Un document déposé par Cisco auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) l'informe de son intention de licencier 7 % de sa main-d'œuvre mondiale, soit « au moins 5 500 employés » relève SFGate.
Réduire les coûts par le biais de licenciements et investir ensuite dans des technologies coûteuses telles que l'intelligence artificielle « est une tendance qui a émergé dans certaines entreprises technologiques au cours des deux dernières années », souligne le quotidien californien.
C'est d'ailleurs la seconde fois que le géant de la technologie de San José supprime des milliers d'emplois cette année. Elle avait déclaré 84 900 employés en juillet 2023, avant d'en supprimer « au moins 4 000 en février ».
Le document évoque un « plan de restructuration pour lui permettre d'investir dans des opportunités de croissance clés et d'améliorer l'efficacité de ses activités ».
Cisco estime devoir à ce titre comptabiliser des charges avant impôts « pouvant aller jusqu'à 1 milliard de dollars » afin de faire face aux indemnités de départ et de licenciement uniques, « ainsi que d'autres coûts », résultant de ce plan.
Les résultats du dernier exercice fiscal de Cisco, publiés en parallèle, indiquent un chiffre d'affaires total de 53,8 milliards de dollars, en baisse de 6 % sur un an, pour un résultat net annuel de 10,3 milliards de dollars, lui-même en baisse de 18 %.
Commentaires (30)
#1
#1.1
EBIT de 18%.
Cash de 45% !!
Ils ne sont pas bien.
Tu peux avoir du résultat mais si tu n'as pas de cash, tu fermes boutique. C'est la cause principale de faillite.
#1.2
#1.3
Avec les bénéfices, il faut financer aussi les investissements et rémunérer les actionnaires.
Et il faut bien avoir la trésorerie pour tourner. 10M de bénéfice, c'est à mettre en face de leurs 50M de CA. Ce n'est pas pareil si tu fais 10 sur 20, 50 ou 100.
Ce n'est pas alarmiste, mais diviser par 2 ça fait beaucoup.
Tout comme supprimer 5000 postes, ce n'est pas forcément déconnant quand tu viens de racheter un boite (Splunk ici) et que tu consolides.
Comme dans l'articule sur Sonos plus tôt aujourd'hui, il manque beaucoup d'infos pour avoir le tableau complet. Et préciser que Cisco est en phase de consolidation après rachat en plus de "on licencie des postes en doubles et on fait de l'argent, mais 2x moins qu'avant" ce n'est plus le même titre.
Un peu comme le commentaire sur l'article de Sonos plus tôt dans la journée. Il faut la photo complète avant de commenter rapidement si c'est abusif ou non.
#1.4
#1.5
Sans rire, rien de nouveau... On connaît tous le fonctionnement. Cela dit, ils mettent 1Mds de côté pour les licenciements, ça peut faire de belles primes de belles d'indemnités potentiellement, dommage qu'on en sache pas plus.
#1.22
#1.6
#1.13
#1.7
#1.8
( J'ai beaucoup bossé du coté de l'Agirc Arcco )
#1.9
#1.10
D'ailleurs c'est ce que font les pharmaciens avec leur propre caisse de retraite privée et du coup leurs retraites sont bien plus appétissantes grace aux dividendes et aux hausses ou baisses de la bourse qui ajoutent un plus aux fonds euros et obligataires.
Si la retraite utilisait une partie des fonds en bourse ils en profiteraient et du coup tout le monde en profiterait comme les méchants capitalistes et tout le monde serait content.
mais bon c'est un choix idéologique et pas du tout économique et aujourd'hui la retraite complémentaire Agic Arcco est un système paritaire ou syndicat et patronat gouvernent.
Mais si le choix est de vilipender les receveurs des dividendes plutot que d'en recevoir , ainsi
soit-il .
( attention je ne parle pas de mettre tous les oeux dans le même panier en la jouant fonds de pension à 100% mais une répartition genre pharmaciens me semblerait plus logique et plus efficace)
#1.11
J'ai un ami Français qui travaille à Toronto depuis de longues années maintenant comme Hedge Fund Manager à l' Ontario Teachers' Pension Plan.
