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Berbe

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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631 commentaires

Hier à 13h 17

M$, ça ose tout : c'est à ça qu'on les reconnait

Le 25/07/2024 à 12h 48

Il y avait pourtant un projet de lanceur entièrement réutilisable permettant de transporter des masses non-négligeables.
Cela s'appelait "navette spatiale".
Cela coûtait certes plus cher, mais était bien plus viable environnementalement parlant.

Il y avait des questions à résoudre :
- une conception à revoir (de zéro ?)
- une limitation de la masse maximale : dépassable par nouvelle conception ? nécessitant un assemblage à destination ?

Au lieu de ça, on a laissé un paradigme "réutilisable" (qui génère incroyablement plus de déchets, on se croirait en plein paradoxe de Jevons) se développer, et que l'on prend maintenant comme exemple…

L'orbite basse est devenue un bordel incroyable, juste parce que cela coûte moins cher d'y aller, et cela attire les télécommunications (plus faible latence) alors que rien ne peut faire mieux que du terrestre.

Tout est ubuesque… mais comme tout est piloté économiquement par l'idéologie libérale idoine (appât du gain, coupe des coûts), ceux attentifs aux déchets/à l'environnement perdront toujours.
Il y a pourtant foule de créations culturelles s'étant depuis longtemps penchées sur un futur dirigé par cette idéologie, avec toutes une palette de dystopies se finissant peu ou prou de la même manière. Si l'être humain était intelligent, il éviterait de se prendre un mur qu'il sait pourtant voir arriver… s'il le souhaite.

Le 23/07/2024 à 20h 12

GrapheneOS / Pixel semble donc être la combinaison au meilleur ratio sécurité/prix.

Le 20/07/2024 à 22h 51

Qu'un compte de démonstration ait accès à de vraies données non anonymisées est un scandale.

Qu'un compte de démonstration ait accès à de vraies données est un scandale.

Le 20/07/2024 à 16h 46

Un raccourcisseur d'URL que l'on ne maitrise pas, c'est donner les clés du camion à un tiers.

Que les gens intéressés bossent plutôt leur DNS et leurs URI.

Le 20/07/2024 à 16h 44

Encore une excellente démonstration qu'Israël est un petit pays fragile & frébrile qu'il faut protéger contre la menace vitale que posent les Palestiniens. Cela justifie :
* de peser de tout son poids pour défendre Israël
* de minimiser les cadavres s'empilant dans le camp adverse
* de continuer à fermer la porte à l'auto-détermination d'un peuple qui demande pacifiquement depuis 70 ans à disposer de son propre pays, conformément aux lois internationales

Le 20/07/2024 à 16h 38

Ils ont bien raison : il n'y a eu aucun travail sur le sujet, et il n'existe pas depuis C++ de langage de programmation garantissant la sécurité de la mémoire.
Il n'affirmeraient pas quelque chose de faux avec un tel aplomb si ce n'était pas le reflet honnête de la réalité.

Faisons comme eux, et comme ils le font si bien entre eux : blâmons le programmeur, afin de se sentir supérieurs.

Le 20/07/2024 à 16h 33

La question qui tue maintenant, c'est : est-ce que ce désastre sera suffisant pour que cette entreprise à $74Mds se dise que ce serait peut-être bien de (mieux) tester ses màj? Vu la com assez laconique, on peut se poser la question.

Technique classique :
Elle s'est peut-être déjà dit que "ça serait bien d'en avoir" : ça permet de calmer les inquiétudes en donnant l'impression d'une volonté à ceux qui s'en inquiète.
Et puis ensuite, certainement rien. Comme souvent.
Et puis lorsque des compte sont demandé, il est souligné que le conditionnel était employé sur un cosntat, et qu'aucun engagement n'avait été pris (et personne ne reproche ça, généralement).

Rapprocher une valorisation boursière ou des profit d'un manque d'action suppose que les moyens financiers disponibles signifient que les choses importantes seront adressées. Pour votre bien et celui des gens sur qui vous avez un impact : réveillez-vous.
C'est la même irrationalité qui frappent ceux qui pensent que le mérite signifie nécessairement une bonne rémunération ou le corolaire, pire, que le niveau de rémunération est une indication de la compétence.

Le 16/07/2024 à 00h 20

Elle rappelle aussi son opposition à l’identification biométrique à distance en temps réel dans l’espace public et les lieux accessibles au public, « en admettant pour seule exception son utilisation pour […] la sécurité des personnes […] »


Bon, eh bien le même argumentaire déployé depuis quelques décennies pour justifier tous les abus sécuritaires va continuer, puisqu'il est toujours aussi peu défini.

