Berbe
est avec nous depuis le 2 septembre 2016 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
574 commentaires
Shadow évoque ses évolutions et les nouveaux tarifs : de 30 à 55 euros
Le 20/05/2021Le 23/05/2021 à 18h 53
Gné ?! Je crois que tu mélanges tout.
Une fois que tu as acheté ton équipement, il t’appartient : tu ne dépends de personne pour l’utiliser.
Je parlais simplement de la différence location vs achat : lors de la location, du jour au lendemain, tu peux ne plus rien avoir. Le tarif de la mensualité peut varier, la qualité du service aussi. Tout est suspendu au bon vouloir du fournisseur.
Lors d’une location, tu paies mensuellement sur une durée infinie pour un équipement sur lequel tu n’as aucun droit ni aucune projection possible.
Après un achat, tu amortis le prix payé sur la durée d’utilisation du composant : tu maitrises donc ce que tu as déboursé, et tu peux effectuer un budget des dépenses.
J’ai l’impression d’enfoncer des portes ouvertes…
Le 20/05/2021 à 17h 47
lol
Il est temps de s’acheter du matériel : la location vous rend dépendant du bon vouloir du fournisseur. CQFD.
Extension des algorithmes aux URL, un feu vert malgré un risque constitutionnel ?
Le 19/05/2021Le 19/05/2021 à 10h 54
D’où mon point n°1.
Le 19/05/2021 à 09h 14
Puisque le chiffrement protège aujourd’hui la partie chemin des URL, cela veut donc dire que par la suite :
Sombre futur d’un État policier.
Données des pharmacies et IQVIA : la CNIL s’explique et va mener des contrôles
Le 18/05/2021Le 18/05/2021 à 15h 56
OK merci. J’avais effectivement lu trop vite.
J’ai donc une autre question : comment se fait-il que l’information & l’exercice du droit d’opposition soit liés à l’endroit de la collecte et non à la source des données collectées ?
Il est expliqué que l’exercice de retrait doit se faire dans une pharmacie. Une fois ceci fait, et après déménagement, j’en conclus qu’il faudra de nouveau exercer son droit d’opposition dans la nouvelle pharmacie…
Sait-on pourquoi le droit de retrait n’est pas associé, non pas à la pharmacie, mais bien à la source considérée, c’est à dire la personne cible, identifiée via sa carte Vitale ou SSN ? Une fois le refus exercé, les données correspondants aux patients avec la-dite carte Vitale ou le-dit SSN ne pourraient plus être collectées.
Selon moi, le lieu de collecte n’a rien à faire dans l’équation…
Le 18/05/2021 à 15h 03
Le RGPD exige que le concentement soit fait via une acte positif explicite.
Il faudrait donc que les pharmaciens soient en mesure de prouver le consentement donné par chacune des personnes dont les données personnelles sont collectées pour traitement par IQVIA.
Pourquoi renverse-t-on la logique et doit-on donc exercer un droit de retrait ?
Si en posant des questions, l’on s’aperçoit qu’un pharmacien collecte ces informations, il est en violation du RGPD, non ?
Pourquoi l’exigence n’est-elle pas aux pharmaciens d’arrêter la collecte des données de toutes les personnes pour lesquelles il ne sont pas en mesure de prouver un consentement effectué par acte positif explicite ?
Retour incontrôlé de Longue Marche-5B : la NASA fait part de son mécontentement
Le 11/05/2021Le 11/05/2021 à 16h 14
La Chine n’a pas besoin de faire attention à sa réputation pour obtenir son “soft power” : être la 1re puissance économique mondiale suffit, avec une croissance encore énorme, et grappillant de plus en plus de parts vers une hégémonie sur différentes productions critiques pour la consommation mondiale.
Les “investissements” en Afrique, au-delà de l’aspect “soft power” qui est pour moi anodin, est surtout l’occasion de mettre la main sur des réserves précieuses. L’économie, toujours.
Des accidents, ils ont ont tous les jours, comme en ex-URSS, et ils les étouffent(étoufferont).
Sur le plan international, leur économie alimente leur production militaire, dans tous les domaines, et l’affrontement est de plus en plus clair & direct avec, respectivement le Japon, les États-Unis & l’Australie… pour commencer.
Le suite s’écrira en affrontements directs, qu’ils soient économiques ou militaires.
La Russie a démontré avec l’invasion de la Crimée qu’il n’y a que du vide derrière les postures composées de “gros yeux” : cela démontre une fois de plus que toute menace dénuée d’effet est vide de sens.
C’est précisément les postures que je mentionne, et qui ne servent à rien face à un pays qui n’a que faire de la morale, et qui ne raisonne qu’en termes de rouleaux-compresseurs d’autoritarisme & d’économie.
Je le répète : la Chine d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier, et il serait bon de changer de programme.
Les sanctions aujourd’hui appliquées dès que des règles sont violées ont prouvé durant la dernière décennie leur inefficacité : la Russie est en Crimée, et tout va pour le mieux pour elle.
La Turquie se paie notre tête, et joue un jeu malsain avec la Russie pour rétablir un “soft power” en ex-URSS. L’Azerbaidjan, l’Arménie : le plus récent exemple.
L’Iran ? Les sanctions ont parfaitement fonctionné et ils ont bien évidemment arrêté de produire de l’uranium enrichi.
L’URSS pouvait être “pilotée” car son économie était fragile. Aujourd’hui, nous faisons face à des régime autoritaires qui, je le redis, ont les moyens de leurs ambitions.