Travaillant aussi à l'étranger (dans un autre pays, ex-colonie britannique) , il y a une quinzaine d'années on avait le choix entre 4 fonds pour placer son capital retraite. Maintenant on a le choix parmi 20 fonds différents et toujours bien sûr la règle de base sur cette planète qui s'applique partout: "risk vs return"
Même si les hedges funds doivent optimiser le rendement des fonds qui dont ils ont la charge, cela n'a aucun pas voire aucun rapport avec une société qui va gicler des centaines ou milliers de leurs employés tout en faisant des bénéfices "assez monstrueux"...
Moi je dirai plutôt que le comité de direction et/ou PDG ont reçu le droit (mais non l'obligation - "brainwashed par un prof de finance -) de pouvoir acheter des actions passé un certain seuil à un prix inferieur au marché pour les revendre ensuite et faire une plus-value... juteuse... bref des stocks-options...
Et j'ai vécu ce genre de politique vis à vis des employés. C'est pas 24h chrono, mais 30min chrono, sans lettre, sans rien... et même pas une poignée de main. Juste un chèque et tu te dégages avec tout le reste des autres managers du département.
Pour l'immense majorité ici qui ne l'ont sûrement jamais vécu, c'est comme se prendre un énorme mur à pleine vitesse sans s'y attendre dans sa carrière professionnelle et pour conséquence "personnelle" et psychologique que cela tue toute confiance dans son futur employeur ensuite... car on réalise à quel point les employés sont considérés de plus en plus comme des employés "Kleneex"... et quelque soit le niveau hiérarchique, au contraire, pour l'avoir vu plusieurs fois, plus on monte en grade, plus on peut se faire gicler facilement... simplement parce que le nouveau (jeune) Vice-président nommé n'aime pas le directeur qui était déjà là depuis 10-15 ans dans son poste... mais pour la simple raison que comme le courant, il passe pas entre les 2... et bien le directeur, il gicle... => Dehors...
Je pense que plus que la perte de l'emploi et des revenus associés, le pire est vraiment la perte quasi totale de confiance dans son / ses futur(s) employeur(s) pour la suite et une grosse perte de motivation dans son nouveau job.
Super méga déprimant...
Historique des modifications :
Posté le 17/08/2024 à 13h38
La retraite dans les pays anglo-saxons étant par capitalisation, et non par répartition il faut en effet capitaliser...
J'ai un ami Français qui travaille à Toronto depuis de longues années maintenant comme Hedge Fund Manager à l' Ontario Teachers' Pension Plan.
Travaillant aussi à l'étranger (dans un autre pays, ex-colonie) , il y a une quinzaine d'années on avait le choix entre 4 fonds pour placer son capital retraite. Maintenant on a le choix parmi 20 fonds différents (risk vs return).
Même si les hedges funds doivent optimiser le rendement des fonds qui dont ils ont la charge, cela n'a aucun pas voire aucun rapport avec une société qui va gicler des centaines ou milliers de leurs employés tout en faisant des bénéfices "assez monstrueux"...
Moi je dirai plutôt que le comité de direction et/ou PDG ont reçu le droit (mais non l'obligation - "brainwashed par un prof de finance -) de pouvoir acheter des actions passé un certain seuil à un prix inferieur au marché pour les revendre ensuite et faire une plus-value... juteuse... bref des stocks-options...
Et j'ai vécu ce genre de politique vis à vis des employés. C'est pas 24h chrono, mais 30min chrono, sans lettre, sans rien... un cheque et tu te dégages avec tout le reste des autres managers du département.
Pour l'immense majorité ici qui ne l'ont sûrement jamais vécu, c'est comme se prendre un énorme mur à pleine vitesse sans s'y attendre dans sa carrière professionnelle et pour conséquence "personnelle" et psychologique que ça tue toute confiance dans son futur employeur ensuite... car on réalise à quel point les employés sont considérés de plus en plus des employés "Kleneex"...
Je pense que plus que la perte de l'emploi et des revenus associés, le pire est vraiment la perte totale de confiance dans son / ses futur(s) employeur(s).
Super méga déprimant...
