Ils ont dû considérer qu’un machin comme ça est surtout un transportable, donc sera plus que probablement utilisé avec une souris (probablement un modèle gamer…)
Le touchpad est là comme une galette dans une voiture.
Le
09/01/2017 à
08h
56
La moitié vide sur le châssis est là parce qu’il y a plein de place inutile pour les clavier/touchpad (vu qu’à priori il est considéré que le clavier mécanique est mieux tout à l’avant du bouzin). Par contre, le triangle recouvre le “caisson de basses” des hauts-parleurs du PC.
A l’époque, en gros et en moyenne, le plus gros pentium D (à 3.6 GHz) arrivait à grande peine à titiller le plus petit core 2 duo (1.83 GHz).
Et oui et non… Au début, la progression se faisait rarement sur la fréquence seule. Le contexte était différent certes, mais comme tu le pointes, l’ajout de caches, le perfectionnement des caches, les unités de calcul disponibles et leur efficacité (notamment la FPU à l’époque des DX/SX), la manière dont les opérations 16/32/64/… bits étaient gérées, etc. importaient énormément aussi. Jusqu’aux débuts du Pentium 4, toutes les architecture Intel (par exemple) progressaient par la montée en fréquence, certes, mais aussi et surtout par la montée en efficacité/ “IPC”.
Sinon, à chaque fois qu’une architecture se trouvait “bloquée” en efficacité, et reposait principalement sur la montée en fréquence pour progresser en performance, ça a été un cul-de-sac. Les premiers pentium 4 (willamette), très décevants; les derniers pentium 4 (Prescott/Smithfield/Cedar Mill/Presler), qui ont été une bouse immense. Mais aussi les derniers K8 (Athlon 64/X2 AM2), et Bulldozer/Vishera.
Cela ne change effectivement rien au problème: il n’est pas simple de faire un truc plus efficace sans mettre plus de transistors à l’intérieur.
Le
05/01/2017 à
11h
06
cf. le dernier CPC hardware. Leurs annonces ne sont pas complètement déconnantes, vis-à-vis des ES en circulation en tout cas.
Le
05/01/2017 à
11h
06
Non, c’est des perfs semblables aux 6700k/6800k maximum " />
Le
05/01/2017 à
10h
57
Les premiers ES de Ryzen annoncent des perfs qui peuvent potentiellement atteindre les perfs des i7-6x00 si AMD arrive à atteindre des fréquences égales/légèrement supérieures. C’est un peu différent quand même.
Mais mais comme ça, ça semble assez sexy " />
Le
05/01/2017 à
10h
43
Pas pour toutes les générations, non. " />
Au contraire, quand une gamme de CPUs commence à ne plus progresser que par la monter en fréquence, c’est là que ça sent le roussi pour l’architecture elle-même.
Mais les plus grandes progressions de génération à génération se sont faites quand les performances étaient meilleures à fréquence inférieure. L’exemple le plus caricatural serait le passage de netburst (pentium 4/D) à Conroe (core 2 duo/quad)
Pour rappel, il y a principalement deux “coeurs” CPU utilisés actuellement: le cortex A53 (bas de gamme, low power) et le cortex A72 (haut de gamme, meilleure perf à fréquence égale, consomme plus). On rencontrera parfois le cortex A57 (prédécesseur du A72, consomme beaucoup), et le coeur Kryo (coeur custom développé par Qualcomm pour son haut de gamme, un peu au-dessus du A72 en performance)
Le P9 intègre un Kirin 955 (4xCortex A72 + 4xCortex A53). Celui-ci intégrera un Kirin 655 (4xCortex A53 haute fréquence + 4x Cortex A53 basse fréquence).
Niveau performances CPU, il faut s’attendre à un truc similaire au honor 5x (pas de grosse évolution là-dessus), c’est-à-dire un truc correct, mais pas fou. On est au niveau d’un snapdragon 625, potentiellement au niveau d’un snapdragon 650⁄808 suivant les tâches (le 650, celui du redmi note 3 pro, a 2xCortex A72, 4xCortex A53), très en-dessous pour les tâches demandant de fortes perfs en monothread. On est loin en-dessous d’un snapdragon 655 (4xCortex A72, 4xCortex A53). Et probablement en-dessous voir chatouillant un snapdragon 820 (2xKryo haute fréquence, 2xKryo basse fréquence) en tâches multithreadées, et très largement en-dessous d’un snapdragon 820 en tâches peu threadées.
(Je n’ai volontairement pas parlé du snapdragon 810 - 4xCortex A57, 4x Cortex A53 - au vu de ses problèmes récurrents de throttling, mais en théorie niveau CPU le 810 est équivalent voire inférieur à un snapdragon 655)
On ne leur file pas les mots de passe. On leur file un gloubiboulga chiffré dont ils n’ont pas la clef. Tout ce qu’ils font est nous fournir des serveurs et apps pour qu’on puisse synchroniser ça entre les différentes machines qui veulent s’en servir.
Le
02/11/2016 à
16h
03
Franchement, ils font ce qu’ils veulent, tant que c’est dans l’intérêt des utilisateurs, je ne vois pas le problème.
Et rendre gratuite une fonctionnalité, je ne vois pas en quoi ça dessert l’utilisateur… (À part si ça fait couler la boîte " /> )
Le
02/11/2016 à
16h
00
Rien que pour la libération des pubs, je pense que je conserverai l’abonnement.
C’est pas cher, et le support technique prioritaire me rassure en cas de pépin.
J’essaye de soutenir systématiquement les développeurs des apps avec pubs que j’utilise quotidiennement (c’est donnant-donnant..), et c’est très frustrant quand on ne peut pas le faire (musixmatch, si je t’attrape….)
Tu passes à côté du problème principal: je ne parle pas de “gros consommateurs” en termes de débits. Je parle de gros consommateurs en termes de données consommées. La différence de coût entre quelqu’un qui ne fait que des mails et quelqu’un qui télécharge 3 To d’ISO linux est minimale pour l’opérateur. Et je parle bien de facturation “artificielle”: elle ne se repose pas vraiment sur quelque chose de solide.
Le
24/10/2016 à
10h
16
Un accès fixe avec fair use, ce serait déconnant, oui. Sur les connexions fixes, un fair use ne permet pas de faire des prix plus “justes”. Il permet juste d’augmenter le revenu par tête de manière complètement artificielle sur les gros consommateurs. L’immense majorité des coûts, dans l’immense majorité des cas, est constituée du coût du raccordement et du maintien du lien.
Si on faisait des offres à fair use très bas et à bas prix, cela reviendrait exactement au même: une offre à prix “sponsorisé” par le FAI, c’est-à-dire les autres utilisateurs ou l’État. Sauf qu’au lieu de coûter 15€ au contribuable pour fournir un accès normal à la personne en question, ça coûterait 14.99999999€ pour lui fournir un accès ultra limité.
Le
24/10/2016 à
08h
59
De la 4G à moins de 10€ par mois?
Peut-être avec une offre promotionnelle.
Et même avec une offre promotionnelle, tu te retrouves au mieux avec quelques Go de fair use. Pas vraiment de quoi en faire ta connexion principale.
Le
24/10/2016 à
08h
57
Ces offres existent déjà. Pas à 5/10€ (parce que ce n’est simplement pas viable, hors offres promotionnelles).
