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Des applications de rencontre prépareraient un recours massif à l’IA

Le 03 janvier à 09h06

Selon The Guardian, Match Group, éditeur notamment de Tinder et Hinge, se préparerait à une arrivée massive de l’intelligence artificielle dans ses applications. Au Royaume-Uni, les services de rencontre sont en perte de vitesse et l’IA serait perçue comme un bon moyen d’attirer à nouveau l’œil du public.

L’IA serait exploitée sous forme d’un assistant intervenant à de nombreuses étapes. Par exemple, guider l’utilisateur ou l’utilisatrice dans le choix des photos qui auront le plus de chance de fonctionner. Recommandations sur les messages, les informations à afficher dans sa présentation et jusqu’aux conseils sur le choix du ou de la partenaire semblent au programme.

Toujours selon nos confrères, la solution imaginée par Match Group – qui compte augmenter ses investissements dans l’IA cette année – passe par un entretien avec l’assistant après la création du compte. Il serait alors possible de décrire ce que l’on attend d’une rencontre ou encore ses intérêts. L’assistant pourrait même se muer en « coach » pour les personnes en difficulté, avec des conseils sur ce qui pourrait être amélioré sur le profil.

Yogas Design pour Unsplash

« Cette technologie est révolutionnaire pour les rencontres et nous la mettons en œuvre dans l'ensemble de notre portefeuille. J'envisage que l'IA soit présente tout au long de l'expérience, influençant tout, de la création du profil à la mise en relation, littéralement tout », a déclaré Bernard Kim, directeur général de Match Group, à des investisseurs en décembre.

Des risques existent cependant à divers degrés. D’abord sur la quantité de données personnelles que les applications pourraient absorber et leur traitement. Sur ce point, Faye Iosotaluno, directrice générale de Tinder, a déclaré adopter une « démarche prudente », tout en restant « déterminée » à faire entrer l’IA dans le quotidien.

Autre problème, souligné par la chercheuse Anastasiia Babash (université de Tartu, Estonie), la dépendance. « Les utilisateurs qui font appel à l'IA dans leur vie amoureuse risquent d'être plus dépendants de la technologie et de voir leur pouvoir personnel diminuer. Si les gens commencent à se fier à l'IA pour gérer leurs conversations avec des rencontres potentielles, ils risquent de perdre la capacité de s'engager dans des conversations réelles et spontanées et, en fin de compte, d'avoir plus de mal à établir des liens authentiques », a-t-elle averti.

Le 03 janvier à 09h06

Commentaires (40)

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IA ou pas IA, le vieux gag du "et sinon, ta photo de profil elle pouvait pas venir ?" restera valide :D
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L’assistant pourrait même se muer en « coach » pour les personnes en difficulté, avec des conseils sur ce qui pourrait être amélioré sur le profil.
Ah... de la monétisation en perspective. $$
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Petit conseil aux personnes utilisant ce genre d'app : désinstallez-les.
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Pour certaines communautés et certains types de personnalités le seul moyen de trouver un couple c'est d'utiliser ces apps.
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Assez d'accord, et j'élargirais même, c'est quand même devenu un des moyens les plus efficaces pour rencontrer des personnes aujourd'hui, toutes catégories de personnalités et de types de relations confondues.
On peut le déplorer si on veut, mais la réalité est sans appel, et ça me paraît difficile d'être contre ça.

