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Labsyb

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

284 commentaires

hommage à Orange Mécanique de Stanley Kubrick

Le 13/01/2024 à 14h 12

Clockwork advertising :fumer:

Cadran de coffre-fort

Le 13/01/2024 à 09h 48

La meilleure gestion de sécurité devrait passer par la séparation des tâches critiques. Car bien protéger est un équilibre parfois instable entre commodité et robustesse. Si on tire trop sur l’aspect commodité, on entraîne de facto une situation de risque.
La mise en œuvre de systèmes abscons et trop complexes mal attribués génère soit la non utilisation (mode de connexion si compliqué que l’usager n’arrive pas à l’utiliser et délaisse le service) soit la remédiation par des astuces qui viennent annihiler la protection (comme le post-it sur le bureau virtuel plein de paires login / mots de passes hypercomplexes).

Le gestionnaire de mots de passe est un essentiel aujourd’hui. Car il vient contrecarrer la difficulté croissante de connexion, pas seulement parce qu’il stocke en zone « protégée » les informations, mais aussi parce qu’il simplifie (reconnaissance du lieu plus complétion automatique) - plus besoin de connaître l’information : il la connaît pour nous.

Néanmoins couplé à une authentification forte on peut se demander à quoi sert vraiment encore le mot de passe (question) ? Si j’ai besoin du code TOTP ou de tout autre moyen qui m’authentifie par rapport à un appareil, donnée biométrique, ou autre, est ce encore utile de rendre nécessaire le,mot de passe, surtout s’il est stocké, comme dans les gestionnaires de mot de passe moderne juste à côté du générateur de code TOTP… L’idée du passwordless fait son chemin dans certains cas d’ailleurs.

C’est là que peut entrer en compte la séparation de domaines critique : pour l’accès à certaines opérations courantes l’authentification forte est superfétatoire. Et l’authentification simple, suffisante, tandis que l’authentification forte donne accès aux opérations qui présentent un risque. Accéder à son solde de compte en banque en lecture seule est-il une opération critique ? Doit-on la protéger autant que celle consistant à ajouter un bénéficiaire et lui faire un virement ?

Le jour où il existera un moyen unifié, non contraignant et sûr à 100% de prouver que la personne qui accède aux informations est authentique n’est pas venu. Il viendra sûrement. Pour le moment on en est encore au moyen âge à ce sujet, je crois.

Monstre de consommation numérique s'auto-alimentant

Le 10/01/2024 à 20h 57

« Le premier disant, on n'a pas d'infos qui chiffrent les impacts positifs ou négatifs du numérique mais qui finit par dire que si le bilan était positif, on nous le dirait (entreprises, administrations,...). C'est un peu léger comme démonstration pour un expert !« 

Je te trouve un peu dur pour le coup. Un spécialiste ou expert d’un domaine, peut, pour un sous domaine donné, manquer d’informations substantielles : cette reconnaissance d’impuissance à pouvoir délivrer un constat pragmatique sur la question est plutôt à mettre à son actif quand on voit et entend le nombre de pseudo experts qui compensent leur impuissance par des élucubrations pseudo savantes avec une assurance de margoulin. De plus il est parfois tout aussi intéressant de savoir (et faire savoir) que l’on n’a pas encore d’éléments fiables de mesure : c’est en soi une information importante à considérer.

Apple Vision Pro

Le 10/01/2024 à 18h 42

Un bel exemple des "petits détails qui creusent la différence" : https://www.macg.co/materiel/2022/03/une-solution-pour-utiliser-la-magic-mouse-pendant-la-charge-ou-presque-128017?page=1

:bravo::bravo:

Tu es un vilain petit garnement :sm:

Le 09/01/2024 à 22h 41

Plus que quelques semaines pour commencer à apprécier ce que Apple a préparé.
Ce casque est un vrai sujet casse gueule. Je suis pour ma part assez curieux de la partie logicielle et de son intégration avec la partie matérielle, au delà des quelques minutes qu’ont eu les premiers testeurs en sortie de keynote.
Apple ce sont des malins et des peaufineurs, surtout dans les petits détails qui creusent la différence, imposent un nouvel usage et créent des précédents. À voir s’ils sauront relever la sauce, une fois encore, par cette proposition, d’un sujet qui, faute de ce je-ne-sais-quoi que la pomme est capable d’accoucher, a pour le moment manqué le coche.

