Il s'agit d'un « jeu sérieux » voulant sensibiliser les Français sur les enjeux autour de la protection de leurs données personnelles et les bons réflexes à acquérir.
« Ce projet d'intérêt général a été financé grâce aux dons des consommateurs précisent » nos confrères, qui détaillent le principe :
« La mécanique de jeu est simple : elle consiste à prendre des décisions en faisant à chaque fois le meilleur choix parmi ceux qui sont proposés au fil de la narration. Mais attention : si certains choix n’empêchent pas le joueur de progresser dans l’histoire, d’autres ne pardonneront pas… De trop mauvais choix relatifs à la protection des données personnelles (faux-sites, rançongiciel, piratage de données personnelles, etc.) conduiront à un game over ! ».
Des pastilles pédagogiques ainsi que des fiches éducatives sont proposées. Une partie devrait durer environ 20 minutes précise l'UFC-Que Choisir, ajoutant que « J'accepte » peut être joué par toute la famille, aussi bien sur ordinateur que mobile.
Commentaires (15)
#1
Avec juste l’illustration, j’ai pensé que c’était un dating game sur fond de #metoo
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#2
Je viens de faire le premier chapitre en faisant exprès de faire les plus mauvais choix. Au moins ça s’arrête vite dans ces conditions.
C’est un peu caricatural mais pour les gens qui ne sont pas du tout sensibilisé ça paraît une bonne porte d’entrée.
#3
Ce qui est drôle, c’est le fait qu’on doivent cocher une case pour s’opposer à l’utilisation des données de navigation à des fins statistiques
#4
@wtoscer : En effet pas top … surtout pour ce genre de jeux
Sinon j’ai fait le jeu normalement la première fois et en faisant tout le contraire ensuite. Il n’y a pas beaucoup de branche a l’arbre de décision mais c’est pas mal. Par contre les petites erreurs (ex : connecter sur un wifi ouvert) n’a aucune incidence et à la fin on ne te dit pas que c’est une mauvaise pratique. Bref encore a affiner mais un bon début.
#5
Le scénario est assez foireux (organiser un mariage à 2000 € avant de partir en Nouvelle-Calédonie, « kamoulox ») mais les cas rencontrés sont assez réels et pratiques
#6
Le premier chapitre indique des noms de domaines, dont le premier du moins, existe bel et bien, et n’est qu’une redirection vers un site tiers, disposant d’un scrolling infini empêchant d’attendre le bas de page où figure certainement un lien vers les mentions légales. Ou pas. On ne le saura jamais.
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#7
Par contre il n’y a pas l’option d’envoyer la police chez Igor pour lui expliquer ce qui est légal ou pas. Dommage, le déréférencement est une sous-méthode.
edit : et un affreux pop-up à la fin du jeu
#8
A j-10 on est foutu, quelque soit le choix. C’est nul.
#9
hmmm, il me semble que ça fait quelques temps qu’il n’y a plus aucun risque de chopper un virus simplement en ouvrant un mail, pas hyper réaliste, et très anxiogène pour le coup
#10
J’ai pas fini le chapitre un et j’abandonne déjà.
On dirait que ça a été conçu en 1995.
C’est lent et chiant à mourir.
Je sais pas où ça merde.
C’est comme si ça téléchargeait la suite entre chaque clic et que le site met 10 plombes à répondre.
Edit: Je viens de m’apercevoir qu’ils ont pensé à inclure des bruitages (j’avais pas le casque sur les oreilles).
#11
#12
#13
Je m’attendais à atteindre directement le boss de fin, mais non, la déception…
#14
Le Julien est quand même juste un abrutit d’ouvrir une pièce jointe provenant d’un site qu’on a déjà rejeté au préalable pour ses mentions légales obscures. D’ailleurs étrange qu’on nous demande d’interagir sur pleins de choix mais pas celui d’ouvrir ou non la PJ.
L’ex de Sarah est juste super badass en référencement pour créer une copie du site web de mariage et dans la même journée le placer en tête des résultats Google.
#15
Je vais faire le râleur de service mais le but du jeu est de ne pas dire oui à n’importe qui, et en même temps préparer un mariage en juste un mois avec un peï qui se barre juste après à l’endroit le plus éloigné de la planète et une fille qui fait apparemment des trucs bizarres avec son cousin.
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Hey, le oui auquel il faut faire le plus attention, c’est pas pour les cookies de navigation, c’est pendant la cérémonie