votre avatar

Anony

est avec nous depuis le 23 avril 2017 ❤️

121 commentaires

Le 17/09/2021 à 07h 59

Instagram n’est qu’un outil. C’est l’utilisation qu’en font les utilisateurs qui génère du malheur chez les adolescents : à savoir le fait de sublimer son quotidien à l’aide de photographies savannement embellies et sélectionnées.



A moins qu’Instagram propose des outils et fonctionnalités qui encouragent ce type de comportement je ne vois pas en quoi ils seraient responsables (du moins en grande partie).



Le monde de la mode et la publicité qui va avec génère, je pense, le même genre de malheur (c’est un exemple parmis tant d’autres).



Loin de moi l’idée de défendre Facebook, mais j’ai l’impression que l’analyse et la critique est biaisée parce qu’il s’agit d’un GAFAM déjà mal aimé (la plupart du temps à raison).

Le 14/04/2021 à 11h 29

On parle ici de ports utilisés depuis un navigateur. Mais, ça n’empêche pas que bloquer des ports pour protéger de failles dans les routeurs, c’est un peu abusif.



Surtout que le port 69 est lui aussi bloqué ! On ne peut même plus faire un site Web X sur ce port !

Balance ton port !

Le 16/03/2021 à 17h 15

Bon, alors de mémoire, plus via quelques chiffres je vais donner une estimation à peut-être 30% près:




  • Coût facturé d’un lancement: ~60M


    • Marge: ~20M

    • Coût de la coiffe: ~3-5M

    • Second étage: ~10M

    • Premier étage: ~20-27M

    • Carburant: ~0.3M source

    • Logistique + autres coûts: ~5M




Bref, ils peuvent faire pas mal d’économies sur le premier étage. Les deux moitiés de fibre de carbone larguées et qui sont maintenant rattrapées par les bateaux Miss Tree et Miss Chief.



Le coût tout compris semble être de 30M pour relancer une fusée. Ou peut-être 15, qui me semble plus probable. D’après la table des coûts ci-dessus, ça fait une réduction de ~10-20M.



SpaceX offre les services d’un booster réutilisé pour 50M, et a indiqué par le passé qu’il répercuterait 50% des économies de réutilisation sur le coût final, ce qui semble corroborer la réduction de 20M des coûts.



La marge de SpaceX se renfle donc de 10M, donc 50% plus rentable, et 20% de réduction sur le prix total pour le client si ce que j’ai écrit au dessus n’est pas trop éloigné (j’ai regardé plusieurs estimations, et ai recalculé pour vérifier que l’hypothèse tenait la route, mais il y a d’autres possibilités).



Il faut garder à l’esprit que cela vient avec une réduction de 40% de charge utile, donc c’est finalement plus coûteux de lancer une seule fois une fusée pour la récupérer si on ne la relance pas après. J’aurais bien vérifié mes calculs avec ça, mais ça devient assez complexe, et je ne sais pas exactement ce que Musk veut dire par “ça commence à devenir rentable au deuxième lancement”. Par rapport aux marges? à un prix 66% plus élevé? Etc.

Merci à tous pour vos informations 😉

Le 15/03/2021 à 14h 48

Y a-t-il un expert/passionné ici qui puisse donner une estimation des économies réalisées par cette réutilisation ?

Le 17/02/2021 à 10h 00

4000 communes sur 35 000 mais combien d’habitants concernés sur la totalité de la population ? C’est ça la statistique la plus pertinente !

Le 01/02/2021 à 10h 35

“et le faible nombre d’utilisateurs, environ 5 800 pour la première et 11 600 pour la seconde”, en même temps on parle de fonctionnalités de niches pour des population minoritaires.



Je ne trouve pas ça pertinent de mesurer le succés de ce genre de fonctionnalités par le nombre d’utilisateurs. Je pense que le simple fait d’avoir pu les développer et qu’elles soient utilisées suffisent à les qualifier de succès.



En tout cas les signaux négatifs s’accumulent du côté de Mozilla.

Le 16/07/2020 à 07h 09

Comme l’a dit David ce sont les Direct Messages, qui sont les conversations privées entre Twittos.

Le 24/06/2020 à 09h 43

“Il rappelle que le projet a été lancé le 8 avril et développé en « moins de deux mois » plutôt qu’un an ou deux nécessaires à un projet de cette ampleur, sa mise en ligne datant du 2 juin.”



