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Sans intérêt

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875 commentaires

Le 28/11/2018 à 11h 10

Ils prennent quelles substances récréatives, à la CADA ? Parce qu’elles ont l’air plutôt sympa. Je veux bien y goûter aussi.



Voyons les choses du bon côté, à savoir qu’il est possible d’obtenir certains des documents administratifs, même abusivement censurés, et même en devant chercher un peu partout sur le Net, avec l’incertitude d’intégrité que cela implique.



Du coup, il n’y a plus qu’à monter un SciHub des documents administratifs français ? Et de les diffuser en P2P, histoire d’en réduire les coûts d’infrastructure ?



Je veux dire : aussi hallucinante la décision de la CADA puisse être, elle nous indique la marche à suivre pour aller plus loin.

Le 27/11/2018 à 21h 55

Avons-nous lu le même article ? Ce “niet”, ou absence de réponse, déclenchent une procédure CADA et, le cas échéant, une poursuite en TA. D’où “un coût conséquent.”



Certes, ce coût n’est peut-être pas directement répercuté à l’administration ayant opposé la communication des documents dont elle a l’obligation légale de publier en premier lieu.

Le 27/11/2018 à 16h 17

Actuellement, l’administration dépense un coût conséquent dans la non communication des documents, en rallongeant les procédures de justice administrative, dans l’espoir de dissuader financièrement les citoyens.



Le but de la démarche que j’ai suggérée ne vise pas à ruiner l’administration, mais à la forcer de changer de stratégie, à savoir, le respect de la loi. Continuer à être hors la loi lui serait horriblement coûteux. Respecter la loi ? Un coût presque nul.



Rappelons qu’il s’agit juste de mettre à disposition du public des documents de taille modeste (on parle de quoi ? des dizaines de Kio à centaines de Mio par document, grand maximum, avec un maximum de quelques milliers de documents annuels par administration ?) Ce ne sont pas les prestataires qui manquent dans ce domaine, à des coûts moindres. Voire gratuits.



Aussi, la mise à disposition de ces documents, même en vrac, quitte à ce que des tiers les indexent et trient, représente un coût ridicule pour l’administration, bien moindre que l’ensemble des coûts d’une unique procédure CADA.



Bien entendu, l’exemple de l’INSEE serait souhaitable, avec une classification claire, des fichiers dans divers formats interopérables, des données brutes, des données synthétiques, ou encore des analyses. Mais ce n’est pas même ce que l’on réclame ici.

Le 27/11/2018 à 14h 26

Si je comprends bien, les administrations hors la loi n’ont aucune conséquence à ne pas la respecter, et le coût et la longueur d’une procédure individuelle est absurdement excessif pour faire appliquer la loi.



Un début de solution ne pourrait-il pas d’inverser cette situation ? En l’occurrence, rendre pour l’administration le coût du refus de communication par défaut horriblement onéreux ?



Ainsi, à l’instar d’un Piphone lancé par la Quadrature du Net pour contacter aisément son député, ne serait-il pas possible de créer un service de demande de documents administratifs que plusieurs milliers de personnes pourraient solliciter en même temps, paralysant ainsi l’administration sous les requêtes individuelles, dont la démarche la plus censée serait d’ouvrir les documents par défaut au plus grand nombre, tel que l’exige la loi ?



Je comprends bien que l’administration pourrait se contenter d’ignorer ces demandes. Néanmoins, rien que la réception de celles-ci pourrait réclamer un traitement absurdement élevé face à l’enjeu illégitime et illégal de ne pas y répondre favorablement.

Le 23/11/2018 à 21h 59

Il y a peu de coûts variables, mais d’énormes coûts fixes : la R&D de la place de marché, sa mise en place. Plus l’ensemble des frais marketing liés à sa notoriété.



Sur Android, Google Play est prépondérant, mais ce n’est pas la seule boutique. Chaque constructeur de mobile a la sienne, dont Samsung et Amazon. Même une boutique de jeux vidéo aussi modeste (!) que Humble Bundle a la sienne, indépendante de Google Play. Epic Games a créé la sienne, de boutique, pour y vendre un seul jeu vidéo : Fortnite. Chaque développeur peut fournir son exécutable à loisirs, pour peu, en effet, qu’il sache convaincre ses utilisateurs de configurer leur téléphone en conséquence.



Sous Windows, on peut continuer à installer des applications indépendamment de toute boutique. On y trouve aussi le Windows Store, mais aussi des boutiques non affiliées à Microsoft, telles celles de Steam et de GoG.



