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psychopatt

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63 commentaires

Le 07/08/2024 à 12h 38

L'illustration :dix:

Le 31/05/2024 à 12h 12

Un peu comme les PFAS dans les ustensiles de cuisine...

Le 30/04/2024 à 12h 26

Je comprends pas trop l'objection sur le Brief. Il est toujours là, c'est juste que plutôt que tout garder et ouvrir les vannes le matin à 8h il est publié en continu.
En ce qui me concerne je le suis via le flux RSS, et il est loin d'être vide.

Concernant les fautes, ça fait longtemps que je n'ai pas eu besoin d'en signaler. Différences de perceptions ? :p

Dans mon cas je le suivais via le flux "condensé", et la différence est très notable puisque sans les récaps je n'ai plus une seule brève depuis jeudi.

Maintenant, tant qu'un tag est posé sur les articles concernés et qu'on garde les différents flux RSS (en enlevant le "condensé", cf #340) c'est facile à contourner : je vais m'abonner au "brief-only" ET au "no-brief" histoire de les différencier facilement et trouver facilement une lecture adaptée à mon temps de cerveau disponible.

Le 21/03/2024 à 17h 33

En effet, j'ai utilisé le fantastique bouton "signaler une erreur", et ça a été corrigé.:yes:

Je l'utilise, mais uniquement quand je suis sûr qu'il y a une erreur.

Le 20/03/2024 à 08h 57

Deux personnes ne pourront cependant pas jouer au même jeu : au-delà de la première, il faudra acheter une licence supplémentaire.
Il manque un "simultanément" ou je n'ai rien compris ?

Le 21/03/2024 à 17h 21

Il a plus de poils qu'avant Mr Propre, non ? :D

Le 14/03/2024 à 22h 29

Rah, toujours pas. Je m'étais déjà fait avoir avec l'article fin février : lecture, espoir, sauvegarde des 50k trucs ouverts, mise à jour, reboot, et... je ne peux toujours pas virer Edge. 😭

Virer la recherche web fera du bien aussi... c'est même le truc principal qui veut me faire supprimer Edge ! Une typo dans une recherche validée un peu vite et double sanction : une page Bing ouverte de force dans Edge... combien de fois je me la suis faite avec wisncp... que Bing a en plus le culot de corriger correctement en WinSCP histoire de remuer le couteau dans la plaie !

:sm:

Le 14/03/2024 à 10h 25

C'est contradictoire avec la phrase de fin dans ce cas.

Ils vendent la solution comme pouvant le faire ou bien l'interdisent dans les conditions d'usage ? Faudrait savoir.

J'ai finalement eu le temps d'aller voir les articles liés, la phrase de fin me semble être une traduction un poil approximative d'une phrase de l'article de Bloomberg, ici en gras :
OpenAI [...] sells the AI technology behind it to businesses that want to use it for specific tasks, including in HR and recruiting. (The company says it prohibits GPT from being used to make an automated hiring decision.)
Le mot clef est ici "décision" (devenu "processus" dans l'article de Next) : OpenAI vend un outil pour automatiser des parties du processus mais la décision finale d'embauche ne doit pas être automatisée via GPT. En gros "on vous mâche le boulot mais vous devez vérifier et décider", histoire de se dégager de toutes responsabilités.

Comme dans la pratique il y a de fortes chances que l'utilisateur de l'outil prenne le premier candidat sans plus fouiller que ça...

Le 13/03/2024 à 09h 52

ta citation de l'article est à mettre en rapport avec celle que fait SebGF, issue du même article. Il y a une légère contradiction entre les deux affirmations.

En fait j'ai interprété cette conclusion comme une réaction d'OpenAI suite à l'étude, mais c'est vrai que ce n'est pas clair

Le 13/03/2024 à 08h 40

D'accord avec toi sur le principe mais :
Une entreprise comme OpenAI vend d’ailleurs ChatGPT à des entreprises de divers secteurs, vantant les capacités de ses technologies pour des tâches aussi spécifiques, notamment en matière recrutement.
Si l'outil est effectivement vendu dans ce but, y'a un souci et c'est bien de le soulever.