C'est à nous, utilisatrices et utilisateurs, d'utiliser le réseau qui nous semble le plus adapté (et qui se fout le moins de notre gueule).
Petit aparté sur le côté payant de la chose, rien ne nous empêche de chopper "à l'ancienne", mais ça me semble plus difficile aujourd'hui, et pas forcément moins cher.
D'ailleurs, qu'est-ce quelques dizaines d'euros contre des années de bonheur avec quelqu'un ?
Certes il n'y a aucune garantie, la concurrence est rude, et tout le monde n'est pas bon à l'écrit/à l'exercice de la première rencontre. Mais ça se travaille, et ce sont des socials skills qu'il faut aussi avoir pour partie dans des rencontres plus traditionnelles.
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« Assez d'accord, et j'élargirais même, c'est quand même devenu un des moyens les plus efficaces pour rencontrer des personnes aujourd'hui, toutes catégories de personnalités et de types de relations confondues. »
On en est vraiment là ? Tu as des chiffres là-dessus ?
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Je ne sais pas ce que valent ces stats en particulier, mais toutes les études que j'ai vu passer valident le fait que ce soit massif.
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Independement : En France, qu'elle espace reste t-il pour faire des rencontres à l'anciennes ?
(Je parle dans le cas le plus complqué celui des mecs hétéro).
Boite de nuit tout aussi chère et quand même compliquer.
travail, plus possible, rue encore moins ?
Après je suis preneur... C''est pour un copain (:mdr2::mdr2::mdr2:)
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Il y a aussi , selon moi, que désormais dans l'espace public il devient compliqué d'aborder une femme de quelque manière que ce soit (en tant que mec hétéro) même avec respect et bienveillance. Simplement parce qu'on est peut-être le 80ème de la journée. Et que c'est normal d'être saoulé dans ces conditions, on le serait à moins.

Du coup les app ont cet avantage que, au moins chacun des deux est là pour la même raison et donc il ne peux pas y avoir d'ambiguïté ou de malentendu (même si bien sur les comportements irrespectueux sont très présents , il reste possible de partir de l'app , signaler le compte, ou simplement poser son tel & aller lire un livre, chose moins facile dans la rue).

Reste les activités commune, de loisir , associatives, ... qui permet de rencontrer des gens qui deviennent des amis d'abord et parfois plus ensuite - reste qu'avec les vies que l'on mène c'est pas toujours si facile, la tentation de rester dans son canap à troller le vendredi soir quand il fait -5°C dehors est bien présente :-)
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C'est ça, je suis d'accord avec ton développement. A nous (les utilisateurs) de choisir le réseau le plus adapté à nos besoin et le plus "éthique" (si on peut le dire comme ça). Et oui on doit tous travailler nos compétences sociaux que ce soit la gestion de frustration, communication claire et etc.

J'ajouterais qu'aujourd'hui la confiance interpersonnelle s'est érodée (malheureusement pour des raisons divers). Les gens ont besoin plus de sécurité avant de rencontrer des inconnus (agressions et etc.). Du coup bah... Les applis amènent cette sécurité (même si on peut tomber sur des sacrés cas et avoir des dates "claquées").
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Question du coup : c'est quoi les réseaux éthiques dans ce domaine ?

Pour la remarque sur les "sacrés cas" que l'on peut rencontrer, j'en profite pour conseiller vivement la série de courts-métrages "L'amour a ses réseaux" (disponible sur arte) qui donne des exemples assez dingues. :)
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Vu que l'éthique de chacun est différente tout dépends ce que la personne considère comme "éthique" malheureusement ^^" Ou jusqu'à où on est prêt à accepter le vice d'exploitation de misère affective par certains applis :(
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J’aurai été d’accord avec toi il y a peut être 10-15 ans quand il n’y avait pas encore d’algorithmes de recommandation. J’ai été dessus, ça a fonctionné.

J’ai plusieurs potes qui sont dessus aujourd’hui et m’ont un peu montré à quoi ça ressemblait maintenant, mais quelle horreur. À l’époque c’était déjà pas donné mais bon c’était un abonnement, maintenant ces applis sont devenus de véritables machines à sous exploitant la la misère sexuelle et affective. On n’est plus sur de l’abonnement mais limite sur des lootbox. Tu dois raquer pour débloquer chaque action à l’unité. Les applis te font croire à des match mais pour lire _le_ message faut payer, et 9 fois sur 10 c’est un fake ou un truc qui finit en ghosting. Tu veux remonter dans les recommandations pendant quelques minutes/heures seulement ? Faut raquer … etc etc …

Ça a l’air juste horrible et déprimant en fait. J’ai rien contre le principe des sites/apps de rencontre mais là c’est juste devenu des machines à sous où tu joues plusieurs fois par jour et de temps en temps tu gagnes un match.
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Mais quelle horreur !
Si vous n’avez pas de matchs et rencontres, ce n’est pas vous le problème mais les applis !!
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Mais tellement, ces applications sont des escroqueries !
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Je comprends votyre volonté d'être positif et de valorisé l'estime de soi versus les mechantes appli.
(Ce qu'elles sont pour la très grosses majorités, ne nous voilons pas la face non plus).
Cependant c'est juste statistique :
Si sur une notation phisique sur 100 je suis un 70 (ce qui n'est pas le cas, je serai plutot un 55-60), et il suiffit qu'il y ait juste un masse suffisante de 75 et quelques 80 et plus. Et mon profil de 70 ne sera ou très rarement vu.
C'est la loi de l'offre et la demande.

