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Le président de LDLC annonce l’ouverture de son « École » du numérique

Vivement l'ouverture de l'école INpact

Le président de LDLC annonce l'ouverture de son « École » du numérique

Le 15 mai 2014 à 16h00

Après l'école 42 de Xavier Niel lancée l'an passé, voilà que le président du cybermarchand LDLC compte à son tour lancer sa propre école à Lyon. Destiné aux étudiants titulaires d'un baccalauréat, l'établissement proposera à partir de l'an prochain un cursus de trois ans ouvert à une centaine d'élèves. Son nom ? « L'École », tout simplement.

LDLC remises

LDLC, une boite en pleine forme

Les patrons des sociétés télécoms et high-tech ont décidément tous envie d'ouvrir leur établissement ou d'y investir. Après Xavier Niel (Free) et son école 42 ou encore Patrick Drahi (Altice/Numericable) et son financement dans l'Institut Mines-Télécom, voilà que Laurent de La Clergerie se lance. Son nom est plus méconnu, mais ce relatif anonymat pourrait ne pas durer. Il s'agit en effet du patron de LDLC, cybermarchand lyonnais bien connu pour ses ventes de produits informatiques ainsi que pour avoir racheté le site Hardware.fr.

 

Or depuis quelques années, LDLC affiche une très forte croissance de ses résultats financiers. Lors de son dernier bilan annuel, la société a ainsi atteint un chiffre d'affaires de 255 millions d'euros, en hausse de 22,7 %. Mais l'entreprise ne manque pas d'ambition. Olivier de La Clergerie, Directeur Général du Groupe et frère de, a par exemple indiqué le mois dernier que la boutique en ligne comptait dépasser les 500 millions d'euros de chiffre d’affaires sur l’exercice 2017 - 2018. Il faut dire qu'outre sa croissance sur le web, la firme fondée il y a déjà 18 ans commence à déployer des franchises, qui commencent elles aussi à générer du chiffre d'affaires et qui devraient se multiplier dans les mois et années à venir.

Répondre aux « réalités du monde actuel » et révéler les « talents inexploités »

Le vent en poupe, la société, via son président, compte donc se munir d'une école. Le but est de répondre « à une double problématique : la difficulté de recruter des profils numériques et leur manque d’adéquation avec les réalités du monde actuel ».  Un discours qui rappelle celui de l'école 42. L'objectif est d'ailleurs de faire sortir les « talents inexploités ».

 

« Je suis souvent confronté à la difficulté de recruter, précise Laurent de La Clergerie dans son communiqué. Sur certaines compétences du numérique, les profils disponibles sont rares, peu adaptés à mon activité… Alors que je sais, d’expérience, que la France fourmille de jeunes talents, non exploités car non révélés. C’est à eux que « L’Ecole » s’adresse. » Une argumentation là encore familière.

Tests de personnalité et analyses graphologiques...

Concrètement, l'établissement proposera un cursus sur trois ans. Il offrira des formations aux métiers du numérique (technologies, affaires, communication), ceci afin de préparer « des cadres généralistes, polyvalents, adaptables, à l’esprit ouvert et connecté ». L’interactivité, les séminaires, les ateliers, les mises en situation, les stages, les school camp à l’étranger, etc. seront privilégiés. « Sur la forme également, « L’Ecole » révolutionnera les apprentissages en mixant les cours en présentiel, le e-learning individuel, les conférences interactives, la pédagogie inversée… en mettant tout en œuvre pour préparer l’entrée dans le monde du travail » note LDLC.

 

Ouvert à Lyon le 15 septembre 2015, l'établissement accueillera une centaine d'étudiants pour sa première promotion. Le recrutement sera original puisqu'il se basera sur les outils utilisés en entreprises comme les tests de personnalité et de situation, les analyses graphologiques, etc. ce qui ne devrait pas plaire à tout le monde. L'information n'est pas précisée, mais selon Lyon Mag, la formation ne sera pas gratuite, contrairement à l'école 42.

 

Nous n'avons malheureusement pas pu joindre LDLC afin d'obtenir de plus amples détails, notamment sur les frais d'inscription et de formation, ou encore sur les cours qui seront précisément fournis. Nous mettrons à jour cet article en cas de précisions.

Commentaires (66)

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En France, il y a déjà tous les talents et les compétences qu’il faut en informatique.



Simplement, comme dans tous les domaines, la compétence et l’expertise se paye.



Et ça, c’est une chose que les patrons français ont encore du mal à comprendre.



Faute de débouché, les talents partent à l’étranger ou changent de métier.



A quoi bon investir dans la formation si nous ne sommes déjà pas capables de rentabiliser convenablement ceux qui ont été formés ?








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TZDZ a écrit :



Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?





Oui mais quant on sort du BAC, on est pas encore très préparé à la rudesse / rudeté / rudeure / <img data-src=" /> au caractère rude des entretiens, ni très sûr de ce qu’on a envie de faire. Or, c’est souvent durant les DUT et autres qu’on l’on forme les jeunes étudiants à se rechercher un emploi.

Et pour les étudiants étrangers, c’est encore pire de passer un entretien d’embauche ! Pour le coup, le modèle anglo-saxon s’en tire mieux.



Pour les tests de personnalité, j’me suis jamais sentit a l’aise avec ces trucs là, ça remet en question ma capacité a me couler dans le moule de la société, ce que je ne veux pas faire.


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TZDZ a écrit :



Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?







Quand on connaît le penchant des vrais geeks pour le clavier plutôt que le stylo, je doute de la pertinence.


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Excellente initiative à priori <img data-src=" />

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TZDZ a écrit :



Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?





<img data-src=" />





Sinon LDLC est une boite que j’apprécie <img data-src=" />


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Une boite en pleine forme qui n’augmente pas ses salariés en conséquence. Il est donc tout à fait normal qu’ils engendrent plein de capital.



Parlant de “l’école”, on va pas comparer l’école de ldlc qui ne prend que des bacheliers à 42 qui donne sa chance à tout le monde.



Edit: Les syndicats la bas sont d’ailleurs et sans aucun doute, de mèche avec les dirigeants pour éviter d’augmenter les salaires.

