(quote:2113518:j34n-r0x0r) Amha il faut dissocier identité masculine et physique sportif, autant le premier j’ai tendance a voir ça comme un potentiel piège a con s’il n’est constitué que de “ferme la et sois un homme” surtout quand ça ne sait pas dire la même chose de l’autre coté (il a des spécialistes, pleins), autant le second je le considère comme un objectif respectable étant donné le rôle important qu’a notre corps dans le quotidien (en plus d’être un objectif non genré).
Les deux ne le sont pas par la science elle-même… pour mesurer une valeur calorifique ce n’est pas un « food fact » mais un « burning fact ». La physis induite n’a plus rien de sensible donc.
Si les deux étaient séparés le dialogue serait peut-être plus facile (l’objectif passant du social au médical) mais les obstacles sont nombreux et reviennent souvent (de là à penser qu’ils sont entretenues…).
C’est plutôt qu’on oppose le corps avec l’esprit qui pose question. Qui parle de combustion spontanée ?
Le
05/01/2023 à
22h
12
« Des publicités trompeuses alimentent la croissance d’entreprises dédiées à la santé mentale »
Dans le bon ordre :
« la croissance à la santé mentale trompeuse alimente des publicités d’entreprises dédiées »
Le char à pets est dans les cartons depuis des décennies mais on remarquera qu’assumer l’odeur se prévaut en TURPE.
Leur tort semble surtout être de ne pas saisir que l’hydrogène s’insère avant tout dans une logique de réseau dont la finalité est faussement conventionnelle. Ce n’est donc pas l’hydrogène qui pose problème, mais le contexte incertain à partir duquel l’industrie manufacturière raisonne et transmet cette incertitude au consommateur qui n’a plus que le loisir de se payer sa prope ignorance plutôt que d’être accompagné par des pros dans une organisation à taille humaine de ses besoins primaires, besoins entendus comme truchement numéro 1 par lequel il choisira ensuite librement de la devise avec laquelle il financera l’accessoire passant par la décharge d’un stock physique qui n’a pas à être surcodifié par excès d’instinc de survie au profit exclusif de « fournisseurs » dont l’existence même incombe, comme souvent et pour à peu près tout ordinaire, à notre « singulière » Europe.
Du reste, que la comptabilité en parallèle du CO2 existe est nécessaire, mais qu’on ose alors m’expliquer pourquoi je ne peux donc me payer un kWh à 0,04€…
Cohérence c’est double-plus-bon ? Bug Mother, une réaction ?
Le
04/01/2023 à
21h
46
barlav a dit:
il existe bien les 2 concepts pour les chiottes : l’individuel et le collectif; les 2 cohabitent sans se piquer de part de marché.
Ergh : en France, la loi mutualise ce genre de pertes. C’est même rendu obligatoire par loi lorsque pré-équipé.
Par exemple : En Marche (pour la pédo-épuration ) est devenu Renaissance, résultat identique : toujours pas de concurrence entre fournisseur d’égoût. Z’ont belles les z’années 30 m’sieur.
(Ceci est une presque Fake News au cas où d’horribles séchoirs nous sermonnent de soulever ce genre d’enmerdements).
Le
04/01/2023 à
21h
26
Les pertes pneumatiques VT ou VE rapportent autant aux fabricants de pneus. Est-ce à dire que le malheur des uns fait le malheur des autres ?
On attend encore les ACV relatifs au coût de la sécurité, pas seulement routière…
Le
04/01/2023 à
21h
19
deathscythe0666 a dit:
L’électrification des usages est un consensus scientifique basé sur des ACV (a minima pour les VE et les pompes à chaleur)
Véhicule électrique = batterie = consommation d’anode = extraction = émission de chaleur non compressible (industrie minière) = pompe à chaleur dont 2-3 degrés primaires sont déjà 100% fossiles = empreinte non nulle sans questionnement sur le rendement systémique de l’inter-génération.
La définition même des cycles de vie pose problème. Mais je peux cerner qu’avec un débat médiocre sur les interactions entre énergies la plèbe confie sa vie pour une autre en pensant bien faire.
Car sans doute aussi, la philosphie allemande infuse les ACV : « le mal qu’on m’a fait je peux le pardonner, mais je ne leur pardonnerai jamais le mal qu’ils se sont faits à eux-mêmes. »
Délicat d’en [attribuer mieux] aux promoteurs dont on ignore souvent la motivation de cette « méthode ». Mais je dois certainement planner sans électricité…
Pour moi l’article prouve donc plutôt le contraire de ce qu’il annonce : finalement, à part les 4 cités, les États se sont généralement plutôt bien comportés avec les applis de traçage covid.
Je n’ai pas entendu monsieur Veran nous dire que diluer l’individu et sa psychée dans la masse des technophobes était une mesure de santé publique cohérente avec une gestion fine de la transition numérique… en clair, je ne suis pas le seul à considérer cette négligence comme relevant du même modèle ingrât qu’est le travail dissimulé.
La figure de l’escroquerie réussie est souvent de juxtaposer l’intérêt général à côté de quelques uns particuliers. Que cela irrite des intellectuels de bas étages est normal, mais que ces personnes assument enfin leur complicité dans l’accroissement des nouveaux goulags…
Le
04/01/2023 à
22h
19
(reply:2113121:Idiogène)
*puisque nous savons tous que sont vendus aux 4 coins du globe des Iphone potentiellement backdorés par le suivi covid dont l’API est polémique…
Bref. Partout est plutôt juste bien qu’on puisse de bonne foi s’en étonner par habitude des généralisations abusives. Hors ici la « mass surveillance » américaine est le contexte auquel aucun personnage public ne se frotte. Sauf, malheureux hasard, en Russie.
De cette façon, la loi de Murphy se valide. C’est déjà ça…
Le
04/01/2023 à
22h
07
carbier a dit:
Les mots ont un sens.
