Ils prennent quelles substances récréatives, à la CADA ? Parce qu’elles ont l’air plutôt sympa. Je veux bien y goûter aussi.
Voyons les choses du bon côté, à savoir qu’il est possible d’obtenir certains des documents administratifs, même abusivement censurés, et même en devant chercher un peu partout sur le Net, avec l’incertitude d’intégrité que cela implique.
Du coup, il n’y a plus qu’à monter un SciHub des documents administratifs français ? Et de les diffuser en P2P, histoire d’en réduire les coûts d’infrastructure ?
Je veux dire : aussi hallucinante la décision de la CADA puisse être, elle nous indique la marche à suivre pour aller plus loin.
Avons-nous lu le même article ? Ce “niet”, ou absence de réponse, déclenchent une procédure CADA et, le cas échéant, une poursuite en TA. D’où “un coût conséquent.”
Certes, ce coût n’est peut-être pas directement répercuté à l’administration ayant opposé la communication des documents dont elle a l’obligation légale de publier en premier lieu.
Le
27/11/2018 à
16h
17
Actuellement, l’administration dépense un coût conséquent dans la non communication des documents, en rallongeant les procédures de justice administrative, dans l’espoir de dissuader financièrement les citoyens.
Le but de la démarche que j’ai suggérée ne vise pas à ruiner l’administration, mais à la forcer de changer de stratégie, à savoir, le respect de la loi. Continuer à être hors la loi lui serait horriblement coûteux. Respecter la loi ? Un coût presque nul.
Rappelons qu’il s’agit juste de mettre à disposition du public des documents de taille modeste (on parle de quoi ? des dizaines de Kio à centaines de Mio par document, grand maximum, avec un maximum de quelques milliers de documents annuels par administration ?) Ce ne sont pas les prestataires qui manquent dans ce domaine, à des coûts moindres. Voire gratuits.
Aussi, la mise à disposition de ces documents, même en vrac, quitte à ce que des tiers les indexent et trient, représente un coût ridicule pour l’administration, bien moindre que l’ensemble des coûts d’une unique procédure CADA.
Bien entendu, l’exemple de l’INSEE serait souhaitable, avec une classification claire, des fichiers dans divers formats interopérables, des données brutes, des données synthétiques, ou encore des analyses. Mais ce n’est pas même ce que l’on réclame ici.
Le
27/11/2018 à
14h
26
Si je comprends bien, les administrations hors la loi n’ont aucune conséquence à ne pas la respecter, et le coût et la longueur d’une procédure individuelle est absurdement excessif pour faire appliquer la loi.
Un début de solution ne pourrait-il pas d’inverser cette situation ? En l’occurrence, rendre pour l’administration le coût du refus de communication par défaut horriblement onéreux ?
Ainsi, à l’instar d’un Piphone lancé par la Quadrature du Net pour contacter aisément son député, ne serait-il pas possible de créer un service de demande de documents administratifs que plusieurs milliers de personnes pourraient solliciter en même temps, paralysant ainsi l’administration sous les requêtes individuelles, dont la démarche la plus censée serait d’ouvrir les documents par défaut au plus grand nombre, tel que l’exige la loi ?
Je comprends bien que l’administration pourrait se contenter d’ignorer ces demandes. Néanmoins, rien que la réception de celles-ci pourrait réclamer un traitement absurdement élevé face à l’enjeu illégitime et illégal de ne pas y répondre favorablement.
Il y a peu de coûts variables, mais d’énormes coûts fixes : la R&D de la place de marché, sa mise en place. Plus l’ensemble des frais marketing liés à sa notoriété.
Sur Android, Google Play est prépondérant, mais ce n’est pas la seule boutique. Chaque constructeur de mobile a la sienne, dont Samsung et Amazon. Même une boutique de jeux vidéo aussi modeste (!) que Humble Bundle a la sienne, indépendante de Google Play. Epic Games a créé la sienne, de boutique, pour y vendre un seul jeu vidéo : Fortnite. Chaque développeur peut fournir son exécutable à loisirs, pour peu, en effet, qu’il sache convaincre ses utilisateurs de configurer leur téléphone en conséquence.
Sous Windows, on peut continuer à installer des applications indépendamment de toute boutique. On y trouve aussi le Windows Store, mais aussi des boutiques non affiliées à Microsoft, telles celles de Steam et de GoG.
Concernant la vente à distance de biens manufacturés, la concurrence entre places de marché existe. En France : Amazon, Fnac, Cdiscount, Rue du Commerce. Sans oublier eBay, ou encore Le Bon Coin. (Irai-je jusqu’à parler d’Alibaba et de son AliExpress ? Hum…)
Dans une autre vie, je maintenais, gratuitement, la boutique d’une e-commerçante qui y vendait ses propres poupées : elle considérait que payer quelques pour cent à eBay et PayPal était déjà trop cher payé. Mais elle a fini par céder : la maintenance de sa boutique (catalogue, marketing, facturation, service après-vente, etc.), même à base de logiciels gratuits et de maintenance technique gratuite était beaucoup plus cher. En temps.
Les places de marché coûtent peut-être trop, ou pas. Mais elles apportent tout de même une valeur ajoutée. Et celle-ci n’est pas moindre.
Le
23/11/2018 à
19h
23
Pourquoi devrait-on obliger les places de marché à limiter leurs tarifs ? Est-ce bien le rôle de l’Etat, que de réguler les tarifs d’un marché libre, en particulier sur des biens ou services non essentiels, comme c’est le cas habituellement ?
J’ignore quel était le nombre d’entreprises attendu, mais cinquante six pour répondre à un appel en l’espace de trois semaines, sans vraiment savoir quoi s’en attendre, voire risquer d’éventuelles représailles de la part des places de marché, voici qui est déjà un bon début.
