Les regrets de Right to repair sur les futures règles européennes sur les batteries

Les regrets de Right to repair sur les futures règles européennes sur les batteries

Les regrets de Right to repair sur les futures règles européennes sur les batteries

Ce collectif regroupe plusieurs entités, notamment HOP, iFixit, The European Environmental Bureau (EEB) et BackMarket. Il affirme avoir « pu voir le texte approuvé, même s’il n’a pas encore été publié ». Si les avancées vont dans le bon sens, Right to repair regrette plusieurs manquements.

Tout d’abord, la question du prix pour les opérateurs indépendants et les utilisateurs finaux : « Jusqu’à présent, la législation de l’UE ne traite toujours pas du caractère abordable de la réparation ».

Il regrette aussi « les exemptions pour les produits utilisés dans des conditions humides : la directive n’exigera pas de conceptions avec des batteries remplaçables par l’utilisateur pour des appareils tels que les brosses à dents électriques ». 

« Cependant, il est important de noter que même pour les produits concernés par ces exemptions, les batteries devront être remplacées par des réparateurs professionnels indépendants », ajoute Right to repair. 

« Pour les moyens de transport légers, les batteries ne devront être enlevées que par des professionnels indépendants (et non par les utilisateurs finaux), mais les exigences incluent les cellules de batterie, ce qui signifie que les batteries deviendront également réparables ».

Enfin, le collectif s’attend à une entrée en vigueur d’ici « mi-2026 ou potentiellement même 2027 – techniquement dans 4 ans ! », un délai relativement long que regrette le collectif. 

Commentaires (25)


Tiens justement hier je me disais que ça ne devrait pas être très dur de faire une brosse à dents électrique avec batterie remplaçable.
Je me trompe ? Ou on suppose que l’utilisateur va faire des bêtises ?



Parce que bon un caisson étanche pour APN c’est une charnière, un beau joint d’étanchéité et hop… ça va à -40m…


Il y a deja des rasoirs et des brosses à dents étanches et avec batteries remplaçables sur le marché. C’est d’ailleurs pour ça que le collectif regrette la décision.


refuznik

Il y a deja des rasoirs et des brosses à dents étanches et avec batteries remplaçables sur le marché. C’est d’ailleurs pour ça que le collectif regrette la décision.


Jamais vu de brosse à dents à batterie remplaçable. Encore mieux celles que j’ai eue avaient des batteries NiCd, et bien sûr, recommandé de la remettre sur son socle de charge après usage…


Effectivement, c’est très facile au niveau électronique. Pour la partie mécanique, on peut faire le parallèle avec les PC portables. Les modèles pro permettent un accès très facile aux éléments internes mais c’est plus cher.



Intégrer la réparabilité dans la conception implique donc de revenir à la notion de qualité/prix que les marchants ont tout fait pour tuer pour que les con-sommateurs arrêtent de rechercher la qualité.



Côté industriel, cela a donné une nouvelle discipline nommée l’analyse de la valeur qui consiste au final à réduire progressivement la qualité des produits donc les coûts de production, tout en proposant les produits aux mêmes prix aux consommateurs.



Une petite recherche sur wikipedia vous donnera la définition officielle qui diffère de la mienne. Il s’agit au départ d’une cause parfaitement défendable mais détournée par les marketeurs. La dérive est la suivante: au lieu d’enlever ce qui n’est pas nécessaire à la valeur d’un produit (qualité constante), on enlève progressivement la valeur qui n’est pas perçue directement par le consommateur et qui est considérée comme inutile par le marketing (qualité décroissante).



Prenons un petit exemple tout simple avec les cafetières philips à dosettes via la comparaison de trois générations successives:




  • Première génération: quand l’eau est chaude, un capteur de température donne l’information à la cafetière que le café peut être lancé ; Si l’utilisateur a appuyé sur le bouton, la machine a mémorisé cet appuis et lance le café dès que l’eau est à la bonne température ;



  • Deuxième génération: le capteur de température est viré (quelques centimes de gain) ; La cafetière attend un temps fixe au bout duquel l’eau est forcément chaude ; si un utilisateur a arrêté la machine avant la fin (tasse trop petite), il faut se taper ce temps même si l’eau est déjà chaude ;



  • Troisième génération: la mémorisation de l’appui de l’utilisateur ne se fait plus (aucun gain industriel), l’utilisateur doit tenter d’appuyer régulièrement sur le bouton jusqu’à ce que la machine accepte enfin de démarrer après sont temps de chauffe (même si l’eau était déja chaude). Le bouton ainsi appuyé bien plus de fois va rapidement tomber en panne.




