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26 des 30 plus gros sites de presse autorisent Google à diffuser leurs extraits gratuitement

26 des 30 plus gros sites de presse autorisent Google à diffuser leurs extraits gratuitement

Le 22 octobre 2019 à 09h54

Le terme approche à grands pas. Le 24 octobre, la loi transposant les droits voisins entrera en application. Les sites qui diffusent des extraits devront alors négocier et sans doute payer les éditeurs et agences de presse.

Google a désamorcé ce dispositif, tout taillé contre lui : comme expliqué en septembre dernier, les extraits vont disparaître de sa page « actualités », tout comme d’ailleurs des autres services du géant. 

D’ici là, les éditeurs et agences ont toujours la possibilité de réactiver ces snippets, mais ils doivent faire une démarche en ce sens, via une balise « méta », et surtout accepter de ne pas être rémunérés. Une situation qui a provoqué la colère des principaux concernés, gouvernement compris. 

Des cris d'orfraie à la pratique, il y a un monde. Le Journal du Net a ausculté l’ensemble des 30 principaux sites de presse (France Info, le Figaro, Le Parisien, Le Monde, LCI, L’Obs…). Au 21 octobre, 26 ont déjà implanté ce bout de code, acceptant bon gré mal gré le marché proposé par Google. 

Le 22 octobre 2019 à 09h54

Commentaires (70)

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nlougne a écrit :



Rien que le début tu sens l’article bidon.





Pourquoi ? Parce qu’il ne va pas dans ton sens ?


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Obidoub a écrit :



Heu, si tu as suivi l’histoire, Google a toujours gracieusement référencé les sites d’informations. Ce sont ces derniers qui ont commencé à chercher les ennuis en faisant du lobbying auprès de l’Europe pour avoir droit à une rente.



Là encore Google n’a pas menacé de les retirer, ils a juste affirmé qu’ils se conformerait à la nouvelle loi en réduisant la taille des résumés affichés.



On est au contraire dans une situation où Google aide énormément la presse. D’autant que quand on y pense, ils sont bien gentils de se plier aux lois européennes alors qu’ils pourraient simplement s’asseoir dessus.





Oui j’ai bien suivi l’histoire. <img data-src=" />

C’est pour cela d’ailleurs, que j’ai bien écrit que dans cette affaire, Google a bien été dans son droit.



Sauf que le numérique est le seul axe d’évolution pour les titres de presse pour espérer être rentables.

Car faut-il le rappeler, ils sont dans une quasi majorité déficitaires (de mémoire, seul le Canard Enchaîné est viable économiquement ). Ce sont l’argent publique via les généreuses subventions de l’État&nbsp; et celui de leur richissime propriétaire qui leur permettent de vivre. Sans cela, bon nombre mettrait la clé sous la porte…



Je ne juge pas les décisions prises de part et d’autre qui d’ailleurs n’ont que très peu d’intérêt pour moi… même si j’ai ri à la lecture de cet article <img data-src=" />



Je souligne simplement que cet épisode illustre le minitel 2.0, même si les “méchants” dans cette histoire sont joués par les titres de presse et le “gentil” par Google.


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zempa a écrit :



[…]

Car faut-il le rappeler, ils sont dans une quasi majorité déficitaires (de mémoire, seul le Canard Enchaîné est viable économiquement ). Ce sont l’argent publique via les généreuses subventions de l’État  et celui de leur richissime propriétaire qui leur permettent de vivre. Sans cela, bon nombre mettrait la clé sous la porte…





La situation de la presse écrite me semble plus complexe (ou plus simple, selon le point de vue) que le seul fait que l’information mainstream serait une activité à perte.



Premièrement, publier de l’information (ou du contenu intéressant) n’est pas l’activité la plus rentable, tout le monde est d’accord (ce qui est rentable, c’est le contenu prémaché, le divertissement, le spectaculaire, le scoop, l’événement inédit qui surprend tout le monde, etc). Pour autant, produire de l’information de qualité n’est pas une activité forcément déficitaire, loin de là.



Deuxièmement, si on veut parler des subventions d’État, elles ne servent qu’à maintenir une distribution de la presse sous format papier alors que tout le monde est d’accord sur le fait que le web a remplacé l’écrit sur papier (comme dans tous les corps de métier et toutes les activités) et que la TV et la radio se transforment en balado-diffusion (podcast) et en réception sur les médias sociaux (parce que les revenus de la publicité ciblée se trouvent actuellement chez Google et chez Facebook) et sur des plateformes de SVOD (Netflix, Salto). L’information, la vraie (les enquêtes, les analyses, les débats, etc) est sur le web et sera de plus en plus sous format numérique.



