Les lobbys de la musique exigent (encore) plus des moteurs de recherche
Faites la Moore, pas la guerre
Le 14 janvier 2014 à 08h20
5 min
Droit
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C’est une nouvelle charge que vient de lancer Frances Moore, la numéro un de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), cette organisation regroupant les principales majors de la musique, telles qu’Universal ou Virgin. La cible ? Les moteurs de recherches, et notamment Google, le plus populaire d’entre eux. Et pour cause : l’intéressée annonce que l’IFPI vient d’adresser sa cent-millionième notification à la firme de Mountain View.
Exemple d'une demande de déréférencement adressée à Google par l'IFPI.
« En deux ans et demi, nous avons signalé plus de 100 millions de fois au leader mondial de la recherche en ligne qu’il fournissait des liens vers des sites mettant illégalement à disposition de la musique » a expliqué hier Frances Moore. Car c'est aujourd'hui bien connu : les moteurs de recherche sont une porte d’entrée majeure vers les contenus, qu’ils soient légaux ou non. Pour que les Google & co arrêtent de renvoyer vers des sites considérés comme illicites par les ayants droit, il faut tout d’abord en informer chaque moteur, qui peut alors déréférencer une page litigieuse.
Mais pour l’IFPI, ce qu’effectuent les moteurs en vertu de la législation qui leur est applicable n’est pas suffisant. « En dépit de ce que Google prétend avoir effectué pour aider à lutter contre la contrefaçon, la vérité est que [l’entreprise] ne présente pas de résultats probants » tacle ainsi Frances Moore. L’intéressée fait notamment référence au rétrogradage des sites faisant fréquemment l’objet de notifications de la part des ayants droit, annoncé par Google durant l'été 2012. À ses yeux, la modification de l'algorithme du célèbre moteur de recherche est très loin d’avoir eu l’effet escompté. « Si vous recherchez sur Google le nom d'un artiste accompagné du terme "mp3", la première page de résultats que vous obtenez est encore dominée par des liens vers des sites illicites » relève-t-elle ainsi.
Les principaux lobbys de l'industrie musicale présentent leurs requêtes aux moteurs
Que faire ? « L’IFPI et ses organisations affiliées, la RIAA pour les États-Unis et la BPI pour le Royaume-Uni, appellent les moteurs de recherche à prendre des mesures concrètes pour répondre au piratage » indique Frances Moore. Plus précisément, ce sont cinq requêtes qui sont publiquement présentées par ces lobbys de l’industrie musicale :
- Tenir « la promesse admirable » faite par Google en matière de sous-référencement de sites étant fréquemment dénoncés par les ayants droits.
- S’assurer que le retrait d'une chanson soit « efficace et ne consiste pas en un retrait temporaire, remplacé 2 secondes plus tard ».
- Fournir une « meilleure aide » aux consommateurs cherchant à accéder à des contenus légitimes. L’IFPI précise ici que des « icônes indiquant les sites autorisés » pourraient être mises en place par les moteurs pour bien distinguer le bon du reste.
- Modifier le dispositif d’auto-complétion (celui qui fait que le moteur de recherche propose un mot ou une expression avant même que l’utilisateur n'ait fini de taper sa recherche), de telle sorte que les internautes ne soient plus redirigés vers des sites pirates.
- Se questionner sur leur propre politique vis-à-vis des sites régulièrement signalés. « Pourquoi est-ce qu’après des millions de signalements à l’encontre d’un même site il n’y a pas d’impact sur les résultats de recherche ? » interroge ainsi l’IFPI.
La plupart de ces revendications avaient déjà été exprimées ces dernières années par différents lobbys d’ayants droit, notamment par la RIAA et la MPAA. Aujourd’hui, Google se trouve néanmoins dans une posture relativement délicate. En commençant à céder un peu de terrain (par exemple s’agissant du rétrogradage des sites fréquemment dénoncés), le géant de l’internet a montré aux ayants droit qu’il était prêt à lâcher du lest.