Certes, mais c’est un argument à double-tranchant. Concevoir et réaliser cette solution dans un laps de temps si court peut être facteur de mauvaise qualité et de coût élevé (les inconvénients de l’urgence quoi).



Sans parler des à côtés : de ce que j’ai lu et compris, la CNIL a validé un procédé technique alors que la solution n’était même pas finalisé. Résultat : il semble que ça ne soit pas exactement le même qui fonctionne aujourd’hui.

Le 30/05/2020 à 11h 24

Je rajouterais un élement aux problèmes que tu présentes : je suis pas certain que les FAI traditionnels ainsi que le gouvernement soient chauds pour mettre en place cela. Je fais référence à la tendance générale à une surveillance accrue sur le web afin de mieux faire appliquer le droit

Le 30/05/2020 à 11h 20

Effectivement ça semble correspondre à ce que j’imaginais.

Le 29/05/2020 à 19h 19

De ce que j’ai compris du DNSSEC, ça permet “seulement” de s’assurer l’intégrité du nom de domaine renvoyé par le serveur DNS (on est sûr que le serveur a bien envoyé ça et que personne n’a pu le modifier sur le parcours).



Cela ajoute de la sécurité il est vrai mais ça ne répond pas à la problématique de confidentialité des données : on peut voir quels noms de domaines tu as voulu connaître et donc quels sites tu as voulu visiter.



DoH apporte une réponse à cette problématique c’est pourquoi il a le vent en poupe en ce moment.



Aprés je te rejoins sur le fait que ce n’est pas très “propre” de dévier HTTP de son but initial. L’idéal serait un protocole DNSS à l’instar du HTTPS qui chiffrerait l’envoi d’un nom de domaine en plus d’assurer son intégrité.

Le 30/05/2020 à 11h 17

Si la finalité du droit d’auteur est d’assurer à l’auteur le contrôle total sur son oeuvre même aprés sa mort : pourquoi ce droit s’arrête au bout de 70 ans aprés celle-ci ? Pourquoi ne perdurerait-il pas ad vitam eternam ?



Je sais qu’il s’agit de mettre l’oeuvre dans le domaine public pour assurer un meilleur partage de la culture et des connaissances. Mais ce n’est pas très cohérent avec le but initial (tel que tu le décris). C’est une sorte de compromis.

Le 29/05/2020 à 18h 43

Je conçois le droit d’auteur comme étant une garantie de rémunération pour l’auteur. Une fois l’auteur mort, cette garantie n’a plus lieu d’être.



La faire perdurer pour sa descendance est, je trouve, injuste. Ces enfants et petits-enfants n’ont rien fait/apporté à la société pour toucher cet argent.

Le 27/05/2020 à 12h 14

Je ne comprends pas pourquoi les droits d’auteurs perdureraient aprés la mort de celui-ci. On parle de droits d’un auteur. Personne d’autre que lui n’a, par principe, droit d’en bénéficier.

Le 27/05/2020 à 11h 51

“Ce nombre, en augmentation régulière depuis 2009 (52 219 signalements en 2009), prouve que le dispositif est clairement identifié par les internautes » assure le ministère. ”



Cette statistique ne permet pas de prouver cela. Il faudrait avoir celle du nombre de personnes pouvant citer PHAROS comme dispositif connu, et ce, par rapport à la population totale.



En l’état, on se sait pas si cette stat traduit une meilleure visibilité de cette plate-forme auprés du public ou tout simplement une hausse des comportements illégaux sur Internet.

Le 05/05/2020 à 18h 36







grsbdl a écrit :



Tout pareil :)



Ce qui me fait rire, c’est que des boites en informatique font tout le contraire et embauchent à tour de bras des gens qualifiés.

J’ai l’impression qu’un déplacement des compétences se fait, et une fois la crise passée (et la relance là, car elle arrivera, on fera tout pour), les boites qui ont licencié devront chercher à réembaucher en urgence, et vont en souffrir comme pas possible.





Je rajouterai que le plan de licenciement présenté ici implique le paiement de 4 mois de salaires en indemnités. Donc ils (les dirigeants) partent du principe que rien ne s’améliorera d’ici 4 mois ? Si la croissance revient d’ici là pour leur boîte ça aura été un très mauvais calcul.


Le 30/04/2020 à 14h 45

A croire qu’il y a match d’interface chaotique avec la Xbox (qui en change tous les 6 mois)

Le 23/04/2020 à 14h 44

768 M$ de coûts ? Qu’est-ce qui peut expliquer cela ? Les serveurs ? La masse salariale ?

Le 07/04/2020 à 08h 51

Ceux qui vivront sur la Lune devront être appelés les Sélénites ;)

Le 16/03/2020 à 09h 43

De ce que j’ai lu ici et là, il semblerait que ces livreurs n’encourent pas de risques spécifiques à part s’ils ont des contacts rapprochés avec de nombreuses personnes (d’où la livraison “sans contact”).

Le 12/03/2020 à 10h 57

C’est surtout qu’avec ce genre de mesure, YouTube perd toute crédibilité dans son attaque de la prochaine directive européennes sur les droits d’auteur à l’ère du numérique.

Le 25/02/2020 à 09h 59

On peut aussi se demander si la position favorable de Qwant par rapport au texte de loi n’était pas aussi un élément de négociation lui permettant de devenir le moteur de recherche par défaut dans l’administration.



Maintenant que le contrat est signé, libre à Qwant de modérer son propos initial pour limiter la casse et redorer son image auprès des défenseurs d’un web libre et ouvert.

Le 25/11/2019 à 09h 27

C’est dommage car Wikipédia n’a pas un usage commercial donc techniquement il pourrait les utiliser. Peut-être est-ce une lutte idéologique ?

Le 20/11/2019 à 17h 33

Effectivement je n’avais pas vu les choses sous cet angle. Vos réponses me permettent d’affiner mon avis sur la question. Même si je trouve que c’est moins scandaleux que d’autres exploitations abusives de données qui peuvent nous être préjudiciable sans que cela soit du à la loi (comme ici la fraude fiscale)

Le 20/11/2019 à 14h 43

OK, tu dis que ce sont pas des données publiques mais des données publiques UNIQUEMENT sur le web. Je ne vois pas ce que ça change. Lorsque les utilisateurs ont produit ces données il savaient qu’elles étaient accessibles aisément sur le web. Où est le scandale ?



C’est comme si je reprochais à quelqu’un de venir sur mon site personnel sous prétexte que je veux qu’il ne soit pas accessible à n’importe qui.

Le 20/11/2019 à 14h 18

Peut-être que je comprends mal vos avis parce que pour moi je vois pas de scandale. Y’a des données publiques, l’Etat veut les exploiter pour lutter contre la fraud fiscale, point. Donc j’ai plus l’impression que ça fait chier les gens parce qu’ils pourront plus frauder. Un peu comme je n’ai jamais compris ceux qui gueulent contre les radars…

Le 20/11/2019 à 14h 09

En gros t’as juste pas envie que l’Etat améliore ses outils pour taper sur ceux qui frauderait. J’ai l’impression que tu critiques davantage la finalité (l’inspection fiscale) que le mode opératoire (le traitement de données publiques).



Si tu critiques le mode opératoire, ben je comprends pas ton avis. C’est comme si tu disais : “Attention je vais clamer à haute voix dans le rue pour qui je vote, mais je ne vous autorise pas à utiliser cette information”

Le 04/10/2019 à 14h 31

Aujourd’hui la politique se résume à de la passion, de la communication, de l’image et par dessus tout le triomphe de l’individu. Un politique ne brille pas (ou plus) par ses idées mais par sa personne.



La liste que je t’ai presenté (et peu importe si l’on pense que ces éléments soient vrais ou faux) suffit amplement a beaucoup de personnes pour le détester, peu importe sa politique.



Et encore un fois, le plus important est qu’il est président des Etats-Unis et que ce qu’il fait fait/dit a un impact tous les jours sur la marche du monde. Voilà pourquoi la plupart le détestent avec une haine viscérale.



Personnellement, je n’éprouve rien de positif envers lui.

Le 04/10/2019 à 12h 03

Pêle-mêle :



* son inculture

* son déni de la crise écologique

* ses dérives sexistes

* ses dérives racistes

* son aggressivité

* sa “supposée” connerie

* j’en passe et des meilleures



Tout ça, et surtout le fait qu’il soit le président d’un pays qui influe grandement sur le monde (et donc notre pays par la même occasion) fait qu’il est détesté.

Le 04/10/2019 à 11h 58

 Je trouve que le parallèle avec les médecins serait pertinent s’il y avait des termes techniques. Ici je critique surtout les formulations et les périphrases qui sont assez lourdes et noient le poisson. Mais d’après ce que tu sembles dire, ces périphrases font en quelque sorte partie de leur vocabulaire.



Sinon, merci pour tes infos complémentaires, surtout quand on a pas le temps ni l’envie d’explorer plus loin le sujet.

Le 02/10/2019 à 14h 41

Perso je trouve ça dommage. Je suis sûr qu’ils ont des compétences et beaucoup de qualités. Je ne sait pas s’ils se rendent compte que leur pensée est noyée dans des tas des mots-valises et périphrases et que du coup peu de gens perçoivent vraiment leurs idées et leur valeur.



Ou alors c’est sciemment choisi pour faire élitiste et envoyer de l’esbrouffe à ceux qui ne cherchent pas à comprendre et dont le cerveau fait tilt à chaque “buzzword”.

Le 02/10/2019 à 14h 33

J’ai pensé exactement la même chose concernant la formulation et le phrasé. Impossible de comprendre la véritable origine de leur départ. C’est noyé sous des couches et couches d’abstractions et de termes génériques.



Moi aussi je peux en faire : “Il faut donner les moyens de développer une politique volontariste d’accélération des mouvements innovants et progressistes afin de décupler l’envie et la volonté au sein des equipes et des managers pour féderer les passions et les compétences” => “Donnez des sous !”

Le 01/10/2019 à 08h 56

Cela m’étonnerai beaucoup que ceux qui gèrent le château de Versailles aient laissé Google venir librement sur les lieux. Il y a du avoir négociations à mon avis.

Le 01/10/2019 à 08h 54

Tiens, je n’avais jamais pensé à de l’e-tourisme comme débouché de la VR. Pourquoi pas ? Ca pourrait être écologique et économique.

Le 30/09/2019 à 12h 12

On peut aussi penser que c’est pour les autres passagers.

Le 30/09/2019 à 12h 09

Le consentement via déroulement est mauvais pour l’utilisateur. C’est comme si je disais que tourner une page équivaut à signer le contrat.



Je pense qu’il y a un équilibre à trouver : Tu as le choix entre accès gratuit + exploitation de données OU accés payant + pas d’exploitation. D’une part, ça permet à tout le monde de se rendre compte que gratuité n’est pas normalité. D’autre part, je trouve que c’est un bon compromis entre consentement éclairé et volontaire de l’utilisateur et préservation du business model de ces sociétés.

Le 30/09/2019 à 11h 50

Le problème que ça pose c’est que des sites web fondent leur business model sur l’exploitation de données. Ne pas donner son autorisation à la récolte et au traitement de données personnelles revient à rendre le site payant.



Or, si je comprends bien ce que tu dis, un site web ne pourra pas bloquer l’accès gratuit à son site si l’utilisateur n’a pas consenti à la récolte et au traitement de ses données.

Le 26/09/2019 à 14h 55

Ton sarcasme est d’autant plus à propos qu’il me semble que ces droits voisins ne s’appliquent plus au delà de 2 ans après la publication.

Le 25/09/2019 à 12h 20

Etant sur Ubuntu 1904, je trouve qu’elle convient bien à l’utilisateur lambda, pour peu qu’il ne souhaite pas jouer aux derniers jeux AAA. Je n’ai eu aucun problème de compatibilité avec le matériel (imprimante, scanner, wifi, etc.). Je trouve l’interface GNOME à la sauce Ubuntu sobre et jolie. Bref, pour une utilisation bureautique classique cela fait parfaitement son office.

Le 23/09/2019 à 12h 40

Félicitations à eux. Cela montre une bonne image de la communautée youtube/gameuse française.



Quant à l’intervention du président :

* c’est toujours positif de mettre en exergue un action caritative ainsi que l’efficacité de cette communautée

* en revanche il y a un côté opportuniste et critiquable quand on met cet événement en parallèle de la politique qu’il conduit, un peu comme s’il disait : “ne comptez plus sur l’Etat, aidez-vous les un les autres”.

Le 23/09/2019 à 09h 17

-1 euros, ça représente beaucoup pour les finances (1€ * nombre de foyers assujettis) et quasiment rien dans l’esprit des ménages , alors autant ne rien faire.



Le pire, c’est que certains politiques de la majorité vont avoir l’audace de défendre ça comme une hausse de pouvoir d’achat ou un signe que le président se préoccupe de la France d’en bas.

Le 20/09/2019 à 07h 11

En plus des remarques sur l’ “indépendance” du comité, je trouve ça absurde de vouloir rassurer les utilisateurs de cette manière. C’est comme si je disais : “Bonjour, maintenant vous pouvez ne plus avoir peur de moi car je suis accompagné d’un garde qui peut contrôler mes dérives”.



Pour moi, la seule solution est tout simplement de montrer patte blanche et de gagner la confiance en faisant un travail sur soi-même (ici chez Facebook en interne). Mais bon c’est un voeu pieux compte-tenu du business model de Facebook.

Le 16/09/2019 à 08h 41

La comme ça je vois deux raisons principales à ce refus :

* cela va dégrader nos relations déjà tendues avec les Etats-Unis

* Snowden risque de pointer du doigt la politique française en matière de surveillance et d’usage de la technologie à des fins sécuritaires



Bref, y’a 0% de chance que ça arrive, même si ce serait louable.

Le 13/09/2019 à 08h 07

Très complexe de dire qui a raison qui a tort sachant que les deux camps ont de bons arguments (Absolutistes c. Pragmatiques). Je trouve que la solution pragmatique de l’Etat français peut se résumer à “Il vaut mieux 1 tiens que 2 tu l’auras”. Bien que l’intérêt politique me paraît évident (comme évoqué plus haut dans les commentaires) ça reste une bonne nouvelle.

Le 05/09/2019 à 08h 55

”(…) « privacy by design », la « confidentialité programmée ».  (…)”



Je trouve qu’on perd un peu le sens du terme anglais qui signifie que l’éditeur de la solution logicielle a conçu son produit de telle manière à ce qu’il respecte la vie privée (pas d’histoires de plug-in, de mode additionnels voire payants).

Le “programmé” en français fait un peu penser à l’obsolescence programmée, comme si la protection de la vie privée était temporaire…

Le 02/09/2019 à 16h 24

Déjà je ne comprends pas pourquoi on parle de sessions de soirée sachant qu’il n’y a jamais eu d’éclairage sur les cours de RG et que les matchs s’arrêtent et continuent le lendemain lorsque la luminosité est trop basse (oui, oui, nous sommes bien au XXIème siècle)

Le 23/08/2019 à 08h 27

Ah hasard : un possible conflit d’intérêt.



La personne était dans le business des facilitateurs administratifs. Maintenant il est du côté de l’administration elle-même. Qui nous dit qu’il ne va pas chercher à ce que les démarches administratives soient toujours aussi complexes ? Lorsqu’il reviendra dans le secteur privé et plus précisement le secteur de ces facilitateurs, il n’en sera que plus gagnant.

Le 01/08/2019 à 11h 33

Je m’excuse si j’ai été trop véhément. Ca me tient juste à coeur.



Tant mieux si tu es déjà convaincu. J’aimerais que plus de personnes le soient, aient conscience que chaque choix, chaque achat a des conséquences et quand on choisi un produit pour notre propre bien-être personnnel cela peut aussi déteriorer le bien être collectif.



Un équilibre doit être possible.

Le 31/07/2019 à 12h 26

Le prix, le prix toujours le prix ! C’est bien, continuez à acheter vos fruits qui proviennent de l’autre bout du monde et contribuent au réchauffement de la planète, continuez à acheter de la “high-tech” à pas cher en vendant votre vie privée au diable, continuez à achetez vos chinoiseries !



Oui défendre l’emploi local a un prix. Mais on ne peux pas avoir le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière. La carte bancaire est une carte éléctorale beaucoup plus puissante que le droit de vote qu’on exerce une fois toutes les x années.



Oui ça demande des sacrifices et ce n’est certainement pas à la portée de tout le monde. Mais on ne peut pas faire une croix sur ce choix au prétexte qu’on devrait forcément payer tout le temps moins cher. On est habitués à un niveau de prix bas grâce a la mondialisation qui met à mal notre climat (sans parler des conditions de travail et des droits de l’homme).

Le 30/07/2019 à 14h 56

Euh … tu en es vraiment sû ? Je ne suis pas inscrit sur Facebook  et pourtant j’ai déjà pu voir des pages (malgré un beandeau insistant pour s’inscrire).