Continuons à essayer de dialoguer, car c’est la seule issue positive… mais gardons un œil ouvert car nous n’avons pas encore trouvé, aujourd’hui de moyen de les contraindre à abandonner leurs ambitions d’expansion violente.
Le 11/05/2021 à 13h 33
La question à se poser, quand on s’interroge sur l’image, est :
À qui envoie-t-on un message ?
Autrement dit : Auprès de qui l’image renvoyée est importante ?
La Chine ne cherche pas à amadouer/séduire le reste du monde : ils sont isolationnistes et s’impose(ront) au niveau mondial par la force. Les autres veulent(voudront) travailler avec eux par choix/obligation, mais eux ne susciteront généralement pas de coopération : ils s(er)ont en contrôle.
Une fois cette base posée, c’est donc auprès de sa propre population que l’image est importante pour la Chine. Le totalitarisme de ses dirigeants & leur propagande de masse sont rodés pour amplifier leurs actes, tout en étouffant les voix dissonantes.
Pas de souci, donc : leurs missions spatiales seront perçues extrêmement positivement sur leur territoire, et c’est tout ce qui compte pour ce pays.
La NASA ne fonctionne pas comme cela, car elle dépend d’un régime fonctionnant aujourd’hui toujours différemment.
Il est sain qu’ils s’expriment (et j’aimerais voir d’autres agences, notamment l’ESA, s’y joindre), mais cela ne changera pragmatiquement rien.
S’adosse peut-être à cette communication une tentative de rouler des mécaniques pour impressionner, mais la Chine d’aujourd’hui ne ressemble en rien à l’URSS de l’époque.
Ce qui pouvait fonctionner à l’ère de la Guerre Froide ne fonctionnera tout simplement plus. Que ceux qui s’y réfèrent pour se rassurer sur l’issue de ce conflit grandissant ouvrent les yeux : se mettre la tête dans le sable n’est pas la meilleure manière de se préparer à ce qui arrive.
Rançongiciels : le CERT Santé lance un plan d’action préventif
Le 23/04/2021Le 24/04/2021 à 16h 06
Les technologies d’un fournisseur spécifique de logiciels privateurs se mélangent aux concepts plus génériques… signe qu’il est acquis dans la tête de ces gens du CERT que c’est un fait établi qui n’est donc plus, par nature, à être remis en question.
Se reparle-t-on des contrats Open-Bar ? Au-delà de fausser la concurrence, ce choix de technologie est aussi un risque majeur de sécurité.
Une sécurité sérieuse nécessite de la transparence de l’applicatif en exécution (audit), et sa maitrise implique la capacité de pouvoir agir librement dessus, par exemple en le modifiant (action).
Tant que les couches technologiques elles-mêmes, résultant de choix discutables mais jamais discutés, sont les premières responsables de vulnérabilités dans leur conception-même, vous pouvez apposer des procédures opérationnelles & blâmer les opérateurs à l’infini sans faire autre chose que patcher une jambe de bois.
Au Journal officiel, des caméras « intelligentes » pour mesurer le taux de port de masque dans les transports
Le 11/03/2021Le 11/03/2021 à 18h 14
Bien sûr : un espace confiné avec forte densité de population n’est pas un endroit de contamination.
L’Union européenne devrait-elle mettre à jour le RGPD ?
Le 05/03/2021Le 05/03/2021 à 10h 04
Les réactions précédentes sont une preuve, s’il en fallait, que l’agilité n’est un mode de fonctionnement parfaitement intégré, voire naturel, que pour une minorité, a priori technique, et un mode centré sur des atouts techniques.
Les monde juridique aime les certitudes, les processus bien formés et carrés… sans s’en rendre compte il favorise la bureaucratie et le manque d’agilité, qu’il perçoit logiquement comme une menace.
Le RGPD a eu une longue période de gestation, et c’est un vrai miracle et une bouffée d’air de voir qu’il n’y a pas que des directives liberticides poussées par les intérêts des lobbies économiques qui sont adoptées par l’Europe.
La longue période entre l’écriture originelle et l’application rend de facto le texte à la limite d’être obsolète face à des problématiques qui ont évoluées bien plus rapidement qui lui, par nature figé.
Je pense que c’est précisément l’idée que tente de pousser Axel Voss.
Je comprends cependant que l’idée d’adapter le RGPD aujourd’hui véhicule potentiellement un message destructeur vis-à-vis d’une population qui n’a pas forcément conscience de l’énorme durée que nécessite l’élaboration d’une loi, et qui s’attend à une longue pause avant de modifier un texte existant.
Le paradoxe étant que ce n’est pas parce qu’une suite au RGPD serait étudiée aujourd’hui qu’elle ne serait prête avant des années.
Obsolescence présente… Obsolescence future ?
Il y a certainement du temps à gagner dans l’élaboration de lois/directives :
Cela permettrait de conserver un temps d’élaboration long, nécessaire à la réflexion et aux débats, tout en permettant en sortie une révision régulière du cadre directif, permettant de ne pas trop être en retard sur la réalité du monde et ainsi de raccourcir le délai entre l’apparition de nouveaux usages et leur encadrement.
Inspiration4 : Hayley Arceneaux sera la seconde touriste de l’espace à bord de SpaceX
Le 23/02/2021Le 25/02/2021 à 10h 02
La seule question à se poser afin de déterminer si ce genre d’opération devrait être tenue, c’est celle de l’utilité. Utilité envers quoi ?
On parle d’espace, lieu d’exploration : ce type de projet, permet-il de faire avancer les connaissances ?