Le 15/07/2024 à 23h 30

Donc des services tombant sous la coupe de l'extra-territorialité des lois de surveillances états-uniennes peuvent entrer dans le mélange de technologies pour de l'infonuagique "sécurisée", tamponnée par une agence gouvernementale censée être le parangon, dans son domaine d'expertise.
Est-on le 1er avril ? Est-ce une vanne d'Ubu ?

Le 15/07/2024 à 20h 42

Une des meilleures sources de données indirectes !
Un excellent exemple de rapport efficacité/coût.

Le 13/07/2024 à 00h 30

Ça y est : ils commencent à augmenter les doses, et ça n'est que le début.

L'étape suivante dans le schéma classique pour doucement, tout doucement, refermer la mâchoire du piège de le sente. Mouarf.

Le 12/07/2024 à 13h 22

Je dirais que ça permet à Firefox de maintenir des parts de marché. S'ils sont les seuls avec un browser à jour sur ces vieux OS alors ils auront quasi 100% de parts de marché. Ce qui fait 3,36% de plus en part de marché. Sans compter l'effet halo (ceux utilisant firefox sur ces dinosaures peuvent l'utiliser aussi sur une machine plus récente pour avoir le même navigateur partout)

Ce qui était vrai il y a 20 ans semble toujours l'être : la part d'utilisateur de versions Windows obsolètes provient essentiellement d'Asie. À l'époque, des analyses montraient que cela provenait de Chine (de quel autre pays, sinon ?).
Aujourd'hui, la part de l'Asie dans les statistiques de Windows 7 est de 4,85% là-bas. Viennent ensuite loin derrière l'Afrique (2,36%) et l'Europe (2,02%).
Les 2,96% mondiaux sont donc tirés vers le haut par ce premier continent.

Supposer maintenant que les utilisateurs de ces versions s'inquiètent de la mise à jour de ce qu'il y a dessus, et optionnellement en déduire de la spéculation sur des parts de marché disponibles, m'apparaît comme éminemment absurde.

J'ai effectivement moi aussi du mal à comprendre l'effort de Mozilla là-dessus, à moins peut-être que le ratio publicité (image)/effort soit avantageux pour eux.
N'oubliez pas que la publicité sur le support de vieilles versions ne vise pas forcément les utilisateurs de ces vieilles versions.
Je vous laisse avec ceci : Quels bénéfices l'organisation peut-elle tirer d'une telle communication, au-delà de simples installations, puisque l'on constate que cette communication n'est pas produite à destination des utilisateurs les plus impactés par ces vieilles versions ? (o:

Le 08/07/2024 à 20h 01

Tous les régimes autoritaires filtrent et surveillent attentivement les liens internationaux.
On peut d'ailleurs doucement rire de l'incapacité de tels gros pays à réaliser cela. Y aurait-il un lien avec le fait que les cerveaux capable d'une telle ingénierie ont fui le pays ?

De nombreuses pannes, qu'elles soient interne à ces pays ou contaminant le réseau mondial, ont régulièrement lieu.
Me vient immédiatement en tête une panneau mondiale avec des sites inaccessibles résultant d'un bricolage BGP au Pakistan qui s'est mal passé, envoyant dans un "trou noir" des préfixes entiers annoncés vers cette destination.
D'ailleurs, l'authentification des annonces BGP au niveau mondial n'avance toujours pas, alors que cela permettrait tout simplement de s'assurer qu'une entité ne puisse pas effectuer des annonces concernant des préfixes appartenant à une autre…
Compliquée, la coopération à (nombreuses !) entités.

Le 07/07/2024 à 23h 05

Car bien faire les choses, se préoccuper de la sécurité, résorber la dette, et toute autre initiative de cette mouvement ne génère aucun revenu.

L'informatique est encore et toujours un centre de coût qui doit en permanence justifier son existence par des revenus.
La notion d'investissement n'existe pas/plus réellement.

Le 29/06/2024 à 09h 09

Les iPhone sont IP68 depuis l'iPhone 7, 2017.
Les Pixel sont IP67 depuis Pixel 2 (2017), parenthèse x8 entretemps, puis IP68 depuis Pixel 5 (2020).

Pourquoi faire la promotion d'une conception particulièrement bonne d'Apple ?

