Labsyb
est avec nous depuis le 9 avril 2006 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
272 commentaires
[Màj] Apple bloque le compte développeur d’Epic Suède, qui développait un Store alternatif
Le 07/03/2024Le 09/03/2024 à 09h 44
On a beaucoup glosé sur cette histoire de Xerox. Pour cette histoire de pointeur et d’interface graphique, on pourra lire l’assez abondante littérature autour de ce que l’on peut appeler aujourd’hui un coup de génie. Par exemple : Xerox le père du Macintosh
Mais aussi ce dossier de Vincent Histoire de macOS : de Lisa OS au System 7, l’héritage du PARC de Xerox
Next, leader mondial de l’information, publie un époustouflant nouvel édito !
Le 08/03/2024Le 09/03/2024 à 09h 08
On parle beaucoup d’Apple dans cet édito. Il faut dire qu’ils donnent le bâton pour se faire battre et ça ne date pas d’aujourd’hui ni d’hier.
D’abord parce que Apple c’est un peu cette caricature du beau gosse / belle fille à qui tout ou presque réussi, qui a une coupe impeccable, le mec ou la fille que l’on ne peut s’empêcher secrètement d’envier, parce qu’ils ont des qualités certaines, mais que l’on déteste aussi pour ça, parce que cette situation les rend arrogants sans même qu’ils s’en rendent forcément compte. Parce qu’on a l’impression que la terre entière admire jusqu’à leur façon de marcher (nonchalante mais au fond quelconque), leur façon de parler (alors qu’ils zozotent) et que l’on peut détester aussi rien que pour ça.
Du coup ils sont abondamment copiés jusque dans la stylistique de leur communication marketing. Comme si une armée de petit clones singeait cette façon de présenter les produits (par exemple dans le texte : le « meilleur iPhone/Mac/xxxx jamais sorti » - on aime comparer avec ses produits passés, pas les concurrents sans doute parce que de cette manière on ne risque pas d’erreur, sans doute parce que les concurrents sont trop moches pour qu’on se compare à eux, enfin sans doute parce qu’on n’a pas besoin de plus on se suffit à nous même). Mais aussi dans le visuel (la réthorique de présentation produit animée sur le site, caractéristique par caractéristique, avec les fameux textes évoqués par Vincent, les vidéos de présentation - sortie du produit de l’ombre, caméra tournant autour du produit etc).
Comme dans la caricature du beau gosse/égérie de cour de lycée, le maquillage craque parfois, révélant aussi bien de la faiblesse qu’un surcroît de morgue malvenu, des comportements capricieux etc. Parfois, c’est le surprendre faire une petite chute ridicule, se curer le nez, etc. C’est l’occasion alors pour certains de se défouler sur cet objet de détestation contrariée.
Pour être franc, j’ai complètement digéré cette stylistique, elle ne me fait ni sourire, ni lever les yeux au ciel, elle est devenue neutre. Au point qu’elle se fait oublier, pour ne retenir que le fond (quand il y en a). Comme pour tout un tas de choses, à force de le voir, on finit par l’intégrer et l’oublier.
663e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
Le 03/03/2024Le 03/03/2024 à 19h 47
Quand on vous dit qu’il faut le remplacer par une IA
[Édito] Le buzz à tout prix sur les réseaux sociaux
Le 01/03/2024Le 03/03/2024 à 00h 00
C’est bien de le souligner. Le « personne n’a levé le petit doigt » est devenu une sentence, une formule qui semble commode (souvent braillée par des bien-pensants qui seraient sans doute les premiers à ne rien faire). Bien sûr qu’il y a des cas. Bien sûr que dans un groupe social il y aura des occurrences de non intervention par certains face à une situation qui le mériterait.
Mais ne laissons pas croire que c’est une fatalité, ou une règle : dans l’ensemble les cas de non intervention sont des exceptions qui font les choux gras des bestiaux qui savourent déplorer le non courage des autres comme si cela pouvait leur procurer celui qu’ils n’ont pas. Y a pas d’mal à s’faire du bien hein, surtout si c’est gratuit.
C’est une seconde nature pour certaines personnes que de se complaire dans le jugement de valeur basé sur des conneries : hier sur le on-dit ou le qu’en-dira-t-on capté au café du commerce, aujourd’hui sur les réseaux sociaux qui ont la faculté - il faut croire - de monter des magmas de mayonnaise à base d’œuf pourris, de vinaigre rassis et de moutarde moisie. Fut un temps où on en faisait profiter ses compères de comptoir du bistrot du coin ou ses convives de repas bien arrosé des familles. Aujourd’hui la salle du bistrot et son audience s’est élargie à la planète, et on a autant de cousins qu’en comptent les « followers ». C’est encore mieux : nos billevesées ont un écho plus riche, un potentiel de rebondissements plus étendu.
Elles n’en demeurent pas moins des calembredaines. Et on n’est pas moins cons qu’avant, ça c’est sûr.
Gabriel Attal sabre dans le budget de la recherche et de l’enseignement supérieur
Le 23/02/2024Le 25/02/2024 à 14h 03
Il fait baisser les retraites géantes des boomers pour rendre aux actifs le fruit de leur travail et investir sur le futur.