Il en va de même pour la fonction d’auto-complétion « Google Suggest ». Suite à une action initiée en France par plusieurs associations telles que l'Union des étudiants juifs de France, la firme de Mountain View a en effet accepté il y a plus d’un an de faire un peu de ménage, en purgeant de ses suggestions les associations entre le nom de certaines personnalités et le mot « juif » (voir notre article). Cette entorse n’a - sans surprise - pas manqué d’attirer l’attention des ayants droit...
L’on remarquera d’autre part que certaines des mesures contenues dans le rapport Lescure rejoignent celles de l’IFPI, notamment lorsque l’ancien PDG de Canal+ expliquait que les moteurs de recherche pourraient s’engager, sur la base du volontariat, « à dégrader le référencement (et en dernier recours à déréférencer) les sites coupables d’atteintes répétées au droit d’auteur, et à communiquer de manière transparente sur l’efficacité de ces mesures ».
Un peu plus loin, la mission sur l’Acte 2 de l’exception culturelle évoquait elle aussi la mise en place par les Google & co d’un « mécanisme de signalisation », qui permettrait de mettre en avant les sites conventionnés par le CSA au sein des résultats de recherche. C’est d’ailleurs un peu ce qu’a récemment instauré la Hadopi : un moteur de recherche mettant en avant les offres conventionnées LOL (pour « label offre légale », qui remplace le label PUR), lesquelles apparaissent en tête des résultats et se voient affublées d’une pastille, tandis que les offres « pouvant être regardées comme légales » sont simplement référencées.
Les lobbys de la musique exigent (encore) plus des moteurs de recherche
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Les principaux lobbys de l'industrie musicale présentent leurs requêtes aux moteurs
Commentaires (58)
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Abonnez-vousLe 14/01/2014 à 09h32
Le 14/01/2014 à 09h33
Le 14/01/2014 à 09h40
Le 14/01/2014 à 09h43
Le 14/01/2014 à 09h51
Le 14/01/2014 à 09h59
pfou ! toujours les mêmes erreurs, c’est fatiguant !
Non, internet n’est pas votre jouet privé.
Oui, le monde évolue, avec ou sans votre consentement.
Non, on ne censurera pas des contenus juste parce qu’ils ne vous plaisent pas.
Oui, vous allez crever si vous êtes incapables de vous adapter à la révolution de l’information.
Quand vont-ils accepter qu’internet pourvoie aux besoins de dizaines de millions de gens dans le monde et qu’on ne coupera pas cette manne pour faire plaisir à trois personnes.
Le 14/01/2014 à 10h00
Le 14/01/2014 à 10h00
Le 14/01/2014 à 10h05
Le 14/01/2014 à 10h29
Le 14/01/2014 à 10h34
Si vous recherchez sur Google le nom d’un artiste accompagné du terme “mp3”, la première page de résultats que vous obtenez est encore dominée par des liens vers des sites illicites
Google ne peut toujours pas inventer des liens qui n’existe pas. " />
icônes indiquant les sites autorisés
Ca pourrait être pratique pour filtrer plus finement mes recherche " />
Le 14/01/2014 à 10h47
Le 14/01/2014 à 11h00
https://mega.co.nz
Le 14/01/2014 à 11h08
Le 14/01/2014 à 11h19
Le 14/01/2014 à 12h33
Le 14/01/2014 à 08h24
Après une lecture en diagonale, mon impression est que les lobbys accusent presque les moteurs de recherche de collaboration au piratage.
Le 14/01/2014 à 08h28
Fournir une « meilleure aide » aux consommateurs cherchant à accéder à des contenus légitimes. L’IFPI précise ici que des « icônes indiquant les sites autorisés » pourraient être mises en place par les moteurs pour bien distinguer le bon du reste.