Non : les astronautes/cosmonautes sont déjà suivis physiologiquement/psychologiquement, en plus d’être préparés et suivis tout au long de leur carrière, donc il n’y aura pas de données intéressantes ici.
D’un point de vue “coup de communication”, ce projet servira-t-il à faire la promotion de la conquête spatiale ?
Non : c’est déjà le cas avec l’attrait revigoré pour la conquête spatiale, drainant déjà un fort intérêt et une forte communication assurant l’intérêt du public. Les missions de découvertes scientifiques sur Mars font déjà le boulot, tout en y alliant un intérêt purement scientifique, cause première de la-dite exploration.
Il semble donc qu’il n’y ait aucun intérêt à ce type de mission.
Mais pourquoi donc existe-t-il ?
Parce qu’on le peut, donc on le fait ?
Cela résonne avec le rêve de voler, et maintenant d’aller dans l’espace, le désir des plus riches d’utiliser leur agent pour obtenir des expériences/services sur-mesures et exceptionnels, comme tout signe extérieur de richesse.
On est dans de la pure vanité, de l’ego mal placé, et des ressources grillées pour le pire de ce que l’humanité a à offrir… bien sûr, en enveloppant tout ça dans une collecte de fonds pour des ‘tits n’enfants, afin de donner un cachet altruiste à une opération qui n’en est pas.
SI l’objectif étaient de lever des fonds, un paquet d’idées plus simples et bien plus efficientes existent ou sont à inventer.
Cela rappelle aussi la triste réalité du monde moderne : privatiser de plus en plus et de manière systématique tout projet.
SpaceX est une entité commerciale : tout projet générant du bénéfice en termes d’image (derrière transformée en revenus) ou directement en numéraire sera considéré positivement… et ce par sa nature d’entreprise privée dans une économie capitaliste.
Un rappel, s’il en fallait que les agences et services publics ont un objet social, tandis que les entreprises ont un objet économique. La raison d’être et les priorités sont bien différentes.
Et si les institutions/agences/collectivités publique conservaient les opportunités de revenus en investissant dessus ?
Et si les profits de cette rentabilité restaient dans le domaine public ?
Et si cette rentabilité, plutôt qu’être une fin en soi, était mise au service du bien commun, permettant entre autre de mettre à la poubelle les projets de pure vanité de ce type ? Les ressources, épuisables, ne seraient-elles pas mieux utilisées ?
Présidentielle : les sénateurs rejettent massivement le vote par anticipation via des machines à voter
Le 19/02/2021Le 20/02/2021 à 17h 25
Ah, ce réflexe de confondre vitesse et précipitation…
Qu’il est pratique de targuer le respect des règles comme désuet, de targuer le refus d’une précipitation d’obsolète !
Réflexe classique de p’tits jeunes dont l’ego n’a d’égal que l’ambition dévorante. Les dents rayent le parquet…
Si notre exécutif se voulait véritablement d’être moderne, il serait capable d’anticiper les changements, d’effectuer un inventaire de l’existant et de fournir les moyens en amont d’un changement de règles fondamentales.
Notre exécutif a pourtant déjà montré à de nombreuses reprises qu’il n’était pas moderne, et a trompé la population en mélangeant les notions d’âge et de maturité.
Il serait préférable d’avoir un gouvernement mature (et peut-être pas aussi jeune vu qu’apparemment à 40 ans, l’on peut être immature en politique ?), évitant de démolir les protections du Code du Travail (cf. réforme 2016), les libertés civiles par l’emploi massif d’états d’urgence, et s’engageant véritablement dans la modernisation, par exemple en redonnant les moyens au service public de gérer un petit peu de logistique, que ce soit pour des masques, des tests ou des vaccins.
TL; DR
Pas touche au Code électoral à l’arrache, pour gesticuler et faire semblant d’apporter des changements, tout en risquant de fragiliser un acte essentiel de la vie politique, notamment en risquant de s’appuyer sur des moyens obsolètes pouvant fragiliser les résultats.
Les extrêmes comme l’arrivisme, le jeunisme, le populisme & le dégagisme ? Faites-en un boule, et mettez-y le feu.
Le télétravail, « un impératif » selon le gouvernement
Le 05/02/2021Le 07/02/2021 à 05h 49
Eh oui…
SI tu observes les décisions gouvernementales prises ces derniers mois, tu auras certainement remarqué :
La stratégie gouvernementale est de faire tourner l’économie, donc qu’un maximum d’entreprises fonctionnent (les grosses, hein, celles qui comptent en termes d’employés; les petits commerçant, ils s’en tapent, ou alors c’est trop compliqué pour eux à gérer ?).
Donc :
Ce sera donc la croix et la bannière pour démontrer que l’entreprise est un lieu de contamination.
Elle est la beauté du système ; le renversement de la charge de la preuve. Vous devrez démontrer que l’entreprise est bien la source de votre contamination… ce qui sera impossible.
Si la réglementation ou les directives avaient été faites pour protéger la population, cela aurait été aux entreprises de prouver qu’elles n’étaient pas un lieu de contamination… et comme cela est tout autant impossible, elles feraient tout pour se protéger de risques juridiques en empêchant au maximum les employés de se rassembler sur un site quelconque.
Donc quand le gouvernement vient expliquer du bout des lèvres qu’il faut favoriser le télétravail tout en forçant les employés à supporter la charge de la preuve… ils se foutent de notre gueule.