Je vous laisse imaginer l’évolution du prix entre ces trois génération. Un indice, il n’a pas baissé.


wanou

Effectivement, c’est très facile au niveau électronique. Pour la partie mécanique, on peut faire le parallèle avec les PC portables. Les modèles pro permettent un accès très facile aux éléments internes mais c’est plus cher.



Intégrer la réparabilité dans la conception implique donc de revenir à la notion de qualité/prix que les marchants ont tout fait pour tuer pour que les con-sommateurs arrêtent de rechercher la qualité.



Côté industriel, cela a donné une nouvelle discipline nommée l’analyse de la valeur qui consiste au final à réduire progressivement la qualité des produits donc les coûts de production, tout en proposant les produits aux mêmes prix aux consommateurs.



Une petite recherche sur wikipedia vous donnera la définition officielle qui diffère de la mienne. Il s’agit au départ d’une cause parfaitement défendable mais détournée par les marketeurs. La dérive est la suivante: au lieu d’enlever ce qui n’est pas nécessaire à la valeur d’un produit (qualité constante), on enlève progressivement la valeur qui n’est pas perçue directement par le consommateur et qui est considérée comme inutile par le marketing (qualité décroissante).



Prenons un petit exemple tout simple avec les cafetières philips à dosettes via la comparaison de trois générations successives:




  • Première génération: quand l’eau est chaude, un capteur de température donne l’information à la cafetière que le café peut être lancé ; Si l’utilisateur a appuyé sur le bouton, la machine a mémorisé cet appuis et lance le café dès que l’eau est à la bonne température ;



  • Deuxième génération: le capteur de température est viré (quelques centimes de gain) ; La cafetière attend un temps fixe au bout duquel l’eau est forcément chaude ; si un utilisateur a arrêté la machine avant la fin (tasse trop petite), il faut se taper ce temps même si l’eau est déjà chaude ;



  • Troisième génération: la mémorisation de l’appui de l’utilisateur ne se fait plus (aucun gain industriel), l’utilisateur doit tenter d’appuyer régulièrement sur le bouton jusqu’à ce que la machine accepte enfin de démarrer après sont temps de chauffe (même si l’eau était déja chaude). Le bouton ainsi appuyé bien plus de fois va rapidement tomber en panne.




Je vous laisse imaginer l’évolution du prix entre ces trois génération. Un indice, il n’a pas baissé.


J’ai plusieurs gps de rando (Garmin etrex, Oregon, Montana) que j’utilise principalement à vtt et ils sont tous étanches et à batteries remplaçables donc bien sur que c’est tout à fait possible de combiner les 2, surtout que pour un smartphone il n’y a pas la contrainte de la résistance aux chocs et à l’immersion d’un bazar de rando tout terrain du coup il y aurait moyen de faire nettement plus compact.



Pour le coup de la cafetière à capsule de mon point de vue ce genre de machin va de toutes façons totalement à l’encontre de toute notion d’écologie : par essence un truc qui oblige à avoir une machine spécifique ne pouvant utiliser qu’un format de consommable tout aussi spécifique pour un truc aussi simple et disponible n’importe où (et accessoirement pour bien moins cher) sous sa forme naturelle que le café ne pourra jamais être qualifié d’écologique n’en déplaise aux marketeux.
accessoirement si pour les fabricants de ce genre de bidule le capteur de température est un accessoire inutile je comprend mieux pourquoi le “café” que ça produit produit est presque systématiquement dégueulasse vu que la bonne température est aussi importante que la bonne mouture et la bonne pression d’extraction pour obtenir un bon résultat.
Il faut bien sur aussi du bon café mais ça ça coûte cher donc faut pas rêver dans des capsules ils foutent du tout venant le moins cher possible pour marger un maximum (ramené au prix/kg c’est vendu en moyenne 4-5x le prix qu’on trouve en brulerie), de toutes façons une fois emballé dans de belles capsules colorées les con sommateurs n’y verront que du feu …


wanou

Effectivement, c’est très facile au niveau électronique. Pour la partie mécanique, on peut faire le parallèle avec les PC portables. Les modèles pro permettent un accès très facile aux éléments internes mais c’est plus cher.