Le 09/03/2024 à 08h 44

Tout le monde (sauf Jean-Marc) sait à quoi elle fait référence.
Ce scud gratuit 😂

Le 13/02/2024 à 10h 28

Il y a un intérêt quelconque a porter plainte (demander des dommages et intérêts, ...) ?
Quelqu'un a une réponse à cette partie du message ?


Edit : side question, comment on fait pour un bloc de citation correct ?

Le 31/01/2024 à 15h 11

Ils suivent la même procédure que celle qu'ils te recommandent : le contre appel.
Par contre, je ne pense pas qu'ils te demandent un code de validation

Ça m'est déjà arrivé, à plusieurs reprises, avec une banque physique ayant pignon sur rue. Besoin de faire un virement supérieur au plafond autorisé, appel au banquier, et j'ai dû transmettre - par mail, si je me souviens bien - un code reçu par sms.
La procédure m'avait fait tiquer, j'ai hésité et ai finalement transmis parce que c'était moi qui avait initié l'opération... mais ça m'a tout de même laissé une impression étrange.

Le 22/01/2024 à 09h 59

La galaxie [...] tourne sur elle-même à 100 km/s
C'est une vitesse linéaire, du coup je ne comprends pas ?

Le 09/01/2024 à 18h 46

Il y a des différences, parfoit subtile, entre les différents code HTTP :
- 301 : redirection permanente
- 302 : redirection temporaire
- 307 : redirection temporaire (bis)

Sur le côté permanent / temporaire : cela permet de gérer soit un déménagement, soit des travaux de maintenance par exemple. Pour donner des idées : lors du déménagement de nextinpact vers next.ink, le site nextinpact redirige vers next.ink via une redirection permanente. Il n'y a plus de raison de conserver l'ancienne URL (le contenu a été déplacé) si ce n'est pour indiquer où il se trouve maintenant pour permettre d'y accéder. En analogie routière : la route est définitivement fermée, prenez la rocade qui a été mise en place.

Le temporaire, est, comme son nom l'indique bien... temporaire (vous ne vous y attendiez pas, avouez !!!). Une redirection temporaire peut avoir plein de cause. Maintenance serveur, mode dégradé, ... et dénote, normalement, une situation exeptionnelle qui n'est pas sensée durer. Quand le site ne nextinpact a connu un gros plantage il y a quelques mois, et que le site a été redirigé vers la beta, c'était de manière temporaire. En analogie routière : la route est temporairement fermée (réfection, installation électricité / gaz / autre, etc.), suivez les panneaux de déviation.

Pour terminer, une redirection permanente peut être mise en cache par le navigateur, alors qu'une temporaire ne doit surtout pas l'être.

Maintenant, la différence entre le 302 et le 307 (hormis que cela pourrait être des gammes de voiture). Tout se joue au niveau des verbes HTTP. En HTPP, il en existe plusieurs, le plus connu est le GET (on récupère les ressources) et le POST (en envoie des données, par exemple, un formulaire). Mais avec les API REST, on a vu se démocratiser les autres verbes (PUT, DELETE, ...).

Pour une redirection GET, il n'y a aucune différence entre le 302 et le 307. Donc, dans le cas du raccourcisseur d'URL, aucune importance.

Par contre, dans le cas des autres verbes, cela à son importance :
- (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 302 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête GET vers URL monurl.fr/123soleil
- (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 307 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil

Ce besoin provient initialement d'une mécompréhension de la RFC qui défini les verbes HTTP. Normalement, seules les redirections permanentes devaient changer le verbe en GET. Mais beaucoup de clients (les navigateurs par exemple) ont appliqué la même stratégie aux redirections temporaires. Changer cet état de fait aurait créé de nombreux problèmes de compatibilité.

Aussi, il a été décidé de créer un deuxième code d'erreur, le 307, qui fait comme le 302, mais interdiction formel de changer le verbe HTTP.

Merci pour les détails sur la différence entre 302 & 307 ! :chinois:

Le 08/01/2024 à 18h 52

301 et 302 sont des codes de messages HTTP retournés par le protocole (comme 404 pour "File not found").

Dans le cas de 301, "Moved permanently", le serveur renvoie ce code au client avec l'adresse (Location) du nouveau document à consulter pour lui indiquer que le chemin désiré a été déplacé de manière permanente.