Drapeau de l'Europe

Le 10/01/2024 à 09h 04

Sans entrer dans les détails, il faut concevoir comment s’applique la fiscalité au niveau d’un groupe et ainsi d’une multinationale.
Chaque filiale, en tant que société, a une remontée fiscale dans sa juridiction de rattachement (France, US, Irlande, Bermudes etc). Elle déclare un certain nombre d’informations sur ses comptes. L’impôt de chaque filiale est calculé selon les règles de cette juridiction : en simplifié, sur la base des bénéfices dégagés (avec pour chaque juridiction un certain nombre de règles propres - déductions, aménagements de la base fiscale etc) un taux est appliqué.

Puis dans le cadre de la consolidation des chiffres du groupe, le montant d’impôt des filiales est agrégé (consolidé) pour être présenté aux actionnaires du groupe (rapport annuel).

On comprend dés lors qu’il sera plus intéressant de faire par exemple apparaître, par un ensemble de combines la plupart légales, les profits dans les comptes de sociétés des juridictions les plus attrayante en matière de fiscalité et de jouer sur les avantages de l’appartenance à un groupe pour optimiser sa fiscalité. Je ne parle pas ici d’intégration fiscale : c’est à dire de qui paye l’impôt des filiales. Mais de l’impôt affiché et à payer (que ce soit par la filiale elle même ou par la maison mère pour ses filiales dans le cadre d’accord de groupe). L’intégration fiscale permet en outre et notamment de ventiler les déficits fiscaux (crédit d’impôt obtenus par une filiale en particulier) sur les autres filiales sur l’année en cours afin de profiter plus vite du crédit d’impôt (un crédit d’impôt n’est activable sinon que sur le futur).

Bref impôt du groupe = somme des impôts de ses filiales calculé et acquitté pour chacune dans sa juridiction.

Dans le cadre de cet accord dont fait l’objet l’article, le but est de vérifier, juridiction par juridiction, le taux d’impôt « effectif ». En simplifiant toujours car il y a toute une machinerie derrière pour ajuster aussi bien le dénominateur que le numérateur : on agrégé juridiction par juridiction les éléments, on calcule ce taux par le rapport montant d’impôt/base d’impôt. Si dans une juridiction le taux effectif est inférieur à 15%, (par exemple 11%) alors la différence (15%-11%=4%) est considéré comme une top-up tax, un impôt complémentaire à payer à la juridiction. D’où la notion de « minimum » d’impôt.

C’est là qu’intervient la notion de substance évoquée par Schismatrice : ce taux d’impôt complémentaire n’est pas appliqué directement au revenu agrégé de la juridiction, mais à un revenu duquel est soustrait une partie correspondant à un % (5%) de la valeur des actifs et payroll costs (salaires pensions etc). Bonus visant à favoriser les juridictions dans lesquelles il y’a réellement de l’activité.

On comprend dés lors l’objectif de ce montage de l’OCDE : d’assurer à chacune des juridictions un « minimum » de revenus fiscaux en provenance des groupes internationaux et de réguler un tant soi peu les fuites fiscales.

Tout cela n’est pas parfait bien sûr. Mais disons que l’on assiste à une tentative de régulation au niveau mondial en vue de remonter le volume d’impôt capté aussi bien par les juridictions que par effet boule de neige au niveau international.

Le 08/01/2024 à 21h 09

De toute façon, dans tous les cas, le « taux effectif », comme pour tout impôt, n’a de sens que par rapport à la manière de composer la base imposable et n’est jamais le taux affiché.

Quant à la substance base carve out, qui consiste à retirer de cette base, un pourcentage de la valorisation des actifs et payroll costs (5%) l’idée est de se prémunir de la pratique consistant à ré allouer du revenu dans des paradis fiscaux dans lesquels aucune activité substantielle n’est réalisée dans le seul but d’éviter l’impôt, en donnant un bonus aux juridictions dans lesquelles il y a réellement de l’activité. C’est d’ailleurs sauf erreur de ma part une mesure temporaire.

