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Boeing  : la conquête humaine de Mars, le tourisme spatial, les avions hypersoniques

Mars Attacks

Boeing  : la conquête humaine de Mars, le tourisme spatial, les avions  hypersoniques

Le 10 octobre 2016 à 10h00

Boeing, l'un des partenaires de la NASA, pense qu'il sera le premier à envoyer un homme sur Mars, damant ainsi le pion à SpaceX. Le PDG de la société a également évoqué rapidement le futur de la société avec le tourisme spatial et les avions hypersoniques

Elon Musk et SpaceX veulent coloniser Mars, avec un plan massif et ambitieux (voir notre analyse). Il n'est pas le seul et un autre acteur privé vient d'entrer officiellement dans la danse : Boeing. En effet, lors d'une conférence organisée par nos confrères The Atlantic, Dennis Muilenburg, PDG la compagnie aérienne, explique qu'il est « convaincu que la première personne à poser le pied sur Mars arrivera sur place à bord d'une fusée Boeing ».

En plus de la Lune, Boeing veut être le premier à envoyer des hommes sur Mars

Il ne donne par contre pas vraiment de détails supplémentaires, contrairement à Elon Musk qui a longuement évoqué son plan, le lancement de ses fusées et son financement. La réaction de Boeing n'est pour autant pas à prendre à la légère, car la société n'en est pas à son coup d'essai dans le domaine et, comme SpaceX, elle est un des partenaires privés de la NASA pour des missions habitées vers la Station Spatiale Internationale. De plus, c'est Boeing qui construit le premier étage de la fusée Saturne V, le plus gros lanceur qui existe actuellement et celui qui a envoyé des hommes sur la Lune.

Avec la NASA, Boeing travaille sur le Space Launch System (SLS), un gros lanceur qui aura pour but d'envoyer des missions habitées un peu partout dans notre système solaire (astéroïdes, Lune, etc.), mais aussi sur Mars en 2030 selon la NASA. Un calendrier qui place donc SLS après le Système de Transport Interplanétaire (STI) SpaceX, du moins sur le papier. Le PDG ne précise pas s'il table sur un avancement de la mission de la NASA ou bien sur un retard de celle de SpaceX pour appuyer ses dires.

Boeing SLS

Dans tous les cas, l'annonce d'Elon Musk aura au moins eu l'intérêt de relancer le débat et la concurrence autour de la conquête de Mars. Néanmoins, comme l'expliquait Jérôme Vila du CNES il y a quelques mois, « aller sur Mars [...] c'est une aventure de l'humanité », pas de quelques-uns ou d'un pays seulement.

Le tourisme spatial et les avions hypersoniques

Dennis Muilenburg ne s'arrête pas en si bon chemin et évoque le tourisme spatial qui devrait exploser au cours des deux prochaines décennies pour devenir « un marché commercial viable ». Il explique ainsi que la Station Spatiale Internationale pourrait être rejointe par des dizaines d'hôtels et de laboratoires de recherche en microgravité.

Il revient aussi sur des avions hypersoniques capables de dépasser trois fois le mur du son (plus de 1 200 km/h dans l'air, mais cela dépend de plusieurs facteurs), soit plus que le Concorde qui volait à Mach 2. Là encore, il reste relativement discret sur les moyens techniques, précisant simplement que les coûts sont encore trop élevés pour envisager sérieusement un lancement commercial à grande échelle. 

Cet été, lors d'une interview accordée à nos confrères du Figaro, le PDG expliquait que « l'avenir passe sans doute par des appareils hypersoniques qui permettront de voyager n'importe où sur la planète en une heure ». Pour cela, il faudra dépasser Mach 3 et atteindre les environs de Mach 20 qui permettent de dépasser les 20 000 km/h et filer ainsi vers le côté opposé de la Terre (qui a un périmètre de 40 000 km environ) en moins d'une heure.

Des projets sont en cours, comme le Falcon Hypersonic Technology Vehicule de la DARPA (une agence du département de la Défense des États-Unis) qui a déjà effectué deux vols d'essai en 2010 et 2011, mais dont on n'entend plus parler depuis. 

Commentaires (156)

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eliumnick a écrit :



Non non non ^^







Si, si, si !



Records au-dessus de celui de 1947 : véhicules à propulsion par réaction, fusée ou turboréacteur.



La Railton Special a été le dernier véhicule à propulsion par roues à battre un record de vitesse absolu sur terre en étant propulsée par ses roues entraînées par ses moteurs.


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Commentaire_supprime a écrit :



Si, si, si !



Records au-dessus de celui de 1947 : véhicules à propulsion par réaction, fusée ou turboréacteur.



La Railton Special a été le dernier véhicule à propulsion par roues à battre un record de vitesse absolu sur terre en étant propulsée par ses roues entraînées par ses moteurs.







Regarde la catégorie “Autres records de vitesse terrestre”.



Oui ca fait longtemps que les véhicules les plus rapides n’ont plus de roues motrices, mais tout le monde le sait ca ^^


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Liara T’soni a écrit :



On ne peut pas utiliser les meilleurs cerveaux de la planète pour entretenir celle-ci plutôt que de tout faire pour aller “vivre” (?) sur une planète qui de toute évidence, par son écosystème inéxistant, ne veut pas de nous.

 

Quel gaspillage de temps et de ressource.



Et oui car c’est bien connu qu’aller sur Mars signifie la fin de l’écologie sur Terre, et oui.

Sinon tu expliqueras au prochain astéroïde géocroiseur qui nous ramènera à l’ère du crétacé que la Terre est notre meilleur plan de survie.


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oui d’ailleurs je trouve ça stupide de parler de “ record terrestre” quand tu fais une fusée a roulette …. 

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maestro321 a écrit :



Quelle solution de replis? Quand bien même on aurait une colonie fonctionnelle sur mars, il n’y a aucune chance pour qu’elle soit totalement autonome vis à vis de la terre avant bien longtemps (si un jour c’est possible).

Ce serait un peut comme dire qu’une station spatiale est une solution de replis parce qu’on y fait pousser 3 salades.<img data-src=" />





C’est combien “bien longtemps” pour toi ? Tu as une idée assez exacte de notre faculté à coloniser Mars dans 150 ans ? Si c’est le cas tu devrais écrire des livres.


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C’est pas bien de comprendre ce que j’écris exactement à l’envers de ce que j’ai voulu exprimer <img data-src=" />

(sans préjuger de savoir si l’erreur est du rédacteur ou du lecteur).



Pourtant, je dis bien que l’explication par l’aérodynamisme ne me convainc pas.

&nbsp;

Et d’ailleurs, je constate que nous sommes tous d’accord pour dire que le problème c’est la transmission de la puissance par les roues (curieux de voir les pneus et l’embrayage des 2 véhicules que j’ai cités; ça doit sentir le chaud sur les accélérations)

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lincruste_2_la vengeance a écrit :



C’est combien “bien longtemps” pour toi ? Tu as une idée assez exacte de notre faculté à coloniser Mars dans 150 ans ? Si c’est le cas tu devrais écrire des livres.







Quand ce livre a été écrit, le simple fait de sortir de l’atmosphère terrestre n’était même pas concevable.



Et 104 ans plus tard, la fiction est devenue réalité.



Après, pour aller plus loin, il ne faut pas sous-estimer le génie technique et scientifique de notre espèce…


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Dans le vide, comme la lumière !

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Hé ben voilà, on est d’accord

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Commentaire_supprime a écrit :



Quand ce livre a été écrit, le simple fait de sortir de l’atmosphère terrestre n’était même pas concevable.



Et 104 ans plus tard, la fiction est devenue réalité.



Après, pour aller plus loin, il ne faut pas sous-estimer le génie technique et scientifique de notre espèce…







Oui, mais c’était l’age d’or de la science. Une époque ou la science et la technologie ont fait un bond sans précédent.



Depuis, il s’avère que la science plafonne et qu’on atteint le stade ou des progrès toujours plus tenus sont toujours plus coûteux.



Pire, tous les beaux rêves technologiques de l’homme se heurtent à un monde qui connait des difficultés économiques sans précédent.



Et s’il est un rêve que l’humanité devrait viser plutôt que de construire des joujoux pour transporter des élites, c’est d’améliorer la vie quotidienne du peuple de base.


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<img data-src=" />

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Je crois que tu as mal compris mon commentaire mon poussin

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Encore une idée farfelue pour nous piquer nos sous…

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Commentaire_supprime a écrit :



Il y a pas mal de problèmes techniques à résoudre pour lancer un TGV à 500, voire 600 km/h sur les rails :



-capter le courant : déjà, en arrivant à 350 km/h, le train rattrape l’onde formée sur la caténaire par le contact du pantographe qui frotte sur cette dernière. C’est le plus gros problème ;





Je ne crois pas, car il suffit de tendre plus le caténaire, c’est d’ailleurs comme ça qu’on a fait pour les records à 574 km/h.


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eliumnick a écrit :



Comment font les véhicules avec roues non motrices pour aller à 1200 km/h ?



Tu veux dire qu’il existe une force de la nature qui vérifie le mode de propulsion du véhicule pour déterminer les forces aérodynamiques qui l’affecte ?

[..]

Après, dire qu’il est compliqué technologiquement de fabriquer un véhicule qui génère suffisamment d’énergie pour aller à plus de 700 km/h avec des roues motrices, je crois que tous le monde sera d’accord.





Tu n’as pas compris le problème.

Pour aller de plus en plus vite, il faut vaincre la résistance de l’air, et il faut de plus en plus de puissance (d’énergie aussi, vu que c’est la puissance multipliée par le temps). On peut construire des moteurs plus puissants que ceux qui ont propulsé certains véhicules par roues à près de 700 km/h, mais on se heurte au problème du passage de la puissance au sol : l’adhérence. En gros, les roues commence à patiner.

&nbsp;





Commentaire_supprime a écrit :



Records au-dessus de celui de 1947 : véhicules à propulsion par réaction, fusée ou turboréacteur.



La Railton Special a été le dernier véhicule à propulsion par roues à battre un record de vitesse absolu sur terre en étant propulsée par ses roues entraînées par ses moteurs.



&nbsp;



levhieu a écrit :



Pourtant, je dis bien que l’explication par l’aérodynamisme ne me convainc pas.

&nbsp;

Et d’ailleurs, je constate que nous sommes tous d’accord pour dire que le problème c’est la transmission de la puissance par les roues (curieux de voir les pneus et l’embrayage des 2 véhicules que j’ai cités; ça doit sentir le chaud sur les accélérations)





<img data-src=" />


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sr17 a écrit :



Oui, mais c’était l’age d’or de la science. Une époque ou la science et la technologie ont fait un bond sans précédent.



Depuis, il s’avère que la science plafonne et qu’on atteint le stade ou des progrès toujours plus tenus sont toujours plus coûteux.





Ces 2 affirmations sont fausses à mon avis. La science et la technique n’ont cessé de voir leur progression s’accélérer. Quant au coût, ça doit dépendre des domaines.







sr17 a écrit :



Pire, tous les beaux rêves technologiques de l’homme se heurtent à un monde qui connait des difficultés économiques sans précédent.





Le niveau de vie n’a quasiment jamais cessé d’augmenter depuis la révolution industrielle ; même dans les pays pauvres sauf que d’ici on s’en rend moins compte, mais les données sont disponibles pour l’après-guerre par exemple :https://www.ted.com/talks/hans_rosling_shows_the_best_stats_you_ve_ever_seen (excellente conférence TED).


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Il est évident que dans les tunnels, et en virage il pourra pas aller à la vitesse “max” …

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atomusk a écrit :



waterworld <img data-src=" />









<img data-src=" />





ouais avec kevin cosner qui fera son retour


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atomusk a écrit :



Il est évident que dans les tunnels, et en virage il pourra pas aller à la vitesse “max” …







Sur des vitesses au sol de l’ordre de 800 à 1000 km/h, la technologie maglev me paraît être l’avenir. Quitte à faire une infrastructure qui va avec…


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Il est sur que pour ces vitesses c’est indispensable, mais ça entraîne de très gros challenges en particulier d’infrastructure.



Mais pas pire challenge que l’hyperloop <img data-src=" />

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Ça fonctionne déjà très bien au Japon, mais pas à ces vitesses non plus ^^

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mais ça reste de petites distances … maintenant en effet ils travaillent sur Tokyo-Osaka .. mais 2045 quoi <img data-src=" />

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On s’emmerde à créer des vaisseaux spatiaux surpuissants alors que l’on pourrait créer un raccourci spatio-temporel ou un trou de ver pour y aller en quelques secondes… Ou bien même utiliser la technologie Warp drive de la NASA qui consiste à distordre l’espace-temps autour de la navette… Pfff…



<img data-src=" />

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Oui, le progrès ne va jamais assez vite. Pas certain que je sois encore vivant pour le voir ^^



Je cligne des yeux.. Mais c’est en vérité horrible de savoir qu’on ne sera plus là pour beaucoup de choses. Mais c’est ainsi ^^

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sioowan a écrit :



Si on découvre des énergies fossiles, ce serait révolutionnaire, à plus d’un titre. Preuve de la vie à une époque, et pour nous une énergie en abondance sur place.







Ah ben bravo!

<img data-src=" />

On vient de cramer tout sur terre en 2generations, et toi tu veux aussi aller tout cramer la bas!


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Commentaire_supprime a écrit :



-enfin, le mur de l’aérodynamisme : au-dessus de 700 km/h, le frottement de l’air rend toute propulsion par roues impossible, et il faut passer à autre chose (genre maglev). Mais on n’en est pas encore là…









Non non non ^^


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La faible gravité n’est pas le seul facteur pour la fuite de l’atmosphère. L’absence de champ magnétique propre de la planète (ou sa grande faiblesse) compte aussi:

&nbsp;

Ceci permet au vent solaire de venir «chatouiller» la haute atmosphère; quand un atome se retrouve décomposé du fait de la reception d’énergie par le vent solaire, les éléments de la décomposition (les atomes quoi) sont plus légers, et certains peuvent éventuellement se retrouver avec une vitesse initiale qui les aide à partir.

