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Les majors de la musique obtiennent la fermeture de Grooveshark et 50 millions de dollars

Groovesarkuté

Les majors de la musique obtiennent la fermeture de Grooveshark et 50 millions de dollars

Le 04 mai 2015 à 08h00

Clap de fin pour Grooveshark. Empêtré dans un procès en passe d'être remporté haut la main par de puissantes majors de la musique, le célèbre site de streaming a conclu un accord avec les ayants droit, lequel prévoit la cessation immédiate de ses activités et le paiement de 50 millions de dollars d’indemnités.

Grooveshark ferme précipitamment ses portes

Depuis ce vendredi, « grooveshark.com » ne permet plus d’accéder gratuitement à des milliers de chansons. En lieu et place, se trouve un billet signé du 30 avril et annonçant la fermeture du site et de son application mobile. Même ses pages de réseaux sociaux ont été clôturées.

Comme nous l’expliquions la semaine dernière, le volet civil du procès de Grooveshark venait de s’ouvrir aux États-Unis, après que le site de streaming a été reconnu coupable de violation de copyright, en septembre 2014. Il était apparu au cours des débats que les responsables du site avaient ordonné à leurs salariés de mettre en ligne un maximum de titres musicaux, histoire d’agrandir rapidement le catalogue de la plateforme et participer à son succès (voir notre article).

Lancé au milieu des années 2000, Grooveshark fut en effet l’un des premiers concurrents de Deezer ou Spotify. Son principe ? Permettre aux internautes d’uploader des titres, lesquels étaient ensuite partagés avec le reste de la communauté. Un peu comme sur YouTube, chacun pouvait ainsi déposer sa chanson et/ou écouter celles des autres... Jusqu'ici, la plateforme se prévalait de 35 millions d’utilisateurs mensuels selon la BBC.

Un procès qui se solde par un arrangement à l’amiable

Après avoir remporté cette première victoire, les neuf maisons de disques plaignantes (Warner, Sony, Atlantic Recording...) réclamaient plus de 700 millions de dollars de dommages et intérêts à Grooveshark – 150 000 dollars pour chacune des 5 977 chansons dont le copyright avait été violé, soit le maximum prévu par la législation américaine.

grooveshark

Mais finalement, l’affaire s’est conclue par un accord entre les parties. « Dans le cadre d'une transaction amiable avec les plus grandes maisons de disques, nous avons accepté de cesser immédiatement nos opérations, d'effacer toutes les œuvres en stock couvertes par des droits d'auteur et de renoncer à la propriété du site, de nos applications mobiles et de notre propriété intellectuelle, y compris nos brevets et droits d'auteur » expliquent ainsi les responsables de Grooveshark. Ces derniers reconnaissent avoir fait de « très grosses erreurs » : « Nous n'avions pas l’autorisation des ayants droits pour la grande majorité des musiques du service. C'était mal. Nous présentons nos excuses. Sans réserve. »

Le fameux accord, validé vendredi 1er mai par un tribunal de New York (PDF), est cependant plus large que ce qu’a annoncé Grooveshark. Dévoilé par TorrentFreak, il comprend une partie prévoyant que la plateforme devra verser 50 millions de dollars d’indemnités aux maisons de disques.

Ce genre d’épilogue est assez fréquent aux États-Unis. On se souviendra par exemple des cas d’IsoHunt ou d’Hotfile, où des montants de 110 et 80 millions de dollars étaient en jeu. Cependant, ces deux exemples permettent de souligner dans le même temps que la victoire est rarement totale pour les ayants droit... Dans le premier cas, un clone d’IsoHunt avait rapidement pris le relais du célèbre site de liens torrent. Pour Hotfile, il était apparu suite au piratage de Sony Pictures que « seuls » 4 millions de dollars avaient effectivement été versés aux majors, soit 20 fois moins que prévu.  

Commentaires (132)

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C’était écrit, avec un catalogue pareil (sans limite théorique), ils étaient sûrs de fermer. Je suis surpris qu’ils n’aient pas été condamnés à de la taule lors du procès pénal  l’an dernier vu les rapports de forces inégaux de ce genre de procès aux US.



Dommage on trouvait des raretés complètements oubliées des sites de streaming payant.



RIP

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c’est vrai que c’est un site qui mérite d’être PLUS connu !

(et, “cerise sur gâteau” –> cocorico : site Français ….“oui, Monsieur” !!!



&nbsphttp://www.qobuz.com/fr-fr/

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Moi je vais sur YouTube, la qualité est souvent à déplorer mais y’a plein d’artistes en herbe, comme sur soundcloud&nbsp;<img data-src=" />

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Papa Panda a écrit :



tu as vu ça où ???

ne me dis pas deezr, spotify etc…ou pire ithunes…&nbsp;



Tu peux écouter de la zik sur Deezer de la même façon que sur Grooveshark (je pinaille pas sur la qualité ou quoi), sauf que d’un côté t’as une plateforme légale et pas gratuite et de l’autre un truc qui a tipiaké une bonne partie de son répertoire, l’issue était logique. Après t’as le choix, gratos mais avec pub, ou payant et sans pub. Mais le site est aussi moderne et bien pensé que Grooveshark (voire mieux que la récente nouvelle version de Grooveshark). Idem pour Spotify.





vizir67 a écrit :



c’est TRÈS cher&nbsp; payé !

Groov. renonce à TOUT !&nbsp;



Ben c’est con, mais c’est pas surprenant.


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Le seul que je pourrai dire du bien …



Mais les prix sont assez cher…et l’offre est spécifique tout de même.



Et ,je suis navré , il est tjs plus facile de tipiaké pour une qualité studio min. avec du choix varié pour tous et rapide à trouver.



Et ,tant que ces “ayants droits” / majors ne proposent aussi bien et des prix réellement attractifs et surtout pour que l’artiste derrière ait réellement plus qu’n penny …

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Et les gogos qui ont payé un abonnement à Grooveshark,&nbsp;ils l’ont dans le cul ?

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Himurai a écrit :



Sans vouloir défendre quoi que ce soit, considérer que 1 titre piraté n’est pas forcément un titre acheté devient 1 titre piraté n’est jamais un titre acheté, c’est tout aussi binaire que de penser que chaque album en torrent est une vente non réalisée…





J’ai pas dit qu’un titre piraté n’était pas acheté de toute façon, je soulignais le fait que c’est un argument des majors. <img data-src=" />

D’ailleurs, plusieures études ont démontré que les gros téléchargeurs sont aussi des gros consommateurs.


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garvek a écrit :



… Deezer s’est considérable appauvri (23 de mes playlists sont grisées)





Même chose de mon côté. C’est un vrai problème.

Je ne vais sans doute pas le poursuivre bien longtemps encore mon abonnement Deezer…

&nbsp;


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Pour ceux qui veulent récupérer leurs playlists (en format texte) c’est possible dans la mesure ou elle est encore en cache du navigateur dans le localstorage du html.

pas encore testé, mais apparemment ça marche.



voir la démarche sur&nbsp;reddit

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Papa Panda a écrit :



Et ,je suis navré , il est tjs plus facile de tipiaké pour une qualité studio min. avec du choix varié pour tous et rapide à trouver.&nbsp;



Je suis &nbsp;bien d’accord. Après Grooveshark proposait-il de la qualité studio? Ou était-il équivalent à Deezer et Spotify mais en version gratos?


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ça me récupère uniquement 2 albums écoutés récemment, c’est tout, dommage…

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lomic2 a écrit :



Tu peux écouter de la zik sur Deezer de la même façon que sur Grooveshark (je pinaille pas sur la qualité ou quoi), sauf que d’un côté t’as une plateforme légale et pas gratuite et de l’autre un truc qui a tipiaké une bonne partie de son répertoire, l’issue était logique. Après t’as le choix, gratos mais avec pub, ou payant et sans pub. Mais le site est aussi moderne et bien pensé que Grooveshark (voire mieux que la récente nouvelle version de Grooveshark). Idem pour Spotify.

Ben c’est con, mais c’est pas surprenant.







Le problème des plates-formes légales justement c’est que leur catalogue va forcément être très limité. Tant que celle ci se traîneront ce boulet, c’est tout simplement impensable d’espérer concurrencer les plates-formes qui ne s’embarrassent pas des droits de diffusions.

Cette histoire de droits de diffusion et de complexité autour (gestion par pays, par maison de disque, voir même par médium…) est selon moi l’un des freins à toute modernisation du marché du légal actuel.







knos a écrit :



Vus le temps qu’ils leurs fallait pour un livre le travail devais quand même être varié.







Ils se lâchaient complètement sur les majuscules en début de chapitre.


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Himurai a écrit :



Sans vouloir défendre quoi que ce soit, considérer que 1 titre piraté n’est pas forcément un titre acheté devient 1 titre piraté n’est jamais un titre acheté, c’est tout aussi binaire que de penser que chaque album en torrent est une vente non réalisée…



non, c’est uniquement toi qui fais ce raccourci foireux…


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Papa Panda a écrit :



Euh ….



tu as vu ça où ???

ne me dis pas deezr, spotify etc…ou pire ithunes…



ou c’est un gros troll …



https://www.sonerezh.bzh/ <img data-src=" />


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Ha les majors et leur combat vain pour rétablir des habitudes de consommation caduques depuis 15 ans…



&nbsp;

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Ricard a écrit :



Rarement totales? Ben quand on gagne 4 M$ ex nihilo sans préjudice*, c’est 4 millions de gagnés, dans ce cas pécis..



*1 titre piraté =/= 1 titre pas acheté.









Patch a écrit :



non, c’est uniquement toi qui fais ce raccourci foireux…





Alors c’est que nous n’avons pas la même définition de “sans préjudice”.&nbsp;


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lomic2 a écrit :



C’est un problème si tu écoutes des trucs qui sont hors catalogue (30 millions de titres? si j’en écoute 1000 c’est le bout du monde), mais j’ai un gros doute sur le fait que ça concerne la majorité des utilisateurs de Grooveshark&nbsp;<img data-src=" />



Après les titres qui disparaissent des playlists toutes les 5 mins c’est clair que c’est chiant (mais j’ai eu le coup avec Grooveshark aussi).





Écoutant principalement du Jazz et de la “musique classique”, je ne trouve pas forcément de quoi combler mon appétit. À part m’abonner à plusieurs plateformes pour écouter des enregistrements de compositeurs morts, ce qui est évidemment hors de question.