C’est à cause de modérés dans ton genre que le monde court à sa perte.
La seule solution valable c’est de se débarrasser des inactifs (qui ne font que se nourrir sur la bête) et en premier lieu les retraités, (qui ont eu leur temps : qu’ils laissent la place aux nouveaux esclaves). Mais n’oublions pas les chômeurs de moyenne et longue durée, qui profitent indécemment de la société des actifs), les taulards (qui sont une charge pour la société alors qu’ils ont fautés contre elle), les animaux de compagnie (qui ne servent à rien mais qu’il faut nourrir), une grande partie de la société des « artistes » (qui sont pour la plupart inutiles, et à classer dans les inactifs avec leur régime d’intermittents qui leur permet de glander la plupart de l’année), les femmes au foyer, une fois leurs gosses en âge de se débrouiller, les immigrés qui mangent le pain des français, les touristes hollandais, qui viennent en vacances chez nous mais qui ne consomment pas assez de produits français, la plupart des étudiants, qui sous prétexte qu’ils font des études, glandent et font la fête avec l’argent de papa et maman, fument des joints, et se secouent la nouille le reste du temps, les chinois, qui nous copient et produisent à peu de frais, venant nous concurrencer déloyalement. J’en passe, mais je ne veux pas oublier : les 3 quarts du personnel administratif, des fonctionnaires, qui ne foutent rien de leur journées et coûtent à la nation.
Bref tout ce qui ne produit pas, n’est pas rentable économiquement, n’est pas susceptible d’être un bon esclave, car qu’est ce qui compte à part ça ?
Harcèlement sexuel et moral chez Ubisoft : le procès aura lieu en mars 2025
Le 21/02/2024Le 21/02/2024 à 08h 25
C’est pourtant Libé qui a mis l’affaire sur les devants de la scène, repris par la majorité des media généralistes de la place.
Else, une application pour aider les familles à gérer le temps d’écran des enfants
Le 20/02/2024Le 20/02/2024 à 20h 21
C’est une mauvaise blague cette statistique rassurez moi.
661e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
Le 18/02/2024Le 18/02/2024 à 21h 11
Je crois que pour le coup tu fais un peu trop de cas de la semantique ici : le même tableau en anglais mentionne « Security is everyone’s responsibility » qui à ma connaissance est le mantra consacré pour signifier que tout le monde est partie prenante quand il s’agit de sécurité.
[Édito] L’importance de bien citer et vérifier ses sources
Le 16/02/2024Le 17/02/2024 à 11h 58
Ce que je veux dire c’est que le rôle des agence de presse est de constituer une source d’information fiable.
Dans le cadre de l’exemple évoqué de la mort de Martin Bouygues, je présuppose qu’il s’agissait d’une dépêche de type alerte et non d’un article de l’AFP. Les alertes sont généralement des textes courts, factuels, qui demandent bien entendu d’être confirmés et étayés et non recrachés tels quels pour que le terme de journaliste puisse être employé pour celui qui en fait un article de presse.
Nous parlons de sources et l’AFP en est une des plus réputées et utilisée en France pour tout un tas de sujets. Cette réputation passe nécessairement par un historique de fiabilité, sans lequel elle ne serait pas ce qu’elle est. La question de la fiabilité n’est pas anodine : elle peut s’installer entre un journaliste et ses sources individuelles. Si ces dernières se démontrent comme n’étant plus fiables ou rompent le contrat de confiance, alors la relation disparaît et il s’agit de passer à d’autres sources. Mais en attendant, il faut bien que le dit journaliste s’appuie sur des sources, plus ou moins fiables (sauf à inventer). Et l’AFP, bien que non exempt d’erreurs épisodiques, fait partie des sources réputées fiables car elles jouent leur existence même sur cette fiabilité.
Selon l’expression consacrée, la confiance n’exclue pas le contrôle. Cependant, sauf à vivre dans une paranoïa maladive, il est important d’avoir des raccourcis de confiance sans quoi on n’écrit pas des articles de presse d’actualité mais des bouquins d’investigation bien après les faits, en ayant le temps de décortiquer l’ensemble des faits et des sources possibles, à la lumière du temps passé et de la multiplication de celles ci post événement.
Le 17/02/2024 à 10h 03
Là où je rejoins Fred42 c’est que c’est dans les attributions et les rôles une agence d’une agence de presse comme l’AFP de non seulement diffuser de l’information à destination des autres organes de presse, mais aussi et surtout de vérifier cette information tant que faire se peut. Si l’information ne peut être vérifiée (diffusion temps réel ou autre), de le signaler explicitement.
Une agence de presse qui ne serait pas un tiers de confiance, verrait sa nécessité même réduite à peau de chagrin.
Aux consommateurs de cette source d’information d’en faire bon usage mais je comprends qu’un papier issu de l’AFP ait pu être pris pour argent comptant. Certes personne n’est à l’abris de l’erreur, c’est une leçon, mais si on ne peut plus s’appuyer sur ces source avec un degré de confiance très élevé, cela remet en question l’existence même de l’agence de presse.