Par exemple, mon site répondait avait sous monsite.fr/index.php et depuis c'est monsite.fr/index.html, le serveur renvoie cette info au client avec le code 301. Ce code a aussi pour effet de demander aux moteurs de recherche de mettre à jour leur index.

Dans le cas de l'URL réduite, il s'agit de l'étape où le lien court est traduit avec l'URL complète.

Cependant, la "vraie" URL renvoie un HTTP 302 ("Found") qui est un code ayant une petit particularité : les moteurs de recherche ne mettent pas à jour leur index quand ils reçoivent ce message. Car il s'agit d'une redirection considérée comme temporaire. Là où le navigateur du client va suivre l'adresse de redirection.

C'est là que les bactéries attaquent car l'URL malveillante répondant un code 302, elle trompe les clients qui ne sont pas des navigateurs Web et renvoie une carte réputée être la destination de l'URL raccourcie.

En fait, de ma compréhension, c'est un usage détourné du code HTTP 302 qui est utilisé comme si c'était HTTP 307 ("Temporary redirect") qui profite du fait que tous les clients ne l'ont pas forcément implémenté comme la spécification l'attendait.

Là où le navigateur du client va suivre l'adresse de redirection.
C'est là que les bactéries attaquent car l'URL malveillante répondant un code 302, elle trompe les clients qui ne sont pas des navigateurs Web et renvoie une carte réputée être la destination de l'URL raccourcie.
Attention, un robot suivra aussi la redirection pour accéder à la page finalement servie et indexer son contenu même s'il ne met pas à jour l'adresse. D'ailleurs ici ce sont bien les robots des réseaux sociaux à qui est servie une redirection 302 supplémentaire pour qu'ils pensent que le lien donné mène sur lemonde.fr.
En fait, de ma compréhension, c'est un usage détourné du code HTTP 302 qui est utilisé comme si c'était HTTP 307 ("Temporary redirect") qui profite du fait que tous les clients ne l'ont pas forcément implémenté comme la spécification l'attendait.
Et donc de ma compréhension non, ça ne s'appuie pas sur le comportement du client : la redirection n'est tout simplement pas présentée si l'UA correspond à un navigateur.

Le 08/01/2024 à 18h 45

J’avoue que c'est clair comme explication, je n'ai pas compris les histoires de redirection "301" et "302" dans l'article.

Il s'agit de codes de réponse d'un serveur HTTP auquel une requête est adressée.
À chaque réponse du serveur est associé un de ces codes, dont certains (d'erreur notamment, forcément plus visibles) sont plus ou moins connus, par exemple 404 (not found). Ici, ce sont les codes de redirection (3xx) qui sont utilisés pour envoyer le client tout d'abord depuis le raccourcisseur vers le sitàlacon, puis, dans le cas où c'est un robot qui visite, du sitàlacon vers lemonde.fr.
La différence entre 301 et 302 n'a que peu d'intérêt ici, il suffit de retenir que ce sont des redirections renvoyées par un serveur HTTP qui a tous les éléments pour appliquer la logique détaillée par fdorin plus haut.

Le 05/01/2024 à 19h 55

Perso je ne fais jamais tourner un navigateur sous WSL, et l'infrastructure technique qu'il faut est plutôt complexe (j'imagine un serveur X au moins), mais peut-être que j'ai manqué la possibilité ?
Ceci dit meme dans ce cas, le navigateur utilisé est plutot celui de l'os hote ?

Mais la même question peut se poser pour les OS virtualisés, et voir comment ils sont remontés par rapport au host.

On peut depuis quelques temps maintenant utiliser des applications graphiques au travers de WSL de manière transparente.
Je n'arrive pas à retrouver d'article mentionnant la finalisation mais le boulot avait commencé il y a quelques années : next.ink Next
Edit : en ouvrant les yeux ça va mieux → next.ink Next

Et non, c'est bien un navigateur propre à l'install wsl, totalement indépendant d'un quelconque navigateur installé sur le système hôte. Concernant la remontée des stats, si je ne m'abuse c'est basé sur l'user agent envoyé par ton navigateur, donc il ne devrait pas y avoir de différence entre un navigateur dans un système donné et le même dans le même système virtualisé.

