votre avatar

gagaches

est avec nous depuis le 23 mai 2005 ❤️

116 commentaires

Le 22/11/2024 à 00h 05

tiens, oui, j'ai oublié BlackBerry... sauf qu'ils avaient la même stratégie qu'Apple, sans avoir la capacité d'Apple à créer de la hype : un OS spécifique au matériel de la marque, et s'adressant avant tout aux entreprises. Donc non, désolé, mais on ne peut pas dire qu'ils ont été évincés par une politique agressive de Google (au passage, dans ma boîte, c'est Apple qui a remplacé Blackberry pour la flotte d'appareils pro, on n'est pas passés sur Android, la Sécurité ne voulait pas en entendre parler).
Pour moi, les seuls concurrents étaient Symbian (qui était plus ou moins moribond au moment où Android a démarré) et les différents Windows Phone (je ne vais pas refaire toute l'Histoire, mais celui qui équipait les téléphones Nokia n'était que la dernière tentative, et n'a été que peu poussé par Microsoft sur un marché que dominaient déjà Android et iOS)

En soi, c'est plutôt Apple qui les a fait disparaitre.
Mais le paysage global a été profondément changé par la course d'invest entre MS et Google.
Avec Google en vainqueur et donc en dernier concurrent d'Apple.

Mais ça n'est pas tant le sujet principal ici.
C'est surtout l'abus de dépense en €€€€€ (milliards) aux fabriquants ET à Apple (qui n'avait pas de moteur de recherche donc s'en foutait) pour capitaliser et être le seul moteur de recherche sur mobile et tablettes.

Bon notez que dernièrement, les sorties d'IA rebattent largement les cartes des moteurs de recherche.
Je surkiffe Brave Search de mon côté, bien mieux que Google et je pense vraiment qu'on verra une incidence sur leur monopole en 2024, à cause des concurrents IA.

Le 21/11/2024 à 16h 27

C'était évident que la réponse serait celle-ci.

Le 21/11/2024 à 16h 26

Je ne suis pas complètement en désaccord avec ce que tu écris, mais j'aimerais juste que tu apportes une petite précision : quelle était la "concurrence" d'Android dans les OS mobiles ?
De mémoire, je vois un Windows mobile que Microsoft n'a jamais vraiment cherché à imposer, un Symbian qui a explosé quand iOS a complètement modifié les UI mobiles, et iOS dont Apple n'a jamais cherché à étendre l'écosystème hors de son propre matériel.
Pour Symbian et Windows, il n'y a pas eu besoin d'action de la part de Google...

Blackberry !
Très répandu, avec sa suite de mail.

Clairement, iOs a été game breaker.
Et des autres OS, seul Android et Windows Phone proposaient un équivalent (donc Samsung, HTC, ... et les autres constructeurs sont partis dessus).

Windows était proposé payant alors qu'Android était plus qu'offert (gratuit + €€€ pour setup le moteur de recherche Google).
les fabricants ont très vite accepté

Edit: je suis allé vérifier, c'est pire.
Microsoft est arrivé avec son Windows Phone en 2010,
Et Google et Microsoft ont fait des surenchères de €€€ pour les fabricants.
Les autres concurrents n'ont pas pu suivre.
Et finalement Google a mis plus de pognon (car plus stratégie pour eux d'avoir ça, que Microsoft qui visait le coud/Office 365 dans le même temps)

Le 21/11/2024 à 16h 16

Je pense que le business plan d'origine Google c'était:
1. on est une société qui ca vendre exclusivement des produits web
2. il faut donc qu'un max d'utilisateurs puisse accéder à nos produits web.
3. on va développer et donner gratuitement des logiciels pour aller sur le web: navigateur, os, ...

Et, un peut plus tard, qqn a vu l'opportunité d'ajouter une étape:
4. on va faire en sorte que nos logiciels incitent à aller vers nos produits web.

Ils ne vendent pas des produits web, ils vendent de la pub sur leur moteur de recherche.
C'est >90% de leurs revenus.
Ils ont donc cherché ce qui utilise un moteur de recherche ...

Donc ils ont pris plusieurs pistes :
- créé un os mobile pour concurrencer ios et windows
- développé un navigateur web avec leur moteur de recherche inclus
- développé un os linux (chrome os, gros bide)

Chrome & Android, il y a eu un énorme lobbying pour leur adoption.
Avec des milliards versés chaque année aux fabricants de téléphone (dont Apple)

Et leur revirement se fait autours de 2018, lors du retrait du slogan "don't be evil".
Je crois que ça veut tout dire ...
Mais oui, tu as raison, ça n'a pas commencé en 2008.

MAIS ils sont profité de leurs milliards défiscalisés pour payer du lobbying over the world.

Le 21/11/2024 à 16h 29

Je m'étonne des prix franchement ridicules ...
(5000€ ?)

Est-ce qu'on serait dans un changement de tendance ?
cad toujours des failles/fuites, mais une grosse difficulté de monétisation de ces données car ... y'en a trop de partout.

Et donc peut-être un ralentissement à terme car pas rentable ?

Le 01/11/2024 à 12h 25

Pas complètement d'accord même si je suis d'accord que légalement il y a un certain flou juridique.
Où est le flou juridique dans l'UE ?
Tu as des licences sur les médias (Common Media par exemple) qui définit les mécanismes de réutilisation des médias et qui oblige à identifier l'attribution de ces données/médias à l'auteur.
C'est donc bien une contrainte et une interdiction d'usage.


Non. Ce n'est pas une interdiction d'entraînement des IA.

L'entraînement de IA ne correspond à aucune des actions :
distribute, remix, adapt, and build.
Et même le ND ( No derivatives or adaptations of the work are permitted.) n'interdit pas l'entraînement des IA. Ce qui résulte de cet entraînement n'est pas un travail dérivé ni un adaptation du travail initial.
J'ai vu de nombreuses reprises des tableaux de maitre qui en sont très proches, générés par IA.
Faire des copies de tableaux de maîtres n'est pas interdit. Il y a quelques restrictions sur la taille du tableau qui doit être différente et sur l'interdiction de le signer avec la signature de l'original. Je parle là de vrais tableaux sur de la toile, alors, quand la copie n'est qu'approximative et en plus numérique, même ces restrictions n'existent pas.
Si une IA peut recréer une quasi-copie à la demande d'un livre, d'une image ou d'une source peu importe la source, elle enfreint (à minima l'esprit de) la loi sur le droit d'auteur.
On nous a parlé ici de cas où des articles de journaux ont été restitués presque à l'identique. C'est effectivement dans ce cas de la violation de droit d'auteur, mais cela tenait plus du bug qu'autre chose : le texte en question était présent sur de nombreux sites et avait donc été utilisé de nombreuses fois comme source d'entraînement, ce qui fait qu'il avait été quasiment mémorisé (cela faussait des statistiques d'apparition des mots composant ce texte). OpenAI qui a eu ce problème filtre maintenant en amont de l'apprentissage ce genre de cas ce qui évitera qu'il se reproduise.
Maintenant, la loi sur le droit d'auteur est sans doute mal écrite car elle ne prévoyait pas encore ce genre d'usage.
Les lois les mieux écrites sont celles qui durent très longtemps quelle que soient les technologies inventées après. Les articles du premier Code Civil qui subsistent aujourd'hui sont des exemples remarquables de lois bien faites. Ils sont concis et sans ambiguïté.

La loi (directive) sur le droit d'auteur de l'UE a été modifiée en 2019 pour définir les usages des œuvres pour l'entraînement des IA.
Cela contredit ton affirmation.
Pour les USA et les autres pays de Common law, j'ai déjà expliqué le processus.

1/ Tu as compris la comparaison avec le tableau de maitre.
2/ c'est sur ce point que l'on est pas d'accord "remix, adapt".
tu le dis toi-même
"C'est donc bien une contrainte et une interdiction d'usage."
Il est interdit de "remix" ces données sans en respecter certaines contraintes.