Concernant la vente à distance de biens manufacturés, la concurrence entre places de marché existe. En France : Amazon, Fnac, Cdiscount, Rue du Commerce. Sans oublier eBay, ou encore Le Bon Coin. (Irai-je jusqu’à parler d’Alibaba et de son AliExpress ? Hum…)



Dans une autre vie, je maintenais, gratuitement, la boutique d’une e-commerçante qui y vendait ses propres poupées : elle considérait que payer quelques pour cent à eBay et PayPal était déjà trop cher payé. Mais elle a fini par céder : la maintenance de sa boutique (catalogue, marketing, facturation, service après-vente, etc.), même à base de logiciels gratuits et de maintenance technique gratuite était beaucoup plus cher. En temps.



Les places de marché coûtent peut-être trop, ou pas. Mais elles apportent tout de même une valeur ajoutée. Et celle-ci n’est pas moindre.

Le 23/11/2018 à 19h 23

Pourquoi devrait-on obliger les places de marché à limiter leurs tarifs ? Est-ce bien le rôle de l’Etat, que de réguler les tarifs d’un marché libre, en particulier sur des biens ou services non essentiels, comme c’est le cas habituellement ?



30 % de marge, que tu juges “énorme”, correspond à la moyenne de la marge commerciale du commerce de détail, en France (2016).

Le 23/11/2018 à 16h 45

J’ignore quel était le nombre d’entreprises attendu, mais cinquante six pour répondre à un appel en l’espace de trois semaines, sans vraiment savoir quoi s’en attendre, voire risquer d’éventuelles représailles de la part des places de marché, voici qui est déjà un bon début.



Rappelons que les TPE et PME étaient en train de préparer les Black Friday, Cyber Monday, et, surtout, les fêtes de fin d’année, pour enchaîner ensuite sur les soldes de janvier. Leurs petits patrons ont un calendrier déjà largement chargé, et échanger avec un Secrétaire d’Etat n’est sans doute pas leur priorité, même pour tenter de résoudre des difficultés commerciales.

Le 19/11/2018 à 11h 34

Voici qui serait pertinent et rassurerait les consommateurs !



Car derrière le terme générique “financement participatif”, on trouve essentiellement des préventes. Le consommateur se trouve ainsi démuni face à un défaut quelconque, en particulier lorsque le prestataire disparaît, soit parce qu’il s’agissait d’une pure escroquerie (il y en a), soit parce qu’il a échoué à développer le produit qu’il a “survendu.”



Comment financer ?



Une piste est d’ouvrir le capital aux investisseurs. Car qui dit financement d’un nouveau produit dit risque, et ce n’est plus au consommateur, mais à l’investisseur, de l’assumer, avec les intérêts financiers qui en résultent en cas de succès. Dans le “financement participatif” actuel, le mieux que le consommateur puisse espérer, c’est un tarif préférentiel à un hypothétique prix catalogue une fois le produit finalisé. À supposé qu’il soit un jour finalisé, et que le produit soit vendu en dehors de sa “campagne de financement participatif.”



Une autre piste, pour les entreprises, est de contacter leur banque en vue d’un prêt. Celle-ci pourra alors étudier la solidité du dossier pour s’assurer du remboursement. Avoir des clients et des préventes limite le risque financier. Mais ne le fait pas disparaître. Encore faut-il concevoir et livrer le produit. Ce que bon nombre de campagnes semblent se passer.



Bref, accepter l’idée que Indiegogo ou Kickstarter soient des sites de préventes avec livraison garantie serait utile et rassurant pour le marché. D’ailleurs, PayPal bloque régulièrement les fonds des entreprises faisant appel à ces sites, pour limiter la casse en cas de leur défaillance. Cela ne ferait donc que clarifier la situation, protéger le consommateur et professionnaliser la démarche.

Le 13/11/2018 à 11h 55

Le premier chapitre indique des noms de domaines, dont le premier du moins, existe bel et bien, et n’est qu’une redirection vers un site tiers, disposant d’un scrolling infini empêchant d’attendre le bas de page où figure certainement un lien vers les mentions légales. Ou pas. On ne le saura jamais. <img data-src=" />

Le 12/11/2018 à 18h 22

C’est trop tard, pour géolocaliser Johnny ? Quid des autres évadés fiscaux et la géolocalisation de leurs comptes Instagram ?

Le 08/11/2018 à 10h 42







Olbatar a écrit :



Encore une fois samsung copie apple !



C’est Apple qui a été la premier à proposer un smartphone qui se plie dans la poche !!





L’article est clairement trompeur. La vraie innovation de Samsung est que l’écran se.. déplie. <img data-src=" />


Le 08/11/2018 à 09h 59

IL ME FAUT CETTE TOUCHE ! (Je note au passage que les crédit photo manquent sur les images accompagnant les briefs.)