« Le port de charge de l'iPhone fait partie d'un module à la grande longévité, qui comprend des microphones et d’autres composants qui peuvent être réparés dans leur ensemble, mais qui nécessitent rarement un remplacement. Rendre le port de charge remplaçable individuellement nécessiterait des composants supplémentaires, y compris son propre circuit imprimé flexible, son connecteur et ses fixations, ce qui augmenterait les émissions de carbone nécessaires à la fabrication de chaque appareil »


La novlangue va donc vous expliquer que les architectures modulaires sont pires à plusieurs points de vue que les architectures monolithiques. Un contresens complet, ie une belle anti-catastase, définitivement à l'heure de cette ère de la post-vérité.
J'aurais ici aimé une analyse sémantique, rhétorique, voire journalistique : reprendre un discours sans l'analyser, c'est la définition-même de la propagande. C'est faire le lit, voir le jeu de la partie représentée.

1°) Un montage monolithique facilite le travail du constructeur : il permet surtout de minimiser les coûts, facilite la gestion de l'espace, ici très contraint, et fait disparaitre le problème de connexion des composants.
Cela ne comporte aucun avantage intrinsèque pour la réparation (changer un morceau d'une architecture prévoyant la réparation), donc à l'utilisation/pour l'utilisateur

2°) Un montage monolithique nécessite de changer l'ensemble du bloc en cas de panne. Soyons clairs : si les composants n'ont pas besoin d'être remplacés, qu'ils soient assemblés en un bloc ou séparément ne change rien; l'argument de la non-réparation permet ici simplement de minimiser/justifier le montage monolithique.
Ainsi, quand le constructeur indique le remplacement est rarement (ie pas "jamais") nécessaire, il indique bien qu'il faut changer tout le bloc… ce qui :
* est une aberration en termes de consommation de composants : cela a bien nécessité de jeter une partie des composants toujours fonctionnels
* coûte plus cher qu'un composant individuel
* a nécessité la construction d'un nouveau bloc complet

Reparle-t-on de l'argument écologique tordu dans leur communication ?


Enfin, la surveillance des composants avec signature, détection & blocage me rappelle le cauchemar des cartes mères pour PC HP qui interdisaient l'utilisation d'un modèle de disque dur autre qui celui explicitement prévu.
Lorsque l'on achète du matériel, en est-on propriétaire ou locataire ? Qui signifie "propriété" ? Quelles libertés met-on dedans ?

Le 29/06/2024 à 07h 56

72 commentaires sur un article rapportant juste quelque chose de logique, d'attendu et qui a un poil tardé d'ailleurs.

Tout ça pour lire de la remise en cause du relais, des déblatérations entre normalisation du vide intellectuel d'un côté et ergotages cherchant à décrédibiliser la frange politique ayant à cœur la question sociale ainsi que ceux qui ont le courage de l'affirmer de l'autre.
Il est confirmé que le meilleur ennemi de cette frange est elle-même, et cela explique la déliquescence des partis politiques qui, historiquement, la composaient.

Je passe sur la normalisation de l'intolérable s'appuyant sur le vide intellectuel, car il n'y a rien de nouveau à en dire : tout n'y est que posture, forme, apparence & prétention.

Le 28/06/2024 à 08h 30

Mais c'est une très bonne chose que la BNF utilise et monétise son fond.


Vraiment ?

Le 26/06/2024 à 12h 52

Mais… "la preuve est faite" depuis fort longtemps, sauf si on ne veut pas voir !

Il est parfaitement clair depuis une décennie que le droit à portée extra-territoriale des États-Unis permet aux autorités d'accéder aux données quelque soit la localisation géographique du stockage, pourvu que l'entité dépende du droit États-unien, ce qui est mécanique pour toute entreprise disposant de son siège chez eux.

Plus récemment a été réaffirmé, cette fois officiellement, que cette législation s'appliquait aussi aux données de non-États-uniens résident à l'étranger. Il est donc désormais officiel que les États-unis se réserve le droit de collecter et exploiter légalement les informations sur absolument tout le monde, à partir du moment ou cela transite par une entité sur laquelle ils ont autorité.
Je précise "officiellement" car cela fait maintenant 10 ans qu'il a été explicitement prouvé qu'ils faisaient déjà cela de manière officieuse/illégale… et que la pratique était déjà solidement ancrée dans leurs administrations d'espionnage.

Découvrir cela en 2024 pour des régulateurs relève de l'incompétence, et pour des citoyens de la volonté de cécité.
Faire semblant de découvrir cela permet de se déresponsabiliser.