Donc même si je suis (pour l'exemple), intelligent, gentil, attentionné etc., et bien je ne serai jamais une cible.
(A part pour les brouteurs, brouteuses...)
CQFD
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Dystopique à souhait, ça croustille sous la dent ! 👌
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Tellemetn hâte d'avoir les premiers scandales "L'IA de Match Group conseille aux femmes de se maquiller pour être plus attractives" ou "Un homme ne doit pas porter de rose d'après Tinder"
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Ce monde devient une caricature de SF...
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Des risques existent cependant à divers degrés. D’abord sur la quantité de données personnelles que les applications pourraient absorber et leur traitement.
Les applications de rencontre manipulent d'ores et déjà des données personnelles considérées sensibles par le RGPD. Je ne les utilise pas, mais j'imagine qu'on peut indiquer sa sexualité, et c'en est une. Et elles travaillent d'ores et déjà par algorithmie, et donc du machine learning derrière.
Si les gens commencent à se fier à l'IA pour gérer leurs conversations avec des rencontres potentielles, ils risquent de perdre la capacité de s'engager dans des conversations réelles et spontanées et, en fin de compte, d'avoir plus de mal à établir des liens authentiques
Cela s'applique à la Tech en général, pas qu'à l'IA. L'usage massif des terminaux de communication est néfaste pour les interactions réelles et rend plus difficile la prise de parole. J'avais vu un article sur France Info à ce sujet il y a peu dans lequel ils parlaient justement du bienfait des jeux de société dans ce domaine. Notamment pour le développement des relations sociales chez les enfants. Et, accessoirement, ça apprend aussi à gérer sa frustration quand on perd.

Chez les adultes, c'est pas mieux. On a plus vite tendance à s'enfermer dans la bulle d'un terminal rassurant.
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Pour les données personnelles, ils suffit de voir ce qui se passe déjà avec grinder (et sûrement d'autre) pour être effrayé.
Le coté rester derrière son terminal est typique de l'époque, je dirais peur, paresse, désinvestissement. La peur de l'inconnu dans la rue, et consommer un média est plus simple que passer le temps nécessaire à créer des liens. Je suis sur que beaucoup de rencontres fortuites ne se sont jamais produis car les deux étaient devant la même série chacun dans son coin.

Sinon l'IA pour les rencontres, j'attends que l'IA soit assez évoluée pour que mon IA personnelle se mette en rapport avec celle de l'autre personne pour décider de notre mise en relation physique. :D
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J'adore les équipes marketing pour ce genre d'appli, elles donnent vraiment l'impression que tout est fait pour valoriser la rencontre avec LA bonne personne, beaucoup de vertu en somme...
Alors que non, le but est que les mecs claquent le plus d'argent possible. Ça va être simple, tu vas te retrouver avec plein de "lovebots" sophistiqués, gérés par la boîte...
Tiens ça me donne une idée, je vais la faire cette appli!! 😅😅🤣
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Vu le nombre d'influenceuses virtuelles, ça a déjà commencé.
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Si c'est mensonger, ça n'arrivera jamais sur des applis mainstream, les risques judiciaires me paraissant importants (tout particulièrement aux US).
Si ça ne l'est pas, chacun fait comme il veut, les kinks avec des bots ne sont pas répréhensibles en soit (petite dédicace à Krieger ici).
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Au vu du discours, ici leur but ne semble pas de faire du "lovebot" mais plutôt du coach. Le marché de ces apps, c'est la rencontre que ce soit un coup d'un soir ou une vraie relation. Mettre des bots le ruinerait alors que la clientèle est potentiellement illimitée. Nous ne sommes pas dans le cas des médias sociaux qui vivent de l'audience.