SPF/DMARC, évolution du serveur SMTP et port 25 : Free renforce sa politique d’email
Le 05/02/2021Le 07/02/2021 à 05h 31
(Désolé pour la seconde réponse, trop tard pour éditer la précédente)
Pour la partie STARTTLS, cela revient au débat sur le protocole associé à chaque port : le chiffrement TLS doit-il être obligatoire ? La négociation TLS arrivant avant le protocole sous-jacent, il n’était originellement pas possible de mixer les 2.
TCP/465 fut un temps spécifié pour SMTPS, ie SMTP/SSL. Le problème étant que SMTP (TCP/25) n’implique pas de chiffrement, imposer le chiffrement sur ce port aurait introduit un bris de compatibilité ascendante.
STARTTLS permet, en partie, de résoudre le problème en permettant à la fois le protocole non-chiffré ainsi que se version chiffrée de cohabiter.
Sauf que… si un attaquant (MitM) souhaite écouter la communication, il peut simplement filtrer toute tentative d’un client de démarrer une session chiffrée en supprimant les messages de contrôle STARTTLS, forçant ainsi le canal à ne pas être chiffré.
Cette faiblesse de STARTTLS est structurelle ; la seule manière de s’assurer qu’une négociation de session chiffrée se fasse est de forcer la négocitation TLS, donc de l’effectuer en premier… et donc si un protocole est spécifié sans cette obligation, séparer les usages avec un nouveau port. Cela a, depuis l’otigine, était fait pour HTTP, avec TCP/80 & TCP/443.
Retour dans le cauchemar des TCP/25 & TCP/465.
Aujourd’hui, un opérateur peut faire ce qu’il veut avec son TCP/587, et s’il veut forcer le chiffrement ,ce sera aux client ne bien être configurés.
Il peut aussi “recycler” TCP/465 s’il veut permettre aux usagers d’utiliser TCP/587 de manière non-chiffrée.
L’idée est en tous cas : quelques soient les choix effectués, cela n’impactera pas la communication avec les autres MTA sur TCP/25 : le standard des communications inter-MTA étant respecté, la communication avec le reste du monde est assurée (sur un protocole spécifié comme n’étant pas chiffré, il faut donc chiffrer le contenu).
Le 07/02/2021 à 05h 17
Ne confondons pas tout.
Ces ports sont définis par RFC… et le sort du TCP/465 ayant changé au cours du temps, s’ensuivant une certaine confusion quant à sa définition et son usage, il est à éviter car dorénavant redondant (et depuis longtemps).
La raison derrière la séparation de port est une forme de séparation contrôle/données :
La lutte contre le courriel indésirable n’en est que facilitée.
Si tu gères ton propre MTA n’implémentant pas la séparation SMTP/Submission, et si tu surveilles attentivement les tentatives d’authentification, tu remarqueras beaucoup de bruit sur le TCP/25…
Apple explose son record : 111,4 milliards de dollars de revenus sur trois mois
Le 28/01/2021Le 28/01/2021 à 10h 56
La Sécurité Sociale étant un mécanisme social public, et Apple étant une personne morale économique privée, il n’y a que peu de rapport.
Ne pas être aussi aggressifs que les États-Unis en utilisant pas à foison de la législation à portée extra-territoriale est par contre une erreur.
Faisons payer un décent impôt (75%, 85%, voire 100% de tranches de revenus risiblement inutiles à un train de vie, même luxueux) aux personnes exerçant dans notre espace économique (national ? Européen ?).
Arrêtons de prêter attention à la localisation des-dits revenus (source d’
optimisationévasion fiscale).Arrêtons de traiter différemment dividendes & salaires, et saupoudrons les premiers de cotisations supérieures à celles des seconds afin d’en décourager l’usage.
Supprimons peut-être même les cotisations & taxes diverses pour tout centraliser sur l’impôt, minimisant ainsi le risque de niches et simplifiant la fiscalité. Prévoir une correcte & prévisible redistribution aux collectivités locales.
Afin d’avoir les coudées franches, sortons unilatéralement de la dictature des tribunaux arbitraux, justice privée (oxymore). Cette idée fera certainement des petits chez les autres… et laissons mourir les coquilles vides.
TL; DR
Impôts (payés), impôts (payés), impôts (payés).
Si cela était le cas par ceux qui ont les moyens
d’optimiserde tricher, il n’y aurait plus de déficit public.Selon des chercheurs, les favicons peuvent être utilisées pour vous pister
Le 25/01/2021Le 25/01/2021 à 12h 55
Cf. leur réponse.
De l’habitude de ne pas considérer comme de la malice ce qui peut généralement s’expliquer par une erreur.
Les députés LREM veulent un « Permis Internet » généralisé pour les écoliers et collégiens
Le 19/01/2021Le 19/01/2021 à 09h 27
As-tu lu mon commentaire en entier ?
Si oui, tu saurais que ma position est qu’il ne faut effectivement pas qu’un enfant découvre sans aucune préparation un nouvel espace. On appelle d’ailleurs cela “éducation”, et c’est un concept générique qui s’applique à tout.
Préparer nos enfants ? Oui.
Créer un “permis” pour Internet ? Non.
Cf. mon commentaire précédent pour des idées de réels moyens mis au service d’une réelle éducation, par l’Éducation Nationale et les parents.
Le 19/01/2021 à 09h 07
Un “permis” pour utiliser Internet, simple moyen de communication/expression ?
Quelles que soient les intentions, brider l’accès à un moyen de communication en fonction de critères étatiques me fait froid dans le dos.
Quel malaise.
Si l’intention est d’accompagner les enfants dans leur processus intellectuel, et façonner leur esprit critique, pourquoi ne pas plutôt :
Et puis… au-delà de l’Éducation Nationale, quid du rôle des parents ?
Un seul enfant dans une classe de 6e qui n’a pas de téléphone portable… objet qui était déjà possédé en primaire (!) par ceux qui en ont. Inutile, addictif, incontrôlé.
Plutôt que de déblatérer sur les réseaux sociaux (ou autre), rappelons-nous que ce ne sont que des outils : ce qui est en fait dépend de l’être humain en bout de chaîne.
C’est un formidable outil que de voir le pire et le meilleur, du plus futile au plus instructif, circuler librement devant nos yeux, quel que soit le support : servons-nous en pour expliquer à nos enfants toutes les bases sur la pensée, le discours, le débat.
Aidons-les à construire leurs propres avis en les accompagnement concrètement… et oublions cette idée saugrenue d’“autoriser” via un “permis” arrogant, l’usage d’un Internet, touchant aux plus près à des libertés fondamentales.
L’administration américaine pourrait généraliser les bloqueurs de publicité
Le 19/01/2021Le 19/01/2021 à 09h 19
Un pare-feu qui a/prend connaissance du contenu des paquets ? DPI ?
Brrrrr…
Mélange de DNS menteur et proxy filtrant ?
Un proxy est menteur par nature, que ce soit pour la source ou la destination.
Amazon rachète onze Boeing à des compagnies aériennes
Le 06/01/2021Le 07/01/2021 à 17h 39
Dans toute entreprise, ce qui coûte cher, c’est les salaires.
Cours magistral d’Amazon : je suis propriétaire de mon outil de production, et je vais mettre la pression maximale sur les personnes travaillant pour moi en ne les embauchant pas directement, de façon à pouvoir en changer en fonction des mes desiderata.
S’il y en a un qui couine, il sera remplacé. Et cela vaudra tant pour les individus salariés des sous-traitant que pour les sous-traitants eux-même.
La compétition au service de l’esclavagisme. Capitalisme libéral.
Open data : le rapport Bothorel veut doter la Cada d’un pouvoir de sanction
Le 24/12/2020Le 28/12/2020 à 13h 28
Mauvaise & toxique solution (venant du privée) qui est cherchée à être appliquée à un environnement inadapté.
Merci de bien vouloir arrêter d’importer les idées nauséabondes du privé comme les sanctions individuelles privant une personne de son emploi ou de son salaire. La compétition des esclaves pour que les dirigeants puissent en retirer les fruits n’est pas un idéal sociétal.
On peut tout à fait sanctionner une administration (et la toucher au portefeuille si cela est jugé nécessaire) : c’est le principe des amendes. On peut aussi revoir les budgets, faire miroiter de nouvelles attributions ou en retirer d’autres, revoir l’organisation hiérarchique de services récalcitrants… et bien d’autres idées.
À la CJUE, les rouages du P2P examiné sous la loupe du droit européen
Le 18/12/2020Le 20/12/2020 à 14h 28
Aller chercher les informations d’identification chez les fournisseurs… et/ou les interdire dans un futur pas trop lointain.
L’Europe autorise le rachat de Fitbit par Google, à condition de respecter une série d’engagements
Le 18/12/2020Le 19/12/2020 à 18h 30
C’est un scenario possible, effectivement.
Pour que ta critique soie constructive, que proposerais-tu pragmatiquement, afin d’éviter cet écueil qui te semble écrit d’avance, et cette corruption systémique que tu décris ?
Plus besoin de l’attestation à compter du 15 décembre, mais couvre-feu à 20 h
Le 11/12/2020Le 11/12/2020 à 16h 25
Il ne faut pas confondre la parole politique “Quoi qu’il en coûte” et les actes. Les “cadeaux” seront payés derrière, et serviront d’argument supplémentaire pour remplacer plus avant le système assistanciel par le système assurantiel.
Te souviens-tu de la réforme des retraites ? Elle va revenir, plus violente encore, et la situation sanitaire servira à l’argumentaire en sa faveur.
Les 2 paragraphes précédents sont une opinion basée sur une intuition, et je serais ravi d’avoir tort, dans les faits.
Il est tout à fait pertinent de distinguer l’aspect social (dont la santé publique est un volet) de l’économie. On a bien appris à systématiquement parler “pognon”, mais c’est un mode de pensée, un langage & des réflexes inculqués par le modèle économique capitaliste, qui se libéralise (donc est de plus en plus violent), et dont les fer-de-lances sont les entreprises.
Et c’est là où le bât blesse : on applique à un État une logique d’entreprise, et ce depuis des dizaines d’années.
Cette pensée est l’orthodoxie actuelle, mais assimiler un État à une entreprise est résolument mauvais, car l’entreprise n’existe que pour une seule chose : générer du profit. L’État régule le cadre de vie d’un pays. Personne ne souhaite vivre dans une entreprise, et c’est cette dissociation qui est exploitée par de nombreuses dystopies.
Un État peut théoriquement s’endetter sans limites et peut annuler sa dette. Il faut pour cela s’affranchir de la justice privée comme les “tribunaux” d’arbitrages internationaux, pilotés par de grands groupes de pression.
Une fois que tu pars du principe que la raison d’être de l’État n’est pas de générer du profit, mais d’offrir un cadre de vie à sa Nation, cela ouvre les perspectives. Et surtout, surtout, cela fait disparaitre la peur, paralysatrice.
L’idée n’est alors plus d’éviter de s’endetter, même beaucoup, en cas de besoin (par exemple pour combattre une pandémie), mais le faire, afin d’investir dans l’avenir.
