Librairies indépendantes : un reste à charge de 0,01 euro pour l’expédition de livres après coup de pouce gouvernemental

Librairies indépendantes : un reste à charge de 0,01 euro pour l’expédition de livres après coup de pouce gouvernemental

Librairies indépendantes : un reste à charge de 0,01 euro pour l’expédition de livres après coup de pouce gouvernemental

Pour aider les libraires contraints à fermer durant le confinement, Roselyne Bachelot promettait de diviser les tarifs postaux par 3 ou 4. Finalement, Bercy et le ministère de la Culture annoncent que l’État prendra en charge, pendant la durée du confinement, les frais d’envoi de livres. 

Ce sera dans leur quasi-intégralité : « Ce dispositif permettra aux libraires de ne facturer à leurs clients que les frais de port au tarif minimum légal, soit 0,01 euro ». Un minimum issu de la loi anti-Amazon de 2014, votée pour interdire le cumul entre les deux ristournes que pouvaient jusqu’ici pratiquer les cybermarchands (une remise de 5 % maximum + des frais de port offerts).

La demande de remboursement se fera auprès de l’Agence de Services et de Paiement (ASP), « accompagnée des factures justifiant des coûts d’expédition des commandes prises à partir du 5 novembre ». « Seront éligibles les librairies indépendantes, c’est-à-dire les entreprises répondant aux critères de taille TPE et PME et dont la vente de livres neufs est l’activité principale ». Amazon est donc invité à aller se promener ailleurs. 

De son côté, « afin de réduire l’avance de trésorerie des libraires, et de réduire les délais de livraisons de proximité à J+1, La Poste met en place une remise sur son offre Proxicourses Librairies. Celle-ci sera disponible au tarif de 2 euros au lieu de 4,5 €. Elle sera éligible au dispositif de prise en charge des frais de port ci-dessus ».

Commentaires (50)


“« Ce dispositif permettra aux libraires de ne facturer à leurs clients que les frais de port au tarif minimum légal, soit 0,01 euro ». Un minimum issu de la loi anti-Amazon de 2014 “



Hier Chez Roselyne Bachelot :
“… oups … du coup on peut pas offrir les frais de port ? … Heureusement qu’Amazon a trouvé la feinte pour nous et qu’on peut dire que ça ne sera qu’1 centime”


Et pourquoi donc ce traitement privilégié pour les livres parmi tous les produits interdits de vente en magasin ?
Les fleuristes, marchands de vêtements, de jouets et décoration, d’ameublement, les bijoutiers, les vendeurs des autres produits culturels (CD et DVD, jeux vidéo), les magasins de sport (hors cycles), les vendeurs de gros électroménager n’ont pas le droit au même traitement ?



Mais où est donc le principe d’égalité défendu par le gouvernement ?
:cartonrouge:


+toutplein



Quand je vois tout ce bricolage et ce noeud marin à force de tordre le cou au problème, j’ai l’impression que c’est juste une bataille d’ego.



Le postulat de base n’est pas bon, tant pis, ça râlera parce que de toute façon tout le monde râle, mais faut avancer et pas rester campé sur des positions idiotes.


J’aimerais bien savoir combien représente encore aujourd’hui le marché du livre physique en France pour qu’on en parle autant.
Puis quand je lis que “la demande de remboursement se fera accompagnée des factures justifiant des coûts d’expédition”, bonjour le temps passé à traiter la paperasse… Sans compter bien-sûr que les subventions seront à la charge du contribuable.
Certes il faut évidemment se montrer solidaire, encore plus par les temps qui courent, mais pourquoi plus envers les libraires que les autres professions aussi durement touchées par cette crise ? Pourquoi ce traitement de faveur finalement ?



Amazon est donc invité à aller se promener ailleurs. »




Remarque ridicule et, ironiquement, tout à fait déplacée alors qu’Amazon pratique déjà le 1 centime.
.
.