C’est plus 25 € (internet pourri seul)/ 35€ (triple play)/40€ (fibre triple play)/50-55€ (quadruple play avec abonnement téléphonique)
OP utilisait cette affirmation de manière sarcastique. Cela dit, les yeux ne sont pas limités à 24 FPS, parler de FPS n’a pas vraiment de sens pour les yeux. C’est une erreur communément commise parce qu’une succession rapide de photos à 24 FPS, avec des flous savamment calculés, donne une illusion de mouvement à peu près fluide (le simple scandale des films en HDR suffit à prouver qu’effectivement avoir plus de 24 FPS fait une grosse différence)
Le
20/10/2016 à
16h
02
Oui mais ce qui a l’air correct sur un écran de 6” - 9”, même full HD, peut paraître dégueulasse sur un écran quatre, huit ou seize fois plus grand.
Sur l’écran plus petit, tu peux utiliser différentes astuces pour que l’écran t’apporte un gain (par rapport à un écran de même taille et de résolution inférieure), sans pour autant avoir besoin de la même puissance que si tu travaillais à fond pour la résolution native de l’écran. (upsampling, …).
Je m’en rends compte tous les jours: lorsque je suis hors wifi, et je regarde une vidéo sur youtube (sur mon téléphone 5.5”), je me limite généralement à du 480p, ce qui est un compromis qui me semble correct. Pourtant, sur mon PC (écran 24”), en-dessous du 720p, tout me semble dégueulasse. Bien sûr, je peux voir la différence entre du 480p et du 1080p sur l’écran de mon téléphone, mais ça n’a rien à voir avec la différence que je constate entre ces résolutions sur un écran plus grand.
Le
20/10/2016 à
15h
44
Oui, et le geforce 4 était… Un geforce 3 modifié (quelques mises à jour, mais pas énormément) ;)
Le
20/10/2016 à
15h
39
La première Xbox avait un geforce 3 modifié en guise de GPU ;)
Cela dit (et cela reste à confirmer, d’ailleurs), ce sera potentiellement la première console avec un CPU nvidia.
(Première et seule console avec un CPU Intel: la Xbox, et avec un CPU AMD: les PS4/Xbox1)
Philae: un atterrisseur prévu pour se poser sur une surface dont on ignore beaucoup de choses, particulièrement les propriétés mécaniques du milieu (Ce sera dur? Cassant? Granuleux? Rebondissant comme du caoutchouc? ), pour une première historique.
Schiaparelli: un module expérimental, dédié à tester une technique d’atterrissage encore jamais expérimentée.
Dans les deux cas, il y a des dangers particuliers impossibles à prendre totalement en compte, et un des buts principaux de la mission est d’obtenir des informations sur l’atterrissage en lui-même. Schiaparelli n’était même pas censé faire grand chose après son “amarsissage”. Donc bon.
Parfois, tu n’as pas d’autre choix que de lancer tes nouilles au plafond pour voir si elles collent.
Elle interdit spécifiquement les allégations faussées destinées à induire intentionnellement en erreur.
C’est-à-dire que cette loi n’interdit pas de croire qu’un petit chaton meurt à chaque fois que le mot “IVG” est prononcé. Elle interdit de dire qu’un petit chaton meurt alors qu’on sait pertinemment que ce n’est pas le cas.
Elle s’attaque aux “escrocs intellectuels”, pas aux opposants.
Alors, certes, au sens le plus strict, c’est une atteinte à la liberté d’expression. Mais il y a certaines atteintes à la liberté d’expression qui sont tolérables, particulièrement quand on traite des menaces ou des manipulations qui ont des conséquences graves pour certaines personnes. Je suis opposé à toute atteinte à la liberté d’expression “sincère” (je pense qu’il faudrait laisser les négationnistes sincères parler, ne serait-ce que pour se foutre de leur gueule). Mais pour ce qui est d’attaquer les escrocs, tant qu’on souligne bien qu’il s’agit de mensonges volontaires, intentionnels, pourquoi pas, quand cela peut résulter en un préjudice direct et significatif pour les personnes “escroquées”.
Je ne parle pas de refuser de recevoir du sang, je parle de refuser pour son enfant qu’il reçoive du sang.
Je ne dis pas que ce n’est pas un droit, je dis qu’il est défendable de dire que refuser des soins à son enfant sous des prétextes religieux, et non dans le but d’assurer les meilleurs soins possible pourrait être considéré comme de la négligence, et je m’en sers comme un exemple comme un autre.
Bien sûr, si tu refuses des soins pour toi-même, ça n’engage que toi (dans la limite de soins psychiatriques si tu poses un risque à l’ordre public)
Le
12/09/2016 à
09h
13
Je me suis un peu mal exprimé.
Personnellement, je m’en fous que le curé Jean-Charles du Poiteveau dise qu’il faudrait adopter la loi tu Talion et faire une ablation du coeur à ceux qui pratiquent la transfusion sanguine parce que c’est contre la parole de Dieu, ou que son voisin salafiste crie sous tous les toits qu’il faudrait balancer les homosexuels par la fenêtre ou qu’il faudrait mettre à mort ceux qui renient l’islam.
Sous certains aspects, oui, je dirais que les témoins de Jéhovah prônent des valeurs et commettent des agissements contraires aux “principes fondamentaux de la République” (ensemble de mots usuellement utilisé pour donner l’impression que tout le monde est d’accord avec ce qu’on va dire ensuite….)
En vrac: les agissements sectaires qui poussent à diminuer la liberté de culte (ou de non-culte) de leurs proches, les refus de certains types de traitement pour des raisons religieuses, ce qui peut être considéré comme de la négligence vis-à-vis de leurs enfants, ….
Le
12/09/2016 à
08h
54
Non.
Ça interdit tous ceux qui parlent d’un Dieu surpuissant qui les autoriserait à outrepasser la loi.
Ce sont deux choses différentes. Il y a quand même une différence entre un religieux qui va dire “À Rome, faites commes les romains, mais venez quand même prier collectivement dans la piscine trois fois par semaine si vous ne voulez pas vous retrouver en enfer après la fin”, et un religieux qui va dire “On s’en fout si la loi nous l’interdit, on va continuer à faire cinq fois le tour d’un stade en sniffant de la coke pour notre anniversaire comme Dieu nous l’a precrit”
Cela dit, la rédaction de ce texte est lacunaire. Autant je veux bien concéder que ceux qui poussent à contrevenir à la loi sous prétexte que la loi divine est supérieure à la loi des homme pose problème, autant ceux qui critiquent la loi pour des principes religieux, sans pour autant pousser à l’ignorer, ne me semblent qu’exprimer une opinion. Une opinion qui me semble débile, oui, et qui est contraire à plein de choses, mais une simple opinion.
Je sens que l’intention du texte est de viser le premier cas, mais que par accident ou à dessein, la rédaction est trop vague pour ne pas pouvoir inclure des instances du deuxième cas.
Encore une fois, je ne suis pas juriste, mais l’infraction en question, dans les deux cas, me semble être “communication à un public en ligne” d’un contenu illicite. Il me semble plus grave de contrefaire puis de faire la publicité de cette contrefaçon, que de simplement contrefaire, ou alors faire la publicité d’une contrefaçon…
Le
08/09/2016 à
13h
00
Je ne pense pas que le jugement balaye une quelconque incertitude juridique. Il se contente de fournir un cadre juridique dans lequel travailler. Je ne suis pas un expert, mais de ce que je comprends de la démarche, c’est un gars qui leur a demandé “hé au fait, comment qu’on peut poursuivre quelqu’un qui a posté un lien vers un contenu illégal?”, la cour a répondu “ouais alors si c’était à but non lucratif, il faut prouver que l’accusé avait connaissance du caractère illégal, si c’était à but lucratif, l’accusé devra prouver qu’il a fait attention mais a commis une bourde” ou quelque chose du genre. Sur le reste, comme toi au sujet de Google, on est libre d’avoir une opinion (et nos opinions convergent pas mal), mais pour l’instant, aucune certitude.