De mon côté, bien que cela puisse paraître un peu décevant à certains, je considère que c’est un premier effort intéressant, dans un contexte où il est de toute façon difficile d’avancer en termes d’harmonisation internationale.

pinup frankenstein

Le 08/01/2024 à 23h 55

Ma pomme :
Lis deux paragraphes.
Vérifie la date dans le coin haut gauche de l’écran. Une fois. Deux fois.
Poursuit la lecture.
Revérifie.
Continue.
Ris jaune.
Attends le moment où la supercherie sera dévoilée.
Atteins la fin de l’article.

Non m€rde : on n’est pas le 1er Avril
:craint:

Concept de CPU

Le 08/01/2024 à 22h 05

À chaque fois que j'entends parler des sachants sur RISC-V jai l'impression de lire un article sur l'USB3 (n'en déplaise à David pour qui ça avait pourtant l'air clair comme de l'eau de roche ^^).

De mon côté, je ne prends même plus le RISC de perdre du temps à essayer de comprendre, même si cela me DSPère. C’est sans ESPoir : je ne joue pas à ARM égales. :craint:
Me contente d’utiliser mon iPad M1 avec ou sans virgule flottante. :8

des têtes d'idées sous forme d'ampoules

Le 07/01/2024 à 13h 26

Avec la variante « c’est un besoin critique, il me le faut pour hier »

Le 07/01/2024 à 13h 25

Bientôt remplacé par IA MacLeod, du Cloud MacLeod.

Après être passé par l’étape Metavers MacLeod …

homme heureux marchant dans un influenceur

Le 06/01/2024 à 22h 31

Moi je te crois :8

Le 06/01/2024 à 13h 51

Chouette série :incline:

réparer un smartphone

Le 06/01/2024 à 13h 42

Perso, j'ai mon idée : une taxe au MTTF trop bas. MTTF = mean time to failure donc temps moyen jusqu'à la panne en bon Français.

C'est la continuité de la lutte contre les objets jetables. Un objet non jetable mais dont la durée de vie est trop courte est néfaste pour l'environnement.

Rendre cher les articles de mauvaises qualité serait une bonne chose selon moi.

« Rendre cher les articles de mauvaises qualité serait une bonne chose selon moi. »

Certaines boites l’on bien compris et n’ont pas attendu une loi pour souscrire à cette tendance :fumer:

photomontage d'Einstein et Planck présentant des produits cosmétiques

Le 06/01/2024 à 13h 33

Nourris aux grains issus de l’agriculture biologique, et élevés en pâturage extensif. Vers la fin d’année calendaire certains sont nourris d’une pâtée enrichie (photons chaponnés).

Des Ipads d'Apple

Le 06/01/2024 à 10h 51

La notion d'entrée de gamme pour les ipad est relative, même le mini est cher chez la pomme.

Il n’y a pas de bas de gamme chez la pomme 😎. Même la chiffonnette est haut de gamme :mrgreen:

Plus sérieusement : il y a des gammes de produit Apple et dans chacune des gammes, un haut et un bas. Et le bas de chaque gamme correspond, sauf exception dont je n’ai pas d’exemple immédiat, à un produit qui par ses caractéristiques diverses est d’un niveau de finition, d’ingéniérie, d’apport fonctionnel etc qui le situe par rapport à la concurrence générale vers le haut du panier.

Si on se place du côté tarifaire, Apple a du coup le don pour présenter des entrées de gamme dont le prix est hors sol parfois (et parfois même à tous les niveaux de gamme). Notamment pour les raisons invoquées ci-dessus mais pas que. L’image « premium », l’intégration dans son propre écosystème, tout un tas de raison qui font qu’elle se le permet, avec un détachement un peu hautain. Et qui fait que le point d’entrée reste à un niveau de prix qui va faire grincer des dents certains et déchaîner par moment les discussions.

L’autre point sur lequel Apple est également hors sol bien souvent c’est sur les options qui permettent de passer du point de départ à un niveau supérieur (d’espace disque, de mémoire etc) ou de compléter le produit (les roulettes du Mac Pro ont à elles seules alimentées les railleries les plus endiablées 😝)





Le 06/01/2024 à 10h 15

Je ne sais pas si tu connais cette astuce ou non quand tu utilises le clavier virtuel : maintiens la touche espace du clavier virtuel enfoncée et au bout de 2sec, le clavier disparaît pour devenir l'équivalent d'un trackpad sur portable qui te laisse positionner le curseur comme tu veux. Dès que tu relâches, le clavier virtuel réapparaît.