Rappelons que les TPE et PME étaient en train de préparer les Black Friday, Cyber Monday, et, surtout, les fêtes de fin d’année, pour enchaîner ensuite sur les soldes de janvier. Leurs petits patrons ont un calendrier déjà largement chargé, et échanger avec un Secrétaire d’Etat n’est sans doute pas leur priorité, même pour tenter de résoudre des difficultés commerciales.
Voici qui serait pertinent et rassurerait les consommateurs !
Car derrière le terme générique “financement participatif”, on trouve essentiellement des préventes. Le consommateur se trouve ainsi démuni face à un défaut quelconque, en particulier lorsque le prestataire disparaît, soit parce qu’il s’agissait d’une pure escroquerie (il y en a), soit parce qu’il a échoué à développer le produit qu’il a “survendu.”
Comment financer ?
Une piste est d’ouvrir le capital aux investisseurs. Car qui dit financement d’un nouveau produit dit risque, et ce n’est plus au consommateur, mais à l’investisseur, de l’assumer, avec les intérêts financiers qui en résultent en cas de succès. Dans le “financement participatif” actuel, le mieux que le consommateur puisse espérer, c’est un tarif préférentiel à un hypothétique prix catalogue une fois le produit finalisé. À supposé qu’il soit un jour finalisé, et que le produit soit vendu en dehors de sa “campagne de financement participatif.”
Une autre piste, pour les entreprises, est de contacter leur banque en vue d’un prêt. Celle-ci pourra alors étudier la solidité du dossier pour s’assurer du remboursement. Avoir des clients et des préventes limite le risque financier. Mais ne le fait pas disparaître. Encore faut-il concevoir et livrer le produit. Ce que bon nombre de campagnes semblent se passer.
Bref, accepter l’idée que Indiegogo ou Kickstarter soient des sites de préventes avec livraison garantie serait utile et rassurant pour le marché. D’ailleurs, PayPal bloque régulièrement les fonds des entreprises faisant appel à ces sites, pour limiter la casse en cas de leur défaillance. Cela ne ferait donc que clarifier la situation, protéger le consommateur et professionnaliser la démarche.
Le premier chapitre indique des noms de domaines, dont le premier du moins, existe bel et bien, et n’est qu’une redirection vers un site tiers, disposant d’un scrolling infini empêchant d’attendre le bas de page où figure certainement un lien vers les mentions légales. Ou pas. On ne le saura jamais. " />
Intel devrait vite se bouger les fesses, car AMD semble conquérir les datacenters. Certes, il y a une énorme inertie dans le domaine, mais les offres arrivent chez les hébergeurs, non seulement chez Amazon, mais aussi chez des hébergeurs plus modestes, comme chez Online qui vient de lancer des offres basées sur EPYC.
Microsoft vante ses aires de football (soccer), cricket et baseball. Connaît-on la fréquence d’usage de ce type de campus façon universitaire ? Je veux dire : c’est vraiment utilisé, ou cela ne sert que de décoration, utilisé à des fins marketing ? Est si c’est utilisé, est-ce dans le cadre du travail (pour, que sais-je, souder des équipes ?) ou dans un cadre extra-professionnel ?
Cela devient délirant. Depuis quand placarder un radiateur de LED est-il devenu pertinent ? Le radiateur ne sert plus à capter ou évacuer la chaleur, mais clignoter de toutes les couleurs. Ce serait anecdotique si ce n’était pas contre-productif. " />
Quelqu’un a-t-il expliqué à Tim Cook que les supermarchés s’intéressent au prix d’un panier moyen, et par conséquent le chiffre d’affaires divisé par le nombre de clients ? S’il ne communique que le chiffre d’affaires, les analystes ne sauront pas si Apple est une marque de luxe ou une marque populaire. Et cela a une incidence importante sur l’analyse de l’entreprise.
Comment compte-t-on la masse d’un drone de type ballon d’hélium, en l’occurrence plus léger que l’air, au décollage ? " /> (Oui, je sais, je confonds poids et masse. À croire que j’ai fait exprès ! " />)
Il est courant et admis d’amortir le matériel informatique en 3 ans. J’ai vu un cas d’une entreprise qui osait amortir en 2 ans, même. En outre, il y a aussi du matériel informatique amorti en 12 mois, sous un seuil, si je ne m’abuse, qui peut concerner en particulier des imprimantes, ou encore des ordiphones.
Ceci étant, je ne comprends pas, aussi, comment on peut imposer les salariés sur un bien dont la valeur comptable est nulle.
Ces gros pénibles de spammeurs m’ont appelé ce matin. Et j’ai beau eu leur demander de me supprimer de leurs fichiers et de ne plus me rappeler, ils ont insisté. C’est vraiment lourd. Je propose de punir les responsables au supplice du “non” de leur propre centre d’appel : ils doivent refuser poliment autant d’appels que leur centre a émis.
Il est clairement intéressant de capter quelques gros clients. Toutefois, j’ai l’impression que l’essentiel des clients d’OVH sont des TPE, avec d’innombrables indépendants qui font le lien entre OVH et leur client. Ou bien alors il y a une très forte surreprésentativité de tels profils sur les mailing lists et les forums (ce qui est fort probable).
Comme j’ai l’habitude de le dire, rien que maîtriser l’interface d’administration d’OVH, dite “le Manager”, est un métier à part entière.
Comme on peut le voir dans un témoignage d’un ancien testeur d’une entreprise désormais disparue, l’absence d’incitation directe aux heures supplémentaires absurdes n’empêche pas ces heures et leur glorification. En fait, les promotions seraient liées à la réalisation de ces heures, et les salariés ainsi promus ont à leur tour de telles attentes, pas nécessairement explicites, de la part de leurs équipes. (Je le sais d’autant mieux que j’ai été dans un cas similaire.)