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C’est quelque part aussi un gage de suivie pour l’espèce humaine. Le jour ou un astéroïde comme Apohpis (2029 pour son premier passage à moins de 400 000 Kms soit entre la Terre et la Lune, mais ils doit ensuite repasser plusieurs fois et on ne sais pas si à terme il ne percutera pas la Terre ) nous tombera sur la coin de la gueule je ne suis pas sur que Bruce Willis sera encore la pour nous sauver la mise. Donc avoir une solution de replis sur Mars c’est une bonne chose je trouve.

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Faut bien jouer notre rôle de sauterelle ^^



De toutes les façons, quoi qu’on fasse nous sommes condamnés. Notre devenir est dans la disparition.



Je ne dis pas qu’il faut continuer à polluer ^^

Mais remettre en perspective notre présence. Sauf… Si on réussi à aller vers d’autres étoiles. Mais c’est ni pour demain ni après demain.

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Je n’allais pas tout détailler, mais il est vrai que son coeur ne tourne plus.

Du coup plus de champ magnétique protégeant son atmosphère qui s’étiole sous la caresse du vent solaire

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Je ne suis pas convaincu par la cause donnée par Commentaire_supprime, mais le fait est que dans le lien que tu donnes, il n’a y pas de propulsion par roue très loin au delà de 700km/h.

&nbsp;

Les engins cités dans le tableau ont des roues, mais elles avancent comme un avion (littéralement).

&nbsp;

Il y a bien le «Speed Demon» et le «turbinator»qui sont cités en bas de page, mais justement, ils se sont donné bien du mal pour ne pas aller beaucoup plus loin que les dits 700mk/h.

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Bien vu, malheureusement, ils ne savent pas calculer autre chose que la forme de la fusée etc…pour aller sur Mars. De plus aujourd’hui on ne sait pas en revenir, avant d’y aller faut penser aussi au retour, on sait jamais.

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&nbsp;





sr17 a écrit :



Je ne partage pas ton avis. Il suffit de constater : Nombreux sont les domaines ou l’on ne découvre plus grand chose.



Après une période de frénésie ou l’on a découvert énormément de choses, la plupart des champs d’études voient les grandes découvertes se raréfier suivant la loi des rendements décroissants. L’augmentation du coût est une simple conséquence de cette loi.



Il n’y a pas de secret, le cerveau humain est fini. Plus le temps passe, plus il faut étudier longtemps pour simplement comprendre l’état de l’art existant. Au fur et à mesure que nous accumulons des connaissances, le temps alloué pour en découvrir de nouvelles se réduit. Ce qui augmente bien en conséquence le coût de l’heure de recherche.





Ca ferait un peu rire les chercheurs ta première phrase.

C’est original comme point de vue, mais à mon avis c’est juste le tien. On explore toujours de nouvelles voies, on ne manque pas d’idées, rien que la généralisation de l’informatique permet des choses étonnantes en utilisant les données collectées, que ce soit pour la santé ou pour d’autres domaines.







sr17 a écrit :



Hier l’humanité rêvait de voitures volantes et de téléportation… mais il se pourrait bien, hélas, que le futur soit de revenir au fait d’utiliser ses pieds ou tout autre moyen de déplacement léger, voir d’évite de se déplacer…&nbsp;





Il ne faut pas confondre la science-fiction et la science tout court. En plus, le problème des voitures volantes n’est pas technique mais à mon avis pratique et légal (ça revient pour l’instant à piloter un avion). Quant à la téléportation, on sait qu’on ne peut pas téléporter la matière, mais on commence à savoir “téléporter” un état atomique. Heureusement qu’on est encore plein à rêver de techniques “du futur”. Je vois 2 progrès à venir très important dans le domaine de la santé : le coeur artificiel (le rein ou l’oeil aussi), la réparation de la moelle épinière (pour les paralysés).







sr17 a écrit :



L’éternelle illusion de ceux qui confondent productivité avec bonheur humain et chiffres économiques avec niveau de vie.&nbsp;



Quand aux pays pauvres, on a remplacé l’économie agraire traditionnelle par de l’exploitation industrielle.





1ère phrase : il ne s’agit pas de productivité mais de niveau de vie, qui va aussi avec l’hygiène et la médecine, l’eau potable et manger à sa faim sans survivre.

2eme : ah bon. On peut globaliser tous les pays pauvres concernant toutes l’agriculture… Ben non, suffit de voir l’agriculture non mécanisée en Afrique ou en Asie.







sr17 a écrit :



Quand aux chiffres, n’importe quel statisticien leur fera dire ce qu’il veut. Toutes formes de conclusions erronées sont possible pour qui ignore les réalités pratiques qui se cachent derrière.





“LOL”. N’importe quoi. Si tu penses que les statistiques n’ont aucune validité, arrête tout de suite de croire à la validité de la science et des traitements médicaux, qui se basent en bonne partie dessus.


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Peut être mais plus tôt on commence et plus vite ils pourront être autonome. Ça ne sert à rien de dire on ne peut pas faire ceci ou cela. C’est difficile certes mais en y mettant les moyens et le temps cela deviens possible. Donc un pas après l’autre.

Premier pas: Des hommes sur Mars

Second pas: Construction d’une base

Troisième pas; autonomie de celle-ci

Etc…

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sr17 a écrit :



Malheureusement, tout cela ne découle pas de grandes découvertes, mais de perfectionnement dans l’utilisation de principes connus depuis belle lurette et qui ne sont pas encore exploités à fond.



La vraie réalité, c’est que les vraies découvertes fondamentales sont de plus en plus rares. Et qu’a plus ou moins long terme, c’est ce qui nourrit l’évolution. Dit autrement, nous vivons sur des acquis…





La recherche fondamentale est toujours bien active, la recherche appliquée aussi, on conçoit des matériaux plus performants (et parfois pas plus chers à produire, en imitant le vivant qui dans certains domaines reste devant, cf le fil d’araignée).

&nbsp;

“La vraie réalité” (beau pléonasme), c’est que tu énonces tes préjugés, mais sans rien de concret à l’appui.


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



C’est combien “bien longtemps” pour toi ? Tu as une idée assez exacte de notre faculté à coloniser Mars dans 150 ans ? Si c’est le cas tu devrais écrire des livres.





Je reste volontairement vague car les projets de colonisation actuels n’envisagent pas du tout une autonomie totale vis à vis de la terre.

Donc “bien longtemps” me parait approprié à la vue de l’état actuel des projets et de la colonisation. Faute d’indices concrets de notre capacité a faire des colonies autonomes c’est une position qui me parait rationnelle de ne pas l’envisager (à l’heure actuelle) comme une solution de replis plutôt que de l’envisager sinon on tombe dans le scientisme.


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



C’est un tissu d’âneries. Je ne fais pas la liste complète parce que la vie est trop courte, mais c’est d’autant plus ridicule que le ton est péremptoire.

De la recherche fondamentale, il y en a partout dans le monde, et les labos privés s’y sont mis dès la moitié du siècle dernier.

Tu confonds totalement informatique et électronique (l’informatique, ça s’étudie très bien avec un papier et un crayon).

On dirait un de ces types de la fin du 19ième siècle qui annonçait que la science était finie à deux ou trois constantes près. Niels Bohr en rirait encore s’il le pouvait.





Pas mal vu&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;.

&nbsp;





atomusk a écrit :



Mouais, je doute qu’au moment de la recherche sur la mécanique quantique quiconque pensait qu’il allait y avoir des applications concrètes <img data-src=" />



C’est le défaut de la recherche fondamentale, son “application” peut prendre plusieurs décennies …

regarder la recherche fondamentale qu’on fait aujourd’hui et imaginer qu’on va avoir une révolution sous 6 mois, c’est un peu rêver <img data-src=" />



Il y a d’autres domaines de recherche qui vont bien plus vite, mais il ne faut pas penser qu’on a “plus rien à inventer” <img data-src=" />





On a tellement de domaines où progresser, soit en fondamental, soit en appliqué. Quand on voit par exemple toutes les sondes ou satellites lancés, soit pour vérifier certains principes fondamentaux (ondes gravitationnelles, rayonnement de fond de l’univers, etc.) ou améliorer la compréhension de l’univers ou de la création du système solaire (satellite&nbsp;Hipparcos&nbsp;pour cartographier le ciel à haute précision, sondes sur les comètes ou sur Pluton, etc.), il faut être un peu aveugle pour écrire des trucs comme “sr17”.


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Rufh a écrit :



Peut être mais plus tôt on commence et plus vite ils pourront être autonome.

Ça ne sert à rien de dire on ne peut pas faire ceci ou cela. C’est difficile certes mais en y mettant les moyens et le temps cela deviens possible. Donc un pas après l’autre.

Premier pas: Des hommes sur Mars

Second pas: Construction d’une base

Troisième pas; autonomie de celle-ci

Etc…





C’est un raisonnement biaisé, ce n’est pas parce que l’on commence tôt la “colonisation” qu’on pourra faire des colonies autonome plus rapidement. Il n’y a pas de lien de causalité, c’est du scientisme que de croire que la science de demain trouvera forcément des solutions aux problèmes d’aujourd’hui.

Ça fait depuis 1958 (d’après wiki) qu’on parle de bases lunaires, on voit bien où on en est aujourd’hui..



Je ne dit pas que ça ne sera pas possible un jour, je dit juste qu’en l’état actuel des sciences rien ne nous permet d’affirmer que ce sera possible un jour. Laissons le temps à la science de se développer sur terre, déjà qu’on arrive pas à être viable sur terre, on détruit notre environnement à vitesse grand V (alors qu’elle est particulièrement accueillante et pleine de ressources facilement accessibles), ça me parait bien utopique et détaché de la réalité que de croire qu’on pourra le faire sur Mars..


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Oui, ça fait depuis la fin de la guerre froide que les états n’ont plus le “besoin” d’investir dans l’espace.



Si la “guerre à l’espace” avait continué, on aurait sans aucun doute des bases lunaires aujourd’hui …

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Oui, mais au début je rebondissait sur “Mars en tant que solution de replis”.

Quand bien même on aurait des bases sur la lune, ça ne veux pas dire pour autant qu’on serait capable d’avoir plus rapidement des colonies autonomes et viables.

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Très franchement, permet moi d’en douter (mais ce n’est pas non plus mon domaine, donc je n’exclus absolument pas d’avoir tort <img data-src=" />)



La course à la lune a été l’occasion pour l’industrie et la recherche de se concentrer sur un “projet commun”, avec un budget conséquent pour répondre au mieux aux questions posés par ce challenge.



La colonisation (lunaire/martienne … ) est une somme de “petit” challenges qui en tout semblent insurmontable, mais avec du budget, j’ai l’intime conviction que chaque challenge peut être surmonté …

Ca ne sera pas parfait (clairement les missions Apollo n’avaient rien de “parfait”), mais je reste persuadé que le challenge n’est pas insurmontable.



Maintenant, oui, la question de l’autonomie est un SACCRE probléme quand on parle de la lune …

une personne qui parle bien de cette vision est Neil deGrasse Tyson

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atomusk a écrit :



Maintenant, oui, la question de l’autonomie est un SACCRE probléme quand on parle de la lune …

une personne qui parle bien de cette vision est Neil deGrasse Tyson





Si une colonie est “envisageable” sur Mars, l’autonomie totale c’est un problème autrement plus complexe pour lequel on a aucune “piste”.

Comme je disait plus haut, déjà qu’on va avoir bien du mal sur Terre.. on devrait peut-être d’abord se concentrer sur la question ici, je suppose que ça nous aiderais sans doute plus que de commencer à l’envisager là-bas.<img data-src=" />


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Moi ce que j’en dit c’est que l’homme n’a jamais était aussi productif et ingénieux que lorsqu’il avait le dos au mur. Attendre que tous les problèmes soient réglé avec de faire quelque chose et on ne fera jamais rien. L’exemple type est ITER, on sait que ça ne marchera pas mais ITER est la pour tester toutes les pistes et voir tous les problèmes pour avancer. On a pas attendu d’avoir régler tous ces problèmes en laboratoire avant de passer à la pratique.

Ensuite la Lune n’apporte rien pour faire une base. Pas assez de gravité pour y vivre à demeure. Pas ou peu de ressource utilisable. Aucun hydrocarbure car il n’y a jamais eu de vie dessus. Etc…

Enfin Rendez-vous en 2027 pour la suite, ça se passera peut être mal ou peut être bien mais quelque soit le résultat on aura progressé.

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Rufh a écrit :



Moi ce que j’en dit c’est que l’homme n’a jamais était aussi productif et ingénieux que lorsqu’il avait le dos au mur.





Mouais discours scientiste. On aucune piste de solution, mais on finira bien par en trouver une.

Et surtout donnez un maximum d’argent et de moyens, vous allez voir on va trouver.<img data-src=" />

Quand aux solutions trouvées, elles sont souvent sources de nouveaux problèmes. On ne résout donc pas souvent, la plupart du temps on ne fait que repousser/déplacer le problème.







Rufh a écrit :



Attendre que tous les problèmes soient réglé avec de faire quelque chose et on ne fera jamais rien. L’exemple type est ITER, on sait que ça ne marchera pas mais ITER est la pour tester toutes les pistes et voir tous les problèmes pour avancer. On a pas attendu d’avoir régler tous ces problèmes en laboratoire avant de passer à la pratique.





Je trouve que c’est un mauvais exemple, car pour le coup on a des pistes solides, on est pas dans la spéculation aveugle.

Il y a une différence fondamentale entre “c’est peut-être faisable mais il reste quelques problèmes à résoudre” et “on sait pas si c’est faisable et les problèmes sont innombrables”.



Différence entre “colonie” et “colonie autonome”.