Troisièmement, et c’est ce que peu de gens veulent voir, la presse écrite mainstream appartient à des industriels, uniquement à des industriels (même Marianne s’est récemment fait racheter par un industriel tchèque)… à part La Croix et les autres publications de Bayard Presse.



En conclusion, Google, Facebook absorbent la valeur publicitaire, mais rien, je dis bien rien, n’empêche un organe de presse de faire des bénéfices avec des journalistes qui enquêtent, qui investiguent comme dans l’après-guerre, comme au XIXe Siècle. lemonde.fr est rentable, il faut seulement que son actionnaire cesse de couper les cheveux en quatre et cesse de licencier le cœur de ses effectifs qui est rentable et qui sert à l’émergence d’une forme de vérité, qui permet alors au lecteur de tirer la substantifique moelle (dixit François Rabelais) de l’information qui l’intéresse (qui l’intéresse vraiment et qui l’aident à comprendre le monde).









zempa a écrit :



[…]

Je souligne simplement que cet épisode illustre le minitel 2.0, même si les “méchants” dans cette histoire sont joués par les titres de presse et le “gentil” par Google.





Le manichéisme ne sert que les intérêts des parties en négociation. Le lecteur a plutôt intérêt à voir au delà des querelles d’intérêts particuliers. Encore une fois, Google et Facebook ne maîtrisent que la publicité ciblée. Quand le lecteur aura compris que l’information se trouve dans des modèles économiques plus sains que la publicité, avec des rédactions payées pour faire du journalisme d’investigation plutôt que des webrédacteurs payés pour pondre des contenus chatoyants et spectaculaires ou qui font peurs (inspirer la peur rend le lecteur et l’électeur plus docile), alors seulement on commencera à voir se généraliser des organes de presse rentables et informatifs à l’image de mediapart.fr, La Croix, et d’autres plus confidentiels mais qui font un excellent travail avec peu de moyens (sans pour autant chercher à vendre du contenu qui occupe le temps de cerveau disponible des lecteurs).


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La publicité ciblée n’a rien de bidon. Google News fait partie des services imbriqués entre eux de Google. Google récolte des données sur ses utilisateurs pour les profiler. Profiler ses utilisateurs sert à cibler les publicités vendues par Google dans le but de monétiser les activités de Google.



Ce n’est pas bidon de dire que 80% du chiffre d’affaire de Google est de la vente de publicité ciblée.

https://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/1207982-d-ou-viennent-les-revenus-…








Ne chipotons pas sur les statistiques. Ce sont des ordres de grandeurs qui correspondent de toute façon à des réalités factuelles.

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C’est pour cela que je suis abonné à ces organes de presse (au sens large) comme NextInpact qui font comme tu le dis la “vraie information”.

<img data-src=" />

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GrosMatou27 a écrit :



Pour obtenir un monopole ?

C’est ce qu’a fait Amazon a ses débuts par exemple.





Plutôt qu’un monopole, c’est surtout rendre captif l’internaute, c’est le maintenir dans son cercle de services afin de capter le maximum de données personnelles. C’est le principe des cartes de fidélité des grands magasins. Le monopole n’est qu’un effet secondaire à la captation de l’audience et donc des revenus (c’est l’effet Monopoly: il y a de plus en plus de chances de tomber sur la case Google que sur la case Figaro et Google construit de plus en plus d’hotels jusqu’à ce que le Figaro n’ait plus aucun revenu publicitaire).



La presse écrite peut heureusement quitter cette course à l’audience.









refuznik a écrit :



[…]

Demander à Google ou Facebook de payer quelque chose qu’ils ont théoriquement pris de l’industrie, c’est confondre l’effet avec la cause. […]





c’est surtout un modèle économique : les maisons de disque et les radios musicales fonctionnent sur ce modèle depuis les années 1980.









Shadowman_2k3 a écrit :



Cela s’appelle un produit d’appel.



Tu n’est pas rentable sur ton service, mais il te permet de proposer une multitudes de produits/services associés qui eux sont rentables.



C’est comme Sony/MS avec les consoles de jeux : la console est un produit d’appel, les marges sont faites sur les jeux.