Certes il faut évidemment se montrer solidaire,




Pourquoi devrait-on se montrer solidaire d’un secteur qui s’est lui-même imposé ces sanctions ? Qu’ils ne viennent pas se plaindre maintenant et assument leur décision.


tmtisfree


Amazon est donc invité à aller se promener ailleurs. »




Remarque ridicule et, ironiquement, tout à fait déplacée alors qu’Amazon pratique déjà le 1 centime.
.
.




Certes il faut évidemment se montrer solidaire,




Pourquoi devrait-on se montrer solidaire d’un secteur qui s’est lui-même imposé ces sanctions ? Qu’ils ne viennent pas se plaindre maintenant et assument leur décision.


Il s’agit plus d’une conviction personnelle et générale. Cependant, on pourrait aussi dire qu’il s’agit d’un état de fait dans la mesure où le système social et fiscal français se repose sur ce principe de solidarité. Mais ce n’était pas le fond de ma question.


Déjà est-ce que c’est légal ? Comment justifier que cette aide soit limitée aux TPE/PME?


Donc au final c’est encore de l’argent magique / futur impôts, comme le reste de ce qui est distribué pour acheter la docilité des français depuis mars.
Si vous ne voulez pas creuser la dette, achetez sur Amazon :mdr:


C’est pas de l’argent magique, c’est de la dette qu’on ajoute en plus et qui sera à payer par ceux qu’on culpabilise et dont on limite très grandement la vie et les libertés au profit des +65ans qui n’auront connu qu’une vie faste en vivant comme des parasites sur le dos des générations suivantes. :fumer:


qu’ils mettent pour tous les petits commerces …



fred42 a dit:


Et pourquoi donc ce traitement privilégié pour les livres parmi tous les produits interdits de vente en magasin ? Les fleuristes, marchands de vêtements, de jouets et décoration, d’ameublement, les bijoutiers, les vendeurs des autres produits culturels (CD et DVD, jeux vidéo), les magasins de sport (hors cycles), les vendeurs de gros électroménager n’ont pas le droit au même traitement ?



Mais où est donc le principe d’égalité défendu par le gouvernement ? :cartonrouge:




Parce que l’exception culturelle française. Vite, je commande l’ouvrage Comment devenir influenceur ? afin de me culturer comme il faut.


J’ai justement cité d’autres produits culturels qui ne sont pas concernés. Les libraires sont manifestement meilleurs que les disquaires.



Sinon, comment l’État pourra-t-il être sûr que les factures d’expéditions concernent bien un envoi de livres et pas d’autres produits ?



tmtisfree a dit:


Remarque ridicule et, ironiquement, tout à fait déplacée alors qu’Amazon pratique déjà le 1 centime…




Amazon pratique déjà le 1ct, mais paye le transport. Dans ce cas c’est l’état qui paye le transport (et qui n’a probablement pas envie de payer amazon pour devoir s’aligner sur une politique de gratuité des fdp que cette boite a en quelque sorte imposé aux autres acteurs du secteur)


… et finalement autoriser ces commerces à rouvrir, ça ne leur est pas venu à l’esprit ? Comme ça, pas de facture, pas de cerfa, pas de nouveau traitement administratif… trop simple, sans doute…



Neo1322 a dit:


Donc au final c’est encore de l’argent magique / futur impôts, comme le reste de ce qui est distribué pour acheter la docilité des français depuis mars. Si vous ne voulez pas creuser la dette, achetez sur Amazon :mdr:




Surtout que si tu commandes auprès des établissements subventionnés par l’État, aux frais de ports s’ajoutent les frais administratifs pour traiter les justificatifs. Pour une commande à 5€ de frais de ports, combien d’€ dépensés en + par l’État pour contrôler la facture ?