Pour moi c'est évident qu'une IA tombe dans ce cas de "remix,adapt".

Un LLM, c'est un moteur mathématique qui s'appuie sur un réseau de neurone pour restructurer l'ensemble des mots écrits dans tous les articles donnés en entrée en ensembles de vecteurs de donnée avec un poids statistique.

C'est exactement une représentation structurelle différente (remixée) des mots des articles.

Cela lui permet ensuite de déduire statistiquement une suite de mots.
Il ne ressort ni plus ni moins que la tendance générale des réponses à une demande.

Quand tu dis qu'un article d'entrée est restitué est un bug, non.
C'est qu'il a été repris mot de pour mot une quantité de fois suffisamment importante dans les données d'entrainement pour que statistiquement il ressorte à la demande spécifique.

Un entrainement sur un jeu de données insuffisant crée ce genre d'artifacts par exemple.
Et il va te ressortir quasi exactement les données en entrée (article, livre, ...)

Ce qui est beau c'est que la modification de 2019 pour autoriser l'usage des plateformes IA dont tu parles me prouves que j'ai partiellement raison :

"Selon les résultats de recherche, la directive 2019/790 de l’Union européenne a introduit des modifications importantes relatives aux usages des œuvres pour l’entraînement des IA.

La directive permet la reproduction et l’extraction d’œuvres aux fins de la fouille des textes et de données, sous réserve que l’utilisation des œuvres n’ait pas été expressément réservée par leurs titulaires de droits par un système d’« opt-out ». Cela signifie que les plateformes d’IA peuvent utiliser des œuvres pour l’entraînement de leurs modèles, mais uniquement si les titulaires de droits n’ont pas spécifiquement refusé cette utilisation."

Les LLM actuellement disponible (chatGpt, Gemini, Claude, ...) ne respectent pas ces clauses.

J'apprécie aussi le foutage de gueule global puisque
1/ ça reste à la charge de la société victime de démontrer qu'elle le serait.
Or personne n'a accès aux jeux de données de ces sociétés d'IA.
2/ j'imagine que ça n'est pas rétroactif et que les OpenAI et consort pourront dire "Ah mais on a pompé les données avant, donc trop tard".

Enfin bref,
tu as l'air d'être porté sur le juridique, moi pas.
tu as l'air moins porté sur la technique, dommage pour le biais.

Chacun son point de vue.

Le 30/10/2024 à 23h 48

Navré mais tu te trompes sur plusieurs points.
En droit, tout ce qui n'est pas interdit est autorisé. Donc, faute d'interdiction l'utilisation des sites internets pour l'entraînement d'IA, serait plutôt autorisée.

Comme je l'ai expliqué dans mon premier commentaire, dans l'UE, le droit dit cela explicitement : sans interdiction par les détenteurs des droits, on peut entraîner une IA avec du contenu accédé légalement.
Aux USA, où le droit s'établit différemment, pour l'instant, on n'en sait rien. Il faut des jugements pour que le droit sur cette activité nouvelle se construise.
Donc pour ton premier point, dans l'UE, on sait qu'entraîner des IA sur des œuvres est autorisé par défaut. Aux USA et autres pays de common law, il faut que ce droit s'établisse, mais aujourd'hui personne ne peut dire ce qu'il sera.

Sur ton second point, puisqu'ici on parle de droit d'auteur ou de Copyright, on ne parle pas de connaissance écrite dans une œuvre. En fait, ce que tu appelles connaissance est plutôt une ou des idée(s) et les idées ne sont pas protégées, pas plus que la connaissance : on protège une œuvre (droit d'auteur) ou une réalisation (brevet) mais pas une idée qui ne se brevette pas.
Si quelqu'un lit le livre avec ces idées pour gagner de l'argent et ensuite fait des vidéos ou des cours, il n'enfreint aucune loi de protection du droit d'auteur et l'auteur d'origine ne gagnera pas non plus d'argent. Cet argument n'est donc pas valable.

Quant au fait que les artistes qui créent des images risquent de ne plus gagner leur vie, ça se passe comme ça pour plein d'autres métiers dont certains ont disparu. Ce n'est pas non plus un argument légal contre l'entraînement des IA sur des œuvres.

Ton troisième point n'est pas du tout développé, mais tel quel, ce n'est pas non plus un argument.

Pas complètement d'accord même si je suis d'accord que légalement il y a un certain flou juridique.
Après, effectivement, je ne voulais pas rentrer dans une argumentation longue.

Tu as des licences sur les médias (Common Media par exemple) qui définit les mécanismes de réutilisation des médias et qui oblige à identifier l'attribution de ces données/médias à l'auteur.
C'est donc bien une contrainte et une interdiction d'usage.

creativecommons.org Creative Commons

Avec le mécanisme d'apprentissage des LLM, on tombe dans cette interdiction.
C'est donc censé être interdit.

Pour mon deuxième et troisième point, on entre dans la notion de l'esprit de la loi :
une IA est capable de recréer une presque-copie d'une source existante.

J'ai vu de nombreuses reprises des tableaux de maitre qui en sont très proches, générés par IA.
Cela veut dire que l'IA peut recréer le tableau de maitre de façon suffisamment proche pour en créer une copie.

Si une IA peut recréer une quasi-copie à la demande d'un livre, d'une image ou d'une source peu importe la source, elle enfreint (à minima l'esprit de) la loi sur le droit d'auteur.
Maintenant, la loi sur le droit d'auteur est sans doute mal écrite car elle ne prévoyait pas encore ce genre d'usage.

Le 28/10/2024 à 23h 03

Navré mais tu te trompes sur plusieurs points.
- Les règles de propriété des sites Internet n'a jamais autorisé l'usage des ressources pour l'entrainement des IA (LLM/Machine Learning/réseaux de neurone).
D'autant que ces outils sont construits à des fins clairement commerciales et donc rentrent en opposition avec plusieurs des règles (interdiction à des fins commerciales)

- La problématique n'est pas sur la donnée brute mais la (simili-)connaissance associée.

Situation/Exemple : Une personne (morale ou physique) publie un livre qui donne plusieurs techniques pour gagner de l'argent.
Le seul moyen d'accéder à cette connaissance est de lire le livre, donc soit de l'acheter soit de l'emprunter. Les droits d'auteurs s'appliquent et fournissent une (in)juste rémunération à l'auteur.

L'IA passe par là. Elle apprend le livre et est maintenant capable de donner des ~techniques pour gagner de l'argent, de la même façon. (Elles ne sont que statistiquement proches mais suffisamment proches pour donner l'illusion voire tomber juste).
Les personnes se servent de l'IA pour accéder à ces savoirs=> La personne ayant créé ces techniques n'est plus rémunérée.

C'est aussi valable pour les images, générable à foison sur la base créative d'artistes qui ne seront jamais rémunérés et qui ont globalement perdu un moyen de se rémunérer (qui payerait un artiste alors qu'une IA fait "la même chose" en 1 minute?).

- Et enfin, le droit d'auteur est plus complexe que simplement la donnée brute.

Le 12/10/2024 à 23h 36

Pas certain.

Les SDK de Google pour Gemini reprennent le format des API d'OpenAI par exemple.

Tout comme LLaMA est en train de s'imposer comme un standard dans les modèles auto hébergés et open weight. Mistral un peu moins, Large n'étant pas ouvert ils se ferment des portes là où Meta s'impose par ce biais.

Et Microsoft développe elle aussi ses propres modèles avec Phi en open models, comme LLaMA.

Je pensais plutôt à toute la partie "pour Entreprises", et donc OpenAI dans Azure.
La construction des modèles applicatifs sur ces briques technologiques crée du vendor-locking.