Intégrer la réparabilité dans la conception implique donc de revenir à la notion de qualité/prix que les marchants ont tout fait pour tuer pour que les con-sommateurs arrêtent de rechercher la qualité.



Côté industriel, cela a donné une nouvelle discipline nommée l’analyse de la valeur qui consiste au final à réduire progressivement la qualité des produits donc les coûts de production, tout en proposant les produits aux mêmes prix aux consommateurs.



Une petite recherche sur wikipedia vous donnera la définition officielle qui diffère de la mienne. Il s’agit au départ d’une cause parfaitement défendable mais détournée par les marketeurs. La dérive est la suivante: au lieu d’enlever ce qui n’est pas nécessaire à la valeur d’un produit (qualité constante), on enlève progressivement la valeur qui n’est pas perçue directement par le consommateur et qui est considérée comme inutile par le marketing (qualité décroissante).



Prenons un petit exemple tout simple avec les cafetières philips à dosettes via la comparaison de trois générations successives:




  • Première génération: quand l’eau est chaude, un capteur de température donne l’information à la cafetière que le café peut être lancé ; Si l’utilisateur a appuyé sur le bouton, la machine a mémorisé cet appuis et lance le café dès que l’eau est à la bonne température ;



  • Deuxième génération: le capteur de température est viré (quelques centimes de gain) ; La cafetière attend un temps fixe au bout duquel l’eau est forcément chaude ; si un utilisateur a arrêté la machine avant la fin (tasse trop petite), il faut se taper ce temps même si l’eau est déjà chaude ;



  • Troisième génération: la mémorisation de l’appui de l’utilisateur ne se fait plus (aucun gain industriel), l’utilisateur doit tenter d’appuyer régulièrement sur le bouton jusqu’à ce que la machine accepte enfin de démarrer après sont temps de chauffe (même si l’eau était déja chaude). Le bouton ainsi appuyé bien plus de fois va rapidement tomber en panne.




Je vous laisse imaginer l’évolution du prix entre ces trois génération. Un indice, il n’a pas baissé.


Fascinant… Merci pour les détails !



wanou a dit:


Prenons un petit exemple tout simple avec les cafetières philips à dosettes via la comparaison de trois générations successives:




  • Première génération: quand l’eau est chaude, un capteur de température donne l’information à la cafetière que le café peut être lancé ; Si l’utilisateur a appuyé sur le bouton, la machine a mémorisé cet appuis et lance le café dès que l’eau est à la bonne température ;



  • Deuxième génération: le capteur de température est viré (quelques centimes de gain) ; La cafetière attend un temps fixe au bout duquel l’eau est forcément chaude ; si un utilisateur a arrêté la machine avant la fin (tasse trop petite), il faut se taper ce temps même si l’eau est déjà chaude ;



  • Troisième génération: la mémorisation de l’appui de l’utilisateur ne se fait plus (aucun gain industriel), l’utilisateur doit tenter d’appuyer régulièrement sur le bouton jusqu’à ce que la machine accepte enfin de démarrer après sont temps de chauffe (même si l’eau était déja chaude). Le bouton ainsi appuyé bien plus de fois va rapidement tomber en panne.




Je vous laisse imaginer l’évolution du prix entre ces trois génération. Un indice, il n’a pas baissé.




Sur cet appareil en particulier, on peut désormais prendre les paris pour savoir qui du bouton ou de l’étanchéité flanchera en premier.


Avec les batteries “remplaçables” et/ou “réparables” c’est les designeurs qui vont râler et adieu la finesse. Ça va peut être améliorer la robustesse :keskidit:


Il est temps qu’une initiative citoyenne type “openfoodfacts” sorte pour les produits fabriqués.



Atreide_NI a dit:


Avec les batteries “remplaçables” et/ou “réparables” c’est les designeurs qui vont râler et adieu la finesse. Ça va peut être améliorer la robustesse :keskidit:




Ou pas.