Tout comme, quand tu mets à disposition une voiture de tes salariés, tu ne bloques pas la vitesse à 130 km/h.
J’ignore dans quel pays tu vis, mais, en France, le porno est légal, et aucune loi n’impose de le bloquer. Tout au plus, il y a une circulaire ministérielle qui suggère l’installation d’un blocage dans les établissements susceptibles d’accueillir des mineurs. Mais là encore, une circulaire ne fait pas loi.
Le
10/10/2018 à
11h
52
J’espère que tu es moins choqué que le smiley dont tu as fait usage ne le laisse à penser. Le contexte aurait pu te mettre sur la voie. Mais cela surprend, en effet.
La censure, c’est dur, et ses effets au mieux anecdotiques. Et ce ne sont pas les gens de Penistone qui me contrediront.
Le
09/10/2018 à
17h
06
Soit, il y a une charte. Et elle est efficace ? Y avait-il vraiment besoin de préciser dans une charte qu’il ne fallait pas faire de choses illégales, par exemple ? Sans cela, on aurait eu le droit ? Je demande, hein…
Le
09/10/2018 à
17h
04
La question est : pourquoi ? Quel est l’intérêt de faire un travail contre-productif ? Je veux bien qu’une entreprise ait le droit de faire n’importe quoi, mais pour quelle raison ? C’est ça, ma question. Car bloquer le porno, sauf cas exceptionnel, n’apporte rien que des ennuis.
Le
09/10/2018 à
15h
48
En ce qui me concerne, sauf exceptions, j’essaye de passer par le site original. Trop de malwares ajoutés aux logiciels légitimes par les sites de téléchargement dits “licites.”
Le
09/10/2018 à
15h
47
Pourquoi le seraient-ils ? Ou bien, question corollaire, quels autres sites devraient-ils être bloqués ? Le site PenisLand.net devrait-être filtré ou autorisé ? Qui déciderait du blocage et de la maintenance ? Qui gérerait les faux positifs ? Est-il économiquement plus pertinent de bloquer ou de laisser faire ? Et en matière de sécurité ? Que font les salariés face à un blocage ? Tentent-ils de le contourner ? Par quels moyens ? Etc.
Le
09/10/2018 à
15h
06
Je dirais que le mec n’en branlait pas une du matin au soir. " />
Le
09/10/2018 à
15h
05
Je m’étonne que l’employeur ait trouvé pertinent de fouiller des dossiers aux données qu’il présupposait personnels, sans que cela n’empiète sur la vie privée du salarié, voire qu’il ait fait venir un huissier pour réaliser un tel constat.
Ceci dit
Pour l’employeur, ces faits constituent des « manquements graves » aux obligations découlant du contrat de travail du salarié. « Ils sont par ailleurs d’autant moins excusables qu’ils ont nécessairement exposé le serveur informatique de l’entreprise à un risque accru d’attaques virales », ajoute la société.
Je me demande si cette déclaration s’appuie sur autre chose qu’un stéréotype. J’ai souffert de davantage de soucis de malware en consultant des sites de presse classiques qu’en parcourant des sites pornographiques. Je ne sais plus quel éditeur d’anti-virus avait constaté que les sites religieux véhiculaient davantage de malwares que les sites pornographiques… " />
Voilà qui est étonnant, vue la difficulté d’accorder le droit de panorama aux photographes (notamment de cartes postales) au bénéfices des architectes. Ainsi, les constructeurs automobiles seraient plus créatifs que les photographes ?
Ouf. Voici qui est rassurant de savoir que les sociétés de gestion de droits d’auteurs ne s’engraisseront pas sur des photos qu’elles n’ont aucune légitimité à gérer.
L’affaire fait débattre sur de nombreux fronts. Parmi ceux-ci, le rappel que les journalistes de Bloomberg, à l’origine de l’affaire, seraient notés suivant l’impact de leurs histoires sur les marchés, ce qui définirait leurs bonus, les plaçant dans une situation de conflit d’intérêt que certains jugent peu compatible avec le métier de journaliste économique, mais ne vont pas jusqu’à accuser le journaliste à l’origine des révélations de malversation ou de mauvaises pratiques.
L’idée paraît bonne (hé hé), mais il me semble bien que des études, dont au moins une des labs de la Hadopi, ont montré que les films français n’étaient pas ceux qui souffraient le plus du piratage.
Estimant que le produit ne correspondait pas aux caractéristiques décrites dans l’annonce, l’acquéreur avait souhaité le retourner afin d’en obtenir le remboursement. Ce qu’avait refusé la vendeuse.
Je m’étonne de l’aspect porté devant la CJUE : en quoi le caractère professionnel du vendeur est-il pertinent ? Je veux dire, si l’annonce ne correspond pas à l’objet, il est logique d’annuler la vente, quelles que soient les parties, non ? Autant je peux comprendre qu’un consommateur soit mieux protégé face à un professionnel, autant je ne comprends pas pourquoi ce n’est pas sur l’exactitude de la description de l’objet que le débat porte. Qu’est-ce qui m’échappe ?
D’un point de vue du ratio prix sur performance, de ce que j’ai pu voir, la gamme GTX semble plus intéressante que la RTX. C’est à croire que Nvidia souhaite faire cohabiter les deux gammes un moment.
Son nom prête à confusion, mais youtube-dl est un outil en ligne de commande de vidéos hébergées par plusieurs centaines de sites web, dont YouTube, Vimeo, Twitter, Facebook, ou encore Arte, France Télévisions, etc. qui, eux, hébergent des vidéos habituellement licites.
Le
04/10/2018 à
05h
43
S’agissant du streaming et du direct download proprement dits, on retrouve la logique des préconisations MIQ mais également des positions des présidents successifs et actuels du collège.