« . Just as the balance between privacy and national security shifted after the Sept. 11 terrorist attacks, COVID-19 has given officials justification to embed tracking tools in society that have lasted long after lockdowns »
-Analogie avec le débat initial -Constat post pandémie
Correctement traduit l’une des premières assertions a le même sens que la brève dont le titre fait l’économie de souligner que « le saisi est pris la main dans le pot de confirure. ». Le racolage c’est l’article original, pas la brève légèrement moins chargée que le contenu faussement étonnant sur le fond de l’AP.
Le
04/01/2023 à
20h
48
Un bon paquet de spécialistes voyant leur travail (le détail) passer sous les radars depuis des années jusqu’au jour où la faille de trop justifie un cycle supplémentaire d’autoflagellation débouchant sur le même contresens premier : « j’ai le droit de rendre un service sans définir lequel du moment que la vox populi m’en donne le clic ».
Par effet boule de neige même les « complotistes » utilisent donc des apps et autres outils pourtant indiscociables d’une forme de modernité… ce qui laisse le débat public (au sens de médiatisé) en deça de son idoine luddisme et ainsi ne vaut pas mieux, sur ce sujet ou d’autres réputés scientiques, qu’une collique entre petits bourgeois.
Je dirais même plus, c’est pas banal. Mais je dirais donc #complotpasfacile
Wolks Wagen n’est pas le seul constructeur à être mis en cause au sujet des particules « virtuelles » de leurs modèles standards… mais je concède qu’entre la vetustas et les finalités c’est souvent une affaire de froc et de bonnets.
Bon courage avec ça, il y a déjà des queues pas possibles (plus d’un kilomètre) aux chargeurs lors des grands départs en Californie. En France, ça commence à venir.
En effet, 22 était une année érotique.
Et les pauses toutes les 2 heures, c’est 5 minutes, pas 1 heure. Si on ajoute 5 ou 6 heures de queue lors des grands départs en vacances… Ça va être de pire en pire.
Dans les pays capacités la borne anatomique se confine. Un peu comme avec le cochon.
J’ai bien compris ce que tu critiques et je suis d’accord que c’est un problème. La question que je pose, c’est de savoir dans quelle mesure c’est bien la faute de l’ADEME. Tu ne m’as pas fourni de source qui atteste que c’est l’ADEME qui est responsable de définir la valeur de l’empreinte carbone du chauffage urbain à utiliser dans la RE2020.
Si j’en crois la valeur de la Base Carbone, cogérée par l’ADEME, il y a bien une valeur spécifique pour le réseau de chaleur de Grenoble, qui tient compte du taux d’énergies renouvelables et de récupération de 77,7% ( https://bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?reseau_de_chaleur.htm ). Si c’est bien vrai que cette valeur n’est pas utilisée par la RE2020, je doute fort que ce soit un choix de l’ADEME…
Les arrêtés ne sont pas des deux ex machina. L’Ademe est responsable de ses publications mais aussi de son expertise auprès des cabinets ministeriels.
Cela devrait tomber sous le sens mais par corrolaire, une quelconque règlementation obéit à des usages dont la représentation (et ses frais) n’excède pas les parties prenantes.
On pouvait aussi faire appliquer par les mêmes moyens de droit les normes ISO sans prétendre à sauver le beignet déguisé en chantre de l’écologie mondiale car, putatif, nous sommes la tome et l’oméga trois.
Le
02/01/2023 à
20h
57
Le frelon asiatique a-t-suivi la bonne intégrale de parcours avant son effondrement ?
Le
02/01/2023 à
20h
41
wanou a dit:
Je ne parlais pas de la réglementation thermique 2020 car elle ne s’applique pas aux cas que j’ai cités qui étaient respectivement RT2005 et RT2012. Je parlais du DPE dont l’ADEME a considérablement modifié le calcul en y introduisant de gros biais là où l’intention première était tout à fait louable.
Je n’arrive pas à retrouver le document mais sur le site des stats publiques il y a un rapport bilan sur les DPE qui se conclue par le triste constat que la pertinence de la fin de distribution (ô la gaussienne) est nulle à partir de la classe D.
Merci pour le fichier, c’est très intéressant. Le % de renouvelable est effectivement pris en compte. Pas contre, je ne digère toujours pas la note de C pour un bâtiment RT2005 alimenté en chauffage urbain dont la chaleur est produite. Pour moi, cela mérite un A vu le niveau ou au pire u B.
Un chauffage urbain a nécessairement une source chaude kézapélerio « primaire ». Diviser par deux au motif qu’il y a un second cycle thermodynamique est juste de bon sens bien que restreint comme je le mentionnais.
La RT2005 n’est pas acceptable du reste : cela fait au bas mot 40 ans qu’on sait descendre à 100kWhep/m2/an et non 180kWhef/m2/an pour s’arranger entre téléologistes de bon comptes au nom tantôt de la sauvegarde du patrimoine ou plus certainement de la face pour avoir un jour projeté un confortavle attentat aux mensualités bancaires de prêt, remplacées, par une facture libellée en kilowattsheures.
Aussi, si à la fin c’est classe C ce n’est pas anormal. Ce qui est en revanche vrai c’est que depuis la réforme des pseudo études thermiques (aka DPE donc) il y a un carré magique qui corrèle en effet CO2 et consommation. Encore un truc à la Ricardo pour celles et ceux ayant compris d’où vient le combustible de la bagnole qui-va-dans-le-mur.
On ne me fera jamais avaler que le chauffage urbain puisse être moins propre que les cheminées qui pullulent dans mon coin avec leur fumées pleines de particules et d’imbrûlé ou qu’une chaudière au gaz. Le simple fait que leur calculs donnent cela implique forcément un discrédit de tous leurs calculs, de ma part.
Ne pas confondre fumées et CO2. Les diesels en sont le bon exemple…
C’est exactement comme pour la sécurité routière qui ne jure que par la vitesse et qui n’a plus aucune valeur à mes yeux.