Le 07/11/2018 à 12h 40

Intel devrait vite se bouger les fesses, car AMD semble conquérir les datacenters. Certes, il y a une énorme inertie dans le domaine, mais les offres arrivent chez les hébergeurs, non seulement chez Amazon, mais aussi chez des hébergeurs plus modestes, comme chez Online qui vient de lancer des offres basées sur EPYC.

Le 07/11/2018 à 11h 41

Microsoft vante ses aires de football (soccer), cricket et baseball. Connaît-on la fréquence d’usage de ce type de campus façon universitaire ? Je veux dire : c’est vraiment utilisé, ou cela ne sert que de décoration, utilisé à des fins marketing ? Est si c’est utilisé, est-ce dans le cadre du travail (pour, que sais-je, souder des équipes ?) ou dans un cadre extra-professionnel ?

Le 06/11/2018 à 10h 17

Cela devient délirant. Depuis quand placarder un radiateur de LED est-il devenu pertinent ? Le radiateur ne sert plus à capter ou évacuer la chaleur, mais clignoter de toutes les couleurs. Ce serait anecdotique si ce n’était pas contre-productif. <img data-src=" />

Le 02/11/2018 à 18h 32

Quelqu’un a-t-il expliqué à Tim Cook que les supermarchés s’intéressent au prix d’un panier moyen, et par conséquent le chiffre d’affaires divisé par le nombre de clients ? S’il ne communique que le chiffre d’affaires, les analystes ne sauront pas si Apple est une marque de luxe ou une marque populaire. Et cela a une incidence importante sur l’analyse de l’entreprise.

Le 02/11/2018 à 11h 22







gwado a écrit :



Ça sert à quoi ?





À rentrer dans une poche ?


Le 27/10/2018 à 00h 38

Comment compte-t-on la masse d’un drone de type ballon d’hélium, en l’occurrence plus léger que l’air, au décollage ? <img data-src=" /> (Oui, je sais, je confonds poids et masse. À croire que j’ai fait exprès ! <img data-src=" />)

Le 25/10/2018 à 11h 51

Notons qu’en France (et en français), Le Monde a publié un premier article sur ce sujet (paywall), complété par un second article (en accès libre), sur la prise en charge de la grogne par Rockstar Games.

Le 22/10/2018 à 18h 20

Il est courant et admis d’amortir le matériel informatique en 3 ans. J’ai vu un cas d’une entreprise qui osait amortir en 2 ans, même. En outre, il y a aussi du matériel informatique amorti en 12 mois, sous un seuil, si je ne m’abuse, qui peut concerner en particulier des imprimantes, ou encore des ordiphones.



Ceci étant, je ne comprends pas, aussi, comment on peut imposer les salariés sur un bien dont la valeur comptable est nulle.

Le 19/10/2018 à 12h 18

Ces gros pénibles de spammeurs m’ont appelé ce matin. Et j’ai beau eu leur demander de me supprimer de leurs fichiers et de ne plus me rappeler, ils ont insisté. C’est vraiment lourd. Je propose de punir les responsables au supplice du “non” de leur propre centre d’appel : ils doivent refuser poliment autant d’appels que leur centre a émis.

Le 18/10/2018 à 17h 07

Il est clairement intéressant de capter quelques gros clients. Toutefois, j’ai l’impression que l’essentiel des clients d’OVH sont des TPE, avec d’innombrables indépendants qui font le lien entre OVH et leur client. Ou bien alors il y a une très forte surreprésentativité de tels profils sur les mailing lists et les forums (ce qui est fort probable).



Comme j’ai l’habitude de le dire, rien que maîtriser l’interface d’administration d’OVH, dite “le Manager”, est un métier à part entière.

Le 17/10/2018 à 11h 01

Les abonnés seront-ils remboursés au prorata du temps de cerveau disponible laissé en jachère ? <img data-src=" />

Le 16/10/2018 à 08h 59

Comme on peut le voir dans un témoignage d’un ancien testeur d’une entreprise désormais disparue, l’absence d’incitation directe aux heures supplémentaires absurdes n’empêche pas ces heures et leur glorification. En fait, les promotions seraient liées à la réalisation de ces heures, et les salariés ainsi promus ont à leur tour de telles attentes, pas nécessairement explicites, de la part de leurs équipes. (Je le sais d’autant mieux que j’ai été dans un cas similaire.)

Le 13/10/2018 à 15h 35

Non.



Tout comme, quand tu mets à disposition une voiture de tes salariés, tu ne bloques pas la vitesse à 130 km/h.