En ce qui concerne Google, l’intérêt est plus qu’un produit d’appel : les services Google forment une myriade de services qui enferment l’utilisateur dans un écosystème. Un écosystème qui permet de collecter une masse de données personnelles que seul Facebook peut rivaliser. D’ailleurs, Facebook fonctionne sur le même modèle de services imbriqués sur une plateforme.



Pour ce qui est des consoles de jeux, ce ne sont pas des produits d’appel, elles sont nécessaires à l’achat de jeux et à l’utilisation de services. Diminuer le prix des consoles rend le produit attractif et une fois capté, le client est obligé d’acheter les jeux (d’où le prix élevé des jeux).









Tandhruil a écrit :



Pour moi c’est un peu le même principe que les couvertures de magazine affichées sur les kiosques à journaux. La couverture attire le chaland vers le kiosque et elle fait vendre le magazine.



Il ne serait jamais venu aux maisons d’édition de facturer aux kiosques à journaux l’affichage des couvertures.





Et le kiosquier achète la presse pour la revendre. Ce que Google ne fait pas. La nuance est là : est-ce qu’un producteur de cinéma laisse imprimer des affiches de cinéma à n’importe qui au motif que ça fait des entrées de cinéma ? Ben non, ce sont des goodies ou des produits dérivés qui s’ajoutent à l’entrée de cinéma (les salles ayant des affiches gratuitement car elles vendent le film du producteur).


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joma74fr a écrit :



(…)Et le kiosquier achète la presse pour la revendre. Ce que Google ne fait pas. La nuance est là : est-ce qu’un producteur de cinéma laisse imprimer des affiches de cinéma à n’importe qui au motif que ça fait des entrées de cinéma ? Ben non, ce sont des goodies ou des produits dérivés qui s’ajoutent à l’entrée de cinéma (les salles ayant des affiches gratuitement car elles vendent le film du producteur).





Pas tout à fait.

La presse met à disposition du kiosque ses revues, le kiosque prend 30% sur les ventes et retourne les invendus. Les frais de port sont à la charge des éditeurs de presse (voir NMPP et Canard PC)



Concernant le Cinéma, le producteur paye JC Décaux pour que celui ci affiche ses affiches de film dans la rue.


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Tandhruil a écrit :



Pas tout à fait.

La presse met à disposition du kiosque ses revues, le kiosque prend 30% sur les ventes et retourne les invendus. Les frais de port sont à la charge des éditeurs de presse (voir NMPP et Canard PC)



Concernant le Cinéma, le producteur paye JC Décaux pour que celui ci affiche ses affiches de film dans la rue.





Oui, d’accord. On va pas chipoter. Le kiosque se fait rémunérer par le journal (ou par le distributeur du journal, si on veut encore chipoter). Ce que Google ne fait pas.



D’ailleurs, je viens de voir que c’est un article de Numerama qui parle de cette analogie du kiosque. Cette analogie ne tient pas. En revanche, Numerama aurait pu faire l’analogie avec les émissions TV qui font la promotion des sorties de livres, films, albums musicaux, spectacles, etc.



Quant aux affiches sur la devanture de la salle de cinéma, elle n’a rien à voir avec JCDecaux. Et, à part les grosses productions grand public, tous les films ne font pas de publicité commerciale pour leur sortie en salle, loin de là. C’est vraiment histoire de me contredire pour le coup.


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En revanche, tu peux peut-être m’instruire sur le fait que Numerama défende encore Google comme un outil de promotion valable dans son modèle économique et pas comme un concurrent de la régie publicitaire qui lui permet de payer sa petite dizaine de journalistes. Pour le moment, je ne comprends pas… Est-ce un pied de nez au modèle économique de l’AFP ? Est-ce une façon de se démarquer auprès de son lectorat technophile ?

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Désolé, je ne lis pas Numerama, mais j’ai distribué un fanzine en Kiosque dans le cadre de mon association, d’où mon analogie.

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Ridicule cette histoire, on pourrait en faire un sketch tellement c’est ridicule <img data-src=" />

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Olala, ce n’était pas du tout prévu……

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Les médias sont idiots, ils vendent leur peau au diable là. Leur valeur, c’est leur contenu. Google le sait et n’aurait pas un si grand monopole sans ce contenu.

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Donc ils avouent implicitement que Google rapporte de l’audience. <img data-src=" />

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Quelle surprise !

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Qruby a écrit :



Les médias sont idiots, ils vendent leur peau au diable là. Leur valeur, c’est leur contenu. Google le sait et n’aurait pas un si grand monopole sans ce contenu.