Incroyable que l'on soit encore coincé au moment du constat, alors que nous avons au moins une voire plusieurs décennies de retard sur la contre-attaque.

Les technologies États-unienne pullulent dans les institutions, qu'elles soient par exemples gouvernementales ou éducatives… Les universités abreuvent même leurs étudiants via MSDN-AA ! Et je ne parle même pas de la catastrophe industrielle nationale dans les entreprises. En existe-t-il qui aujourd'hui arrivent à échanger sereinement avec d'autres sans ces technologies ?

Les technologies employées façonnent les comportements et donc le fonctionnement d'un groupe d'individus, de quelque taille il soit. Il serait temps de le réaliser, de comprendre que cela façonne une nation… et de contre-attaquer d'urgence plus fermement et plus rapidement, en enjoignant à la désescalade.

Le 26/06/2024 à 12h 40

Bon beh s'il n'y a plus qu'un seul repreneur retenu, c'est plié, non ?

Kretinsky va arriver, promettre de "faire le maximum pour conserver les emplois" jusqu'à signature, et une fois la prise de contrôle effective, revendre par lots et/ou licencier par vague successives.

Le 24/06/2024 à 20h 09

Sus !

Le 23/06/2024 à 03h 21

Dans son communiqué, elle explique que cela s’est produit « malgré [ses] efforts soutenus en matière de prévention et de protection de [son] système d’information ».


C'est donc cela l'ère de la post-vérité ? L'anticatastase mêlée aux buzzwords, tout pour l'apparence ?

Le 21/06/2024 à 11h 31

Il faut bien se situer empathiquement dans les chaussures d'un quidam adepte du "la politique, ça ne m'intéresse pas" : la télévision est pour lui un medium. Pas une chaine, mais l'objet.
Donc si on autorise BFM & CNews à diffuser en tant que "chaine d'informations", alors c'est de l'information.

Un âne qui n'est jamais venu au puits considèrera par défaut que l'eau est potable.

Malheureusement pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de s'informer, un medium vidéo permettant d'être passif est bien plus attrayant qu'un medium écrit imposant d'être actif.
C'est toute la dangerosité de ces chaines d'un point de vue "niveau public d'information", contrairement aux grands journaux écrits, bien plus stables.

Le 18/06/2024 à 00h 53

Les vautours comme Elon Musk ne font qu'exploiter la médiocrité de la populace (aka "le grand public") qui ne sait finalement souvent pas être autre chose qu'un mouton impotent.
Et il en connait, de la médiocrité.

On peut ardemment souhaiter un choix raisonné de ses pairs, s'enfoncer dans ses rêves d'un monde intellectuellement pragmatique, mais on reste trop souvent déçu.
Il y a des pragmatismes qui existent, mais plutôt ceux de la fainéantise, de la feignantise et du matérialisme.

La populace adore par exemple Chrome qui n'a jamais été qu'un véhicule de fausses promesses. Pourquoi faudrait-il finalement attendre des choix intellectuels, et non émotionnels ou suiveurs pour le reste ? Ex-Twitter ne fait que s'inscrire dans cette longue honteuse liste.

Le 17/06/2024 à 20h 15

Il fut un temps où la concurrence poussait vers la qualité.

On pourrait aussi penser que se baigner dans des piscines de pognon permettrait de correctement financer un contrôle de qualité.
Il n'en est rien.

J'ai encore en mémoire l'annonce de coupes budgétaires massives dans le contrôle de qualité chez Intel, alors que les bénéfices étaient déjà surréalistes.
Il est juste logique que les soucis apparaissent, et il est même curieux qu'il n'y en ai pas massivement plus.

Le retour des architectures longtemps abandonnées, les velléités à vouloir produire des puces afin de répondre au protectionnisme, l'envie potentielle d'autres fondeurs dans d'autres domaines à vouloir entrer sur ce marché… peut-être qu'une combinaison de tout cela pourrait stimuler à nouveau ceux qui se reposent sur leurs lauriers.

Le 17/06/2024 à 20h 09

Tu sors d'où ces informations?

On dirait le récit d'un échange avec un vendeur en magasin qui affirme haut et fort à des clients plus calés que lui des âneries plus grosses que lui-même, sans jamais se démonter. :D

Le 17/06/2024 à 19h 30

Un programme exclusivement centré sur ce sujet, même important, n'est-ce pas un peu réduit ?

Il y a une multitudes de sujets interconnectés qui intéressent l'agora; l'informatique est un outil touchant à bien des sujets, mais ces sujets sont à gérer par la politique.