Les autorités devraient sérieusement enquêter sur les pratiques douteuses de ldlc.

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sr17 a écrit :



Quand on connaît le penchant des vrais geeks pour le clavier plutôt que le stylo, je doute de la pertinence.







Au contraire, si tu en trouves un qui utilise Comic sans MS au lieu d’Arial, Verdana… tu sais déjà quoi en conclure <img data-src=" />


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Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.

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”…analyses graphologiques…”

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John Shaft a écrit :



Au contraire, si tu en trouves un qui utilise Comic sans MS au lieu d’Arial, Verdana… tu sais déjà quoi en conclure <img data-src=" />





Calibri ça passe?


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mamath7 a écrit :



Calibri ça passe?







Yup. C’est de la police normale ça.


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John Shaft a écrit :



Au contraire, si tu en trouves un qui utilise Comic sans MS au lieu d’Arial, Verdana… tu sais déjà quoi en conclure <img data-src=" />







Tu es has-been, c’est le Comic Neue maintenant <img data-src=" />


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0rsa a écrit :



Tu es has-been, c’est le Comic Neue maintenant <img data-src=" />







<img data-src=" /><img data-src=" />


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TZDZ a écrit :



Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?





Très bien mais ne penses-tu pas qu’on peut encore améliorer la prise en compte du Feng Shui et de l’astrologie chinoise au sein de notre tissu industriel ? De même je m’interroge sur l’évident mépris de nos élites pour ces alternatives respectables à l’allopathie que sont la médecine chinoise, le maraboutisme, le vaudou et l’ostéopathie.



Certes, nous sommes le seul pays suffisamment clientéliste progressiste pour avoir décidé de taxer faire cotiser les entreprises et salariés pour subventionner rembourser la sorcellerie l’homéopathie. Pourtant j’appelle de mes voeux à aller au-delà en formant d’urgence un grand conseil suprême de la voyance à qui nous pourrons confier la direction économique de notre pays, la réforme de notre santé sur la base de bains de sièges quotidiens et de prières, et l’interdiction des ondes.


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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.







Exactement!



Ce n’est pas une “fausse école” mais c’est un établissement privé. De ce fait pour que ses diplômes délivrés soient reconnus par l’Etat il faut qu’il adresse sa demande au ministère chargé de l’enseignement supérieur qui, après étude du dossier et avis du Conseil National de l’Enseignement Supérieur Et de la Recherche (CNESER), pourra alors reconnaître la qualité des formations y étant dispensés et lui permettre de délivrer des grades de licence, master, etc.



Sans cette reconnaissance de l’Etat les diplômes n’auront pas de “valeur institutionnelle” et donc aux potentiels employeurs d’estimer s’ils pensent ou non que les étudiants en sortant ont un niveau de compétences suffisants.

Idem si après leur diplôme les étudiants souhaitent poursuivre des études dans un autre établissement.





Une autre conséquence directe est que les étudiants y suivant une formation ne pourront pas prétendre à une bourse de l’Etat pour y suivre leur études tant que les formations ne seront pas reconnues par l’Etat.





Concernant les frais d’inscription pour les établissements privés à but non lucratif ça tourne généralement entre 6000 et 10 000 euros par an tandis que pour ceux à but lucratif il n’y a pas de limite…


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TZDZ a écrit :



Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?





Jamais rencontré ça lors de mes recrutements.


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Keats` a écrit :



Ca me rappelle un reportage dans lequel un recruteur était très fier de présenter une de ses méthodes : le candidat devait choisir une carte de couleur, et selon son choix, définissait un profil :

<img data-src=" />



Bon, c’était il y a dix ans…









…………..Wow ! <img data-src=" />

Et si le mec est daltonien il est recalé d’office ? <img data-src=" />



De mémoire, le truc le plus délirant que j’ai eu en entretien RH c’était le “vous trouvez une lampe magique avec un génie qui propose trois vœux, quels sont-ils” <img data-src=" />



Me rappelle même plus ce que j’ai dit comme connerie… <img data-src=" />


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SebGF a écrit :



…………..Wow ! <img data-src=" />

Et si le mec est daltonien il est recalé d’office ? <img data-src=" />



De mémoire, le truc le plus délirant que j’ai eu en entretien RH c’était le “vous trouvez une lampe magique avec un génie qui propose trois vœux, quels sont-ils” <img data-src=" />



Me rappelle même plus ce que j’ai dit comme connerie… <img data-src=" />





Je répondrais: un entretien sans questions de ce genre.


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Winderly a écrit :



Je répondrais: un entretien sans questions de ce genre.





J’aime bien les questions assez originales invitant à une discussion, du type “combien de balles de ping-pong peut on caser dans un airbus”. Ca détend l’atmosphère et ça permet de prouver qu’on peut argumenter, faire des suppositions, des compromis, avoir un brin d’humour, etc. Et si le recruteur joue le jeu en répliquant avec des “et si … ?” c’est encore mieux.



Joel Spolski cite un bon exemple avec “combien y a-t-il d’accordeurs de pianos à Seatle ?” :



Classic examples of this are “How many piano tuners are there in Seattle?” The candidate won’t know the answer, but smart candidates won’t give up and they’ll be happy to try and estimate a reasonable number for you. Let’s see, there are probably… what, a million people in Seattle? And maybe 1% of them have pianos? And a piano needs to be tuned every couple of years? And it takes 35 minutes to tune one? All wrong, of course, but at least they’re attacking the problem. The only reason to ask a question like this is that it lets you have a conversation with the candidate. “OK, 35 minutes, but what about travel time between pianos?”







Le pire selon moi ce sont les questions auxquelles tu ne peux pas répondre si tu ne connais pas l’astuce cachée derrière, ou alors des questions sur les détails techniques d’une API alors qu’ils sont trouvables en 5 secondes sur Google… Ça, c’est vraiment le signe d’un mauvais recrutement, donc de futurs potentiellement mauvais collègues, donc =&gt;[Sortie]


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maxxyme a écrit :



“fausse” faut pas exagérer… selon ton critère l’EPITA/EPITECH aussi serait une “fausse” école. c’est juste non reconnue par l’éducation nationale… mais c’est pas eux qui embauchent hein… ;)





Epitech est reconnue par l’Etat (tu as droit aux bourses) et le diplôme est reconnu de niveau 1 (Master en gros). Tu n’a juste pas le titre d’ingénieur car l’école n’est pas reconnu par la CTI.