Posté le 17/08/2024 à 13h42
La retraite dans les pays anglo-saxons étant par capitalisation, et non par répartition il faut en effet capitaliser...
J'ai un ami Français qui travaille à Toronto depuis de longues années maintenant comme Hedge Fund Manager à l' Ontario Teachers' Pension Plan.
Travaillant aussi à l'étranger (dans un autre pays, ex-colonie britannique) , il y a une quinzaine d'années on avait le choix entre 4 fonds pour placer son capital retraite. Maintenant on a le choix parmi 20 fonds différents et toujours bien sûr la règle de base sur cette planète qui s'applique partout: "risk vs return"
Même si les hedges funds doivent optimiser le rendement des fonds qui dont ils ont la charge, cela n'a aucun pas voire aucun rapport avec une société qui va gicler des centaines ou milliers de leurs employés tout en faisant des bénéfices "assez monstrueux"...
Moi je dirai plutôt que le comité de direction et/ou PDG ont reçu le droit (mais non l'obligation - "brainwashed par un prof de finance -) de pouvoir acheter des actions passé un certain seuil à un prix inferieur au marché pour les revendre ensuite et faire une plus-value... juteuse... bref des stocks-options...
Et j'ai vécu ce genre de politique vis à vis des employés. C'est pas 24h chrono, mais 30min chrono, sans lettre, sans rien... et même pas une poignée de main. Juste un chèque et tu te dégages avec tout le reste des autres managers du département.
Pour l'immense majorité ici qui ne l'ont sûrement jamais vécu, c'est comme se prendre un énorme mur à pleine vitesse sans s'y attendre dans sa carrière professionnelle et pour conséquence "personnelle" et psychologique que cela tue toute confiance dans son futur employeur ensuite... car on réalise à quel point les employés sont considérés de plus en plus des employés "Kleneex"...
Je pense que plus que la perte de l'emploi et des revenus associés, le pire est vraiment la perte totale de confiance dans son / ses futur(s) employeur(s) pour la suite et une grosse perte de motivation dans son nouveau job.
Super méga déprimant...
Posté le 17/08/2024 à 13h49
La retraite dans les pays anglo-saxons étant par capitalisation, et non par répartition il faut en effet capitaliser...
J'ai un ami Français qui travaille à Toronto depuis de longues années maintenant comme Hedge Fund Manager à l' Ontario Teachers' Pension Plan.
Travaillant aussi à l'étranger (dans un autre pays, ex-colonie britannique) , il y a une quinzaine d'années on avait le choix entre 4 fonds pour placer son capital retraite. Maintenant on a le choix parmi 20 fonds différents et toujours bien sûr la règle de base sur cette planète qui s'applique partout: "risk vs return"
Même si les hedges funds doivent optimiser le rendement des fonds qui dont ils ont la charge, cela n'a aucun pas voire aucun rapport avec une société qui va gicler des centaines ou milliers de leurs employés tout en faisant des bénéfices "assez monstrueux"...
Moi je dirai plutôt que le comité de direction et/ou PDG ont reçu le droit (mais non l'obligation - "brainwashed par un prof de finance -) de pouvoir acheter des actions passé un certain seuil à un prix inferieur au marché pour les revendre ensuite et faire une plus-value... juteuse... bref des stocks-options...
Et j'ai vécu ce genre de politique vis à vis des employés. C'est pas 24h chrono, mais 30min chrono, sans lettre, sans rien... et même pas une poignée de main. Juste un chèque et tu te dégages avec tout le reste des autres managers du département.
Pour l'immense majorité ici qui ne l'ont sûrement jamais vécu, c'est comme se prendre un énorme mur à pleine vitesse sans s'y attendre dans sa carrière professionnelle et pour conséquence "personnelle" et psychologique que cela tue toute confiance dans son futur employeur ensuite... car on réalise à quel point les employés sont considérés de plus en plus comme des employés "Kleneex"... et quelque soit le niveau hiérarchique, au contraire, pour l'avoir vu plusieurs fois, plus on monte en grade, plus on peut se faire gicler facilement... simplement parce que le nouveau (jeune) Vice-président nommé n'aime pas le directeur qui était déjà depuis 10-15 ans... mais le courant, il passe pas... => Dehors...
