et surtout n'importe quoi). Le tout codé avec l'arrière-train.
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Heureusement qu'il existe encore des implémentations d'init qui répondent encore à la philosophie UNIX et qui permettent d'éviter l'hydre systemd.
A ce niveau, ta position s'éloigne de la philosophie pour relèver du dogmatisme.

Surtout que systemd respecte le principe d'unix. Eh oui, ce n'est pas un truc qui fait tout, ce sont des dizaines et des dizaines de binaire, chacun avec un rôle bien défini.
Dommage que certaines grandes distributions, notamment Debian, ait oublié leur raison d'être en y basculant.
A croire que systemd, c'est le diable :frown: Surtout que la raison d'être de Debian (je prends cette distribution en exemple car c'est celle que tu cites), c'est d'être 100% libre, stable et d'avoir un cycle de maintenance et de nouvelle version plus ou moins prédictible. Je n'ai pas eu l'impression qu'en passant à systemd, ils avaient oublié cela...
Par conception, ce machin fourrant ses dépendances partout, le remplacer devient progressivement impossible, à mesure que le temps passe.
Je suis allé faire un tour sur la distribution Gentoo, où il y a une page qui trace les paquets dépendant explicitement de systemd. J'en compte 9 (si on met de côté les paquets qui fournissent une application ou une bibliothèque dont le but premier est d'interagir avec systemd). 9 sur 19042 au moment où j'écris ces lignes. Effectivement, c'est partout.

Il est remarque aussi de voir à quel point l'ensemble des mainteneurs des grandes distributions sont des imbéciles qui ne comprennent rien et vendent leur âme au diable, pour avoir tous fait le même choix. Ces "imbéciles" n'ont donc absolument pas compris l'intérêt d'utiliser systemd (pourtant nombreux) et ne le fond que parce qu'ils ont "perdu la raison". Il est vrai que des démarrages plus rapides, une meilleure gestion des dépendances au démarrage, l'augmentation de la sécurité en facilitant grandement l'usage des cgroups et compagnie, et un système presque homogène d'une distribution à l'autre, c'est de la gnognote.

Je propose de ne pas revenir plus profondément sur le débat systemd/pas systemd, car ce n'est pas vraiment le sujet du brief. Surtout que généralement, ce n'est que de la résistance au changement de la part de personnes qui ne font que gueuler sans vraiment contribuer...
Le tout codé avec l'arrière-train.
Qui es-tu pour te permettre de juger ainsi la qualité du travail des autres, sans même être aller jeter un oeil à leur travaux ? Montre moi ton code et tes contributions. J'ai envie de rigoler un peu...
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Systemd, c'est bien le truc qui démarre tous les services réseaux alors que le réseau n'est pas démarré ?

J'ai du autoriser ssh et nginx à faire des bind sur des adresses que le noyau n'avais pas encore pour qu'ils démarrent correctement à l'allumage de mes VM.

Quel progrès en effet.

Et puis pour arrêter, il ne sera plus possible de faire shutdown now car il faut passer par systemctl.

Pourquoi garder la commande que tout le monde maitrisait bien? Autant tout péter sans raison.
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C'est plutôt un symptôme d'un problème de configuration de base de la distro, ça...
Pareil pour shutdown now, ça marche très bien sur mes vm's ...

C'est quoi comme distro?

J'utilise systemd au quotidien sans avoir de problèmes du genre.

Donc oui le progrès, c'est bien, mais avec les distributions gnu/linux en général, il vaut mieux que les mainteneurs de la distribution aient fait le boulot correctement.
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J'utilise exclusivement Debian depuis la 9 jusqu'à la 12 et les montées de versions ont conduit à par mal de problèmes vus les gros changements opérés vers systemd.

Sur une « fresh install », cela fonctionne mieux mais je ne considère pas comme normal le fait de devoir réinstaller mon système à chaque nouvelle version majeure.

Dernier gag en date avec fail2ban qui ne fonctionne plus sous debian sans avoir à mettre les mains dans le camboui.

Pour ceux qui migrent depuis la 11, fail2ban ne sais plus où trouver les informations car il n'y a plus les informations de sshd dans le journal /var/log/auth.log et il faut migrer le jail.conf pour utiliser systemctl donc systemd.

Pour ceux qui migrent vers la 12 et même ceux qui installent une version 12 toute fraiche, fail2ban cherche à utiliser iptable au lieu de nftable et il faut aller dans fail.conf modifier les lignes banaction. Là, il s'agit d'un problème de cohérence dans la distribution.

Pour ceux que cela intéresse, il s'agit de remplacer:
banaction = iptables-multiport
banaction_allports = iptables-allports
par:
banaction = nftables-multiport
banaction_allports = nftables-allports
Pour revenir à mon problème de base, systemd fait de mauvais travail en lançant en vrac tous les services là où init.d permettait d'attendre la résolution des dépendances.

Avec d'utilisation de SLAAC ou DHCPv6, le réseau n'est prêt que quand tous ces processus sont terminés. Quand systemd lance SSHD ou nginx avant que le réseau soit totalement démarré, ils plantent car les adresses configurées dans leurs fichiers de configurations ne sont pas encore attribués.
Pire, la résolution de nom ne fonctionne pas à ce moment donc il faut tout configurer dans les fichiers /etc/hosts des VM. Cela va à l'encontre de la centralisation de la configuration.