De même pour ta référence à la bonne foi: la bonne foi n’a de valeur que quand elle est définie dans un texte lié, sinon l’appel à la bonne fois ne fait que créer de l’incertitude. (ça ne peut pas être jugé à la tête du client)
Le
08/09/2016 à
12h
34
Je pense (encore une fois) qu’il y a un juste milieu.
Il faut des grandes lignes directrices, des zones “blanche” et “noire” qui ratissent large, avec une marge d’appréciation laissée au juge pour les zones grises.
Parce que ce n’est pas très simple d’exercer tes droits, de bosser ou d’innover, quand tu n’as pas au moins un minimum de certitudes juridiques.
Mais établir toute la dimension de ces droits/obligations était probablement hors sujet pour ces juges. (ce n’est pas une directive, juste un jugement)
Le
08/09/2016 à
12h
30
Oui et non.
Les moteurs de recherche ne sont pas à priori exclus du champ d’application de cette décision, mais ils ne sont pas non plus déclarés d’office illégaux. Le résultat de cette décision, c’est que si un ayant-droit attaque Google pour avoir “publié” un lien vers un contenu illicite, Google sera présumé comme ayant eu connaissance du caractère illicite dudit contenu, mais google peut prouver qu’il n’avait pas, en bonne foi, connaissance de l’illicéité de ces contenus. Le truc, c’est quil faudra probablement une bonne raison, car, comme le dit le texte, “il peut être attendu de l’auteur d’un tel placement qu’il réalise les vérifications nécessaires pour s’assurer que l’œuvre concernée n’est pas illégalement publiée sur le site auquel mènent lesdits liens hypertexte”.
Qu’est-ce qu’une bonne raison? On ne le sait pas.
Mais rien n’indique que l’utilisation de bots sera forcément une bonne raison. Rien n’indique non plus que ce sera forcément une mauvaise raison. On n’est donc simplement pas plus avancé sur ce point.
Le
08/09/2016 à
12h
24
Dans ton exemple, à aucun moment, le lien ne devient illégal.
La vidéo initiale est légale, et à aucun moment elle ne devient illégale, c’est juste que conformément à son contrat, le groupe décide de la retirer. Le lien devient donc plus ou moins directement mort (ça peut aller du 404 à “cette vidéo n’est plus disponible”). Or une page indiquant “le contenu que vous recherchez n’est pas disponible” n’a rien d’illégal ;)
Le
08/09/2016 à
12h
00
C’est pour ça que je donne l’exemple du repost.
Je pense (et rien ne dit que la CJUE est d’accord avec moi là-dessus, on n’en sait rien) qu’il est raisonnable d’attendre qu’un contenu youtube soit légal s’il est accessible, vu le climat répressif sur youtube* et les efforts de youtube pour se conformer à la volonté des ayant-droit [“ayant-droits” pour les Réformistes]. Mais si je fais ça, et on m’informe que le lien est devenu inaccessible suite à une plainte adressée à youtube, deux choses:
1- Le lien que j’ai posté n’est pas magiquement devenu illicite: il pointe vers une page ne contenant plus aucun contenu illicite
2- Si je vais chercher à le remplacer, il me semble raisonnable d’attendre de moi que je fasse gaffe à ce que je vais mettre à la place, et pas juste chercher n’importe quelle autre vidéo rehostée au pif.
*: notons bien que toutes les vidéos disponibles sur youtube ne sont pas nécessairement conformes au droit Européen. Youtube se conforme surtout à la législation US et au DMCA, et la notion de Fair Use n’a pas à ma connaissance d’équivalent strict en droit européen.
Le
08/09/2016 à
11h
54
C’est toute la question.
Cela étant, la culpabilité de celui qui poste le lien dépend entièrement des standards qui seront établis (par la jurisprudence européenne, probablement). Et c’est là que le coeur de la question se trouve. Pas sur le fait que quelqu’un qui gagne du fric en postant sciemment des liens vers des contenus illégaux ne devrait pas être poursuivi pour protéger la presse en ligne ou que sais-je. Il y a un juste milieu. Je ne dis pas qu’il est atteint, je dis qu’il n’est pas écarté, pas écarté du tout, même si je ne suis pas fan de la présomption de connaissance imposée au posteur dès qu’il gagne du fric.
Le
08/09/2016 à
10h
35
Nan mais bordel, arrêtez de parler du DDL, cette décision ne concerne pas du tout les sites de DDL " />
Par contre, elle concerne les sites où des utilisateurs postent des liens vers des sites de DDL, et là, c’est beaucoup plus complexe que ça.
Le
08/09/2016 à
10h
12
L’esprit de la décision, c’est simple: si tu postes un lien, et si ça te fait gagner du fric, alors il est raisonnable d’attendre de toi que tu aies fait les vérifications nécessaires pour savoir si ce lien était licite.
Maintenant, la rédaction de la décision dit que si tu es payé pour poster un lien, tu es présumé connaître la licéité de ce lien, mais tu peux toujours prouver que tu n’en avais pas connaissance.
Il y a plein d’inconnues ici. Bien sûr, les cas extrêmes sont probablement “tranquilles”. Mais dans plein de cas, qui sont dans une zone grise (par exemple les moteurs de recherche, où des bots, des serveurs et des algorithmes sont en charge de récolter et fournir les liens), on n’en sait rien. Il y a un flou juridique ici.
Le
08/09/2016 à
09h
31
Un site de DDL ne publie pas des liens. Il héberge des fichiers. (sauf s’il exerce un contrôle “éditorial” sur les fichiers qui sont publiés dessus, mais autant c’est un problème pour youtube&co, autant les hébergeurs de fichiers sont en général simplement des hébergeurs de fichiers, on ne peut pas parcourir les fichiers hébergés sur leur site…)
Donc non, les sites de DDL ne sont pas concernés par cela.
Le
08/09/2016 à
09h
29
Concernant les moteurs de recherche….
Ils ne sont pas nécessairement rendus illégaux par cette décision.
Paragraphe 51:
“Par ailleurs, lorsque le placement de liens hypertexte est effectué dans un but lucratif, il peut être attendu de l’auteur d’un tel placement qu’il réalise les vérifications nécessaires pour s’assurer que l’œuvre concernée n’est pas illégalement publiée sur le site auquel mènent lesdits liens hypertexte, de sorte qu’il y a lieu de présumer que ce placement est intervenu en pleine connaissance de la nature protégée de ladite œuvre et de l’absence éventuelle d’autorisation de publication sur Internet par le titulaire du droit d’auteur. Dans de telles circonstances, et pour autant que cette présomption réfragable ne soit pas renversée, l’acte consistant à placer un lien hypertexte vers une œuvre illégalement publiée sur Internet constitue une « communication au public », au sens de l’article 3, paragraphe 1, de la directive 2001⁄29. ”
En gros, le juge a considéré qu’on peut attendre de quelqu’un qui place un lien hypertexte dans un but lucratif qu’il ait fait au préalable les vérifications nécessaires. Mais cette présomption est toujours “réfragable”, ce qui veut dire qu’elle peut être “renversée” - ie l’acteur qui place le lien illégal peut toujours prouver qu’il n’avait pas connaissance du caractère illicite. Quand? Comment? Sur quelles bases? On ne le saura pas.