Google n’a que faire de sa sections Actualités, c’est un produit d’appel qui n’est pas rentable.

Sans ces journaleux, Google reste bien en place ;)


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On connait la liste des “résistants” ?

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Ahahah <img data-src=" />











secouss a écrit :



On connait la liste des “résistants” ?





Suffit de suivre le dernier lien donné dans la brève…


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Tel que retranscrit, la seule présence d’une balise peut mettre en difficulté google pour manifester l’accord de l’éditeur.



Une licence qui consiste à titre gratuit à concéder la reprise des articles, ça se borde par un contrat.



Bon, néanmoins je présume que google ne donne la balise qui va bien qu’après la validation du dit contrat.

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Tu ne dois pas divulguer des secrets professionnels, leurs avocats vont t’attaquer tu vas voir <img data-src=" />

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Autoréponse: a priori non, google se contente de fournir ce lien pour recopier la balise:

developers.google.com Google&nbsp;

Dans ce cas, en exposant pas les droits concéder dans le cadre de la licence de reprise des articles, google est monté avec un bas de ligne très léger…

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Faut s’inscrire <img data-src=" />

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Pas ici <img data-src=" />

Ça, ça passe ?

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Adieu Yahoo News, Orange Actu, La Provence et LePoint. <img data-src=" />



En même temps Yahoo&nbsp; News quoi, le truc tu peux même pas désactiver les cookies.

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Oh mais comme je suis surpris ! Mais je n’y crois pas ! Et nos chers (très chers €€) députés qui ne l’avaient pas vu venir ! Mais comme je suis surpris !! Sans commentaires…

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S’agit-il uniquement de Google Actualité ? Je pense que cela concerne aussi le moteur de recherche qui affiche aussi une zone “A la une” en fonction de la recherche. Et c’est évident que la presse doit s’y plier. C’est du win win

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Incroyable ! On les entend plus râler ces éditeurs, ils savent se plaindre pour réclamer de l’argent à Google parce qu’il est riche, en se foutant complètement de savoir si c’est normal ou pas de réclamer.

Et discrètement ils autorisent Google à continuer de montrer des bouts d’articles, qui je rappelle sont illisibles sur Google news puisque ça n’est qu’un extrait d’article.

Cela prouve bien qu’ils ont besoin de Google pour être vus et gagner de l’argent.

Ils mériteraient que Google leur fasse payer ce droit de montrer ces bouts d’articles.

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Shadowman_2k3 a écrit :



Google n’a que faire de sa sections Actualités, c’est un produit d’appel qui n’est pas rentable.

Sans ces journaleux, Google reste bien en place ;)







Google News génère du traffic sur son site. C’est donc rentable.


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Mihashi a écrit :



Suffit de suivre le dernier lien donné dans la brève…&nbsp;





Ouais, mais il faut avoir un compte pour lire l’article :/


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Ricard a écrit :



Google News génère du traffic sur son site. C’est donc rentable.





Hein ?&nbsp; Avoir du trafic et le monétiser, ce sont 2 choses bien différentes. J’ai du trafic sur mes sites, mais aucun n’est rentable …

Après, est-ce qu’il y a de la pub, est-ce que les médias peuvent payer pour être mieux référencé ? Perso je pense que c’est “juste” pour affiner les profils publicitaires des comptes Google.


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Arkeen a écrit :



Hein ?  Avoir du trafic et le monétiser, ce sont 2 choses bien différentes. J’ai du trafic sur mes sites, mais aucun n’est rentable …

Après, est-ce qu’il y a de la pub, est-ce que les médias peuvent payer pour être mieux référencé ? Perso je pense que c’est “juste” pour affiner les profils publicitaires des comptes Google.





Rien qu’avec GoogleAnalytics, ça doit lui rapporter pas mal. Faut pas oublier le modèle commercial de Google, c’est de collecter de la data pour vendre de la pub.


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Arkeen a écrit :



Hein ?  Avoir du trafic et le monétiser, ce sont 2 choses bien différentes. J’ai du trafic sur mes sites, mais aucun n’est rentable …

Après, est-ce qu’il y a de la pub, est-ce que les médias peuvent payer pour être mieux référencé ? Perso je pense que c’est “juste” pour affiner les profils publicitaires des comptes Google.





Google et sa publicité ciblée, pas rentable ?









Ricard a écrit :



Rien qu’avec GoogleAnalytics, ça doit lui rapporter pas mal. Faut pas oublier le modèle commercial de Google, c’est de collecter de la data pour vendre de la pub.