EDIT: Désolé plusieurs personne ont répondu avant moi j’aurai dû finir de lire les coms.


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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.





Ca prend un peu de temps d’être reconnu par l’Etat sauf si la formation est publique (forcement) ou si elle est consulaire.

La reconnaissance de l’Etat apporte la possibilité d’avoir des bourses du Crous pour les étudiants et c’est à peu près tout, c’est après que ça se gâte.



Tu as ensuite la certification RNCP qui certifie que tu as certaines compétences en fonctionnant par niveau I, II, III, IV et V. C’est décroissant donc le niveau 1 correspond au niveau Master mais avoir un diplôme certifié niveau 1 c’est donc avoir un niveau master, pas un diplôme master.



Vient ensuite le visa de l’éducation nationale qui est la première certification de qualité et à mon avis le minimum lorsque l’on paye pour une école. Sachant que l’univ est publique et qu’elle délivre des vrais master pour moins cher.

Le visa contrôle les cours, les profs, les débouchés, la recherche, c’est une vraie certifiation de qualité.



Et enfin la cerise c’est le grade de master attribué par le CEFDG ou CTI pour les ingés.

Cela confère à la formation le diplôme de master en la mettant à égalité au niveau étatique des diplômes de l’état à savoir, les masters l’universitaires.

Contrôle approfondi de la recherche, des profs et de l’insertion pro.



Plus d’information ici :

http://www.letudiant.fr/etudes/les-labels-et-accreditations-a-la-loupe-13249.htm…



Je pense que ce serait intéressant que l’équipe PCI en parle un peu en présentant 42 et l”‘école” car cela permet aux lycéens et étudiants de mieux s’orienter dans les méandres du supérieur et de tous ses acronymes.







artragis a écrit :



EPITA/EPITEC donnent des diplômes reconnus par l’état, par contre EPITEC n’est pas homologué CTI, c’est tout.







Oui donc elle ne délivre pas de master, ne forme pas des ingénieurs et fourni à ses étudiants un niveau, non un diplôme. C’est une fausse école d’ingénieur en somme.


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John Shaft a écrit :



Au contraire, si tu en trouves un qui utilise Comic sans MS au lieu d’Arial, Verdana… tu sais déjà quoi en conclure <img data-src=" />







3 polices qui picottes les yeux… surtout la première


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0rsa a écrit :



Tu es has-been, c’est le Comic Neue maintenant <img data-src=" />





<img data-src=" /> ça reste du comic quand même !


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&gt;

Oui donc elle ne délivre pas de master, ne forme pas des ingénieurs et fourni à ses étudiants un niveau, non un diplôme. C’est une fausse école d’ingénieur en somme.



EPITA est homologuée CTI.

EPITECH forme des “experts”, et donne un dipôme reconnu par l’état comme de niveau 1 (le master en est un aussi). Cela permet surtout d’avoir des ECTS et donc d’entrer dans le cursus européen pour avoir des équivalents avec quelques-uns des licences et master.

Non, EPITECH n’estp as une “fausse école d’ingénieur”, ils n’ont jamais voulu en être une (et c’est même parce que EPITA a fini par en être une que EPITECH a été créé), c’est une autre formation diplômante.

A l’opposé, 42 ne promet rien, ils ne savent même pas encore combien de temsp durerea leur formation.

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Le recrutement sera original puisqu’il se basera sur les outils utilisés en entreprises comme les tests de personnalité et de situation, les analyses graphologiques





Omagad…



On pourrait nommer les abrutis qui utilisent vraiment ça en entreprise ?

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Keats` a écrit :



J’aime bien les questions assez originales invitant à une discussion, du type “combien de balles de ping-pong peut on caser dans un airbus”. Ca détend l’atmosphère et ça permet de prouver qu’on peut argumenter, faire des suppositions, des compromis, avoir un brin d’humour, etc. Et si le recruteur joue le jeu en répliquant avec des “et si … ?” c’est encore mieux.





J’en ai beaucoup entendu parler, je n’y ai jamais été confronté, et je trouve que c’est pas forcément une bonne idée (je suis poli), sauf éventuellement à la limite les jours de pleine lune pour des postes commerciaux (cf ma remarque ci-après pour l’homogénéisation des profils).







HarmattanBlow a écrit :



Très bien mais ne penses-tu pas qu’on peut encore améliorer la prise en compte du Feng Shui et de l’astrologie chinoise au sein de notre tissu industriel ?





Pu c’est vrai ça. Bonne idée !







maxxyme a écrit :



Jamais rencontré ça lors de mes recrutements.





J’aimerais dire la même chose. Le gros problème c’est qu’actuellement le recrutement des grosses boîtes est de plus en plus confié à des boîtes de recrutement qui n’ont pas la moindre idée des pré-requis techniques à un poste et qui se basent donc sur divers tests de personnalité (histoire de faire semblant d’avoir une base sérieuse). Cette délicieuse méthode de recrutement produit en sus une homogénéisation des profils complètement stupide : en gros tous les ingénieurs (hors informatique, secteur que je ne connais pas) doivent être de bons commerciaux. Même pour un poste de R&D, hyper technique, on va être filtré arbitrairement par une boîte de RH sur les seuls critères qu’ils connaissent. Pour la graphologie, ce n’est jamais assumé, mais j’ai vu des “tests” où il fallait décrire l’entreprise dans laquelle on postulait spécifiquement à la main…


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linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> ça reste du comic quand même !







Beurk…



J’emploie du Palatino avec le package mathpazo sous LaTeX, c’est joli, original et ça n’arrache pas les yeux sur des textes un peu long, test ici (la fonte roman est celle de mes écrits)


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Mon dieu le test de graphologie… On ne se débarrassera jamais de cette horreur? :(



Sinon bonne chance aux futurs étudiants, c’est une excellente initiative <img data-src=" />









Pandours a écrit :



Oui donc elle ne délivre pas de master, ne forme pas des ingénieurs et fourni à ses étudiants un niveau, non un diplôme. C’est une fausse école d’ingénieur en somme.