Que cette personne souhaite conseiller les députés sur l'outil informatique, ses capacités, son usage, ses risques, etc. : pourquoi pas… mais ce n'est pas un mandat de député qu'il faille alors briguer.

Le 17/06/2024 à 01h 08

Mais… c'est de l'ergotage en bout de chaine, l'histoire de licence, non ?
Débattre du machin, c'est déjà ne plus questionner l'existence-même du-dit machin.

Ne pourrait-on pas revenir au début et se (re ?)poser les bonnes questions :
* À quoi cela sert-il ?
* Quel besoin remplit-il (besoin, et non envie/gadget, ou sentiment induit d'un besoin) ?
* Cela remplace-t-il d'autres choses existantes ? Si oui, avantageusement ?
* Quel ratio avantages/inconvénients (placer dans les inconvénients les sorties d'une matrice de risques) ?

Le 15/06/2024 à 15h 52

Internet est un surensemble du Web, qui est un surensemble des réseaux sociaux, dont le contenu est un surensemble de la même minorité complotiste bruyante.

Il n'y a rien de "caché" : il y a simplement là où l'on décide de porter son attention.

Le 14/06/2024 à 00h 01

@monpseudo : n’oublie pas d’acheter le café, et d’aller chercher Kevin au Judo à 19h.

@Berbe : n’oublie pas d’acheter le café, et d’aller chercher Kevin au Judo à 19h.

Y a pas à tortiller du fion : je suis définitivement con.

Le 13/06/2024 à 00h 22

Quelle différence avec l'envoi d'une lettre non-affranchie aujourd'hui ?

Le 12/06/2024 à 13h 10

Question rhétorique : Va-t-on vraiment appeler n'importe quelle application ("aka" machin) "IA" pour bien prendre ses vessies pour des lanternes ?
On paie pour 8 caractères, et dans les centres de tri, un appel sur une API est simplement fait pour vérifier que le code existe, avec les bonnes meta-données (dates de création et/ou d'expiration, non-utilisation antérieure, etc.).

Si ça, c'est une IA, alors je suis un génie scientifique.

Le 12/06/2024 à 13h 16

Je ne sais ce qui se passe en droit états-uniens, mais effectivement en droit français, un contrat peut tout à fait être oral.

Sauf que… justement pour prévoir tout potentiel litige, il est fortement conseillé de transcrire le contrat oral en un contrat écrit, paraphé & signé, tout simplement pour disposer d'une preuve devant une cour de justice !

Intenter un procès sur la base d'une "atmosphère" indique que ce qu'il pense n'apparaît même pas clairement à l'écrit dans les courriels (qu'il n'aurait pas joints non plus, de ce que je comprends ?), et donc cette procédure signifie qu'il est soit ignare, soit con.

On dirait que deux neurones se sont allumés (ou alors que son/ses/conseil(s) l'a/ont suffisamment harcelé) pour qu'il abandonne son recours avant de se farcir une (autre) humiliation publique.

Le 10/06/2024 à 19h 59

J'avais ce genre d'installation à l'époque, sur mon premier PC… car je ne connaissais rien de plus que ce à quoi l'école m'avait exposé, et c'était donc… du Microsoft.
C'est encore pire dans l'Éducation aujourd'hui.

Cela permettait de programmer dans un langage interprété (un "compilateur" ? Mais qu'est-ce donc que cette chose imbuvable ?) et d'avoir un site Web local dynamique.

Si je m'étais fait trouer à l'époque, et que le PC s'était transformé en robot dans un réseau, j'aurais eu mon premier serveur avant l'heure. :D

Le 10/06/2024 à 19h 55

Ben ça permet aux particuliers avec ce genre de serveur exotique de passer le week-end à corriger leur installation exotique.
Si une entreprise exploite ça, elle mérite de mourir durant le week-end.

Le 06/06/2024 à 14h 28

Merci pour l'idée !

Mieux vaut passer par le lien non-traduit : https://noyb.eu/en/support

Le 05/06/2024 à 12h 45

Et il faut y rajouter que la collecte du comportement utilisateur faisait partie d'un objectif de conception de Chrome.
On a donc un navigateur dont l'objectif est de surveiller la navigation de l'utilisateur et incidemment de s'assurer que les publicités lui soit bien servies.

C'est certainement ce que la population souhaite ardemment, vu que sa part de marché est une majorité écrasante.
À moins bien sûr que l'on qualifie le désintérêt de la population pour réfléchir aux impacts qu'elle produit par ses actions, et donc incidemment aux outils qu'elle utilise, de criminel.