Le 05/01/2024 à 19h 13

Très intéressant, merci !

Le 22/12/2023 à 09h 06

H.S. : cet article est badgé "Le Brief", mais n'apparait pas quand on clique sur le lien de notre Brief quotidien...
Les briefs publiés en journée sont assignés à la compil' du lendemain :)

Le 12/12/2023 à 09h 51

Ça a l'air de varier au gré des circonstances : pour moi ça a marché un coup, puis j'ai commenté, ça ne marchait plus, j'ai rafraîchi et c'est revenu. Bref, peinture fraîche 😅

Le 12/12/2023 à 09h 46

Je crois que j'ai raté un chapitre, quel deal avec Seb ? Et quel article animalier ? 🤔

Le 07/12/2023 à 17h 46

(parfois souvent au-dessus du prix d'avant)

Le 01/12/2023 à 12h 41

On l’avait annoncé et c’est maintenant effectif : on peut publier un brief quand on veut dans la journée, sans avoir à attendre artificiellement le lendemain matin.
Question bête, ça se passe comment au niveau RSS version "condensée" ? Par exemple, le récap d'aujourd'hui est déjà publié mais une news est publiée cet aprèm, elle sera dans le récap de demain matin ? Ou c'est celui d'aujourd'hui qui est mis à jour (et donc je raterai le nouvel article puisqu'il est marqué lu dans mon feed) ?

Edit : nervermind, je viens de lire le dernier commentaire avant le mien qui répond à ma question 😅 :pastaper:

Le 19/11/2023 à 08h 37

La page que tu cites mentionne aussi l’exception de vérité à la rubrique moyens de défense :




peut se défendre en soutenant que les faits sont vrais et en proposant d’apporter les preuves.



La justice peut accepter sa demande sous certaines conditions.



La preuve de la vérité des faits doit être totale, parfaite, complète et liée aux imputations diffamatoires dans toute leur portée, pour que la juridiction répressive prononce la relaxe.


Donc je maintiens mon propos sur l’idée générale : si tu peux prouver (en suivant certaines règles), t’es tranquille. La subtilité étant la partie entre parenthèses, qui passe généralement à la trappe.



La phrase de définition est un peu trompeuse du coup :




Peu importe que le fait en question soit vrai ou faux, mais il doit être suffisamment précis et impossible à prouver*.


serait plus juste. (L’astérisque renvoyant bien entendu aux conditions de preuve)

Le 17/11/2023 à 14h 56

Il y a deux cas permettant d’éviter d’être condamné en diffamation :
l’exception de vérité (que tu cites) et la bonne foi.



L’exception de vérité (d’après le contenu de la page en lien) est rarement utilisé parce que complexe à démontrer.
La bonne foi, ici n’est pas non plus évidente à démontrer. Certains de ses arguments sont plutôt de la mauvaise foi, ils ont déjà été cités plus haut.


(reply:2165702:Winderly)


J’ai aussi lu que c’était complexe à utiliser (encore qu’en lisant les détails je ne comprends pas vraiment pourquoi : cela me paraît plus être une question de rigueur que de complexité), je ne dis pas que c’est une bonne idée de se reposer sur cet argument.
De la même manière que je ne me prononcerai pas sur la bonne ou mauvaise foi de ses propos d’ailleurs, je répondais vraiment juste à la phrase de Winderly que j’ai cité : en principe, si on peut prouver ce que l’on avance, c’est la vérité et donc ce n’est pas de la diffamation.

Le 16/11/2023 à 10h 12


Winderly a dit:


Par contre Lydia Anne Boistard semble croire que pouvoir prouver ses dires la met à l’abri de la diffamation. Mais sauf erreur de ma part la diffamation ne fonctionne pas ainsi.


Justement si, il me semble que c’est ce que l’on appelle l’exception de vérité, et c’est ce qui protège (entre autres) bon nombre de journalistes.
Après y’a des feintes, on peut toujours poursuivre pour d’autres raisons qui s’en rapprochent plus ou moins (dénigrement, secret des affaires, … selon les goûts et l’imagination des avocats), d’autant plus quand c’est juste pour mettre la pression (notamment financière).