Tant qu’il y a du boulot à la fin de la formation, fausse ou vraie école on s’en fiche un peu je dirai ;)


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Desirdo a écrit :



Mon dieu le test de graphologie… On ne se débarrassera jamais de cette horreur? :(





L’écriture manuscrite est devenue optionnelle dans 45 états aux USA (de mémoire). Ils ne vont plus apprendre que le scripte.

L’avenir des graphologues s’assombrit ^^


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TZDZ a écrit :



J’en ai beaucoup entendu parler, je n’y ai jamais été confronté, et je trouve que c’est pas forcément une bonne idée (je suis poli), sauf éventuellement à la limite les jours de pleine lune pour des postes commerciaux (cf ma remarque ci-après pour l’homogénéisation des profils).





En fait, je partage ton point de vue sur l’homogénéïsation des profils en France, et je ne défend nullement les tests psychologiques et autres techniques vaudou, je dis juste que des questions qui sortent du cadre purement technique peuvent être assez importantes, en particulier au niveau du comportement. Dans l’informatique tu peux vite te retrouver avec un barbu intégriste asocial très typique si tu te cantonne au technique. Et pour le côté “commercial”, devoir vendre à son chef qu’il faut ajouter 10 jours de charge pour pouvoir en gagner 40 par an par la suite, tel un commercial, ça arrive régulièrement.



Cela dit la question sur les balles de ping-pong est, je suppose (ou pas ? hmm) spécifique informatique, on a souvent à évaluer la capacité d’une solution technique à soutenir une charge croissante donc il est important de pouvoir faire ce genre de calculs à la louche histoire d’avoir un ordre de grandeur.


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Commentaire_supprime a écrit :



Beurk…



J’emploie du Palatino avec le package mathpazo sous LaTeX, c’est joli, original et ça n’arrache pas les yeux sur des textes un peu long, test ici (la fonte roman est celle de mes écrits)





<img data-src=" /> Déjà vu cette police, surement dans les exercices de mes profs d’éco ou de stats à la fac! Elle passe partout, même si je trouve un peu trop stricte. Pour un courrier juridique c’est parfait.


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Commentaire_supprime a écrit :



Beurk…



J’emploie du Palatino avec le package mathpazo sous LaTeX, c’est joli, original et ça n’arrache pas les yeux sur des textes un peu long, test ici (la fonte roman est celle de mes écrits)







Oulah, l’effet ClearType de Windows sur cette police m’a donné mal au crâne direct. Ou alors c’est mon écran qui est mal réglé ? Et pour les lignes verticales alors là c’est l’arc-en-ciel <img data-src=" />



Tu devrais peut-être demander à d’autres windowsiens, on sait jamais, au cas où je ne sois pas un cas isolé.

Photo : http://hpics.li/4683231



(cela dit si c’est destiné à être imprimé je suppose que ce n’est pas bien grave)


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LDLC, une boite en pleine forme





en forme de quoi ? <img data-src=" />

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Les tests de personnalité et analyses graphologiques c’est plutôt positif. Ça permet aux étudiants d’être confrontés au recrutement arbitraire des entreprises. Peut-être devraient-ils confier l’entretien d’entrée à des boîtes de RH, si possible ignorantes des problématiques techniques.

Ces méthodes subtiles de recrutement font leurs preuves, pourquoi s’en priver ?

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0rsa a écrit :



Tu es has-been, c’est le Comic Neue maintenant <img data-src=" />







J’aime beaucoup le nom.



Cela fait “neuhneuh” : “Comic Neuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhh”


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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.





“fausse” faut pas exagérer… selon ton critère l’EPITA/EPITECH aussi serait une “fausse” école. c’est juste non reconnue par l’éducation nationale… mais c’est pas eux qui embauchent hein… ;)


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Qu’on arrête d’asphixier les universités, qu’on arrête de concentrer l’emploi à Paris et ca marchera déjà un peu mieux

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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.





Ce sera aux employeurs de le décider. Et effectivement il y a tout de même un fort risque qu’en France, une telle école mette beaucoup de temps à être reconnue par les recruteurs et leurs fameuses grilles de niveau.



Cela dit de plus en plus de boîtes réduisent l’importance de l’école lors de recrutement, même si on est loin d’atteindre la flexibilité de pays comme le Royaume-Uni (j’ai un ancien collègue qui y est allé avec juste un petit diplôme de l’AFPA et il y a trouvé un job d’ingénieur en seulement un mois, alors qu’en France il a toujours été bloqué au niveau technicien).


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Thoscellen a écrit :



Oui mais quant on sort du BAC, on est pas encore très préparé à la rudesse / rudeté / rudeure / <img data-src=" /> au caractère rude des entretiens, ni très sûr de ce qu’on a envie de faire. Or, c’est souvent durant les DUT et autres qu’on l’on forme les jeunes étudiants à se rechercher un emploi.

Et pour les étudiants étrangers, c’est encore pire de passer un entretien d’embauche ! Pour le coup, le modèle anglo-saxon s’en tire mieux.



Pour les tests de personnalité, j’me suis jamais sentit a l’aise avec ces trucs là, ça remet en question ma capacité a me couler dans le moule de la société, ce que je ne veux pas faire.







D’ailleurs, quand on connaît le profile psychologique assez particulier des vrais talents en informatique, il est évident que le recrutement “à la française” ne peut que les faire fuir.



Au final, ce système contribue à faire émerger des profils “lisses” mais rarement talentueux.





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ajams a écrit :



“…analyses graphologiques…”

<img data-src=" />







+1.



C’est une pseudo-science. Valeur = nulle.


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Commentaire_supprime a écrit :



+1.



C’est une pseudo-science. Valeur = nulle.





Un chercheur a d’ailleurs encore récemment pointé du doigt ces méthodes de recrutement.


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EPITA/EPITEC donnent des diplômes reconnus par l’état, par contre EPITEC n’est pas homologué CTI, c’est tout.

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sr17 a écrit :



En France, il y a déjà tous les talents et les compétences qu’il faut en informatique.



Simplement, comme dans tous les domaines, la compétence et l’expertise se paye.