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sr17 a écrit :



Oh le beau troll.



Il y a un proverbe qui dit que les arbres ne grimpent jamais jusqu’au ciel.





Une insulte et un proverbe, belle argumentation scientifique.

Tu n’as aucune idée de ce qu’est l’informatique.


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OlivierJ a écrit :



&nbsp; il faut être un peu aveugle pour écrire des trucs comme “sr17”.





Non mais attends, t’as rien compris à la Science, mec, Nvidia arrête de

multiplier les unités de calcul dans les GTX, la Science est finie mec,

finie, l’humanité n’ira pas sur Mars, t’entends ?


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Rufh a écrit :



Peut être mais plus tôt on commence et plus vite ils pourront être autonome. Ça ne sert à rien de dire on ne peut pas faire ceci ou cela. C’est difficile certes mais en y mettant les moyens et le temps cela deviens possible. Donc un pas après l’autre.

Premier pas: Des hommes sur Mars

Second pas: Construction d’une base

Troisième pas; autonomie de celle-ci

Etc…





C est un peu les films de science fictions tout cela.&nbsp;

Certes, aller sur Mars pourrait avoir ces objectifs sur le long terme.

Mais il faudrait peut être commencer d abord par la théorie, et trouver comment on pourra rendre une base sur Mars autonome. Parce que “seul sur Mars” & co, cela tient pas debout: à ma connaissance, on ne sait PAS comment on pourrait vivre autonome sans les ressources de la Terre.


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et sur les voyages sur Terre, la réflexion de sr17 “pourquoi vouloir voyager plus vite ? ” me semble plutôt pertinente.

On réfléchi (ou devrait réfléchir) plus à comment économiser les ressources et moins se déplacer que aller toujours plus loin, tjs plus vite &nbsp;en gaspillant les ressources.



Avant tous ces gds projets énergivores, il faudrait AMHA résoudre le pb essentiel de l’énergie sur Terre. Cela pourrait être par ex la maîtrise de la fusion nucléaire. Tant qu’on aura pas maîtrisé le pb de l énergie, tous ces projets resteront AMHA qu à l étape d idées.&nbsp;

Ma réflexion est bien sur un usage “main stream” sur la philosophie d’équité durable entre tous les humains.

D’un autre côté, il y aura tjs des projets délirant comme ceux ci fait par des milliardaires pour les milliardaires, en faisant fit du gaspillage des ressources… On peut s en réjouir pour le côté technique, mais pas sûr du tout que cela soit bénéfique pour l’humanité…

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Non, là il y a une ambigüité:

Faut-il lire: 3 fois la vitesse du son (cette dernière est de 1200mk/h)

ou bien : 3 fois la vitesse du son (soit 3600km/h tous calculs faits) ?



De toute façon, parler de la vitesse du son sans dire précisemment dans quel milieu, ça n’a pas de sens.

(À moins que je sois passé à côté d’un usage qui serait: «quand on ne précise pas, c’est la vitesse du son dans l’air à la pression atmosphérique usuelle.)

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EricB a écrit :



Rien qu en termes énergétiques, c est complètement monstrueux!&nbsp;



&nbsp;

L’énergie est un problème à l’échelle du transport planétaire.&nbsp;

L’énergie nécessaire à des allers-retours vers Mars, c’est peanuts en comparaison.&nbsp;

Pour s’en convaincre: Elon Musk a parlé de produire le carburant sur Mars. Si l’infrastructure minimaliste d’une colonie martienne est capable de produire le carburant nécessaire, alors c’est une broutille pour la Terre.





Rappelons que les compagnies ont d ailleurs arreter le concorde

notamment parce qu il demande bcp trop d energie pour le gain de temps.

&nbsp;

“pour le gain de temps”. En effet.&nbsp;

Mais je ne vois pas de quel “gain de temps” on parle quand on évoque le sujet de la colonisation martienne.&nbsp;

On parle d’un projet unique à l’échelle de l’humanité, pas de gagner 3h sur un trajet d’avion.

&nbsp;



comme certains ici, hors propagande/vendre du rêve, j ai du mal à voir

un intérêt concret à aller sur Mars, cad avec retour sur investissement.

&nbsp;&nbsp;

Mars One envisage un retour sur investissement.&nbsp;Pour moi, c’est illusoire.&nbsp;

IMHO l’intérêt d’aller sur Mars à l’échelle humaine, c’est de débuter une éventuelle conquête spatiale. Et à l’échelle de l’individu, c’est de participer à créer une société à partir de rien, d’avoir un rôle.&nbsp;

Et bien sur, de satisfaire à la fois la curiosité et l’envie d’aventure de nombreuses personnes.


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Crillus a écrit :



Je reconnais qu’actuellement c’est certainement l’argument le moins utile, mais si on progresse sur le sujet du transport nul doute que ça deviendra le sujet numéro 1 devant toute forme de recherches pour le bien commun.





oui enfin on va déjà pas chercher de l’helium 3 sur la lune car c’est trop cher alors sur mars …..


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darkbeast a écrit :



oui enfin on va déjà pas chercher de l’helium 3 sur la lune car c’est trop cher alors sur mars …..





Avant d’aller chercher de l’He3, encore faut-il en avoir l’utilité…


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EricB a écrit :



comme certains ici, hors propagande/vendre du rêve, j ai du mal à voir un intérêt concret à aller sur Mars, cad avec retour sur investissement.



Rien qu en termes énergétiques, c est complètement monstrueux! Rappelons que les compagnies ont d ailleurs arreter le concorde notamment parce qu il demande bcp trop d energie pour le gain de temps.      

Vouloir voler à Mach20, avec quoi? Cad quelle energie durable sans trop de conséquences néfastes sur l environnent?



edit: ds un autre domaine de transport, le train, on saurait faire des TGV capable de à 400 ou 500km/h en prod, mais les besoins en energie (augmentation quadratique par rapport à la vitesse) ne les rendent pas rentables. C est pourquoi on reste à 300-350 depuis 20 ans.





si les tgv ne vont pas à leur vitesse maximal, c’est surtout qu’il faudrait refaire toute les infra des voies ce qui couterait trop cher


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Faith a écrit :



Avant d’aller chercher de l’He3, encore faut-il en avoir l’utilité…





il y a déjà pas mal de débouché dans des générateurs, c’est juste qu’il faudrait en avoir pas mal (200t par an pour les usa environ) et il qu’il est abondant sur la lune


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Pas complètement d’accord : envisager des solutions multiples, c’est aussi élargir la connaissance et l’expérience.

Mais oui, sur le fond de ton propos, l’absence de totale mutualisation des moyens avec chacun essayant de tirer la couverture à lui-même ne peut que provoquer une belle part de gâchis.

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Pense à la vulgarisation la plus banale : la vitesse du son “standard”, quand tu entends le bang d’un avion passant en supersonique au-dessus de ta tête (ou pas loin).

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darkbeast a écrit :



il y a déjà pas mal de débouché dans des générateurs,



A ma connaissance, il n’existe encore aucun générateur capable d’exploiter l’He3. &nbsp;

Quand on aura développé des prototypes, il sera temps de chercher de l’He3 sur la Lune. Chaque chose en son temps !



&nbsp;


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Faith a écrit :



A ma connaissance, il n’existe encore aucun générateur capable d’exploiter l’He3. &nbsp;

Quand on aura développé des prototypes, il sera temps de chercher de l’He3 sur la Lune. Chaque chose en son temps !



&nbsp;





sauf que pour faire de la recherche concrète il en faudrait quelques tonnes, qu’on a pas et qu’il faudrait donc aller chercher sur le gros caillou au dessus de nos têtes.


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darkbeast a écrit :



si les tgv ne vont pas à leur vitesse maximal, c’est surtout qu’il faudrait refaire toute les infra des voies ce qui couterait trop cher







Il y a pas mal de problèmes techniques à résoudre pour lancer un TGV à 500, voire 600 km/h sur les rails :



-capter le courant : déjà, en arrivant à 350 km/h, le train rattrape l’onde formée sur la caténaire par le contact du pantographe qui frotte sur cette dernière. C’est le plus gros problème ;



-le freinage aussi : c’est pas tout de se lancer à 600 km/h, si c’est pour ne pas pouvoir s’arrêter, ou avoir besoin de 15 km pour freiner…



-les infrastructures enfin, c’est le moindre des problèmes à vrai dire : les voies de TGV ne sont pas calculées, en termes de rayons de courbure et d’armement de la ligne, pour des vitesses de 600 km/h ;



-enfin, le mur de l’aérodynamisme : au-dessus de 700 km/h, le frottement de l’air rend toute propulsion par roues impossible, et il faut passer à autre chose (genre maglev). Mais on n’en est pas encore là…


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“Des projets sont en cours, comme le&nbsp;Falcon Hypersonic Technology Vehicule de la DARPA (une agence du département de la Défense des États-Unis)&nbsp;qui a déjà effectué deux vols d’essai en 2010 et 2011, mais dont on n’entend plus parler depuis. “&nbsp;Falcon c’est déjà pris… il faudra qu’ils trouvent autre chose; si jamais il vole leur coucou.





La mise en forme n’est pas toujours respectée lorsqu’on poste un message… ça a l’air assez aléatoire, mais ça nuit à la lisibilité. Et l’édition n’y change rien <img data-src=" />

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Sujet qui revient souvent, car cette possibilité n’est pas vaine.

Déjà en 95 j’avais assisté à une conférence sur les projets de terraformation de Mars par l’utilisation de l’eau et sa séparation en hydrogène pour les fusées au retour et l’oxygène pour inverser le phénomène de dissipation de l’atmosphère martienne.



Atmosphère qui s’échappe suite à une trop faible gravité. Mais selon les calculs à l’époque, il faudrait 150 ans pour arriver à une atmosphère vivable pour l’homme. Une atmosphère comme dans les hautes altitudes.



Si on découvre des énergies fossiles, ce serait révolutionnaire, à plus d’un titre. Preuve de la vie à une époque, et pour nous une énergie en abondance sur place.

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sioowan a écrit :



Sujet qui revient souvent, car cette possibilité n’est pas vaine.

Déjà en 95 j’avais assisté à une conférence sur les projets de terraformation de Mars par l’utilisation de l’eau et sa séparation en hydrogène pour les fusées au retour et l’oxygène pour inverser le phénomène de dissipation de l’atmosphère martienne.



Atmosphère qui s’échappe suite à une trop faible gravité. Mais selon les calculs à l’époque, il faudrait 150 ans pour arriver à une atmosphère vivable pour l’homme. Une atmosphère comme dans les hautes altitudes.



Si on découvre des énergies fossiles, ce serait révolutionnaire, à plus d’un titre. Preuve de la vie à une époque, et pour nous une énergie en abondance sur place.





dans 150 ans on vivra sous l’eau de toutes façons


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Commentaire_supprime a écrit :



-les infrastructures enfin, c’est le moindre des problèmes à vrai dire : les voies de TGV ne sont pas calculées, en termes de rayons de courbure et d’armement de la ligne, pour des vitesses de 600 km/h ;





Le tgv qui s’est planté dans un virage il y’a quelques mois roulait à moins de 300 et c’est la vitesse qui est en cause. Donc seul une partie de réseau permettrais de rouler à 600, le tgv emprunte encore des voies pas faites pour lui.


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waterworld <img data-src=" />









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sr17 a écrit :



Le sens de ce que j’ai dit, c’est qu’on ne fait plus autant de grandes découvertes capitales que pendant les deux siècles précédent.





Cette affirmation est en fait une tautologie.

Les “grandes découvertes capitales” ne sont identifiées que plusieurs décennies après le début de leur étude, et accessibles au public qu’encore plus tard. Ce qui fait qu’on ne trouve jamais de “grande découverte capitale” contemporaine.

C’est l’affirmation préférée de gens aimant se complaire dans l’auto-flagellation.


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



Ce n’est pas une spéculation:

l’informatique est une science logique, elle existait avant les ordinateurs. Elle s’étudie très bien sans écran, sur du papier. Un cours d’algo ou la présentation d’une machine unaire, c’est de l’informatique.







Même s’il est vrai que la base mathématique et logique existait avant l’avènement des ordinateurs, prétendre que l’informatique s’étudierait bien sans un ordinateur est objectivement faux.



A une époque lointaine quand les ordinateurs étaient coûteux et rares, cela s’est pratiqué. On sait ce que cela a donné, on en est revenu.



Parce que tout le savoir faire de ce domaine ne se limite pas aux quelques principes simples qui existaient avant l’avènement des ordinateurs physiques.





La loi de Moore, c’est du charabia commercial démenti depuis des décennies, et ton exemple comme preuve du ralentissement EST une ânerie.





La loi de Moore a beau être un concept empirique, il n’empêche que le fait que la puissance des ordinateurs plafonne est une réalité plus que concrète.



-La fréquence n’augmente plus : On se heurte désormais aux lois de la physique.

-La finesse de gravure se rapproche inéluctablement de la taille minimale que l’on ne pourra pas dépasser. (Tous les fondeurs confirment que les couts liés à la finesse de gravure sont en train d’exploser.)

-La densité en transistors se heurte au mur de la consommation et de la chaleur.

-L’architecture des processeurs fait déjà appel a de nombreuses techniques extrêmement sophistiquées pour tirer des l’IPC.



Même si je ne doute pas que l’on trouvera encore quelques astuces pour gagner un peu de temps et beaucoup de marketing pour masquer le problème, la fin de l’age d’or de l’informatique est bien une réalité concrète.





Pour le reste, quand je dis que ta prose est un tissu d’ânerie (ce que je maintiens et confirme), je juge ton texte, pas toi, c’est pourquoi ce n’est pas un jugement ni une insulte.





Dire que les idées de quelqu’un sont un tissu d’ânerie, c’est juste le summum du mépris. C’est également poser la certitude du fait que son propre jugement constituerait l’absolu et que ceux qui ne le partagent pas manqueraient d’intelligence.