Y’a quelques jours, un inpactien dont le nom m’échappe détaillait deux tel portables samsung, qui avait la même épaisseur, l’un était plus grand que l’autre, et bizarrement, le plus petit des deux avait sa batterie remplaçable, et pas le plus grand.



Si l’inpactien en question passe par ici, qu’il le mentionne, car je n’ai plus aucune idée de qui ni sur quel sujet c’était.


Ouais je l’ai vu quelque part par la.


Il ne faut pas non plus regarder que la taille des téléphones hein, ça serait un peu simple.



C’était le S4 mini avec une batterie de 1900 mah comparé au S22 avec une batterie de 3700 mah donc quasi le double. La batterie, c’est quand même un volume conséquent dans un smartphone.
Ça, c’est aussi sans compter la différence de puissance, d’écran, d’équipement photo et tout autre composant supplémentaire qui peuvent être ajouté dans le téléphone. Il faut bien de la place pour y mettre tout ça.



D’ailleurs petit correction sur la taille, le s4 mini, c’est 8.9 mm d’épaisseur contre 7.6 mm le s22 donc pas exactement la même épaisseur.


Paraplegix

Il ne faut pas non plus regarder que la taille des téléphones hein, ça serait un peu simple.



C’était le S4 mini avec une batterie de 1900 mah comparé au S22 avec une batterie de 3700 mah donc quasi le double. La batterie, c’est quand même un volume conséquent dans un smartphone.
Ça, c’est aussi sans compter la différence de puissance, d’écran, d’équipement photo et tout autre composant supplémentaire qui peuvent être ajouté dans le téléphone. Il faut bien de la place pour y mettre tout ça.



D’ailleurs petit correction sur la taille, le s4 mini, c’est 8.9 mm d’épaisseur contre 7.6 mm le s22 donc pas exactement la même épaisseur.


Incorrect. J’avais comparé le S4 classique (i9500/i9505) avec le S22 classique (pas le Ultra car ce dernier est plus gros, 8.9 mm).



Tu as raison sur le fait que le S4 Mini est plus gros, sauf qu’il est aussi plus petit et surtout ce n’était pas la même gamme même si le nom le laisse penser (c’est plutôt du bas de gamme vu la résolution et autres). Pour le bien de la comparaison j’ai préféré utiliser des modèles assez similaires :D


TheKillerOfComputer

Incorrect. J’avais comparé le S4 classique (i9500/i9505) avec le S22 classique (pas le Ultra car ce dernier est plus gros, 8.9 mm).



Tu as raison sur le fait que le S4 Mini est plus gros, sauf qu’il est aussi plus petit et surtout ce n’était pas la même gamme même si le nom le laisse penser (c’est plutôt du bas de gamme vu la résolution et autres). Pour le bien de la comparaison j’ai préféré utiliser des modèles assez similaires :D


Au temps pour moi alors, je me suis complètement emmêlé les pinceaux. En vrai, j’aurais dû m’en rendre compte parce qu’effectivement le S4 mini, c’est clairement loin d’un haut de game pour l’époque (quand on compare au s22 “de base” par exemple)



Je me souviens de ces fils de commentaire et moi-même étant intervenu dessus en me plaignant de la mesure surtout pour le côté finesse des smartphones avec étanchéité (IP 6768). Et je sais pas pourquoi j’avais en tête que le S4 mini était justement celui qui était “waterproof” alors que c’était le S4 Active.
Mais du coup en comparant S4 Active a S4 (ou S22 qui sont effectivement comparables en taille), ça montre quand même qu’il y a un bon volume en plus pour avoir IP 67+ et garder la batterie accessible.


Paraplegix

Au temps pour moi alors, je me suis complètement emmêlé les pinceaux. En vrai, j’aurais dû m’en rendre compte parce qu’effectivement le S4 mini, c’est clairement loin d’un haut de game pour l’époque (quand on compare au s22 “de base” par exemple)



Je me souviens de ces fils de commentaire et moi-même étant intervenu dessus en me plaignant de la mesure surtout pour le côté finesse des smartphones avec étanchéité (IP 6768). Et je sais pas pourquoi j’avais en tête que le S4 mini était justement celui qui était “waterproof” alors que c’était le S4 Active.
Mais du coup en comparant S4 Active a S4 (ou S22 qui sont effectivement comparables en taille), ça montre quand même qu’il y a un bon volume en plus pour avoir IP 67+ et garder la batterie accessible.