Mais pour les moteurs de recherche qui ne font que répertorier tout ce qu’ils trouvent, et les cas tordus du genre “j’ai publié un lien licite, puis la cible a changé vers un lien illicite” ou “le lien n’était pas présumé illicite pour une raison x ou y mais son statut a changé sans que je le sache”, rien n’exclut à priori qu’il leur soit possible de démontrer leur bonne foi.
“On peut attendre qu’ils aient fait les recherches” n’équivaut pas forcément à une obligation de résultat, ça peut simplement être une obligation de moyens, sans plus détails, ce sera pour le prochain jugement, j’imagine.
Mais ce n’est pas encore la fin des moteurs de recherche. En soi, la décision ne me paraît pas disproportionnée, mais elle manque de détails sur les limites de cette présomption.
Non. Tu seras toujours soumis à la politique du fabriquant de ton téléphone pour ça.
La nouveauté est que ton téléphone contient en fait 2 versions du système, très compressées, au lieu d’une seule version plus classique. Lorsque tu vas mettre à jour le téléphone, au lieu de redémarrer et d’installer la mise à jour sur la seule copie de l’OS disponible sur ton téléphone (et donc au lieu d’un téléphone inutilisable pendant la durée de la mise à jour), il va mettre à jour la 2e copie du système pendant que tu utilises ton téléphone normalement, et c’est seulement une fois la mise à jour terminée que tu dois redémarrer. Le téléphone doit alors simplement changer de fichiers et hop.
Ça n’améliore pas la disponibilité des mises à jour, mais ça améliore l’expérience de mise à jour.
Il n’y en a pas, c’est justement ce que je voulais dire, le fait qu’on ne paye pas directement le chauffeur n’est pas nécessairement un signe d’un lien de subordination ;)
Le
19/08/2016 à
16h
38
Même là, ça ne veut pas nécessairement dire grand chose. Sur Blablacar non plus, les passagers ne te payent pas directement. Suivant les circonstances, il y a une différence entre “se faire payer par le client, payer une rémunération” et “proposer un service de gestion électronique du payement pour faciliter les choses et prendre une commission”.
(je ne dis pas que Uber est dans le 2e cas, mais qu’il ne faut pas condamner Uber juste parce que l’argent passe par eux)
Le
19/08/2016 à
16h
35
C’est un facteur parmi d’autres.
Il y a quand même une différence entre les situations où
Le chauffeur dit à Uber: “je suis dispo”. Le client dit “Je veux aller de là à là, à telle heure”. Uber dit au chauffeur “OK, tu vas là à telle heure, tu prends le client, pour tel prix”
Le chauffeur dit à Blablacar (similaire à eBay): “Je vais de là à là, à telle heure, je prends des passagers pour tel prix”. Le client cherche un trajet sur Blablacar, et Blablacar lui dit “tel chauffeur va de là à là, à telle heure, pour tel prix”. Le client dit à Blablacar “je voudrais bien y aller”. Blablacar dit au chauffeur “Machin veut vous joindre”. Le chauffeur dit à Blablacar “OK, j’accepte”.
C’est très très différent, et les prix sont différents aussi. " />
Avec les prix proposés par défaut sur Blablacar quand tu proposes 3 places, il faut prendre environ 2 à 2.5 passagers pour ne serait-ce que rentrer dans tes frais “directs” (péage, essence, je ne parle pas d’amortir le véhicule ou de payer son assurance et son entretien).
Tu imagines bien l’avenir d’Uber si c’était les mêmes prix " />
Pas d’ordonnance à ma connaissance, ce système couvre uniquement les médicaments vendus sans ordonnance. Même si c’est une ordonnance pour un médicament sans ordonnance, tu es obligé de passer par une pharmacie physique pour pouvoir prétendre au remboursement ensuite.
Pour la localisation du client, bah… Tout ça devait déjà être réglé avant (là c’est juste une mise à jour de la règlementation), tu penses bien qu’ils ont pensé à bien réserver ça aux achats faits en France longtemps avant même d’avoir commencé à écrire leur machin. ;)
Le
11/08/2016 à
14h
44
Bah je vois pas en quoi c’est maladroit, c’est clairement “la recherche de [référencement blablabla] contre rémunération” qui est interdite.
Théoriquement ils peuvent même du coup payer des consultants en optimisation de référencement pour générer automatiquement un texte du genre “booba françois hollande actualité jeux olympiques sexe sexy people doctissimo malade médicament” à rajouter à la fin de la page pour que les gens les trouvent facilement " />
Le
11/08/2016 à
13h
15
L’idée de la vente de médicaments en ligne, ce n’est pas de remplacer les pharmacies “en dur”.
L’idée principale, c’est de permettre à des gens qui ont des difficultés pour accéder à une pharmacie (soit parce qu’ils vivent dans une zone trop mal desservie, soit parce qu’ils ne peuvent y aller physiquement) de se procurer plus simplement des médicaments sans ordonnance.
Dans ce contexte, les limites sur les aspects “marketing” de la pharmacie en ligne ont un peu de sens. Il est assez probable que le public cible sera informé de ces possibilités par leur médecin ou leur pharmacien.
Quand on clique sur le “i” à côté de “Next INpact”, la description commence par “C’est en juillet 2000 que le site INpact Hardware fût créé par Christophe Neau”.
Je pense que le service est infecté par un malware mal intentionné qui s’amuse à disséminer au hasard des accents circonflexes sur les verbes là où il ne faut pas " />
Microsoft a un peu lutté avec les manettes de xbox one…
cf ce bug, qui a duré quelques mois, où éteindre la manette sans fil crashait complètement le PC, à moins de désactiver l’adaptateur sans fil dans le gestionnaire de périphériques avant…
Par contre je n’ai jamais eu les problèmes cités dans cet article, des exemples de jeux qui, par exemple, ne reconnaissent pas les manettes en sans fil? " />
537 commentaires
En Chine, Nokia revient sur le marché des smartphones avec le Nokia 6 sous Android 7
09/01/2017
Le 09/01/2017 à 11h 06
J’espère qu’il a une finition dorée à l’or fin, parce qu’un snapdragon 430 à 280€, wow.
Predator 21 X Gaming : le « portable » de 21″ avec deux GTX 1080 s’annonce à 9 999 €
09/01/2017
Le 09/01/2017 à 08h 57
Ils ont dû considérer qu’un machin comme ça est surtout un transportable, donc sera plus que probablement utilisé avec une souris (probablement un modèle gamer…)
Le touchpad est là comme une galette dans une voiture.
Le 09/01/2017 à 08h 56
La moitié vide sur le châssis est là parce qu’il y a plein de place inutile pour les clavier/touchpad (vu qu’à priori il est considéré que le clavier mécanique est mieux tout à l’avant du bouzin). Par contre, le triangle recouvre le “caisson de basses” des hauts-parleurs du PC.
200 euros de redevance copie privée sur les futures clés USB de 2 To
06/01/2017
Le 06/01/2017 à 15h 46
Bientôt les paquets neutres pour les clefs USB, avec inscrit dessus “COPIER TUE”? " />
Le 06/01/2017 à 15h 45
La question: sur les disques durs, OK, on a compris le calcul. Mais sur les clefs USB….
2To, ce sera 200€ (0.10 1000) de redevance ou 204.8€ (0.10 1024)? " />
À Las Vegas, Intel mise tout sur la réalité virtuelle : raté ?