Ce n’est pas par respect pour toi, c’est seulement parce que ta personne ne m’intéresse pas, je ne parle que de ton texte.





On peut parler d’un texte en employant des termes qui restent courtois. “Je ne partage pas ton point de vue”. “Je ne suis pas d’accord avec ton argument”.



Si l’on aime la science, on ne devrait jamais oublier que les plus grands noms de la science que l’on vénère aujourd’hui comme des dieux ont eu parfois des heures sombres parce que leurs idées révolutionnaires choquaient les idées reçues de leur temps.


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Faith a écrit :



Cette affirmation est en fait une tautologie.

Les “grandes découvertes capitales” ne sont identifiées que plusieurs décennies après le début de leur étude, et accessibles au public qu’encore plus tard. Ce qui fait qu’on ne trouve jamais de “grande découverte capitale” contemporaine.

C’est l’affirmation préférée de gens aimant se complaire dans l’auto-flagellation.







C’était peut être vrai au XIX siècle. Mais il faut prendre conscience que de nos jours, l’information circule bien plus vite.

De nos jours, il n’est pas rare que des recherches soient bien médiatisées avant même d’avoir abouties.



Il n’y a pas d’auto flagellation dans le fait de comprendre qu’il y a épuisement progressif.



Les premiers chercheurs ont fait des découvertes capitales avec des pommes et un arbre et plus tard, dans le fond de leur petit labo.



Aujourd’hui, il faut une armée de chercheurs, des machines gigantesques au cout astronomique pour espérer découvrir encore quelque chose de nouveau.



Quand le plus facile à découvrir a déjà été découvert, il reste ce qui est difficile… et de plus en plus difficile. C’est assez logique…



Je comprends que ce n’est pas une idée très séduisante, ni pour le moral, ni pour l’ego de l’homme. Mais le réalisme est parfois une bien meilleure philosophie que de prendre la mauvaise habitude qui consiste à se faire vendre du rêve…


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Le pire c’est qu’il a l’air de croire à sa théorie, c’est même pas pour s’amuser à faire rager les geeks (ce qui aurait été parfaitement honorable).

Un paumé.

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lincruste_2_la vengeance a écrit :



Le pire c’est qu’il a l’air de croire à sa théorie, c’est même pas pour s’amuser à faire rager les geeks (ce qui aurait été parfaitement honorable).

Un paumé.







Merci pour tes compliments, jeune padawan, ça me va droit au cœur <img data-src=" />


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sr17 a écrit :



-La densité en transistors se heurte au mur de la consommation et de la chaleur.







Heuuuuu, comment dire, ces dernières années n’ont pas le vent en poupe de ton dialogue ta simplification.

Regardons historiquement les TDP d’un CPU et d’un GPU, on est en retrait sur le TDP; à part le dernier quiqu’alaplusgrosse, tous les usages normaux sont bcp plus économes et plus fins en usage.



Bref, j’ai plus l’impression qu’on parle d’un aigri qui ne voit pas l’intérêt de changer une puissance X moyennant 300W brulés à Y moyennant 30W brulés parce que X est trop proche de Y.



Après, selon l’usage, X conviendra très bien à mes parents qui n’allument le PC que 10h/semaine; tandis que Y n’est pas négociable pour moi qui tourne h24 avec le PC dans la pièce de vie (donc fanless please).



Mais nier le gap, c’est un peu continuer à vivre avec un athlonen 2016.


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&nbsp;





sr17 a écrit :



C’est un peu de la méthode Coué. Même s’il y a quelques nouvelles voies, ce n’est rien à côté du boulevard qu’avaient les chercheurs du temps des pionniers.



Comme je l’ai dit, il y a encore à faire dans l’application de l’informatique. Mais c’est de l’application, pas de la découverte.



Vous seriez surpris de constater a quel point ce que certains prennent pour de la nouveauté ont été inventées il y a fort longtemps.





Franchement tu racontes beaucoup de bêtises dans tes commentaires.





  1. quel boulevard ? Et plus on cherche, plus on se pose de question. On a trouvé bien plus de choses au 20e siècle qu’aux siècles précédents, et si on compte ces 15 dernières années, ça a dû encore accélérer.

  2. en informatique, il y a encore beaucoup de choses à chercher, je pense simplement au sujet de doctorat de mon frère sur la preuve de programme, qui se base sur des mathématiques, et les voies de recherche ne manquent pas.



    1. Oui ça on sait, pour peu qu’on ait une certaine culture informatique.







      sr17 a écrit :



      Paradoxalement, cet aspect est compliqué à résoudre, mais pas insoluble. Le vrai problème, c’est plutôt le coût de production et le coût de l’énergie.&nbsp;



      Ce qui a foutu en l’air toutes les prédictions, c’est qu’on pensait que la science serait à même de découvrir des sources d’énergie très puissante et compactes beaucoup plus facilement. Il n’en a rien été.&nbsp;





      Ah. Et comment on fait voler les avions ? Et si on fait voler des avions de 200 tonnes, on ne peut pas faire voler des voitures d’une tonne ? Le problème des voitures volantes et qu’il s’agit d’avions, et que c’est autrement plus délicat à “conduire” (+ risques de crash et de collision, surtout près du sol ou sur les bâtiments). Et le pétrole est déjà une source d’énergie puissante et compacte (avec 50 l certaines voitures font près de 1000 km).







      sr17 a écrit :



      Le premier problème, c’est qu’il n’y a rien de plus difficile que de mesurer l’accès concret à tout cela dans la pratique.&nbsp;

      Le second problème, c’est que cela ne définit toujours pas ce qui fait l’essentiel du bonheur humain.&nbsp;

      Il y a des gens qui vivent parfaitement heureux au fin fond d’un pays défavorisé et des personnes qui se suicident dans nos pays “développés” alors qu’elles ont théoriquement un bon niveau de vie, mais objectivement une jolie vie de merde dans la pratique.&nbsp;





      Evidemment que c’est très facile de mesurer l’accès à l’eau potable, aux médicaments, l’espérance de vie, etc. Et on le fait.

      Je n’ai pas parlé de bonheur, on va éviter de se lancer dans des notions vagues et peu mesurables (contrairement au niveau de vie et d’hygiène au sens large). Jusqu’à présent les gens fuient les pays pauvres (où manquent beaucoup de choses comme la santé et la paix) pour aller dans des pays où la vie y est plus facile, et très rarement l’inverse, alors évite de trop relativiser sur les pays développés (sans guillemets).







      sr17 a écrit :



      Rien à voir avec la mécanisation. C’est une simple question de structure juridique et comptable.&nbsp;





      Haha, la structure juridique et comptable au Burkina-Faso (exemple pris au hasard), c’est sûr que c’est ça qui change leur agriculture.&nbsp;







      sr17 a écrit :



      Pour les statistiques, c’est exactement la même chose. Il faut avoir beaucoup de discernement, d’esprit critique et de connaissances du sujet pour pouvoir en tirer des conclusions pertinentes.





      Sans blague… C’est la première chose qu’on apprend en cours de statistiques (j’en ai fait jusqu’en maîtrise).

      Donc non on ne fait pas dire n’importe quoi au chiffre, sauf si tu prends une minorité d’études mal conduites.



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Effectivement, quand je lis : on a pas de marché viable pour un supersonique qu’on saurait faire techniquement maintenant, mais l’avenir est à l’hypersonique qu’on ne sait pas faire du tout, la jauge de mon bullshitmètre s’affole.

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“De plus, c’est&nbsp;Boeing&nbsp;qui construit le premier étage de la fusée Saturne V”

bon c’est plus trop d’actualité tout de même…



mais merci Seb pour ces articles. J’ai beau suivre ça de très près par différents canaux, lire un bel article de synthèse c’est un vrai plus. et l’actualité sur le sujet devient vraiment dense. en attendant l’épilogue du Google Lunar Xprize&nbsp; cette année.. !

&nbsp;

&nbsp;

D’ailleurs ça m’amène à un HS. et à la fin de mon abonnement premium. J’apprécie vraiment la qualité et la diversité des articles, tech, droit, libertés, space.. et la communauté qui sait en général se tenir et faire du site un espace de rencontre et d’échanges.

mais DAVID … où est le TShirt de mon dernier abo 24 mois avec option tshirt. c’était le bordel à l’époque mais c’est carrément passé à la trappe ?? ;)



ok je file me réabonner quand même.

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réabo 24 mois fait.



longue vie à NXI

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barlav a écrit :



Heuuuuu, comment dire, ces dernières années n’ont pas le vent en poupe de ton dialogue ta simplification.

Regardons historiquement les TDP d’un CPU et d’un GPU, on est en retrait sur le TDP; à part le dernier quiqu’alaplusgrosse, tous les usages normaux sont bcp plus économes et plus fins en usage.



Bref, j’ai plus l’impression qu’on parle d’un aigri qui ne voit pas l’intérêt de changer une puissance X moyennant 300W brulés à Y moyennant 30W brulés parce que X est trop proche de Y.



Après, selon l’usage, X conviendra très bien à mes parents qui n’allument le PC que 10h/semaine; tandis que Y n’est pas négociable pour moi qui tourne h24 avec le PC dans la pièce de vie (donc fanless please).



Mais nier le gap, c’est un peu continuer à vivre avec un athlonen 2016.







Personne ne nie les progrès de gain en consommation des CPU et GPU ces dernières années ni son intéret… bien au contraire.



Ce sont justement tous les progrès effectués depuis le pentium 4 sur la consommation qui ont permis de continuer à augmenter le nombre de transistors et de dépasser le mur devant lequel intel butait avec son P4 Prescott.



Ce que vous ne réalisez pas, c’est que le nombre de techniques pour faire cela n’est pas infini. Une fois épuisées…. et logiquement avec le temps, ça sera de plus en plus difficile d’en trouver d’autres.



Je ne peut pas prédire exactement à quel moment l’industrie se prendra le mur car une découverte peut toujours intervenir et repousser l’échéance de quelques années.



Mais je pense que si vous êtes jeunes, vous vous rappellerez dans quelques années de mes propos qui n’ont d’ailleurs rien d’original. Dans l’industrie informatique, tout le monde sait que la fantastique courbe de progrès qu’a connu l’informatique s’arrêtera un jour. Et les signes d’essoufflement pourraient bien montrer qu’on est peut être proche de cette échéance.



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luk a écrit :



Effectivement, quand je lis : on a pas de marché viable pour un supersonique qu’on saurait faire techniquement maintenant, mais l’avenir est à l’hypersonique qu’on ne sait pas faire du tout, la jauge de mon bullshitmètre s’affole.







Les américains, on les connait depuis le temps.



En attendant, avec l’Angleterre, la France est le seul pays à avoir fait un vrai supersonique commercial, un truc qui a vraiment existé et volé tous les jours, pas juste sur le papier.


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“Je ne peux pas prédire exactement à quel moment l’industrie se prendra le mur car une découverte peut toujours intervenir et repousser l’échéance de quelques années. ”



Oui, tu ne peux pas être Nostradamus.



Moi non plus, je ne sais pas comment les banques continueront d’augmenter le capital sur terre chaque année, ni comment 2020 s’orientera pour la lithographie et la conception architecturale d’une puce.

Mais je bosse dans le 2nd domaine, et tes arguments ne sont pas très factuels, c’est pour ça, je te poussais à sortir de cette rhétorique “un jour, j’aurais raison!”



PS, juste pour clarifier: Quand tu achètes une puce “gravée en 14nm”, quasiment rien dans cette puce ne mesure 14nm.

Donc quand tu lis un article qui parle d’une limite physique une fois atteint la poignée de nanomètres, même si cette assertion parait vraie en 2016, il reste de la marge à l’industrie pour te vendre une puce “gravée en 7nm” avec réellement l’ensemble du process sous les 40nm. Et en 2022 on en reparle, de ces limites imaginées avec les techniques de l’époque. Moi je suis confiant de la vision que j’ai.



Par contre pour les banques j’en sais vraiment rien <img data-src=" />

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enfin… tout le monde à compris que pour arriver à cette vitesse il faut sortir de l’atmosphère….&nbsp;

rien à voir avec un pénible mach2 du concorde (dans le principe)

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11 pages de commentaires …

L’ espace n’ est plus un espace&nbsp; de prosélytisme politique ou militaire.

On n’ ira plus sur la Lune juste pour se la jouer “on est les plus forts !!!”.

Si une entreprise du secteur aérospatiale se lançait dans l’ aventure d’ une mission sur Mars, ce serait juste pour en espérer des retombées en terme d’ image pour un but commercial.

Ce serait super coûteux et je n’ en vois aucune qui dispose d’ assez de moyens pour se le permettre.

Et en aucun cas, ce ne pourrait être une mission “sec” sans mission automatisée préparatoire à moins de vouloir risquer la vie de l’ équipage.

Comme pour la Lune, il y aura l’envoi préalable de nombreux robots pour préparer le terrain,&nbsp; assurer la sécurité de la mission et vérifier sa faisabilité.

Alors 2030 ou 2040, cela me parait trop jeune avant qu’ un homme mette le pied sur Mars.

Réaliser une base spatiale sur notre satellite naturel&nbsp; qu’ est La Lune me semble une étape bien plus logique que réaliser n’ importe quelle mission sur Mars.

Il faut espérer la réussite de SPHÈRE 3 après l’ échec de Sphère 2 pour que l’habitabilité de l’ espace&nbsp; devienne une réalité et engendre une vraie raison d’ aller sur Mars.

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OlivierJ a écrit :



Franchement tu racontes beaucoup de bêtises dans tes commentaires.





  1. quel boulevard ? Et plus on cherche, plus on se pose de question. On a trouvé bien plus de choses au 20e siècle qu’aux siècles précédents, et si on compte ces 15 dernières années, ça a dû encore accélérer.







    Je vous engage à comparer les découvertes faites ces derniers temps et les moyens consacrés avec les découvertes des pionniers du 19 et du 20ième siècle.