Big data is the new Eldorado.


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RévolutioN a écrit :



Quels sont les 4 retardataires qui risquent la faillite ?









dylem29 a écrit :



Adieu Yahoo News, Orange Actu, La Provence et LePoint. <img data-src=" />



En même temps Yahoo  News quoi, le truc tu peux même pas désactiver les cookies.





Orange Actualités et Yahoo! Actualités : ce sont déjà des agrégateurs de contenus concurrents de Google Actualités. Avoir ce dernier comme partenaire ne doit pas représenter une priorité.


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Allez maintenant on entame la phase 2: que Google réclame une redevance aux éditeurs pour pouvoir les référencer.

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Si c’est ça le soft power dont parlait le patron de l’AFP, il est très, très soft, hein.

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Tout ça me rapelle la livraison à 1ct d’amazon

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Tout le monde savait ce qui allait se passer. L’exemple Espagnol est un précédent tout à fait exemplaire.



La vrai question est : Faut-il un “hub” des publications comme l’est Google News ?





  • &nbsp;Effectivement on ne peut nier que cela fait du trafic et permet de “pêcher” du lecteur quand il clique pour en savoir plus.

  • Il est vrai que sur le plan ergonomique un site Google news se pose là. Aller sur chaque site d’un journal devient pénible rapidement.





    Faut-il que ce hub appartienne à Google ou qu’il soit un site financé par les publications comme le serait une place de marché ?



    &nbsp;Faut pas chercher bien loin pour être moins con dans ce domaine. Visiblement Nos patrons de canard sont bien loin de maîtriser l’outil internet et ses possibilités.



    Faire ce genre de site quand bien même cela les mettraient en concurrence directe (sur la même planche), reste un bon outil de pêche. N’oublions pas que sans subventions ces canards crèvent (à une ou deux exception près). Alors se priver des clics… Cela ferait salement moche dans le tableau déjà bien noir. L’avantage de se réapproprier ce hub c’est la maîtrise du hub (donc pas Google) et de garder les clics.

    &nbsp;

    Mais bon, il faut sortir des modèles à papy. Et surtout faire du vrai journalisme…



    MMMvvouala!

    &nbsp;

    &nbsp;

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C’est bizarre, moi j’ai pas besoin…



J’ai mis le lien vers l’image un peu plus haut.

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#NoeudCoulant

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Et pour le gouvernement c’est du ouin ouin! <img data-src=" />

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Ricard a écrit :



Google News génère du traffic sur son site. C’est donc rentable.







Je t’invite à vérifier ta définition de rentabilité.



L’Espagne avait rédigé un texte de loi du même acabit, mais sans porte de sortie pour Google, résultat Google News a fermé son service en Espagne.


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“Nous sommes tellement dépendants de Google que ce serait un suicide&nbsp;!

Quand bien même je déplore que la plateforme s’adonne à un tel

chantage.”







Chez France Info, où le déploiement a été mis en production le jour de

l’update de Google, le 16&nbsp;octobre, “on grince des dents mais on

obtempère”, explique un collaborateur.





Mais à la fin :





Les éditeurs ont certes plié… mais ils veulent déplacer le combat sur le

terrain judiciaire. “Nous explorons plusieurs pistes, du côté de Paris

et de Bruxelles, explique un éditeur, sans apporter plus de précisions.

Il s’agira de prouver que Google détourne la loi.” Les médias français

pourront compter dans cette perspective sur un allié de poids. Emmanuel

Macron a annoncé vouloir, lui aussi, lancer une procédure contre Google.





Ils avouent leurs dépendances, ont l’orifice agrandi mais continuent de gueuler que Google est en tort… Heureusement que le ridicule ne tue pas !

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Shadowman_2k3 a écrit :



Je t’invite à vérifier ta définition de rentabilité.



L’Espagne avait rédigé un texte de loi du même acabit, mais sans porte de sortie pour Google, résultat Google News a fermé son service en Espagne.







Je sais très bien ce que rentabilité veut dire, merci ;)

De plus, depuis quand une entreprise capitaliste laisse vivre un service/usine/whatever ouvert si il n’est pas rentable ?



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Vivement l’épisode ou Google va leur facturer la prestation d’apporteur d’affaire: le capitalisme à la Française (=la corruption politique ) en PLS <img data-src=" />

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Jarodd a écrit :



Ils avouent leurs dépendances, ont l’orifice agrandi mais continuent de gueuler que Google est en tort… Heureusement que le ridicule ne tue pas !