Et ça, c’est une chose que les patrons français ont encore du mal à comprendre.



Faute de débouché, les talents partent à l’étranger ou changent de métier.



A quoi bon investir dans la formation si nous ne sommes déjà pas capables de rentabiliser convenablement ceux qui ont été formés ?





C’est une tentative pour faire baisser les salaires des ‘informaticiens’ français <img data-src=" />


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LDLC a enlevé la mention des tests graphologiques de leur article, mais on la voit bien dans le cache Google (J’ai signalé ce changement à Nil).

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maxxyme a écrit :



“fausse” faut pas exagérer… selon ton critère l’EPITA/EPITECH aussi serait une “fausse” école. c’est juste non reconnue par l’éducation nationale… mais c’est pas eux qui embauchent hein… ;)







Un diplôme reconnu, en France, c’est quand même un énorme avantage. Rien qu’a cause des conventions collectives et des barèmes dans certaines entreprises.



Une formation non reconnue peut convenir, mais à condition qu’elle soit réputée. Ce ne sera malheureusement pas le cas de toutes.



Dites vous bien qu’en informatique, il y a la période de temps ou vous serez “prisé”, c’est à dire jusqu’a 35 ans. Et ensuite il y a l’après qui est beaucoup plus dur à gérer.



Il n’est pas réellement certain que l’on se rappellera de la formation de l’entreprises XY dans 20 ans.


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Z-os a écrit :



C’est une tentative pour faire baisser les salaires des ‘informaticiens’ français <img data-src=" />







Le salaire des informaticiens est déjà parmi les plus bas comparé à d’autres diplômes de durée équivalente. Sans parler des carrières qui sont parmi les plus courtes.



C’est clairement une profession qui ne sait pas se défendre.


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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.







42 n’a même pas de certification RNCP ? C’est le minimum et ce n’est pas même pas un gage de qualité …

Ça reste risqué d’intégrer ce genre d’école sans aucun retour ni anciens élèves sur le marché du travail.


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maxxyme a écrit :



Jamais rencontré ça lors de mes recrutements.







Le test de personnalité fait par un RH ça peut varier, genre ils te demandent de remplir un questionnaire avant l’entretien ou déterminent pendant l’entretien RH.



Ca encore c’est loin d’être déconnant pour cerner le profil professionnel d’une personne, dans mon cas sur les différents que j’ai fait je m’y suis retrouvé par rapport à mon expérience et relationnel au boulot.



Par contre j’ai jamais eu de trucs de charlatant du genre graphologie et compagnie…


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0rsa a écrit :



Tu es has-been, c’est le Comic Neue maintenant <img data-src=" />





Je vois pas la différence entre Comic Neue Light, Comic Neue Regular, Comic Neue Angular Light et Comic Neue Angular Regular.

Je vois pas la différence entre Comic Neue Light Oblique, Comic Neue Regular Oblique, Comic Neue Angular Light Oblique et Comic Neue Angular Regular Oblique.

Je vois pas la différence entre Comic Neue Bold et Comic Neue Angular Bold.

Je vois pas la différence entre Comic Neue Bold Oblique et Comic Neue Angular Bold Oblique.


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SebGF a écrit :



Le test de personnalité fait par un RH ça peut varier, genre ils te demandent de remplir un questionnaire avant l’entretien ou déterminent pendant l’entretien RH.



Ca encore c’est loin d’être déconnant pour cerner le profil professionnel d’une personne, dans mon cas sur les différents que j’ai fait je m’y suis retrouvé par rapport à mon expérience et relationnel au boulot.



Par contre j’ai jamais eu de trucs de charlatant du genre graphologie et compagnie…





Ca me rappelle un reportage dans lequel un recruteur était très fier de présenter une de ses méthodes : le candidat devait choisir une carte de couleur, et selon son choix, définissait un profil :

Vous voyez, là, on a un candidat qui a choisi le jaune. Le jaune, c’est la couleur de l’ambition. On ne veut pas de quelqu’un d’ambitieux



<img data-src=" />



Bon, c’était il y a dix ans…


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artragis a écrit :



&gt;



EPITA est homologuée CTI.

EPITECH forme des “experts”, et donne un dipôme reconnu par l’état comme de niveau 1 (le master en est un aussi). Cela permet surtout d’avoir des ECTS et donc d’entrer dans le cursus européen pour avoir des équivalents avec quelques-uns des licences et master.

Non, EPITECH n’estp as une “fausse école d’ingénieur”, ils n’ont jamais voulu en être une (et c’est même parce que EPITA a fini par en être une que EPITECH a été créé), c’est une autre formation diplômante.

A l’opposé, 42 ne promet rien, ils ne savent même pas encore combien de temsp durerea leur formation.







Oui Epitech offre davantage de certifications que 42 on est d’accord.

Par contre non, avec la certification RNCP tu n’as pas d’équivalence avec les licences master.

Donc si tu veux, tu peux pas faire 3 ans Epitech puis partir en master à l’univ/école d’ingé, tu es obligé de finir les 5 ans pour avoir un diplôme et là impossible d’aller à l’univ ou alors en Licence 1.



Voir ici :







Ce que ne garantit pas l’enregistrement.

La commission ne juge pas la qualité de la formation, mais son résultat. C’est pourquoi trois promotions doivent être diplômées avant que l’école puisse solliciter le RNCP. Cependant, il existe un biais dans la procédure. Un groupe d’écoles qui crée un nouvel établissement dans un autre domaine d’enseignement, peut annoncer, dès la nouvelle rentrée, qu’il délivre des diplômes inscrits au répertoire. Comment ? Il lui suffit de délivrer le nouveau diplôme au nom d’une autre école du groupe dont les formations, plus anciennes, sont déjà inscrites au répertoire. Un peu de vigilance s’impose donc pour vous assurer, sur le site du RNCP, que c’est bien le diplôme que vous visez qui est inscrit au répertoire.

Par ailleurs, vous ne pouvez pas dire que votre titre équivaut à un master, même s’il est de niveau I. Le RNCP utilise comme référence les diplômes de l’Education nationale, mais ça ne signifie pas qu’il y a automatiquement équivalence sur le plan académique. Autrement dit, un titre enregistré au niveau II (correspondant à un bac + 3 ou bac + 4) ne permet pas nécessairement une poursuite d’études en master.