    Comparez les moyens et les découvertes d’une Marie Curie dans le fond de son labo et celles de l’armée de chercheurs derrière leur accélérateur de particules qui coûte une montagne d’argent.



    Autre exemple, dans les semi conducteurs, pour gagner en finesse de gravure, il faut autrement plus de recherches et d’argent aujourd’hui qu’il y a 40 ans.



    Sincèrement, je pense que ce que je dit n’est pas du tout des bêtises. Mais je pense aussi que ça ne sers à rien de continuer d’en discuter. Réfléchissez y et faites vous votre avis…





  2. en informatique, il y a encore beaucoup de choses à chercher, je pense simplement au sujet de doctorat de mon frère sur la preuve de programme, qui se base sur des mathématiques, et les voies de recherche ne manquent pas.





    Et pour cause, l’informatique est l’une des science les plus jeune.



    Pas de secret, il y a beaucoup moins de gens qui sont passés avant eux qu’en science fondamentale.



    Mais je me souviens d’un temps ou il y avait tant à découvrir. Ce temps la est déjà révolu…





    Ah. Et comment on fait voler les avions ? Et si on fait voler des avions de 200 tonnes, on ne peut pas faire voler des voitures d’une tonne ? Le problème des voitures volantes et qu’il s’agit d’avions, et que c’est autrement plus délicat à “conduire” (+ risques de crash et de collision, surtout près du sol ou sur les bâtiments).





    Pourtant, c’est bien au ras du sol, la ou les voitures roulent sans voler que l’environnement est le plus encombré et difficile. Et pourtant, on envisage bien de faire des voitures qui roulent seules…



    A quelques dizaines de mètres, dès qu’on passerait au dessus des immeubles, il y a de la place, beaucoup plus d’espace et moins d’obstacles.

    Les phénomènes aérodynamiques ne sont pas si difficiles à appréhender et à stabiliser avec des ordinateurs. Il suffit de voir ce que font les drones avec quelques puces…



    Reste le problème qu’effectivement, cela poserait indéniablement plus de problèmes de sécurité.



    Mais attention, je n’ai pas dit que c’est facile, juste que ce n’est pas insoluble.





    Et le pétrole est déjà une source d’énergie puissante et compacte (avec 50 l certaines voitures font près de 1000 km).





    Je te l’accorde. Mais la science fiction rêvait de sources d’énergies capables de propulser l’équivalent d’une voiture dans l’espace.



    Quand aux dérivés du pétrole, c’est une énergie limitée et polluante.



    Tu notera que de nombreux prototypes de voitures volantes existent et certains sont même fonctionnels (même s’ils ne se pilotent pas tout seuls), mais ils semblent tous issus de petits concepteurs.



    Déjà l’humanité sait que tout le monde ne pourra pas posséder sa voiture, ça sera encore plus vrai pour une voiture-avion qui est autrement plus coûteuse à construire et consomme autrement plus.



    Je ne vois pas des très grands industriels se lancer dans une voie qui ne pourra jamais atteindre un volume de production très important, même si on solutionne le problème du pilotage. Et c’est certainement la raison pour laquelle aucune multinationale n’investit massivement dessus.





    Evidemment que c’est très facile de mesurer l’accès à l’eau potable, aux médicaments, l’espérance de vie, etc. Et on le fait.





    Facile ?



    Quand on voit nos “élites” tomber des nues en découvrant la pauvreté qu’il y juste sous leurs fenêtres…



    Et toute l’hypocrisie qu’il y a autour de l’accès aux soins “théoriquement accessible à tous” sur le papier, mais dont beaucoup de gens pauvres se passent dans la pratique faute de moyens, que ce soit en Europe ou aux USA.



    Vu les difficultés qu’on a déjà a savoir ce qui se passe réellement ici, permet moi de douter de notre capacité à savoir ce qui se passe dans un pays lointain.



    Dans la vie, il y a la théorie et la pratique.





    Je n’ai pas parlé de bonheur, on va éviter de se lancer dans des notions vagues et peu mesurables (contrairement au niveau de vie et d’hygiène au sens large).





    Justement, le problème c’est bien que ne mesurons pas ce qui est le plus important : est ce que les gens sont vraiment heureux et quelles sont les variables qui influent sur le bonheur.



    Faute de se poser les bonnes questions, tous nos choix de sociétés sont faussés.



    Nous arrivons à des non sens évidents. Des pays qui ont de bons chiffres économiques, avec une proportion toujours plus grande de personnes malheureuses (si on en croit les statistiques…).



    Des personnes qui bossent dans des multinationales et qui ont “tout” suivant les critères de niveau de vie mais dont le taux de suicide est curieusement plus élevé que dans une tribu pauvre au fin fond de l’Afrique.



    Un monde qui s’extasie sur sa productivité toujours plus grande de merdouilles en plastique… et qui produit toujours plus d’exclus…



    Alors oui, il est difficile de quantifier le bonheur avec des chiffres. Ce qui implique que sur certains sujets, toute la science du monde ne remplacera jamais la sagesse et l’expérience de la vie.



    Cela dit, je pense qu’un peu plus de formation en sciences sociales de terrain améliorerait grandement la compréhension théorique.





    Jusqu’à présent les gens fuient les pays pauvres (où manquent beaucoup de choses comme la santé et la paix) pour aller dans des pays où la vie y est plus facile, et très rarement l’inverse, alors évite de trop relativiser sur les pays développés (sans guillemets).





    Justement, il faut connaitre les réalités de terrain pour comprendre.



    Ceux qui partent de leur pays pour immigrer en occident n’ont la plupart du temps pas la moindre idée de ce qu’ils vont trouver réellement. Le satellite transmet des images de télévision, ils voient des voitures, des gens bien habillés. Ce qu’ils imaginent est un fantasme d’eldorado qui ne correspond à aucune réalité. Bien sûr arrivés ici, beaucoup déchantent.



    Ensuite, il y a ceux qui viennent pour travailler parce que le taux de change entre notre monnaie et celui de leur pays leur permettra de se payer un hotel ou un commerce chez eux et de vivre richement après seulement quelques années de travail misérable ici.





    Haha, la structure juridique et comptable au Burkina-Faso (exemple pris au hasard), c’est sûr que c’est ça qui change leur agriculture.





    Pas besoin d’aller au Burkina-Faso.



    Tonds ta pelouse : tu n’a rien produit. Aucune statistique n’a bougé par cette action.



    Monte une entreprise et facture la tonte de la pelouse à toi même : Ta production existe dans les statistiques.



    Une famille qui vit dans une tribu au fin fond de la brousse n’existe statistiquement pas. Le bonheur de son mode de vie n’est quantifié nulle part. Quand la grande industrie vient exploiter un pays, il rentre dans les statistiques… et l’on pense avoir apporté le bonheur au gens.





    Sans blague… C’est la première chose qu’on apprend en cours de statistiques (j’en ai fait jusqu’en maîtrise).

    Donc non on ne fait pas dire n’importe quoi au chiffre, sauf si tu prends une minorité d’études mal conduites.





    Le problème, c’est qu’en statistique, la rigueur des chiffres et des méthodes ne suffit pas. Il n’existe aucune méthodes pour prouver mathématiquement qu’on ne s’est pas trompé dans une analyse, qu’on a bien collecté des données pertinentes au bon endroit. Et surtout que les données veulent dire ce qu’on imagine qu’elles veulent dire.



    Il faut faire du marketing pour apprendre que selon l’angle de vue que l’on adopte dans l’analyse, un même fait peut donner une conclusion très différente. Pour simplifier à l’extrême, c’est l’exemple du verre à moitié vide/à moitié plein. Dans les deux cas, l’analyse est juste…



    Enfin, il faut comprendre que le simple fait d’isoler un chiffre du contexte qui l’a généré (contexte social, etc..) peut lui enlever toute pertinence pour celui qui l’analysera. C’est un peu comme quand on analyse une phrase sortie d’une conversation. Elle peut perdre de son sens par le simple fait d’avoir enlevé le contexte qui permet de la comprendre.




















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Tu noies quelques propos sensés dans un gloubi-boulga indigeste de choses approximatives ou erronées&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;. Je m’arrête là même s’il y a encore beaucoup à dire.

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OlivierJ a écrit :



Tu noies quelques propos sensés dans un gloubi-boulga indigeste de choses approximatives ou erronées <img data-src=" /> . Je m’arrête là même s’il y a encore beaucoup à dire.







J’était certain de ta réponse dans la mesure ou j’ai développé des angles de vision avec lesquels tu ne semble pas très à l’aise.



Il faut savoir qu’il existe d’autres modes de pensée que le cartésianisme dont la redoutable limite est l’incapacité d’appréhender des phénomènes réelles quand ils ne sont pas (ou pas encore) quantifiables de manière numérique et précise.



D’où la situation très embêtante auquel on aboutit si l’on n’apprends pas à penser autrement : Le cartésien refuse d’appréhender ce qu’il ne sait pas mesurer. L’ennui, c’est qu’il ne saura jamais mesurer ce qu’il refuse d’appréhender.



La vie est faite de quantités de choses qu’on ne saura jamais mesurer.



Pour le reste, je te pardonne volontiers de mettre fin à cette discussion. Aussi intéressant que soient les discussion sur les forums, c’est chronophage. Et comme on dit, il y a une vie en dehors d’internet.



Je te souhaite une bonne soirée.


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sr17 a écrit :



J’était certain de ta réponse dans la mesure ou j’ai développé des angles de vision avec lesquels tu ne semble pas très à l’aise.





Haha t’es un comique toi. Quand je lis tes propos approximatifs ou fantaisistes&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;. Bref bonne journée.


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Belles perspectives…

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C’est léger côté Mars effectivement, mais au moins ça relance le sujet, on verra bien

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Comme pour Space X cela sent la pêche aux financements (qu’ils soient publics ou privés).



Sinon concernant la conquête de Mars, toujours aussi désolant de voir qu’il n’est pas question d’unir les efforts de tous les organismes susceptibles d’y participer. Il vaut mieux dépenser du temps, de l’argent et de l’énergie chacun dans son coin pour défendre sa bannière (qu’elle soit liée à un état ou à une entreprise) <img data-src=" />

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” Dans tous les cas, l’annonce d’Elon Musk aura au moins eu l’intérêt de

relancer le débat et la concurrence autour de la conquête de Mars “



<img data-src=" /> Ca m’a bien fait rire ! Comme si Boeing avait attendu un discourt public de musk pour commencer à y réfléchir.



Plus sérieusement, j’ai écouté une émission sur France culture, et 2030 semble vraiment tôt pour envisager envoyer des gens sur Mars, 2040 semble plus réaliste.



Car c’est bien beau leur fusée SLS, mais ils vivent dans le “crew module” ?

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carbier a écrit :



Comme pour Space X cela sent la pêche aux financements (qu’ils soient publics ou privés).



Sinon concernant la conquête de Mars, toujours aussi désolant de voir qu’il n’est pas question d’unir les efforts de tous les organismes susceptibles d’y participer. Il vaut mieux dépenser du temps, de l’argent et de l’énergie chacun dans son coin pour défendre sa bannière (qu’elle soit liée à un état ou à une entreprise) <img data-src=" />







Pour l’instant, ce sont des propositions. Il est évident qu’on ne pourra pas faire 36 projets pour aller là-haut, et qu’il faudra bien un programme unique.



Au passage, Boeing est nettement plus crédible en maître d’œuvre total ou partiel sur ce dossier que Space X. Et je rappelle qu’on est en année électorale aux USA…


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Déjà à l’époque de la lune les Russe s’intéressait à Mars … donc c’est pas neuf. Mais en ce moment il y a un peu de concret.

La lune a été conquise grâce au financement de la guerre froide, Mars le sera t il grâce a des milliardaire ambitieux ? Si on attendait les politique il serait plus rapide d’y aller a pied <img data-src=" />

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On ne peut pas utiliser les meilleurs cerveaux de la planète pour entretenir celle-ci plutôt que de tout faire pour aller “vivre” (?) sur une planète qui de toute évidence, par son écosystème inéxistant, ne veut pas de nous.

&nbsp;

Quel gaspillage de temps et de ressource.

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Le privée n’a aucun intérêt à s’intéresser à la conquête de Mars autant Space X le but est faire du profit avec l’envoi de satellite autant sur Mars le retour sur investissement est inexistant c’est un gouffre financier que seul de l’investissement public peut envisager. Ceci d’ailleurs pour seul but idéologique être les premiers à le faire (américain/chinois) mais c’est tout.



Et franchement je pense que c’est totalement inutile Mars est invivable l’intérêt scientifique est moindre que des satellites tel que Europe qui présente de l’eau à l’état liquide. Je préfère voir les investissements plutôt envoyé par la pour un intérêt scientifique beaucoup plus grand que sur un pauvre caillou rouge .

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Je crois que 40 000km, c’est la circonférence, et pas le diamètre de la terre.

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Tu as un bouton “signaler un erreur” dans la topbar du site&nbsp;<img data-src=" />

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C’est vrai que la terraformation de Mars, ce n’est pas pour demain. Je suppose que d’ici là, les avancées en matière de robotique et pour peu que nous puissions réaliser des voyages “rapides” entre la Terre et Mars, nous y verrons un autre caillou dont on peut exploiter les minerais (si tant est qu’il y en ait exploitable et pertinent pour nos besoins).

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Vivre sur Mars est un vieux fantasme qui date de la guerre froide et de la course aux étoiles entre les USA et l’URSS, par ailleurs les américains ont souvent eu un complexe d’infériorité par rapport au reste du monde avec Spoutnik notamment mais pas seulement, on pourrait aussi citer le fait que Pluton ait longtemps été considéré comme une planète avant d’être rétrogradé à planète naine pour des raisons pécuniaires et parce qu’il s’agissait de la seule planète découverte par les américains.