L'approche soutien / aide est plutôt pertinente dans leur cas. Savoir se vendre (ce n'est pas un terme péjoratif) n'est pas une compétence innée. En tant que Freelance, je l'ai remarqué rapidement et ce n'est clairement pas le domaine dans lequel je brille. Je n'ai pas été éduqué dans l'esprit du "t'es le meilleur mon poussin" et du story telling comme on en voit beaucoup sur Linkedin. J'ai la sale manie d'être factuel et de ne pas forcément enrober ou enjoliver les choses, accompagné d'une trop forte modestie ou tendance à me dévaloriser. Sans l'aide de mes porteurs d'affaire ou les conseils de cabinets de recrutements (qui peuvent aussi aider à mieux se connaître par les études de profils, pour savoir trouver les mots pour se présenter), je serais resté dans ces travers. Et je le suis toujours, mais maintenant j'en ai conscience.

Je ne sais pas si un bot IA sera efficace pour du coaching, cela dit. La tendance de ne pas vouloir froisser les gens risque de desservir la cause. À un moment, Jean Michel va devoir faire face à la réalité et entendre qu'il est nul pour se mettre en valeur ou parler aux gens. Les LLM sont souvent conçus pour ne pas être négatifs (rappelons qu'ils sont capables d'analyse émotionnelle sur un texte), donc je ne sais pas s'ils réussiront à être pertinents.
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Et quand je peux voir la crédulité de certains face aux coachs et aux valeurs brutes sans recul, il y a clairement un marché à conquérir.
Monde de fous.
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Le marché de ces apps c’est de rendre suffisamment les utilisateurs captifs pour les faire rester sur l’appli. Ce n’est pas de faire rencontrer des personnes !

Le but de tinder c’est de me faire payer ou de m’exposer à la pub. C’est tout.

Avec toutes les données personnelles collectées un peu partout et la pertinence des publicités ciblées je suis sûr que si ces boîtes le voulaient, elles pourraient créer des vraies applications qui marchent les profils similaires directement.

Franchement il n’y a rien de plus gonflant que de devoir marcher tel un catalogue de jambon avec des inconnus sur des photos et des critères à la noix. Déjà la plupart des applis ne permettent pas de filtrer les profils par critères dont on pourrait se dire : « ah tien, c’est un peu logique et ça me ressemble » ou alors il faut payer.
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asv ? :D
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:phibee:
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Tu viens de me rajeunir de 27 ans...
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21, 18cm, Paris :langue:
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bof, les conseilles sont assez facile en faite:
pour la femme le choix et facile, je me retrouve à +100like/heure, et encore avec juste une photo de moi ne me mettant pas en valeur, testé sans photo sa marche très bien aussi, je peux en 5minutes trouver un mec.

Pour les hommes la concurrence est très rude, on a l'embarras du choix :) Un "coucou ca va" ca marche pas car ce que vous savez pas c'est qu'on est littéralement envahit par ce type de profil, on ne répond meme plus.

sans hypocrisie nos critères:
=> critère 0: la photo, combien je vois de photo pas jolie, meme un beau mec peut etre moche si ca photo est mal prise, svp une photo qui met en valeur.

=> 1er critère qui fait 99% du match c'est le physique: Améliorable en faisans du sport, perdez du poids, développez un peu vos muscles, franchement 3 mois à la salle suffit pour vous mettre au dessus de la moyenne.
+ chirurgie esthétique/réparatrice si gros défaut au visage

=> avoir une vie stable, on veut pas d'un cassos au rsa, donc un vrai emploi et pas dans la galère financière/vivant encore chez ces parents.

=> avoir des hobbies, rien de pire qu'un mec qui pour seul loisir regarde netflix.

=> la taille, hélas pour vous y'a rien a y faire, mais un mec pas vilain avec une belle carrière et intéressant, ca peut compenser et pardonner les 1m65, dans mon cas en tous cas c'est pas éliminatoire, j'ai une copine pour qui c'est non par exemple.