Et surtout, ici ils font tout pour AUGMENTER leur dépendance à Google, alors qu’ils s’en plaignent: ça doit être ça la “pensée complexe de l’élite française” <img data-src=" />


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Bah non puisque tu n’as pas de pub. C’est simplement un service associés.

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Pour rigoler, Google pourrait fermer sans le dire Google news qqs jours, “oh ben y’a un pb technique”

Et voir la reaction de la presse quand il reouvre.

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refuznik a écrit :



Bah non puisque tu n’as pas de pub. C’est simplement un service associés.





https://www.zdnet.fr/actualites/combien-l-actualite-rapporte-t-elle-a-google-398…


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Rien que le début tu sens l’article bidon. Déjà il y a que google qui pourrait donner la valeur unitaire de chaque utilisateur passant par GNews. En plus as tu eu le temps de lire l’étude en anglais? C’est un ramassis de chiffres à l’emporte pièce, rien provenant sur du concret, ils estiment… considére..etc.. Désolé mais vraiment pauvre un peu déçu

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Pour obtenir un monopole ?

C’est ce qu’a fait Amazon a ses débuts par exemple.

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Mihashi a écrit :



J’ai mis le lien vers l’image un peu plus haut.&nbsp;



<img data-src=" />

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Cet épisode démontre une nouvelle fois le poids des GAFAM sur la vie économique.



Bien sur que Google respecte la loi,.

Bien sur que Google a raison de se défendre.

Et bien sur que la loi a été très mal ficelée.

Mais c’est Google qui a finalement le droit de vie et de mort des titres de presse sur Internet.



Et cela est vrai aussi pour bon nombre de site.



C’est donc une n-ième illustration du coté néfaste du minitel 2.0 qui a permis ces “monopoles” acquis par les GAFAM…



Donc oui les titres de presse ainsi que les politiciens ont très mal joué le coup.

Mais au final, c’est une nouvelle victoire du minitel 2.0

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J’ai regardé rapidement cette étude. Bah en premier ce sont des projections hasardeuses. Pas mal de journalistes d’ailleurs dénoncent les articles du Times et du N-Y Times d’avoir passé cette enquête tel quelle. Grosso modo c’est comme les calculs des ayants droit sur le piratage ou sur la musique/vidéo, ils inventent des chiffres sur un prétendu manque à gagner.



Notamment sur cette statistique datant de 2008, selon laquelle Google News rapporterait 100 millions de dollars, sur laquelle se fonde l’étude pour déduire les gains de l’entreprise sur 10 ans. “Cela me semble être une très audacieuse extrapolation à faire sur une décennie, dans une industrie en constant changement”, ironise par exemple Lachlan Markay, journaliste du Daily Beast.



Le journaliste affirme que l’étude “s’effondre” dès son deuxième paragraphe. The News Alliance y souligne effectivement que le moteur de recherche rapporterait près de 1,6 milliard de visites par semaine en janvier 2018. “C’est un triste but contre son camp”, note de son côté sur Twitter un autre journaliste, Aron Pilhofer, ancien rédacteur en chef du numérique à la rédaction britannique du Guardian et professeur de journalisme à l’université de Temple, en Pennsylvanie.



Et ça continue plus loin.



“Il y a probablement matière à une discussion sérieuse sur la disparité entre les revenus que génère Google grâce aux éditeurs et les revenus que les éditeurs dégagent de Google. Mais fabriquer des chiffres à des fins de lobbying pour favoriser l’adoption d’un texte de loi sape toute notre crédibilité.”



Ce dernier paragraphe concerne le passage en juillet dernier de Google et facebook devant le parlement.



Demander à Google ou Facebook de payer quelque chose qu’ils ont théoriquement pris de l’industrie, c’est confondre l’effet avec la cause. C’est aussi faire une erreur que de croire que négocier collectivement avec les plateformes va permettre de produire des revenus qui sauveront les médias du changement qui s’opèrent tout autour

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Bon ils peuvent quand même faire quelque chose avec cette loi:

Les maisons de presse se regroupent et créent un portail qui agrège leur news, qu’ils financent évidemment.

Ensuite ils suppriment les autorisations qu’ils viennent de délivrer à Google et autres.

Puis ils essayent de vendre à Google les clics qu’ils reçoivent sur leur portail.

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Ricard a écrit :



Je sais très bien ce que rentabilité veut dire, merci ;)

De plus, depuis quand une entreprise capitaliste laisse vivre un service/usine/whatever ouvert si il n’est pas rentable ?