Vivre sur Mars en fait rêver plus d’un notamment chez les grosses fortunes prêtes à dépenser lourd pour soutenir cet objectif, ici la recherche est accessoire : autre univers, désire de conquête et d’aventures, et même pour les plus cyniques, domination d’une planète avec des ressources minières monstrueuses et aucune législation.



Et puis c’est aussi beaucoup de pub.

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Merci, je n’y avais pas pensé. Je viens de le faire.

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Crillus a écrit :



Vivre sur Mars est un vieux fantasme qui date de la guerre froide et de la course aux étoiles entre les USA et l’URSS, par ailleurs les américains ont souvent eu un complexe d’infériorité par rapport au reste du monde avec Spoutnik notamment mais pas seulement, on pourrait aussi citer le fait que Pluton ait longtemps été considéré comme une planète avant d’être rétrogradé à planète naine pour des raisons pécuniaires et parce qu’il s’agissait de la seule planète découverte par les américains.



Vivre sur Mars en fait rêver plus d’un notamment chez les grosses fortunes prêtes à dépenser lourd pour soutenir cet objectif, ici la recherche est accessoire : autre univers, désire de conquête et d’aventures, et même pour les plus cyniques, domination d’une planète avec des ressources minières monstrueuses et aucune législation.



Et puis c’est aussi beaucoup de pub.





sauf que même s’il y a des ressources minières sur mars il faudrait pouvoir les rapporter , déjà que les projets d’envois de personnes sur mars ne sont que des aller simple pour l’instant


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Je reconnais qu’actuellement c’est certainement l’argument le moins utile, mais si on progresse sur le sujet du transport nul doute que ça deviendra le sujet numéro 1 devant toute forme de recherches pour le bien commun.

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carbier a écrit :



Comme pour Space X cela sent la pêche aux financements (qu’ils soient publics ou privés).



Sinon concernant la conquête de Mars, toujours aussi désolant de voir qu’il n’est pas question d’unir les efforts de tous les organismes susceptibles d’y participer. Il vaut mieux dépenser du temps, de l’argent et de l’énergie chacun dans son coin pour défendre sa bannière (qu’elle soit liée à un état ou à une entreprise) <img data-src=" />





L’avantage qu’a Boeing c’est que leur lanceur pour aller sur Mars dispose de financements publiques. Ce qui est déjà plus concret.


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sentryman a écrit :



“ Dans tous les cas, l’annonce d’Elon Musk aura au moins eu l’intérêt de

relancer le débat et la concurrence autour de la conquête de Mars ”



<img data-src=" /> Ca m’a bien fait rire ! Comme si Boeing avait attendu un discourt public de musk pour commencer à y réfléchir.



Plus sérieusement, j’ai écouté une émission sur France culture, et 2030 semble vraiment tôt pour envisager envoyer des gens sur Mars, 2040 semble plus réaliste.



Car c’est bien beau leur fusée SLS, mais ils vivent dans le “crew module” ?





Quand ils disent 2030 il faut comprendre “un jour”. Ce genre de date n’a pour l’instant aucun financement ni aucune réalité politique. Malheureusement la NASA navigue a vue dans le domaine de l’exploration humaine de l’espace. Il n’y a pas de politique/plan a long terme.


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je ne crois pas, j’en suis sûr.

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+1

Mais c’est bien trop raisonnable, ça ne fait pas rêver, et c’est contraire au principe du capitalisme qu’est la fuite en avant permanente.

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Même topo sur 3x la vitesse du son (3600km/h)

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Liara T’soni a écrit :



On ne peut pas utiliser les meilleurs cerveaux de la planète pour entretenir celle-ci plutôt que de tout faire pour aller “vivre” (?) sur une planète qui de toute évidence, par son écosystème inéxistant, ne veut pas de nous.

&nbsp;

Quel gaspillage de temps et de ressource.





l’un n’empêche pas l’autre et les “cerveaux”, comme vous dites, ne sont pas les mêmes. et en quoi c’est un gaspillage de ressources moins utile que le dernier iTruc ou la dernière TV hyper HD de la mort qui tue? En réalité ce genres de programmes consomment pas grands choses par rapport à pas mal de dépenses inutiles.


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Le jour où on peut se rendre aux USA ou au Japon en 1 heure, j’achète mes billets.

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comme certains ici, hors propagande/vendre du rêve, j ai du mal à voir un intérêt concret à aller sur Mars, cad avec retour sur investissement.

Rien qu en termes énergétiques, c est complètement monstrueux! Rappelons que les compagnies ont d ailleurs arreter le concorde notamment parce qu il demande bcp trop d energie pour le gain de temps.

Vouloir voler à Mach20, avec quoi? Cad quelle energie durable sans trop de conséquences néfastes sur l environnent?

edit: ds un autre domaine de transport, le train, on saurait faire des TGV capable de à 400 ou 500km/h en prod, mais les besoins en energie (augmentation quadratique par rapport à la vitesse) ne les rendent pas rentables. C est pourquoi on reste à 300-350 depuis 20 ans.

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the_frogkiller a écrit :



et en quoi c’est un gaspillage de ressources moins utile que le dernier iTruc ou la dernière TV hyper HD de la mort qui tue





C’est justement le genre de chose ( que je sous-entendais ) qu’il faut résoudre avant de réécrire la même histoire ailleurs.


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Les Américains sont spécialistes dans ce genre d’étude prospective. Ils balancent un fric formidable dans des études de projet fumeuses, a la sortie tu as quelques dessins 3D accompagnés d’un texte rédigé par un poète, ca ne donne jamais rien concrètement, et quand tu calcules le fric dépensé pour les 3 croquis et les élucubrations qui vont avec, tu hallucines.



En fait, le but est de refiler un bon paquet de pognon à quelques unes de leurs industries en difficulté sans prononcer le gros mot qui provoque l’effroi de tout Américain normalement constitué: SUBVENTION.







&nbsp;

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exact.

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levhieu a écrit :



Je ne suis pas convaincu par la cause donnée par Commentaire_supprime, mais le fait est que dans le lien que tu donnes, il n’a y pas de propulsion par roue très loin au delà de 700km/h.

 

Les engins cités dans le tableau ont des roues, mais elles avancent comme un avion (littéralement).

 

Il y a bien le «Speed Demon» et le «turbinator»qui sont cités en bas de page, mais justement, ils se sont donné bien du mal pour ne pas aller beaucoup plus loin que les dits 700mk/h.







Quand on dit que c’est impossible de dépasser les 700 km/h avec une propulsion par roues, aller à 701 km/h avec une propulsion par roues suffit à rendre l’affirmation fausse.



Après tu as le droit de chipoter encore plus que moi <img data-src=" />


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Il est plus simple d’exploiter des astéroïdes où la différenciation ne s’est pas fait. Tout le minerais est partout.

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Faith a écrit :



Avant d’aller chercher de l’He3, encore faut-il en avoir l’utilité…





Et il n’y a pas vraiment un gisement… encore un serpent de mer de la nasa.


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la_hyene a écrit :



Et il n’y a pas vraiment un gisement… encore un serpent de mer de la nasa.







Bah bien sur que si ! T’as pas vu sur les photos de la nasa ? On voit bien la borne de rechargement He3 libre service ouverte H24 ^^


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sioowan a écrit :



Sujet qui revient souvent, car cette possibilité n’est pas vaine.

Déjà en 95 j’avais assisté à une conférence sur les projets de terraformation de Mars par l’utilisation de l’eau et sa séparation en hydrogène pour les fusées au retour et l’oxygène pour inverser le phénomène de dissipation de l’atmosphère martienne.



Atmosphère qui s’échappe suite à une trop faible gravité. Mais selon les calculs à l’époque, il faudrait 150 ans pour arriver à une atmosphère vivable pour l’homme. Une atmosphère comme dans les hautes altitudes.



Si on découvre des énergies fossiles, ce serait révolutionnaire, à plus d’un titre. Preuve de la vie à une époque, et pour nous une énergie en abondance sur place.







Et on trouve l’eau où, le dessert d’Atacama, le kalahari sont des forêts tropicales par rapport à Mars. Et pour ne pas voir l’oxygène partir, il faut aussi un champ magnétique pour le protéger du vent solaire.


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la_hyene a écrit :



Et on trouve l’eau où, le dessert d’Atacama, le kalahari sont des forêts tropicales par rapport à Mars. Et pour ne pas voir l’oxygène partir, il faut aussi un champ magnétique pour le protéger du vent solaire.







Mais il y a un champ magnétique sur Mars. Il est juste faible et très hétérogène. La NASA en a parlé y a qq mois…


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eliumnick a écrit :



Bah bien sur que si ! T’as pas vu sur les photos de la nasa ? On voit bien la borne de rechargement He3 libre service ouverte H24 ^^







J’ai pas la dernière mise à jour de mon «gps»


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eliumnick a écrit :



Mais il y a un champ magnétique sur Mars. Il est juste faible et très hétérogène. La NASA en a parlé y a qq mois…







très faible.


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la_hyene a écrit :



J’ai pas la dernière mise à jour de mon «gps»







Tss, toi tu veux profiter de l’affichage des radars spatiaux ^^ Délinquant va ! <img data-src=" />


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la_hyene a écrit :



très faible.







Mais suffisamment fort pour pouvoir construire des installations qui permettront à des gens d’y vivre.



Ca permettra dans un premier temps d’avoir une base permanente la bas.



Edit : point que j’ai oublié de préciser : dans CERTAINES zones, pas partout sur la planète.


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eliumnick a écrit :



Tss, toi tu veux profiter de l’affichage des radars spatiaux ^^ Délinquant va ! <img data-src=" />







Aïe démasqué ! Flute !


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Je ne prends pas une expression comme «au dessus de 700km/h» comme signifiant «il existe une limite et elle vaut exactement 700km/h»

Comme je dit dans mon post, la piste que Commentaire_supprime donne pour l’existence d’un mur ne me convainc pas, mais ton lien montre que son ordre de grandeur n’est pas si mauvais (le record est moins de 10% au dessus de 700km/h). Donc, je chipote effectivement, parce qu’il y a matière à chipoter.

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Rufh a écrit :



C’est quelque part aussi un gage de suivie pour l’espèce humaine. Le jour ou un astéroïde comme Apohpis (2029 pour son premier passage à moins de 400 000 Kms soit entre la Terre et la Lune, mais ils doit ensuite repasser plusieurs fois et on ne sais pas si à terme il ne percutera pas la Terre ) nous tombera sur la coin de la gueule je ne suis pas sur que Bruce Willis sera encore la pour nous sauver la mise. Donc avoir une solution de replis sur Mars c’est une bonne chose je trouve.





Quelle solution de replis? Quand bien même on aurait une colonie fonctionnelle sur mars, il n’y a aucune chance pour qu’elle soit totalement autonome vis à vis de la terre avant bien longtemps (si un jour c’est possible).

Ce serait un peut comme dire qu’une station spatiale est une solution de replis parce qu’on y fait pousser 3 salades.<img data-src=" />


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levhieu a écrit :



Je ne prends pas une expression comme «au dessus de 700km/h» comme signifiant «il existe une limite et elle vaut exactement 700km/h»

Comme je dit dans mon post, la piste que Commentaire_supprime donne pour l’existence d’un mur ne me convainc pas, mais ton lien montre que son ordre de grandeur n’est pas si mauvais (le record est moins de 10% au dessus de 700km/h). Donc, je chipote effectivement, parce qu’il y a matière à chipoter.







Chipotons alors.



Comment font les véhicules avec roues non motrices pour aller à 1200 km/h ?



Tu veux dire qu’il existe une force de la nature qui vérifie le mode de propulsion du véhicule pour déterminer les forces aérodynamiques qui l’affecte ?



Sur tout ces véhicules, les roues sont dans la carrosserie pour limiter au maximum la résistance à l’air. Et les frottements avec le sol s’appliquent de la même manière.



Après, dire qu’il est compliqué technologiquement de fabriquer un véhicule qui génère suffisamment d’énergie pour aller à plus de 700 km/h avec des roues motrices, je crois que tous le monde sera d’accord.



A ce niveau, il devient plus simple d’utiliser une turbine/réacteur/moteur dans le genre qui génère une poussé en éjectant de la matière pour produire la quantité d’énergie suffisante.


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Même si l’idée me plait, à part la connaissance, je ne vois pas ce que Mars peut nous apporter.

On ne sera pas là pour le voir et il faut des sous, beaucoup…énormément.

Les développements seront le plus, comme le (four) micro-ondes (mission Apollo) Mais qui va payer ? Il y a plus à faire sur Terre, mais qui veut payer ?

On peut faire un constat, mais il sera amer.

De l’argent, il y en a pour l’armement, les guerres et les téléphones. Arrêtons de faire des téléphones ? <img data-src=" />

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OlivierJ a écrit :



Tu n’as pas compris le problème.

Pour aller de plus en plus vite, il faut vaincre la résistance de l’air, et il faut de plus en plus de puissance (d’énergie aussi, vu que c’est la puissance multipliée par le temps). On peut construire des moteurs plus puissants que ceux qui ont propulsé certains véhicules par roues à près de 700 km/h, mais on se heurte au problème du passage de la puissance au sol : l’adhérence. En gros, les roues commence à patiner.







Euh ? Je ne vois pas ce que je n’ai pas compris :x


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OlivierJ a écrit :



Ces 2 affirmations sont fausses à mon avis. La science et la technique n’ont cessé de voir leur progression s’accélérer. Quant au coût, ça doit dépendre des domaines.







On peut reconnaitre qu’il y a 100 ans, les applications des nouvelles découvertes technologiques avaient un impact facilement identifiable sur les grand public.



Mais parle de fibre optique ou de laser, et les gens ne se rendent pas compte de la technologie en jeu ^^


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eliumnick a écrit :



On peut reconnaitre qu’il y a 100 ans, les applications des nouvelles découvertes technologiques avaient un impact facilement identifiable sur les grand public.