05/01/2017
Le 05/01/2017 à 13h 04
Il est proche, mais il est encore un peu trop lent pour arriver aussi rapidement " />
AMD dévoile de premières cartes mères AM4, LDLC partenaire du lancement de Ryzen
05/01/2017
Le 05/01/2017 à 11h 57
A l’époque, en gros et en moyenne, le plus gros pentium D (à 3.6 GHz) arrivait à grande peine à titiller le plus petit core 2 duo (1.83 GHz).
Et oui et non… Au début, la progression se faisait rarement sur la fréquence seule. Le contexte était différent certes, mais comme tu le pointes, l’ajout de caches, le perfectionnement des caches, les unités de calcul disponibles et leur efficacité (notamment la FPU à l’époque des DX/SX), la manière dont les opérations 16/32/64/… bits étaient gérées, etc. importaient énormément aussi. Jusqu’aux débuts du Pentium 4, toutes les architecture Intel (par exemple) progressaient par la montée en fréquence, certes, mais aussi et surtout par la montée en efficacité/ “IPC”.
Sinon, à chaque fois qu’une architecture se trouvait “bloquée” en efficacité, et reposait principalement sur la montée en fréquence pour progresser en performance, ça a été un cul-de-sac. Les premiers pentium 4 (willamette), très décevants; les derniers pentium 4 (Prescott/Smithfield/Cedar Mill/Presler), qui ont été une bouse immense. Mais aussi les derniers K8 (Athlon 64/X2 AM2), et Bulldozer/Vishera.
Cela ne change effectivement rien au problème: il n’est pas simple de faire un truc plus efficace sans mettre plus de transistors à l’intérieur.
Le 05/01/2017 à 11h 06
cf. le dernier CPC hardware. Leurs annonces ne sont pas complètement déconnantes, vis-à-vis des ES en circulation en tout cas.
Le 05/01/2017 à 11h 06
Non, c’est des perfs semblables aux 6700k/6800k maximum " />
Le 05/01/2017 à 10h 57
Les premiers ES de Ryzen annoncent des perfs qui peuvent potentiellement atteindre les perfs des i7-6x00 si AMD arrive à atteindre des fréquences égales/légèrement supérieures. C’est un peu différent quand même.
Mais mais comme ça, ça semble assez sexy " />
Le 05/01/2017 à 10h 43
Pas pour toutes les générations, non. " />
Au contraire, quand une gamme de CPUs commence à ne plus progresser que par la monter en fréquence, c’est là que ça sent le roussi pour l’architecture elle-même.
Mais les plus grandes progressions de génération à génération se sont faites quand les performances étaient meilleures à fréquence inférieure. L’exemple le plus caricatural serait le passage de netburst (pentium 4/D) à Conroe (core 2 duo/quad)
Honor 6x : un smartphone de 5,5″ avec deux capteurs optiques à l’arrière, dès 249 euros
04/01/2017
Le 04/01/2017 à 11h 10
Il faut voir les coeurs CPU/GPU intégrés au SoC.
Pour rappel, il y a principalement deux “coeurs” CPU utilisés actuellement: le cortex A53 (bas de gamme, low power) et le cortex A72 (haut de gamme, meilleure perf à fréquence égale, consomme plus). On rencontrera parfois le cortex A57 (prédécesseur du A72, consomme beaucoup), et le coeur Kryo (coeur custom développé par Qualcomm pour son haut de gamme, un peu au-dessus du A72 en performance)
Le P9 intègre un Kirin 955 (4xCortex A72 + 4xCortex A53). Celui-ci intégrera un Kirin 655 (4xCortex A53 haute fréquence + 4x Cortex A53 basse fréquence).
Niveau performances CPU, il faut s’attendre à un truc similaire au honor 5x (pas de grosse évolution là-dessus), c’est-à-dire un truc correct, mais pas fou. On est au niveau d’un snapdragon 625, potentiellement au niveau d’un snapdragon 650⁄808 suivant les tâches (le 650, celui du redmi note 3 pro, a 2xCortex A72, 4xCortex A53), très en-dessous pour les tâches demandant de fortes perfs en monothread. On est loin en-dessous d’un snapdragon 655 (4xCortex A72, 4xCortex A53). Et probablement en-dessous voir chatouillant un snapdragon 820 (2xKryo haute fréquence, 2xKryo basse fréquence) en tâches multithreadées, et très largement en-dessous d’un snapdragon 820 en tâches peu threadées.
(Je n’ai volontairement pas parlé du snapdragon 810 - 4xCortex A57, 4x Cortex A53 - au vu de ses problèmes récurrents de throttling, mais en théorie niveau CPU le 810 est équivalent voire inférieur à un snapdragon 655)
LastPass rend gratuite la synchronisation entre tous les appareils
02/11/2016
Le 02/11/2016 à 16h 31
On ne leur file pas les mots de passe. On leur file un gloubiboulga chiffré dont ils n’ont pas la clef. Tout ce qu’ils font est nous fournir des serveurs et apps pour qu’on puisse synchroniser ça entre les différentes machines qui veulent s’en servir.
Le 02/11/2016 à 16h 03
Franchement, ils font ce qu’ils veulent, tant que c’est dans l’intérêt des utilisateurs, je ne vois pas le problème.
Et rendre gratuite une fonctionnalité, je ne vois pas en quoi ça dessert l’utilisateur… (À part si ça fait couler la boîte " /> )
Le 02/11/2016 à 16h 00
Rien que pour la libération des pubs, je pense que je conserverai l’abonnement.
C’est pas cher, et le support technique prioritaire me rassure en cas de pépin.
J’essaye de soutenir systématiquement les développeurs des apps avec pubs que j’utilise quotidiennement (c’est donnant-donnant..), et c’est très frustrant quand on ne peut pas le faire (musixmatch, si je t’attrape….)
Le « droit au maintien de la connexion à Internet » prendra son envol en 2017
24/10/2016
Le 24/10/2016 à 12h 59
Oui, mais mon commentaire était sur le fair use.
Le 24/10/2016 à 11h 41
Tu passes à côté du problème principal: je ne parle pas de “gros consommateurs” en termes de débits. Je parle de gros consommateurs en termes de données consommées. La différence de coût entre quelqu’un qui ne fait que des mails et quelqu’un qui télécharge 3 To d’ISO linux est minimale pour l’opérateur. Et je parle bien de facturation “artificielle”: elle ne se repose pas vraiment sur quelque chose de solide.
Le 24/10/2016 à 10h 16
Un accès fixe avec fair use, ce serait déconnant, oui. Sur les connexions fixes, un fair use ne permet pas de faire des prix plus “justes”. Il permet juste d’augmenter le revenu par tête de manière complètement artificielle sur les gros consommateurs. L’immense majorité des coûts, dans l’immense majorité des cas, est constituée du coût du raccordement et du maintien du lien.
Si on faisait des offres à fair use très bas et à bas prix, cela reviendrait exactement au même: une offre à prix “sponsorisé” par le FAI, c’est-à-dire les autres utilisateurs ou l’État. Sauf qu’au lieu de coûter 15€ au contribuable pour fournir un accès normal à la personne en question, ça coûterait 14.99999999€ pour lui fournir un accès ultra limité.
Le 24/10/2016 à 08h 59
De la 4G à moins de 10€ par mois?
Peut-être avec une offre promotionnelle.
Et même avec une offre promotionnelle, tu te retrouves au mieux avec quelques Go de fair use. Pas vraiment de quoi en faire ta connexion principale.