En Europe, iOS 17.4 enterre les applications web
Le 16/02/2024Le 17/02/2024 à 09h 18
Je crois bien que la seule web app que j’utilise c’est un raccourci vers Next, sur mon iPad. Comme il s’ouvre dans une fenêtre dédiée, je suppose qu’il y a une web app derrière. Ce n’est qu’un confort d’accès rapide à un site consulté de manière régulière. Il n’y a pas dans ce cas de Next de fonctionnalité ni de présentation particulières.
Les apparences sont en effet contre Apple dans cette histoire. Cette décision dans le contexte des pressions de la DMA a tout l’air d’une réaction capricieuse sous le fard d’une justification liée à la perte de sécurité induite par l’ouverture imposée. « Ok on ouvre, vous avez gagné, mais voyez où ça nous mène ». Étant donné le faible usage rapporté de cette fonctionnalité chez les utilisateurs iOS ça ne leur coûte pas très cher, la balance entre mauvais buzz et communication « nous veillons à votre sécurité » étant considérée sans doute comme favorable. Apple a de toute manière eu jusqu’à présent préférence pour les app. L’ouverture des web app aux notifications et navigateurs tiers sur iOS n’a d’ailleurs pas plus d’un an si je ne me trompe pas.
Modération : critiquée, Ulule cesse de promouvoir le projet de Bertrand Cantat
Le 12/02/2024Le 13/02/2024 à 08h 59
Oui, Bertrand Cantat a été condamné pour homicide. Oui il a purgé sa peine dans le cadre de la justice. Oui il est régulièrement attaqué dans ses projets artistiques par des personnes qui ne supportent pas qu’il puisse s’exprimer sur scène ou dans les média.
Maintenant prenons un peu de recul sur les raisons de ces attaques.
Comprenez que pour certaines personnes, ces apparitions publiques sont insupportables. Essentiellement de par les activités qui ne sont pas celles d’un boulanger, d’un manœuvre, d’un codeur, d’un assistant de direction. Mais celle d’une profession qui s’exprime publiquement. Et qui, de par le drame lui même, le contexte (un individu public, médiatique, qui se retrouve auteur de la mort d’une autre personne publique, médiatique, fille de parents médiatiques) est appelé à remuer la vase.
En forçant le trait, imaginez voir évoluer régulièrement, librement, en bas de la rue, la personne qui a tué un proche et qui après avoir purgé sa peine, serre des mains, se marre au bar du coin, fait une petite blague à la mamie du 5ième, est apprécié de l’élu local. Tandis que vous, vous ruminez la perte de ce proche causée par cette personne qui évolue tranquillement comme si de rien n’était. Et que cette personne vous rappelle en permanence ce drame humain dont elle est en partie l’auteur.
La nature des activités de Bertrand Cantat n’est pas à négliger dans cette histoire. L’exposition médiatique qui en résulte ou peut en résulter est à considérer comme un poids important dans la balance.
Je ne commenterai pas des masses la position de Ulule qui se retrouve le cul entre deux chaise dans cette histoire. Ils n’ont pas interdit la collecte. Ils décident de prendre une position intermédiaire qui consiste à ne pas retirer ce projet qui ne contrevient pas à leurs règles, mais décident de ne pas faire la promotion de celle ci sur leur réseau.
Je ne commenterai pas des masses la position des associations féministes qui se sont insurgées sur le fait que Ulule ait accepté ce projet. Elles sont outrées et réagissent en annonçant le boycott de la plateforme.
Bertrand Cantat ne vivra plus jamais tranquille ne serait ce que dans ses tentatives d’activités tournées vers le public. Juridiquement est est libre de ses mouvements. Publiquement il ne peut ignorer (et certains seront toujours là pour le lui rappeler) ce qu’il a fait sur Marie Trintignant.
On peut le regretter, comme on peut aussi comprendre pourquoi certains ne supportent pas l’idée de le voir s’exprimer publiquement, faire l’objet d’une adoration (fans), développer une activité qui peut l’amener à être mis en avant dans les média, et ainsi revenir hanter la mémoire de ceux qui ont perdu un être cher par son entremise.
Il n’y pas beaucoup de gens qui veulent qu’il soit puni encore et encore. Il y a surtout des gens qui veulent ne pas risquer de le voir fanfaronner au yeux de tous.
Pour terminer, je confesse que j’apprécie l’oeuvre artistique de Noir Désir, dont Cantat est une pierre angulaire. Je confesse que je connais Détroit et qu’il m’arrive d’écouter leur album. Je confesse que tout ce merdier me fait mal au cœur. Mais je comprends aussi la position des victimes. Pour qui le pardon ne passera jamais par un retour à la normalité médiatique pour celui qui leur a enlever un enfant, une amie chère.
Le Vision Pro entre compliments et critiques : qu’en penser ?