Mais parle de fibre optique ou de laser, et les gens ne se rendent pas compte de la technologie en jeu ^^





Je pense que tu es du même avis que moi, mais voici une liste rapide :



&nbsp;GPS, mobiles, tablettes, voitures avec de la sécurité active (ESP et autre freinage d’urgence ainsi que franchissement de ligne), médicaments et traitements nouveaux, greffes complexes, imagerie médicale en progression (encore maintenant), compréhension accrue du cerveau, systèmes plus économiques ou écologiques pour l’agriculture, traitement des eaux, etc.


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OlivierJ a écrit :



Je pense que tu es du même avis que moi, mais voici une liste rapide :



 GPS, mobiles, tablettes, voitures avec de la sécurité active (ESP et autre freinage d’urgence ainsi que franchissement de ligne), médicaments et traitements nouveaux, greffes complexes, imagerie médicale en progression (encore maintenant), compréhension accrue du cerveau, systèmes plus économiques ou écologiques pour l’agriculture, traitement des eaux, etc.







Clairement ^^



Le “problème” c’est qu’avant il était rapide de trouver une application facilement accessible au grand public.



Aujourd’hui j’aimerais (par exemple) que l’imbrication quantique soit une réalité pratique. La notion de “transfert de données” prendrait un sens complétement différent.



A l’inverse, quand on a compris que chauffer de l’eau génère de la pression, et donc une force mécanique, il est aisé de construire une machine utilisant cette technologie.


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Pour Musk, Mars n’est effectivement pas une manière de gagner de l’argent mais une finalité en soit. Le but affirmé est de faire perdurer l’espèce humaine et la vie au delà de notre planète (pas juste d’y aller pour y aller).



Et quoi qu’on en dise l’objectif est bien plus noble que de chercher à s’enrichir en investissant ici ou là. En prenant du recul c’est même peut-être l’objectif le plus noble qu’on puisse imaginer.



À l’époque des grands explorateurs (financés par de généreux mécènes) le même discours utilitariste critiquait ces sommes énormes englouties dans de grandes expéditions.

Finalement, abandonner “quelques arpents de neige” fut la plus grave erreur historique de la France.

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écoutez les , les vieux dinosaures… Ahahah ! ils voudraient être toujours jeunes et mordant mais ce sont des gros et gras retraités désormais… Ils peuvent bien s’accrocher a leurs séances de coaching et leurs chirurgiens, ils sont au bout, ils sont l’arriéré garde… des croulants lourds et polluants comme leurs avions et leur or noir.

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OlivierJ a écrit :



Ces 2 affirmations sont fausses à mon avis. La science et la technique n’ont cessé de voir leur progression s’accélérer. Quant au coût, ça doit dépendre des domaines.







Je ne partage pas ton avis. Il suffit de constater : Nombreux sont les domaines ou l’on ne découvre plus grand chose.



Après une période de frénésie ou l’on a découvert énormément de choses, la plupart des champs d’études voient les grandes découvertes se raréfier suivant la loi des rendements décroissants. L’augmentation du coût est une simple conséquence de cette loi.



Il n’y a pas de secret, le cerveau humain est fini. Plus le temps passe, plus il faut étudier longtemps pour simplement comprendre l’état de l’art existant. Au fur et à mesure que nous accumulons des connaissances, le temps alloué pour en découvrir de nouvelles se réduit. Ce qui augmente bien en conséquence le coût de l’heure de recherche.



Hier l’humanité rêvait de voitures volantes et de téléportation… mais il se pourrait bien, hélas, que le futur soit de revenir au fait d’utiliser ses pieds ou tout autre moyen de déplacement léger, voir d’évite de se déplacer…





Le niveau de vie n’a quasiment jamais cessé d’augmenter depuis la révolution industrielle ; même dans les pays pauvres sauf que d’ici on s’en rend moins compte, mais les données sont disponibles pour l’après-guerre par exemple :https://www.ted.com/talks/hans_rosling_shows_the_best_stats_you_ve_ever_seen (excellente conférence TED).





L’éternelle illusion de ceux qui confondent productivité avec bonheur humain et chiffres économiques avec niveau de vie.



Quand aux pays pauvres, on a remplacé l’économie agraire traditionnelle par de l’exploitation industrielle.



La différence de niveau de vie est une simple illusion comptable : l’économie traditionnelle et localisée est informelle. Elle ne produit pas de chiffres. La grande industrie en produit.



Typiquement, celui qui vit à l’usine gagne un salaire qui n’existe pas dans le mode de vie traditionnel. On oublie juste de préciser que ces gens n’avaient pas besoin d’argent pour être heureux.



D’ailleurs, on ne mesure toujours pas le bonheur humain, on se contente de poser péremptoirement le fait que l’homme moderne serait plus heureux parce qu’il a un téléviseur et un ipad.



Je remarque que nos discutions tournent finalement autour du même problème, la différence entre la théorie et pratique.



La plupart des gens devraient faire un bon stage de survie et des voyages dans des pays pauvres. Ils comprendraient que beaucoup de conceptions qu’ils ont sur le bonheur et le niveau de vie sont complètement erronés.



Quand aux chiffres, n’importe quel statisticien leur fera dire ce qu’il veut. Toutes formes de conclusions erronées sont possible pour qui ignore les réalités pratiques qui se cachent derrière.


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wagaf a écrit :



Pour Musk, Mars n’est effectivement pas une manière de gagner de l’argent mais une finalité en soit. Le but affirmé est de faire perdurer l’espèce humaine et la vie au delà de notre planète (pas juste d’y aller pour y aller)….







Bah, au fond, ça va changer quoi ?



Le vrai enjeu, mais aussi la vraie difficulté, c’est de quitter le système solaire. Et il faudrait une énorme découverte pour rendre cela possible.



Aller sur la Lune ou Mars, ça ne change pas grand chose pour l’espèce humaine. Particulièrement s’il continue à faire preuve d’aussi peu de sagesse.





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<img data-src=" /> Les limites de vitesses viennent surtout du matériel, et particulièrement de la voie.



Au delà de 300 km/h, le pantographe peut “claquer” dans la vague de la caténaire, il faut alors tendre la caténaire à des niveau difficilement tenable avec les écarts de température.



Sans compter sur l’usure des rails et des bandes de roulement dans les courbes. Ainsi que des roulements à aiguilles dans les boîtiers sur les bogies.



La consommation électrique augmente certes très vite, mais les principales limites sont matérielles et économiques, non physique et énergétique.

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OlivierJ a écrit :



Je pense que tu es du même avis que moi, mais voici une liste rapide :



 GPS, mobiles, tablettes, voitures avec de la sécurité active (ESP et autre freinage d’urgence ainsi que franchissement de ligne), médicaments et traitements nouveaux, greffes complexes, imagerie médicale en progression (encore maintenant), compréhension accrue du cerveau, systèmes plus économiques ou écologiques pour l’agriculture, traitement des eaux, etc.







Malheureusement, tout cela ne découle pas de grandes découvertes, mais de perfectionnement dans l’utilisation de principes connus depuis belle lurette et qui ne sont pas encore exploités à fond.



La vraie réalité, c’est que les vraies découvertes fondamentales sont de plus en plus rares. Et qu’a plus ou moins long terme, c’est ce qui nourrit l’évolution. Dit autrement, nous vivons sur des acquis…



Pire, la plupart des évolutions que tu cites sont en réalité la conséquence d’une seule science : l’application de l’informatique aux autres domaines. L’informatique, l’un des rare domaine qui a encore enregistré de beaux progrès à une époque récente… mais qui commence hélas à s’essouffler sérieusement. Bref, quand on aura fini de croiser l’informatique avec tous les autres domaines existants, ça sera vraiment la misère.



GPS = croisement de la technologie radar et de l’informatique.

ESP/ABS/Freinage d’urgence = Boucle de contrôle capteur-servocommande avec un calculateur entre les deux. Utilisé depuis les années 60 (calculateurs mission Apllo)

Tablette = Ordinateur sous une autre présentation.

GSM = Croisement de l’informatique avec les techologogie des ondes radio (CB, talkie walkie, etc…).

Imagerie médicale = Croisement de l’informatique avec la radiographie (Scanner) et les ondes radio (IRM).



Malgré ce qu’a permis l’informatique, les ficelles de cette science commencent à s’essouffler : c’est la fin de la loi de moore.



Dans de nombreux domaines, on observe que le marketing doit faire preuve de créativité pour compenser l’absence de nouveauté réelle.



L’exemple type, c’est la tablette qui est juste un ordinateur sous une autre présentation.


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linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> Les limites de vitesses viennent surtout du matériel, et particulièrement de la voie.



Au delà de 300 km/h, le pantographe peut “claquer” dans la vague de la caténaire, il faut alors tendre la caténaire à des niveau difficilement tenable avec les écarts de température.



Sans compter sur l’usure des rails et des bandes de roulement dans les courbes. Ainsi que des roulements à aiguilles dans les boîtiers sur les bogies.



La consommation électrique augmente certes très vite, mais les principales limites sont matérielles et économiques, non physique et énergétique.







La question qui se pose aujourd’hui, c’est pourquoi vouloir voyager plus vite ?



Aujourd’hui, internet fait disparaître les distances. D’un clic, tu communiques avec l’autre bout du monde.



Déplacer des millions de gens tous les matins, c’est une vision du passé…



L’homme qui travaille dans une usine, c’est une vision du passé.



L’homme qui fait des kilomètres pour travailler dans un bureau, c’est une vision du passé.


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sr17 a écrit :



Malheureusement, tout cela ne découle pas de grandes découvertes, mais de perfectionnement dans l’utilisation de principes connus depuis belle lurette et qui ne sont pas encore exploités à fond.



La vraie réalité, c’est que les vraies découvertes fondamentales sont de plus en plus rares. Et qu’a plus ou moins long terme, c’est ce qui nourrit l’évolution. Dit autrement, nous vivons sur des acquis…



Pire, la plupart des évolutions que tu cites sont en réalité la conséquence d’une seule science : l’application de l’informatique aux autres domaines. L’informatique, l’un des rare domaine qui a encore enregistré de beaux progrès à une époque récente… mais qui commence hélas à s’essouffler sérieusement. Bref, quand on aura fini de croiser l’informatique avec tous les autres domaines existants, ça sera vraiment la misère.



GPS = croisement de la technologie radar et de l’informatique.

ESP/ABS/Freinage d’urgence = Boucle de contrôle capteur-servocommande avec un calculateur entre les deux. Utilisé depuis les années 60 (calculateurs mission Apllo)

Tablette = Ordinateur sous une autre présentation.

GSM = Croisement de l’informatique avec les techologogie des ondes radio (CB, talkie walkie, etc…).

Imagerie médicale = Croisement de l’informatique avec la radiographie (Scanner) et les ondes radio (IRM).



Malgré ce qu’a permis l’informatique, les ficelles de cette science commencent à s’essouffler : c’est la fin de la loi de moore.



Dans de nombreux domaines, on observe que le marketing doit faire preuve de créativité pour compenser l’absence de nouveauté réelle.



L’exemple type, c’est la tablette qui est juste un ordinateur sous une autre présentation.





C’est un tissu d’âneries. Je ne fais pas la liste complète parce que la vie est trop courte, mais c’est d’autant plus ridicule que le ton est péremptoire.

De la recherche fondamentale, il y en a partout dans le monde, et les labos privés s’y sont mis dès la moitié du siècle dernier.

Tu confonds totalement informatique et électronique (l’informatique, ça s’étudie très bien avec un papier et un crayon).

On dirait un de ces types de la fin du 19ième siècle qui annonçait que la science était finie à deux ou trois constantes près. Niels Bohr en rirait encore s’il le pouvait.


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



C’est un tissu d’âneries. Je ne fais pas la liste complète parce que la vie est trop courte, mais c’est d’autant plus ridicule que le ton est péremptoire.

De la recherche fondamentale, il y en a partout dans le monde, et les labos privés s’y sont mis dès la moitié du siècle dernier.

Tu confonds totalement informatique et électronique (l’informatique, ça s’étudie très bien avec un papier et un crayon).

On dirait un de ces types de la fin du 19ième siècle qui annonçait que la science était finie à deux ou trois constantes près. Niels Bohr en rirait encore s’il le pouvait.







Oh le beau troll.



Il y a un proverbe qui dit que les arbres ne grimpent jamais jusqu’au ciel.


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Mouais, je doute qu’au moment de la recherche sur la mécanique quantique quiconque pensait qu’il allait y avoir des applications concrètes <img data-src=" />

(source wikipedia : Elle a permis nombre d’applications technologiques : énergie nucléaire, imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire, diode, transistor, microscope électronique et laser. Un siècle après sa conception )



C’est le défaut de la recherche fondamentale, son “application” peut prendre plusieurs décennies …

regarder la recherche fondamentale qu’on fait aujourd’hui et imaginer qu’on va avoir une révolution sous 6 mois, c’est un peu rêver <img data-src=" />



Il y a d’autres domaines de recherche qui vont bien plus vite, mais il ne faut pas penser qu’on a “plus rien à inventer” <img data-src=" />

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sr17 a écrit :



La question qui se pose aujourd’hui, c’est pourquoi vouloir voyager plus vite ?



Aujourd’hui, internet fait disparaître les distances. D’un clic, tu communiques avec l’autre bout du monde.



Déplacer des millions de gens tous les matins, c’est une vision du passé…



L’homme qui travaille dans une usine, c’est une vision du passé.



L’homme qui fait des kilomètres pour travailler dans un bureau, c’est une vision du passé.



Du coup pour toi, le futur c’est rester cloué à son siège, en permanence, et ne jamais en bouger, puisque ca ne sert plus à rien.