Là dessus on est d’accord. Mais donc on dérape… ^^
Le
02/01/2023 à
20h
23
fred42 a dit:
Je n’ai fait qu’une lecture rapide et une critique tout aussi rapide, mais je trouve dommage de s’appuyer sur ça pour faire un titre disant “L’affichage des pubs en ligne consomme énormément d’énergie”. En l’absence de revue par des pairs, j’aurais tout simplement ignoré ce papier en l’état en attendant qu’il soit validé.
On s’autorise à penser. Parfois ce n’est pas si vain qu’il n’y parait dans le cas présent.
La bonne question c’est : quelle méthode pour distinguer le vrai du faux. Là dessus ton point 7 est pas clair :
on multiplie donc la conso d’une pub (estimée sur PC mais vue plutôt sur smartphone) par 4000 à 10000 pubs par jour et par personne multiplié par 55 % de pubs numériques (supposition de leur part encore !)
Ces 55% ne sont pas un artefact à mon sens, ils revoient au cycle de Carnot mais c’est en effet mal formulé soit par eux, soit car ce n’est pas suffisament remis dans le contexte conventionnel d’évaluation de l’énergie (les Watts ne sont pas l’unité internationnale, il faut à chaque fois préciser si on parle de taux (aka puissance) ou de stock (aka masse)).
Le
28/12/2022 à
21h
54
wanou a dit:
A partir de là, tout part en sucette à cause des biais. En voici deux:
Les données du CSTB sont biaisées car les malfaçons ne sont pas prises en compte alors qu’elles engendrent souvent des consommations réelles bien plus importantes.
Le CSTB propage les fake news des industriels. Exemple : la pose en rénovation de sur-fenêtres (techniquement palant) C’est le même problème de copinage qu’avec l’automobile.
Revenons sur le premier biais en défaveur de l’occupant: Dans mon immeuble tout neuf, c’est mon appartement qui a servi de témoin pour toute la copropriété par le fabricant pour établir la note. Du coup, j’ai une performance énergétique à B et mes voisins ont un C car leur appartement n’a pas été directement testé. Cela parait assez dingue d’avoir un logement RT2012 tout neuf qui n’est pas en A.
Ben non. Ce qui est dingue c’est la somme de compromis stupides car déjà intégrés à la Thbce (méthode de calcul) sur laquelle l’Ademe et autres sacheurs publics interprètent ce qui les arrangent en fonction du sens du vent.
Au final, la valorisation de sources variées est très vertueuse à la foi économiquement et écologiquement. Ne pas la prendre en compte est un non sens total.
Exemple de ce que je souligne ci-dessus.
Le
28/12/2022 à
21h
45
Ô gloire.
Les chiffres de l’Ademe devenant maintenant l’argument d’autorité passe partout on ne s’étonnera donc pas d’avoir confondu la tranchée avec le sentier du chateau de Versailles.
Dans le cas des carosses à pile l’homologation demande que la batterie résiste aux collisions avec d’autres charettes de trait et ainsi ne peut valider que l’électron libre à la fouille vidée déambule dans les rues du nanarland avec un déséquilibre du slip dont l’onanisme renouvelable fait défaut, par définition.
On remarquera aussi que, bien qu’il existe une tolérance à l’obésité d’anode dans le cas d’un rétroslip, ce dernier étant souvent jaune devant mais marron derrière : sa légitimité lui vaut son impopularité au pays de la tome.
Reste à éluder pourquoi, au nom de l’alter- éco-con-conception, le mauvais goût made in generis fait encore recette populaire auprès de nos amanita repa(s)rare !
La dette s’entendant au pluriel, c’est le découvert qui s’initie. Quel avenir radieux pour les petites mains des autres réseaux : travailler sans finalité collective de long terme.
Lorsque Lycos ne rapporte plus rien mettre 1 milliard d’utilisateurs au travail (dissimulé d’ailleurs) ça a du chien.
Quant au reste des technophiles à Gram positif dont l’injection touche aux hautes balles il faut pourtant, là encore, se remémorer l’amnésie post partum pour ne pas, à nouveau, passer à côté du moult.
Je ne sais enfin si avec nos grandes tentes nucléaires nous arriverons à tenir ce défi, mais, je ne doute pas un seul instant qu’un contrat social factice (dont les preuves des abominations codantes abondent dans le dernier quart d’heure) est bien entendu renouvelable par simple clic RGpédant.
Oui mais là encore : la menace d’une plainte au pénal pour non assistance à personne en danger ne percole pas l’esprit désoeuvré d’un bon nombre de créateursglandus sympathiques ayant perdu au jeu (au choix) de la dette, de la banque, ou pour tous les autres cas transaltatlantes et para-médicaux au monoBercy.
Le plus marquant reste ce constant au sujet du cadre proposé :
Or de nombreuses formulations de ce texte sont très générales voire floues, ce qui, comme le soulignait le Haut conseil à la vie associative dans son avis du 3 décembre dernier, « tend à confier à l’administration un pouvoir d’interprétation et de sanction très large »
Ce qui est conforme avec le déni de réalité, la négation des faits scientifiques et la présomption de culpabilité qui incombe par idéologie au citoyen.
Dans un monde pourtant idéal les administrateurs devraient tous démontrer leurs aptitudes à l’analyse auprès de leur base sociale avant de prétendre toucher un salaire composé pour la plus grosse part de ce même impôt solidaire.
Hors le résultat est si peu éloigné de l’état de nature qu’on ne s’étonnera donc pas de voir (encore) les primaires prendre le pas sur la pensée à chaque intération légalo-potesque de l’obséquieux, unique, prosélyte et mortifère pizzo.
Revues payantes et/ou en situation de rackett des fonds universitaires. Le web des périodiques s’est transformé en juteux manège de la controverse.