Meme avec la meilleur ia du monde, un mec de moche n'aura jamais de match. On a tellement de choix que jamais vous serez liké.
à moins que l'ia ne truc la photo, mais dans ce cas il y'aura 1 premier rdv mais pas de 2ieme... et encore je suis déja tombé sur des fausses photos de profils, maintenant je fais toujours un appel visio avant de rencontrer pour de vrai un mec.
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Je ne sais pas si c'est un message ironique ou sérieux mais dans le dernier cas, c'est tellement triste que j'ai envie de pleurer.
"Ne pas d'un cassos au rsa"... C'est tellement horrible de penser ça. Comme si au rsa, il n'y avait que des cas sociaux et de surcroit comme si ces personnes (humaines, je le rappelle) n'avaient pas le droit de rencontrer quelqu'un.
Et ce n'est qu'une des affirmations.
Ces applications voient leur fréquentations baisser c'est à cause du fait qu'elles ne répondent pas au véritable besoin que la société moderne rencontre. Les critères de selection sont tellement superficiels que les utilisateurs les désertent.
Cette courte vidéo reprends rapidement l'idée que j'exprime : youtube.com YouTube

Une relation qui réussit ne se défini pas par des critères comme la couleur des yeux, la taille des muscles, un hobby, le poids ou autre chose similaire mais sur une personnalité et des qualités. C'est à mon humble avis que le bout d'un système social basé sur l'individu au centre. Le jour où les autres prendront plus de place dans nos vies alors les relations amoureuses s'amélioreront sans faute.
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Trop gros, passera pas. :troll:
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Pourquoi trop gros ? Comme a dit @sazearte, elle a rien à faire. Si elle trouve un mec pas trop mal, elle a juste à faire un "Coucou ça va". Elle n'a pas besoin d'ouvrir la conversation avec un sujet contextuel par rapport au profil, ou dire un truc fun et attendu.
Elle peut mettre comme photo, une photo prise en selfie devant sa glace.
@Xanatos, amuse toi à te créer un compte en tant que femme sur Tinder, tu verras ...

Je ne suis pas surpris. Nous, les mecs, nous sommes bien trop nombreux sur les applis. L'IA ne sert absolument à rien pour les nanas, Il est clair.
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Je résume très largement mais en gros :
* beau mec
* sportif
* cultivé
* métier et salaire intéressant ?

Je me trompe ?
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Mdr…

On reprend le modèle de ces applis et les idées derrières tout ça (IA):
Vous devez être conforme à l’idéal attendu sinon vous serez relégué comme une merde au fin fond de l’appli (pour les hommes surtout). Au pire vous pouvez payer car l’appli vous fera croire que vous aurez loupé un ou deux match et c’est tout.

L’amour, le vrai, c’est quand même basé sur le « soyez vous même » et l’attirance mutuelle de profils, qui en général se ressemblent (« qui se ressemble s’assemble ») alors on ne devrait pas se dire «  je suis un peu douillet, je dois faire de la chirurgie esthétique réparatrice, je dois payer » mais plutôt : je dois être moi même, je rassemble les pièces de ma vie ensemble pour avoir des passions et passe temps attirants »

Maintenant ces applis sont en général un broyeur d’amour propre pour les hommes et de la perte de temps.
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Les applis se sont également dégradées avec le temps pour générer volontairement de la frustration, car elles gagnent moins d'argent qu'avant. Par exemple Meetic ressemble de plus en plus à Tinder (les filtres de recherche sont beaucoup plus difficiles à utiliser et très peu mis en avant par rapport à il y a 3 ans). Tinder qui est d'ailleurs à fuir absolument
pour les mecs (l'Ux me fait vraiment penser qu'on me prend comme du jambon ou un demeuré...) , sauf si vous êtes canon et êtes un archétype de désirabilité qui se trouve tout au sommet de la courbe de Gauss.. De plus, il y a du revenue management sur Tinder (plus vous êtes âgé et diplômé, plus ce sera cher)
Pour les femmes, il n'y a quasi aucun effort à faire, mais c'est par contre épuisant pour elles de parler qu'avec des cassos..
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Petit détail, si on parle de la courbe de Gauss de la désirabilité il vaut mieux être tout à droite 😊
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En effet tu as raison mybad, c'est probablement vrai sur Tinder mais sur Meetic où le public est plus âgé, il vaut mieux être un "normie": un mec de base, pas trop moche, un minimum intéressant, qui coche tous les pré-requis sociaux et économique de base, d'où le sommet de la courbe.
Car le problème d'être tout à droite de la courbe, c'est qu'on souhaite qqun qui soit tout à droite aussi : ça fait des probabilités conditionnelles qui chutent énormément :D

Des applications de rencontre prépareraient un recours massif à l’IA

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