Nintendo licencie massivement en Corée du Sud, le départ d’Alison Rapp fait débat
Moonlight shadow
Le 31 mars 2016 à 08h22
4 min
Économie
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Nintendo a annoncé le licenciement de la majorité de ses effectifs en Corée du Sud, une manœuvre inhabituelle chez le constructeur qui marque un premier changement de politique. Pourtant, c'est un autre licenciement au sein de l'entreprise qui fait l'objet d'une couverture médiatique plus importante.
L'arrivée de Tatsumi Kimishima à la tête de Nintendo marque une nouvelle ère pour le constructeur. Lors de la présidence de Satoru Iwata, ce dernier a déclaré à plusieurs reprises qu'il était hors de question pour son entreprise de licencier des employés dans le seul but de satisfaire ses actionnaires.
On se souviendra ainsi qu'en 2013, l'ancien PDG avait pris une position forte contre ses actionnaires qui réclamaient un plan social, lors d'une assemblée générale. « Dans notre industrie, il y a des hauts et des bas chaque année ou presque. Si nous réduisons notre personnel pour de meilleurs résultats à court terme, le moral de nos employés baisserait et je doute sincèrement que des employés qui ont peur d'être licenciés soient capables de créer des jeux qui pourront impressionner le monde entier », avait-il alors déclaré.
Cela n'avait toutefois pas empêché le licenciement de 130 personnes (sur un total d'environ 5 000 employés) lors du transfert du siège social de Nintendo of Europe.
Kimishima, un ancien DRH qui taille dans le vif
Son remplaçant, l'ancien directeur des ressources humaines de l'entreprise, semble quant à lui se poser un peu moins de questions que son prédécesseur. Nous venons en effet d'apprendre que la branche Nintendo of Korea, qui employait aux dernières nouvelles une soixantaine de personnes, vient de voir ses effectifs soudainement divisés par six, rapporte Kotaku qui cite deux médias coréens (Gameple et GameMeca).
Si cette charrette d'une cinquantaine de licenciements semble anecdotique au vu de ce que l'on peut observer dans d'autres grands groupes, elle reste néanmoins symptomatique d'un changement de politique au sein de l'entreprise.
Dans un communiqué transmis à des médias coréens, Nintendo ne s'embarrasse pas de détails pour justifier son choix. Le constructeur évoque simplement que cette décision a été prise en janvier dernier à cause « du climat des affaires » dans le pays. Une réponse un peu fourre-tout dans laquelle chacun pourra voir ce qu'il souhaite.
Il convient néanmoins de préciser que la Corée du Sud est l'un des rares pays dans lequel la Wii U n'a pas été commercialisée, la branche locale ayant préféré se concentrer sur la Wii et la 3DS. En réduisant la taille de cette filiale et en la transformant en simple distributeur, Tatsumi Kimishima cherche peut-être à réaligner sa stratégie avec celle du reste du groupe.
Un autre licenciement fait la une
La vague de licenciements en Corée du Sud n'est toutefois pas l'évènement qui fait le plus parler du côté de chez Nintendo en ce moment. Un autre départ forcé a été largement médiatisé par la presse vidéoludique : celui d'Alison Rapp. Elle faisait partie de l'équipe de « localisation » des jeux aux États-Unis, dont elle assurait les relations publiques, et était régulièrement la cible d'attaques de la part de groupes provenant de sites communautaires tels que 4chan ou Reddit.
Ces derniers lui reprochaient entre autres choses de participer à la « censure » de certains titres, comme Xenobade Chronicles X, dont les versions occidentales édulcorent les tenues des personnages féminins afin de les rendre moins aguichantes. Cela alors qu'elle ne participait pas directement aux décisions sur la localisation. Alison Rapp a expliqué dans un premier temps que ce licenciement a eu lieu sous la pression de ces groupuscules ralliés sous la bannière du « GamerGate ». Pression à laquelle Nintendo aurait cédé.
Du côté du constructeur, la version des faits est un peu différente, puisqu'il est question d'une « violation d'une politique interne à la société concernant la pratique d'un deuxième emploi en conflit avec la culture d'entreprise de Nintendo », selon un communiqué envoyé à plusieurs rédactions. Officiellement, le constructeur précise que, « bien que la rupture du contrat de Madame Rapp suive les critiques de certains groupes sur les réseaux sociaux, ces deux faits ne sont aucunement liés ».
Alison Rapp a par la suite confirmé sur Twitter qu'elle avait effectivement un deuxième emploi, qu'elle réalisait sous pseudonyme, mais que sans l'acharnement qu'elle a subi sur les réseaux sociaux, personne n'en aurait jamais rien su.
Nintendo licencie massivement en Corée du Sud, le départ d’Alison Rapp fait débat
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Kimishima, un ancien DRH qui taille dans le vif
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Un autre licenciement fait la une
Commentaires (175)
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Abonnez-vousLe 31/03/2016 à 11h45
Ayant suivi GamerGate depuis le début (mais je ne pourrais pas pour autant en faire un exposé), je pense que toi aussi tu te bases sur ce qu’en ont écrit les premiers incriminés, c’est-à-dire les médias.
C’est comme faire confiance aux journaux dans l’escarcelle d’un homme d’affaires accusé de fraude : qui croire entre ses journaux et les sources contraires mais non-journalistiques ?
Le mouvement a en bonne partie réussi sa mission initiale depuis longtemps, les gros sites relatifs au jeu vidéo ayant adopté des chartes éthiques suivant les recommandations effectuées.