Le 06/09/2023 à 13h 58

L’article dit




antiX est pour sa part clairement destiné à du vieux matériel. De là lui vient d’ailleurs son nom


C’est p’têt juste un jeu de mot sur antiques (antiquités, en anglais) ? Prononcé par Google Trad ça à l’air de coller.

Le 24/08/2023 à 13h 34

Certainement comme pour le texte :




Le système proposait deux mots distordus par un algorithme : un déjà reconnu par la machine et un autre qui ne l’était pas. Ainsi, les mots illisibles automatiquement pouvaient petit à petit être numérisés.


C’était facilement vérifiable : il suffisait de rentrer le premier mot et de mettre n’importe quoi pour le second et ça passait (en faisant gagner du temps :transpi:).



Pour les mosaïques d’images, ça doit être pareil, une des images doit être inconnue, les autres connues.



Pour quand il faut sélectionner une partie de l’image, je ne vois pas…

Ahhhh du coup je me rends compte que je n’avais pas bien compris la phrase de l’article dans le contexte. Tout s’éclaire maintenant, merci ! :yes:

Le 24/08/2023 à 10h 17

Une question : si le captcha utilise l’humain pour étiqueter gratuitement des images, donc qu’a priori il ne sait pas ce qu’il y a sur ces images, comment la vérification de la validité de la réponse est-elle faite ? Je ne me suis jamais amusé à le faire mais j’imagine que si je sélectionne les chatons au lieu des feux tricolores ça ne passe pas ?

Le 27/06/2023 à 16h 50

Merci ! :incline: :incline: :incline:



J’utilisais Fidme depuis des lustres, tout en râlant sur la lenteur de l’appli - notamment en cas de mauvaise connexion réseau - dûe au chargement des pubs & autres saletés de tracking, mais faute d’y penser à un moment opportun je n’avais jamais cherché d’alternative… je viens de tout réenregistrer dans Catima et supprimer Fidme, sans regret !

Le 13/03/2023 à 17h 21


Ajusté (c’est-à-dire en ne comparant que des femmes et des hommes occupant des postes strictement comparables), l’écart tombe à 1,6 % au niveau européen.


J’ai planté, il a fallu que j’aille lire le pdf pour mieux comprendre ce passage. Cela vaudrait peut-être le coup de développer un peu plus les différences entre ajusté/non-ajusté, et pourquoi on parle plus du 2è alors que cela peut donner l’impression de comparer des pommes et des poireaux (ma réaction à première lecture).




Unadjusted gender pay gap
This compares the salaries of men and women regardless of their roles and
location. These criteria can be representative of many gender equality issues that
aren’t necessarily directly due to salary discrimination, like the glass ceiling effect
that contributes to the lower representation of women in higher-paying roles.


Edit: ajout de la définition tirée du rapport

Le 01/03/2023 à 09h 51


(quote:2121385:molybdène)
KeePass permet de personnaliser la séquence de saisie automatique pour chaque entrée en allant dans l’onglet “saisie automatique”.



Pour ce type de site, on peut définir la séquence suivante : {USERNAME}{ENTER}{DELAY=2000}{PASSWORD}{ENTER}



Le délai de 2 secondes permet d’attendre que le champ mot de passe soit bien chargé avec le focus dessus. il peut être adapté si la page met du temps à se charger.


+1, j’utilise cette manip sur pas mal de sites fâcheux et ça fait bien le taff !

Le 28/02/2023 à 12h 26

Non, on parle d’un taux de réussite de 99%, cela voudrait dire que sur 100 messages identifiés comme problématiques, 99 le sont réellement et un seul est un faux positif. On ne peut donc pas appliquer ce pourcentage directement au volume total de messages.



Néanmoins, tous les messages identifiés comme problématiques doivent être vérifiés pour écarter les faux positifs (et c’est de cette vérification qu’on déduit le taux de réussite), un algo avec un fort taux de réussite permettrait juste de gaspiller le moins de ressources possibles à vérifier des contenus innocents.