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Himurai a écrit :



Alors c’est que nous n’avons pas la même définition de “sans préjudice”.



ou que tu crées des causes et des conséquences là où n’y en a pas…


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trash54 a écrit :



et tu crois que ça fait plaisir à Deezer de devoir les supprimer ses “artistes” ?



si c’est le choix des artistes ben soit tu achètes le CD tu les ripp, soit tu les écoutent plus comme ils ne veulent pas que tu les écoutes “à ta façon”&nbsp;





Je me demande à qui cela fait plaisir…

Je ne faisais que rebondir sur l’aspect “catalogue limité” des plateformes légales.


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Constrilia a écrit :



Sans compter que de plus en plus d’artistes retirent eux mêmes leurs morceaux / albums des plateformes en question car ils ne trouvent pas leur compte dans la rémunération. Un des freins à ajouter est donc aussi la dévalutation de la musique par les dites plateformes - pour une fois que les méchantes majors ne sont pas seules responsables <img data-src=" />





Je suis tout a fait d’accord. Je dénonce surtout une complexité général du système qui pousse forcément à se tourner vers des solutions bien plus simple. Si tu veux éviter la fraude, tu évites que ton systèmes soit plus complexe que l’administration française (qui malheureusement, pour nous français moyen, ne pouvant pas invoquer la phobie de la paperasserie ni pratiquer l’optimisation fiscale, ne pouvons pas nous permettre de l’outrepasser)


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knos a écrit :



Le

problème est également un problème de surabondance. Donc forcement la

part du gâteau par artiste est faible. C’est quand même marrant de voir

que le marché de la musique est pas vraiment régulé par l’offre et la

demande.





L’ennui est que la “rebellion” vient assez souvent des artistes les plus diffusés / écoutés - le départ de Taylor Swift avait fait pas mal de vagues par exemple.


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trash54 a écrit :



et tu crois que ça fait plaisir à Deezer de devoir les supprimer ses “artistes” ?





Sachant qu’un artiste en moins, c’est des frais de gestion en moins et une rémunération à payer en moins.

Que les abonnements sont payés et que les clients restent malgré tout dans 99,99999% des cas.



Oui, deezer y trouve un bénéfice certain.


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Himurai a écrit :



Oui et ça s’appelle de la mauvaise foi. C’est sur que ça fait avancer le bousin.



Fin bon, puisque la discussion a déjà eu lieu sur un forum, je pense qu’il est de notre devoir d’arrêter d’en parler.



As-tu une liste des discussions déjà abordées ici et qu’il convient de ne plus avoir ? J’espère qu’il nous restera un sujet de conversation quand même !





Ha non monsieur, puisque c’est moi qui suis de mauvaise foi, la discussion s’arrête là en ce qui me concerne.

Bonjour Monsieur.<img data-src=" />


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Nikodym a écrit :



Écoutant principalement du Jazz et de la “musique classique”, je ne trouve pas forcément de quoi combler mon appétit. À part m’abonner à plusieurs plateformes pour écouter des enregistrements de compositeurs morts, ce qui est évidemment hors de question.







y a quand même pas de trucs en jazz sur Spotify non?


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knos a écrit :



Le problème est également un problème de surabondance. Donc forcement la part du gâteau par artiste est faible. C’est quand même marrant de voir que le marché de la musique est pas vraiment régulé par l’offre et la demande.





Parce que l’offre et la demande c’est une invention, du vent. C’est la premiere chose que l’on m’a appris en classe d’économie/gestion d’entreprise


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js2082 a écrit :



Surtout si c’était qu’un seul et même bouquin.

&nbsp;



Mouais bon, là y avait pas d’innovation hein.

C’était juste une grosse plateforme de stockage et d’écoute de musique piratée ne respectant pas du tout les droits des auteurs.

&nbsp;

L’issue de cette affaire n’était pas bien compliquée à deviner.<img data-src=" />









lomic2 a écrit :



Oué enfin… perso c’est pas les petits producteurs que j’écoutais, quant au modèle économique, ça ne manque pas d’équivalents à Grooveshark,&nbsp;&nbsp;Deezer ou Spotify par exemple,&nbsp;par contre avec abonnement ou limitations, ce qui est plutôt logique.&nbsp;



Donc perso je regrette Grooveshark qui me permettait d’écouter de la zik à l’oeil, mais je suis pas surpris ni en colère contre les zéyandrouas ;) ils proposent aussi un service de qualité contre rémunération, c’est pas comme si l’offre légale était mal foutue dans ce domaine (on peut pas en dire autant côté ciné/TV)





Faut surtout voir que Grooveshark était un précurseur sur ce secteur, bien avant l’arrivée de Deezer et Spotify.

Et pour rappel, Deezer a fait exactement la même chose que Grooveshark au départ.

Je me souviens de la possibilité d’upload ses musiques (fortement encouragée) et de l’absence de complète de limitations sur ce dernier. Ce qui donnait accès à pas mal de musiques introuvables aujourd’hui en France et sur les plateformes légales.


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Il est effectivement dommage de &nbsp;voir une telle fermeture. Mais &nbsp;1 de fermé 10 de retrouvés..



C’est une bataille sans fin.. Il y a un gros déséquilibre entre les artistes méga riches et ceux qui tentent de subsisté.&nbsp;



Le gros problème c’est comme les films aujourd’hui on a trop de choix comment peux ton choisir 1 album , 1 chanson , 1 film parmi &nbsp;la liste qui s’agrandit chaque jour ? C’est impossible ou bien tous les achetés ? c’est impossible.



Alors certes je ne participe pas à tous les investissements parce qu’a un moment on ne peut pas le faire pour tout le monde.Mais dans ce cas &nbsp;il est très difficile de résister face à l’offre permanente. Imaginez aussi d’avoir le nombre de Disc = à votre réel besoin de diversité d’écoute il faudrait des étagères dans toutes les pièces. Ou bien miser sur une plateforme légal ou les playlists bougent selon le portefeuille des dirigeants…. Personnellement je n’adhère pas à ce principe.&nbsp;



Si aujourd’hui internet n’existait pas on aurait 1000 fois moins d’artiste dans le monde. Alors peut être que la solution c’est de faire un marché du travail de la musique et de faire un peu comme dans le travail professionnel à un moment on a plus besoin de secretaire médical donc on oriente ailleurs. Je pense qu’il y a trop d’artiste VS la part du gâteaux. Le portefeuille n’est pas extensible. Il faut fixer une limite ou bien accepter de le faire que par pur plaisir et donc gratuitement.

&nbsp;

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En clair, Grooveshark, c’était l’équivalent de TPB en streaming et que pour la musique… <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Bon, après, si des services comme celui-là existent, c’est bien qu’il y a des carences quelque part du côté de l’offre légale.



Je note au passage que face à un service qui fonctionnait, les zéyantdrouah n’ont pas cherché avec ses promoteurs une solution pour le rendre legit. Cela aurait peut-être fonctionné, qui sait…

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Pas étonnant qu’un système comme Grooveshark ferme, un site qui ramenait tout de même des millions d’utilisateurs sur leur plateforme, et qui payaient même.. Mais l’offre gratuite tout comme payante était illégale il faut le dire (aucune redistribution de Grooveshark aux ayants droits, 0 aux artistes sauf des exceptions à ceux qui publiaient dessus et encore)…



La popularité de ce service est la preuve qu’il y a un manque d’offre attrayante pour le consommateur (licence globale), payer 10€ par mois pour de l’illimité sur 90% des musiques dans le monde est peut être trop ? (ça revient quand même à 120€ sur un an, plus de 1000€ sur 10 ans pour de la musique qu’on ne stocke pas ni même de droit de propriété dudit fichier…)



Il y a des alternatives gratuites et légales qui évite aussi d’écouter des pubs auditives à répétition et c’est plutôt chouette, ceux là vont exploser surtout depuis la fin de Grooveshark (effet streisand ?) http://www.bxnxg.com/les-alternatives-a-feu-grooveshark/

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youtube.com YouTubeC’est triste pour mes playlists

Mais un autre service aussi performant finira par réapparaitre (et je parle pas d’ersatz à la sauce spotify et deezer)

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En parlant de ce genre de chose, je me demande comment font des services/logiciel comme “songr” pour tenir.

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MikOo a écrit :



Et les gogos qui ont payé un abonnement à Grooveshark, ils l’ont dans le cul ?





Bah faut quand même pas être bien malin pour aller payer pour du tipiak <img data-src=" />



En plus laisser traîner des identifiants permettant potentiellement de te retrouver facilement dans un fichier clients qui se retrouvera forcément tôt ou tard dans les mains de la justice … <img data-src=" />









Commentaire_supprime a écrit :



Bon, après, si des services comme celui-là existent, c’est bien qu’il y a des carences quelque part du côté de l’offre légale.



Je note au passage que face à un service qui fonctionnait, les zéyantdrouah n’ont pas cherché avec ses promoteurs une solution pour le rendre legit. Cela aurait peut-être fonctionné, qui sait…





Ouais enfin si on met de coté 2 minutes l’hypocrisie la carence niveau offre légale c’est surtout pour un service où on trouve tout et n’importe quoi sans débourser un centime qu’elle existe, autant dire que c’est pas demain la veille qu’elle risque d’être comblée <img data-src=" />





Sinon les “zayanbocoutrodedrouahs” ont déja tenté de rendre légal un site de tipiak, Napster, sauf que comme ils s’y sont prit comme des manches, ou plutôt comme les requins qu’ils sont, ça s’est vautré en beauté.


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Ton lien est cassé…&nbsp;

Sinon je sais pas ce que j’écoute qui est lié à une major, le fait qu’ils achètent plein de petits labels n’aide pas à s’y retrouver.



Mais je doute qu’il y ait beaucoup de post black metal bizarre, de rap fr inconnu ou de techno hardcore underground des années 90 chez les majors (ces 3 sous genres doivent concentrer 90% de mes écoutes).



Mais je peux me tromper.

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tass_ a écrit :



techno hardcore underground des années 90





Si tu aurais des liens pour ca (Corebay c’est bien mais pas très pratique de s’y retrouver et pas mal de liens morts) <img data-src=" />


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athlon64 a écrit :



Si tu aurais des liens pour ca (Corebay c’est bien mais pas très pratique de s’y retrouver et pas mal de liens morts) <img data-src=" />





Hum là comme ça je n’ai que des users YT &nbsp; :

youtube.com YouTube&nbsp;ou&nbsp;

youtube.com YouTube(mais lui faut chercher, y a de tout comme styles)



qui ont une base assez sympa de vinyls rippés.