Enfin, la CNCP ne s’occupe que des titres qui mènent à un métier. Ceux qui sanctionnent la maîtrise d’une langue ou d’un logiciel, par exemple, ne sont pas enregistrés.





http://www.letudiant.fr/etudes/les-certifications-et-labels-transversaux-17053.h…



PS : je ne suis pas ingé ni dans une école concurrente hein^^. Je suis étudiant en ESC.







Desirdo a écrit :



Tant qu’il y a du boulot à la fin de la formation, fausse ou vraie école on s’en fiche un peu je dirai ;)







C’est pas faux. <img data-src=" />


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linconnu a écrit :



Attention comme 42 il semblerait que ça soit une fausse école c’est à dire non reconnue par l’éducation nationale donc si vous y aller vous n’aurez rien à la fin vous serez un bac + 0.







En même temps, l’intéret de 42, c’est de proposer des méthodes pédagogiques différentes pour des gens qui n’ont pas le profil standard.



Même si la réputation de free sur le plan technique donne un a priori favorable, personne ne sait encore ce que ça vaudra vraiment sur le marché dans quelques années.



D’autant qu’une bonne partie de l’industrie ne veut pas des génies de l’informatique, ni des créatifs qui font de l’innovation. Ils veulent surtout des employés bien formatés, dociles et qui ne coûtent pas cher.



Donc la réponse à la question dépendra de la capacité des entreprises françaises à exploiter des vrais talents. Et ça, c’est pas gagné.



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sr17 a écrit :



D’autant qu’une bonne partie de l’industrie ne veut pas des génies de l’informatique, ni des créatifs qui font de l’innovation. Ils veulent surtout des employés bien formatés, dociles et qui ne coûtent pas cher.







Non, ca c’est que veulent les SSII: des profils standards, formatés et interchangeables qui se vendent bien.



L’industrie elle cherche réellement des génies et des créatifs… le problème c’est qu’elle les cherche dans les offres des SSII <img data-src=" />


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Desirdo a écrit :



Mon dieu le test de graphologie… On ne se débarrassera jamais de cette horreur? :(







Les tests graphologiques et autres bêtises astrologiques (ou numérologiques) n’ont qu’une seule raison d’être : meubler la prestation de recruteurs qui n’ont pas réellement la capacité à évaluer les aptitudes technique des candidats. <img data-src=" />


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127.0.0.1 a écrit :



Non, ca c’est que veulent les SSII: des profils standards, formatés et interchangeables qui se vendent bien.



L’industrie elle cherche réellement des génies et des créatifs… le problème c’est qu’elle les cherche dans les offres des SSII <img data-src=" />







C’est clair.


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Donc si tu veux, tu peux pas faire 3 ans Epitech puis partir en master à l’univ/école d’ingé



Si, je suis dans une école d’ingé et on a accueilli un bac+3 épitech en 4ème année. C’est juste que l’école a décidé d’invalidé quelques ECTS qu’il a dû rattraper en plus des cours normaux.

Comme je l’ai dit “certaines écoles et certains master”, c’est bien évidemment pas automatique mais ça ouvre les portes quand même.



En même temps, l’intéret de 42, c’est de proposer des méthodes pédagogiques différentes pour des gens qui n’ont pas le profil standard.



méthodes qui sont déjà proposées ailleurs mais avec un vrai programme pédagogique et un vrai but. Quand tu sais pas combien de temps tu vas garder les gens, c’est pas honnête.

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Keats` a écrit :



Oulah, l’effet ClearType de Windows sur cette police m’a donné mal au crâne direct. Ou alors c’est mon écran qui est mal réglé ? Et pour les lignes verticales alors là c’est l’arc-en-ciel <img data-src=" />



Tu devrais peut-être demander à d’autres windowsiens, on sait jamais, au cas où je ne sois pas un cas isolé.

Photo : http://hpics.li/4683231



(cela dit si c’est destiné à être imprimé je suppose que ce n’est pas bien grave)







<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



A priori, tu devrais voir si en étalonnant ton écran, ça ne passerait pas mieux.



Mais comme toutes les polices LaTeX, Palatino du package mathpazo est destinée à l’impression.



Si tu as quelques feuilles de papier à gâcher, essaye d’imprimer ce texte, c’est de la Palatino.







linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> Déjà vu cette police, surement dans les exercices de mes profs d’éco ou de stats à la fac! Elle passe partout, même si je trouve un peu trop stricte. Pour un courrier juridique c’est parfait.







Je l’ai prise pour des raisons esthétiques. J’écris des textes longs (jusqu’à 400 pages pour un roman, et j’ai dépassé les 25k mots hier soir sur la nouvelle que je suis en train de rédiger en ce moment) et je cherchais une police que je trouve jolie, sans fioritures, et qui accroche suffisamment l’oeil du lecteur sans le ralentir dans sa lecture de textes longs.



Un inconvénient que j’y trouve, c’est que les majuscules ne sont pas toujours bien repérables dans les textes longs, et je trouve que le gras est insuffisamment visible dans la même taille de fonte, bien qu’il rende bien en titres. Par contre, l’italique a un excellent rendu, et il tranche bien avec le texte normal, mieux qu’avec une police sans sérif genre arial.


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Keats` a écrit :



J’aime bien les questions assez originales invitant à une discussion, du type “combien de balles de ping-pong peut on caser dans un airbus”. Ca détend l’atmosphère et ça permet de prouver qu’on peut argumenter, faire des suppositions, des compromis, avoir un brin d’humour, etc. Et si le recruteur joue le jeu en répliquant avec des “et si … ?” c’est encore mieux.



Joel Spolski cite un bon exemple avec “combien y a-t-il d’accordeurs de pianos à Seatle ?” :







Le pire selon moi ce sont les questions auxquelles tu ne peux pas répondre si tu ne connais pas l’astuce cachée derrière, ou alors des questions sur les détails techniques d’une API alors qu’ils sont trouvables en 5 secondes sur Google… Ça, c’est vraiment le signe d’un mauvais recrutement, donc de futurs potentiellement mauvais collègues, donc =&gt;[Sortie]





C’est peut-être la réponse qu’ils attendent, car la plupart des candidats tenteront de faire illusions…. et le plus pertinent c’est celui qui donne le moyen d’avoir la réponse juste.