Combien de boites vont mettre des pièces dans l'open source / auto hébergement alors qu'elles sont déjà full "goto le cloud, gérer son propre IT c'est has-been" ?

faut pas se leurrer, le plus gros du marché de l'IA viendra de là (tous leurs chatbot, moteur d'IA et cie dans les sites et applications)

Ensuite, regardes les % d'usages des cloud : Aws reste loin devant Azure et Google, parce qu'il a démarré le 1er et que les entreprises ont signé avec le premier.

Faire l'effort de quitter Aws est TRES couteux.
Ils ne s'en rendent pas encore complètement compte mais sortir d'un cloud Aws, c'est pire que de changer d'outil de virtu (vmware) qui est déjà pas simple.

Je pense qu'ici, ils sont dans une target de préparation de monopole "classique silicon valley" :
* marche forcée du CA -> faut être le 1er et le rester
* levées de fond à balle donc bénéfices osef
* dans 5 ans, 1st provider et 60-70% du marché captif, on augmente les tarifs.

Je dis pas qu'ils vont réussir mais je pense que c'est leur fond de pensée et leur cible.
Après, on est pas à l'abri que l'IA soit une vraie bulle (pas comme le Cloud), et qu'elle fasse psshhhiittt si on rentre en difficultés économiques et que les "belles promesses" ne donnent pas les résultats escomptés et survendus

(remplacer les gens, remplacer les devs .... euh lol ?)

Le 12/10/2024 à 17h 55

Ah non, je pense que le message est hautement clair en fait ...

Jusqu'en 2029, petit prix, développement de l'usage, attrait des capitaux et investissement, et donc implicitement "destruction de la concurrence" pour se foutre en situation de monopole.

Une fois tous les services mis en place et basés sur ChatGPT et contrats passés avec les boites, augmentation drastique de l'abonnement mensuel.

Allez hop, à la caisse les clients coincés et drogués.

Le 08/10/2024 à 00h 08

"fr.wikipedia.org Wikipedia" veut simplement dire, pour moi en tout cas (là, il s'agit d'une opinion perso et pas d'un "truc" pseudo-scientifique. Tu saisis la nuance ?), "en harmonie, en accord avec ce que je suis physiquement" et rien d'autre.

Ensuite, ais-je parlé de "reproduction" ? C'est un autre sujet, différent du sujet de départ, qui était :
"Qu'est-ce que dit la science à propos de l'homosexualité, de la dysphorie de genre et de la transsexualité ?"

Et là je vous disais à tous les deux : attention avec les déclarations péremptoires à l'emporte-pièce du style : "Je dis et je pense ça (ce qui est parfaitement votre droit, et je respecte toutes les opinions), ...et la science prouve que j'ai raison !".

Or, la science, dans ce cas précis, n'est pas de votre côté, les choses sont bien plus nuancées et complexes que vous ne semblez le croire, attention de ne pas véhiculer une science au rabais où l'on ne prendrait que ce qui nous arrange, et pas le reste. Ce n'est pas respectueux envers ceux qui vous lisent, et en particulier les plus jeunes d'entre nous, qui peuvent être influencés par ce genre de discours épidermique sans aucun fondement.

Les seuls idéologues dans l'histoire, c'est vous. En fait je ne comprends pas bien le ton agressif de vos messages. Quel est le problème d'avoir des points de vues différents ? Perso je n'en vois aucun. C'est ce qu'on appelle un débat.

Si tout le monde ne dit que ce que les autres veulent entendre, il n'y a plus de débat, juste un troupeau de moutons.

Sans déconner, postes pas à 3h du mat'
tu zappes la moitié des propos des autres personnes et tu ne vois pas ton agressivité.

Je maintiens que tu mélanges des théories biologiques sourcées et documentées pour justifier de comportements sociaux qui n'ont rien à voir.

On dit la même chose :
L'homosexualité et la bisexualité sont connus à défaut d'être reconnus depuis l'antiquité (la grece est en un des plus important fournisseur de preuves dans ses oeuvres, écrites notamment)

"La transexualité animale est lié à la structure adn de l'animal et associée à une stratégie d'adaptation de l'espèce pour vivre." d'adaptation, dont de reproduction

par exemple, des animaux qui changent de sexe (poissons), ou qui ont les 2 gonades et dont l'une seule sera viable selon des facteurs extérieurs (température pour le crocodile par exemple).
Des poissons dont le male est absorbé littéralement par la femme et devient la gonade male pour les oeufs de poisson, ...

Bref, tout ça,
ça ne fait toujours que 2 genre: male et femme.

Complétons, et on se rejoint sur ce point :
Il existe une Dysphorie de genre qui était classée dans les troubles mentaux/sexuels.
Troubles ... donc troubles psychiques.
Pas maladie mais troubles.

Cela relève du travestisme bivalent (je découvre ce terme), et cela reste considéré comme un trouble psychiatrique
fr.wikipedia.org Wikipedia
ça n'est pas une "nouvelle normalité"

Je découvre aussi que (bas de la page) "la prévalence des troubles autistiques chez les personnes transgenres est estimée 3 à 6 fois supérieure à la population générale"
Ils ont définitivement besoin d'accompagment dans leurs troubles

En tout cas, ça ne fait toujours pas apparaitre miraculeusement d'autres genres.

Le 06/10/2024 à 15h 55

Tu crois que la science oppose un démenti formel à la variété des genres, des attirances, des vécus et des ressentis ? Qu'elle ne reconnaît ni la fr.wikipedia.org Wikipedia, ni l'fr.wikipedia.org Wikipedia ?

Tu les a trouvé où, tes connaissances scientifiques, dans un paquet de lessive ? Dans une pochette-surprise ?

Parce que ça fait très longtemps que les scientifiques sont au courant de l'existence de l'homosexualité dans la nature, et qu'ils l'observent chez toutes sortes d'espèces animales, même les plus surprenantes :

Jette-donc par exemple un coup d'oeil ICI (c'est rien moins que le Muséum National d'Histoire Naturelle, excuse-moi du peu), et aussi ICI.

En particulier cette phrase :

Les biais des scientifiques ont influencé notre vision et nos connaissances du vivant. On sait désormais que l’idée d’une homosexualité « contre-nature », en opposition à une hétérosexualité qui serait « naturelle » et universelle, ne repose pas sur des fondements scientifiques.
Pour achever de te convaincre, voici un troisième article, qui parle non seulement d'homosexualité, mais aussi de transsexualité, d'homoparentalité... toujours chez les animaux !

Si tu n'aimes pas lire, tu peux aussi regarder cette vidéo : ICI ou encore écouter Cette passionnante émission.

Bref, ta "biologie" n'est pas LA Biologie, il serait peut-être temps que tu t'en rendes compte et que tu actualises tes connaissances... Enfin, je dis ça comme ça, en passant...

Mais c'est d'une absurdité crasse et d'une malhonnêteté intellectuelle forte.

L'homosexualité et la bisexualité sont connus à défaut d'être reconnus depuis l'antiquité (la grece est en un des plus important fournisseur de preuves dans ses oeuvres, écrites notamment)

La transexualité animale est lié à la structure adn de l'animal et associée à une stratégie d'adaptation de l'espèce pour vivre.

Des animaux qui changent de sexe (poissons), ou qui ont les 2 gonades et dont l'une seule sera viable selon des facteurs extérieurs (température ou le crocodile par exemple).
Des poissons dont le male est absorbé littéralement par la femme et devient la gonade male pour les oeufs de poisson, ...

Bref, tout ça,
ça ne fait toujours que 2 genre: male et femme.

Mais cela ne prouve en rien que la transexualité existe chez les primates dont nous faisons partie.

Un singe queer/pan sexuel "they-their", à ma connaissance, ça n'existe pas.