Par direct download, parle-t-on ici de téléchargement depuis des sites par nature illégaux, ou bien, plus largement, on entend s’attaquer au téléchargement depuis des sites légitimes via des outils jusqu’ici licites que sont Captvty ou youtube-dl ?
Une problématique réelle se pose auprès des journalistes devant enquêter sur des sujets sensibles, ou interroger des témoins à protéger, en particulier ceux transportant avec eux des images vidéo, rarement compatibles avec un téléchargement vers le cloud.
Si ma mémoire est bonne, seule une poignée restreinte d’activistes au sein de l’association est membre. On peut soutenir l’association financièrement, sans que cela ne définisse un statut de “membre.”
Le
01/10/2018 à
18h
13
Qu’adviendra-t-il de l’association ? Elle a largement oeuvré à la prise de conscience politique des geeks et moins geeks d’entre nous.
Les dépenses moyennes des ménages en matière de culture semblent sensiblement constantes, piratage, Hadopi ou pas. Seule la répartition change. Il faut bien comprendre qu’entre manger et écouter de la musique, les gens optent tout de même pour la nourriture. Ce n’est pas tant la Hadopi, que la hausse sensible des revenus des ménages qui favorisera une consommation additionnelle de la culture. Pour peu qu’entre temps les gens disposent de plus de temps pour la consommer. Cela paraît compromis.
Merci. J’y lis des anecdotes et une étude laissant à penser une corrélation, le tout sur des regrets d’un manque d’études scientifiques et plus particulièrement épidémiologiques. " />
Le
21/09/2018 à
12h
46
Afin de limiter le temps passé par les enfants devant les divers écrans qu’ils peuvent côtoyer au quotidien, Catherine Morin-Desailly voudrait « oblige[r] les fabricants d’ordinateurs, de tablettes et de tout autre jeu ludo-pédagogique disposant d’un écran à indiquer sur l’emballage de ces outils numériques que leur utilisation peut nuire au développement psychomoteur des enfants de moins de trois ans ».
Existe-t-il des études qui démontrent le lien de cause à effet entre l’usage d’un écran et un retard psychomoteur, ou bien s’agit-il de mesures préventives sans bases scientifiques ?
Cela, je n’en doute pas : ils sont en première ligne. Mais je crains qu’ils ne veuillent pas partager le gâteau avec de nouveaux entrants. Bref, je ne compte pas vraiment sur leur aide pour abaisser leur part du gâteau. " />
Le
19/09/2018 à
14h
35
Est-il trop tard pour créer une société de gestion de droits sur les liens ? Next INpact pourrait-il consacrer un dossier sur les démarches à réaliser en ce sens ? Et devenir riche. Sans rien faire. " />
875 commentaires
Pour satisfaire une demande CADA, le ministère des Armées invite à consulter le site de l’April
28/11/2018
Le 28/11/2018 à 11h 10
Ils prennent quelles substances récréatives, à la CADA ? Parce qu’elles ont l’air plutôt sympa. Je veux bien y goûter aussi.
Voyons les choses du bon côté, à savoir qu’il est possible d’obtenir certains des documents administratifs, même abusivement censurés, et même en devant chercher un peu partout sur le Net, avec l’incertitude d’intégrité que cela implique.
Du coup, il n’y a plus qu’à monter un SciHub des documents administratifs français ? Et de les diffuser en P2P, histoire d’en réduire les coûts d’infrastructure ?
Je veux dire : aussi hallucinante la décision de la CADA puisse être, elle nous indique la marche à suivre pour aller plus loin.
Open Data « par défaut » : au tribunal, l’Intérieur l’emporte au prix d’une procédure kafkaïenne
27/11/2018
Le 27/11/2018 à 21h 55
Avons-nous lu le même article ? Ce “niet”, ou absence de réponse, déclenchent une procédure CADA et, le cas échéant, une poursuite en TA. D’où “un coût conséquent.”
Certes, ce coût n’est peut-être pas directement répercuté à l’administration ayant opposé la communication des documents dont elle a l’obligation légale de publier en premier lieu.
Le 27/11/2018 à 16h 17
Actuellement, l’administration dépense un coût conséquent dans la non communication des documents, en rallongeant les procédures de justice administrative, dans l’espoir de dissuader financièrement les citoyens.
Le but de la démarche que j’ai suggérée ne vise pas à ruiner l’administration, mais à la forcer de changer de stratégie, à savoir, le respect de la loi. Continuer à être hors la loi lui serait horriblement coûteux. Respecter la loi ? Un coût presque nul.
Rappelons qu’il s’agit juste de mettre à disposition du public des documents de taille modeste (on parle de quoi ? des dizaines de Kio à centaines de Mio par document, grand maximum, avec un maximum de quelques milliers de documents annuels par administration ?) Ce ne sont pas les prestataires qui manquent dans ce domaine, à des coûts moindres. Voire gratuits.
Aussi, la mise à disposition de ces documents, même en vrac, quitte à ce que des tiers les indexent et trient, représente un coût ridicule pour l’administration, bien moindre que l’ensemble des coûts d’une unique procédure CADA.
Bien entendu, l’exemple de l’INSEE serait souhaitable, avec une classification claire, des fichiers dans divers formats interopérables, des données brutes, des données synthétiques, ou encore des analyses. Mais ce n’est pas même ce que l’on réclame ici.
Le 27/11/2018 à 14h 26
Si je comprends bien, les administrations hors la loi n’ont aucune conséquence à ne pas la respecter, et le coût et la longueur d’une procédure individuelle est absurdement excessif pour faire appliquer la loi.
Un début de solution ne pourrait-il pas d’inverser cette situation ? En l’occurrence, rendre pour l’administration le coût du refus de communication par défaut horriblement onéreux ?