Donc quand bien même seuls 0.05% des échanges sur WhatsApp seraient identifiés comme problématiques, cela donnerait 50 millions de messages à vérifier par jour… il va en falloir, des Kényans.



Du coup, même en corrigeant le chiffre avancé, il me semble l’argument reste pertinent : le volume est juste monstrueux.

Le 20/02/2023 à 09h 08

:dix:



+1

Le 23/01/2023 à 10h 42

France TV avait pondu une mini-série de 4 épisodes sur les travailleurs invisibles : les malgaches que tu évoques sont justement le sujet de l’épisode 2, je te laisse aller voir la joie des interviewées d’avoir ce boulot qu’elle n’auraient pas si on ne sous-traitait pas : https://www.france.tv/slash/invisibles/1274813-micro-travailler-plus-pour-micro-gagner-moins.html
(les 3 autres épisodes sont intéressants aussi, y sont évoqués les modérateurs Meta, des invisibles pour Google, Apple (Siri), et aussi le cas des livreurs Deliveroo/Uber Eats)



Au delà de la question du salaire lui-même, il y a la question des conditions contractuelles qui se pose : les plateformes organisant ça payent au ras des pâquerettes ces travailleurs en ne leur offrant aucune sécurité de l’emploi ou autre avantage qui leur permettraient de considérer cet emploi comme un “bon” job.
Le choix est fait de garder au maximum ces travailleurs captifs à base de “ça pourrait être pire” alors que les salaires pourraient être doublés sans trop rogner sur les marges colossales qui sont faites sur ces tâches délocalisées… même si c’est légal, on peut légitimement trouver que c’est discutable éthiquement, le fait que ce ne soit pas nouveau n’y change rien.



Du coup, même sans connaître le coût de la vie au Kenya, voir qu’une boîte à San Francisco sous-traite à ce coût horaire suffit à comprendre qu’il y a une certaine ironie dans le fait de déléguer un travail sur l’éthique dans ces conditions… mais c’est sans doute une interprétation de bas du front.

Le 09/12/2022 à 19h 25

Comme d’autres, je reste, même au nouveau tarif. Et je trouve toujours que 6 mois offerts sur un abonnement de 24, c’est trop !

Le 06/12/2022 à 08h 53

c’était une blagounette …

Désolé, c’est l’inconvénient de l’écrit : sans l’intonation/le sourire en coin/etc, c’est parfois compliqué ! :pastaper:

Le 05/12/2022 à 08h 57

Je n’arrive honnêtement pas à savoir si c’est du second degré ou pas ? :zarb:



Dans le doute : c’est Elisabeth Borne.

Le 03/10/2022 à 09h 35

Dans le menu déroulant à gauche du logo Next : il y a en bas “newsletter” il te suffit de cliquer dessus et de suivre la procédure :-)

Han, j’ai cherché sur la page d’accueil, le pied de page, les paramètres du compte… mais j’ai zappé le menu principal. :boulet:



Merci !

Le 03/10/2022 à 08h 01

J’ai raté l’info de la newsletter, je testerais bien mais j’ai pas trouvé de lien. Comment on s’abonne ?

Le 26/09/2022 à 07h 42

Concernant Reflets l’attaque d’Avisa Partners en justice n’est effectivement pas évoquée dans les articles, mais ils en parlent sur la page de la cagnotte pour expliquer qu’ils ont trois procès sur les bras et que ça commence à faire beaucoup.




Avisa Partners, une société d’influence mise en cause par Fakir, Mediapart, Arrêt sur Images, Marianne et Reflets nous poursuit pour diffamation. Nous avions raconté leurs liens avec la galaxie d’extrême droite et les catholiques intégristes.


Edit : citation au cas où la page serait modifiée

Le 20/09/2022 à 05h 49

Effectivement je suis dans une grande ville, ça joue peut-être.




Patch a dit:


Ca dépend plus du transporteur (et de sa politique sur la question), et surtout de la personne qui livre (certaines sont plus sérieuses que d’autres).