Je connaissais mais j’avoue n’utilise pas. La seule « astuce » que j’utilise abondamment c’est la saisie des chiffres par glissement de haut en bas que m’avait fait découvrir un Genius en Apple Store lors de la saisie d’informations sur son iPad pour prise en charge en SAV de mon Mac. C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai acquis l’iPad pro M1 12p, pour combler l’absence de Mac pendant son immobilisation, et que depuis mon Mac perso, revenu tout neuf, reste la plupart du temps à l’arrêt tant j’ai adopté l’iPad pour la très grande majorité de mes activités numériques.

Le 04/01/2024 à 21h 03

Perso, en mode nomade, ipadOS me va très bien.
Mas pas suffisant pour remplacer un vrai mac de bureau.


Par contre, ce qui me gave au plus haut point sur ipadOS (iOS aussi mais vu que je m’en sers quasi que pour téléphoner, faisant tout le reste avec l’ipad, …) c’est l’absence des 4 touches directives : pour se déplacer dans le texte et corriger un erreur de frappe (ou de correcteur auto merdique), c’est la galère sans nom. Les deux options tactiles proposées n’étant pas fiable à 100% (et viser une lettre précise, un calvaire la plupart du temps)

Ouaip : sans clavier c’est parfois relou de positionner le curseur à l’endroit voulu. Il faut un certain coup de main (ou plutôt de doigt) et parfois un peu de tolérance à la crispation selon l’endroit où on est dans l’interface. Par exemple dans le champ de rédaction du commentaire ça marche très bien.
Il faut ramener ça à la définition/résolution comparé au périphérique de sélection qu’est le doigt justement. Le soucis disparaît complètement avec un clavier puisque les touches directionnelles sont dés lors opérationnelles.

Le 03/01/2024 à 21h 25

La tablette c'est vendu comme un smartphone wifi-only avec un grand écran.

Apple n'a aucun intérêt à changer cela et risquer de canibaliser ses ventes de laptop/desktop/phone.

Oui et non :)

C’est oublier tous les softs ou app qui bossent en mode iPadOS c’est à dire optimisés pour un affichage sur une plus grande surface ainsi qu’à,l’utilisation du stylet.

Je peux vaguement comprendre ceux qui espèrent un OSX sur iPad mais personnellement je n’attends pas cette possibilité spécialement. Un iPad fait déjà beaucoup de choses qu’un Mac fait. Il le fait un peu différemment. Pas si mal du tout dans une logique de gestion au doigt, et pas mal du tout également quand on y colle un clavier et why not un trackpad ou souris.
Et il fait un certain nombre de choses impossible avec un Mac.
Ce qui est un brin agaçant (mais qui s’est amélioré cependant) c’est la gestion des fichiers : on est loin du Finder (qui est pourtant en dessous à mon sens de l’explorer de Windows). Néanmoins une fois qu’on a compris la logique de gestion des fichiers ça passe et c’est un moyen de cloisonner l’accès au stockage qui se défend (ou pas :-D)



Un pingouin brise une fenêtre (Windows)

Le 05/01/2024 à 08h 59

« Des chiffres à prendre avec précaution : le taux d'OS Windows serait en effet étrangement passé de 69 à près de 73 % en décembre 2023, celui des Mac OS X de 21 à un peu plus de 16 %, et la part des Chrome OS de près de 4 à moins de 3 % dans le même temps. »

Ouaip chelou en effet une telle variation mensuelle!

Ceci dit, cela donne une idée ou tendance (à quel point juste ?) de la question que je posais dans le cadre de l’article sur Zorin OS : tant d’efforts pour combien d’utilisateurs.

Le 05/01/2024 à 08h 46

Tout cela me semble t-il pose la question du devenir et du marchandage des sources. On parle beaucoup d’utilisation non autorisée (ce qui est normal). Mais imaginons que Pixar ou Coca Cola ait vendu l’utilisation de ses œuvres (1) voire ait payé (2) contre l’assurance qu’elles ressortent dans un certain nombre de requêtes, associées à certains mots clés. De la même manière que Google monnaye le ranking de ses résultats de recherche, les générateurs de contenus pourraient monnayer l’apparition de l’image de marque de clients dans les résultats. Du placement produit en quelque sorte.