Cela s’appelle un produit d’appel.



Tu n’est pas rentable sur ton service, mais il te permet de proposer une multitudes de produits/services associés qui eux sont rentables.



C’est comme Sony/MS avec les consoles de jeux : la console est un produit d’appel, les marges sont faites sur les jeux.


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Trop compliqué (ou trop simple ?).

Et quand est-ce qu’on a le beurre et l’argent du beurre dans ton scénario ?

Parce qu’au final c’est ce que veulent les éditeurs.

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Pour moi c’est un peu le même principe que les couvertures de magazine affichées sur les kiosques à journaux. La couverture attire le chaland vers le kiosque et elle fait vendre le magazine.



Il ne serait jamais venu aux maisons d’édition de facturer aux kiosques à journaux l’affichage des couvertures.

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Sauf que leur portail devra s’acquitter de la redevance sur les droits voisins s’ils veulent respecter la loi <img data-src=" />

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Les éditeurs seraient capables d’attaquer Google news en justice pour perte de revenus <img data-src=" />

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Faudra m’expliquer comment Google gagne du pognon sur la page Google News …

Les articles présents sont limités à quelques caractères, la suite n’étant visible que si l’on va sur le site du journal qui a écrit l’article.

Il y a 0 pubs, pas d’encarts sur Google News. Si encore il y avait de la pub, on pourrait éventuellement taxer Google de profiteur, mais là … je ne vois pas.

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C’est complètement faux ! Les journaux type Le Monde, Le Parisien existent depuis des décennies, quand Google n’a que quelques années.

Les journaux s’en sortaient très bien avant que Google arrive.

Google n’a fait que réunir des extraits d’articles sur une seule page pour faciliter la vie de tout le monde.

Les éditeurs ne te diront jamais combien d’audience amène Google News, mais ce qui est sûr, c’est que ça leur fait des vues supplémentaires et donc ça leur profite.

Si demain Google News disparait, ils vont tous râler car leur revenus vont s’effondrer, alors que Google news ne fait rien de plus que leur donner de la visibilité gratuite !




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zouzou a écrit :



Bon ils peuvent quand même faire quelque chose avec cette loi:

Les maisons de presse se regroupent et créent un portail qui agrège leur news, qu’ils financent évidemment.

Ensuite ils suppriment les autorisations qu’ils viennent de délivrer à Google et autres.

Puis ils essayent de vendre à Google les clics qu’ils reçoivent sur leur portail.





C’est un comportement stupide… désolé… cette loi est une loi imbécile qui va dans un premier temps renforcer les plateformes comme Google et Facebook tout en laissant le reste des plateformes dans une situation de désavantage compétitif.&nbsp; Il n’y a de salut que dans son abrogation.



C’est une loi scélérate, mal pensée, mal goupillée et dont les retombées ont été mal évaluées et ensevelies sous un discours mensonger disséminé par une presse en conflit d’intérêt devenue militante par appât du gain.&nbsp;



&nbsp;Cette loi a un impact non négligeable sur la liberté d’expression, de citation, et sur la neutralité des plateformes par rapport à la presse et donne un prétexte à des acteurs comme Facebook de décider quels articles et sites de presse mettre en avant avec extraits, photos et miniatures et quels articles et groupes de presse minimiser dans le corps du texte d’une publication d’utilisateur…

… bref d’exercer un contrôle inédit sur le narratif politique des pays où la directive s’applique.



L’approche ‘neutre’ de Google semble encore être un moindre mal, mais nos politiciens n’ont aucun discernement et continuent à crier sur Google tout en prétendant que le comportement de Facebook serait désirable.


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zempa a écrit :



Cet épisode démontre une nouvelle fois le poids des GAFAM sur la vie économique.



Bien sur que Google respecte la loi,.

Bien sur que Google a raison de se défendre.

Et bien sur que la loi a été très mal ficelée.

Mais c’est Google qui a finalement le droit de vie et de mort des titres de presse sur Internet.







Heu, si tu as suivi l’histoire, Google a toujours gracieusement référencé les sites d’informations. Ce sont ces derniers qui ont commencé à chercher les ennuis en faisant du lobbying auprès de l’Europe pour avoir droit à une rente.



Là encore Google n’a pas menacé de les retirer, ils a juste affirmé qu’ils se conformerait à la nouvelle loi en réduisant la taille des résumés affichés.