Le 24/10/2016 à 08h 57
Ces offres existent déjà. Pas à 5/10€ (parce que ce n’est simplement pas viable, hors offres promotionnelles).
C’est plus 25 € (internet pourri seul)/ 35€ (triple play)/40€ (fibre triple play)/50-55€ (quadruple play avec abonnement téléphonique)
Switch : Nintendo dévoile sa nouvelle console, avec une puce Tegra de NVIDIA
20/10/2016
Le 20/10/2016 à 16h 32
OP utilisait cette affirmation de manière sarcastique. Cela dit, les yeux ne sont pas limités à 24 FPS, parler de FPS n’a pas vraiment de sens pour les yeux. C’est une erreur communément commise parce qu’une succession rapide de photos à 24 FPS, avec des flous savamment calculés, donne une illusion de mouvement à peu près fluide (le simple scandale des films en HDR suffit à prouver qu’effectivement avoir plus de 24 FPS fait une grosse différence)
Le 20/10/2016 à 16h 02
Oui mais ce qui a l’air correct sur un écran de 6” - 9”, même full HD, peut paraître dégueulasse sur un écran quatre, huit ou seize fois plus grand.
Sur l’écran plus petit, tu peux utiliser différentes astuces pour que l’écran t’apporte un gain (par rapport à un écran de même taille et de résolution inférieure), sans pour autant avoir besoin de la même puissance que si tu travaillais à fond pour la résolution native de l’écran. (upsampling, …).
Je m’en rends compte tous les jours: lorsque je suis hors wifi, et je regarde une vidéo sur youtube (sur mon téléphone 5.5”), je me limite généralement à du 480p, ce qui est un compromis qui me semble correct. Pourtant, sur mon PC (écran 24”), en-dessous du 720p, tout me semble dégueulasse. Bien sûr, je peux voir la différence entre du 480p et du 1080p sur l’écran de mon téléphone, mais ça n’a rien à voir avec la différence que je constate entre ces résolutions sur un écran plus grand.
Le 20/10/2016 à 15h 44
Oui, et le geforce 4 était… Un geforce 3 modifié (quelques mises à jour, mais pas énormément) ;)
Le 20/10/2016 à 15h 39
La première Xbox avait un geforce 3 modifié en guise de GPU ;)
Cela dit (et cela reste à confirmer, d’ailleurs), ce sera potentiellement la première console avec un CPU nvidia.
(Première et seule console avec un CPU Intel: la Xbox, et avec un CPU AMD: les PS4/Xbox1)
ExoMars : l’atterrissage de Schiaparelli s’est déroulé suivant le plan… jusqu’à un certain point
20/10/2016
Le 20/10/2016 à 12h 18
Philae: un atterrisseur prévu pour se poser sur une surface dont on ignore beaucoup de choses, particulièrement les propriétés mécaniques du milieu (Ce sera dur? Cassant? Granuleux? Rebondissant comme du caoutchouc? ), pour une première historique.
Schiaparelli: un module expérimental, dédié à tester une technique d’atterrissage encore jamais expérimentée.
Dans les deux cas, il y a des dangers particuliers impossibles à prendre totalement en compte, et un des buts principaux de la mission est d’obtenir des informations sur l’atterrissage en lui-même. Schiaparelli n’était même pas censé faire grand chose après son “amarsissage”. Donc bon.
Parfois, tu n’as pas d’autre choix que de lancer tes nouilles au plafond pour voir si elles collent.
Le gouvernement introduit un délit d’entrave numérique à l’IVG
28/09/2016
Le 28/09/2016 à 12h 21
Cette loi est un peu bâtarde.
Elle interdit spécifiquement les allégations faussées destinées à induire intentionnellement en erreur.
C’est-à-dire que cette loi n’interdit pas de croire qu’un petit chaton meurt à chaque fois que le mot “IVG” est prononcé. Elle interdit de dire qu’un petit chaton meurt alors qu’on sait pertinemment que ce n’est pas le cas.
Elle s’attaque aux “escrocs intellectuels”, pas aux opposants.
Alors, certes, au sens le plus strict, c’est une atteinte à la liberté d’expression. Mais il y a certaines atteintes à la liberté d’expression qui sont tolérables, particulièrement quand on traite des menaces ou des manipulations qui ont des conséquences graves pour certaines personnes. Je suis opposé à toute atteinte à la liberté d’expression “sincère” (je pense qu’il faudrait laisser les négationnistes sincères parler, ne serait-ce que pour se foutre de leur gueule). Mais pour ce qui est d’attaquer les escrocs, tant qu’on souligne bien qu’il s’agit de mensonges volontaires, intentionnels, pourquoi pas, quand cela peut résulter en un préjudice direct et significatif pour les personnes “escroquées”.
Délit de consultation, blocage de sites : comment des élus LR veulent punir la « prédication subversive »
12/09/2016
Le 12/09/2016 à 12h 29
Je ne parle pas de refuser de recevoir du sang, je parle de refuser pour son enfant qu’il reçoive du sang.
Je ne dis pas que ce n’est pas un droit, je dis qu’il est défendable de dire que refuser des soins à son enfant sous des prétextes religieux, et non dans le but d’assurer les meilleurs soins possible pourrait être considéré comme de la négligence, et je m’en sers comme un exemple comme un autre.
Bien sûr, si tu refuses des soins pour toi-même, ça n’engage que toi (dans la limite de soins psychiatriques si tu poses un risque à l’ordre public)
Le 12/09/2016 à 09h 13
Je me suis un peu mal exprimé.
Personnellement, je m’en fous que le curé Jean-Charles du Poiteveau dise qu’il faudrait adopter la loi tu Talion et faire une ablation du coeur à ceux qui pratiquent la transfusion sanguine parce que c’est contre la parole de Dieu, ou que son voisin salafiste crie sous tous les toits qu’il faudrait balancer les homosexuels par la fenêtre ou qu’il faudrait mettre à mort ceux qui renient l’islam.
La limite est entre quelqu’un qui va prôner quelque chose contraire aux “Valeurs Républicaines ©”, et quelqu’un qui va dire que ce serait bien que la loi change. Dans le premier cas, c’est un discours poussant à agir en criminel. Dans le deuxième cas, c’est une opinion, débile peut-être, mais qui ne pousse pas à l’acte.
Le 12/09/2016 à 09h 08
Sous certains aspects, oui, je dirais que les témoins de Jéhovah prônent des valeurs et commettent des agissements contraires aux “principes fondamentaux de la République” (ensemble de mots usuellement utilisé pour donner l’impression que tout le monde est d’accord avec ce qu’on va dire ensuite….)
En vrac: les agissements sectaires qui poussent à diminuer la liberté de culte (ou de non-culte) de leurs proches, les refus de certains types de traitement pour des raisons religieuses, ce qui peut être considéré comme de la négligence vis-à-vis de leurs enfants, ….
Le 12/09/2016 à 08h 54
Non.
Ça interdit tous ceux qui parlent d’un Dieu surpuissant qui les autoriserait à outrepasser la loi.