Le 07/02/2024Le 08/02/2024 à 09h 11
Ce que tu évoques avec Démolition Man (je suppose qu’il s’agit de la scène de Sexe Virtuel), c’est de la réalité virtuelle et non augmentée. Le partage d’éléments choisis de réalité augmentée est autre chose à mon sens. On voit bien que c’est sur ce point d’augmentation de la réalité par des ajouts est ce qui a été le plus travaillé avec le Vision Pro. C’est en tous cas ce qui est majoritairement mis en avant. Mais les éléments ajoutés sont pour celui qui porte le casque/masque, et je ne crois pas avoir vu de cas de partage entre des porteurs de visions pro sur une scène réelle.
Tant qu’à devoir porter un masque pour accéder à certaines joies de la RA, autant pouvoir en partager des morceaux.
On réduira l’empreinte physique avec le temps (actuellement le VP est assez gros, assez lourd et proéminent). Réduisant par la même le gène (dans tous les sens du terme). Mais il faudra sans doute aussi veiller à accroître et fluidifier le partage des éléments disponibles pour que la sauce prenne, accentuant le bénéfice d’en avoir un par utilisateur et encourager la propagation de ce type d’appareil ainsi que de joyeuses rentrées de cash pour le constructeur.
Le 08/02/2024 à 08h 16
C’est vrai. Et dans la continuité de bien d’autres choses avant le smartphone, dont le poste de télévision (on partage l’image mais on réduit les relations sociales), le Walkman etc.
Disons qu’avec le Vision Pro on est un joli cran au dessus, notamment parce qu’une partie importante de ce qui fait le lien de communication entre individu, le regard, est obfusqué. Apple l’a bien senti en tentant de mettre en œuvre à gros frais et avec un résultat mitigé le système d’écran qui restitue une image du regard à l’entourage.
En revanche, il ne me semble pas que l’accent ait été mis sur la capacité de partager entre Vision Pro. Dans les vidéos illustrant le produit, l’utilisateur est seul à porter le casque et il interagit avec un entourage qui en est dépourvu. Et de ce côté là il y a sans doute fort à faire, et c’est une des choses qui me semblent manquer à date dans la proposition de Apple. Je ne parle pas d’un univers virtuel dans lequel les utilisateurs distants peuvent se retrouver. Je parle plutôt d’utilisateurs d’un même lieu qui partageraient une partie de l’écosystème généré pour les VP d’un foyer.
Bon je m’égare sans doute. Je n’ai sans doute pas encore tout compris.
Le 08/02/2024 à 00h 25
Bien trouvé, ce sous-titre.
Je suis un utilisateur Apple la plupart du temps convaincu, bien que généralement non pionnier.
Je trouve ce VP fascinant par bien des aspects. Et le démontage de iFixit it montre l'ingénierie qu’il a fallu déployer pour cette mouture en forme de premier jet peut être sorti trop tôt. Venant expliquer en partie le prix public qui pourra paraître hors sol.
C’est un produit qui concentre une fois de plus ce que Apple a l'ambition et la capacité de faire, avec ses clairvoyances, ses acharnements à suivre une idée, et les défauts qui en découlent à certains endroits.
Mais son principal défaut pour moi, défaut racinaire, intrinsèque : un univers que l’on ne peut pas réellement partager. Un outil mono personnel, qui malgré les tentatives moyennement réussies d’ouverture sur l’environnement direct, isole l’utilisateur. J’ai du mal à concevoir une utilisation en mode social, sans doute parce que je suis un vieux con.
Je reste curieux, mais cette fois pas convaincu encore.
Le poing Dev – Round 10
Le 01/02/2024Le 03/02/2024 à 20h 04
J’ai retrouvé je pense un exemple : la news de la bonne année 2009 : plus de 18000 commentaires.
bonne année 2009 pas possible d’aller voir les commentaires en question : ils ont sombré dans les abysses du temps. Mais le nombre parle par lui même je pense en terme de flood
Le 03/02/2024 à 16h 34
Pour y avoir un peu participé dans une moindre mesure par rapport à d’autres dans un moment de folie, je peux t’assurer que ça a existé.
Maintenant il se peut que ce soit antérieur à 2010. À une époque il y avait une petite bande de joyeux lurons qui pouvaient par moment perdre toute retenue (mais pour la plupart sans mauvais esprit attention, simplement de la déconnade un peu trop poussée). Le coup de la news passée floodée, même si ce n’était pas forcément une habitude fréquente hein, il y a eu tu peux me croire. (Caribours si tu nous entends ?)
Le 03/02/2024 à 16h 26
Oui oui j’avais compris
Je signalais juste que ce blocage des commentaire après un certain délai est arrivé à un moment donné de la vie de PCInpact ou peut être NextInpact me rappelle pas mais que ça n’avait pas toujours été le cas. Depuis la version Next.ink du site ça a disparu on est d’accord.
Je me demandais donc ce qui avait pu motiver la décision de mettre en place cette fonctionnalité de fermeture à l’époque. Il doit bien y avoir une raison. Je ne sais pas si Sébastien était déjà dans les effectifs à ce moment là, mais je suis sûr que Vincent y était.
Quant au reste (censure, qualité des débats etc) je souscris entièrement.
Le 03/02/2024 à 09h 29
Me souviens d’un temps lointain où les commentaires n’étaient pas bloqués après un temps donné. Je me souviens aussi que certains se servaient d’anciens articles comme article à flood pour faire augmenter leur nombre de commentaires ou simplement déconner dans de longues battles d’émoticon ou de palabres à la noix
Bon c’est le con qui parle. Faudrait demander à monsieur Hache s’il sait pourquoi le truc s’est durci avec le temps à ce sujet.