Pas forcément, du moins jusqu’à IP67. Sur l’ancien topic, Inodemus citait le S5 Mini capable de faire cela et en vérifiant, je constate que le S5 classique l’était aussi. L’épaisseur de ce dernier est de 8,1 mm, ça reste raisonnable.



Il doit sûrement être possible d’avoir de l’IP68 avec batterie amovible sans risquer l’obésité morbide. De toute façon l’IP68 ne nous permettra pas de les utiliser dans une piscine pour autant, même si le service marketing de Sony pensait le contraire en 2015 :D


Tiens, en parlant de batterie, on se débarrasse où des batteries Li-Ion exactement ?



Ça ne passe pas par la poste, surtout en cas de gonflement et la plupart des points de collectes c’est pour les batteries “dures” (type piles et compagnie).



C’est aussi illégal de le foutre dans la poubelle donc où je ramène se bousin sachant que le produit vient d’Amazon (donc pour ça spécifiquement ça va être chiant).



Est-ce qu’il y a une map avec les points de collecte de ce type de batterie ?


Le plus simple me semble le système batribox.
Il accepte bien tous les types de piles/batteries même li-ion.



https://www.batribox.fr/quelles-piles-et-batteries-collecter/



Il y a même une carte des points de collecte sur la page.


yodacergy

Le plus simple me semble le système batribox.
Il accepte bien tous les types de piles/batteries même li-ion.



https://www.batribox.fr/quelles-piles-et-batteries-collecter/



Il y a même une carte des points de collecte sur la page.


Ça semble ne pas, être forcément à jour.



J’ai regardé par chez moi certains points dont des sociétés fermés définitivement.



À priori Lidl avait une opération de récupération mais je ne sais pas si ça court toujours. Le match près de chez moi a le truc de récupération de pile, faut que je regarde si ça marche pour ça aussi.



Guinnness a dit:


J’ai plusieurs gps de rando (Garmin etrex, Oregon, Montana) que j’utilise principalement à vtt et ils sont tous étanches et à batteries remplaçables donc bien sur que c’est tout à fait possible de combiner les 2, surtout que pour un smartphone il n’y a pas la contrainte de la résistance aux chocs et à l’immersion d’un bazar de rando tout terrain du coup il y aurait moyen de faire nettement plus compact.




Peux-tu préciser auxquels deux tu fait référence ?
J’ai précisé que tout se paye mais je ne pense pas avoir parlé d’impossibilité de cumuler compacité et réparabilité.



A la rubrique témoignage perso J’ai un ordinateur de plongée qui permet de changer soit-même la pile là où il fallait passer en atelier pour la même opération autrefois. J’ai d’ailleurs un aladin pro dont la pile esr vide et qui ne vaut plus rien de ce fait. Les choses évoluent dans le bon sens à ce niveau.



Concernant ta remarque sur les smartphones, il est préférable de ne pas généraliser car le mien est précisément antichoc (MIL STD 810), étanche et réparable sans nécessiter de décoller l’écran. Dans trois ans au moins, j’aurais peut être à remplacer la batterie de 10 000 mA.h :D


C’était pas très bien formulé, les 2 auxquels je faisait allusion c’est étanchéité +baterie remplaçable par l’utilisateur (et sans y passer 4 heures ni avoir toute la panoplie de chirurgien indispensable pour espérer ouvrir les derniers smartphones à la mode :transpi: )



Ton exemple montre bien d’ailleurs, un ordinateur de plongée c’est typiquement le genre de trucs qu’on s’attendrait à devoir retourner en atelier pour un changement de pile et pourtant le tient prouve que c’est possible autrement. (peut être un peu moins compact avec piles/batterie remplaçables du coup ?)



p.s. c’est quoi ton smartphone ? Un truc “standard” ou un truc “hardened” façon truc industriel/baroudeur donc plus gros et lourd que la moyenne et avec un design “particulier” ? :transpi:


Je n’y crois pas du tout à cette histoire de finesse et d’étanchéité qui empêche de pouvoir rendre la batterie remplaçable. Je trouve aussi que le terme amovible n’est pas correct et induit les gens en erreur en leur faisant penser que le but recherché est qu’une batterie soit retirable en moins de 10 secondes et sans aucun outil.



Les batteries ne sont généralement pas soudées dans les smartphones, elles ont un connecteur, donc elles sont déjà “amovibles”. Le vrai problème c’est d’y accéder, il ne doit pas y avoir de chose fragile et collé sur le chemin, ce qui arrive trop souvent. Il faut donc surtout que l’accès se fasse par l’arrière, jamais par l’avant, sans vitre collée sur le chemin et sans besoin d’outil hors norme.



Si ces conditions sont respectées, c’est pas grave ensuite qu’il faille 1h pour réaliser l’opération, on ne le fait pas tous les jours.




Paraplegix a dit:


Et je sais pas pourquoi j’avais en tête que le S4 mini était justement celui qui était “waterproof” alors que c’était le S4 Active.




J’avais mentionné le S5 mini qui est étanche (et petit et à batterie amovible remplaçable en 10s), ça vient peut-être de là.



Guinnness a dit:


C’était pas très bien formulé, les 2 auxquels je faisait allusion c’est étanchéité +baterie remplaçable par l’utilisateur (et sans y passer 4 heures ni avoir toute la panoplie de chirurgien indispensable pour espérer ouvrir les derniers smartphones à la mode :transpi: )
Ton exemple montre bien d’ailleurs, un ordinateur de plongée c’est typiquement le genre de trucs qu’on s’attendrait à devoir retourner en atelier pour un changement de pile et pourtant le tient prouve que c’est possible autrement. (peut être un peu moins compact avec piles/batterie remplaçables du coup ?)




Tu ne crois pas si bien dire. L’ancien était remplis d’huile de parafine car cela rend très simple la réalisation d’une étanchéité à toute épreuve. Avec une telle conception, il aurais pu être utilisé par la COMEX à 700 m de fond :D Par contre, pour remplacer la pile, il faut un sacré équipement et, comme il s’agit d’un appareil dont ta vie dépend, tu réfléchi à deux fois avant de te lancer.



Le nouveau est en fait plus fin que l’ancien, ce qui confirme ton intuition. Cela vient également du fait que la plongée sous-marine s’est démocratisée et que le budget de recherche et développement que peuvent désormais consacrer les fabricants a augmenté.




Guinnness a dit:


p.s. c’est quoi ton smartphone ? Un truc “standard” ou un truc “hardened” façon truc industriel/baroudeur donc plus gros et lourd que la moyenne et avec un design “particulier” ? :transpi:




C’est une « brique incassable » selon mes enfants, un BV6600 pro de chez Blackview. Avec une telle batterie et une telle résistance au chocs, il n’est pas envisageable d’avoir un truc fin et léger.
Par contre, avec la caméra thermique et une autonomie de 6 à 7 jours en moyenne, c’est effectivement un truc de baroudeur ou d’électricien. :yes: En GPS routier et cartes offline, je descend la batterie d’à peine 30% en 5h de route. Pas de stress en cas d’avarie du chargeur de voiture.
En rando, c’est également un bon plan.
Je le conseille également aux femmes car il peut facilement servir de matraque pour se défendre. :transpi:


Il est toujours sous android 11 toujours le tien ou ça s’update ?


Dans le cas des carosses à pile l’homologation demande que la batterie résiste aux collisions avec d’autres charettes de trait et ainsi ne peut valider que l’électron libre à la fouille vidée déambule dans les rues du nanarland avec un déséquilibre du slip dont l’onanisme renouvelable fait défaut, par définition.



On remarquera aussi que, bien qu’il existe une tolérance à l’obésité d’anode dans le cas d’un rétroslip, ce dernier étant souvent jaune devant mais marron derrière : sa légitimité lui vaut son impopularité au pays de la tome.



Reste à éluder pourquoi, au nom de l’alter-
éco-con-conception, le mauvais goût made in generis fait encore recette populaire auprès de nos amanita repa(s)rare !



barlav a dit:


Il est toujours sous android 11 toujours le tien ou ça s’update ?




Comme souvent avec Android, c’est de l’abandonware. Mais c’est une base médiatek avec un Android nu si tu es bricoleur.


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