Ton futur ne me fait clairement pas rêver…


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atomusk a écrit :



Mouais, je doute qu’au moment de la recherche sur la mécanique quantique quiconque pensait qu’il allait y avoir des applications concrètes <img data-src=" />

(source wikipedia : Elle a permis nombre d’applications technologiques : énergie nucléaire, imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire, diode, transistor, microscope électronique et laser. Un siècle après sa conception )



C’est le défaut de la recherche fondamentale, son “application” peut prendre plusieurs décennies …

regarder la recherche fondamentale qu’on fait aujourd’hui et imaginer qu’on va avoir une révolution sous 6 mois, c’est un peu rêver <img data-src=" />



Il y a d’autres domaines de recherche qui vont bien plus vite, mais il ne faut pas penser qu’on a “plus rien à inventer” <img data-src=" />







Rien que la fusion thermonucléaire et le voyage spatial hyperluminique, il y a énormément à faire de ce côté-là, auteur de SF INside…



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



Non mais attends, t’as rien compris à la Science, mec, Nvidia arrête de multiplier les unités de calcul dans les GTX, la Science est finie mec, finie





<img data-src=" />&nbsp;Tu es en pleine forme&nbsp;<img data-src=" />


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maestro321 a écrit :



Quand aux solutions trouvées, elles sont souvent sources de nouveaux problèmes. On ne résout donc pas souvent, la plupart du temps on ne fait que repousser/déplacer le problème.







Ca devrait être LA définition de ingénierie <img data-src=" />


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Oui c’est vrai que l’on à rien tenté en avance sur Terre pour voir si c’était faisable sur Mars hein. Je ne dis pas que ce sera facile mais que c’est faisable. Le lien qui donne une petit compte rendu de l’expérience d’un an en autonomie complète pour simuler une mission sur Mars.

Donc je ne dis pas que la base sur Mars sera autonome tout de suite mais on a tout ce qu’il faut pour qu’à cours terme on y parvienne.

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Oui, c’est une définition qui pourrait s’appliquer à bien des domaines.<img data-src=" />

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1 an d’autonomie, c’est une autonomie très très relative..

L’autonomie “réelle” commence quand les moyens de productions (indispensables à la survie) peuvent eux-même être renouvelés quand ils arrivent en fin de vie. On en est loin.. très très très très loin..

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Pour moi une colonie est autonome à partir du moment ou elle peut produire sa subsistance elle même : eau, nourriture, air, chaleur. Le reste c’est du confort. Donc que la colonie ait toujours besoin de produits manufacturés spécifique tel que des médicaments ou matériaux particulier en provenance de la Terre par exemple 1 fois par an n’enlève rien à son autonomie. Surtout qu’il y aura forcement des produits qu’elle ne pourra jamais fabriqué car endémique à la Terre. Comme par exemple tu n’a pas de café qui pousse en France par que les conditions ne s’y prête pas et bien c’est pareil pour Mars.

Maintenant si pour toi autonome cela veut dire avec le même confort dont tu peux profiter ici alors je suis d’accord elle ne sera pas autonome avant plusieurs dizaines (centaines ?) d’années.

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Rufh a écrit :



Pour moi une colonie est autonome à partir du moment ou elle peut produire sa subsistance elle même : eau, nourriture, air, chaleur. Le reste c’est du confort.



&nbsp;

L’entretien des installations est également à rajouter dans le lot (tant que la planète n’est pas terraformée), donc la fabrication des outils nécessaires à cet entretien (mécaniques, mais peut-être aussi électroniques)&nbsp;

&nbsp;

Ca prendra un bon bout de temps quand même !&nbsp;


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maestro321 a écrit :



Je trouve que c’est un mauvais exemple, car pour le coup on a des pistes solides, on est pas dans la spéculation aveugle.

Il y a une différence fondamentale entre “c’est peut-être faisable mais il reste quelques problèmes à résoudre” et “on sait pas si c’est faisable et les problèmes sont innombrables”.







On a des pistes solides sur comment empêcher ces phénomènes de disruption ? ^^


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Rufh a écrit :



Pour moi une colonie est autonome à partir du moment ou elle peut produire sa subsistance elle même : eau, nourriture, air, chaleur. Le reste c’est du confort. Donc que la colonie ait toujours besoin de produits manufacturés spécifique tel que des médicaments ou matériaux particulier en provenance de la Terre par exemple 1 fois par an n’enlève rien à son autonomie.





Bha si..



wiki :

Dans d’autres cas, elle fait référence aux propriétés d’une entité qui est capable de fonctionner de manière indépendante, sans être contrôlée de l’extérieur ou sans des apports (matériels, énergétiques, etc) en provenance de l’extérieur





Le début de la discussion c’était “Colonie sur Mars en tant que lieu de replis” en cas de soucis sur la Terre (astéroïde par exemple).

Tant qu’il y a dépendance, il n’y a pas d’autonomie “réelle” possible, simplement une autonomie très relative (comme la station spatiale).


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Solide je sais pas, mais en tout cas il y a bien des pistes :

fr.wikipedia.org Wikipedia

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maestro321 a écrit :



Bha si..



wiki :



Le début de la discussion c’était “Colonie sur Mars en tant que lieu de replis” en cas de soucis sur la Terre (astéroïde par exemple).

Tant qu’il y a dépendance, il n’y a pas d’autonomie “réelle” possible, simplement une autonomie très relative (comme la station spatiale).





Bha non..

l’extrait que tu cites le prouve bien: “capable de fonctionner”

La livraison de médicaments n’est un critère de capacité de fonctionnement que si tu estimes qu’une colonie de X habitants dépérira sans ces médicaments.

Idem pour le café.

&nbsp;

Par contre, si la colonie reçoit de la Terre les circuits imprimés des robots seuls capables de l’entretien de ses dômes , là en effet, la colonie n’est pas autonome.


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lincruste_2_la vengeance a écrit :



Une insulte et un proverbe, belle argumentation scientifique.

Tu n’as aucune idée de ce qu’est l’informatique.







Cette spéculation est complètement fausse.



Et c’est un comble que tu te sente insulté par le mot “troll” alors que tu as qualifié mes propos de “tissu d’anneries”. Je te recommande de relire ton post agressif, méprisant et sans argumentation.



On a parfaitement le droit de ne pas partager l’avis de quelqu’un, mais le respect de l’interlocuteur doit rester de rigueur.



Pour ma part, je considère que tous les points de vue se respectent quand bien même je ne les partage pas pour la simple raison qu’il n’existera jamais de vérité absolue.


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OlivierJ a écrit :



La recherche fondamentale est toujours bien active, la recherche appliquée aussi, on conçoit des matériaux plus performants (et parfois pas plus chers à produire, en imitant le vivant qui dans certains domaines reste devant, cf le fil d’araignée).

 

“La vraie réalité” (beau pléonasme), c’est que tu énonces tes préjugés, mais sans rien de concret à l’appui.







Que la recherche soit active et vivante, je n’ai jamais dit le contraire.



Le sens de ce que j’ai dit, c’est qu’on ne fait plus autant de grandes découvertes capitales que pendant les deux siècles précédent.



Dans tous les domaines, il y a eu le temps des pionniers ou des individus faisaient des découvertes capitales dans leur petit labo, puis viens le temps ou cela devient beaucoup plus dur, même avec de gros moyens.



Cela n’empêche pas qu’on puisse trouver de nombreuses choses utiles, qu’on puisse améliorer ce qu’on produit. Mais les grandes découvertes fondamentales se raréfient, demandent des moyens toujours plus importants.



Cela ne veut pas dire pour autant que l’humanité ne fera plus de grandes découvertes, mais qu’il n’y en aura plus autant que par le passé.


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C’est juste ton avis et je pense que tu te trompes (et que c’est facile à voir).

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sr17 a écrit :



Cette spéculation est complètement fausse.



Et c’est un comble que tu te sente insulté par le mot “troll” alors que tu as qualifié mes !propos de “tissu d’anneries”. Je te recommande de relire ton post agressif, méprisant et sans argumentation.



On a parfaitement le droit de ne pas partager l’avis de quelqu’un, mais le respect de l’interlocuteur doit rester de rigueur.



Pour ma part, je considère que tous les points de vue se respectent quand bien même je ne les partage pas pour la simple raison qu’il n’existera jamais de vérité absolue.





Ce n’est pas une spéculation:

l’informatique est une science logique, elle existait avant les ordinateurs. Elle s’étudie très bien sans écran, sur du papier. Un cours d’algo ou la présentation d’une machine unaire, c’est de l’informatique. La loi de Moore, c’est du charabia commercial démenti depuis des décennies, et ton exemple comme preuve du ralentissement EST une ânerie.



Pour le reste, quand je dis que ta prose est un tissu d’ânerie (ce que je maintiens et confirme), je juge ton texte, pas toi, c’est pourquoi ce n’est pas un jugement ni une insulte.

Ce n’est pas par respect pour toi, c’est seulement parce que ta personne ne m’intéresse pas, je ne parle que de ton texte.


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OlivierJ a écrit :



Ca ferait un peu rire les chercheurs ta première phrase.

C’est original comme point de vue, mais à mon avis c’est juste le tien.







Tout à fait.



Par définition, tout point de vue sur un forum est celui de la personne qui l’exprime.



Je n’ai jamais prétendu exprimer autre chose que mon propre point de vue.





On explore toujours de nouvelles voies, on ne manque pas d’idées,





C’est un peu de la méthode Coué. Même s’il y a quelques nouvelles voies, ce n’est rien à côté du boulevard qu’avaient les chercheurs du temps des pionniers.





rien que la généralisation de l’informatique permet des choses étonnantes en utilisant les données collectées, que ce soit pour la santé ou pour d’autres domaines.





Comme je l’ai dit, il y a encore à faire dans l’application de l’informatique. Mais c’est de l’application, pas de la découverte.



Même si l’on découvre encore des choses en informatique, c’est bien moins que ce que la plupart des gens pensent.



Vous seriez surpris de constater a quel point ce que certains prennent pour de la nouveauté ont été inventées il y a fort longtemps.



C’est un domaine ou il y a beaucoup de marketing et de mauvaise foi. On n’hésite pas à présenter comme une invention et même à breveter des choses qui ont déjà été inventées et utilisées par d’autres par le passé.





Il ne faut pas confondre la science-fiction et la science tout court. En plus, le problème des voitures volantes n’est pas technique mais à mon avis pratique et légal (ça revient pour l’instant à piloter un avion).





Paradoxalement, cet aspect est compliqué à résoudre, mais pas insoluble. Le vrai problème, c’est plutôt le coût de production et le coût de l’énergie.



Ce qui a foutu en l’air toutes les prédictions, c’est qu’on pensait que la science serait à même de découvrir des sources d’énergie très puissante et compactes beaucoup plus facilement. Il n’en a rien été.





Quant à la téléportation, on sait qu’on ne peut pas téléporter la matière, mais on commence à savoir “téléporter” un état atomique. Heureusement qu’on est encore plein à rêver de techniques “du futur”.





Objectivement, l’humanité découvrira encore des choses. Mais vraisemblablement plus au rythme des deux siècles derniers.





Je vois 2 progrès à venir très important dans le domaine de la santé : le coeur artificiel (le rein ou l’oeil aussi),





Aussi merveilleux que cela puisse être, c’est en grande partie une extrapolation du savoir fondamental déjà connu. Et la encore, de l’application de l’informatique, que ce soit dans l’utilisation ou dans sa puissance de conception.

Bien sûr, on me dira que la création d’un coeur artificiel suppose des recherches et des découvertes sur la circulation sanguine. Que la création d’un oeil artificiel suppose de comprendre la communication entre la rétine et le cerveau, particulièrement le codage dans le nerf optique. Mais rien qui ne touche à découvrir de grandes lois de l’univers, de la matière, de l’espace ou du temps.





la réparation de la moelle épinière (pour les paralysés).





La dessus, je serais plus circonspect. Cela fait des décennies qu’on voit des effets d’annonces.



Le problème, c’est quand ceux qui ont besoin de financement font de la com et que cette com est reprise par des journaux qui vulgarisent sans rien comprendre.



Cela dit, je pense qu’on y arrivera un jour. La question, c’est de savoir quand.





1ère phrase : il ne s’agit pas de productivité mais de niveau de vie, qui va aussi avec l’hygiène et la médecine, l’eau potable et manger à sa faim sans survivre.





Le premier problème, c’est qu’il n’y a rien de plus difficile que de mesurer l’accès concret à tout cela dans la pratique.



Le second problème, c’est que cela ne définit toujours pas ce qui fait l’essentiel du bonheur humain.



Il y a des gens qui vivent parfaitement heureux au fin fond d’un pays défavorisé et des personnes qui se suicident dans nos pays “développés” alors qu’elles ont théoriquement un bon niveau de vie, mais objectivement une jolie vie de merde dans la pratique.





2eme : ah bon. On peut globaliser tous les pays pauvres concernant toutes l’agriculture… Ben non, suffit de voir l’agriculture non mécanisée en Afrique ou en Asie.





Rien à voir avec la mécanisation. C’est une simple question de structure juridique et comptable.





“LOL”. N’importe quoi. Si tu penses que les statistiques n’ont aucune validité, arrête tout de suite de croire à la validité de la science et des traitements médicaux, qui se basent en bonne partie dessus.





La validité de la science n’est pas du tout en cause.



Tout scientifique digne de ce nom sait à quel point il faut être rigoureux pour éliminer les biais de mesure et d’interprétation à tous les niveaux pour ne pas aboutir à une conclusion erronée. La moindre erreur et la conclusion peut se retrouver complètement fausse.

Les scientifiques ne se contentent pas de croire les études de leurs pairs et les chiffres. Ils analysent avec discernement et esprit critique les protocoles et surtout les raisonnements qui ont mené aux conclusions.

Ils ont toujours à l’esprit, que même avec des chiffres qui sont justes, on peut se tromper complètement dans leur interprétation.



Pour les statistiques, c’est exactement la même chose. Il faut avoir beaucoup de discernement, d’esprit critique et de connaissances du sujet pour pouvoir en tirer des conclusions pertinentes.


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