Le 02/01/2024 à 22h 07

Quelle mention bêta ? 😇

:eeek2:

Le 02/01/2024 à 08h 30

Soyez grands, soyez talentueux, soyez pertinents, soyez.
Meilleurs vœux :chinois:

fit_aitana

Le 02/01/2024 à 10h 05

Si. Mais ils ne le savent pas :stress:

Zorin OS

Le 28/12/2023 à 13h 37

Je suis assez admiratif de tous ces efforts pour proposer des Linux Desktop à peu près potables : pour combien de personnes - je suis curieux.

Joyeuses fêtes

Le 28/12/2023 à 13h 23

Salut FraGG ! Je travaille actuellement sur ipad pro avec son stylet depuis des petits soucis de santé, pour plus de mobilité. Le logiciel est Procreate (super pour le dessin). :-)
oui, pour le "pointillisme'" dont tu parles, il s'agit de trames, qui donnent un petit effet sympa à l'occasion.
merci à toi pour l'appréciation des détails !

« Je travaille actuellement sur ipad pro avec son stylet »
Pas étonné. What else de toute manière? 😎

Un mélange entre une réunion d’Anonymous et de tête d’ampoules, pour le meilleur et le pire

Le 24/12/2023 à 18h 23

Un générique d’outre-tombe : c’est quoi ce cette stigmatisation gratuite et agiste :cartonjaune:
C’est pas si vieux hein d’abord :fumer:

Poing Dev

Le 24/12/2023 à 18h 17

Bonnes fêtes aux codeurs développeurs 😎
Et merci, notamment sur le retour d’un minimum de mise en forme dans les commentaires.

iPhone 15

Le 22/12/2023 à 00h 18

Moi non plus.

Mais je ne le dirai pas car je suis superstitieux. :craint:

Carte Nex York satellite

Le 21/12/2023 à 17h 57

C’est très beau la souveraineté mais si seulement le quart des pays indépendants se mettent à pousser leur propre constellation de satellites en orbite basse, c’est pas loin de 50 constellations qui seraient déployées. Pour une mise en perspective : OneWeb c’est 650 objets (objectif de 10 fois plus), Starlink 5200 (objectif de 42000). Il y a sans doute une vraie question à se poser quant aux conséquences.

Satellite NASA

Le 20/12/2023 à 18h 53

Butiner, de manière similaire à ce que les abeilles font. Ces satellites sont conçus pour aller de satellite en satellite pour collecter les données.
La NSA opère sur le principe de "harvest now, decrypt later" quand il n'est pas encore possible de casser le chiffrement. Il est toujours envisageable que la NSA (ou toute autre organisme des USA) soit déjà en capacité de lire certaines de nos communications chiffrées.

« Butiner, de manière similaire à ce que les abeilles font »
Yep : je trouve bien évocateur et bien trouvé en effet. 🐝

Le 20/12/2023 à 09h 23

« Pas vraiment compris ce que veut dire "butiner"... »

Je trouve l’image très évocatrice, mais le texte de l’article en donne une définition en parlant de satellites espions :

IO précise que leur mission est d'« assurer la collecte, depuis l'espace et sur des satellites étrangers, de renseignement au profit de la NSA américaine »

CNIL Logo

Le 20/12/2023 à 10h 28

Je ne suis pas sûr qu'il était utile d'expliquer mon jeu de mots.

J’ai cherché la contrepèterie pour ma part : sans résultat :craint:

Photo d'un immeuble troué de part en part

Le 20/12/2023 à 00h 46

« Dans une autre étude (State of Software Security v11), Veracode nous apprend aussi que 8 fois sur 10, l’équipe de développement ne met jamais à jour les logiciels tiers.»

Mieux : ils utilisent la library pour un truc dans une version, puis empilent les versions de library au fur et à mesure des version de la plateforme sans supprimer l’ancienne library (parce j’ai bout d’un moment personne ne sait plus si elle est appelée ou pas, dans un des méandres labyrinthiques des couches et surcouches du bordel. Les fichiers restent, d’install en install, actifs ou pas. Le « ça peut servir on sait jamais » et ça gène personne finalement : qui verra ça dans les 4589076 fichiers organisés en 8789 dossiers et sous dossiers.