Le 31/05/2024 à 13h 15

La décision de Twitch de mettre fin à leurs contrats « intervient après plus d'un an de restrictions budgétaires et de licenciements dans l'industrie technologique, en particulier dans les équipes chargées de la sécurité et de l'éthique, que certaines entreprises considèrent comme des centres de coûts », note CNBC.


L'informatique de manière générale est toujours considérée comme un centre de coût, plusieurs décennies après que le constat ait déjà été établi… et ce y compris pour des entreprises dont le cœur de métier est l'informatique ! Ubuesque, avez-vous dit ?
J'espère encore que cela change par renouvellement générationnel, mais rien n'est moins sûr.
Twitch a par contre refusé de préciser si les ambassadeurs seraient rémunérés.


Ils seraient bien trop fiers de l'annoncer si c'était le cas, ou si ça n'était pas des poussières.
C'est donc bien qu'ils ne le seront pas. Exploiter économiquement la bonne volonté des gens, c'est une habitude de l'idéologie libérale économique.

Le 31/05/2024 à 11h 15

Si les métaux rares sont explorés, c'est AMHA que la propriétés physiques/chimiques de ceux-ci rendent leurs avantages supérieurs à la difficulté d'approvisionnement, que les chercheurs connaissent certainement mieux que vous & moi.

La pluralité des manières de faire ne propose-t-elle pas d'élargir le spectre des ressources rares utilisées, permettant à terme de peut-être basculer entre les différentes sources, au fur et à mesure des tensions d'approvisionnement/géopolitiques ?

De ce que je lis, les sources d'approvisionnement de zircon semblent positionnées dans des pays dont beaucoup seraient peu/pas hostiles à moyen/long-terme.

Le 31/05/2024 à 10h 55

L'analyse sur le sentiment est intéressant : le miroir aux alouettes de la "politesse" d'une machine générative de texte pensée pour ne pas heurter (la forme) risque de compter bien plus que la pertinence ou l'exactitude de la réponse (le fond).

Comme d'habitude, nous, chers humains, adorons prioriser la forme sur le fond, alors que l'on se réclame pragmatiques, ce que nous ne sommes pas.

Ma prédiction, basée sur l'expérience de vie et l'observation de mes pairs : comme d'habitude, la forme prendra le pas sur le fond, et les utilisateurs d'un robot conversationnel continueront de l'utiliser, et de pousser pour l'utiliser quand bien même ils en retirent de la merde.
Il préfèreront recevoir de la merde et produire de la merde plutôt que de voir leur ego froissé par un autre humain qui accueillera parfois un peu vertement leur flemme, par exemple en les enjoignant de mieux creuser la question avant de la poser.
Nous sommes finalement, bien plus souvent que nous souhaitons l'admettre, capricieux, douillets, incohérents et non-constructifs.

Le 30/05/2024 à 13h 57

Selon la « fuite », la création de Navboost et la volonté de récolter des informations sur le parcours de navigation auraient été les principales motivations à la création de Chrome. Ce dernier permettrait à Google de savoir précisément où et quand un internaute clique sur les différentes parties d’un site.


La volonté d'espionner le comportement des utilisateurs du navigateur était donc bien une fonctionnalité cœur, et non un risque (que toute personne s'intéressant au sujet savait réalisé avec une forte probabilité).

Et la flemmardise intellectuelle de la populace a rendu ce navigateur premier, et loin devant, en termes de parts d'utilisation.

From:
Don't be evil.


via:
Don't be Google.


to:
Don't interact Google, even with a hazmat suit.

Le 30/05/2024 à 13h 52

Après les "développeurs Stack Exchange", les "développeurs à génération automatique de code".
Quelle(s) source(s) ? Eh bien potentiellement une en commun, d'ailleurs.

Voilà ce avec quoi il falloir composer, et ce qu'il va falloir gérer sur les infrastructures.
Parce que quand du code moisi y atterrit, c'est toujours la faute de la machine ou du service. Si seulement les opérateurs d'infrastructures bénéficiaient d'une prime de pénibilité pour faire face aux trains d'étrons qui vont débouler sans annoncer clairement, honnêtement, la couleur de la provenance…

Le 30/05/2024 à 13h 20

Parler de "problème technique" pour décrire une flemmardise poussant à utiliser des outils gratuits d'entités obligées de collecter massivement les données de leurs utilisateurs pour le compte du Department of Justice et des administrations d'espionnage, mêlée à une incompétence des ces flemmards pour simplement correctement utiliser un tel outil, cela en dit long sur le je-m'en-foutisme.