Lorsque quelqu’un disait “j’ai été harcelé par GamerGate”, au sein du mouvement la réponse était “nous sommes contre le harcèlement, nous t’invitons à porter plainte pour que la police fasse son travail et que le fautif soit puni comme il se doit”.
Et, curieusement, rien n’a jamais été fait.
Le FBI a même mené une enquête sur “les agissements attribués à GamerGate” l’année dernière, enquête dont le principe a été assez bien accueilli à l’intérieur du mouvement qui considérait ne rien avoir à se reprocher, et les fédéraux n’ont à priori rien trouvé de probant…
Sans parler des cas où, après quelques recherches, il a eu plusieurs indices laissant à penser que les “harcelés” avaient organisés eux-mêmes leur harcèlement pour profiter de publicité gratuite (et de campagnes de dons pour les aider à affronter les harcèlements), ce qui pourrait en effet expliquer leur réticence à aller porter plainte.
Après, certains continuent de se battre contre la nouvelle version de “les jeux vidéo rendent violent”, qui est “les jeux vidéos rendent misogynes” (bah tiens), ce qui donne l’impression d’un mouvement macho pour toute personne n’allant pas plus loin que les gros titres.
Et oui, il y a aussi beaucoup de défenseurs du premier amendement et de l’intégrité artistique (pour des raisons différentes, certains étant conservateurs et d’autres totalement libertaires), que l’on entend dans les affaires liées à Nintendo Treehouse par exemple.
Je comprends pourquoi le rédacteur n’en a pas parlé, mais ce qui a été reproché à la demoiselle par de nombreux twittos était… ses précédents tweets et travaux incitant à légitimer la pédophilie. Voilà voilà.
Cette source n’est pas ma préférée car beaucoup trop polarisée, mais au moins elle a les éléments (et des liens d’archives).
Et tenez, un exercice.
A) On dit que GamerGate défend les pires créations.
B) On dit que GamerGate a voulu qu’une défenseuse des pires créations soit virée.
Je vous encourage à essayer de faire une théorie cohérente à partir de ces deux postulats.
Le 31/03/2016 à 11h45
aucun «filtre parental» informatisé ne remplace l’unique: jouer avec le gamin
Le 31/03/2016 à 11h48
Le 31/03/2016 à 11h51
Le 31/03/2016 à 12h02
Le fait qu’elle aie publié quelques photos ou elle est habillée (certes légèrement) ne suffit pas à prouver formellement que son “moonlight job” c’est d’être modèle de charme.
Demain si je poste trois photos de moi en mode “Dieu du stade” sur mon compte Twitter, cela suffit à prouver que j’exerce une activité rémunérée en tant que modèle de charme ?
Le 31/03/2016 à 12h07
Bah elle postait ça avec genre “voici quelques photos de mon dernier shooting blabla”, ça fait pas vraiment photo amateur.
Puis ça, ça doit pas trop aider non plus.
Le 31/03/2016 à 12h07
Le 31/03/2016 à 12h13
Le 31/03/2016 à 12h15
Y’a quand même un fossé entre “ca n’a pas l’air amateur” et “c’est un job rémunéré” que tu ne peux pas franchir sur ce seul constat.
Quant à l’article, faudrait que je prenne le temps de me pencher dessus. Le titre est tape à l’oeil, mais j’ai appris que c’est souvent une mauvaise idée que de s’arrêter au titre " />
Le 31/03/2016 à 12h16
Nan, et puis si je fais des photos en Dieu du stade, je vais certainement pas les montrer le jour de mon anniversaire, j’ai déjà assez de notifs Facebook comme ça aujourd’hui " />
Le 31/03/2016 à 12h18
Le 31/03/2016 à 12h21
Le 31/03/2016 à 12h22
Le 31/03/2016 à 12h24
Monster Hunter, c’est pas un jeu pour les jeunes enfants.
Xenoblade aussi bien que beaucoup plus light que MH.
Le 31/03/2016 à 12h26
Le 31/03/2016 à 12h27
Le 31/03/2016 à 12h30
Déjà fait le calendrier.
Le 31/03/2016 à 12h36
Le 31/03/2016 à 12h37
Ça mérite une update, l’équipe a changé depuis " />
Le 31/03/2016 à 12h39
Le 31/03/2016 à 12h41
Le 31/03/2016 à 12h44
Ça fait 1h qu’on te dit qu’elle publiait un teasing de ses photos elle-même sur son compte Twitter officiel " />
Le 31/03/2016 à 12h46
Le 31/03/2016 à 12h46
A ma connaissance les assos anti viol sont rarement subventionnées.
Le 31/03/2016 à 12h47
Le 31/03/2016 à 12h50
le pb n’est pas que les jeux soient sexys, c’est que l’aspect sexuel consiste généralement en la mise en scène de maltraitance ou du voyeurisme sur des jeunes femmes (des comportements d’agression en gros dans la vraie vie).
Le féminisme mérite son lot de critiques mais ce ne sont pas non plus des idiotes hein… elles sont parfaitement capables d’analyser les ressorts de la violence anti femme dans les mentalités et comment les gens sont éduqués à ça.
Le 31/03/2016 à 12h54
Le 31/03/2016 à 12h59
Le 31/03/2016 à 13h04
Le 31/03/2016 à 13h13
Le 31/03/2016 à 13h16
Le 31/03/2016 à 13h17
Le 31/03/2016 à 16h04
Le 31/03/2016 à 16h05
Le 31/03/2016 à 16h10
Le 31/03/2016 à 16h16
Je sors mon Larousse.
Oppresseur, synonyme : tyran, dictateur : “Personne excessivement autoritaire qui abuse de son pouvoir.”
Ou encore “Celui qui, dans le monde grec, avait un pouvoir absolu après s’en être emparé par la force.”
Deux poids, deux mesures.
Le 31/03/2016 à 16h18
Le 31/03/2016 à 16h23
Le 31/03/2016 à 16h23
Non, employer les mots justes, c’est important. C’est de la communication et c’est tout aussi important que les actions à mener. Il faut accepter une bonne fois pour toutes que les droits des femmes ne pourront pas évoluer sans les hommes et que les droits des hommes ne pourront pas évoluer sans les femmes.
Ou inversement, les droits des hommes […] les droits des femmes […].
Et c’est bien pour ça que je prône une mise en avant de l’égalitarisme et pas du reste.
Le 31/03/2016 à 16h36
Le 31/03/2016 à 16h43
Le 31/03/2016 à 17h18
Je suis pour du moment que c’est indépendamment du sexe et en fonction des compétences. :)
Le 31/03/2016 à 17h27
L’égalité de résultats, c’est celle qui force le marathonien à attendre l’unijambiste. En quoi est-ce que ça règle le problème de l’unijambiste exactement? Tout ce que ça fait, c’est ralentir le marathonien.
Le 31/03/2016 à 17h45
Bah c’est sûr (pour poursuivre la métaphore, qui vaut ce qu’elle vaut), c’est tellement pire pour l’unijambiste de ne pas faire le chemin tout seul derrière lui.
Le 31/03/2016 à 18h07
Le 31/03/2016 à 18h19
Le 31/03/2016 à 10h23
Le 31/03/2016 à 10h25
Le 31/03/2016 à 10h27
Rien à voir avec les censures et ventes de JV….
Ils ont totalement dénaturés leurs revendications initiales et c’est pas du tout de ca dont je parlais.
Renseigne toi sur les actions du GamerGateet et ses idéologies.
Renseigne toi sur les vies qu’ils ont presque bousillées. (Brianna Wu)
Regarde ce qu’ils ont faits à Tay de Microsoft
j’en passe des pires et des meilleur…ah ben non, il n’y en a pas de “meilleur”.
Avant de les défendre, il faut se renseigner un petit peu…
Le 31/03/2016 à 10h30
Le 31/03/2016 à 10h32
Le 31/03/2016 à 10h33
Le 31/03/2016 à 10h34
Le 31/03/2016 à 10h34
Le 31/03/2016 à 11h05
Quand je pense à mon petit garçon et à quoi il pourrait jouer, je pense à Nintendo, parce qu’ils ont une politique stricte vis-à-vis de contenu potentiellement adulte. J’ai confiance en Nintendo pour des jeux funs et un minimum, voire pas, de violence ou de trucs chelous (oui, c’est chelou des gamines en string). C’est mon avis, et comme on n’est jamais tout seul, d’autres pendent comme moi.
Si tu veux donc représenter Nintendo et faire des photos à poil avec une 3DS, merci d’aller voir ailleurs et de respecter la vision de ton entreprise. Tu va chez Sony ou MS stp.
Donc oui, IRL, tu bosses à Nintendo, tu es sage et pudique.
Le 31/03/2016 à 11h14
Le 31/03/2016 à 11h17
Le 31/03/2016 à 11h21
T’as une source pour affirmer qu’elle travaillait dans ce domaine ? :)
Dans tous les cas je ne suis pas certain que connaître la nature exacte de son 2e job change quoi que ce soit au fond de l’affaire.
Le 31/03/2016 à 11h25
Sinon, abstraction faite des hypothèses gamersgate etc., j’aime beaucoup sa réponse Twitter
Le 31/03/2016 à 11h33
“Alison Rapp a par la suite confirmé sur Twitter qu’elle avait effectivement un deuxième emploi, qu’elle réalisait sous pseudonyme, mais que sans l’acharnement qu’elle a subi sur les réseaux sociaux, personne n’en aurait jamais rien su.”
Bouhou, j’ai fais de la merde, mais c’est de leur faute de l’avoir révéler! Je suis trop persécutée! Ca me fait rire les gens comme ça.
Le 31/03/2016 à 11h43
" />
Allez au pif, Bayonetta 2, senran kagura sur 3DS etc… " />
Nintendo est pas mieux que Sony/Microsoft à ce niveau, et si il y a peu de jeux “violents” c’est que les éditeurs savent que c’est pas la cible du public de Nintendo… Et si un jour ça change, t’en auras autant…
Le 31/03/2016 à 11h45
Le 04/04/2016 à 12h30
Pas outre-mesure non, si ce n’est que tes « preuves » sont, au mieux, discutables.
Le 04/04/2016 à 15h52
Je trouve ça ni normal ni anormal. Je pense que ce que tu fais dans ta vie personnelle ça n’a aucune espèce de rapport avec ton activité professionnelle. Ce qu’elle fait ou pas en son nom propre sur son temps à elle, l’employeur ne doit pas y avoir accès. Le seul critère valable pour ces activités est celui de la légalité. Ici il se trouve qu’elle n’avait pas le droit d’exercer une quelconque activité supplémentaire rémunérée, mais qu’elle dessine et vende des mandalas ou bien qu’elle se fasse photographier en petite tenue, ça ne change rien. Faire un rapport entre son travail et le type de photo qu’elle fait, c’est de l’irruption dans sa vie privée, et un jugement suivant des critères moraux qui n’ont rien à faire là.
Le 05/04/2016 à 08h37
Le 06/04/2016 à 14h12
Au moins ce genre de news donne l’opportunité de découvrir les membres dont on peut se permettre de filtrer les messages…
Le 31/03/2016 à 13h21
C’est une femme qui se déguise en petite fille à moitié poil pour attirer les pédophiles? drôle de mentalité " />
Le 31/03/2016 à 13h24
Je connais pas la dame ni l’affaire, mais de ce que j’en comprends.
C’est quelqu’un qui travaillait pour une boîte international, au États-Unis, c’est fait licencier car, apriori, ne respectait pas les règlements et politiques internes (voir contrat de travail) de son employeur.
Perso je ne vois pas où est le problème.
Après sur quoi repose l’élément de ce non respect, pour ma part c’est secondaire.
Enfin, soit elle estime que c’est abuse et elle attaquera son employeur soit elle estime que non (ce qui semble être le cas ; juste rage de s’être fait prendre) et ce débat est clos.
Le 31/03/2016 à 13h27
Le 31/03/2016 à 13h28
Le 31/03/2016 à 13h29
Personnellement je suis plus dérangé par les 50 licenciements en Corée, pourquoi la wii u n’a pas été commercialisée là bas? La filiale n’avait aucune chance d’être rentable si elle n’a rien à vendre.
Quand à Alison Rapp, en définitive on ne sait pas pourquoi elle a été vidée. Si elle se sent flouée elle portera surement l’affaire en justice, wait and see.
Le 31/03/2016 à 13h36
Non, te sens pas obligé d’étaler ta misogynie à tout le monde dans le thread STP, car c’est pas de ça dont il s’agit dans le fond du problème ;).
Parce que c’est vraiment très facile de parler de policies et de termes de contrat façon serious business qui sont spéculatif alors que par ailleurs on a aucun doute sur le harcèlement qui a existé. On devrait donc parler de la lâcheté de Nintendo quand à sa position vis à vis du harcèlement subie par unE (comme toujours) de ses employés et surtout de la masse de gaters à l’origine, une fois de plus, de ce que subis une femme dans le milieu du JV.
Le 31/03/2016 à 13h36
Le 31/03/2016 à 13h44
Le 31/03/2016 à 13h48
Le 31/03/2016 à 13h50
Le 31/03/2016 à 13h50
Si la mouvance GamerGate est à l’origine d’autant de harcèlement que tu le prétends, pourquoi est-ce que personne n’a encore été inquiété par la justice ?
Le 31/03/2016 à 13h53
Le 31/03/2016 à 13h56
Le 31/03/2016 à 13h57
En tout cas c’est vraiment efficace, ça parle que de la femme au lieu des 50 coréens
Le 31/03/2016 à 14h06
Le 31/03/2016 à 14h12
Le 31/03/2016 à 18h40
Ce n’était pas très clair, mais là où je voulais en venir, c’est que la métaphore était mauvaise " />
Ce n’est pas très fidèle de représenter une différence par un handicap. L’égalité d’opportunité, c’est garantir que tout le monde peut essayer de rentrer dans une équipe de basket. Parce que même si certains sont plus petits, si ça se trouve, ils vont sauter plus haut. L’égalité d’opportunité va interdire d’éliminer des candidats à priori en fonction de leur taille. Ce sera aussi un programme pour donner de la soupe aux enfants qui n’ont pas les moyens de s’en acheter pour qu’ils aient le maximum de chances de grandir. Par contre, au final, les meilleurs seront choisis pour entrer dans l’équipe, quelle que soit leur taille ou leur don pour le saut. Après tout, il y a une équipe de course équestre qui pourrait faire bon usage de personnes de plus petite taille, ou une équipe de saut en hauteur qui cherche de bons sauteurs.
L’égalité de résultats, c’est donner au sélectionneurs des critères précis de taille pour choisir ses joueurs. Il faudra que chaque joueur se trouve dans une fourchette de taille prédéfinie. Alors oui, ça sera sympa pour celui qui a envie de faire du basket professionnel, qui est de petite taille et ne saute pas très bien à cause de son arthrite. Il pourra rentrer dans l’équipe. Mais au final, tu vas pénaliser toute l’équipe, l’équipe sera moins bonne et tu vas empêcher d’autres personnes qui voulaient faire du basket pro et qui auraient été meilleures de jouer. Au final, tu vas embêter beaucoup plus de personnes que tu ne vas en arranger, et tu vas diminuer les performances de l’équipe. Tout le monde sauf une personne y sera perdant.
En quoi est-ce que c’est plus juste?
Le 31/03/2016 à 18h58
Ces grosses gougous féministes et gauchistes polluent le monde du jeu vidéo. Bonne nouvelle que ce licenciement. Internet a parlé.
Le 31/03/2016 à 20h27
Le 01/04/2016 à 06h45
“l’ancien directeur des ressources humaines de l’entreprise, semble quant à lui se poser un peu moins de questions que son prédécesseur… ”
A voir sur le long terme mais pour le moment ça fait 80 personnes de différence entre le précédent plan de licenciement et celui ci.
Je sais que l’on prendra plus sur l’effectif global d’un site, mais ne terme d’individus cela reste pour le moment bien en dessous (même si ce n’es jamais très joyeux comme annonce).
Après un ancien responsable RH à la tête d’une boite…
Bon, il faut dire que dans ma précédente boite les RH avaient en partie pour mission de faire du ménage dans les employés. Ça plus la responsable RH à la limite de la dépression de par ce qu’elle devait faire.
Du coup ca ne laisse pas un bon souvenir.
Le 01/04/2016 à 08h04
Comparaison n’est pas raison comme on dit, ça a toujours des limites :)
Après, pour le reste, je crois pas qu’il faille vraiment opposer les deux moyens que tu présentes, c’est juste deux leviers avec lesquels on peut moduler et qui sont plus complémentaires qu’autre chose.
Le 01/04/2016 à 08h05
Mais il a quand même le droit de se présenter comme le marathonien, dans l’autre contexte ou pourra dire à un nouveau marathonien :“désolé comme on a déjà un unijambiste et un marathonien vous ne pouvez pas participer à la course.” …
Le 01/04/2016 à 08h22
Il y a une différence entre ces deux leviers. Un de ces deux leviers supprime toute différence de traitement institutionnalisée entre les personnes. L’autre institutionnalise une différence de traitement entre les personnes afin de supprimer toute différence de résultat entre les groupes. On peut très bien être d’accord avec le premier levier sans être d’accord avec le deuxième. On peut très bien être opposé aux quotas sans être sexiste ou raciste (aux sens premiers du terme, c’est-à-dire sans prôner une différence de traitement entre les individus de différents groupes). La fin ne justifie pas les moyens, parce que certains moyens font perdre toute signification à la fin.
Le 01/04/2016 à 08h23
Pas compris où tu voulais en venir ?
Le 01/04/2016 à 08h30
Le 01/04/2016 à 08h58
Le 01/04/2016 à 09h05
Effectivement ma phrase n’a aucun sens en l’état, désolé. " />
Je reprends.
Dans ton exemple l’unijambiste à quand même le droit de se présenter au départ.
Dans
l’autre contexte, pour la même course, si un nouveau marathonien se présente on lui dira :“désolé comme
on a déjà un unijambiste et un marathonien vous ne pouvez pas
participer à la course.” Égalité parité tout ça tout ça
Le 01/04/2016 à 09h11
Toi peut-être mais c’est pas ce que je ressent quand je lis les discours tenu par les activistes et ça donne clairement pas envie d’y adhérer. À force de dire que c’est la faute au patriarcat dans tous les sens ça donne un côté “mecs = responsables de tous les maux”. C’est surtout ce que je lis du féminisme depuis quelques années.
Et dans ces conditions, j’y adhèrerai pas. Peut-être que les actions sont bonnes mais si la communication derrière est pourrie ce sera toujours non.
Dans le boulot, c’est pareil, tu peux avoir le meilleur produit du monde à vendre, si ta com est dégueulasse, personne ne l’achètera.
Le 01/04/2016 à 09h13
En fait le féminisme c’est Windows 10 IRL " />
Le 01/04/2016 à 09h23
Le 01/04/2016 à 09h26
Ah ok. Personnellement, je pense que tout dépend de si ces mesures sont transitoires ou non. Changer la domination masculine de nos sociétés, ça passe par beaucoup de choses (en premier lieu faire admettre ce simple fait que cette domination existe… et c’est pas gagné d’avance).
Pour la parité, allons-y à la louche : on entend souvent dire que c’est ridicule d’imposer une parité dans des milieux où la répartition homme/femme est déséquilibrée. En première approximation, c’est logique, quand il doit y avoir représentativité, autant que ça reflète au mieux la démographie. Mais c’est en fait biaisé puisque ça occulte totalement les raisons qui font qu’un milieu donné n’est pas paritaire au départ (là où le nombre d’hommes est à peu près équivalent au nombre de femmes dans la société dans son ensemble). Imposer une parité, c’est faire le pari que malgré une sur-représentation transitoire des femmes dans un sous-ensemble donné de la population, ça va créer un « appel d’air ». Tout seul, sans éduquer la population à ces sujets, c’est imparfait, on peut bien sûr discuter de ça, personne n’a prétendu que c’était la panacée dans tous les cas. Bon ça c’est à la truelle, il faudrait aller beaucoup plus en détail, faire une sociologie des rapports hommes/femmes.
Quand tu vois à quel point une partie de la population est, erm, « chatouilleuse » dès que la question des genres est abordée, tu te dis que y’a encore beaucoup de chemin à faire (surtout quand les « débats » sont invalidés par des arguments fallacieux liés à la biologie, entre autres).
Le 01/04/2016 à 09h30
Le 31/03/2016 à 14h15
Le 31/03/2016 à 14h16
Il n’y a pas que son mémoire qui a dérangé. Certains de ses twits et de ses positions en général en faveur du relâchement des lois anti-pédophilie, peuvent choquer, et je le comprends.
Le 31/03/2016 à 14h19
Le 31/03/2016 à 14h21
Il faut voir l’autre côté du miroir: être victime de harcèlement est être une victime, mais n’innocente pas pour les faits pour lesquels on est harcelé si ces faits posent problème.
Je ne dis pas nécessairement que c’est le cas ici. Ce que je dis, c’est que ce n’est pas parce qu’elle a été harcelée qu’elle est innocente (même si la justice populaire n’est jamais une bonne chose).
Le 31/03/2016 à 14h21
Le 31/03/2016 à 14h24
Oui, mais là, il n’est pas question des choix “éditoriaux” de Nintendo, il est question de la raison pour laquelle ces choix seraient différents entre un jeu sorti sur cette plate-forme, avec la même politique, au Japon, et le même jeu, sorti sur la même plate-forme, ailleurs.
Quand tu es dans un climat où beaucoup sont très mal à l’aise avec ce qu’ils ressentent comme une forme de néo-puritanisme imposé par les médias, il est compréhensible que ce genre de choses passe mal auprès d’un certain public. Et ce certain public n’est pas forcément une horde de puceaux misogynes.
Le 31/03/2016 à 14h26
Le 31/03/2016 à 14h26
Le 31/03/2016 à 14h32
Au-delà des problèmes de harcèlement liés au GamerGate (et qui sont présents dans tous les mouvements qui passent de près ou de loin par Internet, ce qui n’excuse rien, mais explique beaucoup), le problème est que le dit “sexisme” ou la dite “misogynie” est discutable, dans la mesure où c’est plus une opposition aux mouvements féministes modernes qui redéfinissent largement ces termes. (du point de vue de ceux qui s’identifient au GG). Et, effectivement, une énorme partie des médias de masse s’arrêtent au harcèlement et aux mots clef “sexiste”, “misogyne” sans se poser les questions sous-jacentes.
Non, être “anti-féministe”, ce n’est pas nécessairement être “sexiste” ou être “misogyne”.
Le tableau est extrêmement complexe mais oui, souvent, c’est réduit à du harcèlement, du sexisme et de la misogynie, alors que ce qui fait que beaucoup de gens se revendiquent du GG, ce n’est pas nécessairement ça.
Le 31/03/2016 à 14h32
Le 31/03/2016 à 14h39
Je suis d’accord pour le départ d’Alison, bien jouer Big N.
Le 31/03/2016 à 14h40
Le 31/03/2016 à 14h50
Le 31/03/2016 à 15h03
Certains courants (montants) du féminisme moderne prônent l’égalité de résultat plutôt que l’égalité d’opportunité (souvent de très bonne foi, comme moyen supposé d’obtenir l’égalité d’opportunité). Dans certains cas, quand tu institutionnalises une égalité de résultats entre (le groupe des) hommes et (le groupe des) femmes, tu institutionnalises une différence de traitement entre (les individus) hommes et (les individus) femmes, ce qui remet entièrement en cause l’égalité d’opportunités entre hommes et femmes. Et ils redéfinissent le sexisme, qui n’est plus “traiter les individus différemment en fonction de leur sexe”, mais comme “la société opprimant la femme et les personnes d’un genre non conforme à la norme”.
Le féminisme ne se définit plus par “demander une égalité de traitement entre hommes et femmes” depuis une paire d’années maintenant.
Et certaines personnes qui s’ont d’accord avec l’égalité de traitement entre individus hommes et femmes ne sont pas d’accord avec la recherche d’une égalité de résultats entre les groupes des hommes et des femmes. Pourtant, ils ne prônent pas le sexisme ou une différence de traitement entre hommes et femmes.
La question est bien trop complexe pour résumer “le féminisme” en tant que mouvement à la recherche de l’égalité de traitement entre hommes et femmes, ou ceux qui s’opposent au “féminisme” en tant que mouvement à des sexistes ou des misogynes.
Le 31/03/2016 à 15h03
Pour le bien de tous, ne parle pas de féminisme, visiblement tu as 0 connaissance sur le sujet, et le mainsplaining c’est mignon, mais lassant…
Le 31/03/2016 à 15h07
Alors là, je voudrais bien que tu expliques comment c’est possible, sachant que le féminisme consiste essentiellement en l’abolition des différences sociales hommes / femmes, et que le sexisme c’est précisément traiter les individus différemment en fonction de leur sexe.
Le jour où une féministe m’a expliqué que j’étais par définition j’étais un oppresseur parce que j’étais un mec, le féminisme ça m’a gonflé. J’arrête pas de lire que c’est pour l’égalité etc, mais à chaque fois que je lis les idées sur les diverses pages d’asso, je lis surtout à quel point tout ça c’est la faute au patriarcat et que implicitement on est que des raclures parce qu’on est des mecs.
Alors à la longue, elles y sont arrivées, je peux plus encadrer le féminisme. Pour autant je me comporte avec mes amies de la manière qu’avec mes amis, bière, jeux-vidéo etc. Donc oui, on peut en avoir par dessus la tête du féminisme et pour autant ne pas considérer que la place de la femme est à la cuisine et que sa génétique lui empêche de faire de l’informatique. (ou autre idée à la con)
Le 31/03/2016 à 15h10
Le 31/03/2016 à 15h12
Ca dépend de ce que tu entends par “féminisme” en fait, si tu prends la définition, difficile d’être en désaccord avec toi.
Si tu prends les groupes représentants la notion, tu peux être en désaccord avec leurs actions en pensant qu’elles ne servent pas la cause et de fait tu te retrouves “anti-féministe” sous prétexte de refuser de défendre les femmes sous un certains angle.
Après dans ce second cas tu es “techniquement” un féministe en même temps que d’être un “anti-féministe” et tu prônes tout de même l’égalité (sans forcément avoir de solution, les convictions suffisent).
Le 31/03/2016 à 15h14
Le 31/03/2016 à 15h19
et pendant ce temps Miitomo vient de sortir :)
Le 31/03/2016 à 15h19
Le 31/03/2016 à 15h22
Sans vouloir prendre parti ; Sur la réponse que m’a fait que YohAsAkUrA , l’énoncé du féministe et du droit du travail est de l’ordre de la plaisanterie (renforcé par la présence du " />). De la à parler de sa misogynie c’est peut-être exagéré ?
" />
Par ailleurs, concernant Nintendo y a t’il des cas similaires où un employé masculin n’a PAS été licencié suivant les mêmes critères ?
Pour moi cette affaire j’ai l’impression que c’est juste le paradoxe du cylindre :
les pro voient un rectangle ; les anti un cercle alors quand prenant un peu de recul … ben c’est juste un cylindre … " />
Le 31/03/2016 à 15h25
Le 31/03/2016 à 15h30
Vraie question : C’est vraiment à Nintendo de s’occuper des affaires personnelles de cette femme ? Le groupe a juste vu quelqu’un qui n’a pas respecté leur charte, le pourquoi du comment c’est franchement pas leur problème.
Qu’elle se retourne contre ses harceleurs dans un second temps, certainement, mais Nintendo n’a plus rien à voir là dedans.
Le 31/03/2016 à 15h38
Le 31/03/2016 à 15h40
Oui voilà, c’est moi qui suis pas assez intelligent.
EDIT : Au passage c’est marrant d’avoir cité que la moitié de mon commentaire.
Le 31/03/2016 à 15h44
Je pense que cela est une vision personnel du féminisme. La définition est en plus simple et par extension plus large (cf : LAROUSSE)
Pour le sexisme je le compléterais par “pour seul élément de discrimination le sexe”.
Par ailleurs le sexisme est neutre dans son usage. C’est la vision phallocrate et paternaliste de notre société qui le considère comme synonyme d’anti féministe chose qu’il n’est pas.
Au contraire on peut être féministe et sexiste (même si plutôt rare ; Exemple une féministe qui créérai un club de sport exclusivement pour les femmes).
Le 31/03/2016 à 15h51
Le 31/03/2016 à 15h53
“Ils” se réfère à “certains mouvement féministes” dans ma phrase.
L’égalité d’opportunité? Dans ce contexte, c’est l’absence d’éléments négatifs venant de l’extérieur (au sens large) qui te privent injustement d’une opportunité. Le postulat de base de beaucoup de “ils” c’est qu’en l’absence de toute influence extérieure, une égalité d’opportunité débouchera nécessairement sur une égalité de résultats. Pourtant, à aucun moment, ce postulat n’est démontré, alors même que la science a plutôt tendance à montrer le contraire, au moins à l’échelle des groupes.
Note bien: quand je dis que la science a tendance à montrer le contraire, je ne dis pas que la science doit être utiliser pour instaurer des inégalités institutionnalisées entre les groupes. Si la science dit “les femmes sont en général meilleures pour compter de 0 à 100, les hommes sont en général meilleurs pour compter de 100 à 0”, cela ne justifie pas de faire une loi imposant aux femmes de se réserver aux métiers où on compte de 0 à 100, et aux hommes de se réserver aux métiers où on compte de 100 à 0. Parce que les tendances générales se voient dans les statistiques mais ne peuvent pas s’appliquer à tous les échantillons. Par contre, cela justifie de trouver normal que dans un environnement où chacun trouve un métier suivant ses compétences, sans influence extérieure, on retrouve plus de femmes que d’hommes dans les métiers où on compte de 0 à 100, et plus d’hommes que de femmes dans les métiers où on compte de 100 à 0.
De même, en imposant une égalité de résultat, rien ne dit que ça permettra de déboucher sur une égalité d’opportunité, alors que ça pourrait aussi bien créer de nouvelles inégalités à l’intérieur de chacun des deux groupes.
Le 31/03/2016 à 15h56
Le 31/03/2016 à 16h00
Le 31/03/2016 à 09h10
Le 31/03/2016 à 09h22
Le 31/03/2016 à 09h22
Le 31/03/2016 à 09h23
Le 31/03/2016 à 09h28
Le 31/03/2016 à 09h38
Le 31/03/2016 à 09h42
J’ai pensé à la même chose : balancer l’argument (inattaquable) du pedoporn au bout de 2mn, c’est typiquement le mec qui t’aurait lancé un point godwin sur un sujet politique " />
Le 31/03/2016 à 09h42
Le 31/03/2016 à 09h48
Je ne trouve pas, non.
Elle n’a pas à se justifier de quoi que ce soit sur Twitter, et peut vouloir garder son anonymat pour bien d’autres raisons. Par contre ce dont on est sur c’est que tout était OK avant que ces raclures ne viennent, encore une fois, harceler une femme du milieu du JV ;)
Le 31/03/2016 à 09h49
Le 31/03/2016 à 10h01
Groupuscule ultra féministes ?
Proférer des menances de morts et harceler des gens c’est avoir raison ?
DOA X3 n’a pas été commercialisé car le potentiel de vente n’y était pas c’est tout… Quand au reste, on voit vite comme le GG s’en balek de la liberté du consommateur ou de l’éthique quand ça les arrange…
Tu veux défendre l’éthique, tu vas pas voir le GG, c’est juste le KKK du jeu vidéo…
Le 31/03/2016 à 10h03
Le 31/03/2016 à 10h06
Le 31/03/2016 à 10h10
Le 31/03/2016 à 10h17
Le 31/03/2016 à 10h22
Le licenciement de la dame est normal d’autant qu’elle ne devrait pas avoir un salaire la mettant dans la misère et la forcant à avoir un deuxième emplois…
Pour ce qui est important, Iwata refusait avant tout de licencier des développeurs, licencier 50 personnes en charge de la distribution (en berne) c’est pas la même chose. Quand l’activité reprend, on réembauche facilement.