J’ignore dans quel pays tu vis, mais, en France, le porno est légal, et aucune loi n’impose de le bloquer. Tout au plus, il y a une circulaire ministérielle qui suggère l’installation d’un blocage dans les établissements susceptibles d’accueillir des mineurs. Mais là encore, une circulaire ne fait pas loi.

Le 10/10/2018 à 11h 52

J’espère que tu es moins choqué que le smiley dont tu as fait usage ne le laisse à penser. Le contexte aurait pu te mettre sur la voie. Mais cela surprend, en effet.



La censure, c’est dur, et ses effets au mieux anecdotiques. Et ce ne sont pas les gens de Penistone qui me contrediront.

Le 09/10/2018 à 17h 06

Soit, il y a une charte. Et elle est efficace ? Y avait-il vraiment besoin de préciser dans une charte qu’il ne fallait pas faire de choses illégales, par exemple ? Sans cela, on aurait eu le droit ? Je demande, hein…

Le 09/10/2018 à 17h 04

La question est : pourquoi ? Quel est l’intérêt de faire un travail contre-productif ? Je veux bien qu’une entreprise ait le droit de faire n’importe quoi, mais pour quelle raison ? C’est ça, ma question. Car bloquer le porno, sauf cas exceptionnel, n’apporte rien que des ennuis.

Le 09/10/2018 à 15h 48

En ce qui me concerne, sauf exceptions, j’essaye de passer par le site original. Trop de malwares ajoutés aux logiciels légitimes par les sites de téléchargement dits “licites.”

Le 09/10/2018 à 15h 47

Pourquoi le seraient-ils ? Ou bien, question corollaire, quels autres sites devraient-ils être bloqués ? Le site PenisLand.net devrait-être filtré ou autorisé ? Qui déciderait du blocage et de la maintenance ? Qui gérerait les faux positifs ? Est-il économiquement plus pertinent de bloquer ou de laisser faire ? Et en matière de sécurité ? Que font les salariés face à un blocage ? Tentent-ils de le contourner ? Par quels moyens ? Etc.

Le 09/10/2018 à 15h 06

Je dirais que le mec n’en branlait pas une du matin au soir. <img data-src=" />

Le 09/10/2018 à 15h 05

Je m’étonne que l’employeur ait trouvé pertinent de fouiller des dossiers aux données qu’il présupposait personnels, sans que cela n’empiète sur la vie privée du salarié, voire qu’il ait fait venir un huissier pour réaliser un tel constat.



Ceci dit





Pour l’employeur, ces faits constituent des « manquements graves » aux obligations découlant du contrat de travail du salarié. « Ils sont par ailleurs d’autant moins excusables qu’ils ont nécessairement exposé le serveur informatique de l’entreprise à un risque accru d’attaques virales », ajoute la société.





Je me demande si cette déclaration s’appuie sur autre chose qu’un stéréotype. J’ai souffert de davantage de soucis de malware en consultant des sites de presse classiques qu’en parcourant des sites pornographiques. Je ne sais plus quel éditeur d’anti-virus avait constaté que les sites religieux véhiculaient davantage de malwares que les sites pornographiques… <img data-src=" />

Le 09/10/2018 à 15h 00

Télécharger, non à mater. Nuance importante ?

Le 12/10/2018 à 19h 50

Voilà qui est étonnant, vue la difficulté d’accorder le droit de panorama aux photographes (notamment de cartes postales) au bénéfices des architectes. Ainsi, les constructeurs automobiles seraient plus créatifs que les photographes ?

Le 12/10/2018 à 17h 46

Ouf. Voici qui est rassurant de savoir que les sociétés de gestion de droits d’auteurs ne s’engraisseront pas sur des photos qu’elles n’ont aucune légitimité à gérer.

Le 11/10/2018 à 09h 40

L’affaire fait débattre sur de nombreux fronts. Parmi ceux-ci, le rappel que les journalistes de Bloomberg, à l’origine de l’affaire, seraient notés suivant l’impact de leurs histoires sur les marchés, ce qui définirait leurs bonus, les plaçant dans une situation de conflit d’intérêt que certains jugent peu compatible avec le métier de journaliste économique, mais ne vont pas jusqu’à accuser le journaliste à l’origine des révélations de malversation ou de mauvaises pratiques.

Le 11/10/2018 à 08h 34

L’idée paraît bonne (hé hé), mais il me semble bien que des études, dont au moins une des labs de la Hadopi, ont montré que les films français n’étaient pas ceux qui souffraient le plus du piratage.

Le 05/10/2018 à 15h 12



Estimant que le produit ne correspondait pas aux caractéristiques décrites dans l’annonce, l’acquéreur avait souhaité le retourner afin d’en obtenir le remboursement. Ce qu’avait refusé la vendeuse.