Ne pas décrire cela comment étant de l'erreur humaine, de la bêtise, voire de la flemme, est un manque d'honnêteté classique, consistant à toujours rejeter la faute sur autrui (l'outil ici, qui fait très bien exactement le boulot qui lui est demandé).

Utiliser des outils torpillant les confidentialité des données et la vie privée est une attaque sur les libertés des autres. On se fout de ce que vous pensez individuellement pour votre propre vie, tant que vous interagissez avec d'autres via ces outils.
Ça n'est pourtant pas difficile à comprendre… quand on cherche à comprendre.
Quand on se fout de tout et surtout des autres, par individualisme, voilà un exemple de ce que ça peut produire.

Ce n'est plus une erreur d'utiliser de tels outils plutôt que des outils auto-hébergés : c'est une véritable (absence de) volonté de s'intéresser aux risques et/ou dommages déjà connus, donc un choix.

Luttons contre les logiques auto-centrées, égoïste, voire égocentriques :
* "je n'ai rien à cacher" -> donne aux autres tous tes mots de passe, ainsi que l'accès à tes comptes bancaires et les détails de vie privée que tu connais sur toi et tes proches
* "c'est plus simple (pour moi)"
* "ça n'est pas si grave (pour moi)"
* "pourquoi est-ce grave (car je fais semblant de ne pas savoir ou m'en tape sans le dire)"

Le 27/05/2024 à 18h 50

Le sujet ne m'intéresse pas donc je n'ai pas lu ni ne lirait l'article.

Je souhaitais simplement féliciter la créativité du titre !

Le 25/05/2024 à 16h 47

Au bilan, les machines de productions de haute qualité utilisées pour une excellente finesse de gravure sont produites pas un acteur européen (en Europe ?).
Nous disposons aussi d'un fondeur capable de satisfaire à l'écrasante majorité de la production.
Le seul souci est donc l'approvisionnement en matières premières, sur lesquelles les russes & les chinois sont en avance sur nous en Afrique, nous en faisant partir. Pour les chinois, en mettant les États sous leur coupe à coûts de giga-projets que les-dits États ne peuvent pas payer, obtenant des concessions à long-terme sur les mines en contrepartie.
C'est d'ailleurs pour le lithium que l'on maltraite les néo-zélandais et que l'on revient sur nos promesses passées : l'équation est de moins en moins résolue pour nous…

Un rapprochement avec ASML pourrait-il permettre de baisser la finesse de gravure de STMicroelectronics ? Ou est-ce un problème de conception/connaissances de cette entreprise ?
Si cette barrière était franchie, on pourrait commencer à concurrencer les processeurs haut de gamme. Il y a un sacré terrain de jeu, puisque l'on semble s'être de nouveau réveillés sur le fait qu'il y ait (depuis long !) des alternatives à x86 & CISC, via notamment ARM & RISC-V.
Je suis content que l'on arrête enfin d'être timide et que l'on se dise (enfin aussi !) qu'il y a un marché pour la production de nouvelles puces, sans ce foutu complexe d'infériorité par rapport aux trois "gros".

À l'heure où le protectionnisme, qui ne disait auparavant pas son nom, mais qui apparait de plus en plus décomplexé, l'Europe semble commencer enfin à réguler et combattre à jeu égale avec les États-unis avec l'extra-territorialité de sa régulation, tant qu'elle concerne des humains européens.
La Chine est fermée sur elle-même, et souhaite juste que l'on dépende d'elle pour être en position de force géostratégique.
Les États-Unis ne travaillent aussi que pour leurs propres intérêts, au détriment principal de ceux qu'ils appellent "alliés".

Dans ces conditions, il serait suicidaire de ne pas être prêts à se protéger au cas où les liens de dépendance soient utilisés en notre défaveur : que se passera-t-il quand, demain, Chine & États-Unis feront payer au prix forts l'accès à leurs ressources & technologies ?
Nous sommes finalement présents à certains endroits critiques du processus de fabrication : changeons peut-être les priorités pour s'assurer que si, par malheur, des ponts venaient à être coupés, nous n'en soyons pas les plus grands perdants. Cela nous redonnera aussi enfin un peu de leviers géopolitiques, afin d'influer sur le monde autrement qu'économiquement, car nous sommes à la bourre sur le volet politique de l'Europe…

Le 25/05/2024 à 16h 00

Fous dans quel sens ?
Corrigés de l'inflation ?