Ainsi, à l’instar d’un Piphone lancé par la Quadrature du Net pour contacter aisément son député, ne serait-il pas possible de créer un service de demande de documents administratifs que plusieurs milliers de personnes pourraient solliciter en même temps, paralysant ainsi l’administration sous les requêtes individuelles, dont la démarche la plus censée serait d’ouvrir les documents par défaut au plus grand nombre, tel que l’exige la loi ?
Je comprends bien que l’administration pourrait se contenter d’ignorer ces demandes. Néanmoins, rien que la réception de celles-ci pourrait réclamer un traitement absurdement élevé face à l’enjeu illégitime et illégal de ne pas y répondre favorablement.
Difficultés des PME avec les « Marketplaces » : le site gouvernemental fait un flop
23/11/2018
Le 23/11/2018 à 21h 59
Il y a peu de coûts variables, mais d’énormes coûts fixes : la R&D de la place de marché, sa mise en place. Plus l’ensemble des frais marketing liés à sa notoriété.
Sur Android, Google Play est prépondérant, mais ce n’est pas la seule boutique. Chaque constructeur de mobile a la sienne, dont Samsung et Amazon. Même une boutique de jeux vidéo aussi modeste (!) que Humble Bundle a la sienne, indépendante de Google Play. Epic Games a créé la sienne, de boutique, pour y vendre un seul jeu vidéo : Fortnite. Chaque développeur peut fournir son exécutable à loisirs, pour peu, en effet, qu’il sache convaincre ses utilisateurs de configurer leur téléphone en conséquence.
Sous Windows, on peut continuer à installer des applications indépendamment de toute boutique. On y trouve aussi le Windows Store, mais aussi des boutiques non affiliées à Microsoft, telles celles de Steam et de GoG.
Concernant la vente à distance de biens manufacturés, la concurrence entre places de marché existe. En France : Amazon, Fnac, Cdiscount, Rue du Commerce. Sans oublier eBay, ou encore Le Bon Coin. (Irai-je jusqu’à parler d’Alibaba et de son AliExpress ? Hum…)
Dans une autre vie, je maintenais, gratuitement, la boutique d’une e-commerçante qui y vendait ses propres poupées : elle considérait que payer quelques pour cent à eBay et PayPal était déjà trop cher payé. Mais elle a fini par céder : la maintenance de sa boutique (catalogue, marketing, facturation, service après-vente, etc.), même à base de logiciels gratuits et de maintenance technique gratuite était beaucoup plus cher. En temps.
Les places de marché coûtent peut-être trop, ou pas. Mais elles apportent tout de même une valeur ajoutée. Et celle-ci n’est pas moindre.
Le 23/11/2018 à 19h 23
Pourquoi devrait-on obliger les places de marché à limiter leurs tarifs ? Est-ce bien le rôle de l’Etat, que de réguler les tarifs d’un marché libre, en particulier sur des biens ou services non essentiels, comme c’est le cas habituellement ?
30 % de marge, que tu juges “énorme”, correspond à la moyenne de la marge commerciale du commerce de détail, en France (2016).
Le 23/11/2018 à 16h 45
J’ignore quel était le nombre d’entreprises attendu, mais cinquante six pour répondre à un appel en l’espace de trois semaines, sans vraiment savoir quoi s’en attendre, voire risquer d’éventuelles représailles de la part des places de marché, voici qui est déjà un bon début.
Rappelons que les TPE et PME étaient en train de préparer les Black Friday, Cyber Monday, et, surtout, les fêtes de fin d’année, pour enchaîner ensuite sur les soldes de janvier. Leurs petits patrons ont un calendrier déjà largement chargé, et échanger avec un Secrétaire d’Etat n’est sans doute pas leur priorité, même pour tenter de résoudre des difficultés commerciales.
Indiegogo propose de retenir l’argent de campagnes jusqu’à livraison du produit
19/11/2018
Le 19/11/2018 à 11h 34
Voici qui serait pertinent et rassurerait les consommateurs !
Car derrière le terme générique “financement participatif”, on trouve essentiellement des préventes. Le consommateur se trouve ainsi démuni face à un défaut quelconque, en particulier lorsque le prestataire disparaît, soit parce qu’il s’agissait d’une pure escroquerie (il y en a), soit parce qu’il a échoué à développer le produit qu’il a “survendu.”
Comment financer ?
Une piste est d’ouvrir le capital aux investisseurs. Car qui dit financement d’un nouveau produit dit risque, et ce n’est plus au consommateur, mais à l’investisseur, de l’assumer, avec les intérêts financiers qui en résultent en cas de succès. Dans le “financement participatif” actuel, le mieux que le consommateur puisse espérer, c’est un tarif préférentiel à un hypothétique prix catalogue une fois le produit finalisé. À supposé qu’il soit un jour finalisé, et que le produit soit vendu en dehors de sa “campagne de financement participatif.”
Une autre piste, pour les entreprises, est de contacter leur banque en vue d’un prêt. Celle-ci pourra alors étudier la solidité du dossier pour s’assurer du remboursement. Avoir des clients et des préventes limite le risque financier. Mais ne le fait pas disparaître. Encore faut-il concevoir et livrer le produit. Ce que bon nombre de campagnes semblent se passer.
Bref, accepter l’idée que Indiegogo ou Kickstarter soient des sites de préventes avec livraison garantie serait utile et rassurant pour le marché. D’ailleurs, PayPal bloque régulièrement les fonds des entreprises faisant appel à ces sites, pour limiter la casse en cas de leur défaillance. Cela ne ferait donc que clarifier la situation, protéger le consommateur et professionnaliser la démarche.