Je pense que plus que la perte de l'emploi et des revenus associés, le pire est vraiment la perte quasi totale de confiance dans son / ses futur(s) employeur(s) pour la suite et une grosse perte de motivation dans son nouveau job.
Super méga déprimant...
Posté le 17/08/2024 à 13h50
La retraite dans les pays anglo-saxons étant par capitalisation, et non par répartition il faut en effet capitaliser...
J'ai un ami Français qui travaille à Toronto depuis de longues années maintenant comme Hedge Fund Manager à l' Ontario Teachers' Pension Plan.
Travaillant aussi à l'étranger (dans un autre pays, ex-colonie britannique) , il y a une quinzaine d'années on avait le choix entre 4 fonds pour placer son capital retraite. Maintenant on a le choix parmi 20 fonds différents et toujours bien sûr la règle de base sur cette planète qui s'applique partout: "risk vs return"
Même si les hedges funds doivent optimiser le rendement des fonds qui dont ils ont la charge, cela n'a aucun pas voire aucun rapport avec une société qui va gicler des centaines ou milliers de leurs employés tout en faisant des bénéfices "assez monstrueux"...
Moi je dirai plutôt que le comité de direction et/ou PDG ont reçu le droit (mais non l'obligation - "brainwashed par un prof de finance -) de pouvoir acheter des actions passé un certain seuil à un prix inferieur au marché pour les revendre ensuite et faire une plus-value... juteuse... bref des stocks-options...
Et j'ai vécu ce genre de politique vis à vis des employés. C'est pas 24h chrono, mais 30min chrono, sans lettre, sans rien... et même pas une poignée de main. Juste un chèque et tu te dégages avec tout le reste des autres managers du département.
Pour l'immense majorité ici qui ne l'ont sûrement jamais vécu, c'est comme se prendre un énorme mur à pleine vitesse sans s'y attendre dans sa carrière professionnelle et pour conséquence "personnelle" et psychologique que cela tue toute confiance dans son futur employeur ensuite... car on réalise à quel point les employés sont considérés de plus en plus comme des employés "Kleneex"... et quelque soit le niveau hiérarchique, au contraire, pour l'avoir vu plusieurs fois, plus on monte en grade, plus on peut se faire gicler facilement... simplement parce que le nouveau (jeune) Vice-président nommé n'aime pas le directeur qui était déjà depuis 10-15 ans... mais le courant, il passe pas... => Dehors...
Je pense que plus que la perte de l'emploi et des revenus associés, le pire est vraiment la perte quasi totale de confiance dans son / ses futur(s) employeur(s) pour la suite et une grosse perte de motivation dans son nouveau job.
Super méga déprimant...
#1.12
On te planifie une réunion Zoom venu de nulle par, tu te connecte, un directeur (que tu n'as jamais vu, ton propre manager ayant été viré la semaine précédente,) et un RH sont là.
Ils te lisent une lettre de licenciement, te disent de tout arrêter, de ne plus contacter aucun client et de rester chez toi jusqu'à la fin du délai de préavis...
Tous tes collègues t'appellent les uns après les autres "c'est quoi ce bordel qu'est-ce qui se passe, personne n'a été prévenu ici ??!".
Puis on te file le minimum de l’indemnité prud'hommal (barème Macron, of course) en te faisant signer une décharge (que tu n'as aucune raison de ne pas signer, barème Macron faisant que en attaquant, tu aurais la même chose moins tes frais d'avocats et tu auras perdus 2ans au mieux).
Et encore en France je trouve qu'on est bien protégé avec le chômage et le préavis, mais j'imagine pas aux US/Canada ou en gros c'est débrouille-toi et fais avec tes économies.
Et comme tu le dis, même si l'ensemble de tes collègues comprennent pas, qu'ils pensent tout que tu fais du bon boulot, au final tu es juste une ligne sur un tableur d'un "executives" quelque part qui va sur un coup de tête, pour faire monter ses stock-option, décider de virer 10-15-20% des effectifs alors qu'il sera parti l'année suivante.
Ca casse complètement la confiance dans la boite qui devient d'un coup "nocive" et les collègues sont tous à se demander "qui sera le prochain".