Dès lors que la sirène sonne l’alerte générale, les IT de l’infrastructure se démènent comme des beaux diables : les scans sont lancés pour voir si « on a pas ça chez nous » et foutu malchance ils détectent le machin qui craint sa mère bien sûr : carabouilleSec 2.56.5B : houlala il faut vite agir. Ah mais y a aussi carabouilleSec 1.49.6F et CarabouilleSec 34H56, punaise des bois, on va tous mourir non ? c’est concerné ? etc etc. Un mec dit : pas grave on est en sécurité derrière le firewall. Un autre dit t’es fou on sait jamais. Au final c’est Bistouille 3.2 qui est utilisé pour le même besoin. Mais tout le monde s’excite car pas grand monde ne sait grand chose et personne ne veut couper la prod trop longtemps quand même. On monte des war room, des réunions de crise, des conf call à 60. Le métier ne veut pas qu’on arrête sa prod, accros qu’ils sont comme un camé au crack à leur bouzin, font vraiment chier les IT avec leurs conneries. L’IT gueule sur le business parce qu’ils se rendent pas compte ces cons, c’est pas le moment de faire chier, déjà qu’on risque de rater la dinde aux marrons avec leur merde de plate-forme qui nous les casse déjà assez comme ça en run., hein.

Bref la vie quoi :fumer:




consommation de l'ia

Le 19/12/2023 à 11h 42

« Les tâches multimodales, comme la génération d’images ou de leurs légendes sont les plus coûteuses en énergie« 
La question que je me pose c’est : mais combien consomme un Flock ? :fumer:

Un Sébastien transformé en lapin par Flock pour imiter le Quoi de neuf Docteur des Looney Tunes

Le 18/12/2023 à 11h 30

« Cela a peut être déjà été expliqué ailleurs mais la joie de voir tout ce nouveau contenu sur Next a du biaiser ma lecture.. »

Ouaip : ça les arrange que tu paye tous les mois plutôt que pour un an. Ce n’est donc pas une erreur mais une volonté d’orienter vers le paiement mensuel.

Ps : grilled by le consommateur digital 😅

Drapeaux de l’Union européenne

Le 18/12/2023 à 11h 25

C’est parce que tu es un jeunôt qui n’a pas vécu l’époque du Franc :sm:
Pour les vieux grabataires aigris comme moi, qui ont encore leur convertisseur Euro>France en poche c’est important. :fume:

(Du temps du Franc, la notion de Nouveau Franc et Ancien Franc a perduré jusqu’à son abandon c’est dire 😝)

Wright Flyer premier avion motirisé et stabilisé

Le 18/12/2023 à 11h 20

Détruit au 4ème vol = contrôlable ??

Ce sont des guéguerres de clocher : ces gens là étaient des pionniers au même titre que Ader. That’s all 😎.
Et leur apport à l’aviation est essentiellement celui du guidage justement.
C’est souvent pareil : certains « exploits » ou premières fois sont réalisés sans témoins ou sans contrôle officiel ce qui rend la notion de « premier » toujours délicate et sujet à controverse.
Visiblement c’est quelques années plus tard qu’ils ont véritablement brillé officiellement (allusion en fin d’article de leur happening au Mans cette fois-ci en 1908, alors que le vol anniversaire évoqué de 1903 a eu lieu aux États Unis). Il est notable que ce décalage dans le temps est essentiellement dû à leur culture du secret sur leur « technologie », même si on se doute qu’en 5 ans, ils ont eu le temps de peaufiner leur système. :)

Un mélange entre une réunion d’Anonymous et de tête d’ampoules, pour le meilleur et le pire

Le 17/12/2023 à 11h 15

Si j'ai bien suivi l'histoire, lors du redémarrage après un entretien d'un train, le logiciel vérifiait que son GPS lui indiquait une localisation correspondant à un centre de réparation appartenant au constructeur. Si ce n'était pas le cas => pas de redémarrage.

Autrement dit, le redémarrage ou non dépendait du lieu de l'entretien, et non des actions qui avaient été faites.

Pour ma part j’ai compris que ce sont les emplacements des centres de maintenance des concurrents du constructeur qui sont référencés comme des zones où le redémarrage est impossible.