On est au contraire dans une situation où Google aide énormément la presse. D’autant que quand on y pense, ils sont bien gentils de se plier aux lois européennes alors qu’ils pourraient simplement s’asseoir dessus.


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lololasticot a écrit :



Faudra m’expliquer comment Google gagne du pognon sur la page Google News …

Les articles présents sont limités à quelques caractères, la suite n’étant visible que si l’on va sur le site du journal qui a écrit l’article.

Il y a 0 pubs, pas d’encarts sur Google News. Si encore il y avait de la pub, on pourrait éventuellement taxer Google de profiteur, mais là … je ne vois pas.





Est-ce que Google News (que je n’ai _jamais_ utilisé tel quel) est également utilisé ailleurs ? Par exemple sur la page par défaut de navigateurs, sur les appli Android ?



En fait j’ai surtout l’impression que le principe des éditeurs de presse, c’est qu’ils voient leur vente et leur lectorat chuter. Le lectorat, ils s’en foutent (en dehors des audiences pour la pub, bien sur) , mais le pognon…

Du coup ça donne l’impression qu’ils essaient de gratter des sous là ou yen a plein. Et en ce moment, qui en a plein ? Les GAFAM.

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Je ne nie pas leur problèmes, et je ne porte pas non plus les GAFAM dans mon cœur. Mais cette histoire me rappelle furieusement la croisade des Majors du disque contre le piratage, plutôt que de se remettre en question. A un moment, quand on refuse d’évoluer, on s’éteint.

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zouzou a écrit :



Bon ils peuvent quand même faire quelque chose avec cette loi:

Les maisons de presse se regroupent et créent un portail qui agrège leur news, qu’ils financent évidemment.

Ensuite ils suppriment les autorisations qu’ils viennent de délivrer à Google et autres.

Puis ils essayent de vendre à Google les clics qu’ils reçoivent sur leur portail vivent chacun de leur coté.





<img data-src=" /> Google ne veut pas lâcher l’oseille maintenant alors il y a peu de chance qu’il achète demain quelques clics à prix d’or. <img data-src=" />


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Tandhruil a écrit :



Sauf que leur portail devra s’acquitter de la redevance sur les droits voisins s’ils veulent respecter la loi <img data-src=" />





Ben ils font passer l’argent de leur poche droite dans celle de gauche et le tour est joué. <img data-src=" />


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En faite les gros editeurs pensaient que google allait négocier en exclusivité avec un ou deux journeaux nationnaux et donc recuperer la grosse audience de google news… Et je pense que google n’etait officieusement pas contre car maintenant google pourra dire, je vous dois rien, on a un accord et donc pourra monetiser le site sans que les editeurs puissent dire quoique ce soit, et si ils se plaignent bah, google ne les mets plus dans google news. Bref, google a gagné des le depart.

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Tandhruil a écrit :



Pour moi c’est un peu le même principe que les couvertures de magazine affichées sur les kiosques à journaux. La couverture attire le chaland vers le kiosque et elle fait vendre le magazine.



Il ne serait jamais venu aux maisons d’édition de facturer aux kiosques à journaux l’affichage des couvertures.





C’est bien pour ça que Google ne veut pas payer ;)


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lololasticot a écrit :



C’est complètement faux ! Les journaux type Le Monde, Le Parisien existent depuis des décennies, quand Google n’a que quelques années.

Les journaux s’en sortaient très bien avant que Google arrive.

Google n’a fait que réunir des extraits d’articles sur une seule page pour faciliter la vie de tout le monde.

Les éditeurs ne te diront jamais combien d’audience amène Google News, mais ce qui est sûr, c’est que ça leur fait des vues supplémentaires et donc ça leur profite.

Si demain Google News disparait, ils vont tous râler car leur revenus vont s’effondrer, alors que Google news ne fait rien de plus que leur donner de la visibilité gratuite !





De la même manière que Facebook ou LinkedIn te donne de la visibilité gratuite…


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lololasticot a écrit :



Faudra m’expliquer comment Google gagne du pognon sur la page Google News …

Les articles présents sont limités à quelques caractères, la suite n’étant visible que si l’on va sur le site du journal qui a écrit l’article.

Il y a 0 pubs, pas d’encarts sur Google News. Si encore il y avait de la pub, on pourrait éventuellement taxer Google de profiteur, mais là … je ne vois pas.





La réponse à déjà été donnée au #23.


26 des 30 plus gros sites de presse autorisent Google à diffuser leurs extraits gratuitement

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