[Édito] Il faut régler les problèmes de qualité de la fibre, et vite
Le 02/02/2024Le 03/02/2024 à 16h 46
Je vais enfoncer quelques portes ouvertes mais c’est pour beaucoup de choses pareil. Il y a ceux qui aiment le travail bien fait et ceux qui s’en foutent. Parfois ce sont les mêmes, mais à différents moments de leur vie. Sans compter la compétence variable des opérateurs humains : pour l’un il mettra 15 minutes et ce sera nickel, pour l’autre en 1 heure il aura à peine atteint la qualité du premier alors au bout d’un moment il fait ça à l’arrache parce qu’au final il ne sera pas payé mieux, le petit a la fièvre et il doit rentrer plus tôt etc etc.
Pour paraphraser Nietzsche : Humain, trop humain.
Les deepfakes pornographiques de Taylor Swift relancent le débat sur la régulation du phénomène
Le 29/01/2024Le 30/01/2024 à 07h 59
Pareil
Avec #Flock, l’heure c’est l’heure !
Le 27/01/2024Le 27/01/2024 à 16h 19
[Édito] Liberté d’expression n’est pas synonyme d’irresponsabilité
Le 26/01/2024Le 27/01/2024 à 11h 36
Désolé, j’ai du mal avec la fin de cette phrase : je ne peux pas lire grand chose du lien faute d’être abonné au journal en question, mais je suppose que ce « nos » fait référence aux algorithmes de recommandation de Facebook ?
Pour le reste, édito intéressant et incisif. Merci Mathilde.
658e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
Le 21/01/2024Le 21/01/2024 à 10h 26
Bon dieu, je me suis bien perdu dans cette enquête sur le comment un Y avait pu être illustré par une hache sue ce ballon éducatif…
Avec #Flock, un spectacle dont vous êtes le héros
Le 20/01/2024Le 20/01/2024 à 21h 59
Le crobar sur l’anti-avortement est énorme
[Édito] « Au fait, toi qui travailles dans l’informatique… » STOP !
Le 19/01/2024Le 20/01/2024 à 18h 04
Ou qui ont le tuyau de la comprenette bouché : c’est le cas de ma maîtresse. Elle veut tout savoir, s’énerve pour se faire expliquer les choses, mais ne retient rien. C’est rebelotte à chaque fois
Le 20/01/2024 à 11h 48
Votre correspondant n'est pas disponible actuellement., veuillez essayer ultérieurement.
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Bip bip bip
Le 20/01/2024 à 11h 30
Je suis égoïstement généreux disons
Le 20/01/2024 à 11h 13
Un IT guy m’avait raconté cette histoire assez truculente (à laquelle j’ai la faiblesse de croire) qui lui était arrivée il y a des années de cela. Il s’était fait virer parce qu’il avait « supprimé l’historique des mails » du DG.
Lors d’un problème avec la messagerie de ce dernier (messagerie vérolée) l’IT a procédé à quelques opérations de base comme de vider la corbeille etc. Or le DG n’avait rien trouvé de mieux que de stocker consciencieusement ses mails importants dans la corbeille Outlook…
Le 20/01/2024 à 10h 45
Ma profession n’a qu’un vague lien avec « l’informatique », mais il est vrai que c’est généralement tout ce qu’ont retenu la plupart de mes proches. Je ne peux pas leur en vouloir : je déteste expliquer mon métier, et réponds invariablement par un bref salmigondi montrant bien que « n’allons pas plus loin ». J’ai donc fait comme beaucoup ici les frais de ces demandes, m’y suis parfois collé sur mes seules connaissances personnelles issue de ma curiosité pour la chose (mon PC est lent, l’antivirus déconne, je trouve plus Excel depuis que j’ai changé etc).
J’ai résolu une grosse partie de cela par une mauvaise volonté clairement affichée, confinant parfois à une attitude acariâtre, mais surtout en offrant des Mac, réduisant les emmerdes à quasiment 0.
Facebook reçoit des données de milliers d’entreprises, jusqu’à 48 000 pour une personne
Le 18/01/2024Le 20/01/2024 à 14h 58
Y a cette merdouille de bouton dans le pied de page de Next
Ça envoie toutes les conneries que je raconte dans les commentaires chez FB ?
Avortement : en France aussi, les anti-choix diffusent de la désinformation
Le 18/01/2024Le 20/01/2024 à 12h 01
j’en appelle à la modération : hors sujet + apologie de la dypsomanie
Le 20/01/2024 à 11h 26
Au temps pour moi dans ce cas.
De toute manière, je ne conçois pas aujourd’hui que l’on puisse arriver à un retour de l’interdiction de l’IVG en France. Les détracteur de l’interruption de grossesse font beaucoup de bruit par moment mais l’opinion très majoritaire ne laisserait pas passer ça et il y aurait un gros bordel dont pas grand monde ne veut.