Tu surréagis dans les commentaires ...
Il n'y a quasi que toi qui porte cette véhémence wokiste dans les commentaires.

Cela dessert largement toutes les personnes homo/bi et les femmes qui ont lutté pour leur reconnaissance dans les années 80.

Et pas besoin d'inviter 4 autres genres pour réinviter les travestis et les ladyboys

ça devient ridiculement absurde de refuser des points simples :
- un homme (xy) et une femme (xx) sont génétiquement et anatomiquement différents
- visuellement, on ressemble de loin soit à un homme, soit à une femme

Mais tu as raison, continues de te victimiser ... bouuuuhuuu

Le 06/10/2024 à 20h 18

Est ce qu'on peut aussi imaginer ne pas supprimer la partie controverse et enrichir honnêtement les autres sections ?

C'est pas tout à fait la même chose.

Pour la section controverses, si ce sont des faits, ce sont des faits, point.
Ce monsieur a peut-être œuvré à des actions plus louables, ça ne justifie en rien la suppression du reste.

"Est ce qu'on peut aussi imaginer ne pas supprimer la partie controverse et enrichir honnêtement les autres sections ?"

Tout à fait, ou reformuler sans rédaction partisane, comme un report fidèle des paroles&messages, sans chercher à porter un message. :chinois:

Libre à nous de nous faire notre avis sur le monsieur.

Soyons clairs sur 2 choses :
* le monsieur hetzel a un paquet de casserolles aux fesses. simplement citer ses propos est suffisant.
* sa chargée de comm aurait simplement remonter les points litigieux/diffamatoires, elle aurait évité un bel effet streiand

Le 06/10/2024 à 13h 37

Et ?
C'est exactement un procès en sorcellerie systématique des nouveaux élus politiques par les médias des bords opposés

Etonnamment, on ne mentionne pas que qqs jours après sa nomination, certains articles dont Libé ont repris en coeur (forcément, ça fait vendre) tout ses conneries.
Et que c'est cité en "sources officielles" avec un § entier dessus dans la page wikipédia.

C'est devenu un sport d'éditer une page wikipédia d'un personnage politique pour reporter des "faits" (l'orientation du paragraphe "controverses" est clairement à charge).

C'est très loin d'être un ton neutre.
+ lister en sources des articles de journaux

ça fait 1/4 de sa page.
Par contre, ce qu'il a fait pendant tout le reste de sa carrière, OSEF.
Les autres prises de décisions, les signatures, les dossiers, les lois, les votes ...
Ce qui correspond à 98% de ses actions politiques, 0 infos.

"m'regardez un ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche qui est inculte en science, m'voyez"

Vous pouvez faire la même avec TOUS les autres ministres. Aucun n'est réellement compétent dans son domaine.
Ils sont compétent dans leur carrière, dans leur réthorique et leur communication.
Mais pas dans leur domaine.

Ce petit jeu dans Wikipédia m'horripile au plus haut point.
La neutralité et l'argumentation sont définitivement perdues.

Et je dois avouer que me taper ce genre d'article dans Next me fatigue.

Le 03/10/2024 à 13h 37

Ses SGBD (ils ont aussi MySQL).

C'est vrai ...

le JDK Java a été plutôt anticipé je trouve. On a eu bcp de move avant qu'Oracle ne dégaine sa politique de contrôle.

bon du coup, c'est Amazon qui est maintenant le vendor de JDK le plus populaire ^^
https://newrelic.com/resources/report/2023-state-of-the-java-ecosystem#most-popular-jdk-vendors

En 2020, 75% des JDk étaient Oracle
En 2023, 28% pour Oracle et ... 31% pour Amazon :bravo:

Et oui, pas de bol ... changer un jdk est bien plus simple et rapide que changer son moteur de bdd.

Le 02/10/2024 à 21h 48

ça va mettre du temps.
mais oui, je suis aussi sur ce sentiment.

Comme Oracle qui a tué sa base de données.

Le 02/10/2024 à 21h 47

pas d'info mais il faut penser aussi à autre chose.

Dans les solutions techniques de remplacement, il ya les autres solutions de virtu dont ProxMox & HyperV.

Mais il ya aussi ...Nutanix (hyperconvergence) et les hyperscalers, cad les cloud (amazon, azure et google).

Or Thales par exemple a signé une coentreprise, S3NS, pour exécuter du GCP.
Orange a fait pareil avec Azure (Bleu).

Du coup, ils ont pas mal de portes de sortie.
C'est comme pour Oracle :
un gain à court terme, et une destruction quasi assurée à long terme
Sur les boites que je connais, elles ont TOUTES un projet de sortie de Oracle.
ça mettra qqs années, et c'est donc qqs millions engrangés, mais pour un banissement côté Achats.
Au point que plusieurs de ces boites ont même fait des règles : si le produit utilise du oracle, NOGO. Il sera refusé.

Et au final, même sur des produits Saas, les éditeurs jouent le jeu et étudient postgre (ou sql server)

Le 02/10/2024 à 14h 29

Il ne possède pas l'ensemble des actions des autres entreprises, déjà, loin s'en faut.
Ensuite les résultats ne sont pas nécessairement des dividendes.
Un bénéfice comptable est nettement inférieur au cashflow réel généralement (amortissements obligent), et des entreprises qui doivent se financer ne peuvent pas tout distribuer en dividendes sinon ça oblitère toute capacité de financement ultérieure.
Je ne suis pas dans le secret des affaires de Musk, mais une fois que tu as divisé ces résultats 2023 par 20, tu comprends que c'est un peu tendu quand même, surtout avec une perspective pas rassurante sur l'avenir de X à moyen terme.

Cela dit, il faut bien faire la part des choses, si Musk a co-investi pour les 44 Milliards, il n'est redevable que de la partie qu'il a apporté lui-même (ou de l'argent qu'il a emprunté/des garanties qu'il a données).
S'il est largement majoritaire dans le pool d'investisseurs, il porte à la fois un gros risque direct sur la dépréciation de la valeur de l'actif et plus indirectement, sur son bilan d'exploitation qu'on devine déficitaire (dont l'article ne parle pas, faute d'accès public aux données).

On est globalement en phase.
Je pense juste que sa situation financière n'est pas aussi mauvaise sur ses autres boites que ce que tu évoquais.

Je pense qu'il faut distinguer l'envie du monsieur (de faire des comms, sa vision des choses avec X) et la stratégie des co-investisseurs qui, s'ils ont suivi le mister pour investir, voient maintenant leurs milliards disparaitre à vitesse grand V.
Là, récupérer le pognon parait très compliqué.

Si Musk parvient à compenser financièrement, ça peut tenir.
(mais retour à ce que tu disais : comment et combien de temps ?)

Le 02/10/2024 à 09h 39

Je ne suis pas certain que Musk soit aussi serein que toi.
Les pertes de X sont assez abyssales, et on parle de cashflow, ce qui se finance très mal avec des actions - rappelons ici que les autres boites de Musk ne sont pas si rentables que ça, leur valeur est spéculative et pas très liquide.

Je n'ai pas dit qu'il était serein.
Ses tours de tables de financement ont quasi toujours été compliqués quand c'était tout autre sujet que SpaceX (où il a bénéficié de supports politique des USA pour construire un "monopole" pour la Nasa et les militaires)

Si on se base sur les résultats 2023 des 2 grosses boites,
- Tesla : nettement bénéficiaire depuis 2021, avec en 2023 5M€ de dettes et 13M€ de résultat net pour un CA de 87M€ (c'est pas ouf mais c'est quand même pas mal du tout)

- SpaceX : "je cite des journaux qui citent des sources proches" un CAx2 en 2023 à 9Milliards d'euro et 3 Milliards de bénéfice après 2 années dans le rouge
Considérant que Starlink est le principal consommateur de pognon de SpaceX

Le 01/10/2024 à 23h 09

C'est comme Bolloré qui a acheté cnews et tous ces autres milliardaires (Bezos a acheté je sais plus quel grand média et c'est devenu un torchon).