Attention : cela ne veut pas dire ne plus rechercher d’équilibre, mais ne se permettre plus d’amplitudes aux limites, et l’on est à une limite scrutée par l’Union monétaire de l’Europe.
Petit paradoxe du déficit : ceux qui considèrent l’État comme devant être rentable deviennent muet sur l’aspect investissement.
Aujourd’hui l’État n’investit plus. Jamais. Car il n’aurait “plus de sous”. Et du coup, il est sûr d’être déficitaire.
N’investissant plus, le projets d’intérêt général & juteux sur le long-terme sont donnés à quelques grandes entreprises qui ont leurs entrées.
Curieuse logique, non ?
Parce qu’il y a “urgence” à résoudre un déficit, on s’interdit les investissements à long-terme et l’on réfléchit à court-terme. Aucune fortune ne se crée sur le court-terme, sauf à exploiter les autres et/ou à tricher.
Mes préconisations ?
1°) Investir sans limite, lorsqu’il y besoin (assister sa population, grands projets d’infrastructure - BTP, connexion Internet, etc.)
2°) Générer des sources de revenu. Investir signifie rester propriétaire et louer l’infrastructure aux entreprises qui souhaitent l’exploiter. Aucun opérateur privé ne serait ainsi, via des consortium, propriétaire de juteux parking, voies ferrées ou fibres réseau, mais bien l’État, remboursant ainsi les sommes investies (au lieu de les dilapider en subventions).
Sortons de cette orthodoxie qui impose d’être court-termiste, qui force l’État à donner les projets juteux au privé.
La faillite d’un État ? Un concept qui n’existe pas. On efface bien la dette de certains pays, quand ça arrange l’orthodoxie (ex. le FMI & la BCE imposant leur tyrannie à la Grèce, il n’y a pas si longtemps).
Le 11/12/2020 à 11h 42
Ce monsieur mélange le vrai & le faux pour se poser en victime. Pratique.
Il ne défend d’ailleurs pas la Culture, ni les artistes, mais sa propre firme. Les sousous. Cf. la législation contre la copie des œuvres culturelles, qualifiée de “contrefaction” ou “piratage”.
Exact.
Il ne faut pas confondre laïcité, qui permet l’exercice individuel de sa foi (en la séparant de l’État 1905, auparavant la religion catholique était utilisée par le pouvoir), et l’athéisme, qui rejette la religion.
Les personnes qui critiquent les mesures permettant l’exercice d’une religion sont athées, et se cachent derrière une laïcité qu’ils n’ont pas compris, ne veulent comprendre, ou en torpillent sciemment le sens.
J’ajouterai qu’il ne faut pas confondre ouverture des lieux de cultes & exercice du culte.
Toujours selon la même laïcité, les bâtiments religieux catholiques sont devenus propriété de l’État en 1905, faisant que l’Église paie un loyer pour les occuper. Ouvrir les églises est donc une ouverture de bâtiments publics… au public.
Je ne sais ce qu’il en est pour les autres religions, qui n’ont pas le même historique avec l’État.
L’exercice du culte est, lui, limité avec une jauge de 30 personnes dans le bâtiment. Au vu de la jauge & de la taille des bâtiments catholiques (surtout les anciens), on peut largement espacer les personnes. Vu la hauteur sous plafond, la ventilation est possible sans trop de soucis.
Dans les salles culturelles… c’est plus petit, c’est plus confiné… je ne ferais par exemple pas confiance à la recirculation d’air dans les cinémas.
Il y a ceci dit un problème de cohérence qui me vient immédiatement à l’esprit.
Le problème étant les espaces confinés, on autorise depuis le premier jour, et ce sans interruption, les transports publics à fonctionner. Idem pour les établissements scolaires et leurs petites classes de 30 gamins.
Je ne vous raconte pas dans quel état d’inquiétude je suis quand je me retrouve collé à 30 personnes dans un bus de ville.
D’un point de vue sanitaire, de santé publique : cela n’a aucun sens.
D’un point de vue économique : les écoles sont ouvertes pour permettre aux parents d’aller travailler, les transports afin de permettre aux enfants d’aller à l’école & aux adultes d’aller travailler.
En France “moderne” : Économie > Santé publique
N’oubliez pas cela.
Debian 10.7 est disponible
Le 07/12/2020Le 09/12/2020 à 11h 09
Les paquets Debian qui ne nécessite pas de recompilation sont nativement disponibles via Devuan.
Un équivalent Debian 10.7 est donc disponible via cette distribution, sans souffrir d’une décision controversée car discutable, discutée, cadrant de facto la suite du projet en l’enfermant avec un init qui étend ses tentacules de dépendances dans les paquets, mais malgré tout décidée (forcée ?) par le pilotage du projet.
À chacun ses opinions.
Le 07/12/2020 à 09h 59
C’est l’occasion de tester Devuan, une dérivation de Debian respectant l’Init Freedom !
Piratage de FireEye, un des leaders de la cybersécurité, par un État-nation
Le 09/12/2020Le 09/12/2020 à 10h 49
Qu’est-ce que cet argument ad hominem vient faire là ?
On peut bosser dans la sécurité et sortir des âneries sans être ignare ou incompétent.
On peut ne pas bosser dans la sécurité et tout de même avoir des informations fiables.
Qu’est-ce cet argument d’autorité vient faire là ?
La taille & les médiatisation des incidents auxquels une structure répond ne présume en rien la possibilité qu’ils se fasse trouer comme des bleus.