Le 31/03/2016 à 08h30
Les gens constituant le Gamegate sont odieux , indésirables et sont de vrais parasites de la société. Ils vivienet vraiment dans un autre univers.
La Japon étant un pays ultra machiste, il est probable que ces cods du gamegate aient eu une oreille à l’écoute chez Nintendo.
J’espère bien sur me tromper et être complètement à coté de la plaque.
C’est qui m’a marqué dans cette news et non pas les licenciements en Corée.
Le 31/03/2016 à 08h33
Le 31/03/2016 à 08h35
Pour clarifier, avoir un 2e job chez Nintendo est toléré dans une certaine mesure. Ce qui lui a été reproché ce n’est pas tant d’avoir juste un 2e emploi, mais d’avoir un 2e emploi entrant en conflit avec la culture de l’entreprise. Ce qui laisse la porte ouverte à pas mal d’interprétations.
Le 31/03/2016 à 08h37
Ca ressemble bien plus à une façon pour Nintendo de se décharger de toute responsabilité vis à vis du harcèlement de son employé.
Sans parler de conforter les abrutis de GG dans leur effort. Bref, c’est vraiment navrant…
Le 31/03/2016 à 08h40
du pron ?
Quant aux GamerGate, ouais, faut dire aussi que si les jeux n’étaient pas censurés lors de la traversée du Pacifique on aurait pas ce genre de problème. Censurer un jeu, c’est comme violer un chaton avec un âne, ça dénature complètement l’objet.
Sans compter que 4chan est quand même la poubelle du Net, je ne comprends pas que l’on puisse donner une quelconque crédibilité à ce qui est sur ce truc.
Le 31/03/2016 à 08h43
Justement, y’a pas de censure à proprement parler, on est encore dans le temps de la localisation. C’est Nintendo qui adapte ses jeux, pas des lois qui décident d’en virer du contenu. Comme quand ils changent des Onigiri en Hamburger ;)
Le 31/03/2016 à 08h43
Sans aller dans ces extrêmes là, bosser pour un concurrent ça pourrait aussi être en dehors de la “culture d’entreprise”
Le 31/03/2016 à 08h49
Faut comprendre la boîte aussi, vu comme notre société occidentale “régresse”.
Regarde sur Twitch le dernier Dead or Alive Beach Volley (là) et essai d’imaginer une seconde ce jeu sortir chez nous xD
Alors qu’on a déjà eu les 2 précédentes versions il y a des années et que tout le monde s’en foutait, si le 3 sortait maintenant en EU ou aux USA ça serait une tempête médiatique et la monté au créneau de plein d’asso de défense de tel truc ou tel machin (BTW il bat des records de vente en import " />).
Le 31/03/2016 à 08h50
Le 31/03/2016 à 08h52
Le 31/03/2016 à 08h55
Quel débat ?
Je parle de l’édulcoration des versions occidentales des jeux, comme dit dans la news.
Le 31/03/2016 à 08h57
Le 31/03/2016 à 08h58
Le 31/03/2016 à 09h01
Je suis tout à fait d’accord, de plus cet argument pourrait tout à fait être inversé : du fait de la régression de la société asiatique vis à vis de l’hyper sexualisation des femmes (filles?) nous sommes obligés de modifier les jeux.
Le débat est vite clos avec ce genre d’argument " />
Le 31/03/2016 à 09h01
Oui pour moi c’est une régression le fait de ne plus pouvoir dire ou montrer certaines choses qui nous faisant marrer avant, ou simplement qu’on ignorait si ça ne nous plaisait pas, de peur de se prendre un procès par tel ou tel asso de “défense”.
Et non je parle pas de truc pédoporno ou sinon tu peux directement poser le point Godwin et on s’en va " />
Le 01/04/2016 à 11h58
Le 01/04/2016 à 12h17
Mais euh ça voudrait dire que Windows 10 n’existe pas vraiment ? " />
Le 01/04/2016 à 12h40
Et bien!
160 commentaires et la plupart ne se soucient que d’une personne… Mais très peu sur les 50 autres qui peuvent aller crever la gueule ouverte. Surtout au vu des échanges produits dans les lignes…
Le 01/04/2016 à 13h09
C’est clair qu’on en parle peu. En même temps, le GG leur a pas fait une campagne de harcèlement à eux…
Le 01/04/2016 à 13h40
Le 01/04/2016 à 13h43
Le 01/04/2016 à 22h09
Le 02/04/2016 à 00h50
je sais pas si ca été dit mais je link des archives de son twitter … ca me donne pas envie de la croire ni meme envie d’avoir de la pitié pour elle …
http://archive.is/pONlG
 http://archive.is/RQaQM
http://archive.is/KvN2E
http://archive.is/IEVz4
http://archive.is/Z9HQ5
Le 04/04/2016 à 08h20
Le 04/04/2016 à 08h27
C’est quoi le glissement ici ? Fermons les yeux sur le harcèlement, quand on a une (petite) portée médiatique ça devient tolérable ? " />
Le 04/04/2016 à 09h28
Le 04/04/2016 à 09h31
Qui a dit « Oh la pauvre » ? (Note au passage que c’est ce que tu fais avec les 50 autres licenciés).
Et ça change rien qu’il soit légion ou pas, le nombre et la fréquence n’en font pas pour autant quelque chose de tolérable… Ça n’a rien à voir avec le fait de plaire ou ne pas plaire.
Le 04/04/2016 à 10h56
Le 04/04/2016 à 11h05
Le 04/04/2016 à 11h22