Quant à la protection par l’inscription dans la constitution, aussi jolie et symboliquement importante soit-elle, je ne suis pas sûr qu’elle soit réellement suffisante, pour le cas où un ou une tarée serait mis au pouvoir, à empêcher sa révocation d’une manière ou d’une autre.
Le 20/01/2024 à 11h 03
Je ne crois pas qu’il ait dit qu’une modification nécessitait strictement un référendum. Sans forcément défendre ce point de vue, je le lis comme cela : pour une modification de la constitution, il lui est préférable d’adresser la modification à un référendum plutôt qu’au bon vouloir d’une majorité en place (qu’elle soit présidentielle ou parlementaire).
Cookies : 10 millions d’euros d’amende pour Yahoo!
Le 18/01/2024Le 20/01/2024 à 10h 27
Je ne connais pas bien Yahoo!
Ma femme a toujours son e-mail personnelle dessus. C’est compliqué de changer son adresse de messagerie principale et historique. Ça demande du temps et un certain investissement. De nombreuses fois je lui ai conseillé de le faire mais les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Nous avons fait des tentatives : toutes ont échoué lamentablement, en partie parce qu’elle s’en fout un peu (sauf quand le service merde), en partie parce que Yahoo! ne facilite pas non plus cette opération.
Yahoo! À toujours mis des barrières plus ou moins importantes à l’utilisation de leur service en dehors de la consultation en ligne. En tout cas &u moins constaté lors de ces tentatives de migration. Je crois me rappeler de certaines difficultés à paramétrer Mail sur son Mac et son iPhone, ou bien des redirections vers une autre adresse mail, le temps de la faire migrer. Rien de comparable avec d’autres acteurs du marché. Une vraie merde.
Sans aucun doute parce que c’est tout leur business modèle qui repose entièrement là dessus - abreuver de publicité lors de l’accès à et durant la consultation des mails.
Ce modèle est entendable, (pub contre service) mais retenir captif des clients par le seul volet technique, est une sorte d’aveux d’impuissance qui ne les honore pas.
657e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
Le 14/01/2024Le 15/01/2024 à 23h 45
« A 5 euros, on a aussi MacG, auquel je suis également abonné. Si on enlève les très nombreux articles qui sont en fait des liens d'achats sponso sur Amazon, au niveau du contenu là aussi on est en dessous »
Je suis abonné MacG, parce que Apple User, et aussi parce que j’aime bien l’ambiance. Tu oublies dans ta bonté une bonne partie de relais de rumeurs et prédictions divinatoires (le monde Apple en est friand) ainsi qu’un certain nombre de tests/prise en main rapide de produits (hors produits Pommés), qui viennent remplir la grille de contenu à « peu de frais ». Ça créée de la vie, je m’y laisse aller, mais pour moi, vous ne jouez clairement pas la même musique avec une offre plus sobre, qui ne propose que peu de gras.
« D’ailleurs, Le Monde a aussi des pubs pour ses abonnés, ce qui a le don de m’irriter. »
Ah tiens : je n’ai pas vraiment remarqué de pubs, étant pourtant également abonné au Monde. Ce doit être assez discret.
À vrai dire, n’étant plus le temps ni l’envie de me fader les news TV ou radio, je suis abonné à quelques canards comme le Monde et Libé. C’est mon lien avec l’actualité, avec la société, histoire de ne pas finir inconscient de ce qui m’entoure, mais sans la crainte de finir zombifié par le sensationnalisme parfois écoeurant des média audiovisuels d’aujourd’hui. Il y a aussi une part de militantisme - un peu inconsciente je pense - pour faire en sorte qu’une presse de qualité (ou du moins que je considère comme telle) puisse continuer d’exister. Néanmoins je ne mettrai plus pour autant un kopek dans un truc sur lequel je ne jetterai pas un œil régulièrement. Pas parce que je n’en ai pas les moyens, mais simplement parce que je pense que ce n’est pas un bon moyen de les aider. Un organe de presse doit trouver sa ligne éditoriale, trouver et garder son lectorat, aussi restreint soit-il, ainsi que ses moyens de vivre, sans quoi il ne vit que dans l’illusion d’avoir une pertinence suffisante à sa subsistance. Je n’ai rien contre ceux qui procèdent ainsi, c’est simplement sans moi.
Le 14/01/2024 à 13h 34
Merci !
J’ai corrigé (suis pas un codeur 🤣 même si j’ai pratiqué un peu de scripting. Le markdown connais pas : j’ai dû aller sur un site me « former » juste pour mettre ce lien et un * s’est positionné au mauvais endroit foutant el l’air l’URL ) vivement une aide dans l’éditeur pour les troubadours dans mon genre)
Le 14/01/2024 à 13h 14
Toujours sur France Culture en podcast, (écouté en live l’autre jour), comment une écrivaine, Nathalie Azoulai, (et sa narratrice) découvre, se fascine, pour le monde des « codeurs ». De la relation de l’écriture avec ce qui en est une autre sorte : la programmation, le code.