Et commencer par fournir une offre légale qui ne fasse pas rigoler grassement ? Non ? Pas possible ? " />
Le 14/01/2014 à 08h29
Ils sont au courant, à l’IFPI, que l’algorithmique ne s’apparente pas à de la magie ? " />
Le 14/01/2014 à 08h31
A quand le banissement des mots qui ne conviennent pas aux majors sur les moteurs de recherche ?
" />" />
Le 14/01/2014 à 08h36
C’est rigolo en cherchant à conserver leur business modèle ils vont couler google.
Car si les résultats sont systématiquement “filtrés” on va se tourner vers un autre moteur de recherche…
Ce que je conseille grandement d’ailleurs.
Le 14/01/2014 à 08h39
Le 14/01/2014 à 08h39
En gros, les sites de téléchargement ont une meilleure SEO que les sites officiels.
Le 14/01/2014 à 08h39
Se questionner sur leur propre politique vis-à-vis des sites régulièrement signalés. « Pourquoi est-ce qu’après des millions de signalements à l’encontre d’un même site il n’y a pas d’impact sur les résultats de recherche ? » interroge ainsi l’IFPI.
Parce que certain site on des milliard de liens et que les liens signaler sont diluer par les liens non signaler …
Le 14/01/2014 à 08h44
Le 14/01/2014 à 08h45
Et si on décidait que les lobbies c’est toxique et qu’on les supprimait?
Le 14/01/2014 à 08h49
J’avou que je préfère Mandy Moore " />
C’est tout ce que ça m’inspire…
Le 14/01/2014 à 08h54
Le 14/01/2014 à 09h00
Toujours pareil : ces control freaks industriels croient qu’en informatique, et a fortiori dans les systèmes complexes, il suffit de claquer des doigts pour faire ce qu’on veut. Quand bien même on pourrait le faire, vues leurs propositions, 1984 ne serait pas loin… " />
Le 14/01/2014 à 09h00
Le 14/01/2014 à 09h02
Quand comprendront-ils que ce n’est pas le piratage qui nuit l’industrie du disque, mais la multitude d’artistes différents et le portefeuille, et surtout l’allongement de la rente artistique pour les Ayant Droits. Croyez-vous que la terre puissent indéfiniment soutenir une telle quantité d’oeuvres sans cesse grandissante sans en payer le prix ?
Le 14/01/2014 à 09h02
un petit signe pour dire ce qui est bon ou pas " />
un peu comme sur les paquets de cigarettes des images pour dire que c’est pas bon ? nan sans dec et ca a des chances de fonctionner ?
ca égaye ma matinée des news comme celle-ci " />
Le 14/01/2014 à 09h05
Le 14/01/2014 à 09h05
Le 14/01/2014 à 09h11
Le 14/01/2014 à 09h16
Le 14/01/2014 à 09h19
Le 14/01/2014 à 09h21
Personnellement je me sens pas trop concerné, j’ai un compte Deezer pour la musique et j’en suis plutôt content. Le service n’est pas parfait mais l’offre reste (de me point de vu) assez intéressante.
Mais ça c’est pour la musique… en ce qui concerne les vidéos… " />
Il faut vraiment qu’ils comprennent que le gros problème dans l’histoire ce sont leurs offres…
J’insiste un peu (beaucoup trop) avec cette exemple, mais ils devraient vraiment prendre exemple sur d’autres marchés, comme celui des jeux-vidéos avec Steam.
Le 14/01/2014 à 09h22
C’est toujours pareil, il est bien plus facile de s’attaquer aux moteurs de recherche que de chercher pourquoi
Si vous recherchez sur Google le nom d’un artiste accompagné du terme “mp3”, la première page de résultats que vous obtenez est encore dominée par des liens vers des sites illicites
Fournir une « meilleure aide » aux consommateurs cherchant à accéder à des contenus légitimes. L’IFPI précise ici que des « icônes indiquant les sites autorisés » pourraient être mises en place par les moteurs pour bien distinguer le bon du reste.
" /> Mais oui c’est aux moteurs de recherche de faire ça.