« J’accepte » : un jeu de l’UFC-Que Choisir pour « ne plus dire « oui » à n’importe qui ! »
13/11/2018
Le 13/11/2018 à 11h 55
Le premier chapitre indique des noms de domaines, dont le premier du moins, existe bel et bien, et n’est qu’une redirection vers un site tiers, disposant d’un scrolling infini empêchant d’attendre le bas de page où figure certainement un lien vers les mentions légales. Ou pas. On ne le saura jamais. " />
Contrôle fiscal et surveillance des réseaux sociaux : les précisions de Bercy
12/11/2018
Le 12/11/2018 à 18h 22
C’est trop tard, pour géolocaliser Johnny ? Quid des autres évadés fiscaux et la géolocalisation de leurs comptes Instagram ?
Samsung présente son prototype de smartphone pliable, Android se prépare
08/11/2018
Le 08/11/2018 à 10h 42
Vie privée : Privacy International attaque sept sociétés (dont Criteo et Oracle) en Europe
08/11/2018
Le 08/11/2018 à 09h 59
IL ME FAUT CETTE TOUCHE ! (Je note au passage que les crédit photo manquent sur les images accompagnant les briefs.)
Intel détaillera à nouveau sa stratégie le mois prochain
07/11/2018
Le 07/11/2018 à 12h 40
Intel devrait vite se bouger les fesses, car AMD semble conquérir les datacenters. Certes, il y a une énorme inertie dans le domaine, mais les offres arrivent chez les hébergeurs, non seulement chez Amazon, mais aussi chez des hébergeurs plus modestes, comme chez Online qui vient de lancer des offres basées sur EPYC.
Microsoft a fait reproduire son futur campus dans Minecraft
07/11/2018
Le 07/11/2018 à 11h 41
Microsoft vante ses aires de football (soccer), cricket et baseball. Connaît-on la fréquence d’usage de ce type de campus façon universitaire ? Je veux dire : c’est vraiment utilisé, ou cela ne sert que de décoration, utilisé à des fins marketing ? Est si c’est utilisé, est-ce dans le cadre du travail (pour, que sais-je, souder des équipes ?) ou dans un cadre extra-professionnel ?
Bitspower Touchaqua : réservoir et pompe watercooling taillés pour le Lian Li PC-O11 Dynamic
06/11/2018
Le 06/11/2018 à 10h 17
Cela devient délirant. Depuis quand placarder un radiateur de LED est-il devenu pertinent ? Le radiateur ne sert plus à capter ou évacuer la chaleur, mais clignoter de toutes les couleurs. Ce serait anecdotique si ce n’était pas contre-productif. " />
Trimestre en fanfare pour Apple, qui ne dévoilera plus ses volumes de vente d’iPhone, iPad et Mac
02/11/2018
Le 02/11/2018 à 18h 32
Quelqu’un a-t-il expliqué à Tim Cook que les supermarchés s’intéressent au prix d’un panier moyen, et par conséquent le chiffre d’affaires divisé par le nombre de clients ? S’il ne communique que le chiffre d’affaires, les analystes ne sauront pas si Apple est une marque de luxe ou une marque populaire. Et cela a une incidence importante sur l’analyse de l’entreprise.
FlexPai : Royole présente le premier smartphone pliable de 7,8″, vendu dès 1 388 euros
02/11/2018
Le 02/11/2018 à 11h 22
Drones : formation et enregistrement obligatoires d’ici deux mois
26/10/2018
Le 27/10/2018 à 00h 38
Comment compte-t-on la masse d’un drone de type ballon d’hélium, en l’occurrence plus léger que l’air, au décollage ? " /> (Oui, je sais, je confonds poids et masse. À croire que j’ai fait exprès ! " />)
Heures supplémentaires, alcool et épuisement, Kotaku enquête sur les dessous de Rockstar
25/10/2018
Le 25/10/2018 à 11h 51
Notons qu’en France (et en français), Le Monde a publié un premier article sur ce sujet (paywall), complété par un second article (en accès libre), sur la prise en charge de la grogne par Rockstar Games.
Don de matériel informatique aux salariés : une exonération fiscale en passe d’être supprimée
22/10/2018
Le 22/10/2018 à 18h 20
Il est courant et admis d’amortir le matériel informatique en 3 ans. J’ai vu un cas d’une entreprise qui osait amortir en 2 ans, même. En outre, il y a aussi du matériel informatique amorti en 12 mois, sous un seuil, si je ne m’abuse, qui peut concerner en particulier des imprimantes, ou encore des ordiphones.
Ceci étant, je ne comprends pas, aussi, comment on peut imposer les salariés sur un bien dont la valeur comptable est nulle.
La CNIL met en demeure Humanis et Malakoff-Médéric pour détournement des fichiers assurés
18/10/2018
Le 19/10/2018 à 12h 18
Ces gros pénibles de spammeurs m’ont appelé ce matin. Et j’ai beau eu leur demander de me supprimer de leurs fichiers et de ne plus me rappeler, ils ont insisté. C’est vraiment lourd. Je propose de punir les responsables au supplice du “non” de leur propre centre d’appel : ils doivent refuser poliment autant d’appels que leur centre a émis.
OVH nous parle stratégie, changements à sa tête, « confiance », Supermicro et… vGAFAM
18/10/2018
Le 18/10/2018 à 17h 07
Il est clairement intéressant de capter quelques gros clients. Toutefois, j’ai l’impression que l’essentiel des clients d’OVH sont des TPE, avec d’innombrables indépendants qui font le lien entre OVH et leur client. Ou bien alors il y a une très forte surreprésentativité de tels profils sur les mailing lists et les forums (ce qui est fort probable).
Comme j’ai l’habitude de le dire, rien que maîtriser l’interface d’administration d’OVH, dite “le Manager”, est un métier à part entière.