Python
« La narratrice découvre que sous le monde qu'on habite, il y a des couches d'écriture. Il y a un palimpseste qui fait l'objet de beaucoup de fascination et de mythologie pour les écrivains, mais qui n'est ni vu, ni connu, ni regardé. La narratrice veut comprendre comment ces textes ont été créés, par qui et comment. Est-ce qu'il y a des couches ? Est-ce qu'il y a des compilations ? C'est une forme de découverte cognitive qui est vertigineuse. Et puis elle découvre que ces jeunes gens qui codent et qui parlent très mal la langue française, ou d'autres langues d'ailleurs, écrivent avec une exactitude totale quand ils codent. La moindre virgule ou le moindre guillemet manquant fait que le programme ne va pas s'exécuter. »
Bitecoin, ChatGPDG : avec #Flock, surtout, ne clignez pas des yeux !
Le 13/01/2024Le 13/01/2024 à 14h 12
Clockwork advertising
[Édito] Mots de passe, double authentification : grrrrr… il est temps d’agir !
Le 12/01/2024Le 13/01/2024 à 09h 48
La meilleure gestion de sécurité devrait passer par la séparation des tâches critiques. Car bien protéger est un équilibre parfois instable entre commodité et robustesse. Si on tire trop sur l’aspect commodité, on entraîne de facto une situation de risque.
La mise en œuvre de systèmes abscons et trop complexes mal attribués génère soit la non utilisation (mode de connexion si compliqué que l’usager n’arrive pas à l’utiliser et délaisse le service) soit la remédiation par des astuces qui viennent annihiler la protection (comme le post-it sur le bureau virtuel plein de paires login / mots de passes hypercomplexes).
Le gestionnaire de mots de passe est un essentiel aujourd’hui. Car il vient contrecarrer la difficulté croissante de connexion, pas seulement parce qu’il stocke en zone « protégée » les informations, mais aussi parce qu’il simplifie (reconnaissance du lieu plus complétion automatique) - plus besoin de connaître l’information : il la connaît pour nous.
Néanmoins couplé à une authentification forte on peut se demander à quoi sert vraiment encore le mot de passe (question) ? Si j’ai besoin du code TOTP ou de tout autre moyen qui m’authentifie par rapport à un appareil, donnée biométrique, ou autre, est ce encore utile de rendre nécessaire le,mot de passe, surtout s’il est stocké, comme dans les gestionnaires de mot de passe moderne juste à côté du générateur de code TOTP… L’idée du passwordless fait son chemin dans certains cas d’ailleurs.
C’est là que peut entrer en compte la séparation de domaines critique : pour l’accès à certaines opérations courantes l’authentification forte est superfétatoire. Et l’authentification simple, suffisante, tandis que l’authentification forte donne accès aux opérations qui présentent un risque. Accéder à son solde de compte en banque en lecture seule est-il une opération critique ? Doit-on la protéger autant que celle consistant à ajouter un bénéficiaire et lui faire un virement ?
Le jour où il existera un moyen unifié, non contraignant et sûr à 100% de prouver que la personne qui accède aux informations est authentique n’est pas venu. Il viendra sûrement. Pour le moment on en est encore au moyen âge à ce sujet, je crois.
Course-poursuite entre terminaux, infrastructures et logiciels : à quand la fin ?
Le 10/01/2024Le 10/01/2024 à 20h 57
« Le premier disant, on n'a pas d'infos qui chiffrent les impacts positifs ou négatifs du numérique mais qui finit par dire que si le bilan était positif, on nous le dirait (entreprises, administrations,...). C'est un peu léger comme démonstration pour un expert !«
Je te trouve un peu dur pour le coup. Un spécialiste ou expert d’un domaine, peut, pour un sous domaine donné, manquer d’informations substantielles : cette reconnaissance d’impuissance à pouvoir délivrer un constat pragmatique sur la question est plutôt à mettre à son actif quand on voit et entend le nombre de pseudo experts qui compensent leur impuissance par des élucubrations pseudo savantes avec une assurance de margoulin. De plus il est parfois tout aussi intéressant de savoir (et faire savoir) que l’on n’a pas encore d’éléments fiables de mesure : c’est en soi une information importante à considérer.
Le Vision Pro d’Apple sera lancé aux États-Unis le 2 février pour 3 499 dollars
Le 09/01/2024Le 10/01/2024 à 18h 42
Tu es un vilain petit garnement
Le 09/01/2024 à 22h 41
Plus que quelques semaines pour commencer à apprécier ce que Apple a préparé.
Ce casque est un vrai sujet casse gueule. Je suis pour ma part assez curieux de la partie logicielle et de son intégration avec la partie matérielle, au delà des quelques minutes qu’ont eu les premiers testeurs en sortie de keynote.
Apple ce sont des malins et des peaufineurs, surtout dans les petits détails qui creusent la différence, imposent un nouvel usage et créent des précédents. À voir s’ils sauront relever la sauce, une fois encore, par cette proposition, d’un sujet qui, faute de ce je-ne-sais-quoi que la pomme est capable d’accoucher, a pour le moment manqué le coche.
Union Européenne : l’impôt de 15 % sur les multinationales est entré en vigueur
Le 08/01/2024Le 10/01/2024 à 09h 04
Sans entrer dans les détails, il faut concevoir comment s’applique la fiscalité au niveau d’un groupe et ainsi d’une multinationale.