Le 17/12/2023 à 10h 29

Pas d’accord avec vous : j’ai équipé ma maison de campagne avec un switch audiophile (un peu plus cher que celui là même) et c’est le jour et la nuit.

« Le résultat à l’écoute est sans appel : un nouveau monde musical s’ouvre devant vous avec plus de détails, de nuances et d’articulation, un net recul des bruits de fond, une meilleure dynamique, un équilibre tonal parfait, une meilleure extension des graves et des aigus, une image sonore plus vaste, aérée et qui prend beaucoup de relief ainsi qu’une musique plus fluide et agréable, dénuée de toute dureté. »

Un ami à moi a acheté le même et il lui a fait revenir l’être aimé, il a gagné à la loterie, et ses cheveux ont repoussé.
Seul bémol : Je lui ai demandé de rendre muette ma belle mère et pour l’instant je n’ai pas de résultat : mais je ne perds pas espoir. :craint:

Allégorie du dilemme de la vulgarisation scientifique

Le 16/12/2023 à 19h 04

Malgré que, au jour d’aujourd’hui, le Français est un language qui, quoiqu’on en pense, est sensé évoluer au dépend de l’efficience pour pallier à la montée de sa perte d’affluence voir devenir un espèce de challenge versatile et plus responsif ? 😁

Le 16/12/2023 à 11h 58

« Car si nous entendons "crypter" sans arrêt, c'est aussi parce que le terme est (trop) utilisé par erreur. Employer les mots corrects les diffusera dans la société et le langage courant. Si les mauvais termes sont toujours employés, c'est justement parce qu'ils sont sans arrêt utilisés à tort, notamment dans la vulgarisation ! »

Réflexion à deux balle que je me fais : La question qui peut se poser c’est que si l’usage est si abondant, c’est d’une part pourquoi il l’est et d’autre part si l’usage ne vient pas légitimer la pertinence de son emploi. Je n’ai pas de réponse stricte ni même d’avis tranché, mais il n’est pas interdit de se questionner dans ce genre de cas. Est ce que l’emploi de « crypter » dans ce cas de figure est susceptible de véritablement créer de la confusion ou de l’imprécision ? Est ce mal parce qu’il existe déjà un terme consacré et qu’ajouter un synonyme parlant (parlant pour de multiples raisons avec en premier lieu une racine linguistique qui a du sens) est un appauvrissement de la langue et donc une perte de qualité dans le sens ?

(Vais aller me faire un kawa tiens) 😂

Le 15/12/2023 à 23h 38

Les anglo-saxons ont retenu crypté (encrypt) du grec kryptos « caché » (que l’on retrouve dans la crypte que tu évoques) tandis que nous avons retenu un dérivé de chiffre du latin cifra venant lui même de l’arabe (zéro). On comprend la source dans les deux cas.

Je suis sensible au sens des mots mais j’avoue que n’étant pas de la partie, et bien qu’ayant déjà entendu ce débat, l’emploi de crypter dans le contexte du chiffrement aurait pu me sortir de la bouche. :craint:

Des billets de cinquante euros.

Le 16/12/2023 à 09h 45

https://www.taxobservatory.eu/fr/publication/global-tax-evasion-report-2024/

Un grand merci à toi. :incline:

Le 15/12/2023 à 14h 53

Le pilier 1 semble mort et ne sera peut-être pas mis en œuvre, le pilier 2 a encore une certaine traction, mais principalement dans l'UE, et est en train de perdre de la traction ailleurs. Il sera peut-être encore mis en œuvre, mais il a déjà été affaibli par une liste croissante de failles, y compris une exception pour la substance économique qui permettra effectivement aux paradis fiscaux de maintenir des taux inférieurs à 15 % tant qu'il y a des employés (l'Irlande s'engouffre dans cette faille et sera une grande gagnante).

Il semble que le taux effectif minimum réel sera plus proche de 5 % que de 15 %, et ce taux peut même être compensé par des subventions.

Tu as des sources ?
Je ne remets pas en cause ce que tu avances mais suis intéressé par ces péripéties :)
Pour ce que j’en avais compris, la substance économique selon les règles proposées vient pondérer l’assiette de l’impôt, en plus de constituer une possibilité d’exemption dans le cadre des mesures Safe Harbor. C’est en ça que tu dis qu’in fine le taux serait bien inférieur à 15% ?