Propagande de leurs idées et influence des politiques
C'est pire que le lobbying

Sauf que Twitter est actuellement LE média le plus suivant autours du monde et peu importe les pays, et sur TOUS les sujets !
Mêmes les politiques se fightent à coup de thread X.

Que peux-tu faire quand tu deviens le propriétaire de tout ça ? globalement, ce que tu veux.
Le remboursement, il le fera avec les bénèfs de ses autres boites (spaceX en premier, vu qu'il est en monopole chez les US et bien placé chez les européens et les autres pays du monde)

Le 01/10/2024 à 16h 06

"Bref, il serait temps de revenir à un discours plus mesuré. La radicalité, ça ne marche pas."

Ouuui, je dis OUI :)

Le 01/10/2024 à 10h 23

Il y a vraiment quelque chose que je ne comprends pas dans tous ces articles.

Vous êtes capables de faire de super articles de vulgarisation des biais de perception engendrés par les réseaux sociaux (et il y en a ... beaucoup trop).

Mais dès que l'on aborde un sujet compliqué hors tech, vous vous rapprochez des "données présentes" et immanquablement, vous retombez dans "une étude sur les réseaux sociaux / sur les réseaux sociaux"
(bon rassurez-vous, quasi TOUS les autres journaux font de même)

"Un journaliste n’a pas besoin de tout connaître (ce serait tellement prétentieux de le prétendre), mais il a le devoir de se renseigner, d’évoluer, d’apprendre et de transmettre. Cela doit être un travail collectif de la société, pour la société. "

Et si vous faisiez, juste pour vos articles, l'effort de NE PAS vous baser sur les réseaux sociaux et leur production de merde quotidienne ?

Vous avez quantité d'informations disponibles sur la toile.

Bref, un peu moins de contenu "machin a dit que" et plus d'analyse, comme vous êtes capables de le faire sur les autres sujets.
(les sujets avec les demandes CADA wow !!)

--------
L'exemple de l'article sur la carrière dans les métiers scientifiques est parfait : « les stéréotypes de genre continuent d'influencer négativement l'orientation des filles et des femmes vers les métiers scientifiques et techniques »

Vous vous basez sur un sondage d'opinion (donc déjà biaisé ...)
Et vous reprenez des conclusions fournies par d'autres, sans plus d'arguments.


A côté, vous avez des rapports factuels et précis
(comme souvent dans les rapports produits par la fonction publique quand on se plonge dedans)

Le rapport de Dress sur l'articulation entre vies familiale et professionnelle est factuel et statistique
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications-communique-de-presse/etudes-et-resultats/larticulation-entre-vies-familiale-et

Axe de journalisme : il n'apporte aucune explication sur le pourquoi ...
Pourquoi la mère décide de "sacrifier" son travail pour ses enfants plus que le père ?
Un choix fait par les 2, par la mère, par le père ?
Un lien avec la relation à l'enfant ?
Une reproduction d'un modèle connu (par les parents/grands-parents, etc) ?

Le rapport sur les inégalités est intéressant et donne plus d'explications :

"Si l’on retire l’effet de la profession exercée et du type d’employeur, les femmes gagnent en moyenne 4,3 % de moins que les hommes pour un même temps de travail et un poste comparable. Cet écart « toutes choses égales par ailleurs », comme disent les statisticiens, reste inexpliqué par l’Insee. Il résulte pour partie de discriminations salariales de la part des employeurs, et peut-être aussi d’autres facteurs non mesurés ici tels que les différences d’expérience, d’ancienneté dans l’entreprise, de niveau de diplôme, chacun de ces facteurs pouvant jouer en faveur ou en défaveur des femmes. Cet écart de 4,3 % « ne peut s’interpréter comme une mesure de la discrimination salariale dans les entreprises », avertit l’Insee, mais c’est celui qui s’en approche au plus près."

Plusieurs éléments connus des équipes RH :
- les femmes négocient moins leur salaire, demandent moins d'augmentations et SI demande, vont demander des augmentations de salaire plus faibles
- la gestion des congés maternité fait que "souvent", cela fait une année "blanche" sur l'augmentation générale (si augmentation générale). Un an d'augmentation étant dans les 3-4%, ça peut aussi expliquer
----------

Le 29/09/2024 à 16h 07

Tout ça pour accéder à Copilot? Ça n'a pas vraiment de sens, mais bon.

Je pense qu'il parle de Microsoft 365 Copilot plutôt que Github Copilot.
Et dans ce cas, ba il faut du M365.

Et très très souvent, ça fait une négociation d'achat
Et dans cette négociation,
le coût de hosting dans le cloud
<<< le coût de licensing de ces produits + OS (postes de travails windows & windows server pour les AD notamment) + SQL Server,
Les commerciaux MS savent faire un joli pont d'or si bascule vers Azure avec un joli gain affiché qui montre "plein de pognon gagné" et ça, ça parle aux managers.

Le 29/09/2024 à 15h 40

Oh, au contraire, la rentabilité directe est très très profitable.
Ils souhaitent bénéficier directement de cette victoire sur tous leurs concurrents, Google/Meta/Amazon sont tellement à la rue.

La monétisation par l'intégration de l'outillage IA se fait maintenant.
Et donc toute la structure non lucrative et les défenseurs du "il faut pas faire n'importe quoi avec l'IA" ont été proprement cassés par Sam Altman au grand bénéfice de la rentabilité et du pognon ...

La tentative d'éviction de Sam Altman a été mal négociée (par des gens non politiques, tout simplement), alors que sa cote était encore très élevée.

Monter qqs scandales, afficher toutes ses manigeances et manipulations pour défoncer sa cote et ensuite le faire dégager aurait été plus pertinent.

Maintenant, il se sent libéré et invincible => les autres qui l'ont soutenu (dont la CTO) doivent regretter/regrette déjà le sauvetage.

OpenAI n'est plus du tout pour créer une AI qui "bénéficiera au monde" mais bien une AI qui "bénéficera au monde des investisseurs"

Le 26/09/2024 à 09h 42

Je ne crois pas que ça change grand-chose.
Quelques-uns vont râler, voire quitter (ou plutôt "annoncer quitter") l'application, mais la grande masse continuera à l'utiliser.

Entre les communications politiques, journalistiques, les comms sur events, l'associatif, ...
Non, la masse "professionnelle" continuera de l'utiliser sans que ça perturbe réellement.

Le 27/03/2024 à 10h 49

... saisissant ! mais une nouvelle à prendre du (très) bon côté.

C'est horrible pour Julian Assange qui est en train de mourir à petit feu pour éviter de mourir aux US (175 ans....).

Le 20/11/2023 à 12h 58

il y a une tendance assez simple :
les startup américaines sont les principales adoptrices pro de la suite google.



Suffit que le meeting soit organisé par une personne de openAI et c’est parti sur Meet.
A l’inverse, réunion posée par une personne de MS et c’est parti sur Teams.



Et passer de Google à MS reste … très compliqué.
Il faut faire l’effort.

Le 15/11/2023 à 11h 27

c’est bien en réaction et confirmé par le DG



D’un côté, la nana BalancetonAgency a rencontré des pbs précédents avec une autre startup donc ça doit faire particulièrement écho à sa situation perso.



Mais de l’autre, les points qu’elles remontent :




  • vous êtes obsédés

  • vous êtes prêts à faire de Lydia votre seule grande entreprise jusqu’à votre retraite

  • vous assumez aussi bien l’incofort des échecs REPETES que la célébration de QUELQUES réussites (wow!!)

  • En revanche, avec 10 ans d’exp au compteur + des questions sur le poste, “regardez ailleurs” -> trop vieux/trop chiants, dégagez

  • si à la question “rejoindriez-vous lydia si vous étiez déjà riche, célèbre, avec une sociale bien remplie?” vous réponsez non, dégagez … ba euh

  • “si vous utilisez Lydia juste pour rembourser vos amis et que vous ne vous voyez pas en faire votre compte principal” -> Gné ? faut prendre un compte chez Lydia pour venir chez eux ?

  • “si vous êtes managers et ne cherchez pas à connaitre le prénom du conjoint de vos collaborateurs, dégagez” bon barrière vie perso/vie pro, y’en a pa !



Les histoires de minorité/handicap, c’est de la discrimination. Même positive, c’est limite. La phrase est trop longue et maladroite.
On peut le dire autrement …
(par exemple) “On accepte tout le monde, peu importe d’où il vient, qu’il parle anglais, qu’il connaisse le métier, trop vieux ou sans diplomes …”



Bref, je comprends son post.
C’est maladroit, c’est une opinion sur un réseau social … comme tant d’autres.
C’est une personne physique seule qui peut dire de la merde.



Les réactions de Lydia tant sur Linkedin que par email direct sont elles impressionnantes !
Elles ne font que confirmer ce que l’annonce laissait penser … et c’est hyper révélateur.



Un petit message du genre “Ah navré, on prendra ça en compte pour les prochaines fois. On ne souhaitait pas mal faire mais être un peu honnêtes sur notre société …”
Et c’était plié, pas de débat.



Bel effet Streisand, une belle leçon de marketing :D

Le 24/08/2023 à 13h 12

Pas certain qu’on puisse considérer Amazon Prime comme un bon exemple, dans le sens où l’entreprise n’a pas cassé ses prix dans le but exclusif d’éliminer la concurrence.



Pour moi, elle a surtout cassé ses prix pour attirer des clients qui ne faisaient pas du tout d’achat VPC en ligne. Donc c’est plutôt pour créer/doper le marché.

C’est une entreprise qui vendait des livres sur internet et qui a cassé les prix pour lutter contre les librairies physiques.



Puis qui s’est mit à vendre tout et n’importe quoi, idéalement aux prix les plus bas (jouet, hightech, informatique, livres, multimédia, …).



C’est clairement un comportement composé, mix entre la grande surface qui veut proposer plein de produits pour lutter contre les magasins de centre-ville + magasin virtuel donc prix plus faibles (pas de loyer de magasin à payer, pas de déco, moins de salariés par l’automatisation importante).



Là où c’est réellement problématique pour moi c’est les milliards investis pour concurrencer toute la planète.



Aucune autre boite déjà installée n’avait les reins assez solides pour se développer à l’international aussi rapidement et en cassant les prix.



Amazon existe depuis tellement longtemps qu’on arrive à cette simplification grotesque “le magasin en ligne = amazon”, tout comme “internet = google”.



ça a créé une situation de monopole. c’est interdit :D

Le 24/08/2023 à 08h 25

Non, pas exactement.



Il faut vraiment distinguer les calculs de marges/gains d’une entreprise seule, avec ses capitaux propres (en millions généralement pour les plus grosses) à ces investissements à coup de dizaines voire centaines de milliards de dollars sur une période très courte (10 ans à l’échelle d’une entreprise, c’est court).



Comme l’étude/l’article le démontre, cela apporte une capacité financière tellement importante qu’il faut une société avec les mêmes soutiens financiers pour lutter.



Les concurrents qui ne bénéficieraient pas de VC fonctionnent avec des banques qui sont très loin d’apporter un tel soutien.



Il ne faut pas se faire d’illusions : pour qu’un concurrent apparaisse face à la boutique en ligne Amazon, il lui faudrait un investissement tel qu’il ne peut plus exister.



La seule chose qui peut faire tomber Amazon, c’est la désertification de ses clients.
Et comme les prix sont tirés vers le bas pour avoir le “moins cher du moins cher du moins cher” avec des algo qui alignent les prix sur le prix le plus bas des concurrents … cela tue la concurrence.
Les clients ne partiront pas.

Le 16/08/2023 à 08h 08


s’ils avaient eu une meilleure compréhension des […]


En même temps quand on fait la sourde oreille, on ne peut pas se rendre compte.



Edit:



Grillé :transpi:

:D wow les patrons seraient pas si intelligents que ça ?



Je comprendrais jamais …
Ils cherchent à recruter les meilleurs profils, des gens intelligents, autonomes, responsables, capables … pour les infantiliser dans leurs tâches et postes.



Et ensuite, ces dirigeants ne veulent plus écouter ni prendre en compte les avis des employés.

Le 11/08/2023 à 12h 35

De même, je te rejoins sur cette constatation : le catalogue est vraiment bof.
ça sent la résiliation à la fin de l’abo s’ils ne reviennent pas dessus.



Et ça va aider à limiter le temps d’écran :)

Le 28/07/2023 à 07h 22

… je trouve toujours sidérant qu’une société identifiée comme “de pointe” et “stratégique” puisse se faire racheter par un fond chinois puis par les US.



Je cite bitchfm “[Ommic a] été progressivement pris en main par Ruoadan Z., Chinois de 63 ans, qui en est devenu président en 2018 après avoir racheté 94% des parts via un fonds d’investissement créé en France.”



A côté, l’envoi des puces :
Je note “ils sont soupçonnés d’avoir transféré illégalement 11,8 millions d’euros de puces à des clients chinois et russes”
Toujours bitchfm : “Un montage complexe aurait “également été mis en place pour transférer du matériel prohibé vers Moscou et contourner l’embargo commercial qui vise le pays depuis l’invasion de la Crimée, en passant par la Chine””



En gros, ça passe par la Chine qui ensuite sert son copain russe.



Et là, la beauté de la chose …
“D’importantes saisies pénales ont été opérées, d’après la source judiciaire. Selon Le Parisien, des parts sociales de l’entreprise ont notamment été saisies, permettant une reprise tricolore de son contrôle.
L’entreprise a ensuite été vendue à l’américain Macom.



Traduction pour moi : le français est un dommage collatéral qui a permis de retransférer côté US une technologie de pointe FRANCAISE passée sous la coupe chinoise.



Le gouvernement français/l’armée française : inexistants/transparents.
Un rachat par Thalès ou Dassault ou un autre gros fleuron français, c’était impensable ?

Le 25/07/2023 à 08h 28

On comprend ce que Mathilde voulait dire mais c’est vrai que c’est pas simple à relire.
J’ai l’impression que c’est le placement du “pourtant” qui pose soucis.



Bill Gates qui promeut d’intenses gains de productivité, des chiffres inquiétants sur le nombre de métiers susceptibles d’être remplacés… Pourtant, quand on se penche sur la relation de l’intelligence artificielle au travail, le tableau mériterait d’être nuancé.”



Sinon, pour l’IA, rien que de très nouveau avec la technologie.
Les superbes machines-outils de nos usines ont eu besoin d’une phase d’intégration importante pour les faire fonctionner.
Et ensuite, il faut toujours de l’humain pour les entretenir, les réparer, …



Ce qui me gêne profondément, c’est cette énorme fracture que l’on constate par la disponibilité d’une pléthore de main d’œuvre non qualifiée, disponible et connectée.
On a d’un côté des profils qualifiés bien payés qui sont de plus en plus techniques et compétents qui entretiennent de gros systèmes (mécaniques, électroniques, informatiques, médicaux, …)



Et de l’autre côté, une compensation de tous les petits trucs merdiques censés être automatisés mais jamais corrigés car trop chers/pas intéressants/pas rentables qui sont fait par des petites mains, payé à l’acte à un tarif ridicule.



Et la mise à disposition du service global à tout un chacun crée un peu d’emploi très qualifié… mais surtout beaucoup d’emplois précarisés.



C’est quand même dingue à l’époque de l’informatique automatisée, on a des plateformes comme Amazon Mechanical Turk, Scale AI ou Appen qui prospèrent au lieu de disparaitre.



Mais ils trouvent … donc des gens prêts à bosser pour ça, il y en a.



Monde de merde.

Le 13/07/2023 à 08h 08

oui alors c’est pas forcément le bon exemple hein … Ils ont bien réussi à se saborder tout seuls.



ça peut faire l’effet inverse en fait.



Et pendant ce temps, Broadcom rachète vmware …
L’impact est … colossal .. mais bon.



ça ne touche que des composants techniques IT intrinsèques obscurs au fin fond des systèmes réseau/infra des datacenters.



Bref.

Le 13/06/2023 à 09h 02

Sans compter qu’il détourne le propos du livre blanc :




« Il est cependant indigne, à partir de ressentis, d’anecdotes ou de cas particuliers, de stigmatiser les agents des fonctions support qui, au quotidien, accompagnent du mieux qu’ils le peuvent, avec un investissement constant et un professionnalisme avéré, les équipes de recherche, dans une relation de complémentarité ».


alors qu’ils affirment justement :




Le CS du CNRS de 2018 à 2023 souligne que les personnels administratifs du CNRS ou des
établissements partenaires, dont l’abnégation est très souvent exemplaire à tous les niveaux,
sont les premières victimes des dérives d’un système qui perd de vue son objectif premier,
être un soutien à la recherche par une administration efficace.


C’est à se demander s’il l’a lu…

Cette partie-là, je l’ai pris pour un “diviser pour mieux régner”.



Il a tenté de tourner le papier du Conseil comme rejettant la faute sur les administratifs.
Beaucoup plus facile à gérer et à cacher ensuite.



Le commentaire intéressant est celui sur la mission donnée par la ministre à mister gniagnia, qui était directeur de cabinet de valérie pécresse quand même, (vous voyez les galons sur les épaulettes hein ? vous les voyez ? :D)



Je le comprends comme un “m’enfin voyez, on fait pas rien … on va créer une mission d’analyse, avec une commission d’enquête, histoire de bien savoir ce qui ne va pas.”



Et quand le résultat sera “pas assez de gens, trop de process”, la réponse sera la sempiternelle “m’enfin, voyez, on n’a pas d’argent pour ça” (mais continuer à payer les gros salaires des grands responsables, ça, oui, on peut …)

Le 13/06/2023 à 06h 48

Touché :D



Je ne connais pas le CNRS mais j’imagine, vu les 35k personnes et les délégations régionales cités dans l’article, une structure centrale décisionnaire à Paris et plein de structures locales qui font la recherche.



Des outils IT “pour une gestion standardisée des process et des coûts” et des process créés par des gratte-papiers à Paris qui ne connaissent pas l’opérationnel de la recherche.



Donc conçu pour le process, pas pour l’expérience de l’utilisateur.



Ce que je ne pige pas, c’est que le directeur reconnait “que « personne ne conteste la nécessité de réduire la charge administrative qui affecte les équipes de recherche et, de manière générale, la complexité de la gestion des laboratoires »”.



C’est ce qui me semble être exactement le sujet du pamphlet du Conseil non ?



Mais il n’est pas d’accord … o_O

Le 11/06/2023 à 07h 16

Tout à fait, c’est bien un choix des dirigeants qui fait arriver à cette situation.
On peut aussi discuter des choix des fonds une fois placés au comité de direction mais là encore, il n’y a pas vraiment de surprise … A mettre quelqu’un qui pense au pognon à la tête (ou en partie à la tête), on sait quelle direction on fait prendre à la boite



Je vais tenter de réexpliquer mon propos :
L’argent investi par le fonds d’invest dans la boite est souvent lié à un contrat avec les dirigeants.
Ce contrat indique si prise de position majoritaire ou minoritaire, assistance au comité de direction/actionnaires et droit de vote.
Il indique aussi la performance espérée et donc les remboursements prévus pour cet investissement.



Un investissement, c’est globalement soit un achat de parts de la boite soit un prêt.



Du coup, Mr Invest investit 1M€ à la date t pour 2000 parts de la boite à valeur usuelle de X avec droits de vote.
A t+5 ans, la boite rachètera les 2000 parts pour soit la valeur usuelle de la part, soit 1,2M€.



A t+5 ans, la boite DOIT racheter ces parts. Donc doit avoir les fonds pour l’acheter.
Et donc si la boite ne les a pas, elle doit les trouver … souvent en emprunter à côté.

Le 07/06/2023 à 09h 26

Bah euh si ? :D



“Un fond d’investissement son but c’est d’investir de l’argent en espérant ad minima la stabilité (=compenser l’inflation) et au mieux une plus-value”



Pas du tout aligné avec ta vision.



Pour moi, uUn fonds d’invest vise un placement d’une somme d’argent sur X années avec une renta de y% définis.
On peut l’assimiler à une sorte de “prêt” avec comme garantie la bonne performance de la boite.



C’est très souvent clairement établi avec les dirigeants.



Pour cela, ils ont plein de choix. Mais globalement, ils ne pensent que dans cette règle de 3, somme S sur X années à Y %



Si la boite a sous-performé, les dirigeants doivent endetter la boite pour payer la sortie de capital du fond d’invest.
Et certaines boites, pour ça, finissent par démanteler des parties moins “coeur de métier” ou bien carrément à couler à cause des dettes.



C’est pas forcément vautour mais le fond d’invest est surtout là pour le pognon investi.

Le 05/05/2023 à 15h 52

certes.
Mais au final, pourquoi on a toute cette mouvance “loi antifakenews” dégénées par les états ?



Parce que “internet ” est privé et que les Google/Facebook/Twitter font ce qu’ils veulent de ce gros machin et touchent une population mondiale, donc de gros abus possibles.



Quand une société US a un pouvoir plus grand qu’un pays, un CA plus important que son PIB et une trésorerie plus importantes que ses dettes (dudit pays),



Et quand ces sociétés s’en servent pour orienter le filtrage de leurs services, donc favoriser la manipulation d’opinions et font un lobbying intensif de leurs propres valeurs au détriment des valeurs nationales, sans lutter efficace contre cela (puisque c’est leur coeur de métier donc leur biz donc leur pognon et PAS TOUCHE AU POGNON), ba ça amène les pays/gouvernements à lutter contre cela.



Du coup, Google qui fout un message de lobbying sur sa page de moteur de recherche, avec un affichage spécifiquement dirigé pour les gens surfant avec des IP brésiliennes, c’est de la manipulation abusive.



Parce que prétendre que « Cette loi va aggraver l’état de votre internet », c’est de la connerie en barre massive.



Bref, très content de voir une réaction dans ce sens.

Le 13/04/2023 à 09h 15

Faut pas lire ce genre d’articles après avoir vérifié les infos sur les grèves liées à la réforme des retraites…



Montages financiers, leviers fiscaux dans tous les sens, usage de l’argent pour s’acheter des relations pour … avoir ensuite des bénéfices associés.



Il fait du pognon par la destruction de ses propres entreprises, en bénéficiant de largesses fiscales des états complètement détournées de leur intérêt propre initial.



A vomir.

Le 22/03/2023 à 09h 12

En fait je pensais à CloudRun que tu n’as pas cité, pour qui il n’est pas possible d’utiliser d’autre container registry que celle de Google.



Là où on peut pour leur équivalent chez Azure.



Après dans tous les cas, les Cloud Providers sont fait pour imposer du vendor lock, mais ce coup là chez GCP je l’ai trouvé très discutable.

J’ai pas encore assez pratiqué pour être arrivé dessus :)
Et je pense pas que Cloud Run soit une solution très ouverte, elle me semble brandée pour du besoin “code to prod” simple en mode google.