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Arrêtez de cracher sur le test de graphologie, il ne faut pas croire que parce que le candidat écrit mal il sera recalé !



Personnellement j’ai eu à faire une lettre de motivation manuscrite pour mon emploi, ça permet de faire le test de graphologie et d’écarter les informaticiens trop fainéants <img data-src=" />



On m’a dit par la suite que ça n’a rien de décisif, c’est juste un petit plus, comme le genre de questions “quels sont vos hobbies” ou “quelle est votre plus grande qualité”.



(3615 mylife : j’ai été embauché par cette même boîte alors que j’écris très mal, la faute en partie à un accident du bras et au fait que je manipule mieux le clavier/souris que stylo/feuille <img data-src=" /> )

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TZDZ a écrit :



J’aimerais dire la même chose. Le gros problème c’est qu’actuellement le recrutement des grosses boîtes est de plus en plus confié à des boîtes de recrutement qui n’ont pas la moindre idée des pré-requis techniques à un poste et qui se basent donc sur divers tests de personnalité (histoire de faire semblant d’avoir une base sérieuse). Cette délicieuse méthode de recrutement produit en sus une homogénéisation des profils complètement stupide : en gros tous les ingénieurs (hors informatique, secteur que je ne connais pas) doivent être de bons commerciaux. Même pour un poste de R&D, hyper technique, on va être filtré arbitrairement par une boîte de RH sur les seuls critères qu’ils connaissent. Pour la graphologie, ce n’est jamais assumé, mais j’ai vu des “tests” où il fallait décrire l’entreprise dans laquelle on postulait spécifiquement à la main…





Ah donc effectivement, nous ne devons pas parler de la même chose, car justement, mon secteur c’est l’informatique, et là, les boîtes de recrutement ont intérêt à trouver le bon profil technique, sinon c’est chaud pour elles !!!


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“les analyses graphologiques,”



Je croyais que cela avait disparu du recrutement français depuis au moins 15 ans. C’était pas franchement reconnu pour rester poli, surtout à l’international.

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DownThemAll a écrit :



Arrêtez de cracher sur le test de graphologie, il ne faut pas croire que parce que le candidat écrit mal il sera recalé !



Personnellement j’ai eu à faire une lettre de motivation manuscrite pour mon emploi, ça permet de faire le test de graphologie et d’écarter les informaticiens trop fainéants <img data-src=" />



On m’a dit par la suite que ça n’a rien de décisif, c’est juste un petit plus, comme le genre de questions “quels sont vos hobbies” ou “quelle est votre plus grande qualité”.



(3615 mylife : j’ai été embauché par cette même boîte alors que j’écris très mal, la faute en partie à un accident du bras et au fait que je manipule mieux le clavier/souris que stylo/feuille <img data-src=" /> )



ce n’est pas le fait d’écrire mal qui ne va pas, c’est juste que ce test est aussi fiable que l’astrologie, à peu de choses près.


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DownThemAll a écrit :



Arrêtez de cracher sur le test de graphologie, il ne faut pas croire que parce que le candidat écrit mal il sera recalé !



Personnellement j’ai eu à faire une lettre de motivation manuscrite pour mon emploi, ça permet de faire le test de graphologie et d’écarter les informaticiens trop fainéants <img data-src=" />



On m’a dit par la suite que ça n’a rien de décisif, c’est juste un petit plus, comme le genre de questions “quels sont vos hobbies” ou “quelle est votre plus grande qualité”.



(3615 mylife : j’ai été embauché par cette même boîte alors que j’écris très mal, la faute en partie à un accident du bras et au fait que je manipule mieux le clavier/souris que stylo/feuille <img data-src=" /> )







Visiblement, tu ne sais pas ce qu’est la graphologie. Une lettre manuscrite prouve qu’on est capable d’écrire à la main, sans aide de dictionnaires intégrés, etc.



La graphologie est une pseudo-science qui affirme pouvoir cataloguer les individus (type de personnalité, caractère, névroses) à partir de ta façon d’écrire. Ça n’a rien à voir avec le fait d’écrire mal ou bien : sont considérés des critères précis tels que les marges, le rapport écriture/espaces, la taille des lettres, l’orientation. Ça aboutit à des jugements du type : “une écriture penchée vers la gauche est révélatrice d’une personnalité ayant un goût pour le passé…”



C’est dangereux comme toutes les pseudo-sciences qui affirment pouvoir cataloguer les individus.



De plus je ne comprends pas le premier point de ton message. Dirais-tu pareil de l’astronogie, d’une analyse du visage, de l’importance de la couleur de peau ? Si ce n’est pas un critère invalidant, pourquoi le considérer ?


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artragis a écrit :



méthodes qui sont déjà proposées ailleurs mais avec un vrai programme pédagogique et un vrai but. Quand tu sais pas combien de temps tu vas garder les gens, c’est pas honnête.







Fixer des programmes et des buts tout au long de la vie d’un étudiant, n’est ce pas aussi leur désapprendre à le faire par eux même ?



Donc je pense que cela peut faire partie de la méthode.



Il est possible que l’idée soit née du constat qu’en informatique certains autodidactes ont de grandes qualités. Et que ces qualités sont justement nées de cette absence de cadre qui leur as permis d’apprendre à apprendre et de devenir plus créatifs sur le long terme.



Quand à la durée, si l’idée d’une école c’est de revenir à l’idée d’apprendre et non pas de faire juste de la sélection, la durée a t’elle toujours de l’importance ?



Dans ce contexte n’est ce pas aux élèves de savoir quand ils cessent de progresser et doivent passer à autre chose ?



Enfin, je pense que l’idée est peut être de récupérer certains profils de surdoués qui ne peuvent pas réussir dans le système classique.


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Fixer des programmes et des buts tout au long de la vie d’un étudiant, n’est ce pas aussi leur désapprendre à le faire par eux même ?



quand tu es une école tu as un véritable but pédagogique. Il ne s’agit pas simplement de quantité de connaissance (puisque quoi qu’il arrive 90% des dites connaissances seront soit oubliées soit obsolètes (on est dans les IT ^^) à la fin de la période d’apprentissage) mais surtout de la cible professionnelles qui est visée.