D'un certain côté mieux vaut se faire sortir dans les premiers que continuer dans le doute...
Nb : D'ailleurs il me semble que ça commence à se voir que le "downsizing" a des effets néfastes sur les boites à long-terme, et que la mode des stock-options commencent à décliner, justement parce que les PDG dégagent toute la matière grise de la boite l'année précédent leur départ/rachat de stock-option et laisse un champ de ruine derrière dont la société mettra des années à se remettre.
#1.14
#1.15
Pour un licenciement en France, il me semble qu'il y a des délais à respecter. Tu dois gagner seulement 2 ou 3 semaines, mais au-moins tu vois le truc arriver. Puisque que tu parles de primes Macron, je suppose que tu étais couvert par le droit français et donc que la boîte américaine aurait dû appliquer ces délais.
#1.16
#1.17
Historique des modifications :
Posté le 19/08/2024 à 00h39
5 jours avant l'entretien préalable de licenciement, l'employé doit recevoir une lettre. Puis vient l'entretien. Puis, il faut attendre une seconde lettre qui notifiera le licenciement. C'est alors que commence le préavis (minimum 1 à 2 mois, selon l'ancienneté). Donc la procédure qui consiste à te mettre une réunion surprise durant laquelle tu apprends que tu es licencié, est irrégulière en droit français.
#1.18
Je ne m'inquiète pas du respect du droits (généralement, ils sont dans les clous, tant cela coûte cher d'en sortir ne serait-ce qu'un peu, même par inadvertance). Le formalise imposé par la législation doit être respectée (c'est obligatoire), mais rien n'interdit de faire une réunion avant pour informer le salarié de la situation et de son licenciement prochain.
#1.19
Les délais dans d'autres pays étaient bien plus courts
Et systématiquement il y avait des juristes qui géraient le processus.
#1.20
"Ne contacte plus personne, procédure de licenciement en cours, reste chez toi".
Ils n'ont pas prévenu tes clients, tes collègues ou même la direction France (du moins de ce qu'on m'a dit) et encore moins ton commercial qui compte sur toi la semaine suivante ^^
Puis les procédures commencent et ils savent parfaitement ce qu'ils font : C'est déjà budgétisé et ils savent ce qu'ils doivent "donner" pour être tranquille (cf : Réforme Macron).
Tu n'as aucun intérêt à aller au prud'homme pour gagner la même chose, moins les frais d'avocat, les frais de procédure et 2ans d'attente minimum...
Et comme indiqué, effectivement en France "ça va", 3 mois de préavis, +indemnité de licenciement + chômage pour se retourner.
Après sans réforme Macron j'aurais gagné je pense bien 2-3 fois plus (prud'homme non plafonné, et là aucune raison économique de le faire), donc il a bien fait son truc...
#1.21
Ne t'inquiète pas, les RH en questions sont spécialisés sur ces questions, tout est parfaitement bien rodé.
#2
Broadcom vire déja 33% des employés VMware et ça fait moins de bruit
#2.1
#2.2
Ce sont les gens du métier ou proche de l'informatique qui sont vraiment au courant
( et 33% n'étant que la phase 1 de ce chambardement sachant qu'il y a 3 phases de prévues)
#3
#3.1
#3.2
Si seulement c'était vrai
C'est bien plus que ça
Hélas le raisonnement de Hock Tan est très simple : il vaut mieux perdre 30% des clients et multiplier le prix des licenses par 4 ou 5 .
Ce mec voudrait garder que les baleines que sont IBM, OVH , France Telecom et autres et se débarrasser des petits clients
#3.3
Si elle tombe en expirée, l'autre license (la vrai, celle qui sert à quelque chose) est en "life time"...
Franchement, DNA, comme beaucoup d'outils de management Cisco, c'est quand même une grosse bouse
Historique des modifications :
Posté le 18/08/2024 à 14h08
Fait comme nous, laisse tomber la licence DNA...
Si elle tombe en expirée, l'autre license (la vrai, celle qui sert à quelque chose) et en "life tome"...
Franchement, DNA, comme beaucoup d'outils de management Cisco, c'est quand même une grosse bouse