Mais je te rejoins.
Google workspace est un exemple très concret du manque d’opérabilité avec le reste des outils mainstreams.
Bigquery est très restrictif dans ses usages de diffusion de données,
Les services savent pour la plupart consommer des storages S3 ou Google en entrant (on imagine bien la compatibilité avec AWS pour faire un moveto Google).

Le 20/03/2023 à 19h 31

GCP ça reste plus raisonnable que Azure / AWS étonnament.



Au final, en services, tu as :




  • du stockage (solutions existantes dispos)

  • des vms

  • du kubernetes



Là, pour en sortir, ça sera plus facile que les services PaaS existants chez Azure ou Aws :)
(je suis sur les certifs Architecte de chacun des clouds … je vois bien les différences)

Le 16/03/2023 à 21h 43

Tu commences à avoir une “vraie” concurrence de google workspace vs microsoft 365 avec un périmètre du genre microsoft 80%, google 10%, salesforces/meta workspace/… qqs % chacun.



Google a beaucoup investi en développement (commercial) de ses solutions notamment en Europe.



Un certain nombre de boites échaudées par Microsoft et son modèle de licensing bordélique ont basculé/sont en train de basculer vers Google.



D’autres ont basculé vers Google alors que Microsoft 365 n’était pas encore bien installé et c’est vrai que par rapport à un serveur exchange ou lotus ou autre à installer puis gérer, y’avait pas photo.



Ensuite, ils sont captifs et c’est TRES compliqué de sortir de Google.
(la compatibilité avec les fichiers office notamment dans Drive reste très récente par exemple)



En français, On va avoir des pme, des eti et des boites du cac40.



Et l’augmentation de 30% alors qu’ils étaient un peu moins cher que Office ….
Faudra pas trop abuser car pas mal repartiront vers Office si le coût de licence explose autant.

Le 18/02/2023 à 22h 44

C’est marrant mais très agaçant de voir ces tests pris au sérieux par des “journalistes” (pas nextinpact) qui cherchent juste la connerie/buzz à sortir pour avoir des vues.



https://datascientest.com/comment-fonctionne-chatgpt
https://datascientest.com/introduction-au-nlp-natural-language-processing



Il n’y a pas d’intelligence propre, pas de sentiments, d’émotions, de conscience …
C’est du machine learning.
Plus précisément c’est de la génération de texte ultradépendante des jeux de données en entrée.



Il fait de la probabilité statistique sur les formes et tournures de phrases les plus probables associés aux réponses posées aux questions.
(il ne sait pas jouer aux échecs/go/starcraft ni donner un itinéraire ou générer une image)



La fait de ré-entrainement peut en plus amener énormément de débordements, car les humains valident les réponses.
Donc la validation par jeu/troll/orientations de comportements erronés amène le moteur ML à modifier son modèle interne et à continuer ça.



Internet + démesure = déviances = modèle interne qui exacerbe les clivages extrémistes.



ça fera comme avec les réseaux sociaux …
Aucune raison d’un apprentissage libre laissé à la communauté internet (dont les 4chan/Reddit/… dont certains chans sont spécialistes des trolls/blagues pour générer du chaos/de la destruction)



j’attends les articles liés aux déviations de modèles par les fermes à trolls (sur la guerre en Ukraine par exemple).



On aurait surtout besoin :




  • des preuves des jeux de données utilisés pour les entrainements (imaginez un chatGPT entrainé sur 4chan …)

  • une modération des validations des réponses par les utilisateurs

  • plus de modération dans les usages et comportements



#inquiet

Le 25/01/2023 à 19h 35

Tout à fait, la précision nécessaire pour ce travail, l’usage de la machine à écrire (et oui) et le côté far west n’avait pas de sexisme.



Ce sont les années 80-90 avec l’apparition du micro-ordinateur et sa pub exclusivement tourné vers un publique masculin qui ont fait mal.



C’est en partie cette catégorisation “univers technique/mécanique sans relations humaines” qui a fait se détourner de nombreuses femmes des US et de l’Europe, qui ont préféré des postes plus sociaux (éducation, santé, social).



A contrario, le % de femmes dans l’IT est bcp plus important en Afrique et en Asie où le travail informatique permet à ces femmes de se rendre indépendante (notamment du revenu du mari).

Le 20/01/2023 à 10h 53

Quel beau statut que ce statut observateur … influenceur.



Business is business !

Le 17/01/2023 à 22h 43

Mon commentaire à 2cents.



Je vois des commentaires qui prêtent à chatGPT des connaissances qu’il n’a pas.



chatGPT reste malheureusement basé sur des éléments de statistiques.
il intègre un moteur bien rodé d’analyse sémantique pour écrire ses phrases et c’est véritablement bluffant.
Il fait donc bien de la dialectique, avec des connaissances qu’il a tiré d’internet/wikipédia/articles scientifiques/…



Mais parler de choses ne garantit pas de les comprendre.
Il a constitué des connaissances générales, des tendances, sans être capable de parler précisément sur un sujet.



chatGPT le dit lui-même :



Q> “si tu ne peux pas fournir de sources spécifiques, comment peux-tu te baser dessus ? sans source, tes arguments ne tiennent pas.”



“Vous avez raison, je suis désolé pour la confusion précédente. Comme modèle de langage automatisé, je suis entraîné à comprendre et à répondre aux questions en utilisant les informations contenues dans mon corpus de données d’entraînement. Il se peut que les informations que j’ai fournies ne soient pas basées sur des sources spécifiques mais plutôt sur des tendances générales et des meilleures pratiques dans l’industrie qui ont été intégrées dans mon corpus de données d’entraînement. Il est important de vérifier l’exactitude des informations avec des sources fiables avant de prendre une décision ou une action importante.”



Q> “donc si la tendance générale est bonne, tu as bon. Et si la tendance générale est confuse, ta réponse ne sera pas pertinente ?”



R> “vide” il a buggé peut-être ^^
puis enfin
“En tant que modèle de langage automatisé, je suis entraîné à comprendre et à répondre aux questions en utilisant les informations contenues dans mon corpus de données d’entraînement. Si les informations dans mon corpus de données d’entraînement sont incomplètes ou imprécises, il se peut que ma réponse ne soit pas complète ou précise. Il est important de vérifier l’exactitude des informations avec des sources fiables avant de prendre une décision ou une action importante. Je suis un outil de traitement automatique de la langue, et les informations que je fournis ne doivent pas être utilisées comme source unique pour prendre une décision”



J’apprécie au moins le bon travail des devs dans l’entrainement de chatGPT qui remonte bien ce genre d’éléments.



Je vois un avenir fort dans le partenariat MS/Bing.
J’y vois aussi une possibilité sur la génération/recherche de documentation technique automatique beaucoup plus efficace.



Mais n’y voyez pas non plus une IA savante qui sait tout.

Le 17/01/2023 à 14h 53


(reply:2114996:Babouche kebab)


Je découvre ça (que le concours techno a disparu depuis 2012) et du coup je comprends mieux le choix (même si je regrette que les sciences perdent une heure).



Merci pour l’info.



Mais c’est tellement débile en fait ces choix non assumés qui foutent la merde …
(j’en peux plus de ces “grands” débiles)

Le 17/01/2023 à 09h 28

c’est pas con, ça permet de faire des pavés de 10kms de longs sur les puce-5g des vaccins covid ou de la platitude de la planète Terre … :D



Je ne te rejoins pas sur “tous les enseignements sont nécessaires”.



Mais je te rejoins sur un point : Un enseignement équilibré en volume horaire aiderait sûrement plus.
Là, je trouve qu’on déséquilibre fortement les sciences et c’est catastrophique derrière.
Il y a énormément de métiers qui s’en servent, notamment dans les métiers en manque de personnes (médical, ingénierie).