Quand une école ne sait tellement pas ce qu’elle veut qu’elle ne prévoit ni diplôme ni le nombre d’années nécessaire à arriver à son but pédagogique (on parle bien de l’école, pas de l’élève pour l’instant), c’est vraiment malhonnête.

Les programmes c’est pas une manière de désapprendre. Quand tu es en études supérieur, très souvent tu as une grande souplesse dans les modules que tu choisis. Par contre c’est au département pédagogique de l’école de choisir quels modules proposer et pour cela il faut avoir vraiment réfléchi à l’objectif pédagogique. Une école c’est pas une formation e-learning payée par ton entreprise hein, c’est totalement autrechose. Et que 42 ait des méthodes pédagogiques propres est une hcose, mais qu’elle ne se comporte pas comme une école tout en prétendant en être une c’en est une autre et pour moi elle est très grave.





Il est possible que l’idée soit née du constat qu’en informatique certains autodidactes ont de grandes qualités. Et que ces qualités sont justement nées de cette absence de cadre qui leur as permis d’apprendre à apprendre et de devenir plus créatifs sur le long terme.





Mouai, faut arrêter de répéter la communication très marketting de l’école. Perso je dirai que 50% de ma formation est autodidacte, je suis dans une école d’ingé CTI, et sans les 50% non “autodidacte” je ne serai pas dans une telle situation de réussite, pourtant je ne fais pas partie des cancres !





Quand à la durée, si l’idée d’une école c’est de revenir à l’idée d’apprendre et non pas de faire juste de la sélection, la durée a t’elle toujours de l’importance ?



Oui ! une école c’est un projet pédagogique, par définition, un projet a une date de fin connue dès le début du projet (date de fin qui peut bouger, certes, mais elle doit exister, sinon c’est pas un projet). Or en disant aux gens “bah écoutez, vous êtes là, mais vous savez pas pour combien de temps”, ils n’ont pas un projet pédagogique et pour les élèves c’est encore pire car cela limite leur projet professionnel.

42 est une école nécessaire (dans sa pédagogie, dans son niveau de recrutement, dans les principes inculqués) mais sa communication et son manque de transparence limitent énormément la confiance que je lui confie.





Dans ce contexte n’est ce pas aux élèves de savoir quand ils cessent de progresser et doivent passer à autre chose ?



OMG : la progression ne s’arrête pas à la fin de tes études, et heureusement !

Ensuite entre une simple formation et une école il y a des différences importantes; tu veux te former : va sur FUN/coursera/MVA…





Enfin, je pense que l’idée est peut être de récupérer certains profils de surdoués qui ne peuvent pas réussir dans le système classique.



Dans le domaine des IT, le système classique -qui est déjà très varié- va justement permettre un vrai épanouissement aux sur doués. 42 ne vise pas du tout ces gens là, faut arrêter de répéter leur com.

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artragis a écrit :



quand tu es une école tu as un véritable but pédagogique. Il ne s’agit pas simplement de quantité de connaissance (puisque quoi qu’il arrive 90% des dites connaissances seront soit oubliées soit obsolètes (on est dans les IT ^^) à la fin de la période d’apprentissage) mais surtout de la cible professionnelles qui est visée.



Quand une école ne sait tellement pas ce qu’elle veut qu’elle ne prévoit ni diplôme ni le nombre d’années nécessaire à arriver à son but pédagogique (on parle bien de l’école, pas de l’élève pour l’instant), c’est vraiment malhonnête.

Les programmes c’est pas une manière de désapprendre. Quand tu es en études supérieur, très souvent tu as une grande souplesse dans les modules que tu choisis. Par contre c’est au département pédagogique de l’école de choisir quels modules proposer et pour cela il faut avoir vraiment réfléchi à l’objectif pédagogique. Une école c’est pas une formation e-learning payée par ton entreprise hein, c’est totalement autrechose. Et que 42 ait des méthodes pédagogiques propres est une hcose, mais qu’elle ne se comporte pas comme une école tout en prétendant en être une c’en est une autre et pour moi elle est très grave.







Mouai, faut arrêter de répéter la communication très marketting de l’école. Perso je dirai que 50% de ma formation est autodidacte, je suis dans une école d’ingé CTI, et sans les 50% non “autodidacte” je ne serai pas dans une telle situation de réussite, pourtant je ne fais pas partie des cancres !





Oui ! une école c’est un projet pédagogique, par définition, un projet a une date de fin connue dès le début du projet (date de fin qui peut bouger, certes, mais elle doit exister, sinon c’est pas un projet). Or en disant aux gens “bah écoutez, vous êtes là, mais vous savez pas pour combien de temps”, ils n’ont pas un projet pédagogique et pour les élèves c’est encore pire car cela limite leur projet professionnel.

42 est une école nécessaire (dans sa pédagogie, dans son niveau de recrutement, dans les principes inculqués) mais sa communication et son manque de transparence limitent énormément la confiance que je lui confie.



OMG : la progression ne s’arrête pas à la fin de tes études, et heureusement !

Ensuite entre une simple formation et une école il y a des différences importantes; tu veux te former : va sur FUN/coursera/MVA…



Dans le domaine des IT, le système classique -qui est déjà très varié- va justement permettre un vrai épanouissement aux sur doués. 42 ne vise pas du tout ces gens là, faut arrêter de répéter leur com.







En ce qui me concerne, je n’ai jamais lu la “com” de cette école.



En revanche, je sais comment des autodidactes se sont formés. Sans buts pédagogiques, sans cadre. Et certains n’en sont pas moins devenus excellents et avec des qualités que la plupart des diplômés ne possèdent pas.



En matière d’enseignement, je pense qu’il faut réaliser que diriger les gens, c’est leur empêcher d’apprendre à la faire.



Parce que l’apprentissage ne s’arrête pas au diplôme et que par la suite, personne ne vous dira ce qu’il faut apprendre et comment. Beaucoup cesseront alors de progresser parce qu’ils n’ont jamais appris à apprendre sans cadre pédagogique.


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