Ce sont deux choses différentes. Il y a quand même une différence entre un religieux qui va dire “À Rome, faites commes les romains, mais venez quand même prier collectivement dans la piscine trois fois par semaine si vous ne voulez pas vous retrouver en enfer après la fin”, et un religieux qui va dire “On s’en fout si la loi nous l’interdit, on va continuer à faire cinq fois le tour d’un stade en sniffant de la coke pour notre anniversaire comme Dieu nous l’a precrit”
Cela dit, la rédaction de ce texte est lacunaire. Autant je veux bien concéder que ceux qui poussent à contrevenir à la loi sous prétexte que la loi divine est supérieure à la loi des homme pose problème, autant ceux qui critiquent la loi pour des principes religieux, sans pour autant pousser à l’ignorer, ne me semblent qu’exprimer une opinion. Une opinion qui me semble débile, oui, et qui est contraire à plein de choses, mais une simple opinion.
Je sens que l’intention du texte est de viser le premier cas, mais que par accident ou à dessein, la rédaction est trop vague pour ne pas pouvoir inclure des instances du deuxième cas.
La CJUE juge qu’un lien vers un contenu illégal peut être illégal
08/09/2016
Le 08/09/2016 à 13h 55
Encore une fois, je ne suis pas juriste, mais l’infraction en question, dans les deux cas, me semble être “communication à un public en ligne” d’un contenu illicite. Il me semble plus grave de contrefaire puis de faire la publicité de cette contrefaçon, que de simplement contrefaire, ou alors faire la publicité d’une contrefaçon…
Le 08/09/2016 à 13h 00
Je ne pense pas que le jugement balaye une quelconque incertitude juridique. Il se contente de fournir un cadre juridique dans lequel travailler. Je ne suis pas un expert, mais de ce que je comprends de la démarche, c’est un gars qui leur a demandé “hé au fait, comment qu’on peut poursuivre quelqu’un qui a posté un lien vers un contenu illégal?”, la cour a répondu “ouais alors si c’était à but non lucratif, il faut prouver que l’accusé avait connaissance du caractère illégal, si c’était à but lucratif, l’accusé devra prouver qu’il a fait attention mais a commis une bourde” ou quelque chose du genre. Sur le reste, comme toi au sujet de Google, on est libre d’avoir une opinion (et nos opinions convergent pas mal), mais pour l’instant, aucune certitude.
De même pour ta référence à la bonne foi: la bonne foi n’a de valeur que quand elle est définie dans un texte lié, sinon l’appel à la bonne fois ne fait que créer de l’incertitude. (ça ne peut pas être jugé à la tête du client)
Le 08/09/2016 à 12h 34
Je pense (encore une fois) qu’il y a un juste milieu.
Il faut des grandes lignes directrices, des zones “blanche” et “noire” qui ratissent large, avec une marge d’appréciation laissée au juge pour les zones grises.
Parce que ce n’est pas très simple d’exercer tes droits, de bosser ou d’innover, quand tu n’as pas au moins un minimum de certitudes juridiques.
Mais établir toute la dimension de ces droits/obligations était probablement hors sujet pour ces juges. (ce n’est pas une directive, juste un jugement)
Le 08/09/2016 à 12h 30
Oui et non.
Les moteurs de recherche ne sont pas à priori exclus du champ d’application de cette décision, mais ils ne sont pas non plus déclarés d’office illégaux. Le résultat de cette décision, c’est que si un ayant-droit attaque Google pour avoir “publié” un lien vers un contenu illicite, Google sera présumé comme ayant eu connaissance du caractère illicite dudit contenu, mais google peut prouver qu’il n’avait pas, en bonne foi, connaissance de l’illicéité de ces contenus. Le truc, c’est quil faudra probablement une bonne raison, car, comme le dit le texte, “il peut être attendu de l’auteur d’un tel placement qu’il réalise les vérifications nécessaires pour s’assurer que l’œuvre concernée n’est pas illégalement publiée sur le site auquel mènent lesdits liens hypertexte”.
Qu’est-ce qu’une bonne raison? On ne le sait pas.
Mais rien n’indique que l’utilisation de bots sera forcément une bonne raison. Rien n’indique non plus que ce sera forcément une mauvaise raison. On n’est donc simplement pas plus avancé sur ce point.
Le 08/09/2016 à 12h 24
Dans ton exemple, à aucun moment, le lien ne devient illégal.
La vidéo initiale est légale, et à aucun moment elle ne devient illégale, c’est juste que conformément à son contrat, le groupe décide de la retirer. Le lien devient donc plus ou moins directement mort (ça peut aller du 404 à “cette vidéo n’est plus disponible”). Or une page indiquant “le contenu que vous recherchez n’est pas disponible” n’a rien d’illégal ;)
Le 08/09/2016 à 12h 00
C’est pour ça que je donne l’exemple du repost.
Je pense (et rien ne dit que la CJUE est d’accord avec moi là-dessus, on n’en sait rien) qu’il est raisonnable d’attendre qu’un contenu youtube soit légal s’il est accessible, vu le climat répressif sur youtube* et les efforts de youtube pour se conformer à la volonté des ayant-droit [“ayant-droits” pour les Réformistes]. Mais si je fais ça, et on m’informe que le lien est devenu inaccessible suite à une plainte adressée à youtube, deux choses:
1- Le lien que j’ai posté n’est pas magiquement devenu illicite: il pointe vers une page ne contenant plus aucun contenu illicite
2- Si je vais chercher à le remplacer, il me semble raisonnable d’attendre de moi que je fasse gaffe à ce que je vais mettre à la place, et pas juste chercher n’importe quelle autre vidéo rehostée au pif.
*: notons bien que toutes les vidéos disponibles sur youtube ne sont pas nécessairement conformes au droit Européen. Youtube se conforme surtout à la législation US et au DMCA, et la notion de Fair Use n’a pas à ma connaissance d’équivalent strict en droit européen.
Le 08/09/2016 à 11h 54
C’est toute la question.
Cela étant, la culpabilité de celui qui poste le lien dépend entièrement des standards qui seront établis (par la jurisprudence européenne, probablement). Et c’est là que le coeur de la question se trouve. Pas sur le fait que quelqu’un qui gagne du fric en postant sciemment des liens vers des contenus illégaux ne devrait pas être poursuivi pour protéger la presse en ligne ou que sais-je. Il y a un juste milieu. Je ne dis pas qu’il est atteint, je dis qu’il n’est pas écarté, pas écarté du tout, même si je ne suis pas fan de la présomption de connaissance imposée au posteur dès qu’il gagne du fric.
Le 08/09/2016 à 10h 35
Nan mais bordel, arrêtez de parler du DDL, cette décision ne concerne pas du tout les sites de DDL " />
Par contre, elle concerne les sites où des utilisateurs postent des liens vers des sites de DDL, et là, c’est beaucoup plus complexe que ça.
Le 08/09/2016 à 10h 12
L’esprit de la décision, c’est simple: si tu postes un lien, et si ça te fait gagner du fric, alors il est raisonnable d’attendre de toi que tu aies fait les vérifications nécessaires pour savoir si ce lien était licite.
Maintenant, la rédaction de la décision dit que si tu es payé pour poster un lien, tu es présumé connaître la licéité de ce lien, mais tu peux toujours prouver que tu n’en avais pas connaissance.
Il y a plein d’inconnues ici. Bien sûr, les cas extrêmes sont probablement “tranquilles”. Mais dans plein de cas, qui sont dans une zone grise (par exemple les moteurs de recherche, où des bots, des serveurs et des algorithmes sont en charge de récolter et fournir les liens), on n’en sait rien. Il y a un flou juridique ici.