Vrai
[EDIT] Vrai
https://github.com/fireeye/red_team_tool_countermeasures/blob/master/CVEs_red_team_tools.md
Sécurité globale : vote solennel aujourd’hui, au lendemain de violences policières filmées à Paris
Le 24/11/2020Le 24/11/2020 à 10h 26
… avec une présomption d’intention dont les forces de l’ordre seront les premiers appréciateurs
La justice européenne répète qu’une case précochée ne peut prouver le consentement d’une personne
Le 12/11/2020Le 12/11/2020 à 15h 49
Il n’y a aucun “passage” : le texte du RGPD n’a jamais changé.
Consentement via “action positive explicite” & actions de consentement ou de refus à la difficulté symétrique : il ne peut et n’a jamais pu y avoir légalement d’“opt-out”.
Certains éditeurs de site Web semblent seulement avoir du mal à comprendre les textes qui ne vont pas dans leur sens… et lorsqu’ils se font choper : “Oups ’s’cusez… On peut avoir 1 an pour corriger ? Parce que vous comprenez, vous nous prenez de court, c’est compliqué… ma grand-mère a écrasé un lion… pis la COVID, toussa toussa…”
RGPD Article 4 (11) [1] :
RGPD Article 7 (4):
UK ICO [2] :
[1] https://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/?qid=1532348683434&uri=CELEX:02016R0679-20160504
[2] https://ico.org.uk/for-organisations/guide-to-data-protection/guide-to-the-general-data-protection-regulation-gdpr/lawful-basis-for-processing/consent/
LibreOffice interpelle OpenOffice par une lettre ouverte
Le 13/10/2020Le 16/10/2020 à 19h 16
S’il y a bien quelque chose que je ne m’attendais jamais à lire, c’est critiquer une entité qui mise plus sur le travail concret que sur la baudruche du marketing…
Si aujourd’hui un projet qui bosse est moins valorisé qu’un autre qui glande, parce qu’il y a plus de publicité du côté des glandeurs/inutiles, ne serait-ce pas l’occasion de s’adonner à un tantinet de réflexion quant au poids, manifestement néfaste, de la publicité dans notre société ?
… et remercier les projets utiles, en commençant par éviter de les qualifier de chouineurs.
Appel à la grève suite à l’annonce de la fermeture des bureaux de Blizzard en France
Le 15/10/2020Le 16/10/2020 à 18h 35
Licenciement économique (puisqu’il ne s’agit pas ici de fautes individuelles), avec preuves démontrant de réelles difficultés économiques, mettant réellement l’entreprise en danger de vie, sans aucune solution alternative.
Malheureusement, le Code du Travail n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même au sujet de la protection des salariés contre les rapaces économiques.
Le 16/10/2020 à 18h 32
Eh bien justement non.
Les salariés ne sont pas une propriété de l’entreprise. Cela à un impact d’intérêt général, de santé publique, sur l’économie locale & nationale.
Quand elle prend une décision de nature à torpiller l’emploi, les revenus, la stabilité d’un foyer, elle devrait être contrainte de justifier le licenciement comme un dernier recours inévitable.
C’était en tous cas l’idée derrière les lois encadrant le Travail & protégeant les salariés… avant les détricotages successifs…
Encore une fois : pourquoi ce serait aux salariés et/ou aux syndicats de prouver quoi que ce soit ? C’est un renversement de la charge de la preuve qui ne semble pas/plus choquer tout le monde.
AMHA, ce serait à l’entreprise de prouver qu’elle éprouve de réelles difficultés, et qu’aucune autre solution n’est possible que le licenciement, pour motif économique (puisqu’il s’agit de ce motif, un des seul deux susceptibles d’entrainer un licenciement, avec la faute personnelle).
La loi est aujourd’hui laxiste, et permet les implantations/départs opportunistes & sauvages, maltraitant les salariés.
Une simple baisse de chiffre d’affaire peut aujourd’hui justifier un licenciement économique (en tant qu’élément de “difficulté économique”). Incroyable.
Si la loi était plus stricte, tout en s’appuyant sur la capacité d’appréciation au cas par cas des juges, cela permettrait d’éviter que des entreprises comme celle-ci “optimise” en s’essuyant le derrière avec leurs employés.
Le 16/10/2020 à 09h 56
Parce que tu penses que faire un jour de grève impacte quoi que ce soit niveau production ? C’est une réaction à une décision qui a déjà été prise.
Ça permet d’attirer l’attention sur les pratiques de l’entreprise; quitte à perdre son boulot parce que l’entreprise gloutonne trouve se gigantesques profit pas assez importants, autant négativement attirer l’attention sur elle. C’est désespéré, mais mieux que de se faire jeter en gardant le silence.
Et tu ne penses pas que les gigantesques profits de cette entreprise sont le signe du travail fourni par ses employés ? Pourquoi faudrait-il qu’ils prouvent quoi que ce soit ?
L’entreprise ne mentionne pas de difficultés (elle n’en a pas), mais souhaite “optimiser”. Je comprends ça comme un caprice, un chantage aux charges (en premier lieu desquelles les salaires) les plus basses. Rien de bien nouveau dans un capitalisme libéral.
En d’autres termes, les employés ne sont pas en faute, mais l’entreprise veut dépenser moins… pour dépenser moins.
Tu reprends là le chantage classique de ce capitalisme libéral galopant. Factuellement ? “Bullshit”.
Es-tu au courant que toutes les entreprises ayant délocalisé dans des pays permettant des salaires ridicules (notamment Chine & Europe de l’est) réfléchissent à revenir/reviennent en Europe de l’ouest ?