Je m’étonne de l’aspect porté devant la CJUE : en quoi le caractère professionnel du vendeur est-il pertinent ? Je veux dire, si l’annonce ne correspond pas à l’objet, il est logique d’annuler la vente, quelles que soient les parties, non ? Autant je peux comprendre qu’un consommateur soit mieux protégé face à un professionnel, autant je ne comprends pas pourquoi ce n’est pas sur l’exactitude de la description de l’objet que le débat porte. Qu’est-ce qui m’échappe ?

Le 05/10/2018 à 10h 12

D’un point de vue du ratio prix sur performance, de ce que j’ai pu voir, la gamme GTX semble plus intéressante que la RTX. C’est à croire que Nvidia souhaite faire cohabiter les deux gammes un moment.

Le 04/10/2018 à 08h 14

Son nom prête à confusion, mais youtube-dl est un outil en ligne de commande de vidéos hébergées par plusieurs centaines de sites web, dont YouTube, Vimeo, Twitter, Facebook, ou encore Arte, France Télévisions, etc. qui, eux, hébergent des vidéos habituellement licites.

Le 04/10/2018 à 05h 43



S’agissant du streaming et du direct download proprement dits, on retrouve la logique des préconisations MIQ mais également des positions des présidents successifs et actuels du collège.





Par direct download, parle-t-on ici de téléchargement depuis des sites par nature illégaux, ou bien, plus largement, on entend s’attaquer au téléchargement depuis des sites légitimes via des outils jusqu’ici licites que sont Captvty ou youtube-dl ?

Le 04/10/2018 à 06h 50

Une problématique réelle se pose auprès des journalistes devant enquêter sur des sujets sensibles, ou interroger des témoins à protéger, en particulier ceux transportant avec eux des images vidéo, rarement compatibles avec un téléchargement vers le cloud.

Le 02/10/2018 à 19h 40

Si ma mémoire est bonne, seule une poignée restreinte d’activistes au sein de l’association est membre. On peut soutenir l’association financièrement, sans que cela ne définisse un statut de “membre.”

Le 01/10/2018 à 18h 13

Qu’adviendra-t-il de l’association ? Elle a largement oeuvré à la prise de conscience politique des geeks et moins geeks d’entre nous.

Le 25/09/2018 à 17h 01

À vue de nez, la Hadopi a coûté dans les 70 M€.



Pour ce qui est du résultat ?



Les dépenses moyennes des ménages en matière de culture semblent sensiblement constantes, piratage, Hadopi ou pas. Seule la répartition change. Il faut bien comprendre qu’entre manger et écouter de la musique, les gens optent tout de même pour la nourriture. Ce n’est pas tant la Hadopi, que la hausse sensible des revenus des ménages qui favorisera une consommation additionnelle de la culture. Pour peu qu’entre temps les gens disposent de plus de temps pour la consommer. Cela paraît compromis.

Le 21/09/2018 à 19h 20

Merci. J’y lis des anecdotes et une étude laissant à penser une corrélation, le tout sur des regrets d’un manque d’études scientifiques et plus particulièrement épidémiologiques. <img data-src=" />

Le 21/09/2018 à 12h 46



Afin de limiter le temps passé par les enfants devant les divers écrans qu’ils peuvent côtoyer au quotidien, Catherine Morin-Desailly voudrait « oblige[r] les fabricants d’ordinateurs, de tablettes et de tout autre jeu ludo-pédagogique disposant d’un écran à indiquer sur l’emballage de ces outils numériques que leur utilisation peut nuire au développement psychomoteur des enfants de moins de trois ans ».





Existe-t-il des études qui démontrent le lien de cause à effet entre l’usage d’un écran et un retard psychomoteur, ou bien s’agit-il de mesures préventives sans bases scientifiques ?

Le 21/09/2018 à 12h 12

A priori non, ou bien alors le CSA serait plus efficace sur Internet qu’il ne l’est à la télévision ou à la radio.

Le 20/09/2018 à 09h 59

Cela, je n’en doute pas : ils sont en première ligne. Mais je crains qu’ils ne veuillent pas partager le gâteau avec de nouveaux entrants. Bref, je ne compte pas vraiment sur leur aide pour abaisser leur part du gâteau. <img data-src=" />

Le 19/09/2018 à 14h 35

Est-il trop tard pour créer une société de gestion de droits sur les liens ? Next INpact pourrait-il consacrer un dossier sur les démarches à réaliser en ce sens ? Et devenir riche. Sans rien faire. <img data-src=" />