Chaque filiale, en tant que société, a une remontée fiscale dans sa juridiction de rattachement (France, US, Irlande, Bermudes etc). Elle déclare un certain nombre d’informations sur ses comptes. L’impôt de chaque filiale est calculé selon les règles de cette juridiction : en simplifié, sur la base des bénéfices dégagés (avec pour chaque juridiction un certain nombre de règles propres - déductions, aménagements de la base fiscale etc) un taux est appliqué.
Puis dans le cadre de la consolidation des chiffres du groupe, le montant d’impôt des filiales est agrégé (consolidé) pour être présenté aux actionnaires du groupe (rapport annuel).
On comprend dés lors qu’il sera plus intéressant de faire par exemple apparaître, par un ensemble de combines la plupart légales, les profits dans les comptes de sociétés des juridictions les plus attrayante en matière de fiscalité et de jouer sur les avantages de l’appartenance à un groupe pour optimiser sa fiscalité. Je ne parle pas ici d’intégration fiscale : c’est à dire de qui paye l’impôt des filiales. Mais de l’impôt affiché et à payer (que ce soit par la filiale elle même ou par la maison mère pour ses filiales dans le cadre d’accord de groupe). L’intégration fiscale permet en outre et notamment de ventiler les déficits fiscaux (crédit d’impôt obtenus par une filiale en particulier) sur les autres filiales sur l’année en cours afin de profiter plus vite du crédit d’impôt (un crédit d’impôt n’est activable sinon que sur le futur).
Bref impôt du groupe = somme des impôts de ses filiales calculé et acquitté pour chacune dans sa juridiction.
Dans le cadre de cet accord dont fait l’objet l’article, le but est de vérifier, juridiction par juridiction, le taux d’impôt « effectif ». En simplifiant toujours car il y a toute une machinerie derrière pour ajuster aussi bien le dénominateur que le numérateur : on agrégé juridiction par juridiction les éléments, on calcule ce taux par le rapport montant d’impôt/base d’impôt. Si dans une juridiction le taux effectif est inférieur à 15%, (par exemple 11%) alors la différence (15%-11%=4%) est considéré comme une top-up tax, un impôt complémentaire à payer à la juridiction. D’où la notion de « minimum » d’impôt.
C’est là qu’intervient la notion de substance évoquée par Schismatrice : ce taux d’impôt complémentaire n’est pas appliqué directement au revenu agrégé de la juridiction, mais à un revenu duquel est soustrait une partie correspondant à un % (5%) de la valeur des actifs et payroll costs (salaires pensions etc). Bonus visant à favoriser les juridictions dans lesquelles il y’a réellement de l’activité.
On comprend dés lors l’objectif de ce montage de l’OCDE : d’assurer à chacune des juridictions un « minimum » de revenus fiscaux en provenance des groupes internationaux et de réguler un tant soi peu les fuites fiscales.
Tout cela n’est pas parfait bien sûr. Mais disons que l’on assiste à une tentative de régulation au niveau mondial en vue de remonter le volume d’impôt capté aussi bien par les juridictions que par effet boule de neige au niveau international.
Le 08/01/2024 à 21h 09
De toute façon, dans tous les cas, le « taux effectif », comme pour tout impôt, n’a de sens que par rapport à la manière de composer la base imposable et n’est jamais le taux affiché.
Quant à la substance base carve out, qui consiste à retirer de cette base, un pourcentage de la valorisation des actifs et payroll costs (5%) l’idée est de se prémunir de la pratique consistant à ré allouer du revenu dans des paradis fiscaux dans lesquels aucune activité substantielle n’est réalisée dans le seul but d’éviter l’impôt, en donnant un bonus aux juridictions dans lesquelles il y a réellement de l’activité. C’est d’ailleurs sauf erreur de ma part une mesure temporaire.
De mon côté, bien que cela puisse paraître un peu décevant à certains, je considère que c’est un premier effort intéressant, dans un contexte où il est de toute façon difficile d’avancer en termes d’harmonisation internationale.
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Le 08/01/2024Le 08/01/2024 à 23h 55
Ma pomme :
Lis deux paragraphes.
Vérifie la date dans le coin haut gauche de l’écran. Une fois. Deux fois.
Poursuit la lecture.
Revérifie.
Continue.
Ris jaune.
Attends le moment où la supercherie sera dévoilée.
Atteins la fin de l’article.
Non m€rde : on n’est pas le 1er Avril
CPU RISC-V : MIPS fait ses emplettes chez SiFive
Le 08/01/2024Le 08/01/2024 à 22h 05
De mon côté, je ne prends même plus le RISC de perdre du temps à essayer de comprendre, même si cela me DSPère. C’est sans ESPoir : je ne joue pas à ARM égales.
Me contente d’utiliser mon iPad M1 avec ou sans virgule flottante.
656e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
Le 07/01/2024Le 07/01/2024 à 13h 26
Avec la variante « c’est un besoin critique, il me le faut pour hier »
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Le 06/01/2024Le 06/01/2024 à 22h 31
Moi je te crois