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Chiotte, j’aimais bien leur version HTML5 du site, bien plus léger que les autres sites de streaming <img data-src=" />

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fusion_sadam a écrit :



Pour ceux qui veulent récupérer leurs playlists (en format texte) c’est possible dans la mesure ou elle est encore en cache du navigateur dans le localstorage du html.

pas encore testé, mais apparemment ça marche.



voir la démarche sur&nbsp;reddit





Tu sauves ma vie ! Merci :)


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maitreyome a écrit :



A

l’époque, quand j’utilisais Grooveshark, je pensais vraiment que

c’était légal en fait, style Deezer quoi. &nbsp;Quel naïf je fais ^^





&nbsp;Honnêtement je savais que c’était illégal, mais je pensais qu’ils avaient quand même négocié avec quelques gros (en fait non) et que ça les protégeait un chouilla.

Et puis ils viraient plein de titres sur requête DCMA quoi qu’on en dise, je l’ai constaté (perdu 20 titres d’une playlist en un mois).



Bref, hormis les discussions sur la légalité, trouvez donc un site avec les artistes métal obscurs que j’écoute, les musiques d’animés et de jeux japonais, un lecteur qui permet de mélanger des chansons de plusieurs playlists dans l’ordre voulu (pas trouvé comment faire sur Spotify/Deezer, j’ai loupé un truc?), des supers broadcasts et un réseautage musical, sans compter un algorithme de suggestion presque parfait?

&nbsp;





MikOo a écrit :



Et les gogos qui ont payé un abonnement à Grooveshark,&nbsp;ils l’ont dans le cul ?





On dirait&nbsp;<img data-src=" />







lomic2 a écrit :



Je

suis &nbsp;bien d’accord. Après Grooveshark proposait-il de la qualité

studio? Ou était-il équivalent à Deezer et Spotify mais en version

gratos?





Comme j’avais un soft chelou pour aspirer les mp3 de Grooveshark, je peux te dire que c’est variable, selon le fichier uploadé par les mecs derrière. Y’avait de tout, du 96Kbps comme du 320 (mais plus du 128 ou 256 ou vbr), il suffisait de bien écouter et on trouvait le meilleur doublon<img data-src=" />

Une fois j’ai même entendu le texte abonne-toi de youtube, donc le mp3 avait été converti et uploadé sur Grooveshark<img data-src=" />

&nbsp;



&nbsp;

Je l’utilisais peu en 2009, puis quand Deezer a (édit:avait) instauré les 5h/mois et que je les ai cramées en deux jours, je suis parti chez GS. Le retour va être difficile, que ce soit à la légalité ou pas <img data-src=" />



Edit2 : j’achète des cds hein, z’oubliez pas ça!


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vizir67 a écrit :



c’est TRÈS cher&nbsp; payé !

Groov. renonce à TOUT !

ils* ont sorti “la grosse artillerie” –&gt; “boom” ….pas de cadeau ! <img data-src=" />





* les Majors





et les majorettes ??


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Aosora a écrit :



Honnêtement je savais que c’était illégal, mais je pensais qu’ils avaient quand même négocié avec quelques gros (en fait non) et que ça les protégeait un chouilla.





Apparemment oui mais pas beaucoup ont acceptés :



A la place, Grooveshark a cherché un terrain d’entente avec les majors en mettant en place un système de rémunération, basée sur un partage des recettes publicitaires et des abonnements proposés à ses utilisateurs. La plateforme a d’ailleurs réussi à conclure des licences avec EMI et des labels indépendants, mais pas avec le reste de la profession.



http://scinfolex.com/2015/05/03/la-fin-de-grooveshark-et-le-prix-a-payer-pour-la…



Ce qui les aurait fait tomber ce serait le fait qu’ils aient demandé à leurs employés d’uploader des titres, les sortants de fait du statut de simple hébergeur.


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merci <img data-src=" /> je vais regarder ca. Seul problème de YT ca reste la qualité qui est pas toujours top, je verrai bien

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athlon64 a écrit :



merci <img data-src=" /> je vais regarder ca. Seul problème de YT ca reste la qualité qui est pas toujours top, je verrai bien





Oui c’est plus pour avoir un aperçu et choper des noms d’artistes / labels après pour les récupérer si pas de ddl, je vais sur l’oiseau bleu qui sert encore des fois (puis bon c’est pas des trucs qui intéressent les radars anti piratage hein xD).


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tass_ a écrit :



Oui c’est plus pour avoir un aperçu et choper des noms d’artistes / labels après pour les récupérer si pas de ddl, je vais sur l’oiseau bleu qui sert encore des fois (puis bon c’est pas des trucs qui intéressent les radars anti piratage hein xD).





C’est souvent ma lacune, me souviens assez rarement de certains noms d’artiste ou de label <img data-src=" />



L’oiseau bleue ? c’était pas une grenouille ? (Si on parle bien de la même chose)



Si je recevais un courrier d’HADOPI pour ca, j’oserai plus rien télécharger <img data-src=" />


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haha c’est vrai que depuis il a été remplacé par un autre oiseau bleu mais je parlais de soulseek (qui est surveillé pour les trucs connus mais bon pour ça… xD) y a une petite communauté (genre 15-20 personnes) dans ce genre &nbsp;de sons… enfin la dernière fois que je suis passé y a quelques mois y en avait encore :p

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je connaissais que de nom, je n’aurai pas pu deviner <img data-src=" /> Je pensais plus a Vuze en parlant d’animal bleu



<img data-src=" />

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https://trappedinfreedom.bandcamp.com/



du coup.&nbsp;



J’écoute moi aussi majoritairement des trucs indé, mais ça ne fait pas non plus 100% donc y’a des majors aussi. Mais effectivement, le genre de musique que tu écoute va jouer un grand rôle. sur leur présence/ absence ^^&nbsp;

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mitsuaki a écrit :



https://trappedinfreedom.bandcamp.com/



du coup.&nbsp;



J’écoute moi aussi majoritairement des trucs indé, mais ça ne fait pas non plus 100% donc y’a des majors aussi. Mais effectivement, le genre de musique que tu écoute va jouer un grand rôle. sur leur présence/ absence ^^&nbsp;





Haha c’est drôle, très “nawak metal” oui.

Perso ma dernière découverte :https://satan.bandcamp.com/album/lodeur-du-sang-may-2015 (bon ok c’est plus bourrin, mais vus en live et c’était bien sympa).


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tass_ a écrit :



haha c’est vrai que depuis il a été remplacé par un autre oiseau bleu mais je parlais de soulseek (qui est surveillé pour les trucs connus mais bon pour ça… xD) y a une petite communauté (genre 15-20 personnes) dans ce genre  de sons… enfin la dernière fois que je suis passé y a quelques mois y en avait encore :p





je viens d’écouter un peu la premiere chaine YT donnée, années 1990-1992 et OUAH !! <img data-src=" /> c’est ce genre de chose que je n’arrivai pas a trouver par manque de nom principalement, encore merci <img data-src=" />


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Seulement 10000$ par titre piraté… C’est vrai qu’ils leurs faut au moins ça pour nous faire de la soupe.

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J’ai perdu mon site préféré <img data-src=" />

Je suis retourné zoner sur Soundcloud du coup.

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Groovesarkuté





Personnene percute !



Mais , tu sors ===&gt;[]

<img data-src=" />

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Faut pas chercher, les grosses majors (puisque grooveshark avait conclus des accords avec les petits producteurs) sont des saloperies à éradiquer.

Plutôt que d’être partie prenante à l’innovation, ils préfèrent se comporter comme des gros connards fermés à un modèle économique déjà mort.

Même les moines copistes ont plutôt bien accueillit l’imprimerie, d’ailleurs pour la petite histoire, c’est le pouvoir (politique) qui voyait d’un mauvais œil l’imprimerie.

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Tatsu-Kan a écrit :



Même les moines copistes ont plutôt bien accueillit l’imprimerie, d’ailleurs pour la petite histoire, c’est le pouvoir (politique) qui voyait d’un mauvais œil l’imprimerie.





Tu m’étonnes, ils devaient en avoir marre de recopier la même chose toute la journée <img data-src=" />


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Tatsu-Kan a écrit :



Faut pas chercher, les grosses majors (puisque grooveshark avait conclus des accords avec les petits producteurs) sont des saloperies à éradiquer.

Plutôt que d’être partie prenante à l’innovation, ils préfèrent se comporter comme des gros connards fermés à un modèle économique déjà mort.&nbsp;



Oué enfin… perso c’est pas les petits producteurs que j’écoutais, quant au modèle économique, ça ne manque pas d’équivalents à Grooveshark,&nbsp;&nbsp;Deezer ou Spotify par exemple,&nbsp;par contre avec abonnement ou limitations, ce qui est plutôt logique.



Donc perso je regrette Grooveshark qui me permettait d’écouter de la zik à l’oeil, mais je suis pas surpris ni en colère contre les zéyandrouas ;) ils proposent aussi un service de qualité contre rémunération, c’est pas comme si l’offre légale était mal foutue dans ce domaine (on peut pas en dire autant côté ciné/TV)


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Je confirme.

Le système de Broadcast était tellement bien en plus.

Le pire dans tout ceci c’est qu’ils proposent que l’on passe sur des services légaux. Mais avec leur catalogue bien restreint c’est pas demain la veille qu’on aura un réel remplaçant à Feu Grooveshark.

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Vus le temps qu’ils leurs fallait pour un livre le travail devais quand même être varié.

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Cependant, ces deux exemples permettent de souligner dans le même temps

que la victoire est rarement totale pour les ayants droit… Dans le

premier cas, un clone d’IsoHunt avait rapidement pris le relais du

célèbre site de liens torrent. Pour Hotfile, il était apparu suite au piratage de Sony Pictures que «&nbsp;seuls&nbsp;» 4 millions de dollars avaient effectivement été versés aux majors, soit 20 fois moins que prévu.



Rarement totales? Ben quand on gagne 4 M$ ex nihilo sans préjudice*, c’est 4 millions de gagnés, dans ce cas pécis..



*1 titre piraté =/= 1 titre pas acheté.

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Euh ….



ils proposent aussi un service de qualité contre rémunération, c’est pas comme si l’offre légale était mal foutue dans ce domaine



tu as vu ça où ???

ne me dis pas deezr, spotify etc…ou pire ithunes…



ou c’est un gros troll …

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Surtout si c’était qu’un seul et même bouquin.

&nbsp;







Tatsu-Kan a écrit :



Faut pas chercher, les grosses majors (puisque grooveshark avait conclus des accords avec les petits producteurs) sont des saloperies à éradiquer.

Plutôt que d’être partie prenante à l’innovation, ils préfèrent se comporter comme des gros connards fermés à un modèle économique déjà mort.





Mouais bon, là y avait pas d’innovation hein.

C’était juste une grosse plateforme de stockage et d’écoute de musique piratée ne respectant pas du tout les droits des auteurs.

&nbsp;

L’issue de cette affaire n’était pas bien compliquée à deviner.<img data-src=" />


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Ricard a écrit :



Rarement totales? Ben quand on gagne 4 M$ ex nihilo sans préjudice*, c’est 4 millions de gagnés, dans ce cas pécis..



*1 titre piraté =/= 1 titre pas acheté.





Sans vouloir défendre quoi que ce soit, considérer que 1 titre piraté n’est pas forcément un titre acheté devient 1 titre piraté n’est jamais un titre acheté, c’est tout aussi binaire que de penser que chaque album en torrent est une vente non réalisée…


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Papa Panda a écrit :



Euh ….



tu as vu ça où ???

ne me dis pas deezr, spotify etc…ou pire ithunes…



ou c’est un gros troll …





Qobuz?


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c’est TRÈS cher&nbsp; payé !

Groov. renonce à TOUT !

ils* ont sorti “la grosse artillerie” –&gt; “boom” ….pas de cadeau ! <img data-src=" />





* les Majors

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Le PDG d’Universal l’avait déjà dit de toutes façons, ils sont contre le gratuit, légal ou pas ça n’aurait pas duré … Deezer s’est considérable appauvri (23 de mes playlists sont grisées), donc je ne connais pas de relève.



&nbsp;Quant aux sites légaux ils sont souvent affiliés à un major donné et/ou sont dans des média de niche donc y’a rien à grailler … bref ça sent le retour aux playlists Youtube tout ça.

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C’est malheureux, mais attendu. J’étais même surpris qu’ils ne se soient pas fait atomiser depuis plusieurs années.

C’est dommage pour un des rare site qui me permettait de découvrir très facilement l’œuvre complète d’un artiste/groupe. Un artiste, c’est un tout, c’est un style et ne se limite pas à 2 hits.

Les radios étaient aussi très bien faite, ma bibliothèque musicale ne me permettant pas de faire une “playlist” d’ambiance de fond, j’ai utilisé à plusieurs reprise leur radio en soirée.



Bon, et bien ils ne reste plus qu’à retourner à la “bonne vieille méthode” et ce bon “vieux site” (après changement de serveur DNS).



edit : j’ai aussi oublié, c’était je pense l’un des rare site à avoir une bibliothèque relativement exhaustive.

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tass_ a écrit :





Franchement cherchez “ ddl” sur google et dites moi quand vous trouvez rien… C’est très très rare.





Oui mais c’est très mouvant (preuve qu’il y a une pression énorme). Les résultats changent régulièrement dans le temps (distribution peu durable/fiable) et ne sont toujours pas inondés par les offres légales.



“les ogres de barback Irfan, Terrain vague ddl” que de l’offre physique et une offre Deezer castrée..

Ça reste un exemple pour faire chier, dans l’ensemble ça fonctionne plutôt bien.<img data-src=" />


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tass_ a écrit :



Franchement cherchez “ ddl” sur google et dites moi quand vous trouvez rien… C’est très très rare.





google.fr Googletass_ a écrit :



Sans parler de Youtube qui doit couvrir 99,99999% du répertoire.





google.fr Google&tbm=vid


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Khalev a écrit :



google.fr Googlegoogle.fr Google&tbm=vid






Il me semble que j'avais précisé "Ecouté par plus que 4 personnes dans le monde""...&nbsp;    





edit : surtout qu’on ne trouve même pas de cd du monsieur à la vente…







maestro321 a écrit :



Oui mais c’est très mouvant (preuve qu’il y a une pression énorme). Les résultats changent régulièrement dans le temps (distribution peu durable/fiable) et ne sont toujours pas inondés par les offres légales.&nbsp;



“les ogres de barback Irfan, Terrain vague ddl” que de l’offre physique et une offre Deezer castrée..&nbsp;

Ça reste un exemple pour faire chier, dans l’ensemble ça fonctionne plutôt bien.<img data-src=" />



Oui pour tout l’“ancien” (16 ans c’est déjà pas mal) il ne reste que les torrents, je n’ai jamais dit le contraire.Par contre des torrents il y en a à la pelle…. et pas sûr qu’HADOPI surveille les albums des Ogres…


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Sauvez un chaton = mangez un dirigeant de major<img data-src=" />

&nbsp;

<img data-src=" />

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tass_ a écrit :



Il me semble que j’avais précisé “Ecouté par plus que 4 personnes dans le monde”“…





<img data-src=" /> En l’occurence c’est le cas, puisqu’on est au moins 5 à l’avoir écouté. Mais il y en a un qui est mort depuis, ça compte toujours?


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tass_ a écrit :



edit : surtout qu’on ne trouve même pas de cd du monsieur à la vente…





http://www.promusic47.org/cd.html

Ctrl+F “Sergey”


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Khalev a écrit :



<img data-src=" /> En l’occurence c’est le cas, puisqu’on est au moins 5 à l’avoir écouté. Mais il y en a un qui est mort depuis, ça compte toujours?





Ben ça tombe sous le coup des “0,0001%” sus cités.

Mes lives sont pas non plus présents en ddl, pourtant j’ai bien joué devant… hum 50 personnes 2 ou 3 fois xD

&nbsp;



Khalev a écrit :



http://www.promusic47.org/cd.html&nbsp;

Ctrl+F “Sergey”



T’es allé le chercher loin xD


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tass_ a écrit :



T’es allé le chercher loin xD





Oui ^^



Je trolle un peu. Mais c’est toi qui demandais qu’on te dise si on ne trouvait pas :-) .(Mais pour ceux qui aiment la guitare classique espagnole ça vaut le coup d’écouter si vous arrivez à le trouver).



Si t’as des pistes pour pouvoir écouter l’album d’Abrahma “Through the dusty path of our lives” je suis preneur par contre :-)


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Khalev a écrit :



Oui ^^



Je trolle un peu. Mais c’est toi qui demandais qu’on te dise si on ne trouvait pas :-) .(Mais pour ceux qui aiment la guitare classique espagnole ça vaut le coup d’écouter si vous arrivez à le trouver).



Si t’as des pistes pour pouvoir écouter l’album d’Abrahma “Through the dusty path of our lives” je suis preneur par contre :-)





Tss tu me déçois :&nbsp;

&nbsphttps://smallstone.bandcamp.com/album/through-the-dusty-path-of-our-lives

&nbsp;


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tass_ a écrit :



Tss tu me déçois : 

&#160https://smallstone.bandcamp.com/album/through-the-dusty-path-of-our-lives





Ah je me suis fait avoir, au travail le site merdoit, du coup j’avais pas vu la liste des titres, juste la présentation du groupe… (Et le CSS ne se charge pas non plus, c’est très moche du coup)



Merci en tout cas :-)


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Mais de rien ^^ Il faut pas hésiter à revenir sur des &nbsp;bandcamp, des fois des albums qui n’avaient qu’un ou 2 titres &nbsp;l’écoute deviennent totalement écoutables !

&nbsp;

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j-c_32 a écrit :



Non, Ricard dit précisement:







C’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés.

C’est également faux de dire que 10 titres piratés = 0 titre pas acheté.

Or, s’il y a des titres non achetés, il y a donc préjudice. or, Ricard disait: sans préjudice.



une étude avait montré que sur 1000 titres téléchargés, 1 seul aurait été réellement acheté. et ils n’ont absolument pas tenu compte des titres achetés après le téléchargement (d’autres études s’en occupent, et montrent bien que en grosse majorité, plus on télécharge, plus on achète : l’industrie de la musique est largement gagnante au final par rapport à s’il n’y avait aucun téléchargement illégal)…









tass_ a écrit :



Ben ça tombe sous le coup des “0,0001%” sus cités.

Mes lives sont pas non plus présents en ddl, pourtant j’ai bien joué devant… hum 50 personnes 2 ou 3 fois xD

T’es allé le chercher loin xD



en même temps faire du cassage d’oreilles n’aide pas à se faire connaitre, les gens n’ont pas envie d’écouter plus longtemps ton bruit désagréable <img data-src=" />





<img data-src=" /> <img data-src=" />


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Patch a écrit :



en même temps faire du cassage d’oreilles n’aide pas à se faire connaitre, les gens n’ont pas envie d’écouter plus longtemps ton bruit désagréable <img data-src=" />





<img data-src=" /> <img data-src=" />





Pour ma part c’est surtout que j’ai gardé les enregistrements pour moi sans les diffuser haha xD


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une étude avait montré que sur 1000 titres téléchargés, 1 seul aurait été réellement acheté.





Bon, déjà, je me demande comment cette étude a pu être réalisée.

Par exemple, demander aux gens s’ils auraient acheté est sans doute biaisé.

Autre élément: est-ce que l’achat n’est pas non plus motivé par le fait de pouvoir écouter de la musique ? Si je n’ai rien à écouter, je vais sans doute acheter un album alors que dans une autre situation où j’ai plein de chose à écouter, je considérerais cet achat comme inutile.

Et comment tu définis un titre pas acheté ? Est-ce que c’est un titre à 1 euro ? Ou bien un titre dans un “bundle” ou un abonnement ? Parce que le prix influence aussi l’achat et inversement la modalité d’achat influence le pourcentage de “réellement acheté” (à moins que quand on t’offre une promo “2 pour le prix d’1” tu refuses de prendre le deuxième).

&nbsp;



d’autres études s’en occupent, et montrent bien que en grosse majorité, plus on télécharge, plus on achète



J’en ai déjà parlé: ce chiffre, sorti à tort et à travers (comme quoi, ce n’est pas l’apanage des politiciens), ne prouve rien.





l’industrie de la musique est largement gagnante au final par rapport à s’il n’y avait aucun téléchargement illégal



C’est ce que je pense également.

Mais de là à affirmer comme vraie des éléments qui ne sont pas prouvé sous le prétexte que la conclusion nous plaît, c’est donner le bâton pour se faire battre, surtout si on s’entête et refuse de reconnaitre le problème.



Conclusion:

NON, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas préjudice.

OUI, le préjudice estimé par les majors est une grosse farce.

OUI, le préjudice réel est sans doute faible, voire inexistant (mais on ne peut pas prétendre qu’il est inexistant juste par “intime conviction”)

Et OUI, si un anti-major vient dire que les majors sont des cons parce que le préjudice n’existe pas, il mérite d’être lui-même considéré comme con: tout comme les majors, il choisit de croire à la solution qui lui plaît même s’il n’y a pas de réelle preuve à son affirmation.

&nbsp;

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eliumnick a écrit :



Tu as passé du temps avec ceux que tu critiques ? Ou alors c’est juste une affirmation dans le vide ?



Bref, ne pas oublier : “on perd toute crédibilité à vouloir généraliser” (oui ceci est aussi une généralisation)





Tient, quitte a faire des citation qui sortent un peu de nul part : “on est un pronom indéfini imbécile qui qualifie la personne qui l’emploie”. De rien.

&nbsp;

D’une part, je critique des posts, pas des personnes. (me permet tu d’effectuer cette différence ? &nbsp;Les propos sur un fofo n’étant pas spécialement représentative de ladite personne. Tout au plus de l’image qu’elle veut donner ou de son humeur a troller. Bref. Ne généralisons &nbsp;pas. ..)



Oui, le système actuel de financement des artistes et plus que bancal, c’est sur, même pour les gros groupes avec majors aux fesses (cf le tweet de Barrow (portishead) “34,000,000 streams - Income After tax = £1700&nbsp;”)

Non, pirater les morceaux ne solutionnera pas le problème.



Grooveshark était majoritairement utilisé comme site de streaming gratos, a la place des spotify et deezer, &nbsp;(et paf, encore une généralité, basée sur 100% des utilisateurs que j’ai croisé sur cette plateforme. ) pour écouter de la musique de majors. Surtout qu’il n’y a pas que de la soupe, hein…&nbsp;

Grooveshark avait pour lui ses playlist communautaires et autres outils plutôt sympathique. Et c’est dommage qu’ils aient cédés tout ça, mais je m’égare.



Donc merci pour le arguments fallacieux (précision : je ne parle pas de ton post, mais de ce que je critiquais dans le mien).

Des gens qui écoute que de l’indé, je n’en connais que très peu. Simplement car il y a des groupe monstrueux qui sont lié a des majors, et que les indé, faut souvent aller les dénicher. Du coup, je parierais plus sur une utilisation d’écoute de majors. Après, tu as le cas ou la personne possède le morceau, et le reste.





Dans ces posts qui critiques les majors tout en écoutant leurs musiques, j’y vois un peu une position “les majors ont une politique complètement inadaptée, et n’ont aucun respect de leurs clients et guère plus de leurs artistes” (ce en quoi je suis d’accord) “donc c’est normal de ne pas l’accepter et de pirater leur musique” (ce en quoi je ne suis pas d’accord) Le truc c’est que le côté “on pirate” n’est même pas forcement assumé - ma “généralisation” portait la dessus. Maintenant j’explique plus en détail, mais avec toujours autant de généralisation, hein ;)



Tient, pour les indé sur grooveshark, y’a un pote qui était aller demander au groupe (français) six frites under si il pouvait les y mettre. je me demande si au final ça avait été fait avec un accord entre GS et le groupe ou à l’arrache. et si ils ont touchés quelque chose…





https://trappedinfreedom.bandcamp.com/album/six-frites-under&nbsp;

&nbsp;



Respect, si vous avez lu jusque là. C’est confus et pleins de fautes. J’espère que la musique vous plaiera, au moins ;) (du nawak metal, on va dire…)

&nbsp;









&nbsp;


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mitsuaki a écrit :



Tient, quitte a faire des citation qui sortent un peu de nul part : “on est un pronom indéfini imbécile qui qualifie la personne qui l’emploie”. De rien.

 

D’une part, je critique des posts, pas des personnes. (me permet tu d’effectuer cette différence ?  Les propos sur un fofo n’étant pas spécialement représentative de ladite personne. Tout au plus de l’image qu’elle veut donner ou de son humeur a troller. Bref. Ne généralisons  pas. ..)



Oui, le système actuel de financement des artistes et plus que bancal, c’est sur, même pour les gros groupes avec majors aux fesses (cf le tweet de Barrow (portishead) “34,000,000 streams - Income After tax = £1700 ”)

Non, pirater les morceaux ne solutionnera pas le problème.



Grooveshark était majoritairement utilisé comme site de streaming gratos, a la place des spotify et deezer,  (et paf, encore une généralité, basée sur 100% des utilisateurs que j’ai croisé sur cette plateforme. ) pour écouter de la musique de majors. Surtout qu’il n’y a pas que de la soupe, hein… 

Grooveshark avait pour lui ses playlist communautaires et autres outils plutôt sympathique. Et c’est dommage qu’ils aient cédés tout ça, mais je m’égare.



Donc merci pour le arguments fallacieux (précision : je ne parle pas de ton post, mais de ce que je critiquais dans le mien).

Des gens qui écoute que de l’indé, je n’en connais que très peu. Simplement car il y a des groupe monstrueux qui sont lié a des majors, et que les indé, faut souvent aller les dénicher. Du coup, je parierais plus sur une utilisation d’écoute de majors. Après, tu as le cas ou la personne possède le morceau, et le reste.





Dans ces posts qui critiques les majors tout en écoutant leurs musiques, j’y vois un peu une position “les majors ont une politique complètement inadaptée, et n’ont aucun respect de leurs clients et guère plus de leurs artistes” (ce en quoi je suis d’accord) “donc c’est normal de ne pas l’accepter et de pirater leur musique” (ce en quoi je ne suis pas d’accord) Le truc c’est que le côté “on pirate” n’est même pas forcement assumé - ma “généralisation” portait la dessus. Maintenant j’explique plus en détail, mais avec toujours autant de généralisation, hein ;)



Tient, pour les indé sur grooveshark, y’a un pote qui était aller demander au groupe (français) six frites under si il pouvait les y mettre. je me demande si au final ça avait été fait avec un accord entre GS et le groupe ou à l’arrache. et si ils ont touchés quelque chose…





https://trappedinfreedom.bandcamp.com/album/six-frites-under

 



Respect, si vous avez lu jusque là. C’est confus et pleins de fautes. J’espère que la musique vous plaiera, au moins ;) (du nawak metal, on va dire…)







Alors déjà, si il s’agit d’une citation, je ne connais pas l’auteur ^^ (ou alors l’auteur c’est ptet moi ^^)



Ensuite, je ne répondais que sur la partie



c’est la faculté a cracher sur mes majors tout en écoutant “leur soupes”

.



Ca me fait penser au gens qui disaient à propos de la loi sur le renseignement du genre “qu est ce ca peut vous foutre que le gouvernement vous surveille alors que vous étalez votre vie sur les réseaux sociaux”.


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j-c_32 a écrit :



Autre élément: est-ce que l’achat n’est pas non plus motivé par le fait de pouvoir écouter de la musique ? Si je n’ai rien à écouter, je vais sans doute acheter un album alors que dans une autre situation où j’ai plein de chose à écouter, je considérerais cet achat comme inutile.





Pour mon cas perso après m’être fait plusieurs fois avoir par des albums “alimentaires” (pour rester poli) de quelques uns de mes artistes favoris je n’achète plus rien si je n’ai pas eu la possibilité de l’écouter avant.



Refusant catégoriquement de cautionner le concept de location à durée indéterminable (au bon vouloir des ayants droits ou/et de la plateforme de vente) qui va avec le démat je continue d’acheter ma musique exclusivement en format physique et du coup procéder ainsi m’évite d’entasser des rondelles de plastique tout juste bonnes à accrocher dans les arbres pour effrayer les oiseaux.



Du coup dans mon cas :




  • 1 morceau/album non piraté = 1 morceau/album que je n’achèterais jamais

  • 1 morceau/album piraté = 1 morceau/album acheté s’il est à mon gout ou très rapidement effacé dans le cas contraire (à quoi bon collectionner des trucs qu’on aime pas et qu’on écoutera jamais ?)



    Après je suis probablement un cas particulier.


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athlon64 a écrit :



je viens d’écouter un peu la premiere chaine YT donnée, années 1990-1992 et OUAH !! <img data-src=" /> c’est ce genre de chose que je n’arrivai pas a trouver par manque de nom principalement, encore merci <img data-src=" />





De rien, oui cette chaîne défonce, la collection du mec est juste impressionnante&nbsp;!


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ca doit faire un certain qu’il accumule, parce que certains vinyles doivent etre quasiment introuvables aujourd’hui, surtout si tirés à peu d’exemplaires

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A l’époque, quand j’utilisais Grooveshark, je pensais vraiment que c’était légal en fait, style Deezer quoi. &nbsp;Quel naïf je fais ^^

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J’aimais bien leurs broadcast thématiques en particulier pour la musique électronique

j’ai tout de même trouvé une alternative avec&nbsp;di.fm

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tazvld a écrit :



Le problème des plates-formes légales justement c’est que leur catalogue va forcément être très limité.&nbsp;



C’est un problème si tu écoutes des trucs qui sont hors catalogue (30 millions de titres? si j’en écoute 1000 c’est le bout du monde), mais j’ai un gros doute sur le fait que ça concerne la majorité des utilisateurs de Grooveshark&nbsp;<img data-src=" />



Après les titres qui disparaissent des playlists toutes les 5 mins c’est clair que c’est chiant (mais j’ai eu le coup avec Grooveshark aussi).


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C’est clair. Si je mettais un mois pour faire ce “A”



De vrai feignasses ces moines, toujours a chercher a en faire le moins possible.

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Ba2 a écrit :



Dommage on trouvait des raretés complètements oubliées des sites de streaming payant.







De mon point de vue, c’était surtout ça la force de GrooveShark. Maintenant il va rester YouTube et le tipiak.


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Himurai a écrit :



Alors c’est que nous n’avons pas la même définition de “sans préjudice”.&nbsp;





Il est IMPOSSIBLE de le prouver. Dans ce cas, le bénéfice du doute, toussa. On a déjà eu ce genre de conversation ici, renseigne-toi.<img data-src=" />


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Ça fait quand même plaisir d’entendre quelqu’un qui ne se plaint pas de voir l’accès à un service gratuit mais pas très légal et qui reconnait que l’offre légale musicale est pas trop mal foutu.



Je suis aussi tout à fait d’accord avec toi concernant l’offre ciné/TV qui est presqu’inexistante ou inintéressante (et encore avec l’arrivée de Netflix, ça s’améliore un peu)

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tazvld a écrit :



Le problème des plates-formes légales justement c’est que leur catalogue

va forcément être très limité. Tant que celle ci se traîneront ce

boulet, c’est tout simplement impensable d’espérer concurrencer les

plates-formes qui ne s’embarrassent pas des droits de diffusions.

Cette histoire de droits de diffusion et de complexité autour (gestion par pays, par maison de disque, voir même par médium…) est selon moi l’un des freins à toute modernisation du marché du légal actuel.





Sans compter que de plus en plus d’artistes retirent eux mêmes leurs morceaux / albums des plateformes en question car ils ne trouvent pas leur compte dans la rémunération. Un des freins à ajouter est donc aussi la dévalutation de la musique par les dites plateformes - pour une fois que les méchantes majors ne sont pas seules responsables <img data-src=" />


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knos a écrit :



C’est clair. Si je mettais un mois pour faire ce “A”



De vrai feignasses ces moines, toujours a chercher a en faire le moins possible.





D’toute façon, à part boire de la bière trapiste, les moines…. <img data-src=" />


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<img data-src=" />

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Le problème est également un problème de surabondance. Donc forcement la part du gâteau par artiste est faible. C’est quand même marrant de voir que le marché de la musique est pas vraiment régulé par l’offre et la demande.

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lomic2 a écrit :



C’est un problème si tu écoutes des trucs qui sont hors catalogue (30 millions de titres? si j’en écoute 1000 c’est le bout du monde), mais j’ai un gros doute sur le fait que ça concerne la majorité des utilisateurs de Grooveshark&nbsp;<img data-src=" />



Après les titres qui disparaissent des playlists toutes les 5 mins c’est clair que c’est chiant (mais j’ai eu le coup avec Grooveshark aussi).





Pas de Metallica, pas de Beatles sur Deezer… je pense que ça en dit déjà long.&nbsp;

&nbsp;

“A la demande de l’artiste ou de ses représentants, une partie ou

l’intégralité de la discographie est actuellement exclue des services de

streaming. Deezer continue de faire son maximum pour la rendre

disponible le plus rapidement possible.”


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Non ,quasi personne ne propose ou alors un surcoût injustifié…



Maintenant, j’attends tjs une offre légale et sérieuse pour un prix honnête…mais qu’appelle t’on honnête ..;là est le pb ,chacun voit sa version.

Et vu le flou de chacun , les majors en profite pour proposer un prix exorbitants

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Oui, je ne parle pas du fond… il est logique qu’ils ferment et casquent …

Mais , au final, l’offre forcée légale actuelle , je n’adhère pas …

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Ricard a écrit :



Il est IMPOSSIBLE de le prouver. Dans ce cas, le bénéfice du doute, toussa. On a déjà eu ce genre de conversation ici, renseigne-toi.<img data-src=" />





Oui et ça s’appelle de la mauvaise foi. C’est sur que ça fait avancer le bousin.



Fin bon, puisque la discussion a déjà eu lieu sur un forum, je pense qu’il est de notre devoir d’arrêter d’en parler.



As-tu une liste des discussions déjà abordées ici et qu’il convient de ne plus avoir ? J’espère qu’il nous restera un sujet de conversation quand même !


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et tu crois que ça fait plaisir à Deezer de devoir les supprimer ses “artistes” ?



si c’est le choix des artistes ben soit tu achètes le CD tu les ripp, soit tu les écoutent plus comme ils ne veulent pas que tu les écoutes “à ta façon”&nbsp;

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Erf, c’est tellement stupide…&nbsp;

Surtout payer 50 millions ET renoncer à toutes les propriétés (site, applis, …), je trouve ça trèèèès cher payé, en plus d’être complètement absurde.

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Benji_X80 a écrit :



Pas étonnant qu’un système comme Grooveshark ferme, un site qui ramenait tout de même des millions d’utilisateurs sur leur plateforme, et qui payaient même.. Mais l’offre gratuite tout comme payante était illégale il faut le dire (aucune redistribution de Grooveshark aux ayants droits, 0 aux artistes sauf des exceptions à ceux qui publiaient dessus et encore)…



La popularité de ce service est la preuve qu’il y a un manque d’offre attrayante pour le consommateur (licence globale), payer 10€ par mois pour de l’illimité sur 90% des musiques dans le monde est peut être trop ? (ça revient quand même à 120€ sur un an, plus de 1000€ sur 10 ans pour de la musique qu’on ne stocke pas ni même de droit de propriété dudit fichier…)



 [...]







la licence globale, je ne vois pas mieux, que ce soit en terme de rémunération &nbsp;et accessibilité aux &nbsp;fichiers


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Ben pour les nouveautés un peu “connues” (ie pas écoutées que par 3 personnes dans le monde) il y a :




  • quelques temps avant la sortie :&nbsp;&nbsp;2-3 extraits en streaming sur des sites de news musicales, voire sur soundclound

    -&nbsp;&nbsp; la sortie de l’album : souvent un bandcamp avec tout l’album en écoute, un dizaine de blogs qui pointent vers des releases tipiak en ddl, au moins un mec sur YT qui met l’album en entier, le tout généralement dans la semaine suivant la sortie de l’album.

  • après la sortie : toujours YT, des torrents à foison, le ddl disparaît vite mais pour peu que ce soit pas totalement inconnu des reposts assez vite.



    &nbsp;Acheter un album &nbsp;est donc un acte fort de nos jours : on veut par là soutenir un artiste en difficulté (achat digital) ou tenir en main l’objet (achat physique : pour les livrets, pour les bonus, pour la nostalgie d’avoir un objet physique pour les + de 30 ans). &nbsp;Et ne concerne qu’un “noyau dur” de fans.



    L’économie de rareté et de confiscation qui a permis l’explosion de la musique enregistrée jusqu’aux années 2000 est révolue, on ne pourra pas revenir en arrière.&nbsp;



    Tout combat voulant revenir à cette confiscation est vain (et coûteux).

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Guinnness a écrit :



Sinon les “zayanbocoutrodedrouahs” ont déja tenté de rendre légal un site de tipiak, Napster, sauf que comme ils s’y sont prit comme des manches, ou plutôt comme les requins qu’ils sont, ça s’est vautré en beauté.





Y a le cas deezer aussi….Sauf que le procès avait lieux en France et que la justice est un peu moins “binaire” qu’aux US


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Non, Ricard dit précisement:





&nbsp; sans préjudice*, …

*1 titre piraté =/= 1 titre pas acheté.





C’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés.

C’est également faux de dire que 10 titres piratés = 0 titre pas acheté.

Or, s’il y a des titres non achetés, il y a donc préjudice. or, Ricard disait: sans préjudice.

&nbsp;

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j-c_32 a écrit :



C’est également faux de dire que 10 titres piratés = 0 titre pas acheté.





Sources ?&nbsp;


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pentest a écrit :



Parce que l’offre et la demande c’est une invention, du vent. C’est la premiere chose que l’on m’a appris en classe d’économie/gestion d’entreprise





Si les économistes pouvaient être encore un peu plus honnête et avouer que la propriété (sous sa forme actuelle) n’est pas un droit (par définition) mais un privilège, on se rendrait peut-être enfin compte que les discutions actuelles autour de la “juste rémunération” sont vaines et ne sont pas celles qu’elles devraient être.


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Source que c’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés ?



 &nbsp;&nbsp;       

Et ne sort pas l'étude "les pirates sont les plus grand payeurs", car cela ne prouve rien du tout.

Démonstration par l'absurde:

Sans piratage, monsieur A se paie 10 cd par mois et écoute 10 cd par mois et monsieur B écoute 2 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Avec piratage, monsieur A se paie 8 cd par mois et écoute 16 cd par mois et monsieur B écoute 3 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Conclusion: on a à la fois "les pirates sont les plus grand payeurs" et à la fois "16 titres écouté dont 8 piratés = 8 titres achetés et 8 titres pas achetés, donc: 8 piratés = 8 pas achetés"






 L'équation est en réalité complexe.       

Dire, comme ces cons de majors, que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est stupide.

Dire l'inverse, c'est prouver qu'on est tout aussi stupide. Et ça donne du poids aux majors qui ensuite montrent aux politiciens que les anti-mesures-contre-le-piratage sont des idiots.
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Merci, je me sentais seul…

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j-c_32 a écrit :



Source que c’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés ?



          

Et ne sort pas l'étude "les pirates sont les plus grand payeurs", car cela ne prouve rien du tout.

Démonstration par l'absurde:

Sans piratage, monsieur A se paie 10 cd par mois et écoute 10 cd par mois et monsieur B écoute 2 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Avec piratage, monsieur A se paie 8 cd par mois et écoute 16 cd par mois et monsieur B écoute 3 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Conclusion: on a à la fois "les pirates sont les plus grand payeurs" et à la fois "16 titres écouté dont 8 piratés = 8 titres achetés et 8 titres pas achetés, donc: 8 piratés = 8 pas achetés"






 L'équation est en réalité complexe.       

Dire, comme ces cons de majors, que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est stupide.

Dire l'inverse, c'est prouver qu'on est tout aussi stupide. Et ça donne du poids aux majors qui ensuite montrent aux politiciens que les anti-mesures-contre-le-piratage sont des idiots.









Généralement, dans une démonstration, on ne part pas du résultat final.

Pour que ta démonstration soit plus exact, il faudrait nous démontrer comment tu détermines tes états avant et après piratage.


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j-c_32 a écrit :



Source que c’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés ?



  &nbsp;&nbsp;        

Et ne sort pas l'étude "les pirates sont les plus grand payeurs", car cela ne prouve rien du tout.

Démonstration par l'absurde:

Sans piratage, monsieur A se paie 10 cd par mois et écoute 10 cd par mois et monsieur B écoute 2 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Avec piratage, monsieur A se paie 8 cd par mois et écoute 16 cd par mois et monsieur B écoute 3 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Conclusion: on a à la fois "les pirates sont les plus grand payeurs" et à la fois "16 titres écouté dont 8 piratés = 8 titres achetés et 8 titres pas achetés, donc: 8 piratés = 8 pas achetés"






  L'équation est en réalité complexe.        

Dire, comme ces cons de majors, que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est stupide.

Dire l'inverse, c'est prouver qu'on est tout aussi stupide. Et ça donne du poids aux majors qui ensuite montrent aux politiciens que les anti-mesures-contre-le-piratage sont des idiots.







+1



L’étude commandité par l’Hadopil’an passé était assez intéressante à ce propos d’ailleurs - et nuancée aussi, ce qui m’avait assez étonné d’ailleurs.


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j-c_32 a écrit :



Source que c’est faux de dire que 10 titres piratés = 10 titres pas achetés ?



&nbsp;&nbsp;      

Et ne sort pas l'étude "les pirates sont les plus grand payeurs", car cela ne prouve rien du tout.

Démonstration par l'absurde:

Sans piratage, monsieur A écoute 10 cd par mois et se paie 10 cd par mois et monsieur B écoute 2 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Avec piratage, monsieur A écoute 16 cd par mois et se paie 8 cd par mois et monsieur B écoute 3 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Conclusion: on a à la foi "les pirates sont les plus grand payeurs" et à la fois "15 titres piratés = 8 titres achetés et pas 15 titres achetés"






L'équation est en réalité complexe.      

Dire, comme ces cons de majors, que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est stupide.

Dire l'inverse, c'est prouver qu'on est tout aussi stupide. Et ça donne du poids aux majors qui ensuite montrent aux politiciens que les anti-mesures-contre-le-piratage sont des idiots.







&nbsp;Donc à part des chiffres sortis du chapeau tu n’as rien à dire quoi… Tu n’as absolument pas démontré que le piratage réduisait les ventes d’album…&nbsp;

Trouve moi quelqu’un qui te dit “si je peux pas le pirater je l’achète” et on en reparle. J’en ai pas encore trouvé perso.

&nbsp;


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C’est une démonstration par l’absurde:

Je veux démontrer: “le fait ‘les pirates sont les plus grand payeurs’ n’implique pas qu’il n’y a pas de préjudice”.

Je prends donc l’hypothèse contraire: “chaque fois qu’on a un pirate plus grands payeurs, c’est donc qu’il n’y a pas de préjudice”

Je décris donc un cas où on a un pirate plus grand payeur.

Et on voit que dans ce cas, l’hypothèse contraire ne tient pas.



Le cas particulier est ce qu’on appelle un contre-exemple, c-à-d un exemple de situation totalement possible (si tu penses qu’elle est impossible, à toi la charge de la démontrer) qui pourtant contredit la loi qui était considérée comme vraie.

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tass_ a écrit :



L’économie de rareté et de confiscation qui a permis l’explosion de la musique enregistrée jusqu’aux années 2000 est révolue, on ne pourra pas revenir en arrière. 



Tout combat voulant revenir à cette confiscation est vain (et coûteux).





L’économie de raretés ça se créer artificiellement par la régulation forcée du marché. Oui, ces même acteurs libéraux qui ne prient que par la dérégulation lorsque ça peut-être bon pour leur business, et qui font tout pour réguler lorsqu’il s’agit de le maintenir.<img data-src=" />

Suffit d’une bonne dose de propriété intellectuelle, une rasade de brevet, faites revenir dans des traités de libre échange, et vous voilà avec une jolie soupe légale pour maintenir artificiellement la situation économique de bien des domaines tel que l’agriculture, la santé, les transports, le divertissement, l’industrie chimique, la HighTech etc..


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Constrilia a écrit :



+1



L’étude commandité par l’Hadopil’an passé était assez intéressante à ce propos d’ailleurs - et nuancée aussi, ce qui m’avait assez étonné d’ailleurs.





L’étude sert à rien pour ce que l’on veut démontrer : elle ne fait pas de comparaison des achats musicaux avant et après l’apparition du “piratage numérique”.&nbsp;

On pourrait dire que la moyenne d’achat mensuel de musique est de 16€, si cette moyenne était identique ( ramenée à la valeur de la monnaie à cette époque) en 1995 par exemple le piratage n’influe en rien : les gens dépensent toujours autant.



Mais vu qu’elle ne fait que prendre un instantané elle ne sert à rien pour ce cas.


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maestro321 a écrit :



L’économie de raretés ça se créer artificiellement par la régulation forcée du marché. Oui, ces même acteurs libéraux qui ne prient que par la dérégulation lorsque ça peut-être bon pour leur business, et qui font tout pour réguler lorsqu’il s’agit de le maintenir.<img data-src=" />

Suffit d’une bonne dose de propriété intellectuelle, une rasade de brevet, faites revenir dans des traités de libre échange, et vous voilà avec une jolie soupe légale pour maintenir artificiellement la situation économique de bien des domaines tel que l’agriculture, la santé, les transports, le divertissement, l’industrie chimique, la HighTech etc..





L’économie de rareté dans la musique a surtout perduré à cause de limitations technologiques : avant l’arrivée des graveurs de cd il n’était pas possible de copier à l’identique un album de musique (les K7 enregistrées perdent vite en qualité, on perd la notion de pistes,…). SI on voulait écouter un album il fallait l’acheter.

&nbsp;&nbsp;

De nos jours en &nbsp;1clic on peut écouter quasiment n’importe quel album. Ca va être dur pour les industriels d’imposer un retour à cette rareté.


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j-c_32 a écrit :



L’équation est en réalité complexe.



 Dire, comme ces cons de majors, que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est stupide.       



Dire l’inverse, c’est prouver qu’on est tout aussi stupide. Et ça donne du poids aux majors qui ensuite montrent aux politiciens que les anti-mesures-contre-le-piratage sont des idiots.





Attention! Tout ce que vous pouvez dire d’idiot pourra être et sera retenu contre vous.



Bon par contre, vous les ayants droit, vous avez carte blanche.<img data-src=" />


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Les chiffres sortis de mon chapeau, c’est un contre-exemple que cette loi ne s’applique pas.

Tout ce que je dis, c’est que:

si les majors veulent prouver que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c’est à EUX de me montrer que c’est toujours le cas.

de la même façon, si quelqu’un veut me prouver que 1 titre piraté = JAMAIS 1 vente perdue, c’est à CETTE PERSONNE de me montre que c’est toujours le cas.



Pour ceux qui ont du mal avec le gris, je fais quand même remarquer que personnellement, je suis carrément pour l’interdiction de rendre payant la diffusion d’un bien non rival (en d’autres termes: vous pouvez faire payer le service, mais aussitôt que le contenu est duplicable, interdire sa diffusion gratuite devrait, selon moi, être interdit).

Donc, si tu penses que tu t’opposes à un méchant pro-major, tu te plantes. Tu t’opposes juste à quelqu’un qui en a marre de voir les anti-majors passer pour des cons en se comportant exactement comme les majors.

&nbsp;

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j-c_32 a écrit :



C’est une démonstration par l’absurde:

Je veux démontrer: “le fait ‘les pirates sont les plus grand payeurs’ n’implique pas qu’il n’y a pas de préjudice”.

Je prends donc l’hypothèse contraire: “chaque fois qu’on a un pirate plus grands payeurs, c’est donc qu’il n’y a pas de préjudice”

Je décris donc un cas où on a un pirate plus grand payeur.

Et on voit que dans ce cas, l’hypothèse contraire ne tient pas.



Le cas particulier est ce qu’on appelle un contre-exemple, c-à-d un exemple de situation totalement possible (si tu penses qu’elle est impossible, à toi la charge de la démontrer) qui pourtant contredit la loi qui était considérée comme vraie.







Hmm, ton propos serait une démonstration (par l absurde ou non) si, dans le passage quoté ci-dessous, les chiffres ne sortaient pas du chapeau :



Sans piratage, monsieur A écoute 10 cd par mois et se paie 10 cd par mois et monsieur B écoute 2 cd par mois et se paie 2 cd par mois.

Avec piratage, monsieur A écoute 16 cd par mois et se paie 8 cd par mois et monsieur B écoute 3 cd par mois et se paie 2 cd par mois.





Edit : en lisant ton post 82, je comprend mieux ton propos.


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tass_ a écrit :



L’étude sert à rien pour ce que l’on veut démontrer : elle ne fait pas de comparaison des achats musicaux avant et après l’apparition du “piratage numérique”. 

On pourrait dire que la moyenne d’achat mensuel de musique est de 16€, si cette moyenne était identique ( ramenée à la valeur de la monnaie à cette époque) en 1995 par exemple le piratage n’influe en rien : les gens dépensent toujours autant.



Mais vu qu’elle ne fait que prendre un instantané elle ne sert à rien pour ce cas.



Même si c’était possible, sur une aussi grande période comment fais-tu pour ignorer tous les autres paramètres ?



Diminution du pouvoir d’achat, augmentation de la production musicale, passage au dématérialisé et aux abonnements, etc.


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Ben tiens, je suis même devin. Je disais dans mon commentaire précédent:

&nbsp;



Pour ceux qui ont du mal avec le gris, je fais quand même remarquer que

personnellement, je suis carrément pour l’interdiction de rendre payant

la diffusion d’un bien non rival (…).

Donc, si tu penses que tu t’opposes à un méchant pro-major, tu te plantes.





Ah, ils ont de beaux jours devant eux, les majors, vu la qualité de discernement de ceux qui s’opposent à eux.



Au fait, ma position est: il y a p-e préjudice, mais dans ce cas, les majors doivent le prouver, ce qui pour l’instant n’est pas fait -&gt; pas de sanctions financières tant que les majors ne peuvent pas quantifier correctement le préjudice.

Tu te rends compte que cette position est tout aussi bénéfice pour “ton camp”, avec l’avantage qu’on ne passe pas pour un con ?

&nbsp;

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j-c_32 a écrit :



Les chiffres sortis de mon chapeau, c’est un contre-exemple que cette loi ne s’applique pas.



 Tout ce que je dis, c'est que:       

si les majors veulent prouver que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c'est à EUX de me montrer que c'est toujours le cas.

de la même façon, si quelqu'un veut me prouver que 1 titre piraté = JAMAIS 1 vente perdue, c'est à CETTE PERSONNE de me montre que c'est toujours le cas.






 Pour ceux qui ont du mal avec le gris, je fais quand même remarquer que personnellement, je suis carrément pour l'interdiction de rendre payant la diffusion d'un bien non rival (en d'autres termes: vous pouvez faire payer le service, mais aussitôt que le contenu est duplicable, interdire sa diffusion gratuite devrait, selon moi, être interdit).       

Donc, si tu penses que tu t'opposes à un méchant pro-major, tu te plantes. Tu t'opposes juste à quelqu'un qui en a marre de voir les anti-majors passer pour des cons en se comportant exactement comme les majors.

&nbsp;








Oula j'ai jamais dit que tu était un méchant pro-major xD&nbsp;      

Donc c'est un problème de langage :

"C'est également faux de dire que 10 titres piratés = 10 titre pas acheté.&nbsp;"Est très différent de :&nbsp;

" si quelqu'un veut me prouver que 1 titre piraté = JAMAIS 1 vente perdue, c'est à CETTE PERSONNE de me montre que c'est toujours le cas. "

Dans le premier cas tu dis que tu peux prouver que ce n'est pas le cas, dans le second tu dis que tu ne sais pas.La seconde formulation me va.&nbsp;&nbsp;









Lyzz a écrit :



Même si c’était possible, sur une aussi grande période comment fais-tu pour ignorer tous les autres paramètres ?&nbsp;



Diminution du pouvoir d’achat, augmentation de la production musicale, passage au dématérialisé et aux abonnements, etc.&nbsp;



Je n’ai pas dit qu’une baisse des dépenses prouverait que le piratage a un effet néfaste, je dis juste que si la part est au moins égale (ou supérieure) avant et après &nbsp;alors on peut se dire qu’il n’en a pas.


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tass_ a écrit :



L’économie de rareté dans la musique a surtout perduré à cause de limitations technologiques : avant l’arrivée des graveurs de cd il n’était pas possible de copier à l’identique un album de musique (les K7 enregistrées perdent vite en qualité, on perd la notion de pistes,…). SI on voulait écouter un album il fallait l’acheter.

  

De nos jours en  1clic on peut écouter quasiment n’importe quel album. Ca va être dur pour les industriels d’imposer un retour à cette rareté.





Ha! on est d’accord, mais c’est une situation que les ayants droits ne tolèrent pas (ou peu). Si c’est encore possible via youtube (heureusement qu’il peut se permettre de rincer correctement les ayants droits) ça ne le restera sans doute pas en l’état puisque soit les plateformes de streaming audio passent au légal (donc deviennent bridées/payantes et perdent en catalogue) soit elles disparaissent. Quand aux solutions P2P la couleurs est donnée et la chasse aux sorcières est maintenant bien enclenchée.

Je suis d’accord que les moyens de diffusion ont changé mais on est encore -artificiellement- très proche d’une économie de raretés (et les autorités légales poussent dans ce sens) par rapport au “potentiel théorique” de diffusion qu’offre internet.


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Juste un fait à rappeler.



Aujourd’hui, le piratorianisme est à la portée du premier crétin venu (j’en suis la preuve vivante <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /> ) et la possibilité de se constituer une discothèque de façon totalement gratos et tipiak est une réalité technique.



Or, est-ce que les majors ont vu leurs recettes provenant de la vente de musique au particuliers chuter à zéro ?



Réponse : non. Ce qui implique qu’il y a toujours des particuliers qui achètent de la musique en vente directe (par opposition aux produits dérivés, qui ne leur sont pas vendus directement).



Donc, malgré le piratorianisme, les particuliers achètent toujours de la musique, peu importe la forme. De ce fait, le téléchargement sans licence n’a pas réduit à zéro les ventes directes de musique aux particuliers.



Après, est-ce qu’il les a influencées à la hausse, la baisse, ou pas du tout ? Là, c’est une question complexe à laquelle des généralisations hâtives ne peuvent apporter de réponse tout simplement recevable. Même les opposants intellectuellement honnêtes à la répression à tout va contre les piratorianistes sont d’accord pour dire qu’il n’y a pas de réponse nette et tranchée à cette question. A bon entendeur…

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j-c_32 a écrit :



Les chiffres sortis de mon chapeau, c’est un contre-exemple que cette loi ne s’applique pas.

Tout ce que je dis, c’est que:

si les majors veulent prouver que 1 titre piraté = 1 vente perdue, c’est à EUX de me montrer que c’est toujours le cas.

de la même façon, si quelqu’un veut me prouver que 1 titre piraté = JAMAIS 1 vente perdue, c’est à CETTE PERSONNE de me montre que c’est toujours le cas.







Exact. La charge de la preuve appartient à celui qui fait une déclaration. Pour mon avis, voir ci-dessus.





Pour ceux qui ont du mal avec le gris, je fais quand même remarquer que personnellement, je suis carrément pour l’interdiction de rendre payant la diffusion d’un bien non rival (en d’autres termes: vous pouvez faire payer le service, mais aussitôt que le contenu est duplicable, interdire sa diffusion gratuite devrait, selon moi, être interdit).

Donc, si tu penses que tu t’opposes à un méchant pro-major, tu te plantes. Tu t’opposes juste à quelqu’un qui en a marre de voir les anti-majors passer pour des cons en se comportant exactement comme les majors.





<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Sur le dernier point, +1. En étant aussi con et borné que le camp d’en face, on ne fait rien avancer.


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maestro321 a écrit :



Ha! on est d’accord, mais c’est une situation que les ayants droits ne tolèrent pas (ou peu). Si c’est encore possible via youtube (heureusement qu’il peut se permettre de rincer correctement les ayants droits) ça ne le restera sans doute pas en l’état puisque soit les plateformes de streaming audio passent au légal (donc deviennent bridées/payantes et perdent en catalogue) soit elles disparaissent. Quand aux solutions P2P la couleurs est donnée et la chasse aux sorcières est maintenant bien enclenchée.

Je suis d’accord que les moyens de diffusion ont changé mais on est encore -artificiellement- très proche d’une économie de raretés (et les autorités légales poussent dans ce sens) par rapport au “potentiel théorique” de diffusion qu’offre internet.





Youtube

Bandacamp

Soundcloud

DDL

Le P2P n’arrive que 4ème des moyens les plus faciles pour écouter de la musique. Et la “chasse aux sorcières” du P2P… mouais… A part pour les 0.1% de blockbusters elle ne concerne pas grand monde.

Franchement cherchez “&lt;nom artiste&gt; &lt;titre album&gt; ddl” sur google et dites moi quand vous trouvez rien… C’est très très rare.

Sans parler de Youtube qui doit couvrir 99,99999% du répertoire.


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Oula j’ai jamais dit que tu était un méchant pro-major xD&nbsp;



Oui, c’était juste une remarque “au cas où”, sans vraiment présumer si toi-même faisais ça ou non. Les autres commentaires ont montré que ça valait le coup d’être précisé.





… est très différent de …



Si “10 titres piratés = 0 titre pas acheté” est p-e vrai, alors, “10 titres piratés = 10 titres pas achetés” est p-e vrai. Pourquoi favoriser un des deux, si au final, il n’y a pas de démonstration, mais juste une “intime conviction” de la part de celui qui défend une de ces assertions.

&nbsp;

Sinon, effectivement, quand je dis: “c’est faux de dire que”, j’aurais du dire “c’est faux d’affirmer que”.

Ce qui est faux n’est pas la situation (elle est p-e fausse, mais p-e vraie), mais c’est le fait de considérer qu’elle est vraie sans avoir de preuves.

(en d’autres termes: je voulais dire: “c’est faux de dire que X”, et pas “c’est faux que X” )





Je n’ai pas dit qu’une baisse des dépenses prouverait que le piratage a

un effet néfaste, je dis juste que si la part est au moins égale (ou

supérieure) alors on peut se dire qu’il n’en a pas.



Il faut se méfier. De nouveau, il se peut que la part soit plus grande, mais qu’en absence de piratage la part soit encore plus grande (c-à-d que le piratage a un effet néfaste).





&nbsp;

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j-c_32 a écrit :



Oui, c’était juste une remarque “au cas où”, sans vraiment présumer si toi-même faisais ça ou non. Les autres commentaires ont montré que ça valait le coup d’être précisé.





Si “10 titres piratés = 0 titre pas acheté” est p-e vrai, alors, “10 titres piratés = 10 titres pas achetés” est p-e vrai. Pourquoi favoriser un des deux, si au final, il n’y a pas de démonstration, mais juste une “intime conviction” de la part de celui qui défend une de ces assertions.

&nbsp;

Sinon, effectivement, quand je dis: “c’est faux de dire que”, j’aurais du dire “c’est faux d’affirmer que”.

Ce qui est faux n’est pas la situation (elle est p-e fausse, mais p-e vraie), mais c’est le fait de considérer qu’elle est vraie sans avoir de preuves.

(en d’autres termes: je voulais dire: “c’est faux de dire que X”, et pas “c’est faux que X” )





Il faut se méfier. De nouveau, il se peut que la part soit plus grande, mais qu’en absence de piratage la part soit encore plus grande (c-à-d que le piratage a un effet néfaste).





&nbsp;





Oui expliqué comme ça ton “il est faux de dire que” se comprend mieux. Et je suis assez d’accord : on n’en sait rien.



Mais sur le “en absence de piratage la part soit encore plus grande” j’ai un doute :





  • la crise s’est bien intensifiée depuis les années 90 donc les gens ont tendance à moins dépenser dans la culture

  • la diversité des biens culturelle s’est élargie : jeux vidéos, dvd,…



    Donc je ne vois pas ce qui pourrait justifier qu’on dépense plus dans la musique aujourd’hui qu’il y a 20 ans.&nbsp;



    On consomme sûrement plus, mais c’est bien grâce au “piratage” et aux systèmes de streaming légaux.

    &nbsp;


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Y’a un truc qui me chagrine quand même dans pas mal de commentaires, c’est la faculté a cracher sur mes majors tout en écoutant “leur soupes” . Du coup, faudrait savoir…



Vous avez toujours Jamendo, ou Bandcamp, sinon, et c’est l’occasion de découvrir d’autres artistes…

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mitsuaki a écrit :



Y’a un truc qui me chagrine quand même dans pas mal de commentaires, c’est la faculté a cracher sur mes majors tout en écoutant “leur soupes” . Du coup, faudrait savoir…



Vous avez toujours Jamendo, ou Bandcamp, sinon, et c’est l’occasion de découvrir d’autres artistes…







Tu as passé du temps avec ceux que tu critiques ? Ou alors c’est juste une affirmation dans le vide ?



Bref, ne pas oublier : “on perd toute crédibilité à vouloir généraliser” (oui ceci est aussi une généralisation)


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&nbsp;

&nbsp;





tass_ a écrit :



&nbsp;Sources ?







10 titres piratés = 10 titres pas achetés est faux.

&nbsp;Car il suffit d’un contre-exemple. Il y en a une tonne.

&nbsp;

Donc l’égalité est fausse, n’importe qui peut se désigner comme Source du moment qu’il a acheté ET piraté le même morceau.


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Ricard a écrit :



D’toute façon, à part boire de la bière trapiste, les moines…. <img data-src=" />





Je préfère les moines trapézistes ©Groland


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dematbreizh a écrit :



&nbsp;

&nbsp;




10 titres piratés = 10 titres pas achetés est faux.      



&nbsp;Car il suffit d’un contre-exemple. Il y en a une tonne.

&nbsp;



Donc l'égalité est fausse, n'importe qui peut se désigner comme Source du moment qu'il a acheté ET piraté le même morceau.







Je parlais de l’autre côté : démonter qu’une personne aurait acheté un morceau s’il n’avait pas pu le pirater.


Les majors de la musique obtiennent la fermeture de Grooveshark et 50 millions de dollars

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