Le 15/12/2023 à 13h 12

À noter pour ceux que cela intéresse que l’OCDE a élaboré un certain nombre de mesures, pour commencer à réduire les inégalités fiscales pour les multinationale et restreindre les possibilités de fuites fiscales. Axé sur deux piliers : pilier 1 : visant à imposer les plus grosses multinationales (20 milliards de chiffre d’affaire) au profit des juridictions dans lesquelles sont consommés ou utilisés les biens ou services. Pilier 2 : vise un panel plus large de groupes (seuil de 750 millions de ÇA notamment) qui instaure un taux minimum d’impôt de 15% dans l’ensemble des juridictions sur lesquelles le groupe est installé. Le but est de restreindre les possibilités de fuite fiscale.

Pilier 2 (ou Pillar 2) entre en action sur l’exercice fiscal 2023.

Pour plus de détail : il est possible de consulter l’assez abondante et pas trop indigeste documentation via une recherche sur PILLAR OCDE.

Une tête de fusée siglée Starlink.

Le 14/12/2023 à 09h 44

La relation des républicains avec l’idée de subvention fédérale est ambivalente. Quand ça va dans leur état, quand ça va dans les poches de leurs copains, c’est bien, car ça sert leur clientélisme.
Cependant il ne faut pas tirer spécialement sur les conservateurs américains : le phénomène est planétaire. Voire tout simplement humain. Puisqu’il est essentiellement mu par la volonté de « tirer la couverture à soi ». Qui est sans doute la chose la mieux partagée au monde.

Je cite Zola, ou plus exactement son personnage de Souvarine dans Germinal, qui dans ce cas souligne de façon assez féroce l’hypocrisie latente de l’humain:

 “Vous avez beau crier contre les riches, le courage vous manque de rendre aux pauvres l’argent que la fortune vous envoie... Jamais vous ne serez dignes du bonheur, tant que vous aurez quelque chose à vous, et que votre haine des bourgeois viendra uniquement de votre besoin enragé d’être des bourgeois à leur place.”.

Nuage (pour le cloud) avec de la foudre

Le 13/12/2023 à 22h 11

Merci, c'est corrigé.

Pour signaler, il faut juste sélectionner une partie du texte et un pop-up "une erreur ?" apparait.

Pas réussi sur mon iPad :craint:

Le 13/12/2023 à 21h 25

Édifiant : ce qui est sûr c’est que la peur des vaccins a l’air de faire recette au vu des résultats de cette requête.

Logo Netflix

Le 13/12/2023 à 12h 44

Ca fait 3 semaines que je teste, après pas mal d'hésitations. La pub me rebutait énormément. Et en vrai "ça va". Les premiers jours ça fait vraiment bizarre car ça casse complètement l'expérience Netflix : fini le fait de se poser tranquille devant le programme et de pouvoir le suivre sans interruptions. Mais celles-ci sont vraiment brèves, et il y a même certains programmes où il n'y en a pas. A vue de nez, je dirais qu'on est plutôt sur du 2-3 minutes, et encore, c'est souvent moins. Du coup, perso je trouve que "ça va".

Par contre, le jour où ils vont augmenter le temps de pub, et je ne doute pas que ça va arriver, là, ça risque de beaucoup moins le faire...

Comme dirait l’autre : c’est le début. À surveiller : l’évolution de la place qu’elle va prendre.

Financer un service par la publicité est une option entendable, même quand on n’aime pas se faire prendre pour un jambon par les annonceurs. Idéalement je suis partisan du fait que ce modèle doit proposer une alternative qui permet de l’éviter moyennant contrepartie. Reste à définir cette contrepartie : à ce jour on n’a pas vraiment trouvé mieux je pense que la contrepartie financière (la contrepartie données personnelles, tracking etc qui en est une autre, étant selon moi une autre manière plus pernicieuse d’être transformé en jambon).

Le problème de la pub, c’est essentiellement le dosage, qui peut devenir toxique. Pour l’usager du service certes, mais aussi pour le service lui même. À un certain niveau de présence, c’est un véritable repoussoir, qui noie le service et le rend caduque. Sans parler de la dérive consistant à influencer le contenu du service (influence de l’annonceur sur le dit contenu).