YouTube a rencontré une panne cette nuit
17/10/2018
Le 17/10/2018 à 11h 01
Les abonnés seront-ils remboursés au prorata du temps de cerveau disponible laissé en jachère ? " />
Rockstar se vante de semaines de 100 heures pour boucler Red Dead Redemption 2
16/10/2018
Le 16/10/2018 à 08h 59
Comme on peut le voir dans un témoignage d’un ancien testeur d’une entreprise désormais disparue, l’absence d’incitation directe aux heures supplémentaires absurdes n’empêche pas ces heures et leur glorification. En fait, les promotions seraient liées à la réalisation de ces heures, et les salariés ainsi promus ont à leur tour de telles attentes, pas nécessairement explicites, de la part de leurs équipes. (Je le sais d’autant mieux que j’ai été dans un cas similaire.)
Se connecter 800 fois par mois à des sites X peut conduire au licenciement
09/10/2018
Le 13/10/2018 à 15h 35
Non.
Tout comme, quand tu mets à disposition une voiture de tes salariés, tu ne bloques pas la vitesse à 130 km/h.
J’ignore dans quel pays tu vis, mais, en France, le porno est légal, et aucune loi n’impose de le bloquer. Tout au plus, il y a une circulaire ministérielle qui suggère l’installation d’un blocage dans les établissements susceptibles d’accueillir des mineurs. Mais là encore, une circulaire ne fait pas loi.
Le 10/10/2018 à 11h 52
J’espère que tu es moins choqué que le smiley dont tu as fait usage ne le laisse à penser. Le contexte aurait pu te mettre sur la voie. Mais cela surprend, en effet.
La censure, c’est dur, et ses effets au mieux anecdotiques. Et ce ne sont pas les gens de Penistone qui me contrediront.
Le 09/10/2018 à 17h 06
Soit, il y a une charte. Et elle est efficace ? Y avait-il vraiment besoin de préciser dans une charte qu’il ne fallait pas faire de choses illégales, par exemple ? Sans cela, on aurait eu le droit ? Je demande, hein…
Le 09/10/2018 à 17h 04
La question est : pourquoi ? Quel est l’intérêt de faire un travail contre-productif ? Je veux bien qu’une entreprise ait le droit de faire n’importe quoi, mais pour quelle raison ? C’est ça, ma question. Car bloquer le porno, sauf cas exceptionnel, n’apporte rien que des ennuis.
Le 09/10/2018 à 15h 48
En ce qui me concerne, sauf exceptions, j’essaye de passer par le site original. Trop de malwares ajoutés aux logiciels légitimes par les sites de téléchargement dits “licites.”
Le 09/10/2018 à 15h 47
Pourquoi le seraient-ils ? Ou bien, question corollaire, quels autres sites devraient-ils être bloqués ? Le site PenisLand.net devrait-être filtré ou autorisé ? Qui déciderait du blocage et de la maintenance ? Qui gérerait les faux positifs ? Est-il économiquement plus pertinent de bloquer ou de laisser faire ? Et en matière de sécurité ? Que font les salariés face à un blocage ? Tentent-ils de le contourner ? Par quels moyens ? Etc.
Le 09/10/2018 à 15h 06
Je dirais que le mec n’en branlait pas une du matin au soir. " />
Le 09/10/2018 à 15h 05
Je m’étonne que l’employeur ait trouvé pertinent de fouiller des dossiers aux données qu’il présupposait personnels, sans que cela n’empiète sur la vie privée du salarié, voire qu’il ait fait venir un huissier pour réaliser un tel constat.
Ceci dit
Pour l’employeur, ces faits constituent des « manquements graves » aux obligations découlant du contrat de travail du salarié. « Ils sont par ailleurs d’autant moins excusables qu’ils ont nécessairement exposé le serveur informatique de l’entreprise à un risque accru d’attaques virales », ajoute la société.
Je me demande si cette déclaration s’appuie sur autre chose qu’un stéréotype. J’ai souffert de davantage de soucis de malware en consultant des sites de presse classiques qu’en parcourant des sites pornographiques. Je ne sais plus quel éditeur d’anti-virus avait constaté que les sites religieux véhiculaient davantage de malwares que les sites pornographiques… " />
Le 09/10/2018 à 15h 00
Télécharger, non à mater. Nuance importante ?
En commission, les eurodéputés refusent de libérer les données des voitures autonomes
12/10/2018
Le 12/10/2018 à 19h 50
Voilà qui est étonnant, vue la difficulté d’accorder le droit de panorama aux photographes (notamment de cartes postales) au bénéfices des architectes. Ainsi, les constructeurs automobiles seraient plus créatifs que les photographes ?
Le décret sur la redevance Google Images enterré, sans fleurs ni couronnes
12/10/2018
Le 12/10/2018 à 17h 46
Ouf. Voici qui est rassurant de savoir que les sociétés de gestion de droits d’auteurs ne s’engraisseront pas sur des photos qu’elles n’ont aucune légitimité à gérer.
Supermicro : un responsable de la NSA affirme n’avoir « rien vu » et craint une chasse aux « fantômes »
11/10/2018
Le 11/10/2018 à 09h 40
L’affaire fait débattre sur de nombreux fronts. Parmi ceux-ci, le rappel que les journalistes de Bloomberg, à l’origine de l’affaire, seraient notés suivant l’impact de leurs histoires sur les marchés, ce qui définirait leurs bonus, les plaçant dans une situation de conflit d’intérêt que certains jugent peu compatible avec le métier de journaliste économique, mais ne vont pas jusqu’à accuser le journaliste à l’origine des révélations de malversation ou de mauvaises pratiques.