Pour permettre à mes machines de démarrer, j'ai dû ajouter une configuration magique :
echo 'net.ipv6.ip_nonlocal_bind = 1' > /etc/sysctl.d/99-nonlocal_bind_ipv6.conf
Devoir bidouiller pour rendre le système fonctionnel alors que mes besoins sont banals, c'est tout sauf acceptable.
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En gros, tu me dis que Debian n'est pas assez cohérent, fait mal ses upgrades, que les configs des logiciels ne sont pas forcément adaptées pour fonctionner dès déploient du paquet, ...

et que le problème c'est systemd, nftable, ...

Je pense que tu en demandes trop à Debian...

Les mains dans le cambouis, ça fait partie du contrat. Si on aime pas comprendre le système et ses évolutions, on ne prend aps de risque et on fait une installation "clean"
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Je n'ai rien dit contre nftables qui représente une évolution nécessaire et bienvenue pour gérer de manière centralisée le pare feux. Tu vois, je ne suis pas contre tout changement.

Et pour ton conseil sur une installation clean, je t'ai donné justement un exemple qui montre qu'une installation clean de debian 12 ne fonctionne pas bien: fail2ban.

Mettre les mains dans le cambouis est une chose naturelle, surtout dans mon cas avec une netinstall, mais devoir faire une enquête puis aller patcher les 4 coins du systèmes pour trouver pourquoi ce qui fonctionnait très bien bloque totalement n'est pas normal.

D'une manière générique, il est normal de faire évoluer les programmes et les distributions mais il faudrait être en mesure de lister aux utilisateurs les adaptations à réaliser suite aux évolutions plutôt que de les mettre dans l'embarras. Et ce n'est pas la liste des changements de versions de paquets qui permet de savoir quoi modifier et où.
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Je crois que la palme revient surtout à pipewire :duel1:
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Tu aurais pu dire "PulseAudio" pour rester dans la thèmatique de systemd. :mrgreen:
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Pipewire, c'est la philosophie pulseaudio qui fait un hold-up sur jack...ce qui a des avantages et aussi pas mal d'inconvénients pour la MAO...
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Il serait aussi intéressant de voir dans cette proportion combien de personnes sont sous WSL.
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Perso je ne fais jamais tourner un navigateur sous WSL, et l'infrastructure technique qu'il faut est plutôt complexe (j'imagine un serveur X au moins), mais peut-être que j'ai manqué la possibilité ?
Ceci dit meme dans ce cas, le navigateur utilisé est plutot celui de l'os hote ?

Mais la même question peut se poser pour les OS virtualisés, et voir comment ils sont remontés par rapport au host.
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On peut depuis quelques temps maintenant utiliser des applications graphiques au travers de WSL de manière transparente.
Je n'arrive pas à retrouver d'article mentionnant la finalisation mais le boulot avait commencé il y a quelques années : next.ink Next
Edit : en ouvrant les yeux ça va mieux → next.ink Next

Et non, c'est bien un navigateur propre à l'install wsl, totalement indépendant d'un quelconque navigateur installé sur le système hôte. Concernant la remontée des stats, si je ne m'abuse c'est basé sur l'user agent envoyé par ton navigateur, donc il ne devrait pas y avoir de différence entre un navigateur dans un système donné et le même dans le même système virtualisé.
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Le début de la révolution :8:8
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En prolongeant les courbes qui peut nous dire quand sera la fameuse année du desktop pour Linux ? :D
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Celle où WSL aura remplacé le noyau NT sur Windows ?
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Ce que vous êtres drôle les Linuxiens. 33 ans pour avoir 4% et ils pensent encore que le grand jour va arriver. Des barres. :-D
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Avec plaisir, j'ai toujours considéré l'auto-dérision comme étant une qualité.

A l'inverse, je n'ai jamais considéré cette supposée finalité de part de marché pour le noyau Linux. Contrairement à certaines des distributions qui l'intègre, ce n'est pas un produit commercial à proprement parler donc la notion de PDM sur l'intégration Desktop n'a pas vraiment d'incidence dessus. Le noyau jouit d'une grand popularité et est devenu un standard de fait dans l'IT pour de nombreux cas d'usage.

Pour rester chez Microsoft, Azure repose énormément dessus, au même titre que plusieurs distributions sont développées en interne (CBL Mariner qui porte la couche containerisation d'Azure App Services et peut être aussi utilisée pour AKS à la place d'Ubuntu, CBL-Delrige qui est la distrib derrière Azure Cloud Shell, basée Debian, ou encore Azure Cloud Switch qui est une distrib orientée network développée par MS).

Je ne vois donc pas trop de quel "grand jour" tu parles qui est censé arriver, étant donné que pour moi, l'usage d'un système basé Linux est une réalité quotidienne que ce soit sur le plan personnel et professionnel depuis vingt ans. Et pour les Cloud Providers aussi.
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On parle desktop, tu parles Cloud et serveur. Respecte toi.
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C'était justement le but de mon propos, expliquer pourquoi je considère ce fameux "grand jour" que tu évoques comme n'étant pas une finalité. Dans mon cas, et pour de nombreuses autres personnes, tout ceci est une réalité depuis deux décennies.
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Mais t'es bête c'est pas possible. La news parle de desktop. Tu parles de desktop. Je parle de desktop. Et comme t'as l'air con tu bifurques sur les serveurs et cloud. Tu peux commencer à réfléchir stp ?
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Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.

Considère que tu as eu le dernier mot si cela te fait plaisir. Je n'ai plus de temps à perdre avec ton agressivité inutile.
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effet du steam deck et des cibles temps reeles sous linux ? (industrie, system de mesure, PLC indust, voitures, ...)
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Les machines que tu listes, quand elles ont accès à internet, ne se connectent pas via un navigateur, donc n'entrent pas dans les statistiques

Linux représenterait près de 4 % des utilisateurs d’ordinateurs de bureau

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