Vous voulez pas aussi qu’ils fassent la musique à votre place ?
Toutefois, ça peut difficilement être pire que le label PUR.
Ça fait maintenant combien d’années qu’on est coincés dans une boucle ?
Le 14/01/2014 à 09h24
Suite à une action initiée en France par plusieurs associations telles que l’Union des étudiants juifs de France, la firme de Mountain View a en effet accepté il y a plus d’un an de faire un peu de ménage, en purgeant de ses suggestions les associations entre le nom de certaines personnalités et le mot « juif » (voir notre article).
Ce qui est une connerie sans nom. L’association de ces mots peut avoir d’autres sens qu’antisémite.
Le 14/01/2014 à 09h25
Le 14/01/2014 à 09h25
Le 14/01/2014 à 09h28
Le 14/01/2014 à 09h30
« En deux ans et demi, nous avons signalé plus de 100 millions de fois au leader mondial de la recherche en ligne qu’il fournissait des liens vers des sites mettant illégalement à disposition de la musique » a expliqué hier Frances Moore.
Si elle l’a tourné comme ça, c’est plutôt bien joué… ça fait genre “on arrête pas de lui dire (100 millions ! rendez-vous compte !) qu’il renvoie nos clients vers des méchants pirates mais Google, il fait rien qu’à continuer " />”
Le 14/01/2014 à 12h45
Le 14/01/2014 à 12h49
Mais bon, si l’utilisateur cherche “Dernier Francis Cabrel gratuit” par exemple, ça ne l’enverra pas sur un site légal, à mon avis…
=> alors qu’il suffit d’ouvrir sa radio sur Chante France " />
Le 14/01/2014 à 12h58
Le 14/01/2014 à 13h05
Le 14/01/2014 à 13h36
Le 14/01/2014 à 14h49
100 millions de fois ??!!
C’est toutes les chansons existantes ou quoi ??
Le 14/01/2014 à 20h01
L’on remarquera d’autre part que certaines des mesures contenues dans le rapport Lescure rejoignent celles de l’IFPI, notamment lorsque l’ancien PDG de Canal+ expliquait que les moteurs de recherche pourraient s’engager, sur la base du volontariat, « à dégrader le référencement (et en dernier recours à déréférencer) les sites coupables d’atteintes répétées au droit d’auteur, et à communiquer de manière transparente sur l’efficacité de ces mesures ».
Présentez nous d’abord vos progrès (inexistant au passage) sur l’offre légale que tout le monde attend depuis plusieurs année maintenant, on parlera du reste plus tard .
Un peu plus loin, la mission sur l’Acte 2 de l’exception culturelle évoquait elle aussi la mise en place par les Google & co d’un « mécanisme de signalisation », qui permettrait de mettre en avant les sites conventionnés par le CSA au sein des résultats de recherche
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Le 14/01/2014 à 21h39
La Fédération internationale de l’Industrie Pornographique (IFPI) devrait se foutre 2 doigts dans le cul et s’en contenter pour jouir…et les moteur de recherche devrait bander en virant toutes les majors qui se prostituent a leur pied, de leur résultats de recherche comme ça tout le monde serait content…Elles ne feront plus chier personne…comme çà.
RIP " />
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Le 14/01/2014 à 22h41
Au final, Google a développé des algorithmes tellement perfectionnés qu’on leur demande maintenant de tronquer, de fausser leur efficacité afin de cacher ce que regorge le Net/ légal comme illégal! Un peu la politique de l’autruche: si on ne voit pas c’est que ça n’existe pas! Hu hu hu…
Montebourg a une future carrière en perspective au sein des lobbys de la musique: demander l’arrêt du progrès afin de protéger ce qui ne l’est plus depuis longtemps! Et pas à cause des outils modernes, que sont par exemple, les moteurs de recherche mais à cause de leur immobilisme coupable!
Ces lobbys… Coupables d’avoir pensé que rien ne changerait et qu’à jamais ils auraient la facilité de nous plumer, nous les pigeons, au nom de la création artistique!