Il faut analyser l’environnement globalement pour comparer; les salaires ne sont qu’un paramètre.
La décision, non-justifiée, de Blizzard ressemble AMHA à une décision de rapace : capitaliser sur l’excellent travail fait & les excellentes infrastructures pour en profiter des fruits ailleurs.
Ils reviendront le jour où ils auront à nouveau besoin de matière grise pour la R&D… Le cycle de leur prédation.
Le 16/10/2020 à 08h 17
Traduction : il faut donc céder au chantage des entreprises qui licencient sans aucune raison valable, afin d’éviter que la menace sous-jacente au chantage ne soit mise à exécution, et ne surtout pas se battre pour éviter que des personnes perdent leur emploi, toujours sans aucune raison valable : bravo la soumission !
Surveillance du web : Moscou voudrait interdire plusieurs protocoles de sécurité
Le 25/09/2020Le 28/09/2020 à 08h 53
Il y a du vrai et du moins vrai là-dedans.
C’est moins la version du protocole qui effectue en pratique la sécurité que les suites de chiffrement (induites & différentes en fonction de la version du protocole).
On peut tout à fait faire du TLS v1.2 non-sécurisé avec des suites de chiffrement faibles.
À l’opposé, TLS v1.3 a retiré bon nombre de catégories de suites connues comme faibles/non-sécurisées car se basant sur des algorithmes démontrés comme tel.
Le TLS sauce moscovite ne sera donc officiellement plus qu’un faux-semblant, et il y a de fortes chances qu’il y ait une obligation de configurer certaines suites plutôt que d’autres.
Cette obligation n’étant pas présente dans le texte de loi, cela pourra être une obligation “en pratique”, officieuse, sous la contrainte cachée; il est illusoire de croire qu’ils laisseront un TLS v1.2 robuste opérer car l’intention est bien d’intercepter son contenu… dont la protection est la raison d’être de TLS.
Dans ce cas, TLS v1.3 pourrait continuer à être autorisé. Cela ne semble donc pas faisable pour les autorités moscovites.
TLS sécurise la communication entre 2 extrémités et protége le transit. Si l’extrémité est compromise, ce n’est plus un bon protocole pour la confidentialité…
Novichok ?
Pour rappel, le “débat public” dans un régime autoritaire se pare de tous les attributs d’un vrai débat, histoire de conserver la face auprès de la communauté internationale afin d’éviter les sanctions & bénéficier du déni plausible quant aux accusations de priver sa population de libertés.
Ça semble évident, dit comme ça, mais certains semblent confondre apparences & fond.
Pass Culture : 120 euros dépensés par les jeunes, surtout pour des objets revendables
Le 04/09/2020Le 11/09/2020 à 09h 37
Cette marchandisation est surprenante, dites-donc ! Quel pourrait-on donc bien en être l’instigateur ?
Petite chronologie :
Petit scénario hypothétique, issue d’une imagination folle :
Free met à jour ses boîtiers Server
Le 08/09/2020Le 09/09/2020 à 11h 50
tousse
Tellement bons qu’ils ont cassé l’option permettant de désactiver FreeWifi, et sont incapables de la réparer depuis plusieurs… années.
Free sont juste bons à capter des PdM par à-coups lors de cascades commerciales, leur SAV reste immonde depuis… je ne compte plus.
Ils restent parmi les moins chers à disposer d’une ligne décente, mais cet argument s’étiole au fil de leurs augmentations de l’abonnement fixe (et des options).
Aujourd’hui, une bonne box est une box en mode passe-plat avec un vrai switch derrière… du coup on peut se poser la question du coût de location, soit maquillé dans l’offre, soit (pour d’autres opérateurs) indiqué en surcoût.
Pour Jean Castex, « les réseaux sociaux c’est le régime de Vichy »
Le 17/07/2020Le 22/07/2020 à 09h 13
Piratage de gros comptes Twitter… via les outils internes
Le 16/07/2020Le 16/07/2020 à 10h 13
Le 16/07/2020 à 09h 43
Le 16/07/2020 à 09h 26
Excellente question : Quelle est l’utiité de donner la possibilité d’écrire au nom de quelqu’un, en production, sur des comptes réels ?
WSL : Microsoft ajoute une zone « Linux » à l’explorateur de fichiers de Windows 10
Le 09/04/2020Le 09/04/2020 à 09h 47
Le 09/04/2020 à 09h 04
L’EFF lance une campagne pour sauver le .org
Le 25/11/2019Le 25/11/2019 à 12h 14
Un site a été mis en place par Public Internet Registry, Ethos Capital & Internet Society :https://www.keypointsabout.org/
Un article démonte les affirmations qui y sont portées et fait référence à la campagne de l’EFF :https://onlinedomain.com/2019/11/24/domain-name-news/new-website-full-of-bs-lies…
Rencontre INpactienne sur Paris le 27, Bordeaux reportée et serveur Discord
Le 18/09/2019Le 18/09/2019 à 15h 34
Oh, et ai-je besoin de mentionner IRC ?
Clients pour toutes formes d’accès (tout système d’exploitation, Web, mobile, etc.), idem pour les instances serveur : l’autohébergement facile et le moin consommateur de ressources ! " />
Le bon outil taillé pour le bon usage.
Le 18/09/2019 à 15h 26
Je trouve cette décision assez curieuse, pour une rédaction semblant montrer un attachement au respect de la vie privée.
La Freebox v7 présentée le 4 décembre, la presse reçoit ses invitations
Le 30/11/2018Le 04/12/2018 à 19h 07