Et puis sérieux, il y a tant de gens que ça qui (1) ne peuvent pas payer qq euros de frais de ports et (2) ne peuvent pas se passer d’acheter des livres pendant 1 mois ? Je veux bien que la lecture soit un besoin essentiel, mais normalement quand on est un gros lecteur on a du stock à la maison (ou alors il y a des gens qui jettent les livres au fur et à mesure ? sur support biodégradable qu’il faut lire dans la semaine ? je ne comprends pas). J’ai l’impression que c’est vraiment une usine à gaz pour le plaisir de monter une usine à gaz.



fred42 a dit:


Mais où est donc le principe d’égalité défendu par le gouvernement ? :cartonrouge:




Il fait son footing à Roubaix :ouioui:




tmtisfree a dit:


Pourquoi devrait-on se montrer solidaire d’un secteur qui s’est lui-même imposé ces sanctions ? Qu’ils ne viennent pas se plaindre maintenant et assument leur décision.




Le document date de mars, quand on ne savait pas à quoi s’attendre (c’était le début de la “guerre”). Depuis, tout le monde a pu constater qu’il n’y avait pas eu les dizaines de milliers de morts annoncées. Tu as du remarquer qu’il y a plein de gens qui n’ont pas travaillé lors du premier confinement, et qui travaillent pour le deuxième ?


Je sais bien qu’il date de mars, c’est même pour cela que je le cite. Déjà à l’époque on savait que les projections des modèles étaient complètement fausses. Mais même sans cela, se tirer volontairement une balle dans le pied échappe à toute logique.



Évidemment des mois ont passé mais pour les imbéciles qui pensent nous gouverner rien n’a été fait, et donc ils réappliquent bêtement leurs recettes d’un autre âge sans tirer les leçons d’un passé pourtant récent. Mélenchon est tout à fait correct dans son diagnostic sur la dérive autoritaire du pouvoir.



Il n’en reste pas moins que le syndicat des libraires, s’il comptait sur l’État pour s’adapter la situation nouvelle (nouveau virus), s’est lourdement fourvoyé et les libraires en paient le prix fort maintenant.



Édition : anagrys écrit la même chose un peu plus haut.


On marche sur la tête dans ce pays.



tmtisfree a dit:


Pourquoi devrait-on se montrer solidaire d’un secteur qui s’est lui-même imposé ces sanctions ? Qu’ils ne viennent pas se plaindre maintenant et assument leur décision.




sur le fond, je suis d’accord : les libraires ont décidé, par le biais de leur syndicat, d’être exclus des “biens de première nécessité”. Mais d’un autre côté, quel est l’abruti (et je pèse mes mots) qui a choisi de reprendre sans la revoir la liste des commerces devant fermer de mars, en reposant des problèmes déjà connus et déjà résolus à l’époque grâce à un bout de scotch réglementaire ? Pour moi ce type mériterait d’être au minimum foutu dehors pour faute lourde, tout fonctionnaire qu’il puisse être.



Jarodd a dit:


Le document date de mars, quand on ne savait pas à quoi s’attendre (c’était le début de la “guerre”). Depuis, tout le monde a pu constater qu’il n’y avait pas eu les dizaines de milliers de morts annoncées. Tu as du remarquer qu’il y a plein de gens qui n’ont pas travaillé lors du premier confinement, et qui travaillent pour le deuxième ?




oui, mais comme dit dans mon commentaire précédent la liste utilisée en novembre est la même, exactement, que celle utilisée en mars. Sans se demander si depuis ils auraient pu éventuellement s’adapter, par exemple en mettant en place des distributeurs de gel, des parois en plexiglas devant les caisses, des trucs comme ça.
Parce-qu’en mars, le gel, on n’en avait pas : L’État saisissait tous les stocks. Des masques, on n’en avait pas non plus pour la même raison.


Je ne cherche pas à justifier cette exception mais certains semblent oublier que le marché du livre en France est très dynamique. Bref que la France est un pays de lecteurs. Beaucoup de sorties, beaucoup d’auteurs, beaucoup de livres traduits, beaucoup de librairies. C’est beau ! :incline:



Jarodd a dit:


Il fait son footing à Roubaix :ouioui:




Le vrai problème de cette histoire, ce n’est pas qu’il soit à plus d’un km de son domicile du nord, c’est qu’il ne soit pas resté à Paris qui est son vrai domicile. Il était à Paris le vendredi 30, il n’avait pas le droit en période de confinement d’aller dans le nord pour le WE. La tolérance ne s’appliquait ce WE-là que pour rentrer chez soi.


Et donc c’est encore le contribuable qui prend en charge. On continue la sovietisation doucement mais sûrement alors que la réponse logique est d’adapter la législation pour taxer les gafam, quitte à sortir de l’UE


Je suis ravi que mes impôts servent à offrir les frais de ports sur des achats en ligne, alors qu’une société privée réussi la même prouesse sans rien demande à personne.


Franchement que mes impôts servent à soutenir un secteur dans la merde à cause de circonstances exceptionnelles me choque moins que les milliers d’euros de subventions distribués depuis plusieurs années aux constructeurs automobiles pour les aider à écouler leurs bagnoles électriques dont personne ne veut. (normalement quand un produit ne trouve pas son public il disparaît)



A la rigueur ce qui me choque ici c’est pourquoi juste les libraires alors que, par exemple, le secteur de la restauration (la vraie, pas les vendeurs de malbouffe qui eux ont toujours leurs “drive” ouvert) est lui aussi en train de crever dans l’indifférence générale ? (peut être moins d’ayants droits avec leurs entrées à l’Elysée pour les défendre)



Neo1322 a dit:


Donc au final c’est encore de l’argent magique / futur impôts, comme le reste de ce qui est distribué pour acheter la docilité des français depuis mars. Si vous ne voulez pas creuser la dette, achetez sur Amazon :mdr:




Bah au moins les libraires indépendants paient leurs impôts, donc une partie des vente retourne dans les caisses de l’état.



Sinon c’est un peu bancal cette mesure quand même … mais comme autres mesures finalement, donc c’est cohérent #toutvabien


Franchement je ne comprends pas d’où sort cette fixette sur les livres.
Sur ce coup le gouvernement s’embourbe complètement et ne fait que cumuler de nouvelles inégalités à chaque fois c’est ridicule
Au pire les gens font du clic & collect et même les frais d’envoi postaux sont souvent pas très elevés, ils se prennent là tête un peu là.


Quel sketch, un jour = une nouvelle idée



Il y avait une histoire comme ça d’un chevalier en Espagne qui chargeait des moulins à vent…


La folie communiste continue : mise en place de tickets de rationnement pour la livraison de livres !


Tiens, Tmtisfree as un alterego, ou un double compte…


C’est juste son Mini-moi façon Raoult


De voir ces commentateurs défendre Amazon et consorts c’est beau…



Sinon pourquoi la particularité du livre ?
Principalement parceque nous sommes en période des prix littéraires qui couplée avec la fin de l’année représente le gros des ventes.
De plus contrairement à la vente de vêtements, de jouets et autres produits made in vietnam, le livre concerne tout un tas de secteurs différents qui se trouvent en France: auteur, relecteur, traducteur, éditeur, imprimeur, libraire.
Bref pour moi acheter un livre a beaucoup plus d’intéret pour notre économie que d’acheter un vétement jetable ou un jouet fabriqué par des petites mains dans des pays lointains.


Cette exception au marché du livre est sans doute justifiée parce que le prix du livre est réglementé et plutôt bas.
Quand tu as un livre de poche qui coute 7€, que le libraire touche 1 ou 2€ dessus et que les frais d’expédition de la poste sont de plus de 5€ que ce passe t’il ?
Le libraire ne peut pas se permettre de ne pas facturer le coût d’expédition et les gens achètent sur Amazon qui a un cout d’expédition moindre et fait du dumping.
D’où la loi anti-Amazon qui a magistralement foiré et l’aide actuelle aux libraires qui, en plus de ne pas pouvoir vendre à distance, ne peuvent maintenant plus vendre en physique avec le confinement.
Mais le résultat sera le même, un échec. Les “petits” libraires ne peuvent toujours pas vendre en ligne car ils n’ont pas de plateforme de vente ligne. Il n’ont comme solution que de vendre sur Amazon, Fnac, CDiscount ou que sais-je, qui leur prendra 20% de commission (ce qui correspond grosso modo à leur marge sur les prix réglementés).
Fin de l’histoire


felicienfrancois

Cette exception au marché du livre est sans doute justifiée parce que le prix du livre est réglementé et plutôt bas.
Quand tu as un livre de poche qui coute 7€, que le libraire touche 1 ou 2€ dessus et que les frais d’expédition de la poste sont de plus de 5€ que ce passe t’il ?
Le libraire ne peut pas se permettre de ne pas facturer le coût d’expédition et les gens achètent sur Amazon qui a un cout d’expédition moindre et fait du dumping.
D’où la loi anti-Amazon qui a magistralement foiré et l’aide actuelle aux libraires qui, en plus de ne pas pouvoir vendre à distance, ne peuvent maintenant plus vendre en physique avec le confinement.
Mais le résultat sera le même, un échec. Les “petits” libraires ne peuvent toujours pas vendre en ligne car ils n’ont pas de plateforme de vente ligne. Il n’ont comme solution que de vendre sur Amazon, Fnac, CDiscount ou que sais-je, qui leur prendra 20% de commission (ce qui correspond grosso modo à leur marge sur les prix réglementés).
Fin de l’histoire


Pour une entreprise, prendre à sa charge des frais (de livraison ici) n’est pas du dumping (un terme péjoratif sans pouvoir explicatif) mais un moyen de séduire le client pour prendre des parts de marché. Ceci se fait aux dépends de ses finances et donc potentiellement à l’avantage de ses concurrents à terme, et de ses actionnaires qui peuvent décider de favoriser à tout moment leurs dividendes en y mettant fin.



Le rôle du syndicat des libraires dans cette débâcle est clair. De plus pourquoi sont-ils incapables de s’organiser comme d’autres professions pour développer des synergies, limiter les coûts etc. avec des plateformes de vente ou d’achat, de mises en commun opérationnelles, de regroupements, etc. ? L’explication est évidente : ils n’ont pas besoin car en crapitalisme de connivence les relais dans les cercles du pouvoir qui en retour essaie de plaire à ses influenceurs sont un levier suffisant c-à-d gagnant-gagnant (le seul perdant étant l’abruti d’électeur mais passons).



FunnyD a dit:


Tiens, Tmtisfree as un alterego, ou un double compte…




Jaloux…
.
.



L’ironie de ton commentaire doit t’échapper, parce que le seul qui défend Amazon ici est le gouvernement qui copie ses méthodes lol !



Du reste ta vision de « l’intérêt économique » est étriquée : comme toujours avec les étatistes la fin justifie les moyens pour rectifier au fil de l’eau leur empilement d’échecs et d’erreurs. Ici l’absurdité de la décision la dispute au comique : la prise en charge publique des frais de livraison va profiter aux aisés qui lisent aux dépends de tous les autres qui ne lisent pas ou peu (généralement moins aisé) : pire traitement inégalitaire, je ne vois pas, bravo !



L’incohérence congénitale des ignares collectivistes est confondante.



felicienfrancois a dit:


Les “petits” libraires ne peuvent toujours pas vendre en ligne car ils n’ont pas de plateforme de vente ligne.




Si, il existe des plate-formes :
https://www.librairiesindependantes.com/
https://www.lalibrairie.com/



tmtisfree a dit:


pourquoi sont-ils incapables de s’organiser comme d’autres professions pour développer des synergies, limiter les coûts etc. avec des plateformes de vente ou d’achat, de mises en commun opérationnelles, de regroupements, etc. ?




librairiesindependantes.com
lalibrairie.com


Vu l’indigence produit et l’absence d’ergonomie de ces sites (on devrait plutôt dire moteur de recherche ou agrégateur), leur totale invisibilité sur le Web est compréhensible, et quiconque les a testé repart immédiatement vers Amazon…


tmtisfree

Vu l’indigence produit et l’absence d’ergonomie de ces sites (on devrait plutôt dire moteur de recherche ou agrégateur), leur totale invisibilité sur le Web est compréhensible, et quiconque les a testé repart immédiatement vers Amazon…


C’est marrant, j’ai cherché le même livre en poche : le premier tome de À la recherche du temps perdu, et là où j’ai eu le plus de mal à le trouver, c’est sur Amazon.



À prix égal, j’essaierai dorénavant d’acheter mes livres sur un de ces 2 sites.


fred42

C’est marrant, j’ai cherché le même livre en poche : le premier tome de À la recherche du temps perdu, et là où j’ai eu le plus de mal à le trouver, c’est sur Amazon.



À prix égal, j’essaierai dorénavant d’acheter mes livres sur un de ces 2 sites.


Tant mieux pour toi, je ne doute pas que pour des besoins basiques ou sur des produits con(ve)nus ou nouveaux ces sites soient suffisants, mais note que ta condition « à prix égal » sera rarement satisfaire vu que les frais de ports ne sont pas nuls (ou à 1 centime) sur ces sites…



Je fais mes recherches par thèmes (aucun trouvé sur ces sites), collections (critère inconnu sur ces sites) et d’ouvrages difficiles à trouver ou pas réédités (ils ne vendent que du neuf a priori) : Amazon ou Ebay sont donc incontournables.



fred42 a dit:


C’est marrant, j’ai cherché le même livre en poche : le premier tome de À la recherche du temps perdu, et là où j’ai eu le plus de mal à le trouver, c’est sur Amazon.



À prix égal, j’essaierai dorénavant d’acheter mes livres sur un de ces 2 sites.




Faut-il y voir une allusion à un éventuel débat avec ton interlocuteur ?


:mdr:
En fait, j’ai choisi un livre très connu (je n’ai pas dit très lu :D), mais le fait qu’il y ait plusieurs tomes avec ce titre et que ce soit un poche que je cherchais a rendu plus compliqué l’utilisation d’Amazon.



tmtisfree a dit:


Amazon ou Ebay sont donc incontournables.




Ne pas oublier Rakuten !



serpolet a dit:


Ne pas oublier Rakuten !




Momox c’est encore mieux :p


Je ne connaissais pas, merci !



wanou2 a dit:


Momox c’est encore mieux :p




Critiques
Les pratiques de Momox sont fortement critiquées par les internautes ayant essayé la revente de livres, certains accusant l’entreprise d’escroquerie10,11,12 : selon de nombreux témoignages, l’entreprise refuserait fréquemment de payer les livres de plus grande valeur qu’elle recevrait en prétextant — à tort — de leur mauvais état, tout en les revendant à son seul profit et à l’insu de leurs propriétaires. Des frais de port prohibitifs dissuaderaient les victimes de récupérer leurs biens. Certains accusent aussi Momox de pratiquer une concurrence déloyale sur la plateforme Amazon, en proposant des livres d’occasion à des prix extrêmement bas[
(Wikipedia)


Et alors ?



serpolet a dit:


Ne pas oublier Rakuten !




Pour avoir des problème, je confirme ils sont parfaits.
J’ai voulu tenter une commande chez eux : j’ai recu une contrefacon (tél avec écran remplacé, tellement mal contrefait qu’il ne rentrait même pas dans le tél…), leur seule réponse a été “on en a strictement RAB, vous vous démerdez avec le vendeur.” Bien entendu, le vendeur a fait le mort ensuite.
Un pote a tenté une commande chez eux : il a recu un truc qui ne fonctionne pas, leur réponse a été la même et le vendeur a là aussi fait le mort sans jamais répondre…



Donc si c’est pour n’avoir strictement aucune aide de la part du site, autant passer par LBC directement, au moins c’est gratuit aussi pour le vendeur.


Je confirme avoir eu aussi à faire face à un certain jemenfoutisme de Rakuten.
D’ailleurs c’est eux qui m’ont fait aller chez Amazon, qui était plus cher sur un produit particulier, mais je l’ai eu rapidement et proprement après deux annulations incompréhensibles de Rakuten


“l’État prendra en charge, pendant la durée du confinement, les frais d’envoi de livres”. Non ce sera encore et toujours le CONtribuable.


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