Le 14/01/2014 à 23h18
Le 14/01/2014 à 23h31
Tenir « la promesse admirable » faite par Google en matière de sous-référencement de sites étant fréquemment dénoncés par les ayants droits.
C’est fait, mais les sites “pirates” restent au top.
Ca peut vouloir dire 2 choses: ou Google n’a pas franchement change ses algos; ou les sites “pirates” sont juste tellement plus pertinents pour repondre a la recherche demandee que le “retrogradage” ne les affecte presque pas.
S’assurer que le retrait d’une chanson soit « efficace et ne consiste pas en un retrait temporaire, remplacé 2 secondes plus tard ».
Bah oui, l’informatique, c’est maaagique! Il suffit de dire “je souhaite …” et l’ordinateur s’execute. Le Djinn a la portee de tous.
Fournir une « meilleure aide » aux consommateurs cherchant à accéder à des contenus légitimes. L’IFPI précise ici que des « icônes indiquant les sites autorisés » pourraient être mises en place par les moteurs pour bien distinguer le bon du reste.
On a vu ce que ca donne avec la version francaise. Un label PUR ridicule.
Si Google s’y met, ca pourrait paraitre plus credible aux yeux de certains… et juste un epouvantail de plus pour beaucoup d’autres.
Modifier le dispositif d’auto-complétion (celui qui fait que le moteur de recherche propose un mot ou une expression avant même que l’utilisateur n’ait fini de taper sa recherche), de telle sorte que les internautes ne soient plus redirigés vers des sites pirates.
Deja fait. A plusieurs reprises et pour des sujets divers. Ca n’empeche pas les gens de chercher ce qu’ils veulent, ca les force juste a taper quelques caracteres de plus.
Se questionner sur leur propre politique vis-à-vis des sites régulièrement signalés. « Pourquoi est-ce qu’après des millions de signalements à l’encontre d’un même site il n’y a pas d’impact sur les résultats de recherche ? » interroge ainsi l’IFPI.
Et “certains” pourraient se questionner sur leur propre politique vis-a-vis de leur public. “Pourquoi est-ce qu’apres des millions de plaintes sur la disponibilite, les mesures de controle et les prix a l’unite il n’y a pas d’impact sur le business-model?”
Le 15/01/2014 à 00h39
S’assurer que le retrait d’une chanson soit « efficace et ne consiste pas en un retrait temporaire, remplacé 2 secondes plus tard ».
On voit bien qu’il y a des c" />" />" /> qui ont toujours pas pigé comment fonctionne internet.
ça me fait penser à ce qu’une association italienne avait mis en préface à une édition de “L’art de la guerre” de Sun-Tsu. Elle y écrivait notamment :“Parmi les nombreux exemples de batailles inutiles et disgracieuses - engagées dans les pires conditions et en choisissant les stratégies les plus contre-productives - combattues par par ce managing global qui aime citer Sunzi, pointe la “lutte contre le piratage de la musique”, qui souvent a été une guerre contre internet tout court et, surtout, contre le public. Il est désormais d’opinion générale qu’une telle offensive -e en cours depuis près d’une décennie - est en train de se conclure par le suicide de l’industrie discographique”.
Comme quoi le son de cloche est le même partout.
Comme le conclut si bien ladite préface :“Sunzi dit ‘La rage peut se transformer en joie, et l’indignation en plaisir; Un état ne peut toutefois réapparaitre après avoir été détruit, ni un homme peut revivre après être mort. Une évidence ? Demandez à certaines personnes, qui semblent bien loin de s’en rendre compte.”
Le 15/01/2014 à 01h30
Plus le poisson est gros plus les requins veulent le cuisiner à leur sauce " />
Le 15/01/2014 à 08h45
Les lobbys de la musique exigent (encore) plus des moteurs de recherche
des moteurs moins polluants avec catalyseurs musicaux