Du sentiment/Des souvenirs que j'en ai, les prix bruts à l'époque étaient déjà monstrueusement élevés, alors la correction de l'inflation rendrait tout ceci inaccessible à la même population aujourd'hui.

Quand les gens râlent sur les prix aujourd'hui, je leur rappelle juste que ce sentiment vient juste de quelques deltas locaux/anomalies locales qui leur ont donné un faux sentiment sur la valeur supposée des composants.
Le rapport prix/puissance est finalement tellement génial aujourd'hui, mais le paradoxe de Jevons fait que, paradoxalement, l& fréquence du changement du matériel est peut-être encore plus grande aujourd'hui qu'avant.

Le 25/05/2024 à 15h 44

J'ai du mal à trouver un bon argument pour justifier l'urgence autrement que parce que la violation d'un droit fondamental est particulièrement grave. Mais on peut rétorquer que le blocage diminue les violences et donc augmente la sécurité des personnes et des biens ce qui est aussi un droit fondamental et que la mesure du gouvernement était donc proportionnée.


Ceux qui ont bloqué n'ont jamais démontré que TikTok participait à la création de violence plus qu'un autre medium de communication.
Si on était mauvaise langue, on pourrait dire qu'une opportunité a été saisie pour appliquer une décision déjà prise, à la lumière d'idées pré-construites d'autres natures.

Exiger de ceux qui demandent l'arrêt en urgence de la suspension arbitraire d'un moyen de communication/expression de démontrer que cela n'est pas si grave est simplement une mécanique juridique dans ce cadre de procédures, donc logique ici.
Encore une fois, ce qui semble évident dans la vie civile doit être soigneusement exprimés en termes judiciaires dans un combat juridique. C'est une mécanique spécifique à son domaine, comme toutes.

Cela donne un éclairage particulier sur comment les pouvoirs exécutif et judiciaire fonctionnent aujourd'hui, encore plus qu'avant : l'exécutif fait ce qu'il veut, arbitrairement, et il sera toujours difficile, lorsqu'encore possible, de détricoter leurs abus.
Au l'aune des lois sécuritaire, et du passage dans le droit commun des dispositions d'exception il y quelques années (celles-là même utilisées aujourd'hui ?), équilibrer le pouvoir exécutif avec les autres est encore plus difficile. Voilà le déséquilibre (et sa dangerosité inhérente) que la passivité de contrôle citoyen et la mise sur un piédestal du pouvoir exécutif ont renforcé.

Le 23/05/2024 à 18h 59

Beh quoi ?

Ils veulent simplement mater une population qui se révolte contre des décennies de promesses non-tenues, et qu'il veulent au pire détricoter, au mieux reporter sine die.
Un bonne manière de mater la révolte est de priver l'ennemi de communications.
Le hic ici, c'est que l'ennemi est la population qu'ils sont censés représenter.

Ce n'est un "hic" que pour certains : d'une certaine manière, c'est cohérent avec leur idéologie sécuritaire débridée. La France a aussi une grande tradition de surveillance de sa population, mais c'est fait de manière bien plus violente depuis 2007.
Pour rappel : il y a quelques mois, ils envoyaient des policiers & CRS gaser de manière indifférenciée la population en fin de manifestation.

Soit ce qui se passe en Nouvelle-Calédonie vous émeut, et dans ce cas je vous rappellerais que ça n'est qu'un n-ème épisode de la série sécuritaire violente. La racine du mal tient dans l'absence d'implication de la population dans la gouvernance de son pays. Il n'est jamais trop tard pour arrêter de considérer qu'élire, c'est donner les clés du camion les yeux fermés, et il n'est jamais trop tard pour demander des comptes au conducteur.
Soit ce qui se passe en Nouvelle-Calédonie ne vous émeut pas/plus, et vous avez bien appris ce que le gouvernement veut que vous appreniez.

Le 22/05/2024 à 12h 35

Quid du bullshIAt ?

Le 21/05/2024 à 23h 20

OK, donc tout cette investigation est très bien montée, mais un seul lien rend ce colosse fragile :
Si l’acte d’accusation affirme que Khoroshev est réapparu sous le pseudo Putinkrab, Brian Krebs précise n'avoir trouvé aucun lien entre Putinkrab et les anciennes identités de Khoroshev.

Il manque la courroie de transmission entre les anciens et les nouveaux comptes.