Interview d’Aurore Bergé : sans sanction, « on continuera à avoir un piratage massif »
10/10/2018
Le 11/10/2018 à 08h 34
L’idée paraît bonne (hé hé), mais il me semble bien que des études, dont au moins une des labs de la Hadopi, ont montré que les films français n’étaient pas ceux qui souffraient le plus du piratage.
CJUE : huit annonces ne suffisent pas à faire d’un vendeur un « professionnel »
05/10/2018
Le 05/10/2018 à 15h 12
Estimant que le produit ne correspondait pas aux caractéristiques décrites dans l’annonce, l’acquéreur avait souhaité le retourner afin d’en obtenir le remboursement. Ce qu’avait refusé la vendeuse.
Je m’étonne de l’aspect porté devant la CJUE : en quoi le caractère professionnel du vendeur est-il pertinent ? Je veux dire, si l’annonce ne correspond pas à l’objet, il est logique d’annuler la vente, quelles que soient les parties, non ? Autant je peux comprendre qu’un consommateur soit mieux protégé face à un professionnel, autant je ne comprends pas pourquoi ce n’est pas sur l’exactitude de la description de l’objet que le débat porte. Qu’est-ce qui m’échappe ?
Les GeForce RTX 2080 se rapprochent des 800 euros
05/10/2018
Le 05/10/2018 à 10h 12
D’un point de vue du ratio prix sur performance, de ce que j’ai pu voir, la gamme GTX semble plus intéressante que la RTX. C’est à croire que Nvidia souhaite faire cohabiter les deux gammes un moment.
Hadopi : Aurore Bergé plaide pour la transaction pénale et la fusion avec le CSA
04/10/2018
Le 04/10/2018 à 08h 14
Son nom prête à confusion, mais youtube-dl est un outil en ligne de commande de vidéos hébergées par plusieurs centaines de sites web, dont YouTube, Vimeo, Twitter, Facebook, ou encore Arte, France Télévisions, etc. qui, eux, hébergent des vidéos habituellement licites.
Le 04/10/2018 à 05h 43
S’agissant du streaming et du direct download proprement dits, on retrouve la logique des préconisations MIQ mais également des positions des présidents successifs et actuels du collège.
Par direct download, parle-t-on ici de téléchargement depuis des sites par nature illégaux, ou bien, plus largement, on entend s’attaquer au téléchargement depuis des sites légitimes via des outils jusqu’ici licites que sont Captvty ou youtube-dl ?
En Nouvelle-Zélande, fournissez vos mots de passe aux douaniers ou payez une amende
03/10/2018
Le 04/10/2018 à 06h 50
Une problématique réelle se pose auprès des journalistes devant enquêter sur des sujets sensibles, ou interroger des témoins à protéger, en particulier ceux transportant avec eux des images vidéo, rarement compatibles avec un téléchargement vers le cloud.
Jérémie Zimmermann quitte la Quadrature du Net
01/10/2018
Le 02/10/2018 à 19h 40
Si ma mémoire est bonne, seule une poignée restreinte d’activistes au sein de l’association est membre. On peut soutenir l’association financièrement, sans que cela ne définisse un statut de “membre.”
Le 01/10/2018 à 18h 13
Qu’adviendra-t-il de l’association ? Elle a largement oeuvré à la prise de conscience politique des geeks et moins geeks d’entre nous.
La Hadopi réclame 9 millions d’euros pour 2019
24/09/2018
Le 25/09/2018 à 17h 01
À vue de nez, la Hadopi a coûté dans les 70 M€.
Pour ce qui est du résultat ?
Les dépenses moyennes des ménages en matière de culture semblent sensiblement constantes, piratage, Hadopi ou pas. Seule la répartition change. Il faut bien comprendre qu’entre manger et écouter de la musique, les gens optent tout de même pour la nourriture. Ce n’est pas tant la Hadopi, que la hausse sensible des revenus des ménages qui favorisera une consommation additionnelle de la culture. Pour peu qu’entre temps les gens disposent de plus de temps pour la consommer. Cela paraît compromis.
Contre l’exposition des enfants aux écrans, une sénatrice veut imposer des messages de prévention
20/09/2018
Le 21/09/2018 à 19h 20
Merci. J’y lis des anecdotes et une étude laissant à penser une corrélation, le tout sur des regrets d’un manque d’études scientifiques et plus particulièrement épidémiologiques. " />
Le 21/09/2018 à 12h 46
Afin de limiter le temps passé par les enfants devant les divers écrans qu’ils peuvent côtoyer au quotidien, Catherine Morin-Desailly voudrait « oblige[r] les fabricants d’ordinateurs, de tablettes et de tout autre jeu ludo-pédagogique disposant d’un écran à indiquer sur l’emballage de ces outils numériques que leur utilisation peut nuire au développement psychomoteur des enfants de moins de trois ans ».
Existe-t-il des études qui démontrent le lien de cause à effet entre l’usage d’un écran et un retard psychomoteur, ou bien s’agit-il de mesures préventives sans bases scientifiques ?
Les 20 propositions du rapport contre la haine sur Internet
20/09/2018
Le 21/09/2018 à 12h 12
A priori non, ou bien alors le CSA serait plus efficace sur Internet qu’il ne l’est à la télévision ou à la radio.
Droit voisin des éditeurs de presse en ligne : les sénateurs PS rêvent de 50 ans de rémunération
19/09/2018
Le 20/09/2018 à 09h 59
Cela, je n’en doute pas : ils sont en première ligne. Mais je crains qu’ils ne veuillent pas partager le gâteau avec de nouveaux entrants. Bref, je ne compte pas vraiment sur leur aide pour abaisser leur part du gâteau. " />
Le 19/09/2018 à 14h 35
Est-il trop tard pour créer une société de gestion de droits sur les liens ? Next INpact pourrait-il consacrer un dossier sur les démarches à réaliser en ce sens ? Et devenir riche. Sans rien faire. " />