Le 08/09/2016 à 09h 31
Un site de DDL ne publie pas des liens. Il héberge des fichiers. (sauf s’il exerce un contrôle “éditorial” sur les fichiers qui sont publiés dessus, mais autant c’est un problème pour youtube&co, autant les hébergeurs de fichiers sont en général simplement des hébergeurs de fichiers, on ne peut pas parcourir les fichiers hébergés sur leur site…)
Donc non, les sites de DDL ne sont pas concernés par cela.
Le 08/09/2016 à 09h 29
Concernant les moteurs de recherche….
Ils ne sont pas nécessairement rendus illégaux par cette décision.
Paragraphe 51:
“Par ailleurs, lorsque le placement de liens hypertexte est effectué dans un but lucratif, il peut être attendu de l’auteur d’un tel placement qu’il réalise les vérifications nécessaires pour s’assurer que l’œuvre concernée n’est pas illégalement publiée sur le site auquel mènent lesdits liens hypertexte, de sorte qu’il y a lieu de présumer que ce placement est intervenu en pleine connaissance de la nature protégée de ladite œuvre et de l’absence éventuelle d’autorisation de publication sur Internet par le titulaire du droit d’auteur. Dans de telles circonstances, et pour autant que cette présomption réfragable ne soit pas renversée, l’acte consistant à placer un lien hypertexte vers une œuvre illégalement publiée sur Internet constitue une « communication au public », au sens de l’article 3, paragraphe 1, de la directive 2001⁄29. ”
En gros, le juge a considéré qu’on peut attendre de quelqu’un qui place un lien hypertexte dans un but lucratif qu’il ait fait au préalable les vérifications nécessaires. Mais cette présomption est toujours “réfragable”, ce qui veut dire qu’elle peut être “renversée” - ie l’acteur qui place le lien illégal peut toujours prouver qu’il n’avait pas connaissance du caractère illicite. Quand? Comment? Sur quelles bases? On ne le saura pas.
Mais pour les moteurs de recherche qui ne font que répertorier tout ce qu’ils trouvent, et les cas tordus du genre “j’ai publié un lien licite, puis la cible a changé vers un lien illicite” ou “le lien n’était pas présumé illicite pour une raison x ou y mais son statut a changé sans que je le sache”, rien n’exclut à priori qu’il leur soit possible de démontrer leur bonne foi.
“On peut attendre qu’ils aient fait les recherches” n’équivaut pas forcément à une obligation de résultat, ça peut simplement être une obligation de moyens, sans plus détails, ce sera pour le prochain jugement, j’imagine.
Mais ce n’est pas encore la fin des moteurs de recherche. En soi, la décision ne me paraît pas disproportionnée, mais elle manque de détails sur les limites de cette présomption.
Android 7.0 (Nougat) est disponible pour certains appareils
23/08/2016
Le 23/08/2016 à 11h 51
Non. Tu seras toujours soumis à la politique du fabriquant de ton téléphone pour ça.
La nouveauté est que ton téléphone contient en fait 2 versions du système, très compressées, au lieu d’une seule version plus classique. Lorsque tu vas mettre à jour le téléphone, au lieu de redémarrer et d’installer la mise à jour sur la seule copie de l’OS disponible sur ton téléphone (et donc au lieu d’un téléphone inutilisable pendant la durée de la mise à jour), il va mettre à jour la 2e copie du système pendant que tu utilises ton téléphone normalement, et c’est seulement une fois la mise à jour terminée que tu dois redémarrer. Le téléphone doit alors simplement changer de fichiers et hop.
Ça n’améliore pas la disponibilité des mises à jour, mais ça améliore l’expérience de mise à jour.
Uber : la justice américaine invalide le projet d’accord sur le statut des chauffeurs
19/08/2016
Le 22/08/2016 à 07h 34
Il n’y en a pas, c’est justement ce que je voulais dire, le fait qu’on ne paye pas directement le chauffeur n’est pas nécessairement un signe d’un lien de subordination ;)
Le 19/08/2016 à 16h 38
Même là, ça ne veut pas nécessairement dire grand chose. Sur Blablacar non plus, les passagers ne te payent pas directement. Suivant les circonstances, il y a une différence entre “se faire payer par le client, payer une rémunération” et “proposer un service de gestion électronique du payement pour faciliter les choses et prendre une commission”.
(je ne dis pas que Uber est dans le 2e cas, mais qu’il ne faut pas condamner Uber juste parce que l’argent passe par eux)
Le 19/08/2016 à 16h 35
C’est un facteur parmi d’autres.
Il y a quand même une différence entre les situations où
C’est très très différent, et les prix sont différents aussi. " />
Avec les prix proposés par défaut sur Blablacar quand tu proposes 3 places, il faut prendre environ 2 à 2.5 passagers pour ne serait-ce que rentrer dans tes frais “directs” (péage, essence, je ne parle pas d’amortir le véhicule ou de payer son assurance et son entretien).
Tu imagines bien l’avenir d’Uber si c’était les mêmes prix " />
Vente de médicaments sur Internet : bientôt de nouvelles règles
11/08/2016
Le 11/08/2016 à 14h 47
Pas d’ordonnance à ma connaissance, ce système couvre uniquement les médicaments vendus sans ordonnance. Même si c’est une ordonnance pour un médicament sans ordonnance, tu es obligé de passer par une pharmacie physique pour pouvoir prétendre au remboursement ensuite.
Pour la localisation du client, bah… Tout ça devait déjà être réglé avant (là c’est juste une mise à jour de la règlementation), tu penses bien qu’ils ont pensé à bien réserver ça aux achats faits en France longtemps avant même d’avoir commencé à écrire leur machin. ;)
Le 11/08/2016 à 14h 44
Bah je vois pas en quoi c’est maladroit, c’est clairement “la recherche de [référencement blablabla] contre rémunération” qui est interdite.
Théoriquement ils peuvent même du coup payer des consultants en optimisation de référencement pour générer automatiquement un texte du genre “booba françois hollande actualité jeux olympiques sexe sexy people doctissimo malade médicament” à rajouter à la fin de la page pour que les gens les trouvent facilement " />
Le 11/08/2016 à 13h 15
L’idée de la vente de médicaments en ligne, ce n’est pas de remplacer les pharmacies “en dur”.
L’idée principale, c’est de permettre à des gens qui ont des difficultés pour accéder à une pharmacie (soit parce qu’ils vivent dans une zone trop mal desservie, soit parce qu’ils ne peuvent y aller physiquement) de se procurer plus simplement des médicaments sans ordonnance.
Dans ce contexte, les limites sur les aspects “marketing” de la pharmacie en ligne ont un peu de sens. Il est assez probable que le public cible sera informé de ces possibilités par leur médecin ou leur pharmacien.
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23/08/2016
Le 09/08/2016 à 13h 05
Il y a un bug assez critique, je pense.
Quand on clique sur le “i” à côté de “Next INpact”, la description commence par “C’est en juillet 2000 que le site INpact Hardware fût créé par Christophe Neau”.
Je pense que le service est infecté par un malware mal intentionné qui s’amuse à disséminer au hasard des accents circonflexes sur les verbes là où il ne faut pas " />
La nouvelle manette Xbox One souffre sous Windows 10
08/08/2016
Le 08/08/2016 à 07h 58
Microsoft a un peu lutté avec les manettes de xbox one…
cf ce bug, qui a duré quelques mois, où éteindre la manette sans fil crashait complètement le PC, à moins de désactiver l’adaptateur sans fil dans le gestionnaire de périphériques avant…
Par contre je n’ai jamais eu les problèmes cités dans cet article, des exemples de jeux qui, par exemple, ne reconnaissent pas les manettes en sans fil? " />