Si [remplacez-par-un-rézosocio] sert de lien “public” pour cette raison et en réaction à l’état de fait calamiteux décrit ci-avant, alors aucun politique ne peut être élu ou gouverner à raison d’un projet de societé. Pas mieux en provenance d’organes para-publics ou para-privés sensés administrer les questions scientifiques à portée générale.
Ou bien, troisième voie de garage : il faut provoquer le complotisme pour valider une organisation sociale négligente par la réthorique du bouc émissaire. (la manufacture de l’ennemi étant le modèle pris pour référence car l’axe du mal c’est jamais en escadrille…)
chez Airbus, ce sont certaines fonctions de l’avion qui pourraient petit à petit passer sur batteries.
Le communiqué (qui a déjà 2 jours) se contente de parler d’hybrides.
ungars a dit:
Nous avons juste un demi-siècle de retard : le premier choc pétrolier remonte à 1973.
L’inertie est assez proche puisque la même cause (disponnibilité) produit systématiquement le même effet : l’effacement des questions fondamendales au profit de solutions lucratives à court terme.
(cas pratique : payer une facture d’énergie élevée plutôt qu’une mensualité bancaire élevée. (tautologie d’actualité depuis l’invention de la cheminée) cas pratique n2 : faire produire de l’énergie polluante en amont pour se parer de vert en aval avec au passage la promesse de diminuer le coût de maintenance des turboréacteurs pour faire grimper celui des chaudières au charbon (tautologie cette fois prédictible par l’algèbre).
Ils ont les enregistrements. Le procès en diffamation en presse est extrêmement restrictif.
“On ne peut en effet que présumer de la diffamation : le prévenu peut ainsi démontrer sa bonne foi, et prouver alors que ses propos sont fondés. Le juge appréciera alors des critères d’objectivité, de prudence, d’absence d’animosité personnelle et de légitimité du but poursuivi.
Enfin vient l’exception de vérité : toute plainte sera ainsi dégagée, si l’accusé parvient à prouver la vérité de ses accusations.”
La diffamation ne se limite pas même à la presse… c’est tout le sens du mot “censure” qu’emploie Mediapart.
226-10 CP
La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d’acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n’a pas été commis ou que celui-ci n’est pas imputable à la personne dénoncée.
En tout autre cas, le tribunal saisi des poursuites contre le dénonciateur apprécie la pertinence des accusations portées par celui-ci.
Il doit donc nécessairement y avoir, en plus des faits reprochés, une vérité judiciaire sur laquelle fonder l’ordonnance… sous peine de quoi la Justice se fonde sur du vent et c’est de ce que j’en comprends ici le cas.
Mais peut-être que ce fonctionnement sans personnel est bien la seule justification qu’on oserait justement pas nommer de son vrai nom : la pauvreté du contribuable, démuni face au “try and error” des entreprises qui une fois de plus sont assez pieuses pour se faire payer leurs torts.
Est-ce un fait exprimé lors de l’audience ou bien un procès d’intention que vous leur faites ?
La justification est factuelle :
Il n’a mentionné aucune action contre Fakir, pourtant une des sources des articles incriminés. En s’abstenant d’une telle action, Avisa Partners s’économise le risque de voir une « offre de preuve » communiquée par Fakir dans le cadre d’une telle procédure.
Le droit à la présomption d’innocence reste applicable, mais d’autant plus lorsque le dossier est vide… il fallait oser.
Le
29/11/2022 à
17h
31
220€/personne en Suisse contre 50Hz en France.
Quant l’un s’électrise l’autre select-ô-cul.
Le
29/11/2022 à
14h
54
À bien y regarder les deux dernières décénnies de droit ont montré que des lois inapplicables sont cause de moyens d’application, et non d’embauches.
Les moyens (LCEN) ont ici pour finalité de méprendre la presse avec le lobby afin de soutirer au lectorat de la data pour, dans l’après polémique, exiger de force plus de technique ou d’argent.
C’est un peu comme un bon dealer qui d’une main tend de l’héroïne et de l’autre une seringue asceptisée. Vu que plus ou moins tout le quartier est sous “traitement”, qu’une ou deux ouailles se pansent en moins n’est qu’un artefact statistique négligeable.
Il y a aussi l’endoctrinement “nominal” mais je ne vais pas revenir sur leur générantes scelles de si tôt.
Le
29/11/2022 à
12h
25
Nul ne doute qu’Avisa Partners a conscience que ces délais, dès l’introduction de la procédure en tant que société d’intelligence économique, entrent dans la stratégie de bâillonnement des rédactions mises en cause.
Bonne analyse. On ne s’étonnera donc pas de remarquer que la “cybersécurité” est tout aussi lancinante que ses supposés “ennemis de l’est” vu qu’entre terreurs les avisements sont délibérés.
Une telle honte mériterait un passage au JT, entre les Epads et les morts évitables de la Covid dont le dénominateur commun n’échappe plus à personne : le pognon.
En complément, Bpifrance mettra à disposition des entreprises tous les dispositifs d’Accompagnement Bpifrance, notamment les missions de conseil et la possibilité de rejoindre l’accélérateur TEE, en partenariat avec l’ADEME, ainsi que les accélérateurs transverses.
Je cherche encore le frein à main…
Le
29/11/2022 à
09h
53
Russie et USA ont des sous marins pou aller au fond de l’océan…
Oui, sous le fond de l’océan. Et ainsi éboulements, tremblements volcaniques provoqués, marées noires, cables coupés…
Le conflit d’usage n’a pas même besoin d’être militaire pour qu’il y ait des morts. Merci pétrole.
Le
29/11/2022 à
09h
49
pInUS a dit:
J’imagine qu’au fond de l’océan, ce n’est pas vraiment réalisable, mais près des côtes, y a-t-il déjà eu des tentatives ?
Hier on parlait du besoin qui devrait être gravé sur les murs dans les bureaux afin d’éviter aux collaborateurs de pâtir du manque de lucidité de leurs décideurs.
Le lendemain on s’émeut de voir disparaître des societés ou produits qui en manquaient cruellement. De besoin.
Doit-on alors (re)inventer le pyrograveur connecté pour ensuite déposer la plinthe ?
Le
29/11/2022 à
09h
44
mandieu. Merci de l’avoir fait a ma place et j’aurais fait le pire ;D
Entre LEUD TEC et DE CULTE l’agrume pressait le service trois pièces. C’est évident.
4748 commentaires
Des publicités trompeuses alimentent la croissance d’entreprises dédiées à la santé mentale
05/01/2023
Le 08/01/2023 à 16h 03
Les deux ne le sont pas par la science elle-même… pour mesurer une valeur calorifique ce n’est pas un « food fact » mais un « burning fact ».
La physis induite n’a plus rien de sensible donc.
C’est plutôt qu’on oppose le corps avec l’esprit qui pose question. Qui parle de combustion spontanée ?
Le 05/01/2023 à 22h 12
« Des publicités trompeuses alimentent la croissance d’entreprises dédiées à la santé mentale »
Dans le bon ordre :
« la croissance à la santé mentale trompeuse alimente des publicités d’entreprises dédiées »
Ce n’est pas moi qui l’dit.
Le Tarn est un peu sauvage, mais il y a donc Sainte-Cécile…
Des photos de la Lune et la Terre prise par la sonde sud-coréenne Danuri
05/01/2023
Le 05/01/2023 à 21h 43
Prochaine étape : la mer de Corée sur la lune. L’Original
Vu de loin ce n’est peut-être pas la mer du Japon… ça met (encore) l’eau à la bouche.
Les fuites d’hydrogène participent au changement climatique
04/01/2023
Le 05/01/2023 à 21h 31
Le char à pets est dans les cartons depuis des décennies mais on remarquera qu’assumer l’odeur se prévaut en TURPE.
Leur tort semble surtout être de ne pas saisir que l’hydrogène s’insère avant tout dans une logique de réseau dont la finalité est faussement conventionnelle. Ce n’est donc pas l’hydrogène qui pose problème, mais le contexte incertain à partir duquel l’industrie manufacturière raisonne et transmet cette incertitude au consommateur qui n’a plus que le loisir de se payer sa prope ignorance plutôt que d’être accompagné par des pros dans une organisation à taille humaine de ses besoins primaires, besoins entendus comme truchement numéro 1 par lequel il choisira ensuite librement de la devise avec laquelle il financera l’accessoire passant par la décharge d’un stock physique qui n’a pas à être surcodifié par excès d’instinc de survie au profit exclusif de « fournisseurs » dont l’existence même incombe, comme souvent et pour à peu près tout ordinaire, à notre « singulière » Europe.
Du reste, que la comptabilité en parallèle du CO2 existe est nécessaire, mais qu’on ose alors m’expliquer pourquoi je ne peux donc me payer un kWh à 0,04€…
Cohérence c’est double-plus-bon ? Bug Mother, une réaction ?
Le 04/01/2023 à 21h 46
Ergh : en France, la loi mutualise ce genre de pertes. C’est même rendu obligatoire par loi lorsque pré-équipé.
Par exemple : En Marche (pour la pédo-épuration ) est devenu Renaissance, résultat identique : toujours pas de concurrence entre fournisseur d’égoût. Z’ont belles les z’années 30 m’sieur.
(Ceci est une presque Fake News au cas où d’horribles séchoirs nous sermonnent de soulever ce genre d’enmerdements).
Le 04/01/2023 à 21h 26
Les pertes pneumatiques VT ou VE rapportent autant aux fabricants de pneus. Est-ce à dire que le malheur des uns fait le malheur des autres ?
On attend encore les ACV relatifs au coût de la sécurité, pas seulement routière…
Le 04/01/2023 à 21h 19
Véhicule électrique = batterie = consommation d’anode = extraction = émission de chaleur non compressible (industrie minière) = pompe à chaleur dont 2-3 degrés primaires sont déjà 100% fossiles = empreinte non nulle sans questionnement sur le rendement systémique de l’inter-génération.
La définition même des cycles de vie pose problème. Mais je peux cerner qu’avec un débat médiocre sur les interactions entre énergies la plèbe confie sa vie pour une autre en pensant bien faire.
Car sans doute aussi, la philosphie allemande infuse les ACV : « le mal qu’on m’a fait je peux le pardonner, mais je ne leur pardonnerai jamais le mal qu’ils se sont faits à eux-mêmes. »
Délicat d’en [attribuer mieux] aux promoteurs dont on ignore souvent la motivation de cette « méthode ». Mais je dois certainement planner sans électricité…
Des technologies dédiées à la lutte contre la Covid-19 sont détournées à des fins de surveillance de masse partout dans le monde
04/01/2023
Le 04/01/2023 à 22h 26
Je n’ai pas entendu monsieur Veran nous dire que diluer l’individu et sa psychée dans la masse des technophobes était une mesure de santé publique cohérente avec une gestion fine de la transition numérique… en clair, je ne suis pas le seul à considérer cette négligence comme relevant du même modèle ingrât qu’est le travail dissimulé.
La figure de l’escroquerie réussie est souvent de juxtaposer l’intérêt général à côté de quelques uns particuliers. Que cela irrite des intellectuels de bas étages est normal, mais que ces personnes assument enfin leur complicité dans l’accroissement des nouveaux goulags…
Le 04/01/2023 à 22h 19
*puisque nous savons tous que sont vendus aux 4 coins du globe des Iphone potentiellement backdorés par le suivi covid dont l’API est polémique…
Bref. Partout est plutôt juste bien qu’on puisse de bonne foi s’en étonner par habitude des généralisations abusives. Hors ici la « mass surveillance » américaine est le contexte auquel aucun personnage public ne se frotte. Sauf, malheureux hasard, en Russie.
De cette façon, la loi de Murphy se valide. C’est déjà ça…
Le 04/01/2023 à 22h 07
« . Just as the balance between privacy and national security shifted after the Sept. 11 terrorist attacks, COVID-19 has given officials justification to embed tracking tools in society that have lasted long after lockdowns »
-Analogie avec le débat initial
-Constat post pandémie
Correctement traduit l’une des premières assertions a le même sens que la brève dont le titre fait l’économie de souligner que « le saisi est pris la main dans le pot de confirure. ».
Le racolage c’est l’article original, pas la brève légèrement moins chargée que le contenu faussement étonnant sur le fond de l’AP.
Le 04/01/2023 à 20h 48
Un bon paquet de spécialistes voyant leur travail (le détail) passer sous les radars depuis des années jusqu’au jour où la faille de trop justifie un cycle supplémentaire d’autoflagellation débouchant sur le même contresens premier : « j’ai le droit de rendre un service sans définir lequel du moment que la vox populi m’en donne le clic ».
Par effet boule de neige même les « complotistes » utilisent donc des apps et autres outils pourtant indiscociables d’une forme de modernité… ce qui laisse le débat public (au sens de médiatisé) en deça de son idoine luddisme et ainsi ne vaut pas mieux, sur ce sujet ou d’autres réputés
scientiques, qu’une collique entre petits bourgeois.Tesla condamnée en Corée du Sud pour publicité mensongère
04/01/2023
Le 04/01/2023 à 20h 57
Je dirais même plus, c’est pas banal. Mais je dirais donc #complotpasfacile
Wolks Wagen n’est pas le seul constructeur à être mis en cause au sujet des particules « virtuelles » de leurs modèles standards… mais je concède qu’entre la vetustas et les finalités c’est souvent une affaire de froc et de bonnets.
2022, année de la voiture électrique ?
04/01/2023
Le 04/01/2023 à 20h 24
En effet, 22 était une année érotique.
Dans les pays capacités la borne anatomique se confine. Un peu comme avec le cochon.
Boris Ravignon est le nouveau PDG de l’ADEME
27/12/2022
Le 02/01/2023 à 21h 06
Les arrêtés ne sont pas des deux ex machina. L’Ademe est responsable de ses publications mais aussi de son expertise auprès des cabinets ministeriels.
Cela devrait tomber sous le sens mais par corrolaire, une quelconque règlementation obéit à des usages dont la représentation (et ses frais) n’excède pas les parties prenantes.
On pouvait aussi faire appliquer par les mêmes moyens de droit les normes ISO sans prétendre à sauver le beignet déguisé en chantre de l’écologie mondiale car, putatif, nous sommes la tome et l’oméga trois.
Le 02/01/2023 à 20h 57
Le frelon asiatique a-t-suivi la bonne intégrale de parcours avant son effondrement ?
Le 02/01/2023 à 20h 41
Je n’arrive pas à retrouver le document mais sur le site des stats publiques il y a un rapport bilan sur les DPE qui se conclue par le triste constat que la pertinence de la fin de distribution (ô la gaussienne) est nulle à partir de la classe D.
Un chauffage urbain a nécessairement une source chaude kézapélerio « primaire ».
Diviser par deux au motif qu’il y a un second cycle thermodynamique est juste de bon sens bien que restreint comme je le mentionnais.
La RT2005 n’est pas acceptable du reste : cela fait au bas mot 40 ans qu’on sait descendre à 100kWhep/m2/an et non 180kWhef/m2/an pour s’arranger entre téléologistes de bon comptes au nom tantôt de la sauvegarde du patrimoine ou plus certainement de la face pour avoir un jour projeté un confortavle attentat aux mensualités bancaires de prêt, remplacées, par une facture libellée en kilowattsheures.
Aussi, si à la fin c’est classe C ce n’est pas anormal.
Ce qui est en revanche vrai c’est que depuis la réforme des pseudo études thermiques (aka DPE donc) il y a un carré magique qui corrèle en effet CO2 et consommation.
Encore un truc à la Ricardo pour celles et ceux ayant compris d’où vient le combustible de la bagnole qui-va-dans-le-mur.
Ne pas confondre fumées et CO2. Les diesels en sont le bon exemple…
Là dessus on est d’accord. Mais donc on dérape… ^^
Le 02/01/2023 à 20h 23
On s’autorise à penser. Parfois ce n’est pas si vain qu’il n’y parait dans le cas présent.
La bonne question c’est : quelle méthode pour distinguer le vrai du faux. Là dessus ton point 7 est pas clair :
Ces 55% ne sont pas un artefact à mon sens, ils revoient au cycle de Carnot mais c’est en effet mal formulé soit par eux, soit car ce n’est pas suffisament remis dans le contexte conventionnel d’évaluation de l’énergie (les Watts ne sont pas l’unité internationnale, il faut à chaque fois préciser si on parle de taux (aka puissance) ou de stock (aka masse)).
Le 28/12/2022 à 21h 54
Le CSTB propage les fake news des industriels. Exemple : la pose en rénovation de sur-fenêtres (techniquement palant)
C’est le même problème de copinage qu’avec l’automobile.
Ben non.
Ce qui est dingue c’est la somme de compromis stupides car déjà intégrés à la Thbce (méthode de calcul) sur laquelle l’Ademe et autres sacheurs publics interprètent ce qui les arrangent en fonction du sens du vent.
Exemple de ce que je souligne ci-dessus.
Le 28/12/2022 à 21h 45
Ô gloire.
Les chiffres de l’Ademe devenant maintenant l’argument d’autorité passe partout on ne s’étonnera donc pas d’avoir confondu la tranchée avec le sentier du chateau de Versailles.
À moins que…
Nouvelle arme pour la DGCCRF : du « name and shame » sur les injonctions
02/01/2023
Le 02/01/2023 à 13h 35
C’est la triple peine :
Le CNRS revient sur la « chasse aux exoplanètes »
27/12/2022
Le 28/12/2022 à 21h 36
Dans l’Allier la panspermie inverse est un art multi-séculaire.
Mais l’empire de France n’a pas encore atteint les 5000 départements, alors on en parle moins.
Les regrets de Right to repair sur les futures règles européennes sur les batteries
27/12/2022
Le 28/12/2022 à 20h 46
Dans le cas des carosses à pile l’homologation demande que la batterie résiste aux collisions avec d’autres charettes de trait et ainsi ne peut valider que l’électron libre à la fouille vidée déambule dans les rues du nanarland avec un déséquilibre du slip dont l’onanisme renouvelable fait défaut, par définition.
On remarquera aussi que, bien qu’il existe une tolérance à l’obésité d’anode dans le cas d’un rétroslip, ce dernier étant souvent jaune devant mais marron derrière : sa légitimité lui vaut son impopularité au pays de la tome.
Reste à éluder pourquoi, au nom de l’alter-
éco-con-conception, le mauvais goût made in generis fait encore recette populaire auprès de nos amanita repa(s)rare !
Next INpact vous souhaite un joyeux Noël, tous nos contenus en accès libre !
24/12/2022
Le 25/12/2022 à 09h 05
L’ambiance sportive est aussi au rendez-vous en agglomération, note.
#Flock cache des friandises pour geeks dans sa grosse hotte
24/12/2022
Le 25/12/2022 à 08h 51
Mon intuition me dit que ce caribou n’est pas breton.
Perseverance a déposé son premier tube d’échantillon sur Mars
23/12/2022
Le 23/12/2022 à 09h 59
Couler un bronze par -63 degrés n’est pas à la portée de toutes les blouses.
Pratiques anticoncurrentielles sur la marketplace : la Commission européenne accepte les engagements d’Amazon
23/12/2022
Le 23/12/2022 à 09h 53
Dans ces beaux quartiers l’humour est de mise.
Alors tant qu’à diverger sur le sexe des anges cela méritait un communiqué n’en doutons pas.
JO 2024 : les expérimentations de vidéosurveillance algorithmique dureront jusqu’en juin 2025
23/12/2022
Le 23/12/2022 à 09h 48
Les gladiateurs contemporains ne feraillent pas sous la ceinture.
L’État veut créer un « droit au très haut débit pour tous à un prix abordable »
19/12/2022
Le 21/12/2022 à 17h 26
Voisin qui paye cher son LAN au nom de la sacro-sainte Hadopi…
Le 20/12/2022 à 22h 17
Mauvais départ : 19200 euros de T.V.A en 10 ans pour 20 résidents en copro avec le tarif actuel d’une offre triple play.
Huit « influenceurs » poursuivis pour une escroquerie « pump and dump » sur Twitter et Discord
16/12/2022
Le 20/12/2022 à 08h 24
La dette s’entendant au pluriel, c’est le découvert qui s’initie. Quel avenir radieux pour les petites mains des autres réseaux : travailler sans finalité collective de long terme.
Dépassement de DAS sur le Logicom Le Pulse : trois mises à jour et une amende de 7 500 euros à la clé
16/12/2022
Le 16/12/2022 à 09h 05
On s’interroge sur la capacité de contrôle des produits déjà vendus et non mis à jour… syndrome du vélo electrique ou bien banalité des prodomes ?
Le lobbying des GAFAM en France est « au même niveau que les plus actifs des groupes du CAC40 »
15/12/2022
Le 15/12/2022 à 19h 33
Lorsque Lycos ne rapporte plus rien mettre 1 milliard d’utilisateurs au travail (dissimulé d’ailleurs) ça a du chien.
Quant au reste des technophiles à Gram positif dont l’injection touche aux hautes balles il faut pourtant, là encore, se remémorer l’amnésie post partum pour ne pas, à nouveau, passer à côté du moult.
Je ne sais enfin si avec nos grandes tentes nucléaires nous arriverons à tenir ce défi, mais, je ne doute pas un seul instant qu’un contrat social factice (dont les preuves des abominations codantes abondent dans le dernier quart d’heure) est bien entendu renouvelable par simple clic RGpédant.
Le calvaire des patients abandonnés par les fournisseurs d’implants électroniques
09/12/2022
Le 11/12/2022 à 12h 19
Oui mais là encore : la menace d’une plainte au pénal pour non assistance à personne en danger ne percole pas l’esprit désoeuvré d’un bon nombre de créateurs glandus sympathiques ayant perdu au jeu (au choix) de la dette, de la banque, ou pour tous les autres cas transaltatlantes et para-médicaux au monoBercy.
L’art de la croissance…
La Quadrature du Net n’a recueilli que 10 % de ce dont elle a besoin pour 2023
06/12/2022
Le 06/12/2022 à 08h 02
Le plus marquant reste ce constant au sujet du cadre proposé :
Ce qui est conforme avec le déni de réalité, la négation des faits scientifiques et la présomption de culpabilité qui incombe par idéologie au citoyen.
Dans un monde pourtant idéal les administrateurs devraient tous démontrer leurs aptitudes à l’analyse auprès de leur base sociale avant de prétendre toucher un salaire composé pour la plus grosse part de ce même impôt solidaire.
Hors le résultat est si peu éloigné de l’état de nature qu’on ne s’étonnera donc pas de voir (encore) les primaires prendre le pas sur la pensée à chaque intération légalo-potesque de l’obséquieux, unique, prosélyte et mortifère pizzo.
Le fichier clients de Camaïeu ne sera finalement pas vendu aux enchères
06/12/2022
Le 06/12/2022 à 07h 44
A lire cette brève on se dit que la verte et dodue amuse (encore) la galerie tandis que d’autres creusent des tunnels (chiffrés) au surplus.
Malgré l’arrivée d’Elon Musk, la communauté scientifique veut pouvoir continuer à tweeter
05/12/2022
Le 05/12/2022 à 15h 04
Revues payantes et/ou en situation de rackett des fonds universitaires.
Le web des périodiques s’est transformé en juteux manège de la controverse.
Si [remplacez-par-un-rézosocio] sert de lien “public” pour cette raison et en réaction à l’état de fait calamiteux décrit ci-avant, alors aucun politique ne peut être élu ou gouverner à raison d’un projet de societé. Pas mieux en provenance d’organes para-publics ou para-privés sensés administrer les questions scientifiques à portée générale.
Ou bien, troisième voie de garage : il faut provoquer le complotisme pour valider une organisation sociale négligente par la réthorique du bouc émissaire. (la manufacture de l’ennemi étant le modèle pris pour référence car l’axe du mal c’est jamais en escadrille…)
Accord entre Airbus et Renault sur l’électrique (et les batteries)
02/12/2022
Le 02/12/2022 à 13h 39
Le communiqué (qui a déjà 2 jours) se contente de parler d’hybrides.
L’inertie est assez proche puisque la même cause (disponnibilité) produit systématiquement le même effet : l’effacement des questions fondamendales au profit de solutions lucratives à court terme.
(cas pratique : payer une facture d’énergie élevée plutôt qu’une mensualité bancaire élevée. (tautologie d’actualité depuis l’invention de la cheminée)
cas pratique n2 : faire produire de l’énergie polluante en amont pour se parer de vert en aval avec au passage la promesse de diminuer le coût de maintenance des turboréacteurs pour faire grimper celui des chaudières au charbon (tautologie cette fois prédictible par l’algèbre).
Mediapart fixé sur sa censure mercredi, Next INpact passe au Tribunal judiciaire de Paris aujourd’hui
28/11/2022
Le 30/11/2022 à 18h 36
C’était donc pas la Loire à boire.
Le 29/11/2022 à 17h 57
La diffamation ne se limite pas même à la presse… c’est tout le sens du mot “censure” qu’emploie Mediapart.
226-10 CP
Il doit donc nécessairement y avoir, en plus des faits reprochés, une vérité judiciaire sur laquelle fonder l’ordonnance… sous peine de quoi la Justice se fonde sur du vent et c’est de ce que j’en comprends ici le cas.
Mais peut-être que ce fonctionnement sans personnel est bien la seule justification qu’on oserait justement pas nommer de son vrai nom : la pauvreté du contribuable, démuni face au “try and error” des entreprises qui une fois de plus sont assez pieuses pour se faire payer leurs torts.
Le vaisseau habité Shenzhou-15 en route vers sa station spatiale chinoise
30/11/2022
Le 30/11/2022 à 17h 38
Entre Foxconn et Scholz le salaire de la peur ne doit pas être très pépais en prime.
Avisa vs Next INpact : l’audience du 28 novembre 2022
29/11/2022
Le 29/11/2022 à 19h 28
La justification est factuelle :
Le droit à la présomption d’innocence reste applicable, mais d’autant plus lorsque le dossier est vide… il fallait oser.
Le 29/11/2022 à 17h 31
220€/personne en Suisse contre 50Hz en France.
Quant l’un s’électrise l’autre select-ô-cul.
Le 29/11/2022 à 14h 54
À bien y regarder les deux dernières décénnies de droit ont montré que des lois inapplicables sont cause de moyens d’application, et non d’embauches.
Les moyens (LCEN) ont ici pour finalité de méprendre la presse avec le lobby afin de soutirer au lectorat de la data pour, dans l’après polémique, exiger de force plus de technique ou d’argent.
C’est un peu comme un bon dealer qui d’une main tend de l’héroïne et de l’autre une seringue asceptisée. Vu que plus ou moins tout le quartier est sous “traitement”, qu’une ou deux ouailles se pansent en moins n’est qu’un artefact statistique négligeable.
Il y a aussi l’endoctrinement “nominal” mais je ne vais pas revenir sur leur générantes scelles de si tôt.
Le 29/11/2022 à 12h 25
Bonne analyse.
On ne s’étonnera donc pas de remarquer que la “cybersécurité” est tout aussi lancinante que ses supposés “ennemis de l’est” vu qu’entre terreurs les avisements sont délibérés.
Une telle honte mériterait un passage au JT, entre les Epads et les morts évitables de la Covid dont le dénominateur commun n’échappe plus à personne : le pognon.
Le CNES veut surveiller les câbles sous-marins, la pollution, la piraterie, les trafics et les migrants
29/11/2022
Le 29/11/2022 à 12h 30
Rubrique climat sur leur site :
Je cherche encore le frein à main…
Le 29/11/2022 à 09h 53
Oui, sous le fond de l’océan. Et ainsi éboulements, tremblements volcaniques provoqués, marées noires, cables coupés…
Le conflit d’usage n’a pas même besoin d’être militaire pour qu’il y ait des morts. Merci pétrole.
Le 29/11/2022 à 09h 49
Microsoft essaye régulièrement avec son BSOD.
Ce n’est pas une farce.
Orange arrête sa Maison connectée
29/11/2022
Le 29/11/2022 à 12h 06
Hier on parlait du besoin qui devrait être gravé sur les murs dans les bureaux afin d’éviter aux collaborateurs de pâtir du manque de lucidité de leurs décideurs.
Le lendemain on s’émeut de voir disparaître des societés ou produits qui en manquaient cruellement. De besoin.
Doit-on alors (re)inventer le pyrograveur connecté pour ensuite déposer la plinthe ?
Le 29/11/2022 à 09h 44
Entre LEUD TEC et DE CULTE l’agrume pressait le service trois pièces. C’est évident.
Twitter introduira des marques de vérification de plusieurs couleurs
28/11/2022
Le 28/11/2022 à 22h 12
L’axiome ne suffit pas.
Il nous faut aussi le bon verbatim.
Mais je doute qu’en 7 temps les chalants et les chalantes nationales (re)prennent leur chance d’avoir un jour vu la mer.