L’anecdote plus haut c’est Chronopost, mais à mon adresse actuelle je n’ai pas souvenir d’un seul transporteur autre que La Poste qui ne m’ait pas appelé avant de passer. Peut-être une coutume locale…

Le 15/09/2022 à 09h 52

Sur les formules de commandes, tu peux “malheureusement” te tromper dans la saisie du numéro de mobile.
Le formulaire est complété, et toi tu ne seras pas déranger.
Par contre, le livreur aura du mal à t’appeler si il ne trouve pas ta maison.

Et comme maintenant une grosse majorité de livreurs appellent avant de passer pour perdre moins de temps, si tu as mis un faux numéro tu as de grandes chances que ledit livreur ne se donne même pas la peine de passer chez toi pour sonner à ta porte et que ta livraison passe à la trappe.



Vécu avec Chronopost : je n’ai pas pris l’appel parce que j’étais en ligne avec un client et que je n’ai pas percuté que ça pouvait être un livreur, le type a décidé que je n’étais pas chez moi et l’a directement mis en point relais (clairement pas le plus proche de chez moi, mais ça devait mieux coller à ça tournée), c’est même pas passé par la case re-planification ou quoi que ce soit). En ayant payé une livraison à domicile pour un truc encombrant et lourd, j’étais ravi.



Tout ça pour dire que quand on voit comment ça finit en ayant joué dans les règles, je m’amuserais pas à mettre un n° bidon…

Le 13/09/2022 à 19h 23

Pour le vaccin Covid, là où je l’ai fait le sms de confirmation de rdv était demandé à l’arrivée sur place, et je n’ai pas souvenir de la possibilité de laisser la case vide (mais j’avoue n’avoir pas cherché trop longtemps). Et pour la plupart des commandes en ligne un n° de téléphone portable est exigé maintenant… quand ce n’est pas aussi le cas hors-ligne !



Anecdote amusante (ou pas) : en agence Orange, mon père s’est retrouvé à mettre mon numéro de mobile (car lui n’en a pas et s’en passe très bien) car la personne en face ne pouvait pas valider le formulaire sans ça, et le justifiait par l’appel éventuel du technicien pour l’installation. Résultat, j’envoie régulièrement bouler Orange qui m’appelle pour proposer des trucs à mon père… au lieu de l’appeler sur la ligne fixe dont il est titulaire chez eux. Et impossible de faire supprimer mon n° du profil client…

Le 08/09/2022 à 11h 17


SebGF a dit:


Tu peux utiliser un front-end alternatif comme Nitter qui permet de suivre en RSS un profil sur Piouteur. Etant un vieux con has-been préférant la simplicité du RSS aux algomagic et 72 comptes sociaux requis, c’est une bonne alternative me concernant.


:merci:

Le 07/09/2022 à 14h 17

Rah. Snif.
Un grand bravo, merci, et bonne route !

Le 08/09/2022 à 09h 28

Merci pour les détails, c’est intéressant ! Je pige un peu mieux, même si je trouve toujours ahurissant d’arriver à doubler les débits (2 fois !) uniquement en changeant le protocole… à croire qu’ils ont torché le premier à l’arrache ! :dd:



Mais la phrase de l’article NXI me semble quand même fausse puisqu’on avait bien 4 paires dès le début, dont seules deux étaient utilisées - ce que Sébastien dit dans la phrase qui suit celle que je considère comme fausse :




Pendant un temps – jusqu’en 2017 avec l’USB 3.1 – seuls deux des quatre canaux étaient utilisés.


Le 08/09/2022 à 05h 30

Merci, je comprends mieux. Du coup je me rends compte qu’il y a une erreur dans l’article :




Ces derniers disposent de deux paires de connecteurs pour transférer les données : TX1, TX2, RX1 et RX2.


À cause de cette phrase j’avais compris que TX1/TX2 formait une paire et RX1/RX2 la deuxième, alors qu’en fait c’est TX1+/TX1-, TX2+/TX2-, etc.



(edit : erreur signalée)

Le 07/09/2022 à 16h 45


Actuellement, l’USB4 fonctionne avec deux paires, une dans chaque sens (TX1/2 et RX1/2). L’idée serait cette fois-ci d’utiliser trois paires dans un sens la quatrième dans l’autre.


Du coup ça fait 4 paires, et c’est ce que je comprends aussi du schéma. Mais jusque là on parle de deux ?! :mad2: